st que quoiqu'un Concile d'Afrique, tenu l'an 424 se soit contenté de
demander
aux empereurs qu'ils défendissent tous les Specta
approuver et les permettre les autres jours. La raison qui le porte à
demander
cette défense aux Empereurs en est une preuve man
extrême prudence, se contente de faire trois choses. La première, de
demander
que par le respect qui était dû à la véritable Re
ccupée à honorer Dieu, pendant les grandes solennités. La seconde, de
demander
que les Chrétiens ne fussent point contraints à ê
28. ou 61. selon le Code des Canons de l'Eglise d'Afrique. Il faut
demander
aux très-pieux Empereurs Théodose et Valentinien,
contraindre de reprendre son premier métier. Les Pères de ce Concile
demandent
l'exécution d'une Loi que les Empereurs Valens, G
ments qui sont si dangereux : et pour vous le faire voir, c’est qu’il
demande
à ceux qui vont au bal et à la comédie des dispos
our de ces divertissements. Remarquez les trois réflexions qu’il leur
demande
. 1. Il leur demande qu’après qu’ils sont retourné
ements. Remarquez les trois réflexions qu’il leur demande. 1. Il leur
demande
qu’après qu’ils sont retournés du bal et de la co
té de les détruire, d’autant qu’on ne peut faire ces réflexions qu’il
demande
, sans en avoir de l’horreur. S’il arrive qu’une D
yer d’artifice, est attaché au bal, à la danse et à la comédie. Si je
demande
à une Dame du monde, quel dessein avez-vous, quan
orte, qu’il lui promit avec serment de lui donner tout ce qu’elle lui
demanderait
. Cette fille ayant été instruite auparavant par s
ment dans un plat la tête de Jean Baptiste. Le Roi fut fâché de cette
demande
; néanmoins à cause du serment qu’il avait fait,
X. Dieu ne
demande
proprement des hommes que leur amour ; mais aussi
eu ne demande proprement des hommes que leur amour ; mais aussi il le
demande
tout entier. Il n'y veut point de partage. Et com
cune attache de cette sorte sans la condamner, sans en gémir, et sans
demander
à Dieu d'en être délivré : et il doit avoir une e
XI. Dieu ne
demande
proprement des hommes que leur amour : mais aussi
eu ne demande proprement des hommes que leur amour : mais aussi il le
demande
tout entier. Il n'y veut point de partage. Et com
cune attache de cette sorte sans la condamner, sans en gémir, et sans
demander
à Dieu d'en être délivré ; et il doit avoir une e
est la maîtresse des fous, a quelque pouvoir sur l’esprit des sages,
demandez
, s’il vous plaît, à toutes les bonnes âmes qui se
vous plaît, à toutes les bonnes âmes qui se sont bien données à Dieu,
demandez
à tous les religieux qui ont été autrefois du mon
r été au bal. Quand quelqu’un de vos camarades est au lit de la mort,
demandez
-lui s’il ne se repent pas d’y avoir été, et s’il
me promirent de leur part un silence que je n’avais pas songé à leur
demander
. Je me rendis facilement à ces raisons ; je crus
tes leurs Visionnaires, imprimé en Hollandeb. Ce n’est pas qu’on leur
demandât
cette seconde édition avec beaucoup d’empressemen
ritable sens de Jansénius. A l’égard des faussetés qu’il m’impute, je
demanderais
volontiers à ce vénérable théologien en quoi j’ai
la terre ne les obligerait pas de l’avouer. Toute la grâce que je lui
demande
, c’est qu’il ne m’oblige pas non plus à croire un
Luc. 18. Seigneur faites que je voye. S. Luc ; chap. 18. C’EST la
demande
qu’un pauvre Aveugle fait au Sauveur du monde dan
la lumiere du jour. Faites-moy voir, puisque vous avez la bonté de me
demander
ce que je souhaite que vous fassiez en ma faveur.
e me demander ce que je souhaite que vous fassiez en ma faveur. Cette
demande
, Messieurs, étoit sans doute bien juste ; & s
ne vois pas ce que cet homme, dans l’état où il étoit reduit, pouvoit
demander
qui luy fût plus necessaire, Domine ut videam.
exposer pour satisfaire une vaine curiosité, au danger de leur salut.
Demandons
pour ce sujet les lumieres du ciel, par l’interce
entre les plus innocens. C’est pourquoy l’on insiste ordinairement à
demander
, s’il y a peché mortel d’assister au bal & à
en usage, & où l’on fait le moins de scrupule de se trouver. L’on
demande
une réponse precise ; mais comme j’ay apporté tou
ces divertissemens. Je pretends donc satisfaire suffisamment à vôtre
demande
, en vous répondant que c’est peché, & même pe
la plus dangereuse de toutes les passions ; ces personnes, dis-je, me
demandent
, s’il y a peché grief de voir & d’entendre ce
cette passion, à quoy elles n’ont que trop de panchant ; n’est-ce pas
demander
s’il y a du peché à chercher l’occasion du peché,
vous-mêmes un feu que vous avez tant de peine à éteindre, & vous
demandez
, si l’on peut chercher de quoy l’embraser ? Vous
s pas défendu par les Lois ni divines, ni humaines ? C’est la seconde
demande
, Messieurs, à quoy j’ay dessein de satisfaire en
n écueïl funeste à la dévotion. Ce qui fait que le saint Roy Prophete
demandoit
instamment à Dieu, qu’il luy fit la grace de déto
, poussant à la révolte ce fils & cette fille pour qui elle avoit
demandé
grace en les condamnant. Un autre trait aussi sin
t-elle, le plus malheureux des hommes. Ce bon Prince baisse la tête,
demande
grace, & se retire. La voilà sur le trône, fa
un bâtard de Henri IV. Cependant le Prince de Conti deux ans après la
demande
avec empressement & l’épouse. Le même Cardina
même Cardinal refuse sa niece à Charles II. Roi d’Angleterre, qui la
demandoit
, & la donne à un simple gentilhomme qui ne la
e, qui la demandoit, & la donne à un simple gentilhomme qui ne la
demandoit
pas, & à qui il fait prendre son nom. La vie
on changea si bien qu’on vint à ses pieds abjurer les plaisirs, &
demander
grace. Le Duc de la Rochefoucault y abjura ses am
lui fit un procès en forme. Elle présente requête au Parlement, pour
demander
justice de la détention de ses fils & de son
e son gendre. Elle suivoit l’exemple de la veuve du Duc de Guise, qui
demanda
à ce tribual d’informer contre Henri III, sur la
ongue lettre, éloquente & pathétique, pour se justifier & lui
demander
grace. Elle lui point ses fils en prison, sa fill
pour l’inviter à presser la guerre, & au Roi d’Espagne, pour lui
demander
des troupes : elle composoit même les lettres que
ans l’occasion . Le Duc de Longueville, retiré dans son Gouvernement,
demandoit
sa femme. Il vouloit la tirer de cette vie orageu
ville. On se lassoit de la guerre : on fit des prieres publiques pour
demander
la paix, comme s’il falloit un miracle pour se so
amans, revint à la dévotion : elle écrivit aux Carmélites, pour leur
demander
une cellule, sans songer qu’elle avoit un mari qu
iter, sans penser à la cellule de ses cheres Carmélites qu’elle avoit
demandée
, non-plus qu’à leurs livres, à leurs lettres &
choix de ses lectures. Hélas ! dit-elle indolemment, je leur avoit
demandé
quelque livre pour me désennuyer, elles m’ont app
Les circonstances n’étoient pas favorables à la Duchesse, lorsqu’elle
demandoit
grace, son frere par son conseil étoit à la tête
t pris l’épée, leur mere alla porter au Roi leur démission, sans rien
demander
pour ses amis & pour ses créatures. Le Roi mê
nderoient. L’Archevêque de Rouen, qui lui avoit rendu service, lui en
demanda
pour son parent. On ne peut , dit-elle, se faire
mot de M. de Harlay, premier Président, à qui les Comédiens venaient
demander
quelque grâce : l’Orateur ayant débuté par ces pa
ue grâce : l’Orateur ayant débuté par ces paroles : ma compagnie vous
demande
telle grâce, M. de Harlay l’interrompit, et lui d
ait métier de séduire, peut-elle se dire séduite ? qu’a-t-elle même à
demander
? En femme précautionnée, elle s’est fait payer d
tant pour de l’argent chez les Seigneurs et dans les collèges qui les
demandent
, et surtout en détail les Actrices sont très port
saisit ce moment pour parler du refus qu’on faisait de l’admettre, et
demanda
des ordres. Le Roi, pour se divertir, les donna.
ésenter des passions, des folies, des fourberies, des crimes. Si l’on
demandait
grâce pour le compositeur des pièces ou du chant,
était établie en Allemagne, y avait emporté tous les titres, Floridor
demanda
un délai d’une année pour les faire venir ; ce qu
Si la profession de Comédien dérogeait à la noblesse, on n’aurait pas
demandé
ses titres à Floridor, on lui aurait simplement a
la forme et le protocole commun des assignations de cette espèce, de
demander
l’exhibition des titres, sans préjudice des autre
n moyen si incertain et si borné, auraient risqué de voir tomber leur
demande
, si Floridor avait quitté le théâtre, comme il le
nuire à une famille innocente et distinguée, lui donna le délai qu’il
demandait
, et cette affaire en demeura là. Tout cela ne pro
ut videam. Seigneur faites que je voye. S. Luc. chap. 18. C’Est la
demande
qu’un pauvre Aveugle fait au Sauveur du monde dan
la lumiere du jour. Faites-moy voir, puisque vous avez la bonté de me
demander
ce que je souhaite que vous fassiez en ma faveur.
e me demander ce que je souhaite que vous fassiez en ma faveur. Cette
demande
, étoit sans doute bien juste ; & si rien ne n
ne vois pas ce que cet homme, dans l’état où il étoit reduit, pouvoit
demander
qui lui fût plus necessaire, Domine ut videam .
entre les plus innocens. C’est pourquoy l’on insiste ordinairement à
demander
, s’il y a peché mortel d’assister au Bal & à
en usage, & où l’on fait le moins de scrupule de se trouver. L’on
demande
une réponse precise ; mais comme j’ai apporté tou
ces divertissemens. Je pretends donc satisfaire suffisamment à vôtre
demande
, en vous répondant que c’est peché, & même pe
la plus dangereuse de toutes les passions ; ces personnes, dis-je, me
demandent
, s’il y a peché grief de voir & d’entendre ce
cette passion, à quoy elles n’ont que trop de panchant ; n’est-ce pas
demander
s’il y a du peché à chercher l’occasion du peché,
vous-mêmes un feu que vous avez tant de peine à éteindre, & vous
demandez
, si l’on peut chercher de quoy l’embraser ? Vous
s pas défendu par les Lois ni divines, ni humaines ? C’est la seconde
demande
, Messieurs, à quoy j’ay dessein de satisfaire en
n écueïl funeste à la devotion. Ce qui fait que le saint Roy Prophete
demandoit
instamment à Dieu, qu’il luy fit la grace de déto
e. C'est cet aveuglement salutaire, dit saint Paulin, que le Prophète
demandait
à Dieu, lorsqu'il dit : « Empêchez mes yeux de vo
de péché. » Si nous sommes donc obligés, en qualité de Chrétiens, de
demander
à Dieu qu'il nous ôte les yeux pour toutes les fo
vous le dire en passant, voilà bien des questions decidées, vous nous
demandés
si les spectacles, les comedies, les opera, les b
cider toutes sortes de cas en cette matiere. Le voici : c’est de vous
demander
à vous-mêmes : sont-ce des œuvres de Jesus-Christ
e dans les biens. Qui pourra se sauver ? vous-même, mon Frere, qui le
demandés
, si vous voulés entrer dans ces voies. Or ceux qu
attendre de lui, ou le coup de grace, ou le coup de mort. Je vous le
demande
, frappé de terreur moi-même, ne separant point mo
cette Eglise, il trouvât seulement dix Justes parmi nous ? Je vous le
demande
: vous l’ignorés & je l’ignore comme vous, où
se couvrir de cendres & de cilice, ouvrir à peine la bouche pour
demander
à leurs Freres : croiés-vous que le Seigneur me f
e. C'est cet aveuglement salutaire, dit saint Paulin, que le Prophète
demandait
à Dieu, lorsqu'il dit : « Empêchez mes yeux de vo
t de péché. » Si nous sommes donc obligés en qualité de Chrétiens, de
demander
à Dieu, qu'il nous ôte les yeux pour toutes les f
âce plus facile que pour un vil Acteur qui en fait métier, il doit en
demander
la dispense. Les paroles du canon sont bien préci
urs des pièces ont plus étudié Molière que les canons. Les Canonistes
demandent
si les Acteurs qui jouent pour leur plaisir, sans
ns être payée, n’en est pas moins prostituée (L. 43. ff. de Nup.). On
demande
encore s’il faut avoir beaucoup joué, ou si une o
ques qui leur donnent le sacrement de confirmation ; oseraient-ils le
demander
? Il faut être en état de grâce pour le recevoir
ces, et dans toutes les deux c’est précisément celui qui a séduit qui
demande
la cassation du mariage que ses intrigues lui ont
et traitant leur mariage comme ceux de la comédie, ont l’impudence de
demander
à le rompre, et d’en appeler comme d’abus, sur ce
iage ; elle craint d’habiter avec un homme qui n’est pas son mari, et
demande
qu’un sacrement dont elle use depuis cinq ans, so
la qualité de tuteur. Cependant les plus proches parents de la morte
demandent
la restitution de la dot. La scène change encore
ta entre la fille, dont l’état était un problème, et les parents, qui
demandaient
la succession de la mère. La première convenait q
de leur autorité. Si un Comédien à l’extrémité est touché de Dieu, et
demande
les derniers sacrements, que nos Juges examinent
fait tout ce qu’il a pu pour l’abolir à Milan. N’ayant pu réussir, il
demanda
que du moins on corrigeât les pieces, & qu’on
s que l’autre. Les Censeurs à Rome, pour conserver les mœurs, avoient
demandé
les spectacles. Ils avoient bien raison d’avoir l
n’avoient qu’à l’admirer & le favoriser. Mais que signifie cette
demande
des Censeurs, dont aucun Historien ne fait mentio
panage de leur charge. Voudroit-on nous faire entendre qu’ils avoient
demandé
l’introduction ou la conservation du théatre, eux
i ont fait tout ce qu’ils ont pu pour l’abolir ? Voilà leur véritable
demande
, jusque-là que Pompée voulant bâtir le lien, crai
tre en prison ! que le génie courtisan est rampant ! Au reste il leur
demande
une chose impossible, qu’ils donnent à l’amour un
e théatre ? Belle ressource en effet ! Je crois qu’il va pleurer pour
demander
le théatre. Ces plaintes, ces ressources sont pit
onnoient au peuple ? Jamais la voix de la multitude ne s’élévera pour
demander
sa réforme. La voix des Grands s’élévera encore m
rand nombre gémit de la nécessité de le mettre par-tout. Les loges le
demandent
plus que le parterre. Quel succès attendre, si on
nt aucune Actrice, elles sont d’une vertu austère. Dieu en soit béni.
Demandez
-en des nouvelles à toutes les villes qui ont le b
, & que c’étoit au Prince, non à son Lieutenant, qu’il falloit le
demander
; que l’honneur de l’avoir pour protecteur, &
stant immobile comme une statue, ou de faire seulement les gestes que
demandent
tous les mots de ce discours, en gardant un silen
pporte qu’un Acteur devant jouer à Athenes le Personnage de la Reine,
demanda
un masque de Reine. Le Comédien dont parle Horace
t prorsus, en prononçant un Vers, pour la relever au Vers suivant qui
demandoit
toute son Action. Cicéron rapporte avec plaisir d
cité plus haut. Tite-Live L. 7. rapporte qu’Andronicus s’étant enroué
demanda
la permission de mettre à sa place un homme qui c
à Rome. Andronicus dansoit & chantoit à la fois l’interméde : il
demanda
à être soulagé, on lui donna un Chanteur : de-là
seconde & la troisiéme partie de l’Eloquence, auroient-ils été en
demander
des leçons à des Chanteurs ? Quintilien veut qu’o
e que tu as à dire, τἱ λεγεις ειπε. Lorsque dans une autre Comédie on
demande
à Eschyle un de ses Prologues, on lui dit de le r
un de ses Prologues, on lui dit de le réciter λεγειν ; mais quand on
demande
à un Euripide un de ses Chœurs, & qu’on parle
rente de la nôtre, & y étoient si sensibles, qu’ils sembloient ne
demander
(sur tout les Grecs) que le plaisir des oreilles.
force d’aller au but, & tombe à moitié chemin. Lorsque Quintilien
demande
pourquoi Cicéron a mis per hosce dies, & non
faisoit entendre de toutes les Nations, puisqu’un Prince Etranger en
demanda
un à Néron, afin, disoit-il, qu’il me serve d’Int
qu’elles reconnoissent l’énormité de leurs crimes, & qu’elles en
demandent
l’absolution à l’Eglise. La fermeté avec laquel
étant allée au théatre, en revint possedée du démon. L’Exorciste lui
demanda
comment il avoit osé attaquer une Fidélle. Il rép
e J. C. par de nouvelles protestations de consécration & d’amour.
Demandez
-lui avec larmes qu’il ouvre les yeux de ces malhe
rère ». Enfin, comme elle est en beau chemin, Monsieur arrive. Il lui
demande
d’abord « ce qu’on fait à la maison », et en reço
de prétextes de Religion. Cela dure jusqu’à ce que le Beau-frère lui
demande
« un oui ou un non » ; à quoi lui ne voulant pas
La Fille de la maison commence le second Acte avec son père. Il lui
demande
si « elle n’est pas disposée à lui obéir toujours
ses volontés. Elle répond fort élégamment qu’oui. Il continue, et lui
demande
encore, « que lui semble de Monsieur Panulphe » :
s, Valère amant de cette fille à qui elle est promise, arrive. Il lui
demande
d’abord « si la nouvelle qu’il a apprise » de ce
répondant que faiblement et comme en tremblant, Valère continue à lui
demander
« ce qu’elle fera ». Interdite en partie de son a
nd le Bigot au passage, pour l’arrêter au nom de sa Maîtresse, et lui
demander
de sa part une entrevue secrète. Damis le veut at
et : « Lorent, serrez ma haire avec ma discipline », et que, si on le
demande
, « il va aux prisonniers distribuer le superflu d
la plus grande humilité du monde, et tremblant d’être refusé, il lui
demande
fort respectueusement, « s’il n’acceptera pas l’o
rer pour lui dire son sentiment sur tout ce qui se passe, et pour lui
demander
« s’il ne se croit pas obligé comme Chrétien de p
ce ». Le Frère, surpris d’un raisonnement si malicieux, insiste à lui
demander
« si, par un motif tel que celui-là, il croit pou
ur impudence. Pourtant à force de lui répéter la même chose et de lui
demander
« ce qu’il dirait s’il voyait ce qu’il ne peut cr
onfusion : qu’au reste il peut bien juger par quel sentiment il avait
demandé
de le voir en particulier, pour le prier si insta
autre ; et par un mélange admirable de passion et de défiance, il lui
demande
, après beaucoup de paroles, des assurances « réel
ici, paraît honteuse de la fourbe qu’elle a faite au Bigot, et lui en
demande
quelque sorte de pardon, en s’excusant sur la néc
conscience » ; que Panulphe lui fit entendre que « si on venait à lui
demander
ces papiers, comme tout se sait, il serait contra
arfaitement ». Là-dessus, la Vieille arrive, et tous les autres. Elle
demande
d’abord « quel bruit c’est qui court d’eux par le
ense : il faut donc vous contenter tout à fait ; et voici ce que vous
demandez
. Quoique la nature nous ait fait naître capables
d’artifice est attaché au bal, à la danse, & à la comedie. Si je
demande
à une Dame du monde quel dessein avez vous, quand
e saint Ambroise combien un seul peché fait-il des coupables !… Si je
demande
à une personne du monde, qui n’a pas encore étouf
proche dans toutes les ames un peu timorées : & si vous voulez le
demander
à toutes celles, qui ont autrefois été dans le mo
lles se sont accusées, & repenties d’avoir été autrefois au bal :
demandez
à ces danseurs, quand ils sont à l’article de la
risquer son salut, en agissant dans les doutes avec incertitude, sans
demander
jamais conseil, que de se voir exposé à la risée
pres lumières ». Vous ne vous y êtes pas fiée, Madame : mais vous me
demandez
quels sont mes sentimens sur la Comedie, que repr
e suiverai moi-même la maxime du Saint Esprit, qui vous a portée à me
demander
du conseil. Je ne me fierai pas à mes lumieres, e
sage de S. Cyprien : « Vous m’avez (dit ce Saint du troisiéme siécle)
demandé
mes sentimens sur les Comediens… si on peut accor
dans leur particulier aux jeux réjouissants, parce que « la pénitence
demande
des pleurs et non pas des réjouissances » ; et to
de la somme que nous avons déjà tant citée, article quatrième, où il
demande
s’il peut y avoir quelque péché dans le défaut du
tent, et c’est pourquoi le jeu lui est interdit ; parce que la raison
demande
qu’il lui soit diminué ». C’est toute la restric
ie dévote, où sont toutes les disposition que saint François de Sales
demande
. Il remarque que si l’on observait tout ce que ce
r la question de la Comédie à fond. Pour y réussir ils forment quatre
demandes
sur la Comédie. La première, si la Comédie est ma
rs, et généralement tous ceux qui y coopèrent ; ils répondent à cette
demande
, que tous ceux qui coopèrent à la Comédie d’une m
s, doit être évitée comme une chose très honteuse. Enfin la quatrième
demande
, est de savoir si quelqu’un peut aller à la Coméd
la 2. 2. q. 168. Ensuite il rapporte les six conditions que ce Saint
demande
pour rendre le Jeu permis, et sous ce nom la Comé
l n’y a rien que l’oreille la plus chaste ne puisse entendre. Mais on
demande
s’il faut passer pour honnêtes, les impiétés et l
combattu ? Quand l’Amour malgré toi me contraint de me rendre, Que me
demandes
-tu ? » Voilà assez d’exemples pour faire voir co
t forcé Anne de Cleves, parce qu’il ne la trouvoit pas assez jolie, à
demander
la dissolution de son mariage. Il a commis tous c
enfans. Sa conduite fut l’aveu & la condamnation de son crime. Il
demande
la dissolution de son mariage à l’Eglise, à qui s
qui n’ayant rien à perdre, osa le lui dire. L’ayant vu plusieurs fois
demander
l’aumône, elle dit avec mépris : Pauper ubique j
nçoise, à l’Italienne, à la Turque, à la Chinoise ; & c. & me
demandoit
chaque fois, dit l’Ambassadeur qui a donné ces Mé
extremement beaux, quoiqu’ils fussent d’un roux trop ardent. Elle me
demanda
quelle étoit la plus belle d’elle ou de Marie Stu
soixante ans. Elle vouloit qu’on l’entendit jouer du clavecin, &
demandoit
si la Reine d’Ecosse dansoit & jouoit mieux q
enu sur sa beauté. Elle en rit beaucoup. C’étoit une imprudence de le
demander
, une indécence d’en rire, mais c’en fut une bien
r à diminuer les impositions. Il ne tourna qu’à ses usages. Elle n’en
demanda
pas moins les impositions, sans se souvenir qu’el
Reine, fut suspendue pendant huit jours, pour lui donner le temps de
demander
grace, & de montrer sa bague enchantée. La gr
ander grace, & de montrer sa bague enchantée. La grace ne fut pas
demandée
, la bague ne parut pas, il lâcha quelques paroles
par son ordre sur un échaffaud. Elle avoit refusé la grace qu’on lui
demanda
pour la Reine d’Ecosse, & on ne lui demanda p
sé la grace qu’on lui demanda pour la Reine d’Ecosse, & on ne lui
demanda
pas celle qu’elle désiroit ardemment d’accorder à
ôt après la même peine pour un pareil crime, & un pareil refus de
demander
grace au Prince qui l’aimoit. Elizabeth conserva
nfin, ayant voulu la presser de conclure, pour toute réponse elle lui
demanda
des nouvelles des bals & des comédies qui se
perfide maîtresse, mourut d’amour, de douleur & de honte. Pasquin
demandoit
à Marforio, Qu’est-allé faire à Londres le Duc d
Or est-il probable qu’elle ne soit composée que de libertins, qui ne
demandent
que des èxpressions & des images indécentes ?
au Spectacle moderne, quoiqu’il soit quelquefois indécent. On me
demandera
comment il est possible qu’on soit si difficile,
e son Elève, parce qu’il est plus jeune. Elle s’en approche & lui
demande
comment il s’appelle. « Madame, lui répond celui-
lion. Sans votre époux, Que ferez-vous ? La Statue. Est-ce que ça se
demande
? Dans une des Scènes suivantes, Pigmalion surpr
ns l’avant dernière Scène ; qu’il me la rende telle qu’elle est ». Je
demande
si l’on se douterait que je transcris des passage
ui compter de bout-en-bout L’amitié que je sens pour elle ; Et de lui
demander
si je suis de son goût. Nuto. Eh, bien ? Mazet,
« vraiment, oui, & ce quelque chose là ne vous nuirait pas ». Je
demande
si dans les Contes de la Fontaine, ou même de Gré
tresses voltigeantes… Lahire. Je vois… je suis tout ce tableau. Je
demande
si ne voilà pas le portrait de deux insignes déba
iser, choisir des moyens, & les rejetter pour d’autres. Tout cela
demande
des changemens dans les desseins, des irrésolutio
tous les Acteurs disparoissoient pour faire ailleurs des actions qui
demandent
quelque tems ; ils se sont avisés d’employer à ce
siciens ; faites composer de la musique exprès pour les Piéces qui en
demandent
; joignez-y de belles décorations ; en un mot, au
re. Il disait qu’un jour deux Capucins arrivèrent au Port Royal, et y
demandèrent
l’hospitalité. On les reçut d’abord assez froidem
de la Mère Angélique. Elle accourut au parloir avec précipitation et
demande
, qu’est-ce qu’on a servi aux Capucins, quel pain
le soin qu’on prenait de leur faire faire pénitence. Le lendemain ils
demandèrent
à dire la messe. Ce qu’on ne put pas leur refuser
fier une plume profanée par des Romans et des Comédies. Enfin je vous
demanderais
volontiers ce qu’il faut que nous lisions, si ces
se trouvaient alors dans l’église, s’approcha de cette femme, et lui
demanda
la cause de tant de chagrin et de tant de larmes
avec fierté qu’elle n’avait pas besoin de consolateur, et qu’elle ne
demandait
rien à personne. Beauchâteau, qui savait que l’in
nne la fille de la maison en mariage, mais ce n’est point lui qui l’a
demandée
, au contraire il dit à sa mère : Ce n’est pas
onation de tous les biens, & ce n’est pas lui non plus qui a rien
demandé
; il veut même sortir de la maison, & ne plus
nigræ, dicebat cucabus ollæ. Quant à la mauvaise morale de Tartuffe,
demandez
aux déistes, aux gens sans religion, aux mondains
a-t-il que les dévots qui tiennent cette conduite & ce langage ?
Demandez
-le aux Actrices : elles sont si dévotes ! 13.° C’
n semblable langage : traiter d’un langage ! Qui brûlant & priant
demandent
chaque jour : qu’est-ce que cela signifie ? Votre
l donneroit cent louis de ce qui lui demeure, & l’Huissier ne lui
demande
que la maison, il lui laisse les meubles jusqu’au
chacun emporte son heure, & les intermèdes des deux premiers, qui
demandent
bien du temps, il faut après le troisieme, qu’Org
enfants des Comédiens, à qui on n’enseigne pas le catéchisme ? Or je
demande
, quel est le Comédien qui observe cette loi, qui
lle s’observait de son temps à Paris, comme lui-même l’atteste. Or je
demande
si l’on a plus de raisons aujourd’hui de permettr
re ; mais craignant de ne pas réussir, il se borna dans le canon 61 à
demander
à l’Empereur que les spectacles fussent interdits
dans quelque troupe, il n’a fait que se dégrader en y entrant ; et je
demande
aux plus grands amateurs s’ils voudraient se désh
œurs qu’il corrompt. Encore même dans le cas de la nécessité, doit on
demander
à l’Eglise la permission de travailler. Un Comédi
me en lui-même, pour s’instruire, s’animer, approcher des sacrements,
demander
des grâces. Le spectacle écarte toutes ces idées,
ermé tout le carême, les quatre temps et les vigiles. Mais c’est trop
demander
: les Comédiens savent-ils s’il y a un carême, de
dans une Bataille. Alzaïde arrive à Memphis par ordre de son époux ;
demande
au Roi d’Ægypte la vie de Zaraès. On balance, mai
court se mettre à la tête de ses soldats, quoiqu’il n’ait plus rien à
demander
. Quelques soupçons de l’amour d’Alzaïde pour Amœn
l’indépendance. Je n’ai point de desseins, Mademoiselle ; & je ne
demande
pas même à vous voir chez vous. Souffrez seulemen
sieur D’Alzan ; & vous me les faites attendre ! A propos ; on m’a
demandé
hier, si je savais beaucoup de Pièces. J’ai nommé
on n’y donne ce sens. Deux Ivrognes et après eux Polyphème viendront
demander
d’être guéris. Esculape les rejettera parce que d
s Christ est venu apporter au monde. Car c’est de mon âme que je vous
demande
la guérison, et elle n’aurait pas besoin d’être g
cette Ville, et des Prières publiques qui s’y font actuellement pour
demander
à Dieu la Paix, cette Paix que lui seul peut donn
Paix, cette Paix que lui seul peut donner et que nous ne saurions lui
demander
avec trop d’ardeur ; quoique nous ne puissions ne
de Lettres à celui qui les aurait apprises. [Adelaïde. Lucien ne
demandait
rien de trop. La Musique était indispensable, pui
re. Il arrivait même que le Peuple, fatigué de ses propres desordres,
demandait
l’expulsion des Pantomimes ; mais il demandait bi
ses propres desordres, demandait l’expulsion des Pantomimes ; mais il
demandait
bientôt leur rappel avec plus d’ardeur. Il est ai
sont-ils innocens ? C’est ce qu’il ne nous paroît pas raisonnable de
demander
. Quoi ! des Chretiens autorisent par leur présenc
; à rouvrir des plaies qui avoient été longtems à se fermer, & on
demande
froidement s’ils sont coupables ! Leur est-il don
e. Croyez-vous en vérité, que la subtile contagion d’un mal dangereux
demande
toujours un objet grossier, ou que la flamme secr
e devient un attrait : si l’Eunuque de Térence avait commencé par une
demande
régulière de sa Pamphile, ou quel que soit le nom
el, son Curé a dû lui refuser la Communion, après néanmoins lui avoir
demandé
publiquement s’il s’était confessé et avait renon
☞ L’Auteur pense et parle différement, v. Pécheur public. Cas IV. On
demande
si des Communautés Religieuses peuvent représente
onvaincu que Zaïre est sa fille par une croix qu’il apperçoit. Il lui
demande
depuis quand elle la porte : depuis que je respir
de Danaüs ne fasse pas le moindre geste pour sa défense ; Lincée lui
demande
plusieurs fois sa femme, que personne ne l’empêch
qu’il leve le poignard sur sa fille. Lincée qui avoit perdu le tems à
demander
sa femme, qu’on ne lui refusoit pas, est dans une
curité au Pirrhus de Crebillon, & à l’Héraclius de Corneille, qui
demandent
une grande contention d’esprit pour être entendus
pauvre biche poursuivie d’une meute de chiens affamés dont les uns ne
demandent
que de faire curée de mon honneur, les autres sou
i me sauveront du naufrage, que je n’aie obtenu la bénédiction que je
demande
à votre Majesté par tout ce qu’il y a de plus sai
ec cette artificieuse gravité Espagnole, lui dit, « Ma fille, vous me
demandez
une chose si petite par de si grandes que je ne p
de cette fille iraient se jeter aux pieds du Roi et de la Reine pour
demander
leur fille qu’ils tenaient pour leur trésor, et q
otestante ! Lorsqu’après la mort de Marie, l’Ambassadeur d’Espagne la
demanda
en mariage pour son maître, elle répondit avec un
e certain, & l’écrivit à Madrid ; mais quelques jours après ayant
demandé
de le conclure, on le paya de vaines défaites :
ispense de Rome pour épouser son beau-frère. Philippe promettoit dela
demander
, & sans doute l’auroit obtenue ; mais c’étoit
ui être préférés : ces raisons sont évidentes, Philippe ne devoit pas
demander
, elle devoit tout uniment pour la refuser, non pa
en guerre avec Philippe ; Les Députés pour faire diversion l’avoient
demandé
au nom de leur pays, avoient promis de le reconno
ion Protestante. Les Ambassadeurs des Provinces-Unies étant venus lui
demander
du secours contre le Roi d’Espagne, & voulant
en son injustice, que les Ambassadeurs des Hollandois étant venus lui
demander
du secours & lui offrir la souveraineté de le
ent si vivement qu’ils la prirent prisonnière ; elle s’échappa, &
demanda
un asyle à Elisabeth qui le lui accorda avec la p
visiter, ni même voulût lui accorder une audience qui lui fut souvent
demandée
; elle ne sortit de sa prison que pour perdre la
& les feux de joie : elle fit l’ignorance & l’étonnée, &
demanda
ce que c’étoit, on lui dit, ce sont des réjouissa
le, on n’avoit aucun droit sur sa vie. Cet acte condamnoit encore les
demandes
réitérées que le Parlement avoit fait à Elisabeth
emps avant sa mort elle voulut danser & jouer du clavessin, &
demandoit
qui dansoit & jouoit mieux qu’elle ? On compr
de France, au Duc de Guise son parent & à son Confesseur qu’elle
demanda
. Cette grâce qu’on accorde aux plus coupables, lu
entre les mains d’un autre. Ce second obstacle à la bonne Comédie ne
demande
donc pour être détruit, qu’un peu de courage de l
conduite, ou si elle est d’une naissance distinguée : est-elle riche,
demande-t
-on d’abord avec empressement ? Combien a-t-elle d
trefois. Je ne crois pas qu’on me fasse un crime de la liberté que je
demande
pour la Comédie ; car qu’ont a craindre de la sat
ne contenu par la présence d’un Maître adoré : l’indignation publique
demanda
la punition de cet attentat. Un arrêt flétrissant
n de cet attentat. Un arrêt flétrissant fut signé… mais le Philosophe
demanda
la grâce du coupable. La Pièce rentra dans le néa
pag. 110 & 115 ; en acceptant le College des quatre Nations, ont
demandé
, pour prémiere condition, qu’on éloignàt du Collé
té, où l’on ne peut aller, sans se deshonnorer devant Dieu. En effet,
demandons
à ces génies rares, ce que nous devons penser de
? N’est-ce pas un bien, que d’empêcher un grand mal ? c’est ce que me
demandoit
un Philosophe il y a peu de tems. Voici quelle fu
sées ? Le Philosophe soit disant, pour se tirer d’embarras, me fit la
demande
suivante.… Quatrieme objection. SI la Co
es préceptes de J.C. En voilà, je crois, Monsieur, plus que vous n’en
demandiez
. Le Philosophe avoua sa défaite ; mais il s’en fa
seule réponse, à des difficultés disparates, je pris le parti de leur
demander
grace, jusqu’à ce qu’elles fussent convenues de p
e de l’impureté, & où tout conspire à faire rougir la pudeur ? La
demande
étoit embarassante, & la Marquise, qui a de l
vantage : le triomphe auroit été trop odieux. Je m’avisai donc de lui
demander
, si elle permettroit que le plus auguste de nos t
, en 399, quel mal faisons nous &c ? Or, permettez-moi de vous le
demander
: parce qu’ils ne voyoient pas de mal d’aller alo
érimenté. M’étant un jour confessée d’avoir été aux spectacles, il me
demanda
, si j’y avois fait du mal. Je lui répondis que no
ois bien ne pas douter du fait, & sans ajouter que je trouvois la
demande
du Confesseur aussi pitoyable, que celle de la pé
é d’avoir été dans un lieu de débauche, ce Confesseur complaisant lui
demande
, s’il y a fait du mal ? il lui dit que non, &
des Sacremens, avec des dispositions si contraires à celles que J.C.
demande
d’une ame pénitente ; croyez-vous, que quiconque
it-on sans cesse, pourquoi le Pape les souffre-t-il ? Mais je vous le
demande
à mon tour, si les spectacles sont innocens, pour
e, il y a plus de trois cens ans, que St. Antonin a satisfait à cette
demande
, il décide formellement à l’endroit cité pag. 9 …
ir fait les derniers adieux, je n’ai qu’une grace, lui dit-il, à vous
demander
: ne permettez jamais que mes enfans aillent aux
.2 Et les pompes du Démon, auquel nous avons renoncé par le Baptême.3
Demanderez
-vous encore, s’il n’est pas permis à un fidèle, d
’on offense souvent ceux dont on condamne les penchans, & dont on
demande
des sacrifices nécessaires : offendit omne, quod
oute la puissance du Gouvernement ; mais la réformation du Théâtre ne
demande
pas le moindre effort : une simple Ordonnance suf
us l’attendre, et qui pourra nous la procurer ? Les Spectateurs ne la
demanderont
jamais : ils sont persuadés, surtout à Paris, que
s d’Espagne, & sur l’autre les armes de l’Empire : le Cardinal en
demanda
deux aussi, où il vouloit faire mettre les armes
les protecteurs des foyers passent condamnation, & n’ont garde de
demander
pour leurs protégés, les considérations personnel
nt occupée, fut fort surpris de la voir à cette heure ; je viens vous
demander
justice, dit-elle, on m’a enlevé mes papiers, mai
ons de Procureur-général, & prononce un grave réquisitoire, où il
demande
à la cour que le candidat soit installé dans l’ét
vant dans une ville, il va trouver le premier acteur, ou actrice, lui
demande
son rôle, & deux heures après monte sur le th
n tour ceux dont je sai les anecdotes théatrales ; on fut effrayé, on
demanda
grace, il fut arrêté qu’on useroit de compensatio
eur ne soit un bon juge, un bon président, un bon pere, un bon mari ?
Demandez
-le à sa femme & aux plaideurs. Dans le Diocès
Reines assistassent à son couronnement. Enchanté de sa maîtresse, il
demanda
à sa mere ce qu’elle en pensoit : elle est à merv
, lorsqu’il recherche Angélique : mais faut-il beaucoup de vertu pour
demander
sincèrement en mariage un Demoiselle riche de 300
tribuer à chaque caractère ce qui le différencie. Puis donc qu’Horace
demande
que les Poètes se règlent sur les principes de la
e plus généreusement à l’égard de Sang-farouche et de Iacynte : il ne
demande
point qu’ils reconnaissent leurs fautes ; il n’en
eté, un arrangement soutenu de choses ingénieuses, plaisantes, utiles
demandent
du temps et des méditations. Hé ! qui voudrait fa
sie de crainte que son amant ne devienne l’époux d’une autre qu’elle,
demande
que l’univers tombe dans un informe chaos : elle
celui qui est dans mon âme. » Pour moi, je crois que si Céladée avait
demandé
au lieu du Chaos une voiture, et s’était jetée de
d Don Alverez sur le pied d’esclave :Dans Don Sébast. le Marchand lui
demande
: « Quelles bonnes qualités a-t-il ? » « Quelles
s la suite : et avant que d’être tout à fait revenu de sa méprise, il
demande
s’il est « donc possible que ce soit là le Milord
créée pour sa gloire, et formée à son image. Quoi de plus juste ! Il
demande
que nous préférions l’amour d’un bien éternel à l
t les lumières de notre esprit qui lui appartiennent, et dont il nous
demandera
un compte sévère. Et de quels biens les hommes pe
un si homme de bien, vive et meure victime des ténébres de l’erreur !
Demandons
avec les plus vives instances au Dieu de la vérit
ocent ce qui est mauvais et condamné de tout temps par l’Eglise.
Demande
. On supplie Messieurs les Docteurs de décider
elques-uns s’excusent sur les ordres qu’ils ont de la représenter. On
demande
donc si on doit leur refuser l’absolution à tous
une espèce de réparation de l’affront dont ils se plaignent ? 5°. On
demande
si ces Comédiens peuvent s’engager au service d’u
d’artifice, est attaché au bal, à la danse, & à la comédie. Si je
demande
à une Dame du monde, quel dessein avez-vous quand
e. Croyez-vous en vérité, que la subtile contagion d’un mal dangereux
demande
toujours un objet grossier, ou que la convoitise
s tonnent contre ces abus, tout l’effet de leur discours est de faire
demander
à la plûpart : Quel est donc le mal des spectacle
ser les spectacles.Or, rapprochant maintenant ces deux idées, je vous
demande
si rien ne vous blesse dans leur accord ? je vous
es, je vous demande si rien ne vous blesse dans leur accord ? je vous
demande
s’il est convenable à un disciple de Jesus-Christ
dre des maximes pernicieuses, voir des indécences, &c. Je vous le
demande
, s’il est bien digne d’un Chrétien dont les pensé
e maniere plus ingénieuse & plus capable d’en imposer. Je vous le
demande
, si un Chrétien dont la conversation doit être da
former à ses maximes, à ses coûtumes, à ses usages criminels. Je vous
demande
si un Chrétien fréquentant les spectacles, peut r
vre comme une œuvre de Jesus-Christ : car voilà sur quoi il faut vous
demander
à vous-mêmes, si obligés par état de ne faire que
ions, c’est indirectement & par hasard, je devrois peut-être vous
demander
d’abord, si même sur ce prétexte il peut vous êtr
séduction des créatures : mais ce n’est pas ce qu’on éxige ; ce qu’on
demande
, c’est que vous apprenniez à distinguer les péril
où il ne faut que le témoignage de la conscience ? Il suffit de vous
demander
à vous qui n’avez pas encore étouffé tout sentime
il y a, à s’accorder des plaisirs de cette nature ; il suffit de vous
demander
si, quand vous rentrez en vous-mêmes, vous ne sen
vous à quelle condition le Seigneur vous adopta pour fils ? Nous vous
demandâmes
, quand nous vous reçûmes au saint Baptême : Renon
’il en soit, j’en appelle aux idolâtres, reprend Tertullien : Je leur
demande
s’il est permis aux Chrétiens d’assister aux spec
dont on a toujours regardé les acteurs du théâtre dans le Paganisme.
Demandez
aux Auteurs de Rome ce qu’on y pensoit d’eux : vo
nage impie qui parloit avec trop peu de respect de la Religion. Je ne
demande
pas si on agit aussi sévérement : mais pense-t-on
rétiens qui savent qu’un Juge exact & rigoureux doit un jour leur
demander
compte d’une action, d’un geste, d’un seul mot in
Grece.Qu’est-ce qui perdit les florissantes Républiques de la Grece ?
Demandez
-le à leurs Sages. Voici ce qu’en dit le plus éloq
ais. Je serai, je suis innocent de la perte de ces ames, vous ne m’en
demanderez
pas compte. Le théâtre est criminel en soi, l’inn
onge lui cause des soupçons. Mathan envoyé bientôt par elle, le vient
demander
de sa part à Josabet, qui allarmée songe à s’enfu
au Peuple le nouveau Roi, au son des Trompettes. Athalie arrive, lui
demande
le Trésor qu’il a promis, il fait tirer le rideau
on si grande est une, entiere, & compose un Tout parfait. Elle ne
demande
pas plus de tems que la durée de la Représentatio
nt le terme d’Aristote. La Reconnoissance a toutes les qualités qu’il
demande
. Elle se fait par un signe extérieur qui cause la
la nécessité de le dire : & comme tout homme a des Mœurs, on peut
demander
s’il est possible qu’il y ait une Tragédie sans M
evant elle, il en approche sans crainte, & il répond à toutes ses
demandes
avec une fermeté proportionnée à son âge. Pline l
tout pour l’amour de Joas, & de la Race de David, & lui-même
demande
à Dieu, si Joas doit un jour être indigne de cett
secret. Autant que je le puis j’évite sa présence. Quand il est
demandé
de la part d’Athalie, elle le croit perdu : Ah
en parlant compter leurs syllabes, & les placer dans l’ordre que
demande
une certaine mesure ? Il est vrai qu’ils comptent
vous à quelle condition le Seigneur vous adopta pour fils ? Nous vous
demandâmes
, quand nous vous reçumes au saint Baptême : renon
en soit une ; j’en appelle aux Idolâtres, reprend Tertullien. Je leur
demande
s’il est permis aux Chrétiens d’assister aux spec
maniere dont on en a toujours regardé les Acteurs. Dans le Paganisme,
demandez
aux Auteurs de Rome ce qu’on y pensoit d’eux. Vou
ge d’impie qui parloit avec trop peu de respect de la Religion. Je ne
demande
pas si on agit aussi sévérement ; mais pense-t-on
rétiens qui savent qu’un Juge exact & rigoureux doit un jour leur
demander
compte d’une action, d’un geste, d’un seul mot in
cles. Qu’est-ce qui perdit les florissantes Républiques de la Grece ?
Demandez
-le à leurs Sages ; voici ce qu’en dit le plus élo
is : je serai, je suis innocent de la perte de ces ames, vous ne m’en
demanderez
point compte ? Le théâtre est criminel en soi ; l
fusées, & s’accomoda. Surpris d’un changement si subit, on lui en
demanda
la raison, il raconta son avanture : Puis-je, dit
dans les provinces, le mal se glisse par-tout ; les gens dont l’état
demande
plus de gravité, ne sont pas plus sages que les a
s pas venu , dit le Prélat, pour troubler vos plaisirs ; mais je vous
demande
à chacun, pour les pauvres de cette ville, qui so
étant dans une boutique, vit passer sa femme, la salue, quelqu’un lui
demanda
s’il connoissoit cette jolie actrice, il répondit
rande attention, sans rien répondre pour se justifier : son frere lui
demanda
, quand son pere se fut éloigné, pourquoi il n’avo
& fort coquette, mais pauvre, se présente à la fortune & lui
demande
du bien pour faire briller ses charmes, & la
ne veulent de directeur que Venus & Plutus, s’étoient réunis pour
demander
l’administration de leur tripot, comme les comédi
ui l’on vantait la magnificence du cirque et des jeux établis à Rome,
demanda
: les Romains n’ont-ils ni femmes ni enfants ? le
un peuple, convient à ce peuple : nul homme privé n’a droit de lui en
demander
compte. Mais toute passion qui ne tient point à c
public, pour savoir s’il s’amuse ou s’il est ému, sera-t-il obligé de
demander
comme ce jeune étranger à son Mentor : mon Gouver
oi le poète est obligé de consulter le goût de son siècle : mais ceci
demanderait
encore un long détail pour être expliqué. « Il s
imée avec le plus de chaleur et de charme, Ariane, Inès et Zaïre ; je
demande
à M. Rousseau s’il croit que l’impression qui en
ent dénuées de preuve, et qui toutes deux en avaient grand besoin. Je
demande
à M. Rousseau, si la raison elle-même a quelque m
des. M. Rousseau, en louant le goût antique dans le rôle de Thyeste,
demande
avec raison que l’on daigne nous attendrir quelqu
ssion, qui en est la source, devient effrayante à nos yeux. Tout cela
demanderait
à être développé, et rendu sensible par des exemp
u Théâtre déchiré par les Furies pour un crime aveuglément commis. Je
demande
si sur de tels exemples on est fondé à écrire, qu
s comédies. Est-ce là jouer la vertu, la simplicité, la bonté ? Je le
demande
au public qui sait bien de quoi il s’amuse : je l
té ? Je le demande au public qui sait bien de quoi il s’amuse : je le
demande
à M. Rousseau lui-même, qui peut avoir ces tablea
lice, seront encore intéressants pour le public que vous révoltez. Je
demande
à M. Rousseau, si cette leçon serait scandaleuse
Le Misanthrope répète à Oronte, je ne dis pas cela ; si Philinte lui
demandait
: hé que dis-tu donc, traître ? la réponse serait
ce qu’exige l’honnêteté, et ce que permet la bienséance. M. Rousseau
demande
jusqu’où peuvent aller les ménagements d’un homme
, et toutes les tragédies où règne l’amour, sont des romans, sans lui
demander
ce qu’il entend par des pièces dramatiques, si de
e pièces est donc d’étendre l’empire du sexe. Pensez-vous, Monsieur, (
demande-t
-il à Monsieur d’Alembert) que cet ordre soit sans
avili. M. Rousseau ne peut se persuader qu’une femme soit son égale ;
demandons
-lui donc enfin quels sont les talents de l’esprit
e, qu’Horace abandonnât la cause de Rome pour complaire à Sabine : je
demande
à M. Rousseau s’il croit que l’intérêt de l’amour
r au bal, et dans tout cela, il n’y a rien que d’honnête. M. Rousseau
demande
« comment un état, dont l’unique objet est de se
range, et si peu fondée, vous tirez des inductions cruelles. Que vous
demandiez
si ces hommes si bien parés, si bien exercés au t
igue, ou d’un père avare, pour celle de Léandre ou d’Argan ? » Que ne
demandez
-vous de même si celui qui joue Narcisse ne sera p
n excommunie les Comédiens, de l’autre on veut les rendre infâmes, je
demande
par quel effort généreux ils se priveraient des p
va c. 26possédée d'un Démon, à la sortie des Spectacles, et qu'on lui
demanda
de quel droit il avait entrepris sur une Chrétien
c'est honorer ces Dieux abominables, c'est-à-dire, les Démons qui les
demandent
; et qui par un effet de leur malice y veulent de
les incursions des Barbares, il s'emporte contre ceux de Trèves, qui
demandaient
à l'Empereur les Jeux du Cirque et du Théâtre, do
je vous ai vus si maltraités ; mais je vous tiens plus misérables de
demander
à l'Empereur les Spectacles du Théâtre et du Cirq
les magnificences du Cirque et des jeux établis à Rome. Les Romains,
demanda
ce bonhomme, n’ont-ils ni femmes ni enfants ? Le
magnifique aux yeux d’un Barbare vertueux, et c’est avec raison qu’il
demandait
si les Romains n’avaient ni femmes ni enfants. Ce
les forces de leur esprit par un délassement utile à l’esprit même. «
Demander
si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêm
s au char de la sainte alliance. Il n’est pas jusqu’aux libéraux, qui
demandent
imprudemment d’autres ministres, sans réfléchir s
er les abus, les excès et les désordres ; mais il est bien inutile de
demander
un changement dans le personnel des ministres, ta
tat en perdent également leur liberté. Dans cet état de choses, on le
demande
, la responsabilité ministérielle est-elle admissi
us épineux, c’est que pour donner à ces ouvrages les ornements qu’ils
demandent
, il faut se remplir des grandes vérités de la Rel
nnable ; mais s’il fallait s’en tenir à cette parfaite unité qu’on me
demande
, on aurait à reprocher ce défaut presque à tous l
parable du salut, et qui fait qu’on nous peut justement reprocher, et
demander
où est notre Christianisme ? Où paraît en nous, c
présence les théâtres. Le même Salvian ajoute encore un peu après, je
demande
à la conscience de tous, où est-ce qu’il y a plus
l’envie, que mérité la censure. Sans vouloir en faire l’apologie, je
demande
si une histoire sainte sur le théâtre n’est pas m
s, ses démarches, ses discours, pour séduire le cœur d’Holopherne, et
demande
a ses yeux des feux capables d’alarmer la pudeur.
L’Abbé Pélegrin, dans son humble préface de l’Opéra de Jephté, a beau
demander
grâce au lecteur qu’il fait rire ; il assure qu’i
ent la vertu suspecte. Un ancien se voyant loué par un méchant homme,
demanda
: « Quel mal ai-je donc fait ? » Il était ordonné
ntium tuum, tormenta tua. » Avant d’annoncer la parole de Dieu, Isaïe
demande
qu’on purifie ses lèvres ; Dieu approuva sa délic
ion n’est qu’une cérémonie extérieure, et que c’est une enfance de la
demander
ou de la refuser. » Est-ce là reconnaître la prés
t si non vetitos et incestos, exegerit. » Menochius (ibid. art. 49.)
demande
si c’est au Juge ecclésiastique ou au Juge laïque
eur interdit la liberté de présenter aucune pièce au Parlement, et de
demander
la permission de jouer. Le Roi de la basoche et s
titre de Père du peuple. On le représente comme un malade altéré qui
demandait
à tout le monde de l’or potable pour étancher sa
rice, où avec un air de religion et de remords de conscience elle lui
demande
s’il est vrai que les Comédiens sont excommuniés,
èrent de leur Corps le tendre consultant, le déférèrent au Parlement,
demandèrent
sa punition, et y dénoncèrent son ouvrage. Le Par
role, ont dit à la Cour que Me. Adrien d’Aine, Bâtonnier des Avocats,
demandait
d’être entendu. Il fut aussitôt mandé, il entra a
glise, puisque c’est l’Eglise, comme nous l’avons vu ci-dessus, qui a
demandé
au Prince la liberté d’administrer à ceux qui vou
participation aux sacrements et à la communion des fidèles. « Vous me
demandez
, dit-il à un Evêque qui l’avait consulté, si cet
nombrables des provinces, ce qui revient à des sommes immenses. Or je
demande
quel est le Catholique ou le Protestant dont la d
r théâtre. Les Français un an après forment de nouvelles plaintes, et
demandent
au Parlement qu’il soit défendu à la Foire de fai
. Arlequin, qui était présent, avant que de parler pour les Italiens,
demanda
au Roi : « En quelle langue voulez-vous que je pa
rd’hui presque partout abolies, se payaient du temps de S. Thomas. Il
demande
si les Comédiens et les Courtisanes doivent la dî
e & très-mesquine ; elle fut reçue comme un particulier qui vient
demander
des graces. On s’arrangea avec elle pour ses pens
ions qu’elle n’avoit pas de quoi vivre, elle revint en Suède pour les
demander
, & en obtint une partie jusqu’à sa mort. Ell
int à l’Académie, elle fut fort, étonnée de ne pas l’y voir, & en
demanda
la raison ; on lui apprit que la requête des Dict
e Françoise alors naissante. L’Académie fut la visiter en Corps, elle
demanda
d’assister à quelques-unes des assemblées, ce que
licence ; la Reine se tourna vers Menage qui étoit prèsent, & lui
demanda
son sentiment. L’Abbé Menage moins scrupuleux lou
est question , dit-elle, de bons avis & de sages conseils, on ne
demande
point : les seize quartiers, mais la probité, &am
probité, & les lumières . Quand Christine vint à l’Académie, on
demanda
si les Académiciens seroient devant elle assis ou
tres, tout le monde étoit assis ; la question fut décidée, & sans
demander
permission on s’assit, dès que la Reine fut assis
chargé de faire tenir une lettre à son général dans laquelle elle lui
demandoit
deux Jésuites habiles pour achever de l’instruire
e nos tragédies les plus sages et les plus décentes, tout cela, je le
demande
, est-il compatible avec une religion qui fait une
’il participe à tout le bien auquel il a contribué. Maintenant, je le
demande
, que devons-nous penser d’un acte qui a pour but
e rigueur n’est point dans l’Evangile, qu’elles me permettent de leur
demander
, avec la plus affectueuse sollicitude, comment, d
-vous jeter en vous-mêmes un regard sérieux et scrutateur. Je ne vous
demanderai
pas si vous pouvez accomplir tous ces devoirs par
de avec autant d’abnégation qu’en aucun autre moment ; enfin, je vous
demanderai
si vous pouvez vous endormir avec la conscience d
rononcer, je vais ajouter une réflexion qui le décidera peut-être. Je
demande
à quelqu’un qui se trouve malheureusement sous la
ou une action vicieuse, pour leur faire éviter le sentier du vice. Je
demande
maintenant s’il est de l’essence d’une action ver
ra démontré le contraire, je suis prêt d’adopter son sentiment. On me
demande
maintenant quelle figure je crois que fera la Com
ue nous désignons ainsi. Je me dispenserai de répondre à celui qui me
demanderait
de quelle espèce il était donc ? Je n’en pourrais
c’est pourquoi ils ne chantent plus que des Chansons insérées15 ». Je
demande
s’il en faut d’avantage pour persuader mon Lecteu
jours, quand ils seraient permis d’ailleurs ? Au reste on ne doit pas
demander
des passages exprès de ce saint docteur, ou des a
t, Reims, 1844, 4 vol. in-4, t. III, p. 442 et 443). On peut même se
demander
si la note infamante : quibus Ecclesiae inquinatu
ouffre, l’on tombe dans un autre plus dangereux. Premièrement je leur
demanderais
, s’il est raisonnable de prendre son plaisir, et
nes et humaines : ce n’est donc pas un plaisir honnête. Au surplus je
demande
si pour aller à ces spectacles le peuple est moin
it avoir, de bannir de son corps ceux qui en violent les lois ; et on
demanderait
à l’autorité spirituelle si elle prétend avoir le
? Or, si le comédien, saisi d’une mort subite, n’a pas eu le temps de
demander
un confesseur, mais qu’il ait pu adresser à l’êtr
opéra, à Paris ; on a vu des capucins, des cordeliers, des augustins,
demander
l’aumône par placet, aux sociétés théâtrales, et
Les Comédiens et le Clergé, auquel je renvoie pour les détails. On se
demandera
, comment des prêtres peuvent-ils prier Dieu pour
sans cesse la Nature, c’est-à-dire les règles dramatiques ? Mais, me
demandera-t
-on sans doute, votre principal objet est-il le Th
ance. Il n’est pas difficile de montrer qu’ils sont dans l’erreur. Je
demande
d’abord, si l’on peut donner le nom de Poème dram
la vue d’ailleurs nous en instruit. Mais il est des cas où ce que je
demande
serait très nécessaire. La vraisemblance serait a
l’èxplication des objets qu’on voit sur la Scène. Pourquoi cet Autel,
demande
Œdipe ? Que veulent ces vieillards, ces enfans ép
ent les modeles de toute l’impatience d’une Nature irritée, & qui
demande
vengeance. Philoctete ne fait un long récit de se
est d’autant plus admirable, qu’il est très-opposé aux caracteres que
demande
la Tragédie ; elle veut des hommes qui s’abandonn
aussi affirmatif qui nous oblige à l’aimer par un acte intérieur, il
demande
en quel temps ce précepte oblige. Et il ne marque
it que celui qui en est Directeur, ne s’y est pu résoudre, et qu’il a
demandé
la permission de dicter des écrits. Je ne sais pa
? Ah ! pourquoi ? Dans tout autre temps on n’aurait pas besoin de le
demander
; mais dans ce siècle, où règnent si fièrement le
rit à la voix de la raison, et leur cœur à celle de la nature. « Je
demande
comment un état dont l’unique objet est de se mon
leur sexe avait consacrées à la modestie, dont l’infirmité naturelle
demandait
la sûre retraite d’une maison bien réglée : et vo
c ceux qui approchent de si grands hommes… Toute la grâce que je vous
demande
, c’est qu’il me soit permis de vous répondre en m
sorte, nous n’aurons rien à répondre, il faudra se rendre, car de me
demander
comme vous faites, si je crois la Comédie une cho
es qui ne sont pas saintes, et qui sont pourtant innocentes : je vous
demanderai
si la Chasse, la Musique, le plaisir de faire des
’un cercle, où il y a tant de voluptueux qui l’offensent » ? C’est la
demande
de l’eloquent Salvien, qui y ajoute : « Si Dieu d
meté des citoiens de la Jerusalem celeste : mais si cette personne me
demande
, s’il lui est permis d’assister à la Comedie, je
mis ; mais il faut encore consulter la charité, & voir ce qu’elle
demande
de nous… Quant à ce qui est donc de manger des v
es personnes, auxquelles elles auront été une occasion de chute, n’en
demandent
un jour vengeance à la Justice Divine. Mais c’est
est pas permis de frequenter la Comedie, qu’il me donne la liberté de
demander
, s’il voudroit mourir au sortir de la Comedie. No
mes encore timides, contre les sentiments de la honte. Si la chasteté
demande
les retraites, les solitudes, les pénitences, com
; c’est n’avoir plus la confiance de nous approcher de son trône, de
demander
son secours, de recevoir ses lumières, et ses con
eau ; qui a été fait prisonnier. Cet homme se jette à ses genoux, lui
demande
grace, l’obtient, se donne à lui, & abandonne
ne à lui, & abandonne le parti de la Ligue, & pour récompense
demande
la noblesse. Le Roi la lui accorde. Il fait un gr
milieu de ce tapage l’amant ligueur entre, se donne au Roi, & lui
demande
sa grace, en lui chantant une ariette. Il est dif
des aveugles prodigalités du Roi, le maltraita en sa présence, &
demanda
hautement son renvoi. Henri qui avoit grand besoi
n ? Ce mot les peint tous les deux. Appellé par Louis XIII, pour lui
demander
des conseils, les petit-maîtres de la Cour le tou
ation, bien méritée à cause de son hérésie, si bien reconnue qu’il en
demanda
& en reçut l’absolution à Rome par ses ambass
e prie de lui accorder des lettres de noblesse, comme Durozoi en fait
demander
& obtenir au marchand d’Ivri. Mais quelles a
re dont on fait un colosse ou un nain. L’usage commode de séparer les
demandes
& les réponses par des petites lignes, fait l
is en paix avec elle ; & s’il eût osé & pu espérer, il auroit
demandé
un second divorce. Cette Princesse ne fut pas plu
envoya des ambassadeurs à l’Archiduc Léopold, Gouverneur de Flandres,
demander
sa niece, leva des troupes pour aller l’enlever,
sur la victoire ? Celle-ci se trompa. Maurice comprit bien qu’elle ne
demandoit
qu’à se venger de son mari : mais, soit que la da
s du pauvre Saxe, il avoit quelque-fois des idées singulieres. Je lui
demandai
un jour, pourquoi il ne s’étoit jamais marié ? M
rats, faites-en dresser procès-verbal, que vous présenterez au juge ;
demandez
la dissolution du mariage, j’y consentirai : nous
upuleux que son fils adultérin, il lui envoya sa grace, sans qu’il la
demandât
; & pour lui marquer encore mieux qu’on ne fa
ent bientôt reconnoître. Bien loin de la laisser aller, comme elle le
demandoit
avec instance, l’officier la garda, l’emmena avec
pas à beaucoup près y suffire, il a fallu écraser les peuples. Or je
demande
si l’oppression des peuples, la dissipation des f
pas à la postérité la plus reculée. Il eut recours au Parlement pour
demander
justice, & par-là il immortalise leur registr
ort puissantes. Dans la requête à la Grand’-Chambre, le sieur Mercier
demande
que la délibération soit biffée, avec dépens, dom
e, la Grand’-Chambre est seule compétente pour en juger. Il auroit dû
demander
l’assemblée des Chambres, & la Cour garnie Pa
vrages, de leur fermer la carriere, de décourager les talens, &c.
demandent
la plus prompte réforme. Les amis communs ont tra
die Françoise, n’a ni rejetté la piece, ni excommunié le coupable, ni
demandé
de réparation, elle a généreusement pardonné tout
ollicité cette lecture pendant tout le cours de l’année 1774 ; il l’a
demandée
enfin par une lettre du 4 Mars, avec une troisiem
ens Français ordinaires du Roi, a été lue hier à leur assemblée. Vous
demandez
à la Comédie de fixer un jour pour la lecture d’u
ous inscrire pour un autre lecture. La Comédie ayant délibéré sur vos
demandes
, voici l’avis qui a réuni le plus grand nombre de
ent. Le sieur Mercier est donc en droit de recourir aux Tribunaux, de
demander
la radiation de la délibération du 6 mars ; en ou
ompte désormais sur l’impartialité des Comédiens, on le croit fondé à
demander
en outre que le jugement de ces pieces soit renvo
t devoir, pour l’honneur de la Littérature & l’intérêt des mœurs,
demander
justice de la témérité des Comédiens. Il prie son
té, par un usage si prophane ; il courut chez le Grand-Vicaire lui en
demander
la permission, il fut renvoyé comme un hérétique,
ns la tragique catastrophe arrivée à la comédie. Une piéce dramatique
demandée
par une Dame, qui pouvoit s’occuper plus utilemen
comédie ; il a défendu de siffler, de crier, de blamer, de louer, de
demander
, de rejetter aucune piéce, bonne ou mauvaise. Tou
st sans péché jette la premiere pierre ; cette actrice à qui vous ne
demandez
rien, & qui n’a plus dans ses charmes de quoi
dées comme singulieres , & qu’il vient naturellement en pensée de
demander
comment on peut les concilier avec les textes de
ut des cables pour l’attacher. Le silence des enfans à qui les parens
demandent
le consentement, est un aveu tacite. §. 15. Ils d
e, que le consentement des parens n’y est point nécessaire, on ne le
demande
que par bienséance . Le premier mariage brise tou
femmes. Voilà des dénouemens tragiques bien faciles. Si les parties
demandent
la dissolution d’un commun accord, on fera bien q
vérité par un tour plus court, c’est-à-dire par des principes qui ne
demandent
ni discussion ni lecture. Puisqu’on demeure d’acc
e nom d’Ydiles ou d’Eglogues, quoiqu’assez semblables à la Pastorale,
demandent
pourtant des règles différentes. Elles sont, par
ale puisse se permettre. Je vais montrer en peu de mots que je ne lui
demande
rien de ridicule & d’impossible. Que le M
usique ne la peindrait-elle pas aussi ? mais pourquoi voulez-vous, me
demandera-t
-on, qu’elle imite les pipeaux, les cornemuses, le
propre cœur, de la perversité des maximes et des joies mondaines. On
demande
où c’est que l’Evangile défend ces profanes diver
du mal d’assister quelquefois aux spectacles, quand le Seigneur leur
demandera
compte de tant de gens qui s’y seront perdus ? Qu
orterait bien plutôt à éviter ces divertissements dangereux, qu’à lui
demander
la grâce d’être préservé de la corruption qui s’y
elui qui en est le Hèros a lieu de s’affliger ou de se réjouir. On me
demandera
, sans doute, ce que c’est que cette vraisemblance
erait plû à contredire l’Histoire, la raison & le sens commun. Je
demande
d’abord dans quel endroit se passe l’action ? Si
’étais où tu sais, jouissant de tout, voyant tout. Par mon Billet, je
demande
des avis. Je m’engage à ne faire aucune démarche,
il nous a fait l’accueil que j’en devais attendre ; ensuite il nous a
demandé
si nous ne m’avions pas vue ? Mademoiselle *** a
lle qu’on lui en porte le surprend, il ne l’accepte point d’abord, il
demande
du temps pour se résoudre. Il consulte la volonté
de du temps pour se résoudre. Il consulte la volonté de Dieu, il fait
demander
quelle est celle de son Souverain, et après avoir
le pathétique, la dégradation, la vaguesse & le coloris *. Je le
demande
à ces Pédans maussades, pour qui les plaisirs des
ue les spectacles où on voit la force du corps & la souplesse, ne
demandent
presque point d’art, puisque le jeu en est franc,
amp; réel, & qu’au contraire ceux où l’on voit l’action de l’áme,
demandent
un art infini, puisque tout y est mensonge, &
son pathétique, & sa criminelle facilité ? Ses voluptueux accens
demandaient
les cœurs avec le langage de la vertu ; mais c’ét
d’hommes à talens ; il les regarde comme de vils copistes. Et moi, je
demanderais
au sieur Ch***, s’il est permis de manquer de res
de voir la musique perfectionnée plutôt que les autres arts ; elle ne
demandait
pas tant d’èxpérience & de délicatesse. Les G
légèreté pour être susceptible des mouvemens & de l’harmonie que
demande
la musique. L’Abbé Perrin, dit-on, montra le prém
nous formons des choses ; mais n’en est pas moins dans la nature. Je
demande
s’il n’est pas naturel que tel Magicien fasse cha
le Alceste 56 ; on verra que l’intrigue des Opéras-Sérieux en général
demande
une plus grande étendue de tems que celle qu’on a
tuée dans l’Archipel ; on assiége la Ville capitale de cette Isle. Je
demande
si l’on peut dans un instant traverser un bras de
dix Entrées ; & le Triomphe de l’Amour 58 en a jusqu’à vingt : je
demande
quel intérêt on peut prendre à une action si souv
re leurs rôles ; & les Répétitions durent au moins trois mois. Je
demande
si toutes ces difficultés, ces traverses, ces dég
les passions n’y sauraient être peintes dans toute l’étendue qu’elles
demandent
; & que d’ailleurs elle ne saurait souvent me
. Ainsi, faisons-leur place, et accordons leur une distinction qu’ils
demandent
. Amphitryon passera le premier. M. Dryden revêt J
e la différence de notre Théâtre d’avec celui de Rome et de France le
demande
ainsi. »Epist. Dedicat. C’est-à-dire que le Théât
araît : M. Dryden qui ne conçoit pas bien comment cela est arrivé, se
demande
à ce sujet : « Si son père l’a mis au monde inspi
es griller des tranches de fous pour votre déjeuner, Paraissez. » Je
demande
si j’avais exagéré ? L’Epilogue renferme l’histoi
raître le génie, le talent du Poète. Cette partie du Poème Dramatique
demande
certains traits de conduite, certains ressorts d’
on frère Thomas qui l’ait prise. Pour lui, il n’a ni la précaution de
demander
une autre lettre, ni l’esprit de produire au moin
n’avait point concerté avec l’autre son voyage et ne lui avait point
demandé
son secours au besoin. Examinons à cette heure co
, les portes barricadées, un gros mousqueton bandé pour répondre à la
demande
civile qu’ils font. Et dès que Ventre-de-Tonne es
ur le langage ni pour l’air, ni pour les manières. Ventre-de-Tonne lu
demande
: « Où sont vos carrosses et vos domestiques, Mil
le son héritière ; il salue ainsi le Jeune La Mode : « Milord je vous
demande
la permission de boire ce verre de vin sec à votr
on principale d’une Pièce de Théâtre soit une et simple : cette Unité
demande
qu’une seule personne paraisse visiblement plus i
te de ces règles. Premièrement. Sa Comédie par une exacte supputation
demande
une semaine entière ; mais le moins qu’on puisse
loue à sa manière sur le mérite d’une aussi infâme profession, et lui
demande
le vivre et le couvert chez elle, gratis, Epist.
rétien ! le temps de la joie n’est pas encore venu pour nous. Vous en
demandez
trop, et vous entendez mal vos intérêts d’être si
réciproquement l’un pour l’autre, mon cher Frère, vous ont porté à me
demander
ma pensée touchant un Comédien qui est dans vôtre
subsisterait et suffirait seule pour leur donner gain de cause. On me
demandera
peut-être si la ressemblance est exacte, la paral
uffiront pour expliquer mon intention, et si je me suis trompé, je ne
demande
pas mieux que d’en convenir : j’ai cru, Monsieur,
serait que trop facile de se justifier. Entr’autres pourquoi, j’avais
demandé
si c’est parcequ’on y joue Tartuffe qu’il fallait
fournirait en vérité le texte d’une mission toute entière. Mais vous
demandez
si je suis bien convaincu qu’il « ne se passe dan
. Celle-ci l’en félicite, & lui souhaite un bonheur parfait. Elle
demande
seulement si ce bonheur n’est pas altéré par le s
vec Jocaste, & le Trône de Thebes perdu pour sa propre maison. Je
demande
s’il est naturel que de pareils événemens aient é
aume étoit plongé ? Ne suffisoit-elle pas pour que de lui-même, il en
demandât
la raison ? Mais il ignore tout, il arrive pour v
de ou refuse grace à son gré. Veut-il s’absenter ? Il est obligé d’en
demander
permission. Veut-il quitter le Théatre ? On le fo
iere qui lui fût plus avantageuse, où pour obtenir l’effet de quelque
demande
. Alors ce que la nécessité, ou l’amour-propre avo
lesquelles Arlequin dansa son premier Ménuet, ont déterminé à le lui
demander
toujours dans la suite. Peut on supposer qu’une A
ivertissements sont aussi innocents qu’on voudroit le faire croire.
Demande
. Qu’est-ce que danser ? Est-ce une action crimine
circonstances qui l’accompagnent. Voilà les conditions que S. Thomas
demande
dans la danse, afin qu’elle puisse être exemte de
r & l’inventeur des danses. Qui a appris aux Chrétiens à danser ?
demande
ce Saint Diacre d’Édesse : Ephrem, interrog. 2.
retient sur la Scène celui qui fait faire le message ; autrement, on
demanderait
pourquoi il le fait venir avec une telle promptit
se sert pour faire savoir ce qui se passe dans le fond de son âme. On
demande
, comment un Acteur qui entre sans qu’il l’apperço
rable, qu’on s’imagine que le genre adopté par le nouveau Théâtre, ne
demande
pas un meilleur arrangement, & que ce serait
p; donnent à la Pièce une certaine durée. Les Poèmes du nouveau genre
demandent
beaucoup plus d’action que de paroles. Avant d’en
ormer le Nœud en observant d’y mêler l’amour d’un tendre Colin. On me
demandera
comment je prétens qu’on mette dans notre Opéra p
fait étranger au Drame, serait celui que l’on adresse au Public, pour
demander
son indulgence. Encore ferait-on mieux de le comp
œud du Maréchal est proportionné à sa fin. Marcel le ferreur de mule,
demande
au commencement de la Pièce, sa Cravate & ses
se met à rire, et me soutient qu’il m’a trouvée très profane. » » Je
demanderais
volontiers à M. de Montesquieu en quel de ces end
tant d’étude, plus de grades, d’enquêtes, d’examen, que l’Eglise n’en
demande
pour le sacerdoce ? n’y a-t-il pas dans tous les
oivent-ils pas fuir les occasions du péché, approcher des sacrements,
demander
les secours de la grâce, pratiquer les vertus chr
ce le réduit à rien. « Un Magistrat, dit-il, pèche mortellement, s’il
demande
la comédie, s’il appelle des Comédiens, les paie,
s là même que j’ai ouï dire, qu’une femme de qualité étant en couche,
demandait
sans cesse à sa garde, quand elle pourrait jouer,
ra à son tour, et fera votre condamnation. Il viendra un jour où vous
demanderez
du temps pour faire pénitence : mais Dieu vous le
e seule fois assisté à la comédie, et comme on l’exorcisait, et qu’on
demandait
au Démon, qui l’avait fait si hardi que d’entrer
ath devint en un moment la conquête de Bersabée, sur quoi S. Augustin
demande
, pourquoi un objet si éloigné avait fait sur Davi
drix, qu’il avait rendue familière ; et comme un jour un chasseur lui
demandait
, d’où vient qu’une personne de sa gravité passait
ez point la réponse, vous ne pouvez concevoir qu’il y en ait. Vous la
demandez
hardiment à l’Auteur des lettres, comme s’il ne p
et pour insulter à l’affliction de ces pauvres filles. On ne peut pas
demander
une plus grande preuve de l’hospitalité de Port-R
vous les accusez seulement de l’avoir souvent rapportée. Mais je vous
demande
qui est le plus coupable, ou celui qui prêche tou
inaires, comme il est une grande grâce dans les Provinciales. Je vous
demande
seulement pourquoi vous jugez des intentions d’un
oibaud-Dubois. ag. [NDE] Racine, op. cit., p. 23 : « Enfin, je vous
demanderais
volontiers ce qu’il faut que nous lisions, si ces
t de pouvoir se marier aussi. Lorsqu’il lui offrit une clef, elle lui
demanda
si c’était celle du paradis ou de l’enfer. Il rép
tel, et qu’on doit refuser l’absolution aux Acteurs (si jamais ils la
demandent
). Elle y est parfaitement caractérisée dans la de
amais ils la demandent). Elle y est parfaitement caractérisée dans la
demande
et dans la réponse. « Cette comédie est très pern
se du théâtre fut plaidée solennellement par quelques Professeurs qui
demandaient
la permission de représenter dans leurs collèges,
dans leurs collèges, ce qui leur fut refusé. Le synode de Zélande fit
demander
à leurs Hautes Puissances qu’on fît une défense g
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