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1 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Approbation qui peut servir de Preface. » pp. -
ion qui peut servir de Preface. J’Ai lû un Ecrit, qui a pour Titre Dissertation Epistolaire sur la Comedie par un Ecclesiastique.
peuvent assister sans pêché mortel. Que tout Chrêtien lise donc cette Dissertation Epistolaire : rien n’y est contraire à la Foi, ni
Tel est mon sentiment, & celui de plusieurs Theologiens, de cette Dissertation . A Bruges le 1. December 1744. A. VAN VYVE Archp
2 (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -
par feu Monseigneur le Prince de Conti, fut imprimé ; L’on publia une Dissertation sur la condamnation des Théâtres, dont les sentim
ltesse avait fidèlement représentée dans son Traité. Encore que cette Dissertation soit très méprisable en elle-même, et qu’elle soi
ur ; on a jugé qu’il était nécessaire de réfuter les erreurs de cette Dissertation . Et j’y ai été engagé par une obligation presque
leurs Acteurs ont été excommuniés, et notés d’infamie. L’Auteur de la Dissertation prétend tout le contraire : et toutes ses preuves
ù il s’ensuit par une conséquence nécessaire, qui détruit celle de la Dissertation , que les Comédies de ce temps doivent être condam
elles tirent leur origine. C’est donc inutilement que l’Auteur de la Dissertation dit dans le premier Chapitre, que les Spectacles
s les ont condamnées pour la même raison. Secondement, L’Auteur de la Dissertation suppose que les Anciens Romains n’ont jamais comp
nom d’Histrions, et de Scéniques. Et c’est en vain que l’Auteur de la Dissertation fait un si long discours de l’impudence des Jeux
t les Tragédies avec leurs Acteurs. En troisième lieu, L’Auteur de la Dissertation suppose que Ars ludicra ne signifie autre chose q
les Lois. Mais il est difficile de comprendre comment l’Auteur de la Dissertation a pu dire que les Comédiens n’ont jamais été noté
xcommuniés, interdits, et manifestement infâmes. Enfin l’Auteur de la Dissertation , après avoir supposé dans le Chapitre XI. que les
ses propres paroles, et marquant la page où elles se trouvent dans sa Dissertation  : et que j’ai donné le nom d’Observations, aux Ré
I. Observation. Réfutation du faux raisonnement de l’Auteur de la Dissertation , d’où il s’ensuivrait que les Jeux, et les Specta
des Dieux. III. Observation. Les exemples que l’Auteur de la Dissertation rapporte dans ce premier Chapitre, lui sont inuti
raient la Religion. IV. Observation. Erreur de l’Auteur de la Dissertation , touchant un Passage de Quintilien qu’il a très m
entendu. V. Observation. Faux raisonnement de l’Auteur de la Dissertation pour avoir confondu les Allégories, et les Mythol
es Temples n’étaient point plus purs que les Théâtres. L’Auteur de la Dissertation a pris l’argument de saint Augustin pour l’opinio
Dans celle-ci l’on fait voir que c’est sans raison que l’Auteur de la Dissertation allègue Tertullien pour appuyer sa proposition, Q
en. Suite de la Réfutation. Où l’on montre que l’Auteur de la Dissertation a falsifié dans sa traduction le texte de Tertull
qui restent encore parmi nous. II. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation ne rapporte pas fidèlement ce que l’Empereur Cons
. III. Réfutation. Erreur, et contradiction de l’Auteur de la Dissertation . IV. Réfutation. Il n’est point vrai que
sont licites en aucun temps. VIII. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation allègue Sidonius Apollinaris, de mauvaise foi.
gnes des Chrétiens. X. Réfutation. Illusion de l’Auteur de la Dissertation , en ce qu’il a pris le Théâtre de la Chapelle du
s ont aussi condamné les Comédiens. Ainsi le titre que l’Auteur de la Dissertation a mis à la tête de ce Chapitre, est entièrement d
le Théâtre pour le gain, en y exerçant l’art des Jeux. L’Auteur de la Dissertation falsifie le texte de l’Edit, en traduisant artis
çaient cette profession pour le gain, étaient infâmes. L’Auteur de la Dissertation se trompe grossièrement en accusant Tertullien d’
rance sur ce sujet. XVI. Réfutation. Erreur de l’Auteur de la Dissertation en ce qu’il prétend sans raison que les Conciles
être défendues. VIII. Réfutation. Illusion de l’Auteur de la Dissertation en ce qu’il prétend que les Hébreux n’ont pas est
ur Religion. IX. Réfutation. Autre illusion de l’Auteur de la Dissertation en ce qu’il s’est imaginé qu’il y avait des Tragé
né les Comédies. XIII. Réfutation. Illusion de l’Auteur de la Dissertation sur un passage de Gaufrédus k , pour avoir ignoré
e citation de Tertullien, qui d’ailleurs est inutile à l’Auteur de la Dissertation  : à qui l’on fait voir évidemment que Tertullien
futation. Excellent passage de Saint Augustin, que l’Auteur de la Dissertation a tronqué, et falsifié ; dans lequel ce grand Doc
ne. Autres passages de Saint Augustin mal entendus par l’Auteur de la Dissertation . V. Réfutation. Lactance condamne les Com
édies des Collèges. V. Réfutation. Illusion de l’Auteur de la Dissertation touchant la réformation des Comédies, et des Trag
s, et des Tragédies. VI. Réfutation. Erreur de l’Auteur de la Dissertation touchant le rétablissement des jeux de Majuma.
nève. Touchant la Comédie. Réfutation d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres. Chapitre p
r Religion ; de sorte qu’il n’était pas nécessaire que l’Auteur de la Dissertation se mît en peine de le prouver : Et je ne me serai
quelques observations sur le premier et sur le second chapitre de sa Dissertation . Pour ôter toute équivoque, il faut remarquer qu
pectacles signifient les lieux qui sont établis pour voir les Jeux. Dissertation pag. 2. « Tous les Jeux, et les Spectacles de
de la Religion Païenne. » Première Observation. L’Auteur de la Dissertation ayant entrepris de montrer que les Spectacles des
urs. Cela étant présupposé, examinons maintenant la proposition de la Dissertation . Nous pouvons prendre pour règle de cet Examen ou
s Philosophes du Paganisme ; ou la croyance du peuple. L’Auteur de la Dissertation déclare dans le 2. chapitre pag. 51. et 52. qu’il
assage tout entier, parce qu’il est tronqué dans ce 1. chapitre de la Dissertation pag. 11. Voici les paroles de Tite-Live « Et hoc,
igion ; il ne sera pas inutile d’examiner encore la proposition de la Dissertation selon la pratique de la Religion Païenne. Exame
la pratique de la Religion Païenne. Examen de la proposition de la Dissertation selon la pratique de la Religion Païenne. Les
a Religion Païenne, nous verrons que la proposition de l’Auteur de la Dissertation n’est nullement soutenable : « Que tous les Jeux
de la Religion. Cela suffit pour faire voir que la proposition de la Dissertation , n’est point absolument véritable. Examinons les
inons les raisons dont l’Auteur prétend se servir pour l’appuyer. Dissertation pag. 3. « Tout y était mystérieux, et sacré,
II. Observation. Voilà tout le raisonnement de l’Auteur de la Dissertation , qui ne prouve rien de ce qu’il s’était proposé d
des personnes illustres, et vénérables ? Comment donc l’Auteur de la Dissertation a-t-il pu conclure de ce raisonnement, que tous l
t pas incompatible avec la plus solennelle partie de la Religion ? Dissertation pag. 20. et 21. « Et quand même ils n’avaient
Tous les exemples qui sont rapportés dans ce premier chapitre de la Dissertation ne peuvent servir qu’à montrer que les Jeux et le
je ne m’y arrêterai pas. Mais parce qu’en cet endroit l’Auteur de la Dissertation nous avertit de remarquer comme une chose notable
te-Live renversent de fond en comble la proposition de l’Auteur de la Dissertation  ; Et s’il y fait réflexion, il n’aura plus sujet
ait plus grande. » Et par conséquent la proposition de l’Auteur de la Dissertation n’est pas véritable, que tous les Jeux et les Spe
rté, il n’y trouvera jamais que la condamnation de sa proposition. Dissertation pag. 34. « Qu’il demeure donc pour constant q
non pas de simples divertissements : En ce sens la proposition de la Dissertation est véritable ; parce qu’il n’y avait point de Je
comme nous l’avons montré dans ce discours. » Chapitre II de la Dissertation . Que la représentation des Comédies et Tragédies
œurs, ainsi que nous le prouverons dans les observations suivantes. Dissertation pag. 39. et 40. « La Comédie et la Tragédie c
plaisaient au Peuple. » I. Observation. Ce que l’Auteur de la Dissertation dit en cet endroit, étant fidèlement rapporté suf
qu’il les condamnait comme des choses très pernicieuses au public. Dissertation pag. 43. « Et chez les Romains il y avait tou
cte de religion, que de les sacrifier à Vulcain, et de les brûler. Dissertation pag. 44. et 45. « Et Valère dit « Excogitata
nner du plaisir aux hommes. » III. Observation. L’Auteur de la Dissertation est malheureux en citations ; car il nous fournit
ore en cet endroit, parce qu’il est tronqué dans ce 2. chapitre de la Dissertation . « Après avoir parlé, dit Valère « Proximus mili
oyens, que les Spectacles monstrueux de la Scène font répandre. » Dissertation . pag. 47. « Quant à la célébration de ces Jeu
ctuaire. » IV. Observation. Je ne pense pas que l’Auteur de la Dissertation eut Quintilien devant les yeux, lorsqu’il lui a f
ci les paroles de Quintilien dans l’endroit qu’allègue l’Auteur de la Dissertation « Quibusdam videtur esse nonnunquam de jucunditat
ien qui en soit plus éloigné, que ce que lui fait dire l’Auteur de la Dissertation  ? Quintilien dit que celui qui voudrait persuader
dre un honneur aux Dieux que d’instituer des Jeux : Et l’Auteur de la Dissertation fait dire à Quintilien, « Que la célébration des
emple où l’on fait des Jeux à l’honneur des Dieux ; et l’Auteur de la Dissertation lui fait dire : « Que c’est un sentiment de Relig
Omnis deliberatio de dubiis est. » Quintil. Ibidem. ») l’Auteur de la Dissertation veut que ce soit le sentiment constant de Quintil
méchant qu’il soit, qui veuille passer pour tel ». Si l’Auteur de la Dissertation avait lu avec attention ce que Quintilien décrit
ût un Temple, ou un Sanctuaire, selon l’imagination de l’Auteur de la Dissertation . Dissertation pag. 51. 52. et 53. « En qu
n Sanctuaire, selon l’imagination de l’Auteur de la Dissertation. Dissertation pag. 51. 52. et 53. « En quoi certes il ne fa
était des actes de révérence. » V. Observation. L’auteur de la Dissertation n’est pas plus heureux dans ses raisonnements, qu
de révérence, et de religion. Et c’est sans raison que l’Auteur de la Dissertation a recours aux allégories, et aux mythologies, pou
phes admet, lorsqu’ils traitent des choses divines. » L’Auteur de la Dissertation peut reconnaître par là combien son raisonnement
la 1. Observation sur le 1. chapitre.. Ce qui a trompé l’Auteur de la Dissertation , c’est qu’il a confondu les allégories, et les my
pas des actes de révérence, comme prétend sans raison l’Auteur de la Dissertation  ; mais c’étaient au contraire des irrévérences co
ouve la fabuleuse, il faut aussi improuver la civile. L’Auteur de la Dissertation pourra donc apprendre de Varron et de S. Augustin
eux, quand même ils auraient été vertueux. » Chapitre III de la Dissertation . Que les anciens Pères de l’Eglise défendirent a
gneur le Prince de Conti a composé de la Comédie et des Spectacles. Dissertation . « Puisqu’il est indubitable que tous les Jeu
ds personnages du paganisme, pour détruire cette erreur populaire. Dissertation pag. 57. « Il ne fallait point lors distingue
nités, et les mêmes mystères. » II. Observation L’Auteur de la Dissertation veut qu’on l’en croie sur sa parole. Mais il s’es
purs que les Théâtres ; de sorte qu’il est évident que l’Auteur de la Dissertation a pris l’argument de S. Augustin pour l’opinion d
exandrie, et leur faisait souffrir les tourments du feu et du fer. Dissertation . pag. 61. « Mais le fondement général que Ter
n avant. » Réfutation. Lorsque j’ai remarqué les erreurs de la Dissertation en ce qui regarde le Paganisme, je me suis conten
sur ce qui m’a paru digne d’être repris. Mais comme les erreurs de la Dissertation concernent maintenant la Religion Chrétienne, les
ses profanes. Après que dans les Chapitres précédents l’Auteur de la Dissertation s’est efforcé en vain de prouver par le témoignag
pag. 61. ». Il n’y a personne qui lise ces paroles de l’Auteur de la Dissertation , qui ne s’attende de voir en termes exprès dans c
n seul mot, comme il paraît par la lecture de ce qu’il en allègue. Dissertation pag. 61. et 62. etc. « Et voici comme Tertull
n. » » Suite de la Réfutation. Voilà tout ce que l’Auteur de la Dissertation rapporte de Tertullien : où nous voyons bien qu’i
mportante raison qu’on puisse mettre en avant », selon l’Auteur de la Dissertation . Mais pourquoi a-t-il falsifié le texte de Tertul
tie de la Religion païenne. C’est donc sans raison que l’Auteur de la Dissertation dit que « le fondement général que prend Tertulli
est célébrer les fêtes des Dieux avec les Païens. Chap. IV de la Dissertation . Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne
endue par la raison des anciens Pères de l’Eglise. L’Auteur de la Dissertation veut dire que les anciens Pères de l’Eglise ayant
e corrompt les bonnes mœurs, comme nous le ferons voir en son lieu. Dissertation pag. 89. « Il ne faut point trouver étrange q
es ni de prétextes. » Réfutation. Il semble que l’Auteur de la Dissertation n’ait jamais ouï parler des restes de l’Idolâtrie
la superstition des Païens. Selon le raisonnement de l’Auteur de la Dissertation l’Eglise n’aurait pas dû défendre, et ne devrait
étaient enfermées dans l’amphithéâtre. » Je demande à l’Auteur de la Dissertation , si en l’an 1444. l’an 1572. l’an 1614. les Spect
doivent à l’autorité de l’Eglise, de dire, comme fait l’Auteur de la Dissertation , contre les paroles expresses du 3. Synode de Mil
s anciens Pères de l’Eglise contre les Spectacles ; Et l’Auteur de la Dissertation dit que ces raisons ne sont plus maintenant consi
le Chrétien des maux et des afflictions publiques ; et l’Auteur de la Dissertation soutient qu’on a tort de s’opiniâtrer à détruire
conséquence plus juste et plus certaine ? Et néanmoins l’Auteur de la Dissertation dit en l’air, que c’est tirer de fausses conséque
olâtrie, comme le Synode de Milan le déclare. Que l’Auteur donc de la Dissertation reconnaisse que l’on détruit un plaisir public, i
sance ? Celui qui a ce sentiment se trompe fort. » Que l’Auteur de la Dissertation considère ces paroles de Tertullien qu’on ne saur
en ont eux-mêmes pour la sainteté de leur Religion. Si l’Auteur de la Dissertation avait bien lu le livre des Confessions de S. Augu
ais pour but que de plaire aux hommes. » Et sur ce que l’Auteur de la Dissertation ajouteDissert. pag. 92. « que les remerciements d
et on bénit le méchant à cause de ses méchancetés. » L’Auteur de la Dissertation ne doit pas s’imaginer qu’à cause que S. Augustin
qu’ainsi cette condamnation les rend infâmes. » Enfin l’Auteur de la Dissertation est si peu heureux en sa doctrine, que tout ce qu
irez l’iniquité, et vous étoufferez toute la peste de la ville. » Dissertation pag. 93. 94. et 95. « Il me souvient de ce qu
le beau récit des Acteurs. » II. Réfutation. Si l’Auteur de la Dissertation se fût bien souvenu de tout ce que rapporte Eusèb
ets d’opprobre, de mépris, et de risée ; puisque selon l’Auteur de la Dissertation , « Le Cirque et le Théâtre étaient aussi religieu
es Chrétiens ; Voici les paroles d’Eusèbe, qui sont tronquées dans la Dissertation « Ista omnia Imperator ad salutaris Dei gloriam i
t dans les Observations précédentes. L’application que l’Auteur de la Dissertation fait ensuite de cette action de l’Empereur Consta
es palais des Rois. D’ailleurs dans la comparaison que l’Auteur de la Dissertation fait des statues et des Comédies, il semble qu’il
verons encore plus au long en son lieu. Quant à ce que l’Auteur de la Dissertation ajouteDissertation pag. 95., « qu’on regarde seul
fort, non pas dans les corps ; mais dans les mœurs des hommes. » Dissertation pag. 96. et 97. « Pourquoi voudrait-on traite
sques au règne des Comnènes. » III. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation tombe dans une contradiction manifeste : car il d
ait mourir plus de vertus que de victimes, etc. » » Et l’Auteur de la Dissertation , après avoir rapporté plusieurs semblables témoig
quelque part à l’Idolâtrie. » Ces Conciles qu’allègue l’Auteur de la Dissertation dans le 3. Chapitre, au moins le Concile 3. de Ca
ais de plus visible ; de sorte que nous pouvons dire à l’Auteur de la Dissertation ce que disait autrefois Cicéron à Atticus « Pugna
de l’Empereur Constantius après celui de Constantin, quoique dans la Dissertation il ne soit rapporté qu’après celui d’Arcadius et
té qu’après celui d’Arcadius et d’Honorius, je ne sais pourquoi ? Dissertation . pag. 98. « Constantius donna dans Arles les
ence Ammian. Marcell. l. 14.. » IV. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation ayant mis en avant, queDissert. pag. 97. « l’Empe
l’Empereur Constans. » Secondement la conséquence que l’Auteur de la Dissertation prétend tirer de ces exemples, est très fausse :
, dit-il, mes yeux, afin qu’ils ne regardent point la vanité. » ». Dissertation pag. 97. « Le grand Théodose après ses victoi
qui mourut peu de jours après. » V. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation a pris de Socrate, et de Sozomène ce qu’il rappor
ub ipso quam deinceps exercitum est. » Zozim. lib. 4., l’Auteur de la Dissertation n’aurait-il point de honte de dire que ces Specta
e des Princes, ni pour honorer les Empereurs. » Enfin l’Auteur de la Dissertation apprendra de S. Chrysostome, qu’il n’y a rien de
aient dignes des Chrétiens, sous le règne de l’Empereur Théodose ? Dissertation pag. 97. et 98. « Les Empereurs Honorius, et
r aucune superstition impie. »  VI. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation ne pensait pas à ce qu’il écrivait, quand pour pr
ereur Honorius étant à Padoue publia la loi qui est rapportée dans la Dissertation , et dont le titre qui est de Paganis, au Code, fa
règne d’Arcadius, et d’Honorius, qu’il n’y a que le seul Auteur de la Dissertation qui l’ait pu ignorer ; C’est toutefois ce qu’il p
aient assister sans participer à leur superstition. Si l’Auteur de la Dissertation eût considéré toutes ces choses, il n’aurait jama
aient dignes des Chrétiens sous le règne d’Arcadius et d’Honorius. Dissertation pag. 99. « Et les Empereurs Chrétiens, Gratie
, de Pâques et de Pentecôte. » VII. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation allègue ici trois lois ; la première des Empereur
fait, ils les interdisaient au moins en ce saint jour. L’Auteur de la Dissertation prétend conclure de là qu’ils étaient donc licite
soumission, et le service qui est dû à sa grandeur. » L’Auteur de la Dissertation prétend inférer de cette loi, que les Spectacles
. Cela détruit sans doute tout ce faux raisonnement de l’Auteur de la Dissertation  : « Les Empereurs n’ont défendu les Spectacles qu
u Proconsul d’Afrique Apollodore, l’an 399. qui est rapportée dans la Dissertation pag. 98. et 99. et dont nous avons parlé dans la
dans les lieux sacrés. » Nous voyons donc par là que l’Auteur de la Dissertation ne pouvait pas se méprendre davantage, que de se
t admis à recevoir le Baptême. » D’où il s’ensuit que l’Auteur de la Dissertation n’a pu dire sans erreur, que sous le Règne de Léo
rs de Salvien nous fait voir combien la proposition de l’Auteur de la Dissertation est fausse, que Constantin retrancha des Spectacl
ber dans toutes sortes de crimes. Mais la passion qu’a l’Auteur de la Dissertation pour les spectacles, l’a tellement aveuglé qu’il
témoignage de Saint Chrysostome, disaient, comme fait l’Auteur de la Dissertation  : Puisque les Lois ne défendent les Spectacles qu
rtins, et des Païens, qui est aussi le raisonnement de l’Auteur de la Dissertation . Mais voici la réponse de S. Chrysostome, qui est
étoufferez toute la peste de la ville. » Enfin, comme l’Auteur de la Dissertation semble ignorer la raison pour laquelle les Empere
on gouvernement de l’Etat, et la sûreté de ceux qui commandent. » Dissertation pag. 99. et 100. « Sidonius Apollinaris Evêqu
tation. Je ne sais si dans cet exemple que rapporte l’Auteur de la Dissertation , il n’a point eu dessein de tromper le monde ; ou
que, et dans les dignités du siècle. Et quand ensuite l’ Auteur de la Dissertation ajoute, que « Sidonius ne trouve point étrange qu
Cererem, Palem, Minervam. » Sidon, Carmen. 23. ». Mais l’Auteur de la Dissertation devait reconnaître que tout ce que dit Sidonius d
aucun ordre dans l’Eglise. Je ne vois donc pas comment l’Auteur de la Dissertation a pu tirer de là une conséquence aussi fausse que
ui puisse blesser la gravité que doit garder un Ecclésiastique. » Dissertation pag. 100. « Au sacre de Baudouin, Empereur d’
. Pour faire voir la fausseté de la conséquence que l’Auteur de la Dissertation prétend tirer de cet exemple, de même que des pré
ndres fut élu Empereur d’Orient. Car au lieu que selon l’Auteur de la Dissertation , Baudouin à son Sacre renouvela dans Constantinop
scours, et actions sales, et lascives. » Je demande à l’Auteur de la Dissertation laquelle de ces deux actions est digne du Christi
l’abolition des spectacles du Théâtre. Quant à ce que l’Auteur de la Dissertation ajoute que depuis « au mariage d’Henri frère de B
x qui les représentent. » Voilà tout ce qu’a rapporté l’Auteur de la Dissertation pour tâcher de prouver sa proposition : « Que l’E
rescrit détruit entièrement la fausse conséquence que l’Auteur de la Dissertation prétend tirer des Lois qu’il a alléguées ci-dessu
Séville, ne renverse pas moins le faux raisonnement de l’Auteur de la Dissertation . « Un Chrétien, dit-il « Nihil debet esse Christi
. En voilà, ce me semble, assez pour faire connaître à l’Auteur de la Dissertation , que depuis le règne de l’Empereur Constantin jus
ujours condamné les Spectacles comme étant indignes des Chrétiens. Dissertation pag. 100. 101. etc. 102. « Et sans rechercher
ation. Voici une plaisante illusion. Il fallait que l’Auteur de la Dissertation eût la tête bien pleine des idées des Spectacles,
tc. ». C’est, dis-je, comme si en lisant ces paroles, l’Auteur de la Dissertation s’était imaginé qu’on avait élevé un Théâtre au m
la Science du beau monde aux veilles du Cabinet, comme l’Auteur de la Dissertation le dit lui-même dans l’avis au LecteurDissertatio
x à la sainteté du Souverain Pontife ? En quel endroit l’Auteur de la Dissertation a-t-il trouve qu’il y ait jamais eu à Rome un Thé
détruit de lui-même. Il faut néanmoins ajouter ici que l’Auteur de la Dissertation se trompe d’ordinaire dans ses citations, car rap
st certain que Baronius la réfute telle qu’elle est rapportée dans la Dissertation , comme étant fabuleuse « Cette célèbre histoire,
y a insérées. » Je ne m’étonne pas de cet égarement de l’Auteur de la Dissertation  ; parce qu’il nous avertit dans l’Avis au lecteur
isent de fond en comble tous les faux raisonnements de l’Auteur de la Dissertation , qui sont les mêmes qu’étaient autrefois ceux des
la superstition Païenne. Car ils disaient, comme fait l’Auteur de la Dissertation , « Ces spectacles ont été célébrés sous des Emper
ussi ce que nous opposons aux objections semblables de l’Auteur de la Dissertation . Telle est encore aujourd’hui la conduite des Pap
re de nouvelles ordonnances, à se régler lui-même sur ce sujet. » Dissertation Chapitre V. De l’impudence des Jeux Scénique
tissement Sur ces quatre Chapitres 5. 6. 7. et 8. L’Auteur de la Dissertation ayant parlé dans les précédents chapitres des jeu
t les Histrions, ou Bateleurs. I. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation n’ignorait pas que les Comédiens sont compris sou
s, des Comédiens, des Joueurs de Tragédies, etc., dont l’Auteur de la Dissertation a fait quatre grands chapitres, ne lui sert de ri
re, comme nous l’allons faire voir dans les Réfutations suivantes. Dissertation pag. 187. 188. etc. « Il est certain que la
ivilèges de leur République. » II. Réfutation L’Auteur de la Dissertation ne saurait rapporter une vérité sans l’altérer ;
onnes infâmes, ceux qui en étaient les Acteurs ». Mais l’Auteur de la Dissertation ajoute du sien, « qu’il est certain que la Républ
lent aux Comédies, ni aux Tragédies. » Quant à ce que l’Auteur de la Dissertation dit ensuiteDissert. pag. 88. et 89., que « les pr
pour traiter de la paix. » C’est donc sans raison que l’Auteur de la Dissertation dit que les Comédiens, et les joueurs de Tragédie
agédies, et par conséquent n’estimaient pas autant que l’Auteur de la Dissertation se l’imagine, ceux qui les représentaient dans At
nt, ceux qui représentaient des choses contraires à leurs Lois. » Dissertation . pag. 191. et 192. « Mais parmi les Romains,
le Théâtre. » III. Réfutation. On peut dire de l’Auteur de la Dissertation ce que disait autrefois un Poète Comique de ceux
Apost.. Voilà un raisonnement aussi juste que celui de l’Auteur de la Dissertation est faux : il n’était pas nécessaire qu’il prît t
ens de remarquer, font assez voir que l’ignorance, que l’Auteur de la Dissertation attribue à ses adversaires, retombe sur lui. Néan
u’il ne lui reste plus qu’à examiner les raisons qu’on lui oppose. Dissertation pag. 193. 194. et 195. « Examinons quelques t
sur le Théâtre artis ludicra causa. Que répond à cela l’Auteur de la Dissertation  ? Il traduit ainsi ces mots, artis ludicra causa,
udicram, l’art des Bouffons et des Comédiens. » Et si l’Auteur de la Dissertation se fût souvenu de la lecture qu’on fait de Valère
nt excepté par la loi. Mais il n’est fait mention, dit l’Auteur de la Dissertation par une suite d’erreurDissertation pag. 194. ; « 
r de plus exprès pour détruire entièrement tout ce que l’Auteur de la Dissertation avance ici sans aucune preuve, que ce que Quintil
saire d’apporter toutes ces autorités, pour convaincre l’Auteur de la Dissertation , s’il eût rapporté la loi toute entière ; car voi
r la Scène pour en tirer de l’argent, sont infâmes. » L’Auteur de la Dissertation peut-il nier que les Comédiens, et les Joueurs de
u’il soit déposé, et si c’est un laïque, qu’il soit excommunié. » Dissertation pag. 195. « Aussi quand les Empereurs Dioclét
t rendu les Majeurs infâmes. » V. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation s’est abusé pour n’avoir pas compris la significa
e paraître sur la Scène. » C’est donc mal à propos que l’Auteur de la Dissertation dit sans preuve, et sans raison, que dans la loi
. semper ff. de regul. jur. ; comme nous l’avons marqué ci-dessus. Dissertation pag. 196. « C’est encore avec moins de raison
Acteurs du Poème Dramatique. » VI. Réfutation L’Auteur de la Dissertation a tronqué cette loi pour se faire une objection i
, sont infâmes. Majole et Pierre Grégoire disent la même chose. » Dissertation pag. 197. « Et Justinien permet aux femmes L.
vons encore par les paroles suivantes de cette loi que l’Auteur de la Dissertation a omises ; Car la loi dit « His qui eis conjungen
les soient excommuniées. » C’est donc sans raison que l’Auteur de la Dissertation prétend « que l’infamie ne s’était point étendue
ou ait exercé cet art. » Enfin quoique en puisse dire l’Auteur de la Dissertation , les Comédiens ont si bien reconnu eux-mêmes, que
leur accorder une Déclaration pour les relever de cette infamie. Dissertation pag. 198. «  Les lois condamnent la fille d’
VII. Réfutation. La traduction de ces lois est falsifiée dans la Dissertation  : car ars ludicra ne signifie pas seulement l’art
édies font, aussi bien que les autres jeux. D’ailleurs l’Auteur de la Dissertation pouvait apprendre d’Hotoman, célèbre Jurisconsult
des bouffons ; mais aussi l’art des Comédiens selon Hotoman. » Dissertation pag. 199. « Et quand les Empereurs Théodose e
rnant les Poèmes Dramatiques. » IX. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation m’oblige souvent de le renvoyer à la lecture de s
n encore où les bêtes combattent contre les hommes. » L’Auteur de la Dissertation prétend que ludi Theatrales, les jeux du Théâtre
sont séparés ; et par conséquent c’est sans raison que l’Auteur de la Dissertation prétend sans aucune preuve, que ludi Theatrales,
s dans la 1. Réfutation de ce 9. Chapitre ; Et partant l’Auteur de la Dissertation prétend mal à propos, que « ces lois ne disent pa
âtre, et de la Scène. Le raisonnement que fait ensuite l’Auteur de la Dissertation , est plaisant : il veut prouver que les Comédies
cette infamie avec plus de hardiesse ? » Je demande à l’Auteur de la Dissertation s’il estime qu’un mari ait sujet d’être bien sati
à rire, où l’on ne voit que des exemples d’ordure et d’infamie. » Dissertation pag. 200. et 201. « Quand Tacite écrit que Né
nses malhonnêtes. » X. Réfutation. En vérité l’Auteur de la Dissertation se moque du monde, d’assurer avec tant de hardies
-ce pas blâmer Néron d’avoir récité des Tragédies sur le Théâtre ? Dissertation pag. 202. « C’est pourquoi Emilius Probus « P
C’est une suite de l’illusion dans laquelle est tombé l’Auteur de la Dissertation , pour n’avoir pas compris que ces mots, Prodire i
passage de Probus tout entier, pour faire voir combien l’Auteur de la Dissertation s’est trompé. « C’était, dit-il« Magnis in laudib
, pour être exclus de leurs Tribus. » Ce qui a trompé l’Auteur de la Dissertation , est qu’il n’a pas compris que ces mots, prodire
n’y avait que lui seul qui fût digne de paraître sur la scène ». Dissertation pag. 203. « Ainsi Tertullien appelle les Mime
» XII. Réfutation. Certes c’est avec raison que l’Auteur de la Dissertation commence à se défier, quoique trop tard, de sa mé
hapitre. Cela est si évident que je ne doute point que l’Auteur de la Dissertation n’en demeure lui-même d’accord, et qu’il n’avoue
ure précipitée lui en a ôté la connaissanceDissertation pag. 203.. Dissertation pag. 203. 204. 205. 206. et 207. « Mais pour
pouvoir avancer que de faux raisonnements, comme fait l’Auteur de la Dissertation en cet endroit ; car « voici toutes ses démonstra
s Atellanes. Voilà une démonstration infaillible selon l’Auteur de la Dissertation  ; mais ce n’est qu’un faux raisonnement selon tou
cteur de Comédie étaient très habiles en cet art ». Et l’Auteur de la Dissertation ne peut rejeter le témoignage de ce grand homme,
aussi. Peut-on plus mal raisonner ? Il faut avouer que l’Auteur de la Dissertation n’est pas moins malheureux dans son raisonnement,
19.. Cela suffit pour détruire le faux raisonnement de l’Auteur de la Dissertation  ; et pour faire voir que le passage de Valère Max
encore montrer qu’il a mal entendu Valère Maxime. Car l’Auteur de la Dissertation suppose que Valère Maxime parle généralement de t
ies, et de Tragédies. Ces preuves sont si solides, que l’Auteur de la Dissertation n’y a pu opposer qu’un faux raisonnement ; soit d
matiques, n’ont jamais eu l’intelligence du Théâtre des Romains ». Dissertation pag. 208. et 209. « Et Macrobe soutient « Hi
du Théâtre. » XIV. Réfutation. La défiance que l’Auteur de la Dissertation témoignait de sa mémoire, et de sa lecture précip
ir des Acteurs de Tragédies, et de Comédies, ainsi que l’Auteur de la Dissertation le reconnaît ; elles ne se peuvent aussi entendre
Théâtre pour le gain et pour le profit. Quant à ce que l’Auteur de la Dissertation ajouteDissert. pag. 203., « que dès l’âge de Macr
que l’on peut dire avoir été alors en son éclat, comme l’Auteur de la Dissertation le reconnaît lui-mêmeDissert. pag. 206., donne au
à mettre l’éloge d’un Histrion parmi ceux de ces grands hommes. » Dissertation pag. 210. 211. et 212. « Nous pouvons prendre
XV. Réfutation. Je ne m’arrête point sur ce que l’Auteur de la Dissertation traduit mal à son ordinaire ces mots Ars ludicra,
nt l’art de représenter les Jeux ; l’induction donc de l’Auteur de la Dissertation , est visiblement fausse. Quant à la raison pour l
int. Cela suffit pour détruire le faux raisonnement de l’Auteur de la Dissertation . Mais il est juste de réparer l’injure qu’il a fa
ls de ces mêmes lois. » Et moi je dis en passant, que l’Auteur de la Dissertation n’allègue pas fidèlement les paroles de Tertullie
ligence des lois Romaines de son temps, mais que c’est l’Auteur de la Dissertation qui s’est grossièrement abusé lui-même ; pour avo
répondu, qu’ils n’étaient point estimés infâmes. » Si l’Auteur de la Dissertation n’avait pas ignoré ces choses, il se serait bien
il se fût trompé sur une matière qui était si connue de son temps. Dissertation pag. 212. et 213. « Aussi quand les Conciles
arlé suivant cette doctrine. » XVI. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation veut que les Conciles aient parlé de l’infamie du
à cette illusion, examinons par condescendance ce que l’Auteur de la Dissertation veut dire. Il prétend que les Conciles n’ont poin
qu’ils soient chassés et retranchés de l’Eglise. » Si l’Auteur de la Dissertation avait lu les Conciles d’Arles, il y aurait aussi
jeux. » Que si le témoignage de Budé ne suffit pas à l’Auteur de la Dissertation , pour lui faire avouer que les Athlètes divertiss
es ne seraient-ils plus en usage parmi les Chrétiens ? L’Auteur de la Dissertation oserait-il dire, que l’Eglise ait eu moins de soi
e la tête, et se répand sur les membres. » Il faut que l’Auteur de la Dissertation soit bien aveugle, si ce passage de Pline ne lui
gédien fût aussi honnête, que se l’imagine sans raison l’Auteur de la Dissertation  ? « Que personne, dit ce Concile « Sed neque quis
e la contagion de ces infâmes spectacles. » Enfin, si l’Auteur de la Dissertation , qui demeure à Paris, assiste quelquefois au Prôn
. Pères ne sont pas plus favorables que les Conciles à l’Auteur de la Dissertation . Dissertation pag. 213 et 214. « Saint A
plus favorables que les Conciles à l’Auteur de la Dissertation. Dissertation pag. 213 et 214. « Saint Augustin n’étend poi
s le livre 2. de la Cité de Dieu, chap. 13. et 27. dit l’Auteur de la Dissertation , ne parle que de l’infamie des Mimes, et Farceurs
ains qui les notaient d’infamie. D’où il s’ensuit, que l’Auteur de la Dissertation s’est fort trompé, en traduisant, artem ludicram
pporte des exemples dans le chapitre 10. Enfin lorsque l’Auteur de la Dissertation dit, que ludi scenici ne signifient pas les jeux
lus dévotement, qu’ils étaient célébrés honteusement ; l’Auteur de la Dissertation ajoute immédiatement : Et toute la ville voyait,
ans la 3. Oraison contre Catilina, comme Vivès, auquel l’Auteur de la Dissertation nous renvoie, l’a remarqué. Voici les paroles de
quand même S. Augustin ne parlerait en ce passage que l’Auteur de la Dissertation allègue, que des Jeux de Flore ; il est certain q
ortes de jeux qui  donnent du plaisir aux yeux et aux oreilles. » Dissertation pag. 215. « Et pour dire en passant un mot du
médies, quoiqu’ils ne fassent point de farces. » Ainsi l’Auteur de la Dissertation s’est fort trompé quand il dit ; « que si l’on p
ME IMPUDENCE des Jeux Scéniques et des Histrions fut condamnée. Dissertation pag. 216. 217. et 218. « Après l’éclaircissem
l’exercice un art efféminé. » I. Réfutation. Si l’Auteur de la Dissertation s’était arrêté à prouver la proposition qu’il a a
e quelqu’un de vos dieux. » C’est donc sans raison que l’Auteur de la Dissertation dit que « nous ne voyons pas en cet endroit de Mi
ant celles de Ménandre ? Il n’est donc pas vrai, comme l’Auteur de la Dissertation s’imagine, que la juste censure des premiers Doct
glise ne regardait point les Acteurs de Comédies, et de Tragédies. Dissertation pag. 219. « Et si Tertullien dit Tertull. lib
ns aucun reste de pudeur. » »   II. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation se moque du monde, de débiter continuellement de
n, puisse alléguer de bonne foi ce passage tel qu’il est cité dans la Dissertation , pour montrer que Tertullien ne condamne que les
entent. » Il est donc difficile de comprendre comment l’Auteur de la Dissertation a eu la hardiesse de dire que Tertullien n’a poin
Comédies, dans l’endroit même où il les condamne en termes exprès. Dissertation pag. 220. « Aussi lorsque saint Cyprien inter
re saint Cyprien ne parle que des Histrions bouffons ; l’Auteur de la Dissertation le dit sans preuve et sans raison. Cette Epître d
rien écrit à Donat, suffit pour convaincre d’imposture l’Auteur de la Dissertation . Car peut-on condamner plus expressément les Trag
ont cessé d’être des crimes, et elles deviennent des exemples. » Dissertation pages 221. et 222. « Saint Chrysostome fut un
. Réfutation. Voilà bien des propos hors de propos. L’Auteur de la Dissertation s’est engagé de prouver, que S. Chrysostome ne co
es honteuses et dissolues, qui empêchent la conversion des âmes. Dissertation pag. 223. « Saint Cyrille ne crie que contre
tes sortes de spectacles, et toutes les autres vanités semblables. Dissertation pag. 223. « Saint Basile s’explique de la mêm
us l’avons expliqué ci-dessus. » VI. Réfutation L’Auteur de la Dissertation ne devait pas ignorer que les Chœurs des Tragédie
Bullangerus lib. 2. de Theatro, cap. 12.. Mais comment l’Auteur de la Dissertation a-t-il pu s’imaginer que S. Basile ne condamnait
nnerons à la Scène toutes ces ordures, et toutes ces impuretés. » Dissertation pag. 223. « Et Clément Alexandrin ayant touch
ent les paroles de Clément d’Alexandrie, pour voir que l’Auteur de la Dissertation n’a nulle raison de dire que ce grand homme ne co
onnêteté prescrite par la loi de Dieu. » Je demande à l’Auteur de la Dissertation , s’il estime que Jésus-Christ nous conduise à la
qui est agréable, à ce qui est plus honnête et plus avantageux. » Dissertation pag. 224. « Et ce que l’on ne doit pas oublie
 » VIII. Réfutation. La lecture précipitée de l’Auteur de la Dissertation lui fournit assez souvent des illusions ; En voic
uvert de ténèbres pendant trois jours. » Secondement l’Auteur de la Dissertation devait avoir appris de Josèphe, que les Hébreux é
recouvra la vue. » Il n’est donc pas vrai, comme dit l’Auteur de la Dissertation , que les Hébreux n’aient pas estimé les Poèmes Dr
avertir de ne pas oublier l’illusion qu’il débite en cet endroit. Dissertation pages 224. et 225. « Mais les Auteurs du Talm
es. » IX. Réfutation. Cette prétendue preuve de l’Auteur de la Dissertation est digne du sujet qu’il traite. Il appuie la déf
l suffit donc de dire, que ce qui est ici rapporté par l’Auteur de la Dissertation , est une fable sans nous y arrêter d’avantage ; j
 » Horatius de arte Poëtica. « Successit vetus his Comœdia. » . Dissertation page 225. « C’est encore avec cette même dist
mes et les danses de la Scène. » X. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation a-t-il cru pouvoir trouver des Lecteurs si persua
nt réprouvé, et d’ailleurs ne contenant rien de tout ce qu’il dit. Dissertation pag. 225. et 226. « Et quand on a mis entre l
C’est ici une manifeste pétition de principe ; car l’Auteur de la Dissertation suppose pour vrai ce qui est en question, ou plut
e Canon Donare, tiré de S. Augustin. » Quant à ce que l’Auteur de la Dissertation ajoute, que le terme d’Histrion ne s’étend qu’aux
qu’ils jouent, offensent Dieu selon les sentiments de S. Augustin. Dissertation pag. 226. « Le Concile de Milan ordonne bien
s été traités de même sorte. » XII. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation a de mauvais mémoiresad ; car le 1. Concile de Mi
ites, parce qu’elles sont défendues. » Quant à ce que l’Auteur de la Dissertation ajoute, que les Acteurs de Comédies, et de Tragéd
Philippe II. et Philippe IV. les ont chassés de tous leurs Etats. Dissertation pag. 227. « La Province d’Auvergne prétend av
estimées, ou condamnées. » XIII. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation se plaît fort aux illusions. Il a lu dans les not
eurs en Auvergne, et que dicuntur inventores. Aussitôt l’Auteur de la Dissertation s’est imaginé que ces paroles et dicuntur invento
t pas en état d’être estimées ou condamnées, ainsi que l’Auteur de la Dissertation le prétend ; mais même il faut avouer que nos Thé
mnant les pièces de ces Histrions ont aussi condamné les Comédies. Dissertation pag. 228. « Et lorsque Salvien prépare ce gra
ux Tragédiens, et Comédiens. » XIV. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation a fait ici deux fautes ; l’une pour n’avoir pas e
itre XI.  QUE LES POEMES DRAMATIQUES n’ont point été condamnés. Dissertation . « C’est donc ainsi que les Chrétiens ont ful
Réfutation. J’ai montré dans la 1. Réfutation du 9. chapitre de la Dissertation que Cicéron et S. Augustin donnent aux Acteurs de
ans la 1. observation sur le Chapitre 2.1. Observat. in cap. 2. de la Dissertation , j’ai fait voir que Solon condamna les Tragédies
es Théologiens jusques à notre temps. Il faut donc que l’Auteur de la Dissertation reconnaisse qu’il n’a jamais eu plus de sujet de
té d’avancer que les Poèmes dramatiques n’ont point été condamnés. Dissertation page 230. « Tertullien le plus austère de tou
e, car dans le traité des spectacles qui est allégué à la marge de la Dissertation , on ne trouve point ces paroles : « Comœdia et Tr
cles des anciens ». Mais d’ailleurs je ne vois pas que l’Auteur de la Dissertation en puisse tirer quelque avantage ; parce qu’il es
erat, id est , dit S. Thomas, minus malum. » Ce que l’Auteur de la Dissertation ajoute ensuite, que Tertullien n’a point condamné
mme suffit pour détruire de fond en comble tout ce que l’Auteur de la Dissertation prétend prouver, et qui se réduit à deux points :
es. Après cela il est difficile de comprendre comment l’Auteur de la Dissertation a pu avoir la hardiesse de dire que Tertullien ne
e de dire que Tertullien ne condamne point les Poèmes Dramatiques. Dissertation pag. 231. « Et nous pouvons bien observer la
Farceurs. » III. Réfutation. Je puis dire ici à l’Auteur de la Dissertation ce que disait autrefois S. Cyprien à des personne
contraire, bien loin de blâmer seulement ce qu’allègue l’Auteur de la Dissertation , dit qu’outre l’Idolâtrie, dont les Comédies, et
tion. » Cet usage perpétuel de l’Eglise détruit entièrement toute la Dissertation . Après cela que son Auteur crie tant qu’il voudra
et excommuniés. C’est une affaire jugée, il ne faut plus chicaner. Dissertation pages 232. et 233.  « Ce qu’il y a de plus to
e qu’ils prétendent prouver. C’est ce qui paraît en cet endroit de la Dissertation , dans la citation de deux passages de S. Augustin
er, il est visible que ce passage tel même qu’il est rapporté dans la Dissertation , détruit ce que l’Auteur qui l’allègue, s’était p
n y représente » : Car il y a dans le texte, qui est falsifié dans la Dissertation , multa rerum turpitudine ? Quant à ce que S. Augu
aisirs. » Mais revenons au passage de S. Augustin que l’Auteur de la Dissertation a tronqué et falsifié en trois endroits : Voici l
dans les arts que l’on nomme honnêtes et libéraux. » L’Auteur de la Dissertation a tronque ces deux mots très importants scenicoru
iques, parce qu’ils détruisent presque tout ce qu’il a avancé dans sa Dissertation  ; car ces mots font voir que les Comédies et les
dont ils ont aussi note d’infamie les Acteurs. Mais si l’Auteur de la Dissertation avait rapporté la suite des dernières paroles du
souillées, des mêmes vices, ne l’eussent souffert. » L’Auteur de la Dissertation pouvait-il alléguer un passage plus propre pour d
sification de ce passage de S. Augustin, est en ce que l’Auteur de la Dissertation traduit ces mots, « multa rerum turpitudine », « 
faisaient lire et apprendre les Comédies aux enfants, l’Auteur de la Dissertation ajoute du sien, que ces vieillards étaient sages
personnes ivres, qui voulaient enivrer ces enfants. Et l’Auteur de la Dissertation fait dire faussement à S. Augustin, « que les jeu
un avec notre liberté. » Quant au 2. passage que cite l’Auteur de la Dissertation , tiré du chapitre 2. du 3. livre des Confessions
Tragédies excitaient dans son âme : « S. Augustin, dit l’Auteur de la Dissertation , ne parle que de la compassion qu’il avait pour l
accompagnées de danses honteuses, etc. » Ainsi selon l’Auteur de la Dissertation , cette compassion que S. Augustin avait pour les
e criminel, que S. Augustin condamne ? Je conjure donc l’Auteur de la Dissertation de faire un meilleur usage de la lecture de S. Au
vices, dont les représentations des Comédies étaient infectées. » Dissertation pag. 233. « Aussi Lactance ne blâme la Comédi
utation. Y eut-il jamais une plus grande illusion ? l’Auteur de la Dissertation nous veut faire accroire que Lactance ne condamne
en termes exprès. Est-ce qu’il s’est imaginé que ceux qui liraient sa Dissertation , seraient si persuadés de sa suffisance, qu’ils l
s ils sont même extrêmement nuisibles. » Certainement l’Auteur de la Dissertation ne pensait pas à ce qu’il écrivait quand il a dit
ement le bons sens qu’il ne mérite pas qu’on s’amuse à le réfuter. Dissertation pag. 234. et 235. « Et je ne sais comment il
nicieuse et criminelle. » VI. Réfutation. Comme l’Auteur de la Dissertation a accoutumé de tronquer les passages qu’il cite,
rs ». Joignant donc ce Canon, aux deux autres qui sont cités dans la Dissertation , par lesquels il est défendu aux Evêques et aux P
nc en cela suivi l’erreur public, mais ils ont détruit l’erreur de la Dissertation par les règles du droit Canonique. Mais, ajoute l
tation par les règles du droit Canonique. Mais, ajoute l’Auteur de la Dissertation , « on ne peut tirer aucune conséquence de ces Can
nse ne soit qu’un conseil. Mais si cela est ainsi, dit l’Auteur de la Dissertation , « il faudrait dire qu’un des plus saints et des
er un modèle dans la perfection de sa vie. » Mais si l’Auteur de la Dissertation avait bien étudié le Droit Canonique, il aurait p
ordures, et ce qui peut corrompre les bonnes mœurs. Si l’Auteur de la Dissertation avait bien lu les Confessions de S. Augustin, il
rs manières de sacrifier aux Anges rebelles ». Mais si l’Auteur de la Dissertation n’a pas encore appris de la Religion Chrétienne c
deux arguments qui détruisent entièrement tout ce que l’Auteur de la Dissertation avance en cet endroit ; premièrement Aristote nou
les principes d’Aristote que les Canonistes dont parle l’Auteur de la Dissertation , ont conclu de ce qu’il est défendu de lire les C
Poèmes dramatiques. Secondement, c’est sans raison que l’Auteur de la Dissertation prétend que cette défense des Canons n’est qu’un
les Spectateurs. Mais les termes du Canon Sacerdotes allégué dans la Dissertation ne suffisent-ils pas pour nous l’apprendre ; en m
n plus grand de les voir représenter. Il faut donc que l’Auteur de la Dissertation ait été bien prévenu de l’erreur de son imaginati
doit point être condamnée tant qu’elle sera modeste et honnête. Dissertation pag. 236. « De toutes ces recherches de l’ant
paravant réparé le scandale public, par une digne satisfaction. » Dissertation pag. 236. « Ce sont des ouvrages des plus dif
gement des saints Pères est bien différent de celui de l’Auteur de la Dissertation . Il estime que les Comédies et les Tragédies étan
vices, et plus de force pour corrompre les mœurs ; et l’Auteur de la Dissertation ne peut pas dire qu’il ne parle que des Comédies
s Pères font un jugement tout à fait opposé à celui de l’Auteur de la Dissertation  : « Je ne sais, dit Lactance « In Scenis nescio
re des Comédies, et des Tragédies de l’antiquité, dont l’Auteur de la Dissertation dit que les plus sévères font les innocents plais
œurs, qu’utiles aux beaux esprits. » Valère Maxime lib. 6. cap. 3. Dissertation pag. 237. « Les Poètes ont souvent mis sur le
sécutions de nos Martyrs. » III. Réfutation. Si l’Auteur de la Dissertation avait lu dans Josèphe ce qui arriva au Poète Théo
te ; il aurait eu plus de vénération qu’il n’en fait paraître dans sa Dissertation pour ces sacrés Oracles, que Dieu n’a pas donnés
en avoir demandé pardon à Dieu, il recouvra sa vue. » L’Auteur de la Dissertation ne devait pas ignorer que le premier Concile de M
es actions justes ; et pourquoi parlez-vous de mon alliance. »  » Dissertation pag. 237. « Elles (la Tragédie et la Comédie)
r de ces actions de Collège, la conséquence qu’en tire l’Auteur de la Dissertation , pour autoriser les représentations des Comédiens
nvoie point les enfants aux Ecoles pour en faire des Comédiens ».  Dissertation pages 238. et 239. « Si donc il est arrivé qu
de leurs Magistrats étaient bien différents de ceux de l’Auteur de la Dissertation , qui veut « qu’on réforme les Comédies, et qu’on
s à son goût. » Cela suffirait pour faire connaître à l’Auteur de la Dissertation combien l’idée de la Réforme des Comédies, est ch
s de s’y trouver. Si cela ne s’accorde pas avec ce que l’Auteur de la Dissertation prétendait prouver ; c’est sa faute de n’avoir pa
maux, et de donner quelque chose à la légèreté de la multitude. » Dissertation pag. 240. « S. Chrysostome fit abolir les jeu
ous avons montré dans la Réfutation précédente combien l’Auteur de la Dissertation s’est égaré dans l’application de ce que fit Augu
s la 6. Réfutation du Chapitre 4. Nous voyons donc que l’Auteur de la Dissertation ne peut pas inférer de ces lois des Empereurs Arc
rendre bons : c’est pourquoi il vaut mieux les abolir entièrement. Dissertation pag. 240. et 241. « Il est certain qu’autrefo
ouva rien à redire » ; Que dans le Canon même qui est allégué dans la Dissertation , Innocent III. déclare en termes exprès que c’éta
te impureté ne souille pas l’honnêteté de l’Eglise. » L’Auteur de la Dissertation prétend « qu’Innocent III. par ce Décret ne conda
Théâtre ? Le seul titre de ce Canon fait voir combien l’Auteur de la Dissertation s’est égaré. « Les jeux de Théâtre, dit ce titre
ui blessent l’honnêteté de ces saints lieux. » Que si l’Auteur de la Dissertation veut dire qu’il n’entend pas parler de ces sortes
ines, telles que sont les Comédies. » Ce qui a trompé l’Auteur de la Dissertation , c’est qu’il a lu dans la Glose du Canon cum deco
Palerme l’ont remarqué. » C’est donc sans raison que l’Auteur de la Dissertation dit, « Qu’il est certain qu’autrefois les comédie
r exciter la dévotion. » C’est encore sans raison que l’Auteur de la Dissertation dit, « Que Boniface VIII. défend l’art infâme des
éral. Du Tillet. Mais pour revenir à la Conclusion de l’Auteur de la Dissertation , qui prétend qu’il ne faut pas abolir la Comédie,
teurs, ont été bannies de tous les lieux sacrés de la Chrétienté. Dissertation pag. 242. « Quand on renouvela ce divertissem
te encore de toutes sortes. » VIII. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation prend si peu de soin de s’instruire des choses qu
somme dedans quinzaine, et l’autre moitié la quinzaine ensuivant. Dissertation pag. 243. « Mais comme ils furent corrompus p
ur, et à la peine des lois. » IX. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation entend parler de la Déclaration que le Roi Louis
ieur le Cardinal de Richelieu. Mais tant s’en faut que l’Auteur de la Dissertation en puisse tirer quelque avantage ; qu’elle détrui
jusqu’à l’an 1641. Ce qui renverse la proposition fondamentale de la Dissertation  ; « Que les Poèmes Dramatiques, ni leurs Acteurs
anant la sainteté de notre Religion ?   Quoiqu’en dise l’Auteur de la Dissertation , il n’est pas vrai que depuis la Déclaration du R
a est si notoire dans Paris, qu’il n’est pas besoin de l’éprouver. Dissertation pag. 243. et 244. « Il y a cinquante ans qu’u
nt la honte et les châtiments. » X. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation reconnaît que le Théâtre il y a cinquante ans éta
spirituelles que Dieu leur a mises en main. Cependant l’Auteur de la Dissertation sans faire réflexion sur ces désordres des Comédi
die, De voir sans mon aveu, ni bal, ni ComédieActe 1. Scene 5.. » Dissertation pag. 245. « Et j’estime que tous les honnêtes
ocentes. S’il y en a quelques-unes, je suis assuré que l’Auteur de la Dissertation demeurera d’accord que ce sont celles que l’Abbé
tifie pas bien ; mais il est au moins plus sincère que l’Auteur de la Dissertation  ; car s’il s’occupe à composer des pièces de Théâ
s en cela les Règles de la discipline Ecclésiastique ; l’Auteur de la Dissertation au contraire soutient que ces sortes d’ouvrages s
245.. J’ai réfuté ci-dessus toutes ces propositions de l’Auteur de la Dissertation  ; il ne reste ici qu’à faire voir qu’il n’a pas b
étiens, et ils n’étaient pas néanmoins de l’opinion de l’Auteur de la Dissertation . Mais ils étaient persuadés au contraire, qu’il f
imaginaire, qui est entièrement contre la pratique des Anciens. » Dissertation pag. 245. « Je ne prétends point ici néanmoin
ces Observations, et de ces Réfutations fera voir que l’Auteur de la Dissertation aurait mieux fait pour son honneur, et pour sa co
pour sa conscience de n’avoir jamais rien écrit sur cette matière. Dissertation pag. 246. etc. « Et pour ne pas abandonner en
, et que jamais on ne leur doit comparer. C’est par où je finis cette Dissertation  ; car après l’autorité d’un personnage si célèbre
que ornement à mon discours. » XII. Réfutation. L’Auteur de la Dissertation a mal traduit, et encore plus mal entendu ce pass
d le passage de saint Thomas selon cette explication ; l’Auteur de la Dissertation n’en peut rien inférer pour ce qui regarde les Ac
uelque chose à leur égard, cela même détruirait ce que l’Auteur de la Dissertation prétend en inférer : savoir, que puisque ce métie
conséquent S. Thomas parle aussi des Comédiens, comme l’Auteur de la Dissertation en demeure d’accord. Il faut donc voir comment ce
Je pouvais finir ici mes Réfutations, puisque c’est ici la fin de la Dissertation sur la condamnation des Théâtres. Mais j’ai cru n
2. , des Histrions, c’est-à-dire, des Comédiens, comme l’Auteur de la Dissertation en demeure d’accord, servant à la recréation, don
aroles de saint Antonin condamnent les principales propositions de la Dissertation , comme je le vais montrer. Il est constant que ce
rend les Comédiens sous le nom d’Histrions, comme l’Auteur même de la Dissertation en demeure d’accordDissert. pag. 249.. « Je veux
de saint Cyprien à Euchratius. Ce qui détruit cette proposition de la Dissertation Dissert. pag. 220. Voyez la 3. Réfutation du chap
l’idée chimérique de la réformation des Comédies, dont l’Auteur de la Dissertation a rempli son esprit. Voyez la cinquième Réfutatio
t servis ; condamne formellement cette proposition fondamentale de la Dissertation « Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne
abolir ; il condamne cette proposition, qui fait la conclusion de la Dissertation , où sous un prétexte de réformation l’Auteur dit,
distinction, ni restriction ». Ce qui détruit cette proposition de la Dissertation  ; « les Conciles, et le droit des Souverains Pont
avons rapportées ci-dessus dans la 7. Réfutation du chapitre 4. de la Dissertation . Il montre ensuite la conformité des constitution
ue j’en ai fait ci-dessus dans la 10. Réfutation du chapitre 4. de la Dissertation , sur la traduction Française qu’en a fait faire M
condamne dans ce discours toutes les propositions fondamentales de la Dissertation . Car lorsque après avoir rapporté ce que dit sain
es Comédies qui y sont jouées ? » Il condamne cette proposition de la Dissertation pag. 89. « Que la représentation des Poèmes Drama
et les Farces, il fait voir que c’est inutilement que l’Auteur de la Dissertation s’étend sur la différence qu’il y a entre les Com
istrats de bannir les Comédiens ; il condamne cette proposition de la Dissertation pag. 239. « Il faut conserver un art qui peut pla
vre de la République chap. 1. n’est pas moins opposé à l’Auteur de la Dissertation . « Je tais , dit-il, l’abus qui se commet en sou
été condamnés, et que par conséquent la proposition de l’Auteur de la Dissertation pag. 229. n’est pas véritable selon Comitolus. II
t entendre des Comédiens, et par conséquent ce que dit l’Auteur de la Dissertation pag. 220. et 225. est faux. « Quant à ce qui reg
amia §. Ait Pretor . » Par là Comitolus détruit la proposition de la Dissertation pag. 187. « Que les Acteurs des Poèmes Dramatique
Ainsi par cette 2. preuve Comitolus condamne cette proposition de la Dissertation pag. 89. « Que la représentation des Poèmes Drama
ens Pères de l’Eglise. » Il condamne aussi tout ce que l’Auteur de la Dissertation dit dans les 10. et 11. chapitresDissert. pag. 21
1. » Nous voyons par ces paroles de Comitolus, comme l’Auteur de la Dissertation a falsifié le texte de S. Thomas en traduisant pa
ons prouvé ci-dessus dans la 12. Réfutation du dernier chapitre de la Dissertation . Nous voyons encore que selon Comitolus le passag
norme », s’entend des Comédiens. Ce qui détruit ce que l’Auteur de la Dissertation avance dans le chap. 10. pag. 225. et 226. que la
rapportés ci-dessus dans la sixième Réfutation du chapitre 11. de la Dissertation . Enfin il conclut non pas comme fait l’Auteur de
orté ci-dessus ses paroles dans la 1. Réfutation du chapitre 4. de la Dissertation . 2. Il montre que la Comédie tire son origine de
pporté ses paroles ci-dessus dans la 11. Réfutation du chap. 12 de la Dissertation . Après cela il répond aux objections que ces sort
. J’ai rapporté ci-dessus dans la 2. Réfutation du chapitre 12. de la Dissertation la réponse du Père Guzman. 5. La cinquième object
. J’ai rapporté ci-dessus dans la 3. Réfutation du chapitre 12. de la Dissertation la réponse du Père Guzman. Enfin il répond généra
, J’ai rapporté ci-dessus dans la 5. Réfutation du chapitre 12. de la Dissertation les paroles du Père Guzman. Il finit par l’explic
us avons rapporté ci-dessus dans la 12. Réfutation du chap. 12. de la Dissertation . Le Père Mariana a composé un Traité contre les C
té ses paroles ci-dessus dans la 11. Réfutation du chapitre 12. de la Dissertation . Il dit ensuite que la Comédie est si vicieuse qu
J’ai rapporté ci-dessus dans la 5. Réfutation du chapitre 12. de la Dissertation le discours entier du Père Mariana. Monsieur l’Ev
l’idée chimérique de la réformation des Comédies, que l’Auteur de la Dissertation propose, afin, dit-il, « de conserver un Art qui
e les condamnait dans les premiers siècles. Je conjure l’Auteur de la Dissertation , de faire attention à ces paroles de Jean de Sali
eux-mêmes, puisqu’ils n’ont pas osé se déclarer ouvertement dans leur Dissertation sur la condamnation des Théâtres ; car ils ont en
Haye Marchand Libraire à Paris, de faire imprimer la Réfutation de la Dissertation sur la condamnation des Théâtres, pendant le temp
hom. 38.ad cap. 11. Math. Euseb. de vita Constantini lib. 3. cap. 52. Dissertation pag. 57. « Ista omnia Imperator ad salutaris Dei
gitia non probaremus, nulla esset omnino. » Cic. l. 4. Tuscul. quæst. Dissertation pag. 95. « Ludorum Scenicorum delicata subintrav
oribus curavit immittere. » S. Augustin. l. 1. de Civit. Dei cap. 32. Dissertation pag. 69. Dissertation pag. 69. et 70. S. Chrysost
re. » S. Augustin. l. 1. de Civit. Dei cap. 32. Dissertation pag. 69. Dissertation pag. 69. et 70. S. Chrysostom. hom. 15. ad pop. A
suis honoribus dicari exhiberique jusserunt. » Idem lib. 2. cap. 13. Dissertation pag. 97. S. Charles Boromée dans son Traité contr
essori suoi le devesse sempre portare. » Commento sopra Dante antico. Dissertation sur la fin de l’Avis au Lecteur. Dissertation pag
nto sopra Dante antico. Dissertation sur la fin de l’Avis au Lecteur. Dissertation pag. 101. et 102. « Historia nobilissima anilis
ciunt næ intelligendo, ut nihil intelligant. » Terent. in prol. And. Dissertation pag. 192. « Obest homini si pertinacius affirmar
ente, in corona frequentes extitisse. » Idem in cod. lib. 8. cap. 10. Dissertation pag. 194. « Semper specialia generalibus insunt.
« Semper specialia generalibus insunt. » 1. Semper in regul. juris. Dissertation pag. 194. « Quis neget opus esse Oratori, in hoc
Semper in Reg. Iur. « In toto et pars continetur. » Ibid. Regul. 113. Dissertation pag. 203. « Attellani autem ab Oscis acciti sunt
epistolis quoque ejus declaratur. » Macrob. lib. 3. Saturn. cap. 14. Dissertation pag. 203. « Histriones non inter turpes habitos
facere voluptatis. » Can. Sacerdotes, dist. 37. Dans la même Epître. Dissertation pages 97. 245. 102. 229. 245. « Ay algunos defen
3 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. Le Religieux à qui on
ur de la Comédie. Le Religieux à qui on avait attribué la Lettre ou Dissertation pour la défense de la comédie, a satisfait au pub
positions des gens du monde ont jugé qu’il serait bon d’opposer à une dissertation qui se faisait lire par sa brièveté, des réflexio
4 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Extrait du Privilège du Roi. » pp. -1
tel Imprimeur ou Libraire qu'il avisera bon être, un Livre intitulé, Dissertation sur la condamnation des Théâtres, pendant le temp
.A.D a cédé et transporté le droit de son Privilège du Livre intitulé Dissertation sur la condamnation des Théâtres, à N. Pepingué,
5 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
dans la même année une apologie de la Comédie, par un livré intitulé, Dissertation sur la condamnation des Théâtres, dont on crut Hé
onti contre la Comédie qu’il venait de donner au Public, et que cette Dissertation attaquait. C’est pourquoi il composa un livre in-
ité de M. le Prince de Conti touchant la Comédie, ou Réfutation de la Dissertation sur la condamnation des Théâtres. Il fut imprimé
6 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation . La première chose que j’y reprends, c’est qu’u
salut, et si le théâtre Français est aussi honnête que le prétend la dissertation , il faudra encore approuver que ces sentiments do
7 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
dans la même année une Apologie de la Comédie, par un Livre intitulé, Dissertation sur la condamnation des Théâtres, dont on a cru q
té de M. le Prince de Conti, touchant la Comédie, Ou Réfutation de la Dissertation sur la condamnation des Théâtres. Ce Livre a été
8 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
rofesseur en Théologie à Heidelberg, n’est pas plus judicieux dans sa Dissertation pour la défense de la Comédie, et son dessein est
n de Jésus-Christ, trouve sans peine. Il ne sue point dans une longue Dissertation , pour ne faire qu’embarrasser la question et la r
9 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] DISSERTATION SUR LA CONDEMNATION DES THEATRES. A PARIS, Chez N
10 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « Lettre d’un ecclesiastique a un de ses Amis; où il lui explique les sentiments qu’il a de la Comédie, et de ceux qui y vont. » p. 471
nt la comédie et les spectacles, ou la Réfutation d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, Louis Bi
11 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
une lumière spirituelle qu’on en doit juger.". » SECTION SECONDE. Dissertation sur la condamnation des Théâtres. A Paris, Chez N
vante la réponse de saint Ambroise. Dans le onzième Chapitre de cette Dissertation , on cite des passages de Tertullien, de saint Cyp
la Comédie et les Spectacles : Ou La Réfutation d’un Livre intitulé, Dissertation sur la condamnation des Théâtres, par le sieur de
ce Prince quelques mois avant sa mort. Il rapporte les paroles de la Dissertation , quoiqu’elle eût été méprisée par les Savants : i
es, qui paraissent favorables à la Comédie. Mais comme l’Auteur de la Dissertation avait voulu justifier les Jeux du Cirque par Cons
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire. »
Combien d’Actes doivent avoir les Poèmes du nouveau Spectacle ; & Dissertation sur les Actes en général. On finit par éxaminer d
13 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « II. A quoi il faut réduire cette question. » p. 4
er et je n’en veux pas davantage pour faire tomber de ce seul coup la dissertation .
14 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VII. Paroles de l’auteur et l’avantage qu’il tire des confessions.  » pp. 28-29
tage qu’il tire des confessions. L’endroit le plus dangereux de la dissertation est celui où l’auteur tâche de prouver l’innocenc
15 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « A MONSEIGNEUR DE HARLAY, ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE  » pp. 394-406
ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE Touchant une Lettre ou Dissertation en faveur de la Comédie. Monseigneur, Si j’ava
a dû tirer ce renseignement de l’écrit anonyme de l’abbé d’Aubignac : Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, 1666, in
16 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100
igine de ces productions littéraires. On a sur cette matiere quelques Dissertations dans les Mém. de l’Ac. des Insc. & Belles-Let
tiel une utilité morale. M. Batteux l’a démontré dans trois sçavantes Dissertations qui occuperent les séances des 14 Juin 1771, &
des Mémoires de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres une Dissertation de l’Abbé Massieu, qui a supérieurement vengé la
des Mémoires de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, une Dissertation de Louis Racine. La Musique & la Danse, deux
au but & à l’esprit des sages Législateurs. M. Burette, dans une Dissertation qui se trouve au premier volume des Mémoires de l
des Mémoires de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres une Dissertation de M. Duclos. Ces Vers fescennins ou satyres qui
ournis dans tous les genres. On a sur cet objet à consulter de bonnes Dissertations de MM. Duclos, l’Abbé Le Bœuf, l’Evêque de la Rav
des Mémoires de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, une Dissertation de M. le Comte de Caylus, sur l’origine de nos an
ns surpassé les Anciens. Mais, comme l’a observé M. Gedouin, dans une Dissertation insérée dans le second Tome des Mémoires de l’Aca
bien osez nous ennuyer. 1. M. Jean-Jacques Rousseau. 2. Dans sa Dissertation insérée au tome XV des Mémoires de l’Académie des
17 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « TABLE DES CHAPITRES ET DES SECTIONS. »
rince de Conti, de la Comédie et des Spectacles. page 41. Section ii. Dissertation sur la condamnation des Spectacles. page 60 Secti
18 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
es des Saints Pères que j’ai rapportés. Cet Auteur a presque copié la Dissertation de la condamnation des Théâtres, et ce qu’il y a
divine en matière de Doctrine. Il avoue ensuite qu’il avait fait une Dissertation Latine sur la Comédie, depuis dix ou douze ans, e
s approbations, ont pu voir par la clameur qui s’est élevée contre la Dissertation , et par la censure qu’elle a attirée à ceux qui o
e les supporter : et c’est encore une preuve contre cette scandaleuse Dissertation , qu’encore qu’on l’attribue à un Théologien, on n
19 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXI. Réflexion sur le Cantique des cantiques et sur le chant de l’Eglise. » pp. 76-78
ndre agréable, ce qui est nuisible ; et un si mauvais dessein dans la dissertation n’a pas laissé de lui concilier quelque faveur da
20 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
de ce qui peut servir à sa cause, et à quelques endroits près, cette dissertation est fort raisonnable ; mais je ne sais s’il était
21 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
de la Ch. de l’Acad. Franç., Paris, Knapen, 1738, in-8º. Anonyme, Dissertation epistolaire sur la Comedie, 1744 • Anonyme : D
Anonyme, Dissertation epistolaire sur la Comedie, 1744 • Anonyme : Dissertation epistolaire sur la Comedie Par un Ecclesiastique,
lies de quelques sermons prêchés par un missionnaire, augmentée d’une dissertation sur les tragédies qui le représentent dans les co
nt la comédie et les spectacles, ou la Réfutation d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, Louis Bi
ley…. Sam. Smith… & T. Fox…, 1684, (8) 135+ 176 p. Aubignac, Dissertation sur la condemnation des théâtres, 1666 • Aubig
héâtres, 1666 • Aubignac, François Hédelin (1604-1676 ; abbé d’) : Dissertation sur la condemnation des théâtres, Paris, Nicolas
ngué, 1666, (6 ff.) 250 p. PDF : Google. Corpus OBVIL.   Réédition • Dissertation sur la condemnation des théâtres, Paris, Jacques
, archevesque de Paris, duc et pair de France. Touchant une Lettre ou Dissertation en faveur de la Comédie » [1694], p. 394-406, in
DF : Google.   Réimpression • Genève, Minkoff, 1972. Rabelleau, Dissertation sur les spectacles, 1769 • Rabelleau (17..-17.
u, Dissertation sur les spectacles, 1769 • Rabelleau (17..-17..) : Dissertation sur les spectacles, suivie de Déjanire, opéra en
du Speculum vitae humanae, Rome, 1468]. PDF : Gallica. Sautour, Dissertation préliminaire de M. de S…, 1729 • Sautour, Mons
réliminaire de M. de S…, 1729 • Sautour, Monsieur de (16..-17..) : Dissertation préliminaire de M. de S… à M. l’abbé C. [Couet ou
é contre les déguisements, mascarades et spectacles. Schynckele, Dissertation épistolaire sur la Comedie par un Ecclésiastique,
un Ecclésiastique, 1744 • Schynckele, Henricus (1708-1785 ; SJ) : Dissertation épistolaire sur la Comedie par un Ecclésiastique,
ns pour par icelles gaigner l’Eternité », p. 862-867. Terrasson, Dissertation critique sur l’Iliade d’Homère, 1715 • Terrass
itique sur l’Iliade d’Homère, 1715 • Terrasson, Jean (1670-1750) : Dissertation critique sur l’Iliade d’Homère, où, à l’occasion
VIL.   Réédition • in François Granet (1692-1741 ; abbé), Recueil de dissertations sur plusieurs tragédies de Corneille et de Racine
ant la comédie et les spectacles ou la réfutation d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, Coignard
22 (1641) Déclaration du roi
nt la comédie et les spectacles, ou la Réfutation d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, Louis Bi
23 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XII. De l’autorité des Pères.  » pp. 49-51
veux pas me jeter sur les passages des Pères, ni faire ici une longue dissertation sur un si ample sujet. Je dirai seulement, que c’
24 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
s approbations, ont pu voir que la clameur qui s’est élevée contre la dissertation , et par la censure qu’elle a attirée à ceux qui o
e les supporter : et c’est encore une preuve contre cette scandaleuse dissertation , qu’encore qu’on l’attribue à un théologien, on n
25 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
est de ces « gens de poids et de probité », qui, selon l’auteur de la dissertation fréquentent les comédies « sans scrupule » Page 3
26 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE III. Réflexions sur le renouvellement du Théâtre. » pp. 36-41
ttres et les Poètes, de leur côté, cherchèrent à persuader, par leurs dissertations , que le Théâtre était utile, et que les Anciens l
27 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
défendu la lecture de Joseph ? Je vous barbouille tout ce canevas de dissertation , afin de vous montrer que ce n’est pas sans raiso
28 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
bjections sur le Plan de Réforme. 320 Le troisième Entretien est une Dissertation sur l’Origine & la Renaissance du Dramatisme.
convenance des Habits fait le sujet de la Note [L]. 424 [M] est une dissertation sur la Danse. 425 Dans la Note [N], il est quest
29 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
Batteux l’a fait avec le plus grand avantage dans les trois sçavantes Dissertations qu’il lut les 14 Juin 1771, & 21 Janvier 1772
30 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
de la vie de saint Paphnuce, voir, en particulier, l’abbé d’Aubignac ( Dissertation sur la condamnation des théâtres, p. 249 et 250)
31 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
e mensonge est foible devant elle ! J’ai donc appréhendé de mêler des Dissertations de Dogme à l’examen des piéces de Théatre, je cro
32 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
qui regarde les Spectacles, une partie de sa Brochure étant coupée de dissertations étrangères à son sujet & nullement faites pou
33 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
ême rang que le sel dans nos nourritures ordinaires, non seulement la dissertation n’y sera pas appuyée, mais encore elle y sera con
34 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
ent, et mit ensuite à la tête de ses œuvres, en guise de Préface, une dissertation Théologique, dans laquelle il s’efforçoit très-sé
sseur de l’autre, qu’il avoit étrangement compromis, en traduisant sa dissertation , & la faisant imprimer, & ensuite la mett
t bien expliquée & bien soutenue, & à quelqu’endroit près, la dissertation est fort raisonnable ; mais il n’étoit pas à prop
rchevêque de Paris, qu’il fit imprimer, qui ne vaut pas mieux que les dissertations comiques de ses confreres. Dans la vie que sa fam
35 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
’autres ouvrages à ce sujet ; Apparition des Esprits, par Dom Calmet. Dissertation sur l’Epître de S. Paul aux Romains, par le même.
36 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
ombattre les règles et les principes des maîtres, que de dire avec la dissertation , que le théâtre n’excite que « par hasard et par
37 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
Si j’étais d’humeur de grossir cette Préface, je pourrais faire une dissertation de l’unité de la Scène qu’on ne trouve point dans
38 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
, et que jamais on ne leur doit comparer. C'est par où je finis cette Dissertation  ; car après l'autorité d'un Personnage si célèbre
39 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
x Comediens François la permission de jouer le Tartuffe à Paris. Dissertation Spectacles. L’opinion & le préjugé sur le
de nos salles ; mais on n’a rien fait de plus. On s’amuse à de vaines dissertations dans tous les genres de littérature, Romans, Hist
es de littérature, Romans, Histoires, Comédies, Opera même ; tout est dissertation , & voilà tout. Il semble que plus on s’éloign
ert. (b). Pour avoir une juste idée de cette ville fameuse, voyez la dissertation sur les causes & les degrés de la décadence d
40 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
-peu de chose. 21. Réfléxions sur la Poèsie & la Peinture. 17. Dissertation sur la Tragédie, traduite en Français. Ainsi que
41 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VIII. Crimes publics et cachés dans la comédie. Dispositions dangereuses et imperceptibles : la concupiscence répandue dans tous les sens.  » pp. 30-40
gereuses, les gens du monde disent tous les jours avec l’auteur de la dissertation qu’ils ne sentent point ce danger. Poussez-les un
42 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
retrouve par hasard le brouillon. M. Rousseau saura par cette petite Dissertation sur le Théâtre, qu’on a vu tout ce qu’il voit, ma
43 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. » pp. 36-56
ignages des bons Auteurs que nous rapporterons dans la suite de cette Dissertation , autoriseront encore ces vérités. Pract. du Th.
44 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
n et offenser ceux qui la professent. Nous pourrions développer cette dissertation et entrer dans de plus grands détails sur cette m
uence du jésuitisme ne s’y oppose. Je regrette donc de terminer cette dissertation après l’avoir à peine ébauchée ; mais du moins qu
45 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
i un peu suspect. Bayle pouvoit juger d’un ouvrage d’esprit, ou d’une dissertation physique ; mais c’étoit à nos directeurs à nous a
46 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
rs surannés de Philoctète et de Jocaste :12 étant à Londres je lus ma Dissertation à M. de Voltaire qui, s’y trouvant nommé et criti
rite d’être conservée pour le Théâtre de la Réformation. 12. [NDA] Dissertation sur la Tragédie moderne, 1728.
47 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137
rd, dont il parle au long avec éloge, le Mercure d’août 1763 fait une dissertation sur l’Opéra comique & le théatre de la Foire,
6.), qui rapporte ce fait d’après divers Auteurs qu’il cite, fait une dissertation très-peu importante pour savoir si les Anglois en
48 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
Prédicateur dans une Lettre qui prend toutefois assez la forme d’une Dissertation  : sans cela, Monsieur, je pourrais bien vous dire
49 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
de tout ce que vous avez fait depuis dix ans, vos Disquisitionsr, vos Dissertations , vos Réflexions, vos Considérations, vos Observat
50 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
es Lecteurs que les longs ouvrages rebutent. Si je faisais une longue Dissertation , j’aurais ramassé toutes les maximes de l’Ancien
51 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
Poétiques, dans le Dictionnaire moral & dans quelques Mémoires ou Dissertations Littéraires, Françoises, Italiennes, Angloises &a
En 1666, on vit paroître une apologie de la Comédie, sous ce titre : Dissertation sur la condamnation des Théatres. Elle fut réimpr
cette Lettre une réponse, qui fut imprimée sous le titre qui suit : Dissertation sur la Comédie, pour servir de réponse à la Lettr
P. le Brun, sur la même matiere ; par M. Simonet. Paris, 1732. Cette Dissertation fut insérée dans le Mercure du mois de Février 17
t du nombre de ces honnêtes Littérateurs. On a dans le Recueil de ses Dissertations sur les Tragédies de Corneille & de Racine, u
ion des Odes d’Anacreon & de Sapho, qui parut en 1712, une longue dissertation sur la Poésie, où il fait une apologie outrée des
habitudes ? Au reste M. Rulfo a eu plus d’un motif pour donner cette dissertation  : il avoit à écarter les abus que les amateurs de
o a fait aussi usage dans le douzieme Chapitre du Livre premier de sa Dissertation , & où est rapportée une décision signée de tr
’Art Dramatique. Il se trouve dans le second volume du Recueil de ses Dissertations . Werenfels n’avoit pas vingt ans quand il le com
« Enfin de degrés en degrés », comme le dit un Anglois qui a fait des Dissertations sur Tacite, « nous sommes parvenus à l’emporter s
fables dramatiques163 ». L’Abbé Terrasson 164 osa de même, dans ses Dissertations critiques sur l’Iliade d’Homere, justifier l’expo
voir ; aussi cet Abbé Terrasson en a-t-il fait l’éloge dans les mêmes Dissertations . Nos Spectacles sont, selon lui, la meilleure éco
attribuer qu’aux dispositions vicieuses de ceux qui les corrompent. Dissertation sur les Spectacles, par M. Rabelleau. Paris, 1769
ion dans ses Feuilles Hebdomadaires des 17 & 24 Février 1773, une Dissertation intéressante sur l’usage ancien & moderne des
re peccatum est, scitote ortum esse. Tit. Liv. lib. 39. 173. Dans sa Dissertation en forme d’avertissement, qui est au commencement
-septieme siecle. 209. Dans sa Lettre à Louis Racine. 210. Dans une Dissertation que nous avons citée page 19 de ce volume. 211.
52 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35
conversations de leurs amans ; elles repeteront leur rôle dans leurs dissertations philosophiques. L’Actrice Philosophe voulut sur l
Peintre, ni Sculpteur, ni Architecte. Qu’on n’attende pas de lui des dissertations sur ces trois arts, ni même les termes de l’art,
53 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
euri, Baron, d’Ancourt, Poisson, Dufresny &c. Mr Simonet, dans sa dissertation sur la Comédie, en 1732, dit, « que notre Théatre
is en honneur. Enfin, dit encore un Anglois de ce siécle, Auteur des dissertations sur Tacite, nous pouvons dire, que la postérité n
l soit, est très-dangéreux à fréquenter ; dit Mr. de Simonet, dans sa dissertation sur la Comédie. Si notre Théatre est purgé des a
&c, & tous les Saints Peres. Or, dit Mr. le Batteux, dans une dissertation favante, qui occupa l’Académie en 1770, est-il ut
54 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
e feray que renvoyer à tant d’Illustres Ecrivains qui en ont fait des Dissertations si particulieres. ἀπὸ τοῦ θεᾶσται ἄκροατήριον.
55 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
ant la comédie et les spectacles ou la réfutation d'un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, Coignard
56 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
urs personnes pour constater leur prostitution, &c. Il termine sa dissertation par ces paroles où il y a du vrai : Elles furent
ont été bien ridicules. Pag. 77. Il fait à propos de rien une longue dissertation pour prouver qu’on ne doit faire la profession re
57 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
ique des Lettres y gagneroit infiniment. On feroit peut-être moins de Dissertations pour décider si Corneille est supérieur à Racine,
58 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
rfait, & engagea Sarasin à le prouver. Sarasin qui dans sa longue Dissertation ne dit pas un mot de Corneille, donne à Hardi la
59 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
raire à ce que vous avancez, Monsieur, sur le même Molière dans votre Dissertation . Voici un autre Italien, Comédien lui-même, qui a
60 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
yse de tous les théâtres, et en traite quelqu’und chaque mois. Que de dissertations dans les Journaux de Trévoux, les feuilles de Des
61 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
ce qu’il vous faut, et je ne m’étonne pas si les disquisitions et les dissertations vous ennuient. Vous n’avez pas besoin d’une fort
62 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
les remarques qu’il ferait naître fourniraient aisément matière à une dissertation très curieuse, et surtout utile pour les Poètes ;
63 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
t d’abord cette Proposition générale qui est le fondement de toute sa Dissertation , qu’il n’y a rien qui plaise tant ni si généralem
eurs choses qu’il pourroit développer, ou même ajouter pour rendre sa Dissertation plus pleine & plus parfaite. J’en indiquerai
64 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
ns traités, l’un Latin, l’autre Italien, contre le théatre, & une dissertation contre les Ecclésiastiques qui se masquent : abus
65 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
e Trévoux a plus de trois cents articles d'extraits, de critiques, de dissertations théâtrales. Il est vrai qu'on y voit ordinairemen
66 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
différentes Comédies de Rome, b, 31 Discours sur la Comédie, b, 148 Dissertation sur la condamnation des Théatres, &c. b, 114
, 148 Dissertation sur la condamnation des Théatres, &c. b, 114 Dissertation sur la Comédie, par M. Simonet, 153 Dorat, b, 33
67 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
lir, & nous rendre ridicules ? M. Durozoi a joint à son drame une dissertation sur le drame lyrique, dédiée au Docteur D…., &
ultos ? Il prie les personnes qui liront son drame, de lire aussi sa dissertation  : espece de portique en ce genre, à l’exemple de
68 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
s pieces de Crebillon ce que Voltaire disoit de sa Semiramis dans une dissertation au Cardinal Quirini. Les Grecs si passionnés pour
69 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
’un assassinat ? Aut famam sequere, aut sibi conventia finge. Voy. la Dissertation de l’Abbé Nadal sur les Vestales. Mais on vouloit
70 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
arc, & qui ont cours pour vingt-quatre francs. Tite-Live finit sa Dissertation sur l’origine & le progrès des représentation
71 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26
omme le fait aussi, cinquante ans plus tard, le père d’Aubignac (voir Dissertation sur la condamnation des théâtres, chapitre 3). D’
72 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
stes du monde par de belles histoires, la pbilosophie par de savantes dissertations , la théologie par de brillants paradoxes : ont-il
73 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
ramasser tous les termes, et termine par cette péroraison sa savante Dissertation . Que n’ont-ils suivi leur confrère en ceci, comme
74 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54
men la vertu de ce purgatif, comme une chose certaine, on s'épuise en dissertations sur la manière dont il opère, par la terreur, la
75 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107
au pays des songes. Vainement faisons-nous pour elle les frais d'une dissertation  ; mais nous donnons un moment à quelques apologis
76 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
r aux spectacles publics ? La réponse a été faite dans une excellente dissertation , qui a paru à Rome du temps de Benoît XIV. La voi
77 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168
e leur cause, on pese le pour & le contre, on prononce enfin. Ces dissertations , ces preuves pourroient faire de jolies scénes, l
78 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221
se, sous divers titres ; Traduction, Histoire, Héroïdes, Paraphrases, Dissertations , que sai-je ? Abaillard & Héloïse tournés &am
79 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110
laisant que l’ivresse du théatre peut seule inspirer après de longues dissertations sur l’esprit de révolte qu’inspire le Calvinisme,
80 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202
Cotin & Menage. Madame d’Acier en fut avertie, & supprima la dissertation . Moliere adoucit les traits qui la caractérisent.
81 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
Cleric.). La description qu’il en fait pourrait être la matière d’une dissertation sur la musique du quatorzième siècle, que nos his
82 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
nages. 25. Lisez ci-après, ces témoignages. 26. Rom. VIII. 29. 27. Dissertation sur la Tragédie de Semiramis. 28. Lettres sur l
83 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
dans un temps où l’on travailloit à ramener les protestans ; quelques dissertations sur les médailles, & un Poëme sur l’ame des b
84 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
nce notable entre la parole écrite & la parole animée ; entre une Dissertation , & un Sermon ; & si d’ailleurs mon zele n
85 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
s depuis quatre mille ans ont rempli ses savantes veilles. Combien de dissertations sur ces graves antiquités dans le recueil de ses
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
er un nombre infini de Partisans. Un Auteur moderne a fait une longue dissertation à ce sujet. On a poussé l’èxtravagance jusques à
87 (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610
peu rehaussées. M. de Voltaire se plaint aussi de ce désordre dans la Dissertation qui précede sa Tragédie de Sémiramis. « D’environ
sions sans ame. M. l’Evêque de la Ravaliere 193 l’a démontré dans une Dissertation donnée en 1729, sous le titre d’Essai de Comparai
moins les Ministres du vice. Et, comme l’a observé M. Gédoin dans une Dissertation insérée au tome I des Mémoires de l’Académie des
lieu à M. le Chancelier Daguesseau de traiter de rêverie sa lumineuse Dissertation . Il croyoit qu’il étoit moralement impossible aux
le précepte de l’Evangile, mes plaintes contre une Lettre en forme de Dissertation sur la Comédie, que tout le monde vous attribue c
eux pas me jetter sur les passages des Peres, ni faire ici une longue dissertation sur un si ample sujet. Je vous dirai seulement qu
u plaisir. On demande, & cette remarque a trouvé place dans votre Dissertation , si la Comédie est si dangereuse, pourquoi Jesus-
pporter. Enfin, le P. Caffaro à qui l’on avoit attribué la Lettre ou Dissertation pour la défense de la Comédie, a satisfait au Pub
ect. dissert. de Spectaculis. 149. Cette citation se trouve dans une Dissertation du P. Concina de Spectac. 150. Utinam saltem
nc & incestos amores De tenero mediatur ungue. 336. Dans sa Dissertation sur la Satyre qui se trouve au tome II des Mémoir
88 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
a déchiffré des médailles, des inscriptions, & fait une foule de dissertations sur Vossius, & autres antiquaires, comme lui,
89 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74
tre mari ? Quinque viros habuisti, quem habet non est tuus vir. Ces dissertations sont bien inutiles, elles ne justifieroient pas l
90 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112
n Roman pour s’amuser, mais utile à qui veut s’instruire. Ce sont des Dissertations profondes sur la Philosophie & la Mythologie,
91 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
ante le Couvreur, soit dans des vers qu’on leur a fait, soit dans des dissertations sur les matieres théatrales, soit dans les discou
92 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 113-155
i inutiles que les sermons ingénieux d’un style académique, & les dissertations profondes des Théologiens, où il ne comprend rien
93 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suites des Mélanges. » pp. 68-117
débité en vers cette belle morale, il fait dans ses notes une longue dissertation pour l’approuver. Que ne dit-il pas ? Les poëtes
94 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
seaumes. L’académie des Inscriptions a donné pour sujet du prix, une Dissertation sur les attributs de Venus. Il y a eu deux ouvrag
95 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
ence. Ce n’est pas profondeur, c’est justesse. Après la plus profonde dissertation on peut aller au-delà. L’abyme des sciences est s
96 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75
me qui écriroit des Histoires, qui feroit des Pieces d’éloquence, des Dissertations littéraires, des Traductions, ce qui seroit absur
97 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
vous faites de la façon du monde la plus ingénieuse. Après une longue dissertation sur la Comédie et; les Comédiens, vous avez crain
e. C. Il ne me seroit pas impossible de faire encore de plus grandes dissertations , et; de pointiller sur toutes les raisons que vou
98 (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325
ompuë. Voilà M. ce que je vais examiner dans ce Discours, en forme de dissertation pour instruire l’esprit, aussi bien qu’en forme d
99 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
merveille.56 Mais il est temps, mon cher de F******** de finir une dissertation qui, quoique brièvement traitée, te priverait de
100 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
comment lever cette note d’infamie, puisqu’il avoue lui-même dans la Dissertation sur la condamnation des Théâtres en 1666 Pag. 244
Sat[ire]. I. 58. [NDA] Ce morceau est un précis exact de la savante dissertation de M. Boindin de l’Academie des Belles Lettres, s
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