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1 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIV. Que les danses sont aussi défendues les jours des Fêtes par les lois Canoniques. » pp. 76-93
s Saints. Car au lieu de se rendre avec fidélité, et avec ferveur aux divins Offices, ils s’occupent à danser, et à dire des c
te sorte de spectacles les jours des Fêtes, font mention du temps des divins Offices ; quelques-uns ont pris occasion de dire,
vertissements mondains, n’a été faite qu’en considération des Offices divins  ; et ainsi, qu’il est permis aux fidèles de danse
pinion d’Angélus d’une excessive sévérité, pour avoir mis au rang des divins Offices les Vêpres et les Sermons, et parce qu’il
c que ces Canons dans la prohibition de la danse, n’ont parlé que des divins Offices, parce que les saints Conciles n’ont pas
n’ont pas jugé qu’on peut dans un même jour vaquer aux mêmes Offices divins , et s’adonner aux divertissements du monde. Car e
par tous les lieux où l’on travaille sérieusement à rétablir le culte divin  ; car les Heures Canoniales, la solennité des Mes
Sermons, remplissent toute la journée. Et quand bien même les Offices divins , et les exercices pour lesquels les fidèles s’ass
fin que l’esprit des Chrétiens s’occupe pendant tout ce jour au culte divin  » ;« Omni theatrorum, atque Circensium voluptate
on de ceux qui restreignent la prohibition de ces choses au temps des divins Offices doit être rejetée, comme une invention de
2 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179
acrifient avec zèle le plaisir du spectacle, pour assister au service divin  ; les autres ne trouvent pas un moment pour enten
it du Démon, qui entraîne au péché. A la Fête-Dieu nous remercions la divine bonté qui nous nourrit du fruit de vie ; nous app
volupté. Dans les fêtes nous chantons des cantiques, nous écoutons la divine parole, nous faisons des prières, nous approchons
crupule de l’Eglise au théâtre, du sanctuaire aux foyers, de l’office divin aux Italiens, de Bourdaloue à Racine. Les autres
, de Bourdaloue à Racine. Les autres abandonnent tout à fait le culte divin , pour se livrer au plaisir. Quel des deux est le
ent à les interdire les jours de dimanche et de fête pendant l’office divin . La fureur du théâtre est si grande, que le Princ
s, n’a expressément proscrit les jeux de théâtre que pendant l’office divin , les Conciles de toutes les provinces les ont abs
On peut en voir un recueil, tom. 5. des Mémoires du Clergé, du Culte divin , tit. 2. ch. art. 31. et suivants. (Concile de Ro
s plaisirs frivoles et séduisants on détourne les fidèles de l’office divin et des exercices de piété, dans des jours destiné
Exod. 20. Les raisons de dispense des œuvres serviles, sont le culte divin , pour parer les autels ; la charité du prochain,
r à la comédie aucun de ces privilèges. Quelle part a-t-elle au culte divin  ? quel service rend-elle aux malades ? quelle néc
r aux spectacles ? Tout au contraire engage à s’en éloigner, le culte divin qu’il empêche, la charité qu’il refroidit, l’inté
té ; d’abord la messe, d’une manière précise et absolue ; et l’office divin , la parole divine, l’approche des sacrements, etc
esse, d’une manière précise et absolue ; et l’office divin, la parole divine , l’approche des sacrements, etc., autant qu’il es
3 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Mlle de Guise » pp. -1
pensée La vertu l’âme enlasséeb, Les amours rient en l’œil, La troupe divine ensemble En ce bel esprit assemble Les clartés de
us prendra pour nous venger. Stances sur la Main De Mlle de Guise. Divine main, perle d’élite, Belle dont le rare mérite Se
fe les âmes Royales, Des vertus qui la font aimer : Et comme la lampe divine , Qui brillant, éclaire, illumine Elle reluit sans
4 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
tenant soutenir le ciel sur ses épaules :Lact[ance], li. 1. c. 9. des divines instit[utions]. Terent[ius, Térence] in Eunuch[us
et Poésie est un poème significatif contenant l’imitation des choses divines et humaines. Strabon li. 1. de la Géographie. Lo
1. de la Géographie. Louange de la Poésie. Lactance li. 5. ch. 5. des divines instit[utions].Le Géographe Strabon écrit, que la
aison qu’iceux comprenaient par mesure et vers la doctrine des choses divines . Ils n’estimaient pas qu’un Jupiter fût dieu :7.
s étoiles. VirgileVir[gile] 6. Enéid[e]. Lact[ance]. li. 1. c. 5. des divines instit[utions]. Vir[gile] 4. Géor[giques]. R. le
un bon Poète) que pour la grandeur de leur esprit, et de leur naturel divin . Car je me persuade être vrai ce queCic. Pro Arc.
nature, qui s’excite soi-même, et est comme poussé et ravi de quelque divin esprit. C’est pourquoi Ennius appelle les Poètes
de la fureur Poetique. et an 3. des loix. Et Platon entre les quatre divines fureurs qu’il met, divination, mystère, amour, il
. c. 20. Satur furent gens méchants, et que s’attaquants à la Majesté divine , Dieu les accabla par foudre qu’il jeta sur eux d
d. Ovide liv. 9. des Métam[orphoses]. 5. Lact[ance], li. 1. c. 9. des divines instit[utions]. Terent[ius, Térence] in Eunuch[us
1. de la Géographie. Louange de la Poésie. Lactance li. 5. ch. 5. des divines instit[utions]. 7. Cic[éron] li. 2. de la nature
. Orphee. Linusi. Vir[gile] 6. Enéid[e]. Lact[ance]. li. 1. c. 5. des divines instit[utions]. Vir[gile] 4. Géor[giques]. R. le
5 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
egards, dit le même Père, c’est l’histoire de la Religion. Ouvrez les divines Écritures, vous y verrez un Dieu créant le monde
omme cueille les fruits de la terre. Que tous ces ouvrages d’une main divine , & mille autres aussi admirables, sont dignes
les célestes contre-poids, les merveilleux cordages de ces opérations divines . Tous les joujous ne sont pas au berceau. S. Chry
ur, & présentant un hommage éternel à la justice & à la bonté divine , par les supplices & les récompenses. Que l’A
os poëmes ne roulent que sur leurs aventures ! Vous croyez une poësie divine quand vous avez enchassé dans vos vers quelqu’un
t de l’irréligion ? Consultez votre cœur, quand vous allez à l’office divin ou au spectacle, à quel des deux vous conduit la
nos temples, vont-ils au spectacle ? les amateurs vont-ils au service divin & aux instructions, ou si le hasard, la curio
e, un cheval qui court, ou un malade guéri. N’avons-nous pas dans les divines Écritures le char & les chevaux de feu qui en
quel zèle dans ses Apôtres, qui parcourent la terre pour annoncer sa divine parole ! quelle constance dans ses Martyrs, qui s
6 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
i regardent le service de Dieu, apprenez-leur les cérémonies du culte Divin , la voie par laquelle ils doivent marcher, et les
et que n’appliquant leur esprit qu’à la lecture des choses saintes et divines , ils se nourrissent de la parole de Dieu et du fr
s et divines, ils se nourrissent de la parole de Dieu et du fruit des divins mystères. C’est en effet par ce moyen que nous po
car au lieu de s’appliquer à la piété, et d’assister avec ferveur aux divins Offices, ils emploient le temps à danser et à cha
tres ne pourront pas gagner sur les peuples par la force de la parole divine qu’ils annoncent, s’accomplisse par la terreur qu
isant avec toute sorte de respect et d’humilité : je supplie la bonté divine , de conserver dans une santé parfaite, pour l’uti
7 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
e trouve dans les exercices de la piété, s’appellent les consolations divines  : Mais à qui sont destinés et les consolateurs et
ir ces consolations spirituelles, et les impressions salutaires de ce divin consolateur. C’est pourquoi Jésus dit, « bien heu
u’ils avaient apportées d’Egypte se trouvent consumées. Certes, cette divine manne de la grâce, ces ravissements, et ces joies
ncontinent. « Délicate et rare, disait S. Bernard, est la consolation divine , c’est une femme chaste mais jalouse, qui méritan
8 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
et Platon chassent les Poètes lascifs, et appellent les autres Genre divin , et les retiennent. Les Mimes et Histrions et aut
élever pour chercher dans les cieux des paroles célestes à une vertu divine . Je réserve à un autre lieu la dignité de ses lou
fait projection à l’infini en un esprit digne de recevoir cette manne divine . Mais où trouverons-nous des paroles capables de
urrissons des Muses, Aigles de Jupiter, vrais enfants d’Apollon, race divine , interprètes des Dieux, qui ont gratifié Paris de
k, qui pour entendre la mélodie Phrygienne ne sont pas atteints d’une divine fureur : mais comme le Temple des Euménides en At
eu d’amaranthe, d’œillets, et de lys. Continuez donc, belle, docte et divine Muse, à imiter les mouches d’Hymette, qui des fle
9 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXI. Réflexion sur le Cantique des cantiques et sur le chant de l’Eglise. » pp. 76-78
senté sous la figure d’un amour humain, on défendait la lecture de ce divin poème à la jeunesse : aujourd’hui on ne craint po
t, ni même par la gravité de celui qui fait encore le fond du service divin  : je me plains qu’on ait si fort oublié ces saint
10 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484
le nourrir par les prières actuelles et par la méditation des choses divines . C'est pourquoi les Chrétiens ne pouvant pas pass
ce qui peut rendre leurs prières indignes d'être présentées devant la divine majesté: ce qui les oblige non seulement d'éviter
11 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
ntât sa curiosité par quelques miracles. Ces admirables marques de la divine puissance doivent être gravement annoncées ou sér
oilà à quels motifs sont destinés les effets les plus éclatants de la divine puissance que l’Ecriture rapporte, à faire trembl
ils appellent indifféremment la Sainte Ecriture, ou l’Eucharistie les divins Mystères, les saints et sacrés symboles, le Corps
et que chaque vérité est comme animée et revêtue d’une Majesté toute divine . On trouve ces réflexions bien appuyées dans plus
e la parole de Dieu ; ainsi qu’on n’oserait rien laisser tomber de la divine Eucharistie. Et dans la quatrième Homélie sur le
e les personnages des Saints, et de chanter publiquement les louanges Divines , après que Dieu a si souvent fait entendre aux ho
uissions, quand on nous dit que le Théâtre des Comédiens retentit des divins cantiques, et comment pourrait-on nous persuader
« In loco sancto edi jubentur », le Prophète Jérémie qui regarde les divines paroles comme « la nourriture de son âme et la jo
ione]. 51. nourrissons notre âme de la méditation, et de l’étude des divines Ecritures, et en éprouvant qu’elle est fatiguée e
térons-la par cette viande et ce breuvage céleste, que cette Ecriture divine nous présente. Instruisons-nous dans cette école
endemain dans un lieu de plaisir ; ne soyez pas un jour attentif à la divine parole, pour en aller perdre le fruit au son des
12 (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316
le nourrir par des prières actuelles, et par la méditation des choses divines . C'est pourquoi les Chrétiens ne pouvant passer t
peut rendre ces prières indignes d'être présentées devant la Majesté divine , ce qui les oblige non seulement d'éviter les dis
13 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
eu, doit seul avoir part aux honneurs royaux, & même aux honneurs divins  ; c’est le Dieu du théatre, il faut bien le place
oit les attributs ; mais tous rendoient hommage au pere des Dieux, ce divin Arouet, qui leur avoit fait rendre un culte rélig
ndre un culte réligieux, & réunissoit en sa personne toutes leurs divines qualités. La sagesse de Minerve, la fierté de Jun
ient de leurs eaux sacrées tous les Voltairistes ; les neuf muses, la divine Uranie & sa dévote Epitre, Melpomêne & se
statue, & de toute part on s’écrie vive le grand, l’immortel, le divin Voltaire. Telle fut l’inauguration de la statue d
enfin d’expirer. Graces, vertus, raison, génie, Dont il fut l’organe divin , Tendre Venus, sage Uranie, Qu’il n’implora jamai
ni le triomphateur Italien, ni le bourgeois de Calais n’approchent du divin Voltaire. Qu’a fait Petrarque ? Des sonnets pour
us légitimes, triomphe plus mérité, apothéose plus juste que celle du divin Voltaire, pendant sa vie, par les gens de lettres
nantne fait-il pas le dénouement de la Statue du festin de Pierre, du divin Moliere ? Et le tombeau de Minos, de la tragédie
14 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 2 : Livre VI, chap. 7] » p. 590
chap. 7] A cette cause on peut et doit nombrerc entre les miracles divins les apparitions des Ames. Je dis miracles divins,
c entre les miracles divins les apparitions des Ames. Je dis miracles divins , pour les discerner d’avec les faux miracles du d
15 (1588) Remontrances au roi Henri III « [Chapitre 2] » pp. 128-135
l’EgliseAller aux Jeux publics le jour de la fête est contre les lois divines et humaines., et les lois humaines qui le défende
aux jeux et spectacles le jour de la fête, est transgresser les lois divines et humaines : ce n’est donc pas un plaisir honnêt
peuple. Aller aux Jeux publics le jour de la fête est contre les lois divines et humaines. Les spectacles corrompent les mœurs
16 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
es gens la sainte Eucharistie. Je crois qu’il ne convient pas ni à la Majesté Divine , ni aux maximes de l’Evangile, que la pudeur, &am
qu’on ne pouvoit pas se trouver à la Comedie sans injurier la Majesté divine  ? C’est cependant ce que nous apprend le même Doc
ses Confessions, il s’y crût obligé de rendre gloire à la misericorde divine , & d’avouer, que cette horreur pour les spect
es organes vous donnent. Et lorsque vous ferez dans la presence de la Majesté Divine , Madame, aiez la charité de prier Dieu, qu’il fas
17 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Stances à Madame Isabelle, sur l’admiration où elle a tiré la France » pp. -
Adorez les trésors du Ciel. Ne vous enquérez d’Isabelle, Si son âme divine et belle Etait de toute éternité : Si elle fut au
iscordants accords. Dont au lieu de quatre contraires, Il voulut par divins mystères, Qu’elle eut le Ciel pour Elément : Les
18 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVII.  » pp. 486-488
nt rempli mon cœur de joie et d'allégresse. » C'est cette consolation divine selon saint Paul, qui entretient notre espérance,
. » Et le saint Roi David, qui avait aussi goûté la douceur de la loi divine témoigne de même le mépris qu'elle lui faisait co
19 (1675) Traité de la comédie « XXVII.  » pp. 318-320
nt rempli mon cœur de joie et d'allégresse. » C'est cette consolation divine , qui entretient notre espérance, selon saint Paul
. » Et le saint Roi David, qui avait aussi goûté la douceur de la loi divine témoigne de même le mépris qu'elle lui faisait co
20 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
perd point de vue la tristesse qui les a précédées. « On remercie la divine providence d’avoir converti les gémissements et l
ablement nous voyant ainsi destitués de notre Pasteur ; mais la bonté divine n’a pas laissé longtemps en cet état ceux qui esp
21 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
’on bannisse de tous les lieux consacrés à Dieu, et destinés au culte divin , tout ce qui peut troubler la paix des Divins Off
eu, et destinés au culte divin, tout ce qui peut troubler la paix des Divins Offices, causer de l’interruption dans les Prière
22 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur de Nemours » pp. -
ouver en terre les Cieux. Ha ! ce sont les doctes pucelles, Saintes, divines , immortelles, Les chastes vierges, les neuf sœurs
sant d’autant de gentillesses Qu’on a vu briller de sagesses Aux feux divins de ton bel œil. Grand Prince qui sais toute chos
23 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
aux Spectacles les jours de Fêtes et de Dimanches, pendant le Service divin  ; c’est ce qu’on publie au Prône de tous les Dima
éché d’assister aux Spectacles les jours de Fêtes, pendant le Service divin . Aussi pour empêcher les fidèles de Paris, de se
e permis de participer à la sainte Table. Car ceux qui selon les Lois divines ont été chassés de l’Eglise et demeurent dehors,
es, où l’on explique la parole de Dieu, où l’on craint et respecte sa divine Majesté, la concupiscence ne laisse pas de s’y gl
24 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
s la suite on mêla toute sorte d’extravagances, même pendant l’office divin , et par les Ecclésiastiques et les Religieux, ave
toutes ces moralités ? Oui sans doute, du moins quand il s’empare des divines Ecritures, qu’il ose faire parler les Prophètes e
que pour servir à notre instruction. Peut-on changer leur destination divine , pour en faire un usage contraire ? Il faut que l
inces n’est pas faite pour réjouir la populace, la magnificence de la divine parole est encore moins faite pour amuser les péc
dinages impies ? Tel ce sacrilège qui dans les expressions de l’amour divin cherchait de quoi faire des déclarations infâmes 
cclésiastique, et déplacées sur des lèvres qui prononcent les paroles divines de la consécration et des sacrements, et annoncen
équivoque et des manières mondaines de quelques Prédicateurs, avec la divine parole qu’ils annoncent. On a raison, le contrast
Est-ce au théâtre qu’on trouvera cette lumière céleste, cette onction divine , ces grâces surnaturelles, qui convertissaient le
la sévérité jusqu’à défendre aux Organistes de jouer pendant l’office divin des vaudevilles, des pièces profanes, des chanson
25 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
d les peuples considèrent ces célèbres iniquités qui ont violé la foi divine et humaine pour l’accomplissement d’un dessein, l
veut pour prix que des complaisances, qui se figure quelque choses de divin en son objet, et qui lui croit aussi rendre des r
s, et qu’elles portent efficacement les hommes à tout ce que les lois divines et humaines leur défendent. L. vui. cod. de rap.
26 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
ntérêt des pauvresct, au moyen de la distraction du peuple au service divin et diminution des aumônescu, ordonne ladite cour
it de. Parce que les représentations éloignent les fidèles du service divin , affaiblissant ainsi la charité et faisant baisse
27 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
hant de l’Eglise avec les déclamations du Théâtre. Qui ne sait que la divine Psalmodie est une chose si bonne d’elle-même qu’e
’est de l’Enfer ? quoi ! vous comparez l’Eglise avec le Théâtre ? les divins Cantiques, avec les cris des Bacchantes ? les Sai
ue la Poésie est bonne d’elle-même, qu’elle est capable de servir aux divins mystères, qu’elle peut chanter les louanges de Di
prit tous les égarements de son imagination. Il prend pour des grâces divines , les corruptions, les profanations et les violeme
rruptions, les profanations et les violements qu’il fait de la parole divine . Si on le veut croire ce n’est plus lui qui parle
pôtre n’a jamais été, il parle bien plus hardiment que lui des choses divines  ; il ne s’écrie point ô Altitudo aa ! rien ne l’é
tement l’émerveillement et l’impuissance du croyant face aux mystères divins . Goibaud du Bois reproche à Desmarets de manquer
28 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XII. Du Dimanche et des jours des Fêtes. » pp. 54-66
de s’encourager, et de s’animer à leur imitation, d’écouter la parole Divine avec attention, et avec ferveur, et d’exercer la
uelles il paraît évidemment qu’il n’y a rien de si contraire aux lois divines et humaines, et à la raison même, que d’employer
consacrés au culte de Dieu, et institués pour ne vaquer qu’aux choses divines . C’est sur ce fondement qu’Alexandre de Halès Doc
29 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
on, c’est à l’Eglise qu’il faudroit se rendre. Venez-y donc goûter la divine parole ; un moment de mortification vous assurera
uaire, en la présence de Dieu, pendant le chant des Pseaumes & la divine parole, la concupiscence, comme un voleur subtil,
ime, d’entendre des mêmes oreilles les infamies de la scène & les divines Ecritures, & de recevoir l’hostie adorable da
s-vous, de quel front oserai je entrer dans l’Eglise & écouter la divine parole ? Consultez-vous vous-même ; sentez la dif
re de la pénitence. Homil. 1. in Matth. Je ne vous annoncerai pas la divine parole, si je vous vois sans goût, sans estime, s
30 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
mais consacrés ; Arbîtres délicats des plaisirs de l’autre âge, De la divine Orgie avoient admis l’usage. Cette amabilité, ce
je pleurois incognito Pour ne scandaliser personne. J’avois tort, le divin Rocher Aussi respecté, moins terrible, Ne défend
ntaine, dont il se pique d’être l’adorateur & l’imitateur. Notre divin Lafontaine, (sachons en quoi consiste cette Divin
rouve elle-même ta candeur. On ne peut s’y méprendre ; voilà qui est Divin pour un Prêtre de Vénus. D’un autre côté, il dégr
in pour un Prêtre de Vénus. D’un autre côté, il dégrade son Dieu. Ce divin Lafontaine n’est que l’enfant gâté de la nature.
e ses satyres, ni de ses éloges, & lui-même fit brûler ses contes divins dont il fit une sincere pénitence. Le parallele d
îtresses, aussi tout se ressent chez lui de ce vertueux commerce. Le Divin Lafontaine s’est frayé une route à la gloire tout
it pour éclater de rire, Non, disoit il, je n’ai pas mieux conté. Le divin Lafontaine, l’immortel Voltaire, le charmant Chau
31 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
s sans sujet, ni qui les puisse endurer constamment sans l’assistance divine . Mais quoi ceux qui ne connaissent point Dieu abo
rions-nous notre bonheur? Si nous avons été si heureux, que la vérité divine soit manifestée en nos jours ; jouissons de notre
32 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201
il a appris par des crimes, « quod maledidicit insinuat ». La majesté divine , la discipline évangélique, l’honneur de l’Eglise
a chasteté, et fuient l’injustice et le péché. Ils obéissent à la loi divine , professent la vraie religion. La vérité les diri
ce les garde, la paix les protège, la sagesse les enseigne, la parole divine les conduit, Dieu seul les gouverne, Jésus-Christ
t lenociniis comicis », sont absolument éloignées de cette perfection divine  : « Quid sunt, si ad hanc perspicuitatem, virtute
ns par leurs jeux, ou les Saints par leurs prières, qui ont fléchi la divine miséricorde, et nous ont obtenu la grâce, quand n
t offensio Dei », pouvons-nous, contre nos lumières, nous jouer de la divine Majesté par les honneurs que nous rendons au démo
be peccamus. » Nous préférons le théâtre à l’Eglise, et si le service divin et la comédie se font dans le même temps, je vous
33 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
me, en foulant à leurs pieds, avec autant d’audace que d’impiété, les divins préceptes de Jésus-Christ, qui a dit, et j’aime à
crimes pour maintenir le vrai culte ! C’est dans la violation de ces divins préceptes de Jésus-Christ, que nous venons de cit
s des religions. Le droit naturel est en effet bien distinct du droit divin . Où en serions-nous, si les prêtres devenant maît
es à mes yeux, lorsqu’ils mettent en pratique la charité, cette vertu divine qui est au-dessus de la foi, ainsi que l’a dit sa
34 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SIXIEME DISCOURS. Si le Prince peut apprendre les Arts Libéraux, comme la Peinture, la Musique, et l’Astrologie. » pp. 195-201
ue petite résistance à leurs cours, avait été le divertissement de ce divin Ouvrier pendant qu’il bâtissait l’Univers. Si les
s qui les meuvent. Mais toutes les louanges qu’on a données à cet art divin , ne m’obligeront jamais d’en conseiller l’usage à
35 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
Les peintures representent quelquefois des sujets conformes aux loix divines , quelquefois des sujets contraires, quelquefois d
u’il a confié à l’Eglise ont esté employez par les inspirations de ce divin Esprit, pour défendre l’innocence contre les insu
aucune raison, si elle permet ces outrages évidens contre la Majesté divine , ces conspirations visibles contre les bonnes mœu
itations differentes que les ames y ressentent, pourroient blesser ce divin Esprit, l’obliger de se retirer d’un lieu où son
es Magistrats ne doivent pas moins craindre les foudres de la Justice divine s’ils ne donnent des ordres pour reformer ces Pie
es Magistrats défendent de joüer la Comedie dans le temps des Offices divins , ils ne souffrent pas qu’on joüe les jours de Fes
, ils ne souffrent pas qu’on joüe les jours de Feste, qu’aprés que le divin Service est achevé. Que ce zele est loüable, mais
ec une ame, qui ne considere ny les ordres, ny la satisfaction de son divin Espoux, puisqu’elle ne craint ny de luy desobeïr,
ime qu’elle fait du plaisir, de l’amour, & de la possession de ce divin Espoux. Messieurs, si les Comedies offensoient la
ins sans manquer à une des principales obligations dont la Providence divine vous a chargez en vous donnant la conduite des pe
ui est tres-digne d’estre déploré, sans diminuer notablement le culte divin , sans l’empescher. Nous pouvons ajoûter que les P
36 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
e que les sauces gâtoient le vermillon qui fait l’éclat de sa bouche divine , & que la galimafrée gatoit le corsage divin
’éclat de sa bouche divine, & que la galimafrée gatoit le corsage divin de sa taille, en tous lieux admirée .     Avec p
s, comme Ænée avec la Sybille. Il vit cette Dame célebre. C’étoit la divine Emilie, Qui jusques dans ces lieux portoit L’imag
tendrement elle aimoit. (Voltaire). Parmi cent belles qualités, la divine Emilie étoit une actrice parfaite. Elle fit long
’on parle de Dieu, de son gouvernement, de sa religion, de ses œuvres divines . Il ose dire d’après Térence : La crainte fit le
la fortune dont le hasard seul est l’auteur  ; comme si la providence divine n’existoit pas, qu’il n’y eût en tout que le hasa
37 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
nt autorité, voire qui pis est, abusantc de l’autorité des saintes et divines écritures, pour soutenir les vices, comme si ce n
s, c’est approuver l’idolatrie Gentile, et fouler au pied la vraie et divine religion en contuméliek du vrai Dieu. Je suis hon
’esprit fût plus induit à embrasser la vertu Evangélique, à cause des divins loyersm qui nous sont proposés, vu que par la cal
en la terre, l’homme. Que toutes ces choses, dis-je, et autres œuvres divines soient les Spectacles des fidèles Chrétiens. Il n
38 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIII. Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. » pp. 67-75
les fidèles, s’occupent de tout le cœur, et de tout l’esprit au culte divin , et aux actions de la piété, et de la religion qu
ux qui ont été baptisés portent publiquement les signes de la lumière Divine dont ils ont été éclairés, et remplis au saint Ba
39 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
ent uniquement en vûë le salut des ames, & dans l’explication des divines Ecritures, sujet ordinaire de leurs prédications,
e cœur, c’est-à-dire le principe de la vie, de la Religion, & son divin consolateur. Il est donc juste de ne pas faire mo
ns ? Saint Cyprien se plaignoit, de ce qu’ils y portoient avec eux la divine Eucharistie, festinat ad spectaculum, secum geren
plantées dans l’ame du Chrétien le jour de son Baptême, & que ces divines plantes, plantatio Dei, Isai. 61. 3. luy sont con
e la perdre. Si vous chanceliez aussi tant soit peu dans cet Evangile divin , bien soin de me donner vostre suffrage, vous vou
lles exécutent les unes sur les autres l’arrêt de mort que la justice divine a prononcé contre elles. Mais, poursuivoit-il, co
ont droit de recevoir la nourriture, qu’aux conditions que la Justice divine veut bien la leur accorder, & la principale d
e action sainte par le chant des Pseaumes, & par l’assistance aux divins Offices, ont avec tout cela tant de peine à inspi
40 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
volant vers Dieu, s’occupant en la connaissance, et amour des choses Divines . L’extérieure et corporelle qu’on prend en quelqu
n à votre salut, la crainte d’être tant soit peu désagréable aux yeux divins , ne pourront-ils pas vous servir d’un coton qui e
gnes : ne vous sera-t-il pas une grande joie, et une récréation toute divine , d’avoir si bien trompé le monde, et Satan qui en
vail, et le travail est le mérite de la récréation : Ainsi la Sagesse divine disait, « Qu’elle avait tout rangé et disposé ave
80 « Je jouais devant lui sur le rond de la terre »,81 dit la Sagesse divine , nous apprenant, que nos jeux récréatifs doivent
bas de toute sorte de jeu, tant pour acquérir là-haut les récréations divines , comme pour satisfaire à Dieu, pour les péchés qu
uer. on peut manquer : 1. Jouant à des jeux illicites par les lois ou Divines , ou humaines ; comme sont les jeux qui sont purem
r il est dommage que le cœur de l’Ame Chrétienne, capable de grandes, divines , et héroïques affections, s’occupe à celles qui s
41 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
ont il se combloit lui-même. Platon , dit-il, a emporté le surnom de Divin , par un consentement universel qu’aucun n’a essay
s héros. L’éloge que j’ai fait de Jules III présente quelque chose de divin . Les vers par lesquels j’ai sculpté Charles V, Fr
passions, &c. Le jargon théatral est-il plus raisonnable ? Le divin Moliere, cet immortel Racine, cet incomparable Vo
noit des vers à leur gloire & à la sienne : il s’y qualifioit de Divin , libre par la grace de Dieu, l’implacable ennemi
onnades que l’éloge de sa facilité incroyable à composer ces ouvrages divins  : il ne s’oublie pas. J’ai fait 40 stances dans
rd’hui ce commerce n’est pas oublié. D’abord après sa mort, cet homme divin , cet homme si redouté, si employé, est tombé dans
corps fit la censure la plus amere de la Jérusalem délivrée. Ce poëme divin , qu’on mettoit sans façon au-dessus de l’Illiade
plupart grossières, scandaleuses, ridicules ? Mais on l’appelloit le Divin Arioste, Le Cardinal avoit-il assez mauvais goût
ent loués à l’excès. Pouvoit-il n’en être pas flatté ? Mais le nom de Divin a été donné à tant d’autres, à Platon, à Homere,
42 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
un délire d’amateur pour l’incomparable, l’inimitable, le céleste, le divin Moliere, semblable à celui des anciens scholastiq
n amateur assez imbécile pour en être enchanté, & trouver Moliere divin parce qu’on l’a comparé à Appollon. En mettant M
ient tort de se fâcher de la préférence. Eh ! qui t’a appris ton art, divin Moliere, voilà du plus violent aquilon, Aurois-tu
e. (il n’ajoute pas l’Amphitrion, tout de Plaute. Quel aveu ! l’homme divin est donc un plagiaire. Mais tu as créé le Misantr
t son malheur, & après sa mort elle demandoit des autels pour son divin mari. Il n’est point de profession que son génie
égliger sur la langue, & d’avoir de mauvais dénouemens. Et il est divin  ! Qu’importe le dénouement ? Divertissez-moi, &am
ez-moi, & amenez le marlage comme il vous plaira, & vous êtes divin . Ce n’est ni le goût, ni le génie, ni la vertu, n
emis, & la foiblesse de faire des farces contre eux. Est-ce là du divin  ? Peut-on plus mal adroitement parler contre son
ec lui-même ? justifiera-t-il les deux éloges, & trouvera-t-il du divin Moliere par tout ? En parlant de la Tragédie, dra
sophe, cet Apôtre des bonnes mœurs, ce modelle d’éloquence, cet homme divin . Pouvoit-il donner à la jeunesse un livre classiq
43 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
présentation des saints mystères, et la mise en scène des personnages divins qui forment l’objet de notre culte public ; Et le
us révérés, dans cette cérémonie publique ! Et à qui le rôle de notre divin rédempteur se trouve-t-il confié ? à un portefaix
qui était attiré dans les églises, où les cérémonies même du service divin étaient mêlées de ces spectacles ; on ne célébrai
la porte de Caïphe ; et que les autres Apôtres avaient abandonné leur divin maître, et ne l’avaient point suivi dans la maiso
ine, et leur témoignait la joie qu’elle allait avoir de rejoindre son divin fils. Enfin elle récitait ces mots : Nunciate dil
tholique mêlait des sujets profanes aux choses saintes et aux offices divins  ; nous allons nous borner à quelques citations de
te fête un mélange affreux de folies et d’impiétés pendant le service divin , où ils n’assistaient ce jour-là qu’en habits de
, en 1444, porte que dans le temps même de la célébration de l’office divin , les ecclesiastiques y paraissaient les uns avec
le ; Majesté, puissance, piété d’en haut ; Soleil, lumière et volonté divine , comble de la perfection, sentier ; Pierre, monta
u sacro plena fies, Maria. » Marie, vous deviendrez pleine du souffle divin . Ailleurs : « Intra tui uteri claustra Porta
paraphrase du pater et du credo ordinaires ; tout y est relatif à la divine conception et à la nativité. Evovæ remplace part
nt de cet article. « Dans le temps même de la célébration de l’office divin , des gens, ayant le visage couvert de masques hid
44 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madama di Beaulieu » p. 
A Madama di Beaulieu Lascia o Plato divin que’campi homaìr Ove godi immortal l’aure second
45 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVII. Profanation de la sainteté des fêtes et du jeûne introduite par l’auteur : ses paroles sur le jeûne. » p. 97
logien », page 54]. que la comédie partage avec Dieu et avec l’office divin les jours de dimanche ; et l’autre où il abandonn
46 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
t honneur, mais il faut y être appelé de Dieu comme Aaron. » C’est ce divin modèle du Fils de Dieu qu’ont toujours suivi et i
ité, et qui s’y trouvent élevés sans qu’ils les aient recherchées. La Divine Providence nous en donne un exemple dans la perso
47 (1675) Traité de la dévotion « Prière. » p. 68
Prière. Ô Mon Dieu, mon divin Sauveur, viens remplir mon âme de ces douceurs qu
48 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre »
et si, aux festins et aux collations, on parle de Dieu ou des choses divines , de la dévotion ou des personnes dévotes, ce n’es
49 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
m choreas ducere. Il est inutile de dire qu’on ne danse qu’après les divins offices ; tout le jour est également saint, &
permis de faire des œuvres serviles après la célébration de l’office divin , par la seule raison que le travail empêche qu’on
béi à vos supérieurs ; vous avez perdu l’instruction & le service divin  ; vous avez couru la nuit pendant que tant de sai
50 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
és et chantés, sont faits en leur honneur et comptés entre les choses divines  ; ils les ont désirés, ils les ont commandés avec
lement les favoris des Dieux, mais leurs égaux, les nommant célestes, divins , demi Dieux et même des Dieux : Les Athlètes sont
Saint Denis l'Aréopagite appelle ces cérémonies, sacrées et les Jeux divins  ; et Saint CyprienCypr. de Spect. ayant écrit que
51 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — introduction » p. 2
que le prophète Isaïe vous donne en cette céleste prédiction de votre divine maternité, c’est de vous appeler cachée et retiré
52 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
e sainte. Ces Pièces méritent une attention particulière, ce livre divin est digne de tout notre respect. On a toujours cr
s’embarrassent guère, font un crime au P. Berruyer d’avoir profané la divine parole par la manière romanesque dont il raconte
e toute parole qui sort de la bouche de Dieu. C’est toujours le Verbe divin , le Fils unique du Père céleste, qui s’incarne da
e ; ne soyez ni moins soigneux, ni moins respectueux pour les paroles divines . La moindre ne porte pas moins l’empreinte de la
ne, sur des lèvres impures, livrée à l’amusement du public, la parole divine , si on la lisait avec les yeux de la foi, serait-
53 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VI. Du sérieux et de la gaieté. » pp. 128-149
e de tous ceux qui y montent, et quels éloges ? sublimes, admirables, divins , ces hommes et ces femmes, supérieurs à l'humanit
t point dont la gravité et la modestie ne présentent quelque chose de divin qui caractérise la sainteté, et couvre les défaut
t touchés. L'Être suprême, dans la paix et l'élévation de son essence divine , nous donne le plus parfait modèle de ce calme du
t gratia. » La seule idée de légèreté révolterait dans cette personne divine  : je rougis de le dire, même pour en faire sentir
La mauvaise vie et la manière de débiter rendent inefficace la parole divine dans la bouche d'un Prédicateur. S'il ne pratique
54 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
ussière ce qu’ils ont formé du limon de la terre ; et les vôtres tous divins reluisent d’une grâce céleste, qui ne termine leu
55 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
reuse. De misérables créatures y affectent la puissance et la majesté divine  ; elles veulent faire servir toute la Nature à le
se dans son gouvernement ; il suffit qu’ils fassent observer les lois divines et ecclésiastiques autant qu’il est en leur pouvo
ment public ne soit pas ouvert durant les heures destinées à l’Office divin , ou à la prédication de l’Evangile. Suivant ce be
renoncé, dans le Baptême au monde, à la chair, et au Démon; et par ce divin Sacrement, chacun d’eux et de leurs spectateurs e
le Théologien, les jours de Fêtes, et de Dimanches, lorsque l’Office divin est achevé, d’aller à l’Opéra, ou à la Comédie po
Comédie inspire après qu’on s’est bien lassé au Sermon et à l’Office divin . Ce n’est que dans le CarêmePage 54., qu’il conse
56 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
Anges glorifient Dieu, et ce chant de joie qui nous excite à louer sa divine Majesté. Tout y est spirituel, salutaire, et prop
57 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132
s, de crainte que leurs oreilles et leurs yeux qui sont consacrés aux divins Offices, ne soient souillés par ces actions et pa
it être défendue aux jours de Fêtes67, du moins aux heures du Service divin , on ne peut pas conclure légitimement qu’elle soi
’aux Séculiers, et elle doit être plus défendue aux heures du Service divin qu’en tout autre temps. Que ce soit là le sentime
orsqu’ils la représentent aux jours de Fêtes et aux heures du Service divin . Mais afin qu’il n’y ait plus aucun lieu de doute
rélat ne la condamne que pour les Fêtes et pour les heures du Service divin , et qu’il l’a cru permise les autres jours ; il f
ns particulières qu’il explique en détail au Livre 6 des Institutions divines Chapitre vingtième71 « Je ne sais, dit-il, s’il s
ituel doive s’entendre des Comédiens qui jouent aux heures du Service divin , les Fêtes et Dimanches ; à cause qu’il est porté
Ph. De la Coste. De Blanger. Bonnet 1. [NDA] Lact. Lib. 6 Instit. Divin . c. 20 [Lactance, Institutions divines, VI, 20].
1. [NDA] Lact. Lib. 6 Instit. Divin. c. 20 [Lactance, Institutions divines , VI, 20]. 2. [NDA] Chrysost., Homil. 38 in cap.
alvianus et Chrysostomus asserunt. » 71. [NDA] Lact. Lib. 6 Instit. Divin . c. 20 [Lactance, Institutions divines, VI, 20].
71. [NDA] Lact. Lib. 6 Instit. Divin. c. 20 [Lactance, Institutions divines , VI, 20]. « In scenis nescio an fit corruptela vi
58 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
se, et au mépris du caractère le plus sacré et de la fonction la plus divine , et au mépris de ce qu’il y a de plus saint dans
nce du Maître et du Valet, et réparer l’outrage qu’ils faisaient à la Majesté Divine  : il fallait établir par de solides raisons les V
; qu’un abîme attire un autre abîme, et que les Foudres de la Justice divine ne ressemblent pas à ceux du Théâtre : ou pour le
se, et au mépris du caractère le plus sacré et de la fonction la plus divine , et au mépris de ce qu’il y a de plus saint dans
59 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
nfâmes protecteurs des Ivrognes et des Débauchés, pour des puissances Divines , et qu'à la vue de tout un peuple, et à la face d
de Chevaux, et aux Jeux de Théâtre, et à ne point mêler les Mystères Divins à ceux des Démons. » Écoutons Saint AugustinD. A
nts honteux qui le font déchoir du salut éternel des Chrétiens, et la Majesté Divine est outragée par des superstitions sacrilèges : I
60 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
e permis de participer à la sainte Table, car ceux qui selon les Lois divines ont été chassés de l'Eglise, et demeurent dehors,
où l'on explique la parole de Dieu, et où l'on craint et respecte sa divine Majesté ; la concupiscence ne laisse pas de se gl
mystique et redoutable, afin que vous ne profaniez point les Mystères divins , en participant aux mystères du Diable. Dans
61 (1675) Traité de la dévotion «  Méditation. » pp. 66-67
orrent de ses délices, il t’enivrera de ce vin préparé par la sagesse divine qui dit, j’ai mixtionné mon vin, j’ai tué mes bêt
62 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
jours les yeux baignés de pleurs Je sais que l’Evangile en ses leçons divines N’offre pour le salut qu’un chemin plein d’épines
63 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177
ons qui sont les siennes. Implorons son secours par l’entremise de la divine Marie, et disons-lui pour cet effet avec l’Ange,
64 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
tester comme les sources des calamités publiques & des vengeances divines  ; Conc. III. pag. 316. exhorter les Princes &a
65 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
a pieté : de là vient cette grande peine, qu’il a à goûter les choses divines . Quelle esperance pourra avoir cette personne, qu
rement favorisée du ciel. Je ne cesserai pas d’admirer la misericorde divine , si jamais elle me fait voir en cette mer de dang
une occasion de chute, n’en demandent un jour vengeance à la Justice Divine . Mais c’est en vain, que vôtre Demoiselle de cond
Sacrament ; je supplie ce Pere qu’il se souvienne, que la providence Divine ne lui a pas donné cette Fille pour lui, mais pou
66 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
ser saintement, en assistant avec un esprit recueilli et attentif aux divins Offices et instructions Chrétiennes, comme aussi
dansant dans un Cimetière la veille de Noël, et troublant le service divin , par une juste punition de Dieu, dansèrent sans c
67 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
l (p. 86), VIe Concile provincial (p. 316), etc.]., et des vengeances divines . Il admoneste les Princes et les Magistrats de ch
es pieuses, par la consolation du Saint-Esprit, l’effusion d’une joie divine  ; un plaisir sublime que le monde ne peut entendr
68 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
actation authentique et très édifiante, que peut seule inspirer notre divine Religion. C’est le fruit de vos méditations sur l
rand, quand il pense ainsi ! Non, non, l’esprit n’imagine point de si divines maximes : c’est la plume du cœur qui les écrit ;
69 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — I. Fin principale de l’Incarnation du Verbe. » pp. 5-6
’en faire des saints. L’Apôtre veut qu’on annonce hautement que cette divine Sagesse ne s’est livrée elle-même pour nous, qu’
70 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IX. » pp. 44-46
tal comme vous pouvez voir par toutes ses Epîtres. Et Jésus Christ le divin modèle de tous les Evêques a fait voir par cette
71 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
u moins de vous contrefaire ? Je n’en cherche point la raison dans la divine providence. On pourrait croire qu’elle n’a point
72 (1825) Des comédiens et du clergé « Sommaire des matières » pp. -
, et bouleversé le royaume. La puissance des rois étant d’institution divine , a une supériorité marquée sur celle du clergé ;
73 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
les Rois être les jouets de la Fortune, & les objets de la colere divine . Les Poëtes ajustoient au Théâtre les Sujets pour
p; la Furie Ιἐροϕοιτις l’ont voulu ; on ne peut resister à la Volonté divine . On voit encore dans Homere la suite funeste des
74 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
l voulait les attirer ; se persuadant que si une étincelle de l’amour divin entrait dans leurs cœurs, ils seraient bientôt em
eur semblait difficile. Comme il ne tâchait qu’à faire naître l’amour divin dans les cœurs, il était obligé d’avoir cette tol
75 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
ostérité, dans la sombre succession des temps à venir ; au fond de ce divin miroir, Abraham aperçoit le libérateur promis ; s
dans la terre promise, le fleuve remonte vers sa source. La puissance divine , qui repousse les eaux, les fait sortir à gros bo
76 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
sublimité de la morale prêchée par notre maître, on reconnaît déjà sa divine origine, combien, mes chers auditeurs, les parole
t exactement ses préceptes, qu’il a voulu faire triompher sa doctrine divine , car il ajoute : « Et vous trouverez le repos de
s frères, que la loi nouvelle, douce, tolérante, consolante comme son divin auteur, soit devenue une religion n’imposant que
icipée, usurpatrice, paralyser, anéantir les effets de la miséricorde divine . Que feraient de plus des envoyés de Satan chargé
me, nous vous supplions d’arrêter les effets de ces menaces que votre divin Fils adresse aux faux interprètes de sa loi, et e
77 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. » pp. 69-71
République les poètes comiques, tragiques, épiques, sans épargner ce divin Homère, comme ils l’appelaient, dont les sentence
78 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
payea. Je ne vois point que ces passe-temps soient défendus en la loi divine , les commandements de Dieu, ni ceux de l’Eglise n
79 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
n, mais elle n’a voulu que ce que la religion avait d’apostolique, de divin , de charitable et de conciliant ; elle n’a point
bitieux. Tout semblait leur être permis, et foulant à leurs pieds les divins préceptes de Jésus-Christ et la morale chrétienne
80 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
mple des jeux séculaires des romains. A cette idée heureuse, sublime, divine , il ne se sent pas d’aise ; il va, il vient, se l
r le Pont neuf : ils en sont dignes. En voici quelques-uns.          Divin Voltaire ! Recevez nos vœux, notre encens. Notre
otre seul but est de vous plaire ; Animez nos foibles accens,          Divin Voltaire.         Divin Voltaire. Vous avez fré
plaire ; Animez nos foibles accens,         Divin Voltaire.          Divin Voltaire. Vous avez fréquenté Clio, Euterpe, Thal
lio, Euterpe, Thalie & son frere, Même le temple d’Erato,          Divin Voltaire.         Divin Voltaire, Seul encor qu
son frere, Même le temple d’Erato,         Divin Voltaire.          Divin Voltaire, Seul encor qui donnez le goût, Roman, c
oman, conte, ode & caractere, Vous avez réussi dans tout,          Divin Voltaire. Je ne connoissois pas le temple d’Era
81 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE V. Que la circonstance d'aller aux Spectacles un jour de Fête, et de jeûne est une circonstance aggravante. Que ceux qui les fréquentent ne sont pas disposés à approcher des Sacrements. » pp. 83-87
ait-on dans le même cas si on y allait après avoir assisté au service Divin , et quand les Eglises sont fermées ? R. Ceux qui
82 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
re florissant, immense, riche, peuplé, qu’ils croyoient éternel & divin , par la destruction de tous leurs temples & d
t toutes puissantes, par l’extinction d’une famille royale, ou plutôt divine , les enfans du soleil adorés depuis plusieurs sie
en digne de Dieu. Il y a toujours à gagner à puises dans cette source divine . Dieu parle en Dieu dans les choses les plus comm
alement sublime & touchant, réunit ces deux merveilles. La parole divine émeut le cœur & le ravit ; son auteur en conn
rs graves Magistrats, sans être pourtant ni jolie, ni spirituelle, la divine Vertueil dédaignant la Province, est enfin venue
83 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
pays du monde. Premièrement. Le Sacerdoce est tout consacré au culte divin  ; et un Prêtre a spécialement l’honneur de n’appa
in Dominateur ; ils sont les défenseurs de sa Loi ; les sources de sa divine grâce leur sont confiées ; c’est eux qui présiden
ces imposteurs. Mais se jouer de ce que l’on sait être d’institution divine , ne faire point de cas de ceux qu’on croit les Mi
ux autres. Il est vrai que le Sacerdoce des Juifs était d’institution divine  : mais tout ce qui est d’institution divine n’est
Juifs était d’institution divine : mais tout ce qui est d’institution divine n’est pas d’une égale considération : les réalité
84 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
enant leurs Spectacles pour un amusement incompatible avec le Service divin . Saint Augustin qui assista à ce Concile, en avoi
mmunication avec les pénitences canoniques : la premiere est de droit divin  ; celles-ci étant de pure discipline, ont varié s
est souvent trop légere, pour éteindre tous les droits de la Justice divine  : on ne le prétendoit pas même dans la primitive
85 (1632) De spectaculis theatralibus pp. 339-351
et per Idololatriam. » Idem argumentum persequitur Lactantius lib. 6. Divin . Institut. c. 20. extremo, « Vitanda, inquit, spe
m novorum dedicationes sunt constituti, et c. » Eadem habet in Epist. divin . decret. cap. de spectaculis. Chrysostomus simili
vitiorum historinicis gestibus inquinari ? et c. » Lactantius lib. 6. divin . Instit. cap. 20. « In scenis quoque nescio ansit
86 (1574) Livre premier. Epître dixième. Cyprien à Eucratius son frère « Epître dixième. » pp. 30-31
. Quant à moi, je ne suis point d’avis, qu’il soit séant à la majesté divine , ni que ce soit suivre la forme de la discipline
87 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
ues et Religieux n’avaient bonne grâce qu’à l’Autel devant sa Majesté divine et que devant les Majestés humaines je les tenais
adame je serai une lampe continuellement ardente devant l’autel de sa divine Majesté pour la prier pour la prospérité de la vô
88 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
: un chrétien est un disciple de Jésus-Christ, qui, tout occupé de ce divin modèle, doit le retracer en lui tout entier ; qui
tte vigilance et les autres vertus, qui nous y sont commandées par ce divin Sauveur ? N’est-ce pas se jouer de la sainteté de
89 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
r de tous points et voir si nos actions irrépréhensibles par les lois divines le peuvent être par les humaines, si elles sapent
ant outre tout cela de tous attentats, de tous crimes de lèse-majesté divine et humaine, qui ne nous banniront jamais, aidant
90 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
ensiblement, et bientôt on arrive à une complète ignorance des choses divines . Parmi tous les plaisirs du monde qui concourent
ne sont autre chose que la méditation et la contemplation des choses divines , ainsi que les exercices pieux. Or, ceux qui fréq
ce respect et cette crainte religieuse que la Divinité et les choses divines doivent inspirer ; le libertinage qu’on y rencont
91 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170
onne un de ses héros au récit de quelque évenement tragique, ce poëte divin fait cette sublime comparaison : L’autre jour en
& rien n’est plus risible que ce faux poëtique qui donne des noms divins aux plus bas objets, & réunit les sublimités
ye d’après Lucien dans des éloges savans de la danse. Son origine est divine  : elle fut inventée par la déesse Rhéa : son exer
est divine : elle fut inventée par la déesse Rhéa : son exercice est divin , elle fut employée par les Corybantes pour sauver
ille, Moliere, Baron, la Clairon, &c ? Nous ne parlons ici que du divin Shakespear, que les gentilshommes dramatiques met
92 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
comme l’occupation la plus digne de l’homme. Selon lui, c’est un art divin , qu’on ne saurait trop estimer, & qui fait le
s particuliers, mais ils ne la regardèrent jamais comme une invention Divine , de laquelle dépendaient la gloire & le salut
prodiguaient à la Musique. Ecoutons ce singulier raisonnement du divin Platon, il prouve que je n’ai point tort de préte
cieux que tous ceux que je viens de citer. Elle remplit de cet esprit divin qui fait prophétiser ; du moins les Prophètes dem
rneille-Agrippa n’est pas le seul qui ait fait ce reproche au Chantre divin de la Thrace. Saint Augustin, à qui pourtant il e
93 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
reil destin. Dans dix mille ans on chantera avec volupté nos Ariettes divines , nos tendre Romances. Avouons que le genre que no
94 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
pendant cela n’aurait pas été plus impie, que de faire danser l’Amour divin , c’est à dire, le S. Esprit avec des divinités fa
95 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
temps de la pénitence et du carême, de ne faire pas négliger l’office divin  » Ibid. et 2. p. tit. I. cap. 23. §14. [saint Ant
96 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
ettraient aux pratiques religieuses et aux commandements de la morale divine . Je ne m’étendrai donc pas sur les deux sujets in
97 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
e. Ses appas sont célestes, sa splendeur plus qu’humaine, ses regards divins , sa douceur ineffable. Il a pour elle de la dévot
Un cœur se laisse prendre, & ne raisonne pas. De vos regards divins l’ineffable douceur Força la résistance où s’ob
ue la religion enseigne pour vaincre la tentation : De vos regards divins l’ineffable douceur Força la résistance où s’ob
98 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
hesses. Telle est, en abrégé, la morale évangélique, dont l’empreinte divine caractérise la véritable morale chrétienne. Une f
connaître les droits de la raison et étouffer en lui les inspirations divines du simple bon sens. On conçoit difficilement le s
e, fondée sur la justice, fondée sur l’évangile, fondée enfin sur les divins préceptes de Jésus-Christ, qui a dit formellement
99 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
ortable. C'est le langage le plus théâtral substitué à la majesté des divines Ecritures. On n'aurait qu'à rimer la plupart des
s, et de mêler la tendresse de l'amour Romain à l'héroïsme de l'amour divin . Qu'on juge par là s'il est difficile de rendre l
devient particulier : c'est vous qui commandez au-dedans par une loi divine , à laquelle on ne peut résister sans arrogance. Q
100 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE I. Condamnation de la Comédie par la sainte Ecriture, par les Conciles et par plusieurs raisons. » pp. 7-11
rs que le diable leur présente, soient empêchés d’assister au Service Divin  ; et soient détournés de la prière, et de la préd
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