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1 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
ciel. L’on entend une voix qui prononce distinctement ce mot au plus digne .  Dans la fable, c’est à la plus belle, mais comm
ne revenait point au sujet il a bien fallu changer plus belle en plus digne . C’est donc de quoi il s’agit, de voir si vous fa
il s’agit, de voir si vous faites paraître votre Héros comme le plus digne de l’Archevêché d’Aix représenté par la Pomme d’o
de leur espérance. Si c’est là, mes Pères, être, selon vous, le plus digne , d’un Archevêché, que de se jeter après et de s’e
étaient sur cela leurs sentiments, et qui selon eux étaient les plus dignes de ces charges. «  Que celui, dit S. Grégoire7, q
Une des principales dispositions que les Saints ont désirée pour être digne de quelque charge Ecclésiastique est qu’on s’en e
Sacerdoce qu’il refusait de l’être, et il s’en rendait d’autant plus digne , qu’il s’en publiait indigne. » Et voici le conse
cience. Exemple qui fait voir, et dans sa Sainteté qui a choisi un si digne Sujet, un parfait discernement, et un amour pour
2 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VIII. » pp. 42-43
té la Pomme, mais qu’il laisse à Apollon le soin de la donner au plus digne . Comme il n’y a en France que le Roi qui donne le
on, à qui Jupiter laisse comme à son Agent, le soin de donner au plus digne l’Archevêché d’Aix. Il faut par conséquent que Me
de l’autre, comme nous allons faire, il ne semble pas qu’il soit fort digne d’un Prélat Chrétien.
3 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
nt rester au nouveau Théâtre : si l’on ne s’était point écarté de ces dignes modèles, le Théâtre moderne aurait peu besoin de
mes y traitent l’amour avec une retenue et avec une modestie qui sont dignes d’admiration, surtout lorsqu’on les compare à la
âtre moderne, et qui peut être regardé comme un morceau éternellement digne du Théâtre de la Réformation. MANLIUS CAPITOLI
t jeune quand il la fit : mais ce n’est pas là le seul trait qui soit digne d’être remarqué dans cette Préface. Racine, à l’â
om Pedre, mariés clandestinement, s’aiment avec une tendresse qui est digne d’envie ; le tableau ne peut qu’inspirer de bons
conservât pour le Théâtre de la réforme, dont je la crois extrêmement digne . RHADAMISTE ET ZENOBIE. Au seul nom de cett
M. de la Grange, Français ; et M. Martelli, Italien : c’est une étude digne d’un homme d’esprit et de goût, que de comparer à
rompu. Je ne crois donc pas qu’il y ait rien à changer pour la rendre digne du Théâtre de la réforme. BRUTUS, de M. de Vo
agédies que je conserve, je n’ai pas prétendu qu’elles fussent toutes dignes d’être conservées en leur entier ; je sais que la
ages, comme ils punissent toutes les autres passions, alors elle sera digne du Théâtre ; parce que la représentation en devie
4 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
méchans quolibets, & dans plusieurs desquels le stile est à peine digne de ceux qu’on y fait parler ? Laissons la s’agite
ons notre Spectacle, ses cris ne forment qu’un vain murmure. Elle est digne de notre pitié, plutôt que de notre haine. Elle n
les trouver en foule, comme pour les narguer. Ils jugèrent la Chanson digne d’eux, & la jettèrent au feu. Les Compositeur
5 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
e Satan pour attaquer la maison de Dieu, qui augmente sa gloire en ce digne labeur. Il nous reprend d’assister aux Comédies.
e digne labeur. Il nous reprend d’assister aux Comédies. Nous serions dignes d’un reproche éternel, si elles étaient telles qu
et or céleste si actif, qu’il fait projection à l’infini en un esprit digne de recevoir cette manne divine. Mais où trouveron
e l’Europe, le corps, la lumière, et la vie de tous les plus rares et dignes Comiques du monde, en ceste troupe de Parnasse, n
vous puisez en Hélicon, comme vous en arrosez les esprits qui en sont dignes  : Vous pouvez adoucir ceux qui nous piquent par l
ire germer des fruits et des fleurs qui puissent apporter une moisson digne de sa culture et de notre devoir ; pour ne faire
, et nous fait avouer que la matière surmonte l’œuvre, et qu’elle est digne des honneurs qui élevèrent Hercule dans les cieux
6 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — [Introduction] » pp. -1
office, & dérobât aux injures du tems, tant de faits intéressans, dignes de l’immortalité. Comment le théatre qui a fourni
Dans Quintecurse, dans Titelive, dans Tacite, &c. tout n’est pas digne d’Alexandre, de César, d’Auguste, du nom Romain.
d’Auguste, du nom Romain. Tout dans les annales du théatre n’est pas digne des grands noms de Corneille, de Moliere, de Volt
7 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
ur le duc de Nemours Monsieur, Encore que ce petit discours ne soit digne de la grandeur de votre esprit, j’ai cru que vous
era ses ténèbres : Et parce qu’en l’entreprise glorieuse la faute est digne de pardon, j’ai cru que vous y serez aussi prompt
8 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
esque sans humilier le coupable ? ah Des Tianges, où le prends-tu ? O digne époux !… j’oserais dire, plus digne ami.… ta subl
Des Tianges, où le prends-tu ? O digne époux !… j’oserais dire, plus digne ami.… ta sublime vertu se rend petite avec moi ;
es : c’est m’en dispenser. Adieu mon sage ami, le seul homme au monde digne de ce nom envers moi. P.S. Je sens une peine, do
9 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
Sciences, malgré la boue dans laquelle le sort l’a placé, plus il est digne de notre estime. De quels rares talens ne doit-il
Théâtre moderne resta long-tems enseveli dans l’obscurité ; il était digne à son aurore des Bateleurs qui s’en emparèrent. D
ut prouvé le contraire, on cessa d’être copiste, & l’on se rendit digne à son tour d’être imité. Comment les Français
ut défendu de se servir de la parole ; mais il s’avisa d’un expédient digne lui seul de le couvrir d’une gloire immortelle. C
re paraître en dépit de ceux qui cherchaient à le détruire ; elle est digne d’être conservée aussi bien que ses autres strata
10 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
t pas ; il ne m’en faut pas davantage. Une Profession que le Roi juge digne d’un Gentilhomme est sûrement honorable, je serai
ecommandable. Cet homme, dit-il, que tout le Peuple Romain juge aussi digne de paraître sur la Scène pour ses talents, que d’
ord les choses qu’on y joue. Vos Comédies sont-elles toutes également dignes de l’approbation des honnêtes gens ? Examinons le
s, qu’on ne puisse leur donner que des louanges. C’est une entreprise digne de vous ; et si vous y réussissez, vous aurez jus
Académie Française serait chargée de cette révision ; c’est un emploi digne d’elle. Je voudrais qu’à l’avenir, ce même Corps
11 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — A SA MAJESTÉ IMPERIALE ELISABETH PREMIERE, IMPERATRICE DE TOUTES LES RUSSIES. » pp. -
songea pas à y établir un Spectacle : les soins qu’il prit, soins si dignes d’un vrai Monarque, n’eurent pour objet que le bo
ont je présente le Plan à Votre Majesté Impériale, est une entreprise digne de l’Illustre Fille de Pierre le Grand ; puisque
12 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
œurs les plus ingrats sont les plus généreux. Je me fais des vertus dignes d’une Romaine : Un cœur vraiment Romain ose tou
tif. Voilà deux Romains de la plus haute naissance. Le premier trait, digne de la grandeur et de la probité Romaine, est une
ne vraie, une sublime beauté. Voilà la vérité et la vertu. Le second, digne du plus lâche, du plus méprisable esclave, peut-i
scrit tantôt de choisir mes victimes. Je ne puis en choisir de plus digne que toi, Ni dont le sang offert, la fumée et la
e l’ai conservé que pour ce parricide. C’est par là qu’un Tyran est digne de périr. Et le courroux du ciel, pour en purge
terre, Nous doit un parricide, au défaut du tonnerre. L’ordre est digne de nous, le crime est digne d’eux. Dans le fils
ide, au défaut du tonnerre. L’ordre est digne de nous, le crime est digne d’eux. Dans le fils d’un Tyran l’odieuse naissa
ent que pour répandre un si coupable sang L’assassinat est noble et digne de mon rang. Et du sang du Tyran signez notre h
ort des Tyrans. L’esclave le plus vil qu’on puisse imaginer, Sera digne de moi, s’il peut l’assassiner. Pour tromper un
terminer sa carrière dans des flots de sang. En voici quelques traits dignes de lui, et peu dignes d’un cœur Français. « Bru
ans des flots de sang. En voici quelques traits dignes de lui, et peu dignes d’un cœur Français. « Brutus, s’il est ton fils
is les Républicains ne se font pas un crime D’immoler un Tyran même digne d’estime. Ils ne regardent pas un Tyran comme u
plus sans le secours d’un maître, Et qui donc plus que vous serait digne de l’être ? Quelle gloire pour vous en domptant
Ah ! je te reconnais à cette noble audace : Ennemi des Tyrans, et digne de ta race, Ton nom seul est l’arrêt de la mort
el. Je ne connais point ce Poète, que l’Académie Française a jugé digne de figurer avec Crébillon, Marivaux et Voltaire d
magnanime. Je brûle de répondre à leur suprême loi Par des coups dignes d’elle, et de vous et de moi. Si je me plains i
13 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
ne faudrait jamais choisir dans les faiblesses de l’amour des sujets dignes de la majesté tragique. Les Tragédies Grecques me
avidité de l’or, et toutes les passions humaines ne me paraissent pas dignes du Cothurne, et qu’il faut les abandonner à la Co
sesse d’une telle action, s’est imaginé de la relever et de la rendre digne du tragique par l’horreur extraordinaire que Rodo
as donné à cette vertu la pureté et l’éclat nécessaire pour la rendre digne d’être admirée et d’être imitée. En effet, dans l
corruption ; je ne la crois donc point susceptible de correction, ni digne en aucune manière du Théâtre de la Réforme. AS
14 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
endeur d’une nation : l’abolition des Spectacles serait une idée plus digne du siècle d’Attila, que du siècle de Louis XIV. C
regardé les représentations comme l’exercice le plus noble et le plus digne des personnes Royales. Si on trouvait dans l’Anti
15 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
s jours. Il ne veut pas qu’on examine, si les ministres du culte sont dignes de cette confiance si bien méritée, que leurs pré
itablement pour plaire aux pères de la foi et leur offrir une victime digne de leur être offerte inquisitorialement. Quelle j
issance pour lui et pour ses semblables, si un réquisitoire terrible, digne des siècles d’ignorance et de barbarie, me déclar
16 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
onne que les enveloppes les plus minces. Songez encore, si vous jugez digne du nom de Chrétien et de Prêtre, de trouver honnê
use à la pudeur, vous démentez ce dernier, qui, occupé de sujets plus dignes de lui, renonce à sa Bérénice, que je nomme parce
17 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
Méditations historiques, vol. I. récite avoir entendu d’un personnage digne de foi qu’ès contrées plus avancées vers le septe
qui font leur profit de tout. J’ajouterai ce mot, venant de quelqu’un digne de foi, pour déclaration de ce que j’ay touché en
« Ces choses me sont venues en pensée oyant raconter à un personnage digne de foi les tyrannies du malin ès contrées plus av
18 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
ruban couleur de rose. Si c’est le tour des garçons, on donne au plus digne un chapeau neuf avec une ganse & un bouton d’
cher une fleur, & permettez-nous de vous offrir une fête qui sera digne de la vertu puisque vous en faites le sujet. Tou
Tu sera dans l’histoire, Rival de Salenci ; Puissent tes habitantes, Dignes d’un tel honneur, Par des vertus constantes Mérit
s qui ont été jugé les plus vertueuses de la Paroisse, & les plus digne de la couronne, lesquels doivent le leur livrer l
filles de la Paroisse une émulation de vertu pour pouvoir s’en rendre dignes . On en a déjà vu d’heureux effets, & depuis q
19 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
er, il prélude par un étalage de sa suffisance, estimant son mémoire digne de l’attention de tout l’Univers. (p.  6.) Avis
ns la cervelle, il assure positivement que la consultation vous rend digne des éloges de l’Eglise elle-même. (Avis de l’Édi
vous devriez agir avec plus de prudence, votre choix n’est nullement digne de la sagesse chrétienne. Vous êtes de la Relig
20 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
aintenant, je l’avoue, on ne voit rien de moi Qui paraisse à mes yeux digne de ton emploi. Le Théâtre Français où mes heureus
pareilles grâces. A peine en tout un Siècle en voit-on deux ou trois Dignes de ton suffrage, et dignes de mon choix. Depuis c
en tout un Siècle en voit-on deux ou trois Dignes de ton suffrage, et dignes de mon choix. Depuis combien de temps la fidèle T
21 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
a Comédie du Misanthrope mérite d’être conservée, et qu’elle est très digne d’être admise au Théâtre. LE CHEVALIER JOUEUR,
e il était pour lui de se faire connaître par un ouvrage distingué et digne de la réputation de son Auteur, il a été réelleme
aux règles les plus sévères de la bienséance ; et par conséquent très digne d’être représenté sur le Théâtre de la Réformatio
22 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
Outre que les spectacles n’offrent pas un délassement convenable, ni digne d’un chrétien, ils n’offrent pas même un délassem
ui honorent l’humanité et la charité ? Ce sont des plaisirs bien plus dignes de nous que tous ces faux plaisirs des spectacles
pèce criminelle dans les eaux du déluge : une seule famille est jugée digne de vivre et de perpétuer sur la terre la race inf
23 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
ontes, ses poésies sont d’une saleté aussi dégoutante que vaine, bien digne d’un Poëte des Guinguettes ; il se loue lui-même
urg qui le prit chez lui,) chez qui pourtant vous engraissates. Enfin digne aspirant entrates chez les quarante beaux esprits
t le poison de ses pieces, & qui tournée vers Dieu, le seul objet digne de notre amour, fait-les grands saints. Boileau d
ntageuses, & dont cet Académicien étoit bien éloigné de se croire digne , tandis que lui, Prince de l’Eglise, y voit la r
ent Episcopal,) pour ne songer qu’à sa mort édifiante. Cet oubli est digne d’un Successeur des Apôtres qui apprétie les chos
e ses Drames neuf gros Volumes in-4°, & autant qu’on n’a pas jugé digne de l’impression ; il avoit servi avec distinction
’Abbé de Voisenon, plus fait pour le Théatre que pour le Clergé, plus digne de l’encens de Thalie que de celui de l’Eglise ;
’Eglise ; on y a joué Fleur d’Epine, Comédie en musique, parole de ce digne Abbé, musique de Madame Louis, femme de l’Archite
24 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
sa faveur, à ne rien laisser glisser dans leurs Ouvrages qui ne soit digne de charmer tous les honnêtes gens. Les vices
amp; à la Comédie-mêlée-d’Ariettes, elle ne serait pas tout-à-fait si digne de louanges, & qu’elle mériterait un peu les
rop public. Ce serait un moyen de le déguiser & de le rendre plus digne d’occuper la Scène. Mazet. Examinons si l
répand sur les Scènes qui suivent, un air d’obscènité qui ne les rend dignes de plaire qu’à des libertins. L’arrosoir est sur-
èce si vertueuse, si utile aux bonnes mœurs, se termine d’une manière digne d’elle. Mazet embrasse toutes les femmes, éxcepté
des tableaux. Je doute que les Sibarites ayent eu des Spectacles plus dignes de leur mollesse & des passions auxquelles il
25 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Siécle de Louis XV. Chap. 2. » pp. 161-170
ssemens de morts, avec des violons & des masques ; cet assemblage digne de notre siécle, qui est le siécle du théatre, es
, on crût ne pouvoir mieux travailler à son éducation & la rendre digne du Trone auquel elle étoit destinée qu’en l’amena
ur qu’on fait au théatre de le régarder comme une école noble, utile, digne des personnes Royales ; il a raison, rien de plus
26 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IV. Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être défendue par la raison des anciens Pères de l'Eglise. » pp. 90-103
é des Idoles, que l'on ne voit plus au Théâtre qu'avec des sentiments dignes des Chrétiens, je veux dire qu'avec horreur ou av
a superstition, et toute la révérence des Idoles, afin qu'ils fussent dignes des Chrétiens ; et ils furent conservés ainsi jus
27 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40
ù la vue d’un Dieu mourant, les images de sa mere & des Saints si digne de respect, d’amour & de confiance fait vomir
il est ridicule de penser à l’objet le plus intéressant & le plus digne de l’homme ! Quelles mœurs ! Faire un ornement, d
& il ne manque pas de marquer sa reconnoissance, en justifiant ce digne choix. Apellés prit, dit-on, cette femme pour mo
our frontispice, & à la tête & à chaque acte que des planches dignes du livre qu’elles ornent. On s’attend bien que le
vraie femme, qu’il épousa. La déesse Venus opéra ce prodige, il étoit digne d’elle. De cet horrible mariage naquit Paphus, Ro
e, n’a pas laissé échapper ces horreurs si fort de son goût, & si dignes de son infame pinceau ; il les a embellies par de
amorphoses. Le théatre n’avoit garde de laisser échaper des objets si dignes de ses acteurs & de ses décorations. Rien de
, L. 2. Ep. 2. fait la description de sa maison de campagne, elle est digne d’un Evêque par sa modestie & par sa simplici
28 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [C] » pp. 391-398
omposé 75 Tragédies. Ce qui nous reste des Tragiques Latins n’est pas digne d’entrer en comparaison avec les Grecs. Sénèque a
& toute la noblesse de Raphaël, succèdent de misérables tableaux dignes des Peintres de Taverne. Il fut suivi de Johnson,
s périls dans lesquels elles nous précipitent. Les Poètes Dramatiques dignes d’écrire pour le Théâtre, ont toujours regardé l’
29 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
« Nous verrons, répliqua Solon, si nos lois jugeront de pareils jeux dignes de récompense et d’honneur. » Solon lui défendit
santsc. « A Rome, la comédie fut d’abord un spectacle très grossier, digne des mœurs de ceux qui l’y introduisirent. On la r
en choisit même un pour être préfet du prétoire. Cette conduite était digne d’un prince dont la corruption n’eut pas de borne
30 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
s autres ; ce sont ces distinctions qui sont les seules véritablement dignes de louanges et désirables dans le commerce, il ne
rapport à la société que de rendre les crimes et les criminels moins dignes d’horreur. Tout le monde sait ce que c’est que Mé
t le sentiment et les opinions des criminels : et serait-ce un projet digne d’un honnête homme et d’un bon citoyen d’employer
31 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
e Spectacles, qui, quoique bien moins abominables, étoient tout aussi dignes de la juste Censure des Saints Peres, étoit la Re
Tout ce qui a rempli le Théâtre long-tems après, n’en étoit pas plus digne , à commencer par les Bandes Italiennes, amenées s
n résulte pas moins l’aveu des Auteurs, que l’impiété de Dom Juan est digne du dernier supplice. Quel est le but principal de
le à justifier, c’est encore l’affaire des Censeurs de le rendre plus digne du titre honorable qu’il porte d’Académie Royale
’on espere qu’elles produiront des effets utiles ; & une remarque digne d’attention, c’est que les Personnes les plus pie
32 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
eureusement pour nous, que cette bizarrerie ait gagné l’homme le plus digne , par sa sagesse, de nous instruire ; et par son é
tes à nous faire sentir le despotisme, n’y ont pas employé des moyens dignes d’enchaîner des hommes : mais ce mal, cet outrage
pas toute entière ; vous convenez qu’il peut y avoir quelques femmes dignes d’être écoutées d’un honnête homme. Combien cet a
onges aimables, vous vous représentez les femmes sous des traits plus dignes de l’humanité. Oui, c’est dans une nuit que votre
à fuir. Cependant l’inconnue avait des yeux charmants, un son de voix digne de passer au cœur, un teint plus vrai, plus éblou
33 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63
que, on n'en voit point de telles. On n'en a point trouvé qui fussent dignes des Chrétiens ; et on a cru qu'il serait plus cou
n Psal. 50. n. 1. D. D'autres qui passent pour dévots, sont-ils plus dignes de Foi quand ils assurent qu'ils n'y font point d
34 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
ne sois réprouvé. Il ne dit pas de peur que je ne sois pas saint, ni digne de l’apostolat, mais de peur que je ne sois damné
damner, et eux semblablement vous condamnent. Comme en effet ils sont dignes de blâme, et vous aussi, et au jugement de Dieu t
35 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
tout offre à l’esprit & au cœur de l’homme des théatres bien plus dignes de lui que ceux que la vertu lui interdit. Si vou
uceur à l’agneau & à la colombe ? &c. Un autre spectacle bien digne de vos regards, dit le même Père, c’est l’histoir
ouvrages d’une main divine, & mille autres aussi admirables, sont dignes de la contemplation d’un Chrétien ! Tous les théa
nt on ne sauroit trop s’occuper. Voulez-vous des spectacles bien plus dignes de vous, comparez la religion chrétienne & la
36 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XV. » p. 68
moins avoir montré leur portrait pour juger du plus beau, ou du plus digne . Mais comme il n’y a point d’appel du Tribunal d’
37 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
Allemands qui ont écrits & qui écrivent dans ce genre naïf, sont dignes d’être cités pour éxemple ; nos Poètes ne sçaurai
la Comédie lui donne un air fade & triste ; notre Opéra la rendra digne de charmer tous les Spectateurs par une parure si
ontel, & le Devin du Village, dont l’Auteur est si connu & si digne de l’être. Vous remarquerez que l’héroïne de la p
38 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre II. Du Théâtre Moderne, & de celui des François. Celui-ci comparé au Théâtre Grec. » pp. 25-38
éplorable enfance. La raison s’éleva contre des divertissemens si peu dignes d’hommes sensés. Des traits de lumiere qui perçoi
ent Coloris. Le pere de la Scène Françoise y fut remplacé par le plus digne rival que la nature ait pu lui opposer. Et en cel
39 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
sujet que je ne regarde point comme indifférent. Je crois que le but digne de la Tragédie, est d’élever notre âme par des ve
regarder que comme une Poésie Pastorale, que comme un Poème vraiment digne de notre Opéra, où l’on n’observe d’autres lois q
40 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
esse de Lacédémone à la politesse d’Athènes. Une autre considération, digne d’une République si sage et si éclairée, devrait
nts sages, protégés ensuite et même considérés dès qu’ils en seraient dignes , enfin absolument placés sur la même ligne que le
41 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
Scène du troisième Acte, rendraient son caractère plus grand et plus digne de la majesté tragique ; on ne le verrait balance
ant donner une maîtresse à Télémaque ; et n’en trouvant point qui fut digne de lui parmi les personnages que son sujet lui fo
’instruire et de corriger. Je pense donc que, pour rendre cette Pièce digne du Théâtre de la Réformation, il faudrait faire c
, est d’une espèce à laisser longtemps en suspens, si cette Pièce est digne ou n’est pas digne du Théâtre de la réforme, et s
à laisser longtemps en suspens, si cette Pièce est digne ou n’est pas digne du Théâtre de la réforme, et si l’on doit ou la c
42 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PREFACE. » pp. -
, ni des Comédiens. Il y en a même parmi ces derniers qui me semblent dignes à tous égards de l’estime et de l’amitié des honn
43 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Spectacles des Romains en general. » pp. 7-8
ins ont esté plus digerez, plus specieux, plus magnifiques & plus dignes de l’observation des curieux. Ie les ay tous redu
44 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
l’Histoire, doivent nous faire présumer qu’ils avaient des Spectacles dignes de leur grandeur & de leurs richesses. Je pen
observer qu’on ne la trouverait pas deux cents ans après dans un état digne de pitié, s’ils l’avaient élevée au point que je
a dévancer quelquefois. C’est ainsi que le Théâtre Français se trouva digne tout-à-coup d’attirer tous les regards. Deux homm
soit pas charmé de savoir ce qui le fit naître en France. Mais il est digne d’avoir un Chapitre à part. 2. Tous ces différ
45 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Av Roy. » pp. -
mp; dont les Images puissent fournir quelque Idée d’un divertissement digne de V. M. Je sçay bien que tous ses momens sont pr
46 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
rmine leur fin qu’en celle de l’éternité. S’il leur faut des louanges dignes de leurs mérites, imitez ce Dieu dont vous avez l
47 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Mêlanges Dramatiques. » pp. 8-39
ere, & tout le public : ce qui n’est, ni édifiant, ni honnête, ni digne d’un grand prince. C’est une actrice qu’on peint
les génies jusqu’aux chats. Ces futilités semées de traits d’esprit, dignes d’un meilleur sort, doivent leur chûte & cell
t servi la Religion & l’Etat, si leurs talens avoient eu un objet digne d’eux. Ce sont des diamants qui embelliroient la
oyers, toute pleine du Théatre, comme il paroît par ses écrits, étoit digne d’avoir ce goût. Vaine, haute, bisare, médisante,
Cythere, aux fétiches des negres, un culte lascif & insensé, bien digne des divinités qu’on y adore. Le Dieu des Chrétien
récipice. Voici qui est plus absurde. Pour prévenir l’abus, pasteurs dignes d’être éclairés (par un si habile docteur), assis
48 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
ents, de les effacer s’il se peut, et de les changer, ne sont-ils pas dignes de toute sorte de blâme ? A la vérité, tandis que
saint, à ramener tout à soi-même et à scandaliser les gens de bien ! Dignes objets de la faveur du Théâtre Anglais ! ce sont
et épouse un riche parti. Mais alors le Poète lui donne des qualités dignes de son rang, et ajuste ses sentiments à sa situat
sme et le dérèglement des mœurs ne sont-ils donc que des peccadilles, dignes uniquement de compassion ? et les hommes ne sont-
nction semblable à celle de Don Sébastien,P. 129. et par une modestie digne sans doute d’une Princesse, se trouve dans les mê
e de faquin ; son père l’eût-il laissé Duc en mourant. » Le trait est digne d’un homme sans façon. C’est-à-dire que M.W.av ne
49 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Fautes à corriger. »
, & l’Il-est-possédé : les deux premières sont des chefs-d’œuvres dignes de notre Théâtre. J’ai ouï dire que monsieur Moor
50 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madame de Nemours  » pp. -
e, leur donner l’odeur et la couleur pour les rendre offrande pure et digne de l’Autel ; le respect et la crainte m’en eussen
51 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
ine Majesté. Tout y est spirituel, salutaire, et propre à nous rendre dignes du Royaume du Ciel. Ce sont là les Spectacles que
52 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
ations : oui, puisqu’il nous faut une Scène, ces Drames sont les plus dignes de s’y montrer (je ne parle ici que de la Tragédi
s l’Examen de cette Pièce, que l’ambition lui paraît la seule passion digne de la Tragédie, parce qu’elle est toujours grande
ontiers ; ce grand homme, le premier Philosophe de bonne-foi, le plus digne de ce nom, depuis Socrate, dit, si je m’en souvie
ant de cas que je le dois des Pièces de Féerie ; mais je ne les crois dignes que du neuvième rang. Vous voyez, par la dixième
ns a notre sujet. Je ne vois encore que très-peu de Comédies-Ariettes dignes du Théâtre national. Des Arcis. Le nombre pe
aire, & un salutaire encouragement, pour la Jeunesse, à se rendre digne de l’estime & des applaudissemens du Public ;
e, dans les deux sexes, trouvera donc, par ce moyen, un établissement digne de lui. Je reviens encore à la Noblesse. Quel mal
lé, d’en faire de la farine, des gâteaux, le pain ; invention divine, digne de l’apothéose, s’il était au pouvoir de l’humani
gazon construit par le Père d’Ismael & d’Isaac n’était pas aussi digne de Dieu, que le Temple somptueux de Salomon. Un c
lte de ses Dieux : elle vit dans les Acteurs des hommes d’Etat, aussi dignes de sa considération, de son estime, que ses Prêtr
’univers n’est qu’un coupe-gorge jusqu’à Charlemagne. Ce Prince était digne d’être grand homme ; mais pouvait-il l’être ? con
ncoliques, neuves ; voila, dis-je, ce que l’homme non-poli trouverait digne de l’homme : vous verriez alors, s’il est capable
issement de la raison, & l’opprobre de l’humanité ; Religion bien digne de l’Arabe héros & fou qui l’inventa ; bien d
; Religion bien digne de l’Arabe héros & fou qui l’inventa ; bien digne , à tous égards, de ses succès, si l’on doit mesur
ui firent le succès des anciennes Tragédies Grecques. Quel sujet plus digne d’être traité, que l’héroïsme d’un homme qui prof
ie. Ces Acteurs & ces Actrices, tels que les voila, sont-ils bien dignes de l’estime publique ? C’est en exposant des fait
s-d’œuvres de nos grands hommes, passer par des organes véritablement dignes d’eux ; c’est alors que le danger n’existerait pl
t une autre. Détruisons ces deux sources du mal, en nous procurant de dignes Acteurs, & rejetant toutes les Pièces libres 
a un Romain d’accomplir le vœu insensé qu’il avait fait pour sa vie : digne récompense de l’adulation basse de ce voteur, en
53 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
d’embrouiller par des raisons frivoles à la vérité et qui ne seraient dignes que de mépris s’il était permis de mépriser le pé
54 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VI. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Romains. » pp. 145-175
rofession, il a reçu de Ciceron ce grand éloge, qu’il paroissoit seul digne de monter sur le Théâtre, & seul digne de n’y
oge, qu’il paroissoit seul digne de monter sur le Théâtre, & seul digne de n’y pas monter. Quiconque excelloit dans un Ar
és que le Terrible, & le Plaisant. Il falloit à Rome des Théâtres dignes d’une Ville devenue la maîtresse de l’Univers. Po
Comédie qu’il ait pu louer, & ne lui a fourni que deux Tragédies dignes de ses éloges, le Thyeste de Varius, & la Med
55 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
uis un démon vêtu de chair et habillé en homme, un libertin, un impie digne d’un supplice exemplaire. » », comme lui-même se
r, ni par les motifs de son propre salut. Certes Molière n’est-il pas digne de pitié ou de risée, et n’y a-t-il pas sujet de
tre reçu à pénitence sans une réparation publique, ni même qu’il soit digne de l’entrée de l’Église, après les anathèmes que
uis un démon vêtu de chair et habillé en homme, un libertin, un impie digne d’un supplice exemplaire. » En sa Requête.[NDE] D
56 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
tez les Atrée, les Catilina, les Œdipe, le Misanthrope même, ouvrages dignes d’immortaliser le génie de leurs Auteurs ; mais p
t de mériter une couronne, que de la porter, était un personnage plus digne de charmer un Philosophe, que d’occuper un grand
t-elle peinte, dans ce tableau, sous des traits qui vous semblent peu dignes d’elle ? Et demanderez-vous aux spectateurs, de q
enève, mais utile et même nécessaire parmi nous ? N'était-il pas plus digne d’un Ecrivain éloquent, d’un Philosophe, d’échauf
57 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
ces folies, on leur persuade de les faire, et on se rend encore plus digne qu'eux de la condamnation qu'ils ont méritée. Si
u'une feinte, dites-vous, c'est pour cela même que ces personnes sont dignes de mille morts d'oser exposer aux yeux de tout le
plus agréables que ceux-là. Les Barbares ont dit autrefois une parole digne des plus sages d'entre les Philosophes: Car enten
58 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
ance. Cet exemple est si beau, & la Lettre est, à tous égards, si digne d’être conservée, que nous la déposons toute enti
es plaisanteries, si les gens sensés & vertueux, si les Ecrivains dignes de servir la Religion, si les ames honnêtes &
59 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XII. Du Dimanche et des jours des Fêtes. » pp. 54-66
parvenir à l’état bienheureux qu’ils possèdent ; afin de nous rendre dignes , par l’imitation fidèle de leur vie, de participe
in ce saint nom dont vous êtes honorés, et qui désirez vous en rendre dignes par votre conduite ; écoutez avec attention les a
60 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
on doive désespérer que votre exemple tire à conséquence. Sentez-vous digne , je ne m’y oppose pas, de la devise : Vitam impe
61 (1715) La critique du théâtre anglais « DESSEIN DE L’OUVRAGE. » pp. -
esprits, et le pouvoir de remuer les cœurs, ne deviennent des talents dignes d’éloges que par le bon usage L’Anglais dit : So
62 (1677) L’Octavius « Paragraphe XII du texte latin » pp. 42-46
andes sur les sépulcres : On vous voit toujours pâles et tremblants ; dignes certes de miséricorde, mais de celle de nos Dieux
63 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VII. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. » pp. 13-14
ne Sara ? Avec quelle indifférence n’écouteroit-on pas ces paroles si dignes d’époux chrétiens :  Tob. 8. 5. Nous sommes les
64 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Avertissement. » pp. -
rmantes, sur-tout par l’Ecole de la jeunesse, où l’on voit des Scènes dignes de la bonne Comédie, remplies de sublime & de
65 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
raient embrasser la défense. Aucun examen, sans doute, ne serait plus digne d’un Gouvernement aussi sage, aussi éclairé, auss
-elle ? des vérités dures, des imprécations, des malédictions, enfin, digne salaire de son insolence & de sa turpitude. S
emparts, qu’elles renferment un intérêt bien vif, bien pressant, bien digne d’émouvoir l’ame d’un galant homme : de mon côté,
terre ? Cette fatuité, qui dans son principe ne paraît qu’un travers, digne , tout au plus, de pitié, dégénere toujours en un
présenter ordinairement aux Trétaux, que de ces ouvrages abominables, dignes fruits du loisir d’un tas d’Ecrivains affamés, qu
ose hardiment en vente dans ses magasins du Boulevard ? Ces sentimens dignes d’un Religieux & d’un Chrétien, n’ont rien, M
is Goût & de la Débauche ; ce grand Magistrat, dont toute la vie, digne d’une meilleure fin, fut consacrée à la gloire &a
ut son éclat ; il l’aime, cette Vérité sainte, il l’accueille, il est digne de l’entendre. Ce jeune & vertueux Monarque,
r les premiers & les derniers coups à ces Spectacles corrupteurs, dignes , à la fois, de la stupide ignorance & de la g
cure du Peuple, peut, si on ne lui donne que des idées saines, mâles, dignes , en un mot, de l’excellence de son être, faire un
ais que l’on substitue aux Spectacles du Rempart, des Spectacles plus dignes de la Nation, des Spectacles capables de ramener
s verrons insensiblement se reproduire une nouvelle génération d’Etre dignes du grand Roi qui nous gouverne, des Ministres &am
! ah ! mon Dieu ! devraient être retranchées. 9. Plusieurs personnes dignes de fois, m’ont assuré, qu’un certain nombre de gr
66 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
e, qui se présente ici d’une manière trop frappante pour n’être point digne d’une considération sérieuse. Des personnes dévou
xquelles vous avez dit anathème ; faites voir qu’il en existe de plus dignes de ce nom, auxquelles vous n’avez point de part :
cuper comme d’une affaire qui leur est particulière, et d’autant plus digne de leurs regards, qu’elle regarde la destinée gén
as mieux que celles d’Aristophane ; cent petites farces d’une licence digne de la sévérité de la police. Et quant aux maximes
es donnés à Auguste, en remercioit le parterre avec des protestations dignes de la plus profonde modestie. Voyez Phèdre l. 5,
67 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
emple instruisant le fidele, Le bon Medard, des Prélats le modele, En digne Apôtre, en Saint vivoit jatis ; Un vain blason n’
te : tous les habitans d’une voix unanime la choisirent comme la plus digne de la couronne. La faveur n’y eut point de part,
exacte dans la distribution des récompenses de la vertu, les a rendus dignes de la faire : le public a toujours applaudi à leu
s estimées : c’est mériter l’estime de tout le monde que d’être jugée digne de concourir. Cette récompense, de l’aveu de Fava
lliers, pour par eux nommer séparément la fille qui lui paroître plus digne du prix. On l’avoit annoncé au prône. Le Curé n’e
68 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXI. Si les Comédiens épurent les mœurs. Des bienséances qu’ils prétendent avoir introduites sur le Théatre » pp. 86-103
t eu. « Roscius est un si excellent Acteur, dit-il, qu’il paroît seul digne de montrer sur le Théatre : mais d’un autre côté
tre : mais d’un autre côté il est si homme de bien, qu’il paroît seul digne de ni monter jamais. Pour Quint. Rosc. Traduct. d
69 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
ement pour prouver la nécessité de les rétablir. Après cette apologie digne des Mémoires Turcs, on ne fera plus si amèrement
ssion ! quelle image !). Mais elle n’étoit ni capable ni certainement digne , de quoi ? devinez, de sentir l’amour. Quel mérit
l’amour. Quel mérite éminent en effet ne faut-il pas avoir pour être digne d’être amoureux ? Qu’ils sont donc grands les Hér
, c’est un mérite aux yeux de notre chaste Ecrivain : elle étoit plus digne de sentir l’amour que Catherine de Médicis. On au
on davantage quand on veut en faire des leçons aux Rois ? Elles sont dignes d’un tel maître. P. 30. Il est très-utile qu’un R
is je sais que l’illustre Daguesseau, un de ses successeurs, vraiment digne de cette grande place, pensoit bien différemment.
70 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre I. Que les Danses ne sont pas mauvaises de leur nature. » pp. 1-5
nt conclure que ce serait abuser de ces exemples, qui sont Saints, et dignes de vénération, de vouloir s’en servir pour excuse
71 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
la Brillant, &c. Il n’est bruit que du brillant début de la Hus, digne élève de la Clairon, peut-être sa fille. C’est la
omédien Grandval, en 1751, de composer & de faire jouer une piece digne de lui, intitulée Gasparibout. C’est un tissu d’o
archands a fait pour quarante mille livres de dépense extraordinaire ( digne emploi des deniers de la ville). Habits, décorati
noncer, à composer, à enfanter Catilina, sa derniere piece, assez peu digne des autres, qui fut d’abord bien reçue par égard
72 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
p; justes à la fois, A qui l’on permet d’étre Rois, Parce qu’ils sont dignes de l’être. Le sage ne connoît donc pas les Rois
permission de leurs Sujets, qui ne la leur donnent que quand ils sont dignes de l’être ? La Czarine à qui on a écrit ces belle
ribue à une religieuse défroquée & peu scrupuleuse, & qui est digne de l’être ; ce roman n’a que le mérite de l’éléga
leau, qui étoit lié avec lui, & avoit vu ses ouvrages, ne le crut digne ni de ses satyres, ni de ses éloges, & lui-mê
d Prétre Chanlieu, Pontife un peu gouteux, mais Célébrant fidele ; Si digne en tout des Prêtresses du lieu,              Et c
73 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Des Spectacles des Grecs. » pp. 3-6
Pour ce qui est de leurs divertissemens, il s’en trouve peu de choses dignes d’vne remarque particuliere : on y courut sur des
74 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre X. Des entrées faites aux Rois & aux Reines. » pp. 205-208
st charmé beaucoup plus que certains artifices de nos ayeux, quoy que dignes d’admiratiõ par exẽple, celuy dont parle Bellefor
75 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
tes d’obscénités : aujourd’hui que le Théâtre est épuré d’une manière digne de la Raison & de la Philosophie, il serait i
76 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
dans les deux Discours sur la Comédie, quelque chose qui vous a paru digne de votre attention ; mais tout ce qu’on en a dit
77 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
ait partout les soupçons et la défiance contre les ministres les plus dignes de vénération, et mêlait astucieusement ses cris
rendre l’objet des taxes publiques. Ce soin paternel, sans doute, est digne de notre reconnaissance sous plus d’un rapport. M
précédentes, établit ainsi le vrai caractère qui distingue le prêtre digne de ce nom, du misérable fanatique qui le déshonor
r expirer, son neveu, l’honnête homme de la pièce, s’occupe, avec son digne cortège, des soins que les lois paient de la cord
oient mieux gouvernés ? Il peut y avoir dans le monde quelques femmes dignes d’être écoutées d’un honnête homme ; mais est-ce
les affections des amants, quand l’objet de leur adoration lui paraît digne de ses hommages : ce qui me rappelle ce vers ingé
f-d’œuvres pour courir en foule à Jocrisse ou à Madame Angot ? Est-on digne d’admirer la sage politique d’Auguste, ou la nobl
oble crapule, ou de la plus affreuse misère36. Sont-ce là des objets dignes de fixer l’attention publique, et si le théâtre,
homme Misère ? Je pourrais porter plus loin l’énumération des pièces, dignes par leur objet et leur but, d’intéresser les spec
n exemple éclatant. Mais elles n’en offriront peut-être point de plus digne des hommages de la postérité, que celui qu’ont of
ronnes et de trophées publics ; mais, de nos jours, seraient-ils bien dignes d’exciter son désir ? La frivolité de notre siècl
ie la nature entière, la carrière de l’avocat, lorsqu’il est vraiment digne d’en porter le nom, est donc toujours grande et s
oquence, qui aurait dû choisir, avec une autorité absolue, des sujets dignes d’elle dans les autres conditions, est obligée, a
ons plus voir que des cœurs droits et désintéressés, que des orateurs dignes d’en porter le nom, et d’en offrir les talents et
des Cochin, des Séguier, des Gerbier, et de quelques autres orateurs dignes d’être inscrits, comme eux, au temple de mémoire.
sérieux examen je trouve aujourd’hui la seule raisonnable et la seule digne de fixer un cœur droit, un esprit éclairé, mais j
78 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
le l’entendre (suivant la remarque de Denys d’Halicarnasse) n’est pas digne de Socrate. Sans chercher les raisons qui ont pu
ire nouée, & qu’elle soit une imitation de choses terribles & dignes de compassion Φοβερων και ἐλεινων car c’est-là le
tombent du bonheur dans le malheur, car cela ne seroit ni terrible ni digne de compassion, mais bien cela seroit détestable &
rrible ni digne de compassion, mais bien cela seroit détestable & digne d’indignation μιαρον. Il ne faut pas non plus int
que pour ses semblables : ainsi cet événement ne sera ni terrible, ni digne de compassion. « Il faut donc que ce soit un homm
is à mort par Judith. Mais quand il ne nous émeut que pour des sujets dignes de larmes, il excite en nous un sentiment qui ne
soient toujours attentifs à ne nous faire pleurer que sur des Sujets dignes de larmes. Le danger de la Tragédie n’est pas de
79 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
de la Lettre ; mais ç’a été pour plusieurs autres raisons tout à fait dignes d’eux. En effet, ils étaient convaincus, qu’on ne
t souvent pour perdre les hommes.Eccles. c. 9. Cependant, ce qui est digne de larmes, dit le Cardinal Bellarmin,Bellar. l. 2
ellents hommes qui ont été des modèles de vertus, n’a rien eu de plus digne de censure, que cet amour excessif pour les spect
80 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIX. Les Spectacles condamnés par les saintes Ecritures. » pp. 164-167
difiant ; s’il y a quelques vertus parmi les hommes, et quelque chose digne de louange dans la discipline, c’est ce que vous
81 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXIII. Impossibilité de réformer entièrement les spectacles. » pp. 191-194
ou plaisantes et bouffonnes, on n’en trouverait pas une seule qui fût digne d’un chrétien ; on a cru qu’il valait mieux détru
82 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « LIVRE QUATRIEME. » pp. 1-3
que le théâtre ne loue, n'enseigne, n'inspire. Il est par conséquent digne de tous les anathèmes, fût-il même exempt de gala
83 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112
L’approbation de Scarron étoit à sa place : c’est un éloge burlesque, digne du sujet. Il est appelé l’Abbé Scarron, il n’avoi
t point à la vettu. C’en est assez, c’en est trop sur un homme si peu digne d’occuper les gens de bien & les gens de lett
oujours plein d’honneur, de probité & fidélité, avec de sentimens dignes de sa naissance ; fort supérieur aux frivolités d
le public verra qu’ils se sont proposés de rendre les representations dignes de mériter son suffrage. (Expression qui n’est p
, soit que généreusement il voulût lui faire indirectement un présent digne de lui, quoi qu’il en soit, ce riche Financier pr
u du Vesuve comme la premiere Sodome l’avoit été par le feu du ciel : digne punition de ses désordres, leçon épouventable que
84 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
onnus, l’ont conduit plusieurs années avec toute la sagesse possible. Dignes appréciateurs des talens qu’ils employaient, ceux
ussi un caractère à èxprimer ? Qu’il y a là de visages peu èxpressifs dignes d’être couverts ! Il est vrai qu’on a remarqué qu
le ; ils partent d’une cause tout-à-fait relevée : ils sont donc plus dignes de la majesté du Drame lyrique. Qu’on peut me
dans les Poèmes lyriques qui portent le titre de Tragédies, doit être digne de la majesté de Melpomène ; le chant èxprime la
tre la commune opinion : je prouve de plus que celui des Français est digne de plaire, non-seulement à ceux qui ne chérissent
magnifique ; celui de l’Opéra-Bouffon n’offre sûrement rien qui soit digne de lui être comparé. L’un nous transporte dans un
85 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
r des beautés. On prodigue les unes, sans trop s’attacher à se rendre digne des autres. De-là ces brigues qui nous divisent e
e pas appercevoir. Quand on est capable de se prévenir, on n’est pas digne d’être juge. On ne l’est plus quand on a un autre
86 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
ignés de la sainteté des Fêtes. Ils croient par un erreur étrange, et digne de larmes, qu’ils ne célèbreraient pas dignement
des Démons. Celui qui délivre son frère d’un si grand péril, se rend digne d’une récompense éternelle ; et celui qui néglige
87 (1825) Des comédiens et du clergé « Table des matières, contenues dans ce volume. » pp. 409-427
çoivent des brevets de la société de la Mère Folle de Dijon, qui sont dignes des Ribauds les plus caractérisés, pag. 323. Les
us le nom de Mère Folle à Dijon, et en recoivent des brevets qui sont dignes des Ribauds les plus caractérisés, 323. Ligue (p
88 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVI. Efficace de la séduction des Spectacles. » pp. 36-39
ne comment elles y sont entrées, afin de leur faire porter des fruits dignes de mort, Rom. 7. 5. ut fructificent morti. . « 
89 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236
r faire les divertissements du peuple, par des actions et des paroles dignes de la plus grande sévérité des Lois, et qu'ils on
90 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
mal des spectacles ? Sans m’arrêter ici à déplorer un aveuglement si digne de larmes, apprenons-leur donc aujourd’hui quel e
euses, voir des indécences, &c. Je vous le demande, s’il est bien digne d’un Chrétien dont les pensées doivent être toute
s, la fréquentation des spectacles doit être regardée comme une œuvre digne de lui. Pourriez-vous bien dire que c’est par l’a
eux-même qui l’écoutent ? Il est triste d’entrer dans ces détails peu dignes de la Chaire chrétienne ; mais il le faut pour éc
x & ses veilles ; ce grand maître si vanté parmi nous, & trop digne de cette funeste immortalité ; à qui la grace ouv
y soit Chrétien. Il est des spectacles, dit saint Cyprien, bien plus dignes de vos regards, que ceux que les hommes vous offr
unis que dans les folles représentations du théâtre. Spectacles seuls dignes d’un Chrétien.S’il vous faut de beaux objets pour
criminelles représentations du théâtre. Voilà des spectacles vraiment dignes des Chrétiens, continue saint Cyprien ; voilà des
se cite lui-même en témoignage ; & avec cette noble franchise si digne d’un vrai Pénitent, il avoue que c’est sur le thé
s obstiner à la prodiguer toujours ainsi ? Quels sont les spectacles dignes d’un Chrétien ?Ah ! Chrétiens, s’écrioit Tertulli
ir aux spectacles c’est faire outrage à la Religion. Spectacles seuls dignes d’un Chrétien. Suite du même sujet. Exorde. Les t
de l’innocence n’est pas une perte legere. Quels sont les spectacles dignes d’un Chrétien ? Reproche de Tertullien à ceux qui
91 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
passant, ce défaut qui part d’une extrême vivacité est peut-être plus digne d’envie que cet engourdissement, qui en retreciss
92 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
édifiant : s’il y a quelque vertu parmi les hommes, et quelque chose digne de louange dans la discipline ; c’est ce que vous
93 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128
u couronnement d’un Pape ? Et un passage de l’Eglise au théatre, bien digne du Clergé Romain ? Un Pontife à la tête ? Ce scan
y avoit pourtant partout des hommes de mœurs très-pures, des Pasteurs dignes de l’être, des Réligieux soumis de cœur à leurs v
amp; de sa retraite par la conversation des hommes de génie. Il étoit digne de les entendre. Il n’étoit étranger dans aucune
oient ne pouvoir mieux louer un Roi, un Héros, qu’en disant qu’il est digne d’entendre Corneille, Voltaire, parce qu’en le lo
ue si on demandoit pourquoi on m’en a dressé. Cet homme si estimé, si digne de l’être, n’a jamais eu que le nom & la dign
94 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
urs étrangers, il ne loue que Neuton, grand génie, il est vrai, & digne de l’eloge : mais il n’est pas le seul ; l’Espagn
tés dramatiques, & veuille occuper ses lecteurs, comme d’un objet digne d’eux, des jeux pernicieux, que le gouvernement n
amp; de l’âne, où tout le monde dansoit. Pour rendre les ballets plus dignes de la divinité, les prêtres de Memphis y peignoie
ouve ton projet, j’aime ta fantaisie. C’est un prix singulier, aussi digne de lui que peu digne du Prince. C’est à table su
me ta fantaisie. C’est un prix singulier, aussi digne de lui que peu digne du Prince. C’est à table surtout que brille Anac
95 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
ine, avant leur conversion, & sur-tout avec Moliere. Ils étoient dignes l’un de l’autre , dit-on : cela peut-être ; mais
oit fait naître, l’estime la fortifioit sans cesse. Ce portrait étoit digne de l’auteur du Misantrope, & de celui qui pei
lafond n’est pas moins magnifique : il représente le Parnasse. Il est digne à tous égards de couronner ce superbe bâtiment, o
omme il joua Pourceaugnac & George Dandin. Belle vengeance ! bien digne d’un comédien. La servante qu’il avoit débauchée,
ubornation pour changer de maître (grand intérêt pour le public, bien digne des frais de l’hypocrisie ! Le Tartuffe de Molier
96 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
tre, que je veux le savoir. » Le reste de la page est d’une éloquence digne de la plus furibonde harengère : « Prends-tu donc
etien que Bienmasqué et Rend-grâce P. ont ensemble dans Le Fourbe est digne de remarque. Bienmasqué projette d’enlever à Mell
le portrait de tout l’ordre Ecclésiastique. Ce plaisir-là n’est guère digne d’un Protestant et ne fait pas beaucoup d’honneur
hrist.Matth. 27. Act. 4. Le Grand Prêtre Joïada fut jugé une alliance digne de la famille Royale ;Vid. Seld. de Synedr. il ép
Et ceux-là sont-ils propres à corriger l’Eglise qui ne sont pas jugés dignes d’y être admis ? De plus, pourquoi s’en prendre à
97 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
que dans l'esprit des hommes et dans les livres de Poétique, il n'est digne ni d'approbation, ni de blâme. Ce n'est pas aussi
is trente ans en France sont exemptes de ces vices, ne sont-elles pas dignes du même blâme que nos Tragédies et Tragi-comédies
eu d'employer les jours saints à racheter leurs péchés par des fruits dignes de pénitence, les donnent à des divertissements d
98 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre I. Est-il à propos que la Noblesse fréquente la Comédie ? » pp. 3-19
e, et de l’autre, de regarder les représentations comme des exercices dignes d’un Roi ». Mais lui qui tour à tour approuve et
sme pour flatter des Princes qu’il mettait au rang des Dieux ? Il est digne de nos autels, son tonnerre inspire l’effroi, il
ambulante, dont les rues étaient le théâtre. Ces funérailles étaient dignes du Comédien couronné à qui on les faisait. Je ne
99 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
u croire que Messieurs de Port-Royal avaient adopté une Lettre si peu digne d’eux ? Ne voyez-vous point qu’elle rebat cent fo
e, un Marquis extravagant, et tout ce qu’il y a dans le monde de plus digne de risée. J’avoue que le Provincial a mieux chois
100 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
ans leur révolte contre l’Eglise ? N’en est-ce pas un autre non moins digne d’être expié par la pénitence, que de contribuer
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