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1 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PREFACE. » pp. -
aisée. Cela n’est pas brave, mais cela est commode. Je ne suis ennemi déclaré , ni de la Comédie, ni des Comédiens. Il y en a mê
dignes à tous égards de l’estime et de l’amitié des honnêtes gens. Je déclare donc que je n’en veux à personne, que je n’ai vou
2 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
ction entre la conduite du public, qui va à la comédie, et la loi qui déclare le métier de Comédien infâme. Avouons la dette, c
déshonore des pièces où Louis XIV et Louis XV ont été acteurs, qu’on déclare œuvre du démon des pièces reçues par des Magistra
rité chrétienne, peuvent-ils concevoir que nos lois autorisent un art déclaré infâme, ou qu’on ose couvrir d’infamie un art aut
3 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
épugnante, avec dégoût, & toujours triste & sérieuse. Elle se déclara pour les Carmelites, & fit tout ce qu’elle pu
des choses que l’on peut aimer. A peine fut-elle rétablie qu’il fut déclaré une guerre ouverte entr’elle & la Duchesse de
re sur leur médiocrité. La Princesse fut prise pour arbitre, & se déclara pour Voiture, son ancien admirateur à l’Hôtel de
mais je pourrai me tirer de cet abyme. Dites la Messe pour moi, & déclarez -moi sans ménagement ce que Dieu vous inspirera.
ne, & ayant profité de l’absence du Duc de la Rochefoucault il se déclara son amant, eut la foiblesse des plus grands guerr
Molé, premier Président, l’homme le plus intrépide qui fut jamais, se déclara pour elle : mais les deux procès eurent le même s
attendre. La Reine ne répondit à tous ces écrits que par un Edit qui déclare les Princes, la Duchesse, les Ducs de Bouillon,
en conscience d’entreprendre un dessein si grand, si glorieux ; elle déclare qu’elle veut bien traiter de la paix avec la Rein
rlement casse ses propres arrêts & les déclarations enregistrées, déclare innocent ceux qu’il avoit déclarés coupables du c
a fille Amazone ; nouvelle déclaration qui révoque la derniere, & déclare le Prince & la Princesse criminels ; le Parle
inels ; le Parlement enregistre encore, & quelque-temps après les déclare tous innocens. Ainsi dans quelques pages on voit
mis sa tete à prix, & vint se prosterner à ses pieds ; on l’avoit déclaré rebelle, & béni les Princes, on déclare les P
à ses pieds ; on l’avoit déclaré rebelle, & béni les Princes, on déclare les Princes rébelles, & on bénit Dieu d’avoir
4 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
tion, qui en sont inséparables, que les lois Romaines ont constamment déclaré le théâtre infâme. L’Apologiste convient que l’in
fort petit avantage, ou plutôt cette loi se tourne contre elle. On y déclare que jusqu’alors le théâtre avait été très licenci
t. La déclaration juridique de l’infamie est une sentence du Juge qui déclare encourue l’infamie imposée par la loi. Dans la ju
i générale de l’infamie des Comédiens, et ordonner au Juge de la leur déclarer juridiquement encourue, s’ils s’écartent des lois
plus grand mal, aucun Prince, aucune loi ne s’est jamais avisé de les déclarer innocents, encore moins la profession de Comédien
sort. Il ne le pouvait pas même, puisque l’Eglise s’étant constamment déclarée dans tous les siècles contre l’assistance aux spe
nathématisé et privé des sacrements, un Prince Chrétien ne pouvait se déclarer authentiquement contre sa doctrine, en traitant d
omme criminel. C’est comme si un Prince, en tolérant les courtisanes, déclarait leur métier innocent. Il y a donc bien de l’appar
5 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. » pp. 146-153
n sans doute ajouter sa Sentence particulière à cette commination, et déclarer excommuniés par le seul fait, ceux qui dans leurs
r continuer impunément dans leurs désordres. Et le Pape Innocent même déclare ,In c. fui interrogatus de emptio. Abbas eodem loc
6 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
rechercher afin d’y avoir quelque chose. Je n’aurais jamais fait, ni déclaré tous les abus qui s’y font, et ne sais que je pou
tres Es Constitution des Apôtres, chap. 36 du livre 7., il est dit et déclaré pourquoi Dieu nous a ordonné les fêtes : savoir e
t. Il y a plusieurs autres erreurs et abus, que monsieur Saint Pierre déclare là plus au long, desquels nous en tenons et obser
t lui avait été agréable. Cela appertn manifestement et l’histoire le déclare assez qui dit, que pour peine et punition de cela
7 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
e que l’Eglise regarde comme infâmes tous ceux que les lois de l’Etat déclarent tels (Caus. 6. Q. 1. C. 2. Omnes.), mais encore p
C. 2. Omnes.), mais encore parce que le septième concile de Carthage déclare nommément les Comédiens infâmes : « Histrionum tu
t de raison d’être mécontente de lui, et qu’une juste compensation le déclarait irrecevable. Combien de fois dans les innombrable
prône. Dès qu’il fut fini, elle se lève au milieu de l’auditoire, et déclare à haute voix, qu’en présence de l’Eglise et de to
sort de la coulisse de dessous la chaire, se montre à l’assemblée, et déclare bien distinctement aussi qu’il prend la Bourguign
famille, jusqu’à ce que quatre ans après la mort du mari, la veuve se déclara , et demanda la succession du père, que les collat
grand tort de priver le pécheur de la grâce et de la gloire, et de le déclarer indigne des sacrements ; c’est lui enlever le fre
8 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187
ne put se les attacher ; elles lui furent infidelles. Lui-même les en déclara , & les en fit punir. La derniere, qui lui sur
ses enfans, tant de sa premiere femme que des autres. Il les faisoit déclarer tantôt bâtards adultérins, tantôt légitimes, tant
rte, refuse la dissolution, confirme le mariage, & par conséquent déclare illégitime le fruit de l’adultere. Tel fut le sec
iage, & en declare la fille bâtarde, confirme le second, & en déclare le fruit légitime. Voilà les titres d’Elizabeth,
Il cassa ses propres décrets, & rendit hommage à ceux de Rome. Il déclara la fille de l’amour illégitime, inhabile à lui su
e légitimer, pour obtenir son mariage, publia un édit solemnet qui la déclara bâtarde & hérétique, & défend de lui donn
arquis, de Baron, de Comte ; ils achêtent des lettres patentes, & déclarent sans difficulté qu’ils descendent en droite ligne
priva le Comte de toutes ses charges, & le chassa de la Cour. Il déclare Elizabeth bâtarde & incapable de lui succeder
crut assez fort, faire revolter le peuple, se former un parti, & déclarer la guerre à sa maîtresse. Le succès ne fut pas he
la fuite, on l’arrête ; on excite des troubles pour le venger. Il est déclaré Souverain ; & aussi-tôt on lui offre son trôn
étoit même frere naturel de la Reine ; mais Henri VIII ne l’avoit pas déclaré . L’inimitié d’Alton venoit de ce que Penot l’avoi
9 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
297.) et par Gratien (Distinct. 34. C. Si quis 15.). Outre la loi qui déclare irréguliers ceux qui épousent des Comédiennes, il
d’Irrégularités ex delicto ; on trouvera les suffrages unanimes pour déclarer le Théâtre indigne de l’Autel. 4.° Quoique par un
mari, et demande qu’un sacrement dont elle use depuis cinq ans, soit déclaré nul, pour pouvoir se marier ailleurs. » La consci
éâtre. Des traits de ce caractère ne feront pas révoquer les lois qui déclarent les Comédiens infâmes. La Tourneuse n’était pas s
voulu épouser. Elle ne sera pas plus déshonorée quand le mariage sera déclaré nul, elle rentrera dans ses fonctions, qui n’ont
t des lieux permettaient d’espérer, et déclarant la fille adultérine, déclara la légitimation impossible, et lui adjugea une pe
10 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
Hélas ! je ne puis pas me soutenir moi-même. » Le Cardinal aurait déclaré la guerre à un Prince qui l’aurait ainsi joué. L
ne paraissaient auprès de lui que des ébauches d’écolier. Scudéry se déclara hautement, Mairet, Claveret et quantité d’autres
e, dont il était le secret mobile ; il animait les combattants, et se déclarait pour Scudery contre Corneille. Mais ce n’était là
’il faisait à la maison d’Autriche l’intriguait moins que celle qu’il déclara à Corneille. Il ne pouvait ni le mettre à la Bast
ans sa maison, les pensions des Auteurs et des Acteurs, sa protection déclarée , étaient du côté des mœurs une hérésie de conduit
Cid, adressées à l’Académie, et la prie de prononcer. Le Cardinal se déclare pour lui, et sollicite puissamment contre la pièc
11 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
le théâtre pour gagner de l’argent. Dès l’an 314. le Concile d’Arles déclara excommuniés ces sortes de gens, « de Theatricis ,
Leur Confesseur veut les obliger à s’en abstenir entièrement, et leur déclare qu’il ne leur donnera pas l’absolution, s’ils ne
d’une troupe de gens, que toutes les Lois Ecclesiastiques et civiles, déclarent infâmes : Ulpianus in leg. Quod ait. 2. ff. de hi
t donné des marques assurées d’une véritable conversion, ainsi que le déclare le troisième Concile de Carthage, tenu en l’an 39
rupule de se laisser aller à un tel excès, et nous nous contentons de déclarer notre sentiment, qui est, que ces Religieux ne pe
12 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
amplificent mane Dei sanctitatem. » Ecclesiast. Ce qui est encore déclaré plus expressément dans cet autre passage de l’Ecr
e, ne consistait que dans le luxe et dans les plaisirs sensuels. Dieu déclare par le Prophète Osée qu’il a ces solennités en ho
ient sur cet exemple ; et ils ont pris même, dis-je, cette liberté de déclarer qu’ils auront recours à votre Sainteté pour évite
13 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216
s avons décrits ; car ils les notèrent d'infamie par les Lois, et les déclarèrent indignes de posséder aucunes Charges publiques, d
dit du Préteur qui contenait le droit commun du peuple Romain, et qui déclare infâmes ceux qui paraissaient sur la Scène, pour
infam. des récits. Aussi quand les Empereurs Dioclétien et Maximilien déclarent exempts de toute infamie des Mineurs que l'on en
14 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
iècle, il semble que des chrétiens ne devraient pas attendre, pour se déclarer contre les spectacles, qu’on les y contraignît, m
pendant des hommes qui se disent chrétiens ne se contentent pas de se déclarer pour des divertissements si contraires à la relig
lorsqu’elle entend une personne de son sexe avouer sa faiblesse et la déclarer même au séducteur qui l’a fait naître ? N’est-ce
15 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
ux qui y étaient intéressés ; le concile, pour extirper cette erreur, déclare que cette doctrine est hérétique, scandaleuse, sé
es, les mensonges, les trahisons et les parjures. De plus, le concile déclare hérétiques tous ceux qui soutiendront opiniâtreme
16 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
e ne composa son traité que pour se venger du grand Corneille, qui se déclarait hautement contre la nouvelle secte. » En effet il
elle dérision. Il est vrai que l’Athée périt à la fin ; mais l’Auteur déclare dans sa préface que son but a été de réjouir les
ins, autre Ministre très distingué, (Anathom. Conscientia. C. 3.), se déclarent hautement contre les spectacles par ces deux rais
demment connaître ce qu’on pense dans la réforme. Voltaire, qui s’est déclaré pour le théâtre, contre les dangers duquel il ava
e, contre les dangers duquel il avait autrefois écrit, comme il s’est déclaré contre la religion qu’il avait jadis professée, p
17 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « [Introduction]  » p. 2
s cœurs faits pour l’aimer et la pratiquer, et que le gouvernement se déclare contre son ennemi secret et le plus dangereux, je
18 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
re ; ils ne sont surement pas le fruit d’un bon arbre. C’est l’ennemi déclaré du célibat des Prêtres & des Moines, ou plutô
parle contre le libertinage, lui qui ne ménage ni Pape ni Roi. Il se déclare le défenseur de Marguerite de Valois, parce qu’el
absurdités ? Les Ecclésiastiques & les Religieux de l’inquisition déclarent l’hérésie du coupable, & le livrent au bras s
aître des couronnes, & les donner comme son bien ; il ne fait que déclarer que le peuple dans telles circonstances n’est pas
enne libre & reprenne ses droits, qui peut empêcher le Pape de le déclarer  ? On ne peut donc combattre ce systême ultramonta
refusant ce droit au peuple dans tous les cas. Alors le Pape ne peut déclarer ce qui ne peut être, ni dispenser d’un serment au
La France gouverna la Cour de Rome. Est-ce bien payer le zèle du plus déclaré partisan de la France, tiré de son sein, placé de
19 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE. De Racine à Despréaux, » pp. 83-84
que j’ai été un peu surpris d’apprendre par votre Lettre, qu’on m’eût déclaré la guerre chez eux. Vraisemblablement ce bon Rége
20 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198
ar le témoignage du plus grand homme de bien qu’ait eu la République, déclaré tel par le décret du Sénat, que c’est au contrair
écents, en laissant subsister un culte qui faisait leur religion, ont déclaré les Comédiens infâmes, les ont même exclus du ran
e, c’est de se suivre soi-même, et de ne pas adorer des Dieux dont on déclare infâmes les Prêtres et le culte. Concluons par ce
temps que vous vouliez les honorer par les jeux du théâtre, vous avez déclaré infâmes les Acteurs qui les représentaient. Déliv
21 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67
d’être libres à répandre leur doctrine. L’apostat fut un persécuteur déclaré  ; d’abord avec quelque réserve, & sans effusi
s les plus importantes en ce genre, d’un grand roi, l’amateur le plus déclaré , & du plus grand poëte dramatique, par l’air
Paul de Samosate, évêque d’Antioche dans le troisieme siecle, a été déclaré par un concile homme de théâtre. Qui peut lui dis
22 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIV. Que les danses sont aussi défendues les jours des Fêtes par les lois Canoniques. » pp. 76-93
s et serviles, n’est ordonnée que pour cela. Ce que le Pape Nicolas a déclaré dans l’endroit que nous avons auparavant cité. « 
sir ; et les lois que nous avons citées dans le Chapitre précédent le déclarent encore assez. Ainsi comme la danse est un exercic
23 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
Jésus-Christ dira-t-il, aux riches de la terre Pendant toute sa vie a déclaré la guerre. Cependant un Prélat se croit en sûreté
24 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
peu pour négliger un devoir si puissant, Que mon cœur en secret vous déclare innocent. A l'erreur du public c'est peu qu'il se
25 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
peu pour négliger un devoir si pressant, Que mon cœur en secret vous déclare innocent. A l'erreur du public c'est peu qu'il se
26 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VIII. » pp. 42-43
pour les peuples. On n’en peut douter puisque c’est Mercure même qui déclare aux Génies que Jupiter a jeté la Pomme, mais qu’i
27 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335
nistre d’Apollon, le nomma Ion par allégorie à son avanture, & le déclara son héritier. Creuse indignée, ne sachant pas qu’
tu n’es qu’une impie. Creuse. Je n’ai fait que me venger d’un énnemi déclaré de ma maison. Ion. D’un énnemi ! Ai-je envahi to
28 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
t servir. » Dans la tragédie de Pompée, Cornélie sa veuve, ennemie déclarée de César, va lui découvrir une conspiration faite
plus brillante, au-dessus de plusieurs autres ouvrages qu’elle-même a déclaré exceller, l’Epître d’un Père à son Fils, par le s
sur le trône l’héritier légitime. 1.° Cela n’est pas vrai. Corneille déclare que la pièce est toute de son invention. Quelle f
n, mais je prétends Que du moins il faudra la demander longtemps. Déclarons -nous, Madame, et rompons le silence. Fermons-lu
les routes. Voltaire. Pour celui-ci, je doute que personne se déclare son apologiste. Il a débité tant d’erreurs et de
apologiste. Il a débité tant d’erreurs et de calomnies, il a si fort déclaré la guerre à Dieu et aux hommes, quand il a parlé
me bien exposé dans Aristomène, où le héros de la pièce est hautement déclaré contre son Roi, et où sa famille et ses amis se d
est hautement déclaré contre son Roi, et où sa famille et ses amis se déclarent contre le Sénat. Partout révolte, fureur, meurtre
29 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
ui font le sujet de nos larmes. Et cela ne nous suffit-il pas pour le déclarer hautement l’ennemi irréconciliable du Dieu qui pr
30 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
ornications infinies, scandales, dérisions et moqueries. Et, pour les déclarer par le menu, en premier lieu dit que, pendant les
ak à faire jeux ou spectacles publics, et ainsi en propres termes le déclare Panormitanus In dicto titulo « Cum decorem » divi
. Davantage a plusieurs choses au Vieil Testament qui n’est expédient déclarer au peuple, comme gens ignares et imbéciles qui po
31 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
secours spirituels de l’église : mais je fais observer que le prêtre déclare implicitement, par cette excommunication, que cel
es, comme étant leurs dernières ressources. Déjà la petite guerre est déclarée aux imprimeurs et aux libraires, déjà de prétendu
leurs correspondants en France, qui craignent tant la lumière, et se déclarent les ennemis si implacables de la liberté de la pr
32 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
laisirs. Ce sont de tels sages et de tels prudents à qui Jésus-Christ déclare que « les secrets de son royaume sont cachés, et
33 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
Hippolyte coupable, en le dépeignant comme un orgueilleux qui s’étoit déclaré l’ennemi, non-seulement de l’Amour mais du Mariag
attaqués sur le Théâtre : Aristophane ne les épargnoit pas. Platon se déclara contre les Poëtes ; Aristote fut d’un sentiment t
34 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
andit par tout le pays. » Le Fils de Dieu s’est toujours ouvertement déclaré contre les jeux, les danses, et les spectacles pu
Christ condamne les divertissements mondains, est qu’il a ouvertement déclaré qu’il était impossible de se sauver sans porter s
35 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IV. Du Conquérant de Sans-souci. » pp. 88-120
factures & aux archives, & commande par-tout en Souverain, il déclare par ses manifestes à l’Europe étonnée, qu’il n’es
secouer toute dépendance. Il refusa le serment & l’hommage, & déclara la guerre à son Seigneur. Cette guerre ne fut ni
. Le reste de l’Ordre Teutonique indigné, élut un autre Grand Maître, déclara Albert Apostat, lui fit la guerre, & engagea
lésie, la Lusace, la Boheme, qu’il envahit en pleine paix, sans avoir déclaré la guerre ; les Maréchaux de Belle-isle & de
fâcher & de vouloir le punir. Enfin je paroîtrai convaincu. Je me déclarerai son défenseur & partisan de son systême. Vol
36 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
gue Joué. Sang-farouche lève hardiment l’étendard de la débauche, se déclare contre un légitime mariage, et jure par Mahomet.
ique parle insolemment à son oncle. La Femme Provoquée p. 64. Belinde déclare avec effronterie son inclination pour un amant. E
atière du Poème, et appuyer le dessein de chaque Acte ; qu’il doit se déclarer le défenseur de la vertu, et du respect dû à la R
re et au valet une espèce d’amende honorable de leurs fautes ; il les déclare malfaiteurs, et sollicite leur pardon avant que d
on de la Comédie, (le plaisir n’en est donc pas la fin principale) je déclare nettement que nous ne faisons heureux les hommes
37 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
sont ici d’accord avec les loix ecclésiastiques. L’Empereur Justinien déclare que les Comédiens sont infames. La loi de Valenti
n l’ame mille sortes de mauvaises affections. Si c’est ainsi qu’on se déclare en faveur des spectacles, comment faudra-t-il s’e
sous les yeux du lecteur, les Loix ecclésiastiques & civiles, qui déclarent les Comédiens infâmes, & dèfendent aux fidéle
ns doute, fondé sur d’anciennes constitutions, qui ont excommunié, ou déclaré infames les Histrions des tems réculés ; mais qu’
de Paris, osa, en 1761, entreprendre, sous les yeux de la Cour, de se déclarer pour la profession de Comédien, & de la faire
se, qu’ils leur défendent d’y assister, c’est en son nom, qu’ils leur déclarent , qu’elle en réprouve les Acteurs, qu’elle les met
damner les spectacles, de les décrier dans les lieux Saints, & de déclarer coupables, les Acteurs & les Spectateurs. Les
38 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
es expressions ce qui est infâme et ce qui est honnête ? Pour moi, je déclare que je ne sais point ce que c’est que de flatter
39 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre [V].  » pp. 156-192
ulierement distingué par ses actions & ses ouvrages, comme ennemi déclaré de l’impureté du luxe des femmes & des specta
p; non aperui os meum quoniam refecisti. Des son enfance, Bernardin déclara une guerre ouverte à l’impureté. La moindre parol
n les garde parce qu’on aime le vice, & que la piété, son ennemie déclarée , est un censeur redoutable. Mais, dit-on, un mela
? Tel ce Roi de Juda qui en montrant ses trésors à ses ennemis se fit déclarer la guerre pour les lui enlever. Les assemblées du
, plus intéressante que celle des longitudes ; c’est une vraie guerre déclarée à tous les cœurs des hommes, & à toutes les g
a foiblesse, de la chûte des femmes, & ce sont elles-mêmes qui se déclarent la guerre, & se crusent le précipice ! Quelle
40 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
ctivement ce damnable métier, que les Saints Canons4. quest. 1. c. 1. déclarent infâme, comme il est porté par le 3. Concile de C
damnent, ne voulant pas que personne contribue à leur subsistance, et déclarent que c’est un très grand péché. Il y a pourtant d
41 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
Monsieur, Je vous déclare que je ne prends point de parti entre Monsieur De
t. Employez l’autorité de Saint Augustin et de Saint Bernard, pour le déclarer Visionnaire. Etablissez de bonnes règles pour nou
42 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVI. Efficace de la séduction des Spectacles. » pp. 36-39
t. On a le mal dans le sang & dans les entrailles, avant qu’il se déclare par la fiévre. En l’affoiblissant peu à peu, on s
43 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre X. Des Incidens & des Episodes. » pp. 159-164
ïde & la liberté à Iphis, qui doit l’y reconduire. Alors celui-ci déclare à Amœnophis qu’Alzaïde devoit l’égorger avec ce m
44 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Punctum Unicum. » pp. 5-6
qui avez des pensées inutiles6 ! Et notre béni Sauveur dit : Je vous déclare que les hommes rendront compte au jugement de tou
45 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
que les Comédiens qui vivaient dans le temps où l’Eglise de Paris se déclara ouvertement contre eux, n’aient réclamé en aucune
les regardaient pas ; il me suffit d’être assuré : que Louis XIII. a déclaré la Profession de Comédien honnête : que Louis XIV
46 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
t dans l’esprit du peuple, mais autorisés par des lois expresses, qui déclaraient les acteurs infâmes, leur ôtaient le titre et les
l’exemple des Grecs, en donnèrent un tout contraire. Quand leurs lois déclaraient les comédiens infâmes, était-ce dans le dessein d
47 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
ains au Baptême, les Comédiens. M. Jean de Gondy Archevêque de Paris, déclara dans son Syndicon en 1624. qu’il fallait priver l
il mérite qu’on leur interdise l’entrée des lieux sacrés ? Je ne vous déclarerai pas leur crime par mes discours ; mais par les pr
48 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
eurs éloges à continuer une profession que les loix même payennes ont déclarée infâme, S. Aug de Civit. Dei, c. 13.& de les
49 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
pour le théâtre. Houdar de La Mothe abjura ses travaux couronnés, et déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages diamétraleme
50 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
cour adressantesci, par lesquelles et pour les causes y contenues, il déclare , veut et lui plaît que Charles Le Royer et ses co
51 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
pinion dedans vos cœurs que nous ayons essayé tous les moyens de nous déclarer vos très humbles serviteurs. a. [NDE] Ce prolog
52 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
r théâtre stable et public à Rome. En 1748 Benoît XIV, grand Pontife, déclara authentiquement que c’est avec regret qu’il se vo
de secrètes dispositions très-mauvaises, quoique leur malignité ne se déclare pas toujours d’abord. Tout ce qui nourrit les pas
èbre d’un grand nombre de pièces, il abjura ses travaux couronnés, et déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages diamétraleme
e Paris, auquel il renonça par principe de religion. Louis Riccobonni déclare donc qu’après une épreuve de 50 années, il ne pou
53 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29
onfesseurs, les Casuistes, les Prédicateurs, jusques sous ses yeux se déclarent contre elle. Le P. Bourdaloue, disoit Louis XIV,
Moliere. Malade insensé, le feu brûle vos entrailles, le Médecin vous déclare en état de mort, & vous vous applaudissez d’u
on saisit cette occasion pour s’en défaire. Les Héros de la scène se déclarèrent les Dom Quichottes pour redresser ses torts. Ils
réchal, pour se moquer d’elle & amuser le Roi de cette farce, lui déclare que c’est une affaire d’État qui passe ses pouvoi
54 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
notre siècle, qui font gémir la Religion & la pudeur. Charlemagne déclara infâmes les histrions & les farceurs, par une
des Ecritures-Saintesa, ainsi que plusieurs Magistrats s’en sont déja déclaré  ; 3°. à mettre ordre à la conduite des Acteurs &a
55 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
réformateur de la vie humaine, il vient de composer un livre où il se déclare le plus ferme appui et le meilleur soutien de la
couvert Monsieur de Molière d’un reproche si bien fondé, qu’on ne se déclare l’ennemi de la raison et le protecteur d’un coupa
56 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128
it depuis ; le digeste & les deux codes, les canons, les loix qui déclarent les Comédiens infames, sont postérieurs. Il n’y a
t riroit de cette objection. Il cite la Bruyere. L’a-t-il lu ? il est déclaré contre le spectacle. Sénèque, qui rapporte avec é
le 15 mai 1759, où il déplore & répare le scandale qu’il a donné, déclare qu’il a brulé plusieurs pieces qui n’avoient poin
57 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
ndiquer qu’elles étaient nouvelles et introduites depuis peuaa, et il déclare qu’elles sont défendues en certains cas et en cer
58 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
ui ne sont rien moins que des traits d’esprit, sont un jargon dont on déclare gravement qu’il ne faut que rire. Toute la jeunes
nfesseurs, les casuistes, les prédicateurs, jusques sous ses yeux, se déclarent contr’elle. Le P. Bourdaloue, disoit Louis XIV, a
59 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
certain. Le troisiéme Concile de Toléde, tenu en 589 sous Pélage II, déclare impie la coûtume de danser aux solemnités des Sai
irer la miséricorde de Dieu sur son mariage avec le jeune Tobie, elle déclare qu’elle a toujours eu en horreur de semblables am
60 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
p; que dans la société l’hypocrisie est moins pernicieuse que le vice déclaré . Une prude corrompra moins de gens qu’une courtis
ice du Roi, vouloir faire un parjure pour le nier, au lieu de l’aller déclarer , comme on en a fait sonner si haut l’obligation c
mme d’esprit, qui offre généreusement son carrosse & mille louis, déclare qu’il a appris par un crime l’ordre donné contre
61 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
me III. Grand Duc de Toscane, qui avait été dans sa jeunesse Partisan déclaré des Spectacles, ne cessa pas de les proscrire ens
62 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216
confrere la maladie de la Novice. Il la vit, en devint amoureux, lui déclara sa passion, & lui plut. Les lettres coururent
, quand on s’apperçut de la supercherie. On fit grand bruit. La fille déclara qu’elle ne vouloit pas être Religieuse, mais épou
ouvoit infecté des bérésies & doctrines condamnées, Sa Majesté le déclare incapable de regner, & le prive de tout droit
e M. Filding, homme célebre dans la littérature Angloise, s’est aussi déclaré contre elle, & a prié très-sincerement Garrik
63 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Suite d’Anecdotes illustres. » pp. 184-225
oit née Protestante, aussi-bien que Montausier, de la famille la plus déclarée contre les Catholiques : d’Aubigné son père se fi
i plut infiniment, car quoique très-vertueuse elle n’étoit pas encore déclarée pour la haute spiritualité ; l’Abbesse de Salfine
Sa conduite étoit l’original que peignoient ses crayons ; Épicurien déclaré & Philosophe voluptueux qui ne modéroit la vi
nus, droits & biens patrimoniaux de la ville de Paris. Sa Majesté déclare en faveur des étrangers qui voudront acquérir les
ertus & ses lumières, que par ses dignités & sa naissance, se déclara hautement contre elle par un ouvrage immortel ; l
64 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
ine, manet alta mente repostum . Philippe obligé de se désendre, lui déclara la guerre à son tour, envoya contre elle une flot
d’agréer ce projet avec les plus grandes démonstrations de joie, elle déclara que c’étoit le plus agréable mariage qu’on put lu
à son sexe la glorieuse qualité de bâtarde adultérine, solennellement déclarée par trois Souverains ses prédécesseurs, & par
Amérique les Espagnols, certain jour qu’elle lui désigne, auquel elle déclare la guerre. Les Espagnols qui ne pouvoient déviner
elle avoit même pris le titre de Reine d’Angleterre, elle pouvoit lui déclarer la guerre ; le voyage n’est pas long d’Edimbourg
c’étoit en effet la condamnation la plus authentique de sa conduite ; déclarer le fils de Marie Roi d’Ecosse, & légitime hér
65 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre III. Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. » pp. 14-21
dre, qu’ils pussent eux-mêmes danser sans péché. Sylvestre et Angélus déclarent que le péché que ces personnes commettent, si ell
66 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
e est, dans la classe des Tragédies à conserver. GETA. Je ne me déclare point contre l’amour de Géta et d’Antonin son frè
mais on ne peut être plus blessé que je le suis, de ce que Justine se déclare amoureuse de Géta. Si le Poète avait donné à cett
le cœur, et contre lesquelles je me suis tant de fois et si vivement déclaré . Il est vrai que, malgré toutes ces raisons, je n
67 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
la Foi de Jésus-Christ, selon la forme et la manière de sa Loi; Nous déclarons de notre propre bouche que nous avons renoncé au
r abaissent autant les Comédiens, qu'ils relèvent la Comédie; ils les déclarent infâmes par leurs Edits, ils leur font changer d'
68 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
us voulez savoir comment ils sont coupables d'adultère, je ne le vous déclarerai point par mes discours, mais par les propres paro
es bouffonneries; tout y est corrompu, tout y est pernicieux. Je vous déclare à vous tous, qu'aucun de ceux qui participent à c
69 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
le fanatisme, ligué avec la faction jésuitique ultramontaine, ennemie déclarée de nos libertés de l’église gallicane. Ce parti s
rtage cette idée, qui est bien naturelle, en y réfléchissant, elle se déclarera incompétente, car elle ne peut rien ajouter à sa
70 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6
e où il avoit brillé, & auroit pu se faire un grand nom. Il s’est déclaré contre les Spectacles & contre Moliere, en lo
71 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « MANDEMENT  du Chapitre d’Auxerre, Touchant la Comédie. » pp. 51-58
ous adresse au milieu de la célébration des Saints Mystéres, elle les déclare exclus de tous ses biens spirituels, de ses priér
72 (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre XI. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics, en augmente le danger. L’on ne peut assister aux spectacles sans péril. » pp. 191-200
admettent point à la participation des Sacrements, et les autres les déclarent infâmes. On ne peut donc point sans pécher les en
73 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
« Pour bien faire connaître, dit-il, qu’est-ce que le théâtre, et en déclarer l’essence, on peut dire que c’est le temple de Vé
74 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67
’on réchauffe les froides cendres de son ancien amour : ses enfans se déclarent les amans de leur belle mere, & le vieux guer
é, sous le nom de Phedre, sa belle-mere, qui, en bonne actrice le lui déclare , & le sollicite. Exemple scandaleux d’inceste
on rôle : voici celui du François, il court dans la scéne suivante se déclarer amant d’une fille qu’il n’a jamais vue, & qui
cence, elle est adressée à un Evêque, probablement M. Bossuet, ennemi déclaré de la comédie ; dédicace aussi maladroite que la
75 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194
isoit Saint Paul, je ne serois pas serviteur de Jesus-Christ ; qui se déclare ami du monde, se déclare ennemi de Jesus-Christ.
erois pas serviteur de Jesus-Christ ; qui se déclare ami du monde, se déclare ennemi de Jesus-Christ. Malheur à qui aime le mon
on, l’autre y succombe, ne doit-on pas également se réprocher d’avoir déclaré la guerre, occasionné la victoire, & causé la
76 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105
ptant sur le pouvoir de ses charmes & la protection de son amant, déclara fiertement qu’elle ne vouloit plus danser avec lu
tte, prince fameux à Varsovie par des manœuvres de toutes especes, se déclara hautement pour sa Dulcinée, défia son ennemi, mit
ait à des pareils gestes, voulut se retirer : mais un autre prince se déclare son chevalier, accepte le défi, prend son bouclie
77 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
épondez à l’Auteur des Hérésies Imaginaires et des Visionnaires. Vous déclarez d’abord que vous ne prenez point de parti entre l
ord que vous ne prenez point de parti entre lui et Desmarets. Je vous déclare aussi que je n’y en prends point, mais je ne veux
h. [NDE] Laurent Thirouin renvoie à Matthieu. XII, 36 : « Or je vous déclare que les hommes rendront compte au jour du jugemen
78 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
nait pour Urbain son compétiteur, et par toute la France, qui s’était déclarée pour Clément. Les Basochiens la saisirent avideme
iorité des sentiments, se répand en invectives contre l’Eglise, qu’il déclare n’avoir pas même le pouvoir d’excommunier les Act
eurettes à la Huerne. Il fait l’éloge de quelques autres Comédiennes, déclare qu’« il se borne à trois, et demande pardon aux A
79 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
à s’éloigner du théâtre. Aucun état dans tous les temps ne s’est plus déclaré contre lui qui la Magistrature ; les canons des c
ais ici plus qu’ailleurs ce sont des questions de nom, personne ne se déclare pour la licence contre les mœurs ; mais qu’est-ce
pte, fit signifier à Gaudron un acte, où prenant le ton dévot, il lui déclare qu’« il ne peut faire son salut en exécutant ses
80 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
e tribunal. Depuis qu’il en a encouru la disgrace, il s’est hautement déclaré pour la concurrence, & veut qu’à Paris même,
les foyers. C’est une feconde Saint-Barthelemi contre laquelle il se déclare protestant. Il en conclut que ces abus étant un f
lots d’ennemis, réparer dans mes vers les maux que j’ai commis. Je le déclare donc, Quinault est-un Virgile, Pradon comme un so
e citoyen, elle lui forme pour jamais la carriere du Théatre, elle le déclare auteur d’un libelle, & une pareille imputatio
istres une délibération injurieuse pour un Homme de Lettres, mais lui déclarer à lui-même, par l’organe d’un souffleur érigé en
, Bellecourt, Lelievre, Molé, ont eu le mérite & le courage de se déclarer ouvertement en faveur de la piece, aussi-bien que
81 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
pensé lui en coûter le salut éternel : C’est pour cela même que David déclare si souvent qu’il ne veut point avoir d’autre plai
82 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
s seuls infaillibles. Il dit donc que « je suis un jeune poète » ; il déclare que « tout est faux dans ma Lettre, et contre le
83 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
’à priver de la sainte Communion ceux qui s’adonnaient à cet art : Il déclare le semblable en cette Epître, que le Chrétien doi
ie et divine religion en contuméliek du vrai Dieu. Je suis honteux de déclarer ici les lieux et passages, desquels ils usent pou
84 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 113-155
rnies, & fasse bruler devant lui l’encens de l’impiété. Cathérine déclara avant sa mort qu’elle avoit vécu & qu’elle mo
Etats du Royaume, & par le Roi son fils, qui par son conseil s’en déclara le chef, & lui fit faire les plus grands prog
qui pour se venger d’Henri IV sollicita la Bulle de Sixte-Quint, qui déclare ce Prince incapable de porter la couronne de Fran
qui déclare ce Prince incapable de porter la couronne de France, l’en déclare déchu, & défend de jamais le reconnoître ; da
 ; ni du goût de la Reine pour le théatre. C’étoit l’amatrice la plus déclarée & le génie le plus dramatique. Ecoutons encor
85 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
t] & le sentiment marque la disposition de l’esprit, lorsqu’il se déclare par les paroles qui font connoître dans quel sent
ts si obscurs, que Castelvetro, après en avoir fait une longue étude, déclare qu’il ne se vante pas d’entendre parfaitement ce
par la faute des Poëtes, & la nature des Représentations. Je déclare en commençant cet Article, & en le finissant
s. Je déclare en commençant cet Article, & en le finissant je déclarerai encore que je ne prétens en aucune façon justifie
à la vérité poursuivi par les Furies : mais Apollon, dans Eschyle, se déclare son protecteur, par la raison que le meurtre d’un
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
contraste, que chaque Acte ait la sienne particulière ; le Poète sera déclaré un des plus habiles de son art ; & je lui rép
87 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
’il monta sur le théâtre, il ne cessa de l’envisager du mauvais côté, déclare qu’après une épreuve de cinquante années, il ne p
88 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 2-36
nfaiteur, l’homme de génie, qui a illustrè la scène Françoise  ; il a déclaré en même-tems, que le produit de la représentation
omédien honore la nation ? Les loix civiles & ecclésiastiques, le déclarent infame ? Elle la deshonore bien plutôt, en rendan
il fait étrangler dans la tour de Londres. Un fils dénaturé, qui fait déclarer sa propre mere adultere, pour faire régarder ses
e, s’érigeant en juge souverain, il prononce sur son mérite, & la déclare digne de la plus brillante couronne, une couronne
89 (1855) Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du Béarn et les Dames de la ville pp. 1532-1553
es de la ville. Quelque juste que soit la guerre littéraire que je déclare au théatre, je sens que les passions qui y sont s
nouerait les dangereuses liaisons avec les ennemis auxquels il aurait déclaré la guerre. En attendant l’édition de ce précieux
l l’a mariée à un homme du pays qui n’est point du vulgaire couronné, déclaré indigne d’elle, mais du vulgaire non couronné, qu
burlesque et même très-sérieusement. Le naturel, la naïveté même qui déclare ses sentiments sans art et sans détour, peut être
90 (1731) Discours sur la comédie « Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caffaro, Théatin ; à Monseigneur L’Archevêque de Paris. Imprimée à Paris en 1694. in-quarto. » pp. -
pour l’édification de l’Eglise, et pour l’honneur de mon ministère de déclarer publiquement que cette Lettre n’est point de moi,
91 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
, son libertinage & ses obscénités. Sans doute : qui oseroit s’en déclarer le panégyriste ? Mais qui ne sait que le public n
es. On ne disputera pas ce titre à Bossuet : le sieur Chamfort, ne se déclarera pas son rival, & son discours, quoique couron
he des convives comme un poëte lâche la mithologie. Un si léger repas déclare la stérilité du poëte qui ne fait que coudre des
a oublié de parler du spectacle, contre lequel il est très-justement déclaré , & sur lequel l’indulgence de Fenelon lui don
étracté sa scandaleuse proposition, & dans un nouveau programme a déclaré que par des raisons particulieres elle a changé l
92 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110
fameux livre de l’Esprit de M. Arnaud. Jurieu cependant est un ennemi déclaré du théatre, il dit l. 2, c. 3 : une personne qui
die ; il est vrai que ce fameux moraliste, comme tous les autres, est déclaré contre le théatre, mais l’endroit cité est moins
héatre fut toujours ennemi de la piété. M. Godeau fut aussi partisant déclaré de la morale sévère & opposée aux Jésuites, l
93 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
répandit, ils devinrent communs, & grace à la loi Chrétienne, qui déclare le mariage indissoluble, la comédie est forcée de
n’oseroit sur la scène seulement laisser entrevoir, sous peine d’être déclaré imbécille ou tartuffe, & régalé de mille siff
es enfans qui se marient sans le consentement de leurs parens ; elles déclarent , quant aux effets civils, ces mariages invalides,
94 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84
nner du poids à son suffrage contre le théatre. Elle en est l’ennemie déclarée , & de tout ce qui tient à lui. C’est pourtant
rimes : Nuda confusione plena, tempus amorum, tempus tuum. S. Cyprien déclare que quelque innocente qu’elle se flatre d’être, l
du crime, les y engager, en vouloir faire disparoître l’horreur, s’en déclarer l’apologiste, c’est une malice consommée, c’est u
95 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
e arrive et se fait fort de les rendre à la vie, pourvu que le public déclare qu’il est content d’eux. On ne manque pas d’appla
ce que j’ai pu voir & entendre. Cassandre, vieux & gouteux, déclare entermes formels son impuissance pour les plaisir
llégorie marquée au coin de l’impudence la plus révoltante. Colinette déclare que déjà elle a mordu dix ou onze fois à La grapp
96 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
qui mît un frein aux passions et apprît à les régler ; qui fût ennemi déclaré du vice et épargnât le vicieux : persécuteur infa
être de notre état pensent de même, j’admire autant leur courage à se déclarer hautement contre une aussi singulière extravaganc
97 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
s Verus, qu’Antonin avait adopté, et que Marc-Aurèle par complaisance déclara Auguste, était bien opposé à sa régularité. En re
, parce qu’il n’avait reçu aucun présent de Maxime, quoiqu’il eut été déclaré Empereur dans leur Ville. Maxime outré de cette i
s trois vices plus rassemblés qu’au Théâtre ? Sénèque l’a ouvertement déclaré , en nous disant qu’il en revenait toujours plus d
outes les lois et des Païens, et des Princes Chrétiens et de l’Eglise déclarent les Comédiens infâmes, il faut bien que tout le m
ce Discours est rempli de traits vifs Ibid. p. 276.  ; S. Chrysostome déclare au peuple de Constantinople, que si après cette i
renouvelant dans le Digeste les lois de ses prédécesseurs qui avaient déclaré les Comédiens infâmes, montra assez ce que tous l
ne défendit pas seulement de fréquenter des concerts si profanes, il déclara aussi au vingt-deuxième Canon que les Chrétiens n
, Patriarche de Constantinople, au commencement du neuvième siècle le déclare expressément dans un de ses Canons c. 12.. « Die
Comédies d’à présent, puisque l’Eglise de Paris les condamne, jusqu’à déclarer les Comédiens excommuniés, il s’ensuit, selon sai
et les Rituels les plus exacts. On l’a déjà vu dans saint Thomas, qui déclare que l’Eglise ne doit point recevoir de l’argent d
ento quominus Græci Latinive Histrionis artem exercerent. » Et la loi déclare , que ceux qui n’avaient représenté que dans des m
ment donna un Arrêt contre eux en 1652. et l’Eglise de Paris en 1654. déclara Ritual. Paris. pag. 108. « qu’ils étaient manifes
de rien dire ni faire sur le Théâtre contre les bonnes mœurs. » C’est déclarer bien ouvertement que jusqu’en 1657. qui est la da
le Concile d’Elvire, il cite les lois Civiles et Ecclésiastiques qui déclarent les Comédiens infâmes, et défendent la fréquentat
lle tolère les pécheurs publics et scandaleux. Le Rituel de Paris les déclare tels, et il ordonne, que s’ils osent s’approcher
Réponse. Ces personnes se trompent, bien fort, si elles croient qu’on déclare excommuniés ceux qui manquent trois fois d’aller
98 (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -
 Faciamus ei adjutorium simile sibi.Genèse 2, v. 19. »  Car Dieu nous déclare lui-même par la bouche du Sage, que c’est de sa m
Cet excès est si criminel, et si injurieux à Dieu, que ce grand Saint déclare qu’il ne peut être puni trop sévèrement : « Ne sa
des Oracles de la sainte Écriture ; et qu’en même temps que ce Prince déclare que Dieu lui a servi de maître, il témoigne qu’il
pposition, dis-je, est visiblement fausse, parce que les Saints Pères déclarent formellement, qu’encore que les Comédies ne fusse
s, et les Scéniques généralement, et sans aucune exception, ont aussi déclaré infâmes les Acteurs de Comédies, et de Tragédies,
es Comédies, et les Tragédies. III. Réfutation. Saint Cyprien déclare que les Acteurs de Comédie, et de Tragédies mérit
sir : et les lois que nous avons citées dans le chapitre précédent le déclarent encore assez. » Ainsi les Spectacles et les Jeux
du Paganisme ; ou la croyance du peuple. L’Auteur de la Dissertation déclare dans le 2. chapitre pag. 51. et 52. qu’il faut ju
ur sujet, bien loin de les regarder comme des choses de religion ; il déclare qu’ils déshonoraient la religion. « Après avoir p
s Spectacles honteux et déshonnêtes ? N’est-ce pas pour cela qu’elles déclaraient infâmes les acteurs des SpectaclesL. Athletas ff.
gion, pourquoi aurait-on défendu d’y mener les enfants ? Car Aristote déclare que « les Législateurs ne doivent point souffrir
et qui lui donnait des applaudissements, est à présent le même qui se déclare contre les Pantomimes, et qui condamne ces Jeux i
Muréna, où représentant les raisons qui avaient porté le peuple à se déclarer pour Muréna lorsqu’il fut élu Consul, il allègue
tres n’étaient pas moins religieux que les Temples ; car cet Empereur déclare « Theatra turpissima opera, et fœdissima vitæ mun
rès combien ce plaisir est pernicieux et criminel. Le Synode de Milan déclare que les Spectacles du Théâtre sont des restes exé
ce qu’ils sont des restes de l’Idolâtrie, comme le Synode de Milan le déclare . Que l’Auteur donc de la Dissertation reconnaisse
approuvait pas. En un mot, quoiqu’on puisse dire, l’Eglise a toujours déclaré que les Spectacles étaient indignes des Chrétiens
néanmoins que S. Augustin dans le premier livre de ses Rétractations déclare qu’il l’a trop loué : « J’ai autrefois, dit S. Au
us voulez savoir comment ils sont coupables d’adultère, je ne le vous déclarerai point par mes discours, mais par les propres paro
ons un rescrit de Théodoric Roi d’Italie, et des Goths, par lequel il déclare que les spectacles sont des folies, et des ouvrag
és, et rendus dignes des Chrétiens. Car au contraire le Roi Théodoric déclare dans ce rescrit, que bien loin d’approuver les sp
’avis au LecteurDissertation sur la fin de l’Avis au Lecteur., et qui déclare qu’on ne doit point s’étonner qu’il mêle, quand i
oit abolir, et comme je reconnais qu’ils n’ont jamais été utiles ; Je déclare même qu’ils sont pernicieux, et opposés à la véri
e, s’appuient sur cet exemple : et ils ont pris même cette liberté de déclarer qu’ils auront recours à votre Sainteté pour évite
les lois civiles, et Ecclésiastiques, et les Pères mêmes de l’Eglise déclarent les Histrions infâmes, il ne croirait pas que cel
s avons décrits ; car ils les notèrent d’infamie par les Lois, et les déclarèrent indignes de posséder aucunes charges publiques, d
tur infamia. , qui contenait le droit commun du peuple Romain, et qui déclare infâmes ceux qui paraissaient sur la Scène, pour
Joueurs de Comédie, et de Tragédies, allèguent l’Edit du Préteur qui déclare infâmes ceux qui montent sur le Théâtre artis lud
 » L. 2. de iis qui notantur infamia.. « Pégasus et Nerva le fils ont déclaré que ceux qui descendent dans l’Arène, afin d’y co
tion pag. 195. « Aussi quand les Empereurs Dioclétien et Maximien déclarent exempts de toute infamie des mineurs que l’on en
un lieu infâme. Aussi les Interprètes du Droit expliquant cette loi, déclarent que les Comédiens, et tous les autres qui montent
même elles n’eussent point monté sur le Théâtre ? La loi Julia ne le déclare-t -elle pas en termes exprès, défendant aux hommes d
 : car s’il eût lu Tertullien avec attention, il aurait reconnu qu’il déclare que les Comédies, et les Tragédies sont pleines d
., des Spectacles, et ceux qui sont chargés de les faire représenter, déclarent ouvertement infâmes les Conducteurs des chariots,
Comédies, et des Tragédies, parmi les Acteurs Scéniques. Et comme il déclare que les Acteurs Scéniques étaient notés d’infamie
mme il déclare que les Acteurs Scéniques étaient notés d’infamie ; il déclare par conséquent que les Acteurs des Comédies, et d
ertation ne peut rejeter le témoignage de ce grand homme, après avoir déclaré queDissert. pag. 206. « c’était un Romain qui viv
nfâmes que les autres Acteurs des Jeux Scéniques. En effet la loi qui déclaré généralement infâmes tous ceux qui montent sur la
’Esope ; mais non pas sur les paroles de Cicéron, lequel au contraire déclare en termes exprès qu’il y avait de l’infamie à mon
de sa profession de Comédien il fût noté d’infamie par les lois, qui déclarent infâmes tous ceux qui montent sur le Théâtre pour
onvient point aux Acteurs de Comédies, et de Tragédies ; car les lois déclarent en termes exprès qu’elles exemptent les Athlètes
§. dernier, parle ainsi sur cet Edit : « Pégasus et Nerva le fils ont déclaré que tous ceux qui entrent dans les combats et qui
. Ulpien célèbre Jurisconsulte sous le règne de l’Empereur Adrien, déclare en général, que tous ceux qui montent sur la Scèn
es. Cette supposition dis-je, est évidemment fausse ; car S. Augustin déclare en termes exprès, que la Comédie est vicieuse et
nt jamais été notés d’infamie. A l’égard du premier point, Tertullien déclare en termes exprès que sans parler de l’idolâtrie,
it, qui etiam muliebribus curatur ? » Ibid., puisque Dieu dans sa loi déclare que celui qui s’habille en femme, est maudit ; qu
jusqu’à nos jours. S. Cyprien dans l’Epître qu’il écrit à Euchratius déclare que le respect que nous devons à Dieu, et l’ordre
de les condamner. Il suffit donc de lui dire que l’Eglise de Paris a déclaré que les Comédiens sont notoirement infâmes et exc
s des honnêtes gens qui aimaient la pureté des mœurs, comme Plaute le déclare lui-même dans le prologue et dans la conclusion d
i sont exemptes d’impureté : Je lui répondrai premièrement que Plaute déclare ouvertement qu’il y en a bien peu qui ne soient s
vi pour divertir des Spectateurs sur un Théâtre. Car les Saints Pères déclarent eux-mêmes que c’eût été un crime d’en faire cet u
s de bien ; Et c’est pour cela au contraire que les Pères de l’Eglise déclarent qu’elles sont plus dangereuses, parce que plus el
s désordres corrompaient cette Poésie ; car j’ai montré qu’ils en ont déclaré les Acteurs infâmes, et que quelque réforme qu’il
lque réforme qu’ils aient tâché d’y apporter, ils n’ont pas laissé de déclarer que ce n’était que par une pressante nécessité qu
de leurs Etats. Il y a une loi dans le Droit Civil des Empereurs qui déclare généralement que tous ceux qui montent sur la Scè
qu’ils ne fassent point de farces. » Nous trouvons une autre loi qui déclare que c’est corrompre un esclave et le rendre plus
ans le Canon même qui est allégué dans la Dissertation, Innocent III. déclare en termes exprès que c’était un abus et un dérègl
fornications infinies, scandales, dérisions et moqueries. Et pour les déclarer en premier lieu par le menu, dit que pendant lesd
tus à faire jeux ou spectacles publics… et ainsi en propres termes le déclare Parnorm. in dicto tit. cum decorem. C’yau l’on vo
vantage y a plusieurs choses au Vieil Testament qu’il n’est expédient déclarer au peuple, comme gens ignorants et imbéciles, qui
et reçoit des rendez-vous à l’insu de ses parents, comme elle-même le déclare . « Je le vois cependant toujours aux Tuileries,
e mon amour consacrer la mémoire. Mais puisque l’Empereur s’est voulu déclarer , Il n’est plus rien pour vous qu’on en puisse esp
e la Paix : où dans l’entretien qu’il a avec le Prince de Tyr, il lui déclare qu’il ne prétend autre chose que d’épouser la Rei
sujet même de ne pas douter qu’il ne sût bien que puisque les Canons déclarent que c’est un crime aux Ecclésiastiques de lire le
tissement, lui faisait oublier ce qu’il devait à sa profession. Il le déclare lui-même naïvement, et ne le dissimule point, « M
ar leur présence. » Et ce qui doit faire rougir les Chrétiens qui se déclarent pour la défense des Comédies ; les Païens mêmes o
si les lois civiles les notent d’infamie, et les lois de l’Eglise les déclarent excommuniés tant qu’ils font ce métier, comme nou
us voulez savoir comment ils sont capables d’adultère ; je ne vous le déclarerai point par mes discours, mais par les propres paro
Comédiens quelque chose pour ces actions, ainsi que saint Augustin le déclare dans ses Commentaires sur Saint Jean, et sur le P
où il s’ensuit que le Concile de Laodicée, et le droit canonique, ont déclaré que les Comédies, et les Tragédies étaient illici
, et serviles, n’est ordonnée que pour cela. Ce que le Pape Nicolas a déclaré dans sa réponse aux Bulgares : « Il faut s’absten
Monsieur l’Evêque de Montpellier. Le Synode de Paris tenu l’an 1557. déclare « Cæteros dies Festos Dominicis Ecclesia addidit,
ae. 6. Et parce que vous êtes ses ministres, comme le saint Esprit le déclare , réprimez ces Emissaires du diable, dont je viens
. Et ce qui est certain en cette matière, c’est que le S. Esprit nous déclare  : Ecclésiastique 3. v. 27. « Que celui qui aime l
les Rois par leurs lois, et ordonnances civiles les avaient défendus, déclaré les Comédiens infâmes, excommuniés, etc. Et on pe
de Dieu, et du salut des âmes, que le Général des Jésuites a voulu se déclarer ainsi publiquement, et donner une approbation aut
« Si c’est zèle d’amant ou fureur de Chrétien. » Et quoique le Saint déclare lui-même ensuite qu’il n’a agi dans cette occasio
t peu pour négliger un devoir si puissant Que mon cœur en secret vous déclare innocent. A l’erreur du public c’est peu qu’il se
es divertissements selon la pratique commune, et ordinaire, puisqu’il déclare au même endroit que ces choses selon l’ordinaire
l’iniquité se condamnent assez eux-mêmes, puisqu’ils n’ont pas osé se déclarer ouvertement dans leur Dissertation sur la condamn
99 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XI. Du jeu des Acteurs. » pp. 345-354
n-dessus, en-dessous ; &c. &c. ils devraient se dire ; « Nous déclarons donc que nous n’écrivons que pour le Comédien ? Q
100 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE III. Qu'une Mère est très coupable de mener sa fille aux Spectacles. Que c'est une erreur de croire que la Comédie soit destinée à corriger les mauvaises mœurs. Que rien au contraire n'est plus propre à les corrompre. » pp. 65-75
inée à corriger les passions, et les mauvaises mœurs ? R. Ceux qui se déclarent les défenseurs de la comédie, lui attribuent une
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