e prétendez pas que je vous donne cet avantage sur moi ; j’aime mieux
croire
sur votre parole que vous ne savez pas les Pères,
plus que les très humbles serviteurs de l’Auteur des Imaginaires. Je
croirai
même, si vous voulez, que vous n’êtes point de Po
-Royal, et que Port-Royal vous fait beaucoup d’honneur à tous deux. —
Croyez
-moi, si vous en êtes, ne faites point de difficul
plus heureux que lui. Mais, Monsieur, vous qui êtes plaisant, et qui
croyez
vous connaître en plaisanterie trouvez-vous que l
dre, et de me dire, en parlant de vous : Quoi, Monsieur, vous avez pu
croire
que Messieurs de Port-Royal avaient adopté une Le
dre, il faudra se rendre, car de me demander comme vous faites, si je
crois
la Comédie une chose sainte, si je la crois propr
comme vous faites, si je crois la Comédie une chose sainte, si je la
crois
propre à faire mourir le vieil homme, je dirai qu
e en a ri pendant quelque temps, et le plus austère Janséniste aurait
cru
trahir la Vérité, que de n’en pas rire. Reconnais
répare sérieusement. Pour moi je n’en avais pas une idée si haute, je
croyais
que ces sortes d’Ouvrages n’étaient bons que pour
nier sont sans comparaison plus dévots que les Romans du premier ; je
crois
bien que si Desmarets avait revu ses Romans depui
s Plaidoyers, il y aurait peut-être mis de la spiritualité, mais il a
cru
qu’un pénitent devait oublier tout ce qu’il a fai
Capucins, il paraît bien par la manière dont vous la niez que vous la
croyez
véritable. L’un de vous me reproche seulement d’a
d’avoir pris des Capucins pour des Cordeliers. L’autre me veut faire
croire
que j’ai voulu parler du Père Mulardp. Non, Messi
me voulant dire des injures, vous en diriez au meilleur de vos amis,
croyez
-moi, retournez aux Jésuites, ce sont vos ennemis
NDE] Goibaud-Dubois : « Pour qui pensez-vous passer, et quel jugement
croyez
-vous qu’on fasse de votre conduite, quand vous of
aime bien la farce, puisqu’il en parle si pertinemment que l’on peut
croire
qu’il s’y connaît mieux qu’à la belle comédie. Ap
is il ne prend pas garde qu’il augmente sa gloire en même temps qu’il
croit
la diminuer, puisqu’il avoue qu’il est bon comédi
le devez pas blâmer : comme il soutient le parti de la religion, il a
cru
que l’on n’examinerait pas s’il disait des choses
artufes eussent plus d’autorité que lui dans son royaume, et qu’il ne
croyait
pas qu’ils pussent être juges équitables, puisqu’
rce et qu’il n’a jamais connue, ni par pratique ni par théoried. » Je
crois
que votre surprise est grande et que vous ne pens
criminel. Mais enfin, soit qu’il sache la vie de Molière, soit qu’il
croie
la deviner, soit qu’il s’attache à de fausses app
e à personne. Cet observateur, qui ne manque point d’adresse et qui a
cru
que ce lui devait être un moyen infaillible pour
dre à faire le dénombrement de tous les vices du libertin, mais je ne
crois
pas avoir beaucoup de choses à y répondre, quand
a jamais eu de comédies, mais comme cet ouvrage eût été trop long, je
crois
qu’il a voulu faire payer Don Juan pour tous les
Don Juan pour tous les autres. Pour ce qui regarde l’athéisme, je ne
crois
pas que son raisonnement puisse faire impression
acun prît parti et que l’athée déduisît les raisons qu’il avait de ne
croire
point de Dieu. La matière eût été belle, Molière
es deux. Mais pourquoi ne veut-on pas que le foudre en peinture fasse
croire
que Don Juan est puni ? Nous voyons tous les jour
Enfin Molière est un impie, cet Observateur l’a dit : il faut bien le
croire
, puisqu’il a vu une femme qui secouait la tête, e
re que la même chose que celles qui sont au commencement du livre. Je
crois
, Monsieur, que ces contre-observations ne feront
ner, Molière et moi, sans nous entendre. Pour vous, Monsieur, vous en
croirez
ce qu’il vous plaira, sans que cela m’empêche de
eur, vous en croirez ce qu’il vous plaira, sans que cela m’empêche de
croire
ce que je dois. a. [NDE] Ce texte, comme La R
Je ne
crois
pas faire un grand présent au public en lui donna
eu plus réservé à prononcer contre plusieurs personnes innocentes. Je
crus
qu’un homme qui se mêlait de railler tant de mond
n m’eut dit qu’il prenait l’affaire sérieusement. Ce n’est pas que je
crusse
que son ressentiment dût aller loin. J’avais vu m
pas songé à leur demander. Je me rendis facilement à ces raisons ; je
crus
qu’il ne serait plus parlé ni de la Lettre ni des
ait innocente ; le Port-Royal dit qu’elle est criminelle ; mais je ne
crois
pas qu’on puisse taxer ma proposition d’hérésie ;
ui des Capucins, encore ne l’ont-ils pas nié tout entier. Mais ils en
croiront
tout ce qu’ils voudront ; je sais bien que quand
e la grâce que je lui demande, c’est qu’il ne m’oblige pas non plus à
croire
un fait qu’il avance, lorsqu’il dit que le monde
es faire passer pour bonnes ; il eût parlé de loin, et on l’aurait pu
croire
sur sa parole. Mais tout ce qu’on fait pour ces M
e fêtes. L’auteur d’une Lettre sur l’ordonnance de l’Archevêque avait
cru
trouver une plaisanterie ingénieuse en faisant le
ens d’indiquer, et j’ai émis la mienne en des termes qui, j’aime à le
croire
, ont été appréciés de tous mes lecteurs. Cependan
appréciés de tous mes lecteurs. Cependant, Monsieur, un Laïc (que je
crois
véritablement laïc) a cru voir de l’ironie dans l
urs. Cependant, Monsieur, un Laïc (que je crois véritablement laïc) a
cru
voir de l’ironie dans les louanges que j’ai donné
avantages que vous m’offrez. En écrivant à ce pieux missionnaire, je
crois
avoir conservé le ton de modération, de décence e
s vous chicaner sur le mot retorque qui n’est pas français (vous avez
cru
apparemment qu’on disait la retorque comme on dit
i je me suis trompé, je ne demande pas mieux que d’en convenir : j’ai
cru
, Monsieur, dans toute la simplicité de ma dévotio
tre pas partout, vous répondez « le clergé ne s’abuse pas au point de
croire
que chacun de ses membres soit une divinité infai
aillible. » Je reconnais avec vous qu’il serait plus que. ridicule de
croire
à la divinité du clergé ; cependant un Pape est i
jeune fille autant qu’ailleurs. Je suis trop respectueux pour jamais
croire
que des paroles obscènes soient tolérées sur le t
s maintenant à la question des bals. C’est là que vous paraissez vous
croire
invulnérable ; eh bien, Monsieur, c’est-là que j’
e les formules d’usage » dont j’ai parlé. Pardonnez-moi, Monsieur, je
crois
qu’il s’y passe autre chose, et je l’ai dit dans
x impotens que renferment les hôpitaux des deux hémisphères » et vous
croyez
triompher en assurant que je n’ai pas la moindre
l vous répéter que la danse a fait partie du culte divin ? Si nous en
croyons
un chanoine de Paris, l’abbé Bergier (dans un ouv
x Tuileries que dans tout autre lieu ; encore une fois, vous ne ferez
croire
à personne que dans le palais du Roi de France tr
tyrannie insupportable que la nature et la raison désavouent…. » Je
crois
, M. le Laïc, qu’il serait difficile d’ajouter à l
ont point l’ouvrage de la raison ; si elle les inspirait, il faudrait
croire
que Dieu a réservé ses bienfaits pour les tigres.
réflexion suffisaient, dans tous les cas, pour faire l’homme que vous
croyez
être, quand vous nous condamnez ? Je crois que no
ur faire l’homme que vous croyez être, quand vous nous condamnez ? Je
crois
que non. La nature et l’expérience nous apprennen
et réparons ce qui est. Il n’y faut pas un miracle, ou du moins je ne
crois
pas ce miracle impossible. Vous eûtes un ami ? Qu
u’à ce que vous soyez parfaitement guéri. Mais les femmes, Monsieur ?
Croyez
-vous qu’une amie douce, complaisante, spirituelle
existe donc ? le loueriez-vous avec tant de complaisance, si vous le
croyez
imaginaire ! Vous sentez donc qu’il y a des femme
on. Non, Monsieur, ce n’est point là la femme que nous estimons. Vous
croyez
nous confondre par cette injurieuse imputation ?
lles voyaient tout ce qu’il fallait ajouter à un ouvrage qu’eux-mêmes
croyaient
fini ; que lorsqu’ils ont eu le bonheur d’en avoi
un sentiment qui n’existe nullement dans le cœur. Vous ne voulez pas
croire
que les Lettres d’une Portugaise f soient l’ouvra
s Lettres d’une Portugaise f soient l’ouvrage d’une femme ? mais vous
croirez
bien, j’espere, que les ouvrages de Saphog, les E
vement. La force de votre éloquence nous porterait quelquefois à vous
croire
; mais vous vous ôtez jusqu’à la ressource de not
de si bon, de si beau, de si fini que ce portrait. Il prend envie de
croire
que le vrai bonheur, le véritable amour, consiste
antes. A présent, Monsieur, permettez-moi de vous demander si vous ne
croyez
pas que cette peinture dépose contre vous ? L’ima
ntérieurs pour les femmes ; cependant vous en parlez de façon à faire
croire
aux meilleurs esprits, que vous les méprisez souv
entant les traits de la pudeur, vous nous autorisez à penser que vous
croyez
ces traits réels et bien palpables, et quand vous
t les plus rares, et formaient de ces tableaux qui forcent l’esprit à
croire
les prodiges, et le cœur à les adorer. Zima pénét
tation a passé jusqu’à moi ; j’ai adoré vos vertus : j’ai senti, j’ai
cru
sentir du moins que je vous appartenais déja ; fa
sentiments, pour être rempli ? Vous êtes au centre des plaisirs ; les
croirez
-vous plus dangereux, plus méprisables que des imp
eux, plus méprisables que des imposteurs qui vous ont perdu…. Non, je
crois
les plaisirs nécessaires ; je ne les fuirais pas,
ne sont plus, ils ont péri par les mains qui nous les dispensaient….
Croyez
-vous que toutes ces mains soient devenues crimine
re, Monsieur, est la votre jusqu’au dénouement ; j’aime du moins à le
croire
; j’aime à penser que vous ne haïssez, ne méprise
’un homme qui, tourmenté par l’idée de tout ce qui peut vous nuire, a
cru
devoir chercher ce qui pouvait vous convenir ; d’
op honnête homme pour démentir Mr. de Crébillon et pour vouloir faire
croire
qu’il avait puisé les pensées de son Ouvrage dans
loigne de leurs foudres, ils ne prêchent plus que devant ceux qui les
croient
, et ceux pour qui leurs efforts et leur zèle sero
le Pays du monde où l’on fait profession de la plus exacte piété, on
croit
édifier le Public par la représention des Pièces
pectateurs impies, au lieu de s’en tenir au sens naturel d’une pensée
croient
souvent voir une impiété enveloppée dans un vers
une impiété enveloppée dans un vers très innocent en soi, ils veulent
croire
, par exemple, que nos Ministres Ecclesiastiques s
x honnête homme, et spirituel emploiera son art d’une manière dont il
croit
trouver un exemple dans la conduite de son Sauveu
exposent la bonne foi en faveur de l’intérêt, on me permettra donc de
croire
que j’ai bien choisi en m’attachant à celle qui n
à celle qui ne m’oblige jamais à tromper personne, on me permettra de
croire
que je dois en conscience faire usage d’un talent
sez bien cette pièce pour être étonné de mon scrupule, « si vous avez
cru
mal faire en le faisant, me dit-il, vous avez péc
it-il, vous avez péché, la meilleure action cesse de l’être, quand on
croit
en la faisant en faire une mauvaise Hélas ! mon P
nt en faire une mauvaise Hélas ! mon Père, lui dis-je, je ne l’ai pas
cru
alors, mais j’ai craint de m’être trompé et c’est
is point confondre les choses indifférentes, avec les criminelles. Je
crois
que l’on peut s’amuser fort honnêtement et sans p
re la pudeur, la vertu, ni la Religion. Ce n’est pas cependant que je
croie
qu’on ne puisse faire mieux ; si vous vous sentie
upé, est précisément celui que le Démon attend pour vous tenter. » Je
crois
que personne ne trouvera trop de relâchement dans
incrédules au lieu d’en faire des justes. Je ne prétends point faire
croire
que ma profession édifie quoiqu’elle puisse préte
l’homme raisonnable qui n’aimera pas mieux être Comédien et qui ne se
croira
pas meilleur Chrétien sur la Scène où il fait pro
e, j’y monte. A cette condition, je n’aurai pas sitôt cet honneur, je
crois
. Une profession où la charité est sans contredit
onnaîtrai jamais d’autre principe universel que Dieu ; et je puis, je
crois
, sans pécher contre la Religion le regarder comme
tous les maux qui résultent d’une union si disproportionnée, loin de
croire
comme Mr. Rousseau, qu’on se rend criminel en tou
pures que celles qui dirigent aujourd’hui la plume de nos Auteurs. Je
crois
donc que les plus scrupuleux de nos Pasteurs sont
r propre en mouvement et qu’il est impossible d’y réussir, à ce qu’on
croit
, si cette passion ne domine dans la cœur. Je répo
proposer d’exercer, si l’amour propre est aussi condamnable qu’on le
croit
. Quelle est la profession dans laquelle on réussi
, de savoir trop bien captiver son Auditoire. A Dieu ne plaise que je
croie
que cet amour propre sait condamnable, il est au
à bien faire et à faire mieux que les autres, tout ce qu’on fait. Je
crois
donc qu’il s’en faut bien que sa justice puisse n
ntiment louable. L’orgueil est un amour propre excessif qui nous fait
croire
que nous sommes toujours supérieurs aux autres, o
’obtienne point cette plénitude de grâce, qu’on me permette de ne pas
croire
que je sais un reprouvé. La Théologie ne balance
; qu’on me permette donc d’espérer dans la miséricorde de Dieu, et de
croire
que j’aurai part au degré de ses faveurs en récom
je serais un traître. Je réponds à la première objection que j’aurais
cru
m’exposer aux soupçons d’un projet intéressé, en
r moi que de vous voir ici, Messieurs, je ne puis m’accoutumer à vous
croire
mes ennemis. Combien y a-t-il de Héros dans toute
oché de m’être défendu avec trop d’aigreur contre Mr. Rousseau. Je me
croyais
autorisé par la grossiéreté des injures que le di
pour le jugement desquels j’ai la plus respectueuse résignation, ont
cru
que je devais me défendre avec plus de modération
ation. Puissai-je par l’empressement avec lequel je déclare que je ne
crois
pas Mr. Rousseau un fripon, l’engager à m’imiter
et des arlequins ne sont pas non plus des Coquins. S’il le refuse je
crois
qu’alors le Public me permettra d’en revenir à mo
ent ce respect en s’abstenant de les exposer au jugement du Public et
croyaient
honorer leur modestie, en se taisant sur leurs au
es, ils avaient une telle idée de la modestie du sexe qu’ils auraient
cru
manquer aux égards qu’ils lui devaient de mettre
et qui n’ai de part à tout ceci qu’autant que j’y en veux prendre, je
crois
que sans vous faire d’affaire avec le P. du Bosc,
vous a emporté, et vous n’en avez pas vu les conséquences. Vous avez
cru
qu’il n’y avait qu’à prendre un tour de raillerie
llerie échoue contre les vérités établies et reconnues dans le monde.
Croyez
-vous qu’il n’y ait qu’à dire des injures aux gens
en pense bien plus que l’on n’en dit, il y en a beaucoup d’autres qui
croient
que qui ne dit rien n’a rien à dire. Vous dites p
qu’il y a des Imaginaires aux Chamillardes ? Et comment avez-vous pu
croire
qu’elles fussent du même auteur, et même que ces
gens en soupçon sur les louanges que vous donnez aux Provinciales. On
croira
que vous les louez sur la foi d’autrui, et que vo
st difficile que vous en ayez beaucoup en autre chose. D'ailleurs, je
crois
qu’on aurait de la peine à vous faire entendre ra
comédies, soient des gens de grande édification parmi les chrétiens ?
Croyez
-vous que la lecture de leurs ouvrages soit fort p
s exposent au mépris, ou des autres, ou de nous-mêmes. Or personne ne
croit
qu’on ait droit de le mépriser, ni ne se méprise
’ils n’en recueillent point le fruit. On les reconnaît par là ; et je
crois
qu’on peut presque établir pour règle que dès qu’
e du prétendu P. Maillard en disant la messe ; tout cela est de votre
cru
, sans compter l’application des proverbes, et les
ué parg une simple excuse de civilité que lui fait M. Pascal, d’avoir
cru
qu’il était l’auteur des Apologies des Jésuites,
ère ? Cependant vous ne vous contentez pas d’attaquer celui dont vous
croyez
avoir sujet de vous plaindre ; vous étendez votre
n à quoi se réduit ce que nous avons vu de votre lettre jusqu’ici. Et
croyez
-vous encore dire quelque chose, quand vous allégu
reuses »j ; et sans savoir trop bien ce que cela signifie, vous avez
cru
que vous vous sauveriez par là, comme si, en retr
e humeur. Vous jugez à peu près de ces écrits comme des romans ; vous
croyez
qu’ils ne sont faits que pour divertir le monde ;
ceux qui sont véritablement sages d’avec ceux qui ne le sont pas ? Je
crois
, Monsieur, qu’il est bon de vous avertir que si l
ne loue point de cette sorte ni les romans ni ceux qui les font, vous
croyez
ne les point louer. Voilà ce que c’est que de vou
nède1. Cela vaut la peine que vous y songiez. Cependant, Monsieur, je
crois
que l’Auteur des Imaginaires peut se tenir en rep
qui ne sont plus maintenant que les spectateurs de vos querelles. Ne
croyez
pas pour cela que je vous blâme de les laisser en
louer. Car dieu merci vous ne louez jamais que ce que vous faites. Et
croyez
-moi, ce sont peut-être les seules gens qui vous é
« gens horribles parmi les chrétiens ». Pensez-vous que l’on vous en
croie
sur votre parole ? Non, non, Monsieur, on n’est p
ur votre parole ? Non, non, Monsieur, on n’est point accoutumé à vous
croire
si légèrement. Il y a vingt ans que vous dites to
es cinq Propositions ne sont pas dans Jansénius. Cependant on ne vous
croit
pas encore. Mais nous connaissons l’austérité de
as empêché que leur mémoire ne vînt jusqu’à nous. Notre siècle qui ne
croit
pas être obligé de suivre votre jugement en toute
du feu qui échauffa autrefois ces grands Génies de l’Antiquité. Vous
croyez
sans doute qu’il est bien plus honorable de faire
la pénitence de Desmarets. Peut-être a-t-il fait plus que tout cela.
Croyez
-moi, vous n’y regarderiez point de si près, s’il
plus. Aussi bien à vous parler franchement, nous sommes résolus d’en
croire
plutôt le Pape et le Clergé de France, que vous.
omber sur les autres. Surtout, je vous le répète. Gardez-vous bien de
croire
vos Lettres aussi bonnes que les Lettres Provinci
ures. Vos bons mots ne sont d’ordinaire que de basses allusions. Vous
croyez
dire par exemple quelque chose de fort agréable,
e rejette. Mais, de crainte d’ennuyer par un détail trop long, car je
crois
que cet examen seul ferait la matière d’un gros v
uteur, dans cette intention, n’aura pas tout à fait développées, j’ai
cru
que je ne pouvais rien faire de mieux que d’imite
ainsi que les morts ; car il aurait bien fallu nommer la classe où je
crois
que chacune de ces Pièces doit être placée ; et s
m’a été quelquefois impossible de ne pas relever des défauts que j’ai
cru
apercevoir dans leurs Ouvrages ; et c’est sur cel
ue j’ai cru apercevoir dans leurs Ouvrages ; et c’est sur cela que je
crois
devoir prévenir mon Lecteur, et lui faire connaît
ec ce secours je me défiais moins de ma raison, quoique j’ai toujours
cru
que je devais avoir plus de ménagement qu’un autr
ment mes idées. Si j’ose donc parler présentement, c’est parce que je
crois
que je n’aurai plus à l’avenir occasion d’écrire
s d’un monstre qui t’irrite, La Veuve de Thésée ose aimer Hippolyte ?
Crois
-moi, ce monstre affreux ne doit point t’échapper.
agœdia meliores quam nunc sunt imitari conantur. »bn Voilà comme je
crois
qu’il doit être expliqué et entendu, car la Tragé
ui m’environne, Qu’heureusement pour vous la force m’abandonne : Mais
croyez
qu’en mourant mon cœur n’est point changé. » bv
mable, le père de cette même femme, et tout le Sénat. Caton, que vous
croyez
un pédant, a pourtant été trouvé tel que l’histoi
jours sans honneurs ! »bw A vous entendre gémir de la sorte, qui ne
croirait
que vous venez de dire des vérités inutilement dé
ait que vous venez de dire des vérités inutilement démontrées, qui ne
croirait
que vous en allez dire de nouvelles, et qu’elles
je jouis enfin du prix de mes forfaits." Est mis en exemple. »bx Je
crois
bien que vous ne le voyez pas, vous qui ne voulez
réponds que vous sortirez du spectacle bien convaincu que personne ne
croit
devoir ressembler à Atrée parce que ce monstre «
de cet homme illustre est si publique, qu’il n’est pas même permis de
croire
qu’il se repente de vous avoir obligé. Je vous la
lâcheté M. de Voltaire d’attenter à la gloire de M. de Crébillon ; je
crus
faire ma Cour à celui-ci en lui portant ma critiq
caresses de M. de Voltaire et les compliments que je reçus me firent
croire
que j’avais mis à profit quelques-uns des conseil
e ses yeux soient contents au spectacle autant que ses oreilles, j’ai
cru
devoir métamorphoser le Héros en Arlequin et devo
itié ; elle eut la bonté de demander pardon pour moi et l’obtint : je
crus
alors que M. de Voltaire ne rejetterait pas le té
e sentiment peut et doit aller. Je vous déclare donc que bien loin de
croire
que le bien public m’autorise à critiquer les ouv
lle fait à vos yeux un poltron et un « pédant » ? Je ne sais, mais je
crois
bien que ce sera pour vous seul qu’on verra arriv
? Vous l’aurez peut-être trouvé un peu moins odieux qu’Atrée, et vous
croirez
M. de Voltaire moins digne de censure, parce que
r par mon expression que j’ai du dépit d’avoir aucun remord. Cela, je
crois
, rendrait plus naturelle et plus conséquente la p
ractère de Mahomet ; mais si l’Auteur et le Public m’applaudissaient,
croyez
-vous que je ferais beaucoup d’attention à votre m
bien sanguinaire, le jugement bien faux et le goût bien dépravé pour
croire
les massacres des gladiateurs un spectacle moins
de vous prouver que la Tragédie n’était rien moins que dangereuse, je
crois
vous avoir prouvé qu’elle est encore utile à la c
ore utile à la correction des mœurs. Je n’aurai pas plus de peine, je
crois
, à démontrer que la Comédie a les mêmes avantages
x réflexions sur cette comédiea. Pour ce qui est de la relation, on a
cru
qu’il était à propos d’avertir ici que l’auteur n
quoi quelques gens se seraient peut-être mieux accommodés; mais il a
cru
devoir ce respect au Poète dont il raconte l’ouvr
teur n’aurait fait que la proposer sans la prouver, s’il en avait été
cru
, parce qu’elle lui semble trop spéculative, mais
nt sur la même supposition, il propose une utilité accidentelle qu’il
croit
qu’on en peut tirer contre la galanterie et les g
tant est qu’ils y soient, ce qu’il n’examine point. C'est ce qu’on a
cru
devoir dire par avance, pour la satisfaction des
auteur a sujet de s’en consoler, puisqu’il ne fait enfin que ce qu’il
croit
devoir à la Justice, à la Raison et à la Vérité.
apprend à chanter, il s’habille comme les grands Seigneurs à ce qu’il
croit
, il a la sotte vanité de penser de lui qu’il est
à punir sous le nom de sottise, la candeur des honnêtes gens. »co Je
crois
comme eux que parce qu’un homme est sot et ridicu
nos George Dandin de Finance se repentir vainement de n’en avoir pas
cru
Molière ? Le Public rit de leur chagrin, et n’a-t
sont ces Gentilhommeaux ridicules qui, le nez collé sur leurs Titres,
croient
y trouver des raisons suffisantes pour mépriser t
ns insolents qui vivent ordinairement du bout de leur fusil et qui se
croient
en droit de battre et d’insulter les Paysans, par
sine, quand il se trouve mal en sa présence, et cela d’un ton à faire
croire
que ce Vilain a même regret à cette dépense ; n’e
Vous ne vous arrêtez point à parler des Valets de la Comédie : vous
croiriez
profaner votre plume que de prendre la peine de l
dans sa Pièce. N’est-ce qu’un ridicule qu’il a joué dans L’Avare ? Je
crois
que vous conviendrez que c’est un Vice, et un Vic
qu’il y a de trivial dans cette comparaison, vous y reconnaîtrez, je
crois
, du bon sens ; à moins que vous n’exigiez qu’on f
ne vous donne point mon avis pour une règle à suivre ; mais enfin je
crois
vous devoir dire avec franchise ce que je pense,
ypocrite, en indifférent, en bavard, comme vous prétendez qu’il est :
croyez
-moi Monsieur, dispensez-vous d’enseigner à Molièr
Lorsqu’Oronte vient lire un Sonnet, tissu de pointes réfléchies qu’il
croit
des bons mots, son Sonnet doit déplaire comme la
riez haïssable cette Vertu, si vous étiez son seul Prédicateur ! Vous
croiriez
la faire parler naturellement, quand tout le mond
me très naïvement par ce vers. « Par la sangbleu ! Messieurs, je ne
croyais
pas être Si plaisant que je suis. » do Le Publi
iscrétion, et de prendre des Ours pour ses Avocats. Voilà Molière, je
crois
, suffisamment disculpé de vos reproches : je ne c
ilà Molière, je crois, suffisamment disculpé de vos reproches : je ne
crois
pas qu’aucun homme sensé qui lira cette réfutatio
é avec deux originaux aussi ridicules que le Gentilhomme et la veuve.
Croyez
-vous que deux Notaires, très bien connus d’un Tes
sous la dictée de Crispin, sans s’apercevoir qu’on les trompe ? Enfin
croyez
-vous que personne s’imagine qu’une pareille fourb
ppera pas sûrement à la corde dès ses premières tentatives. Voilà, je
crois
, les reproches essentiels que vous faites à la Co
eais rien : ce serait ennuyer le Public et moi-même ; cette raison je
crois
m’autorise à l’abréger. Je n’emploierai pas plus
tifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui
croient
pouvoir les fréquenter sans péché. D. Si les s
es. On n'en a point trouvé qui fussent dignes des Chrétiens ; et on a
cru
qu'il serait plus court de les rejeter tout à fai
». Aug[ustin]. lib. 1. c. 19.Quelque innocentes que ces personnes se
croient
, il n'y en a point qui voulût passer des divertis
à craindre que ceux dont vous parlez, ne soient du nombre de ceux qui
croient
pouvoir servir deux maîtres, « Nemo potest duobus
raient craindre pour eux cette parole de saint Paul : que « celui qui
croit
être debout, prenne garde à ne pas tomber » ; «
uments élèvent leur âme à Dieu ? R. Elles ont beau le dire. On ne les
croit
pas. Le saint Esprit qui forme les bonnes pensées
discernement. Ils sont un piège pour les uns et pour les autres, qui
croient
pouvoir ne pas se refuser ce que des dévots de pr
si ressemblante à madame D’Alzan, que sans l’impossibilité, j’aurais
cru
que c’était elle-même. Tout est égal : ces yeux s
n’aurait pu distinguer Ursule de la nouvelle Actrice : pourtant, j’ai
cru
voir dans le sourire de madame D’Alzan plus de dé
n est elle-même d’un enjoûment qui ranime tout ce qui l’environne. Je
crois
l’orage dissipé. Mon Oncle t’écrit : il te marqu
trouble dans votre famille. Trompée la première aux apparences, je me
crus
permis de répondre aux avances d’un homme aimable
s est facile, Madame, de présumer quel a été le motif de ma conduite.
Croyez
que j’aime encore la vertu, après mes faiblesses,
ois au joli portrait… Ma sœur, quelle situation !… Mais la mienne, je
crois
, vaut mieux encore. Adieu, courageuse héroïne : j
istesse, majestueuse qui fait tout le plaisir de la Tragédie. » Je ne
crois
pas que l’on puisse disconvenir de la vérité de c
i lui échappent, loin d’y reconnaître la douleur d’une Reine, je n’ai
cru
entendre qu’une jeune fille abandonnée de son Ama
nne de mortelles atteintes aux bonnes mœurs et à la bienséance. Je ne
crois
donc point que la Tragédie de Mithridate puisse,
sentir la vérité de ce que j’ai dit dans l’examen de Bérénice : et je
crois
, qu’après avoir étudié soigneusement le cœur de l
aire des Tragédies, soit dans l’Histoire, soit dans les Romans, je ne
crois
pas que l’on puisse en trouver un, où la passion
m’a éclairé et m’a fait revenir à mon premier sentiment, qui était de
croire
cette Pièce insoutenable sur le nouveau Théâtre ;
l’excuser d’en avoir fait usage avec tant de profusion. En effet, je
crois
que si on représentait Alexandre sans amour, les
me nécessaire ; maxime insoutenable et très pernicieuse : ainsi je ne
crois
pas que l’Alexandre de M. Racine, puisse jamais c
s les Poètes tragiques depuis lui ont toujours fait ou tâché de faire
croire
aux Spectateurs que l’amour dans leurs Tragédies
telle qu’elle est sur le Théâtre de la réforme ; mais de plus, je ne
crois
pas possible de la corriger, quand même je connaî
impressions, que celles de la molesse et de la corruption ; je ne la
crois
donc point susceptible de correction, ni digne en
APOSTILLE Je
crois
vous devoir mander, avant que fermer ma lettre, c
connaît souvent les vices de ceux que l’on lui veut faire estimer. Je
crois
qu’après cela notre Observateur avouera qu’il a e
a plume, je pourrai m’empêcher de combattre quelques endroits dont je
crois
ne vous pas avoir assez parlé dans ma lettre. Vou
hypocrites. L'auteur des Observations de la comédie que je défends a
cru
sans doute qu’il suffirait, pour nuire à Molière,
Tout le choque, tout lui déplaît, tout est criminel auprès de lui. Je
crois
bien que cette pauvre amante n’a pas été exempte
auvre fille fût aussi innocente que le jour qu’elle vint au monde. Je
crois
toutefois qu’il y trouverait encore quelque chose
artufe, que ce raisonnement me fait trembler pour mon prochain, et je
crois
que, s’il avait lieu, l’on pourrait compter autan
enace de déluges, de peste, de famine, et si ce prophète dit vrai, je
crois
que l’on verra bientôt finir le monde. Si j’ose t
ra bientôt finir le monde. Si j’ose toutefois vous dire ma pensée, je
crois
que Dieu doit bien punir d’autres crimes avant qu
I, scène 2 ; Charlotte dit : « On m’a toujou dit qu’il ne faut jamais
croire
les Monsieux ». o. [NDE] Rochemont, op. cit., p.
ffraient toujours des plaisirs sans mélange : vous vous contentiez de
croire
ce que vous sentiez : Et sans vous embarrasser da
r : elle ne peut être de convention, et on s’abuse soi-même, quand on
croit
croire sur caution. Les Apôtres demandaient à Die
le ne peut être de convention, et on s’abuse soi-même, quand on croit
croire
sur caution. Les Apôtres demandaient à Dieu qu’il
demandaient à Dieu qu’il touchât les Gentils. Je serais fou de ne pas
croire
vrai ce que je sens, par quelque organe que ce so
que les vertus même qu’on y présente mènent au crime, devons-nous le
croire
par préférence à ce que nous sentons ? M. Roussea
ence à ce que nous sentons ? M. Rousseau dit4 que quand une Française
croit
chanter, elle aboie5 ; que la Comédie est infâme
s de la fable des Abeillesc 7, pour tromper les hommes, et leur faire
croire
qu’ils sont faits pour vivre seuls dans les forêt
on ne trouve pas qu’il y ait lieu de me louer d’y avoir réussi, je ne
crois
pas du moins que l’on me blâme de l’avoir entrepr
vous donner des Sentiments d’une véritable componction. Je veux bien
croire
pour vous justifier en quelque manière dans mon e
contraire, et qu’il ne fait pas un mystère de votre nom. Ceux qui le
croiront
, n’auront pas pour vous des sentiments aussi favo
Je ne sais en quoi votre ami fait consister votre mérite, on ne l’en
croira
pas sur sa parole, tant qu’il ne donnera pas de m
ire dans la suite, et que je leur fasse connaître ce qu’elles doivent
croire
dans une matière si délicate. Je ne puis, que je
pour parler des Pères, après lesquels vous reprenez Saint Thomas. Je
crois
qu’il est plus à propos de voir d’abord quel est
soumission que j’ai pour l’autorité des Pères ne me permettant pas de
croire
que leurs déclamations soient appuyées sur le men
tice aux gens d’esprit et de Lettres qui étaient parmi les Païens, de
croire
qu’ils désapprouvaient et traitaient de superstit
Religion, aussi passa-t-il dans l’esprit du Peuple pour un impie. Je
crois
donc que généralement parlant, on doit attribuer
u’elles s’y commissent effectivement, comme vous me paraissez l’avoir
cru
, par la traduction outrée que vous avez faite pag
, nous fait voir qu’il en avait une autre idée que vous, et qu’il les
croyait
plus honnêtes que les autres Spectacles. Je devra
res Spectacles d’une manière bien différente : ce qui fait voir qu’il
croyait
ceux-là bien plus honnêtes que ceux-ci. Cependant
fait de conformer les sentiments des Pères à ceux de Saint Thomas. Je
crois
qu’il est plus raisonnable de conformer les senti
honneur que pour la sûreté de leur conscience, je n’ai pas de peine à
croire
qu’ils vous pardonneront facilement, ce qu’ils ne
ndez qu’ils ont été en cela du même sentiment que Saint Thomas. Je ne
crois
pas même devoir m’embarrasser de citer ici contre
te représentation n’a d’abord rien de méchant dans mon idée, et je la
crois
permise ; mais venez au fait, et mettez cette rep
u’il le consultait dans les occasions les plus importantes. Vous avez
cru
surprendre votre ami en lui prouvant votre conséq
e de la Comédie, comme si la Comédie était l’ouvrage de Dieu. Je veux
croire
que c’est plutôt manquer de réflexion, que par ma
sur son sujet. Je ne parle pas de votre manière de le citer, je veux
croire
que s’il est mal cité, c’est la faute de l’Imprim
rs s’il permet quelque Comédie, ce sont les honnêtes seulement, qu’il
croit
cependant dangereuses. Ainsi ce n’est pas pour vo
que je ne me mets pas fort en peine de le lire, je veux bien vous en
croire
sur votre parole ; mais faites plus de réflexion,
abord voir que Saint Charles se défiait de la Comédie, et qu’il ne la
croyait
pas si honnête et si innocente que vous. D’ailleu
tout ce qui me reste à parcourir de votre Lettre, du moins ce que je
croirai
le plus plausible et le plus spécieux. La premièr
plaisir par des paroles ou des actions déshonnêtes. C'est ici où vous
croyez
triompher, et où vous vous congratulez de votre t
ette occasion cet avantage sur vous qu’on aura plus de raison de m’en
croire
, puisque j’aurai eu plus de moyens que vous de m’
se passaient sur le Théâtre des Gentils, comme vous paraissez l’avoir
cru
: car Dieu merci, on n’en voit point de cette nat
r moi qui conviens avec vous que le nôtre est beaucoup plus épuré, je
crois
qu’il ne l’est pas encore assez, et qu’on y trouv
cela suffit, dis-je, pour que tout le monde la doive éviter. Et pour
croire
que la Comédie ne nous est pas une occasion proch
lait consulter, pour savoir s’il y a du mal ou non ; vous deviez bien
croire
que si ces personnes avaient envie d’y retourner,
i dans la Confession même ne veulent pas demeurer d’accord qu’ils ont
cru
faire du mal, quand ils en ont fait effectivement
dispositions qui me paraissent bien opposées : et je n’aurais jamais
cru
qu’on pût unir ensemble une véritable horreur du
nt pas de leurs péchés, ou le grand nombre les étourdit, ou ils ne se
croient
pas coupables par le peu d’horreur qu’ils ont pou
après et pendant sa conversion ; et je vous promets qu’après cela je
croirai
de vous tout ce que vous voudrez me dire. On se p
ments véritablement Chrétiens, il n’y a point de Théologien qui l’ait
cru
ni dit avant vous. Ainsi soyez convaincu que les
n lui montrant qu’on est véritablement coupable dans des choses qu’il
croit
innocentes. Un autre que moi vous aurait fait un
es plus modestes dans les Vers, que l’on ait encore jouées ; c’est je
crois
la dernière que j’ai vu représenter, et je fus ex
elle aurait bientôt ennuyé et fatigué les spectateurs, les Comédiens
crurent
être obligés de suppléer par l’immodestie des ges
bles d’exciter dans le cœur de l’homme toute sorte de passions. Je ne
crois
pas devoir répéter ce que ces Auteurs ont déjà di
èces de Théâtre pour chercher de nouveaux endroits. Quoique vous n’en
croyiez
pas la lecture défendue à un Théologien, il y a l
à Dieu ni de préjudiciable au prochain. Pour ce qui est de Dieu, vous
croyez
être à couvert de blâme et d’insulte, lorsque vou
e. Parce que la Comédie n’excite pas toujours les passions, vous avez
cru
, ou du moins dit, que sa fin et son dessein n’éta
ces Pièces qu’il serait à souhaiter que l’on représentât, et que nous
croyons
permises avec Saint Thomas, en admettant les autr
es Comédiens qui l’ont représentée. Tout cela supposé, et à ce que je
crois
suffisamment prouvé, il est aisé de conclure que
p que je n’avance rien de faux ; mais si vous avez de la peine à m’en
croire
, peut-être ajouterez-vous plus de foi aux Vers d’
ses Satyres. Quelque instruit que je sois de toutes ces choses, vous
croyez
sans doute, et je le crois aussi, que ce Poète le
it que je sois de toutes ces choses, vous croyez sans doute, et je le
crois
aussi, que ce Poète le doit être mieux que moi ;
s un cœur que toutes les danses et les chants de l’Opéra. Pour moi je
crois
que cela est fort égal ; et si on a dit autrefois
qui vont à la Comédie, que dirons-nous des Auteurs et des Acteurs. Je
crois
qu’il est inutile de recourir ici à la distinctio
uté de Saint Sulpice. Il me dit qu’étant un jour chez un Comédien, je
crois
qu’il me dit Beauvalle, pour les affaires de son
lui parla de leur génie, de leurs petits talents, de ce à quoi il les
croyait
propres, et de la profession à laquelle il les de
itable cause de cette infamie dont le Public les note, et dont ils se
croient
eux-mêmes notés, vient de ce que ceux qui en juge
partout, l’harmonie de leur âme ne soit pas entièrement dissipée ? Je
crois
la chose impossible. Je n’ai plus qu’une chose à
que l’Ecriture s’expliquât en quelque manière que ce pût être, je ne
croyais
pas que vous demandassiez un précepte formel : ma
l’Ecriture ne les avait pas défendus : ainsi, sauf meilleur avis, je
crois
qu’il combattait la vôtre pour la détruire entièr
ez cependant aussi bien que nous. Combien de choses y a-t-il que nous
croyons
défendues par l’Ecriture, dont elle n’a pourtant
ces Conciles. Je m’en tiendrais même à ces quatre Conciles, si je ne
croyais
être obligé de justifier Saint Charles Borromée d
t Chrysostome s’étaient servis. Ce qui fait voir que Saint Charles ne
croyait
pas, comme vous, que ces Pères n’eussent déclamé
ntiment, surtout si vous avez lu le Livre 3 des Actes de Milan, où il
croit
qu’il est à propos d’avertir et d’engager les Pri
est des Pères en qui le précepte de l’Eglise est encore renfermé, je
crois
que ce que j’ai dit de Tertullien et de Saint Cyp
fois après le baptême ; et qu’ils n’ont pas plutôt fait profession de
croire
en Dieu, qu’ils font voir par leur conduite qu’il
Cyprien, Salvien, et Lactance que pour appuyer votre sentiment, j’ai
cru
qu’il me suffisait de les justifier, et de faire
à bien distinguer l’un de l’autre, pour ne vous y plus tromper, et ne
croyez
pas nous surprendre par vos raisonnements captieu
sans être exposés à vos railleries. Mais, revenons à notre sujet. On
croirait
d’abord que cette difficulté que vous vous faites
immodérés et excessifs, et dans les Comédies déshonnêtes, vous devrez
croire
que la défense en sera égale. C'est ce que l’on p
el de Paris, avec toute la conduite de Monseigneur l’Archevêque. S’il
croyait
la Comédie si scandaleuse, n’emploierait-il pas t
dernière rigueur. « Si omnia peccata districte prohiberentur. 40 » Je
crois
avoir suffisamment prouvé que la Comédie que vous
Commandements de Dieu et de l’Eglise n’y sont point gardés, comme je
crois
l’avoir suffisamment prouvé : il sera inutile d’e
ous ne fassiez voir que l’on donnait à manger dans ces Spectacles. Je
crois
que Saint Jean de Darnas n’a rien dit que l’on ne
ans le 3e Synode de Milan dont j’ai déjà parlé, ce grand Prélat avait
cru
que la Comédie était particulièrement défendue le
imanches à la Comédie, avec celui que Dieu prit le septième jour. Qui
croirait
, à moins que de le voir, qu’un Théologien pût fai
de leur temps d’y assister les Dimanches et les Fêtes, ce qui me fait
croire
que dans les premiers siècles le dérèglement n’al
ntérêt, ni le désir de plaire aux Comédiens, ne sont pas, à ce que je
crois
, les motifs qui vous ont fait agir. Plus j’en che
crifices de Venus, ou des degrés pour monter à l’autel de Baal. Si je
croyais
que vous et moi dussions jamais assister à ces vi
ndant je suis autant chaste qu’un autre. Le Réponse. 2. Neoph. Ne le
croyez
pas, Proselyte, c’est un trompeur, ou un phénix d
croyez pas, Proselyte, c’est un trompeur, ou un phénix du siècle ; de
croire
que ce soit un phénix, j’ai de la peine, dites do
r que dans la comédie il est aussi chaste que dans l’Eglise, je ne le
crois
pas, et ne le croirai jamais. Belle Sentence du g
e il est aussi chaste que dans l’Eglise, je ne le crois pas, et ne le
croirai
jamais. Belle Sentence du grand Arnobe sur ce suj
ît étonnant que des sons puissent être l’image des passions : mais je
crois
que la peinture qu’elle nous en fait n’est vraie
nt tentés de conclure qu’elle peint jusques au sentiment, parce qu’on
croit
qu’elle éxcite en nous le chagrin, la fureur, la
, & qui fait le bonheur de l’univers entier. Mais que devons-nous
croire
préférablement, ou le vulgaire ou le Philosophe ?
les autres sciences & suivit de bien près l’instrumentale que je
crois
un peu plus ancienne. Les prémiers habitants de l
ix le chant de l’oiseau dont elle recevait des leçons. Lorsqu’elle se
crut
un peu instruite, elle ôsa mêler le bruit de ses
nstrumentale est plus ancienne que la vocale ; son origine. Je la
crois
de quelque tems plus ancienne que l’autre. Il est
la suite en Grèce des prix pour le plus fameux Musiciens ; ce fut, je
crois
, dans les jeux Isthimiques. Ai-je besoin d’averti
dre plus ou moins fort, selon qu’il est près ou éloigné. S’il fallait
croire
ce Philosophe, Dieu serait donc l’inventeur de la
changées. Son harmonie lui parut l’image du bon ordre de l’état ; il
crut
qu’en la conservant toujours telle qu’elle était,
ens ; aussi resta-t-elle toujours dans une certaine langueur : ils la
croyaient
, sans doute, arrivée au dernier point de sa perfe
laves. Histoire de la Musique chez les Latins. Il ne faut pas
croire
que les Romains ne connurent la Musique qu’après
licus ; les jeux Sceniques en furent la principale cause. Les Romains
crurent
en les instituant, calmer le couroux des Dieux, &
entés de l’appeller une Encyclopédie, un cercle de science. Les Grecs
croyaient
fermement qu’elle inspirait toutes les vertus civ
ormel ?34 Mais ce n’est encore rien. Lycurgue, ce fameux Législateur,
croyait
que la musique inspirait la valeur & la sages
n éffacer une partie, les défenseurs de la musique veulent nous faire
croire
que les Anciens donnaient au terme musique une si
e de meilleure musique, sont les plus fréquentées. Les Anciens la
croyaient
éfficace pour diverses maladies : quelques modern
la musique est un remède souverain à bien des maux ; si nous nous en
croyons
les Grecs, elle est plus éfficace que tous les se
Amphion & Orphée. Enfin il n’est sorte d’avantage dont ils ne la
crussent
pourvue. Il est vrai que nous n’en voyons rien ;
dit-on, la musique ancienne. Un Philosophe Scyte, qui s’appellait, je
crois
, Anacharsis, frère d’un Roi de la Scytie, eut la
onfessions de ce qu’elle avait quelquefois trop enflammé ses sens. On
croit
si peu aux éffets de la musique, qu’on s’est géné
la mourante sagesse d’une belle, jette le dernier soupir, qu’elle ne
croit
encore que frédonner une chanson. Le siècle p
lasphème musical, c’est à son siècle qu’on doit s’en prendre. « On ne
croyait
pas, dit M. de Voltaire, que les Français pussent
tenir trois heures de musique ». Que les choses sont changées ! On ne
croit
pas maintenant que les Français puissent vivre sa
peut-être n’est-elle pas tout-à-fait juste : d’ailleurs, nous pouvons
croire
, pour nous consoler, qu’elle ne se rapporte aucun
si peu de chose, qu’est-ce donc que notre Théâtre favori ? 19. On
croit
que le mot musique vient du Latin musa, parce que
je parle de l’amour tendre et passionné des Amants. CLEARQUE. Je ne
crois
pas que l’Auteur ait jamais eu le dessein de vous
ait aussi forte alors qu’elle l’est aujourd’hui ; et les Poètes ne se
croyaient
pas obligés pour cela d’en représenter toute la f
pour rendre ses Tragédies aussi passionnées que les nôtres, s’il eût
cru
que la galanterie des Athéniens était une raison
à la religion, pour vous répondre ; néanmoins pour ne vous pas faire
croire
que je fais le scrupuleux et le dévot hors de sai
vous que cela fasse dans l’esprit des Spectateurs ? CLEARQUE. Je ne
crois
pas que cela puisse produire aucun mauvais effet,
avons pour lui nous dispose à le suivre dans ses faiblesses, et l’on
croit
qu’il est permis d’être amoureux, en voyant des P
elles par conséquent on peut assister sans scrupule. CLEARQUE. Vous
croyez
donc que tout le danger auquel on s’expose en all
a Comédie, ne vient que de l’amour qu’on y dépeint ? TIMANTE. Je le
crois
ainsi, si vous considérez la Comédie en soi, et n
en âge d’agir et d’aider à l’embellissement de la pièce. Pour moi, je
crois
que si l’Auteur d’Iphigénie avait voulu nous donn
res sentiments qui tirent les larmes des yeux de tout le monde. Je ne
crois
pas que l’empressement d’une Amante ait jamais ri
ue les Grecs ne s’attachaient qu’à ces grandes passions. CLEARQUE. Je
crois
sur votre parole tout ce que vous dites des Grecs
ivent défendre à leurs enfants, et en les portant à y assister, elles
croiront
avoir trouvé un moyen assuré de les retirer douce
ferait de fort méchantes Tragédies sur ces Principes. TIMANTE. Vous
croyez
donc qu’on ne peut faire de bonnes Tragédies sur
eut faire de bonnes Tragédies sur des sujets saintsz ? CLEARQUE. Je
crois
du moins qu’on ne voudrait pas se hasarder à en f
donné aux Comédiens que pour représenter des Histoires saintes, je ne
crois
pas que ces Messieurs voulussent reprendre aujour
réussit bien, Monsieur Corneille la hasarda sur sa réputation, et il
crut
par le succès qu’elle eut, qu’il en pouvait hasar
ne peut les abaisser sans les faire sortir de leur caractère ; et je
crois
que la raison pour laquelle ces Héros ne seraient
autres gens que ceux qui sont accoutumés à la barbarie du Collège. Je
crois
ne point faire tort à ces Messieurs de dire qu’on
affiches : « Nous vous donnerons le Martyre de saint Eustache », vous
croiriez
qu’on irait à la Comédie ; le seul nom de saint E
les sujets profanes, mais j’en doute un peu pour les sujets Saints ;
croyez
-vous qu’un Poète puisse feindre l’Episode d’un Ma
ouloir faire comme quelques Auteurs Latins de ces derniers temps, qui
croient
qu’il leur est permis de faire dire deux cents Ve
tres un chemin si inconnu ; mais qui voudra être ce téméraire ? Je ne
crois
pas qu’aucun des Poètes qui travaillent aujourd’h
elles ont des beautés qui sont particulières à ce grand Poète, et je
crois
qu’on y courrait encore comme au Cid, s’il ne rep
Auteurs, serait de travailler sur un autre sujet. J’ai de la peine à
croire
que leur Iphigénie soit jouée durant trois mois c
’est déclaré pour une Pièce, il a de la peine à changer. Au reste, ne
croyez
pas que des Auteurs médiocres soient capables de
sque de se noyer, avant d’avoir fait une juste information ; mais que
croyez
-vous qu’il doive faire après s’être exactement in
is à sa maîtresse de la défaire d’un homme qu’elle aime, mais qu’elle
croit
devoir haïr depuis qu’il lui est infidèle : suppo
à nous apprendre le changement des mœurs. Cependant, je veux bien en
croire
le sceptique dont vous adoptez le témoignage : qu
illeurs, Pour être vertueux on n’a qu’à le vouloir. Crébillon. Je
crois
avoir suffisamment prouvé la bonté des poëmes, so
il ne s’y passe rien de grossier. Amor non talia curat. Virg. Je
crois
en avoir assez dit pour vous faire revenir de vot
rentrer dans la voie du salut, je vous avouerai franchement que je la
crois
peu capable d’opérer ces miracles ; je la regarde
je me serois fait gloire de n’y rien opposer*. Cependant j’ai peine à
croire
que les Pères de l’Eglise, qui condamnèrent les T
de l’opéra dans le cours de cette lettre ; ce n’est pas parce que je
crois
ce spectacle plus dangereux que les autres, mais
plaudissement, qu’elles ont scandalisé les Personnes dévotes, qui ont
cru
qu’elles n’étaient recherchées que parce qu’elles
fons ou bateleurs de ce temps-là, et qu’il n’y a point d’apparence de
croire
que ces sortes de gens fussent mis au rang des pe
-comédies qui étaient des Pièces sérieuses, cela suffit-il pour faire
croire
que ceux qui les représentaient devaient passer p
es Pièces sérieuses eussent été des Hommes vénérables. Ne doit-on pas
croire
qu’il y en avait qui étaient propres à tout, comm
vec plus de liberté qu’auparavant. Il y a des Gens si simples, qu’ils
croient
que la même reforme dure encore, parce qu’on n’en
le plaisir d’y demeurer, ayant caché la malice si agréablement, qu’on
croit
qu’elles la peuvent entendre sans rougir. Il y a
és dans leurs Tableaux, sont condamnés par les personnes austères qui
croient
que de tels objets causent de mauvais désirs. Les
paroles trop touchantes. En ce qui est des Poètes Comiques que chacun
croit
être plus libres ; il n’a pas eu besoin d’en parl
oit, la légèreté, l’oisiveté, lui donnèrent de la vogue. Qui n’auroit
cru
sans conséquence des extravagances d’ivrogne ? Le
e les Comédiens aux hérétiques, parce que les uns & les autres ne
croient
& ne débitent que des fables. Il pouvoit ajoû
romener dans la lune ? Cet astre en effet a plus d’influence qu’on ne
croit
dans le pays de Romancie & sur les peuples dr
sprit & le cœur ? Je sais bien que personne n’y est trompé. On ne
croit
pas voir sur le théatre un Cyd, un Alexandre véri
’un vil Acteur, dont la majesté s’évanouit dans les coulisses ; on ne
croit
pas les hauts faits des Amadis & des Rolands,
te de couleurs, de formes, de passions, de vices, de vertus. Qui peut
croire
un homme dont la vie est un rêve perpétuel, si ex
sont adorables. En faut-il tant pour leur persuader ce que déjà elles
croient
? Aussi toutes occupées à cultiver, à embellir, à
sable, qui la rend la plus malheureuse, & qu’elle paye de retour.
Croiroit
-on que ce faux du théatre, ainsi que des romans,
it tout mêler, tout confondre, douter & se jouer de tout, ou tout
croire
sans discernement, qui apprend à déguiser les fai
t des progrès différens, selon le caractère des esprits. Il fait tout
croire
aux bonnes gens, & douter de tout aux beaux e
, dépayser, masquer, colorer, en un mot, à mentir en tout genre. Vous
croiriez
encore à chaque piece voir représenter le Menteur
mp; son crédit, & avec lui tous les agrémens de la vie ; on ne le
croit
plus lors même qu’il dit la vérité. Le Démon est
omme de lettres, dont je reconnois la supériorité de génie. Mais j’ai
cru
devoir vous communiquer une observation que j’ai
vous avez faite aux Théologiens de Genève, en les accusant de ne plus
croire
ni à la Divinité de Jésus-Christ, ni à l’éternité
men réfléchi ne fasse naître chez tout lecteur. Mais, quand même vous
croiriez
nous honorer en nous accusant, je ne m’en tiendro
s faisons une gloire de marcher sur leurs traces, sans cependant nous
croire
obligés d’adopter servilement tous leurs principe
seigne, & surtout à l’égard de la divinité de notre Sauveur. Nous
croyons
qu’un fait peut être véritable, quoique nous ne c
ensent autrement, nous les comparons à des hommes qui refuseroient de
croire
que le feu brûle, parce qu’on ne sauroit leur don
chemin, comme vous voyez. Blâmez-la, si vous le jugez à propos ; mais
croyez
du moins que c’est ainsi que nous pensons, que c’
anité, la perfidie ; vous aimez votre épouse bien plus que vous ne le
croyez
: vous l’aimez plus que moi, plus que vous ne vou
vous a fait me cacher que vous n’étiez pas libre, vous m’estimez, je
crois
m’en être apperçue : je veux redoubler ce sentime
ont-ils devenus, ces tems heureux, si proches encore !… Car, je ne le
crois
pas, qu’il me préfère. Et puis, me préférât-il ;
nsé ? c’est moi, moi qui tremble pour la possession d’un cœur dont je
croyais
être sûre, & qui, pour le conserver, cherche
e aigri ; en quittant son oncle, monsieur D’Alzan était triste ; j’ai
cru
l’entendre soupirer. Mon Dieu ! qu’il serait quel
e : est-ce une chose facile ; et dans quelque profession que ce soit,
croyez
-vous que les excellents hommes soient communs ? P
oyez-vous que les excellents hommes soient communs ? Pour moi, qui ne
crois
pas qu’un certain nombre de mots et une rime au b
un certain nombre de mots et une rime au bout, soient des Vers, je ne
crois
pas aussi que tous ceux qui parlent à la Comédie
r Racine, et qu’étant son Amie comme vous l’êtes, il vous est aisé de
croire
ce que vous souhaiteriez qui fût : mais quelque d
et ayant purgé le Théâtre de la Barbarie qui s’y était introduite, je
crois
que le premier Rang lui est légitimement dû. Non
ue vous allez à la première Représentation d’une Pièce sérieuse, vous
croyez
, dites-vous, aller à Athènes ou à Rome : vous ne
persuadé qu’il est dangereux d’exposer de trop grandes nouveautés, je
croyais
qu’un Prologue que je fis pour préparer les Audit
ne paraît pas assez noble, et que celui d’unie est plus propre, j’ai
cru
que je devais faire parler Tertullien en bon cath
tullien en bon catholique. On sait que quelques Pères l’ont accusé de
croire
que les âmes n’étaient pas créées de nouveau, mai
t pas à Rome, et peut-être qu’il n’y avait jamais été. » J’ai peine à
croire
que ceux qui liront avec attention cet endroit de
mulieres. Quoique l’auteur s’exprime d’une manière un peu obscure, je
crois
néanmoins qu’il parle ici contre les comédiens qu
e. Hors Chap. 20. des loges, hors des portiques. C’est ainsi que j’ai
cru
pouvoir traduire les deux mots latins, cameras, a
fort connu, et qu’il exprime bien la chose dont parle l’auteur, j’ai
cru
qu’il me serait permis de rendre ainsi la phrase
Jésus-Christ. Entre les pères de l’église quelques-uns semblent avoir
cru
la même chose. Nous savons que cette opinion ne s
orde plus grande que notre esprit n’est faible et léger ? Nous devons
croire
qu’il est juste et non point vindicatif : il puni
rfections et ses qualités, nous aurions eu plus de disposition à vous
croire
, lorsque vous auriez dit qu’il était impie et lib
le sérieux, devez-vous le blâmer de s’être fait un personnage qu’il a
cru
le plus propre pour lui ? Ne nous dites point qu’
e j’ai connu par là qu’il n’avait pas besoin d’un grand secours, j’ai
cru
que ma plume, toute ignorante et toute stérile qu
qu’au plus célèbre et au plus éloquent ; et par la même raison qu’on
croit
plutôt un paysan qu’un homme de cour, les ignoran
facilité qu’ils ont de prouver ce qui paraît le plus faux, qu’ils ont
cru
que cette réputation ferait un tort considérable
laissé le soin aux plumes moins intéressées que les leurs. J'ai donc
cru
que cela me regardait, et comme je n’avais encore
s ignorants est toujours différent de celui des gens d’esprit, on eût
cru
que Monsieur de Molière n’avait point eu l’approb
rié, et c’est par là qu’on le tire peu à peu de son aveuglement. Il a
cru
vous devoir la même charité ; mais si par hasard
e, au moins selon les Pères auxquels je m’en rapporte, et auxquels je
crois
que nous sommes obligés de nous en rapporter. Une
outrée et la plus forcée les peut pousser) Car on s’abuse bien si on
croit
que les Romains étaient tels qu’on nous les dépei
te qui a si bien entendu ce que peut la représentation. Je ne saurais
croire
que les Poètes ignorent tout cela, puisque leur d
si vives et si touchantes, que l’imagination soit trompée et qu’elle
croie
assister à une action véritable, non pas à une re
ion que nous professons, et à l’Evangile de Jésus-Christ, pour ne pas
croire
qu’il est fort à craindre que ce qui leur a attir
ie, ou Prologue, Episode, & catastrophe ; il ne faut pourtant pas
croire
qu’elles n’eussent que trois parties. Elles en on
us les Acteurs quittent la Scène, comme dans nos Drames. Pour moi, je
crois
que les Savans ont eu tort de trouver des divisio
Vers d’Horace dans lequel il est question des Actes,16 fait pourtant
croire
avec raison que ce terme était en usage à Rome dè
que chaque Acte du Poème leur serait entièrement consacré. Mais je ne
crois
pas que cette opinion soit recevable : l’intrigue
propose. Les Anciens nous en ont donné l’éxemple, du moins si nous en
croyons
le grand Corneille, qui paraît lui-même la consei
aient les Actes par le chant du chœur ; & comme je trouve lieu de
croire
qu’en quelques-uns de leurs Poèmes ils le fesaien
héâtre ; mais la vraisemblance est blessée, lorsqu’on veut nous faire
croire
que ce qui n’a pu se pâsser que dans huit ou dix
ces Météores brillans qui se dissipent bie-tôt dans les airs. Je ne
crois
pas que l’on puisse me demander maintenant, si l’
t de la consoler. Cette dame se rendit à des offres si généreuses, et
crut
devoir, par reconnaissance, instruire son bienfai
eureuse de trouver dans la femme de son bienfaiteur une nièce qu’elle
croyait
perdue ! Beauchâteau, qui n’avait cru faire du bi
enfaiteur une nièce qu’elle croyait perdue ! Beauchâteau, qui n’avait
cru
faire du bien qu’à une étrangère, était enchanté
cueil de ses poésies ; quelque temps après, il fut en Angleterre ; on
croit
que de là il fit un voyage en Perse. Depuis ce te
re de son esprit : il se moque également du Paradis et de l’Enfer, et
croit
justifier suffisamment ses railleriesDans sa Crit
, et a voulu rendre les dévots des ridicules ou des hypocrites : il a
cru
qu’il ne pouvait défendre ses maximes, qu’en fais
dont toute la créance aboutit au Moine Bouru : « car pourvu que l’on
croie
le Moine Bouru, tout va bien, le reste n’est que
i souffle le chaud et le froid, qui confond la vertu et le vice : qui
croit
et ne croit pas, qui pleure et qui rit, qui repre
chaud et le froid, qui confond la vertu et le vice : qui croit et ne
croit
pas, qui pleure et qui rit, qui reprend et qui ap
nt en apparence, et qui le nient dans le fond du cœur : Il y en a qui
croient
un Dieu par manière d’acquit, et qui le faisant o
bertin et Malicieux. L’Athée se met au-dessus de toutes choses, et ne
croit
point de Dieu : l’Hypocrite garde les apparences,
it point de Dieu : l’Hypocrite garde les apparences, et au fond il ne
croit
rien : le Libertin a quelque sentiment de Dieu, m
u nez en terre, et devient camus avec son raisonnement : le Maître ne
croit
rien, et le Valet ne croit que le Moine Bouru : e
camus avec son raisonnement : le Maître ne croit rien, et le Valet ne
croit
que le Moine Bouru : et Molière ne peut parer au
, qui n’offense point le Maître, et qui fait rire le Valet ; et je ne
crois
pas qu’il fût à propos, pour l’édification de l’A
l a perdu tout respect pour le Ciel (ce que pieusement je ne veux pas
croire
) il ne soit pas abusé de la bonté d’un grand Prin
ce n’était rien qui vaille. Et enfin sans m’ériger en Casuiste, je ne
crois
pas faire un jugement téméraire d’avancer, qu’il
est le visionnaire et le fanatique. Mais cela ne doit pas vous faire
croire
que je prends parti, puisque c’est au contraire u
bonne ou de mauvaise humeur. Mais je ne m’arrête point à cela, et je
crois
que c’est seulement un préambule pour venir à vot
elle ne peut offenser que la Comédie seulement, et non pas la Poésie.
Croyez
-vous que ce soit la même chose, et prenez-vous ai
vois qu’on vous fâche quand on dit que les Poètes empoisonnent, et je
crois
qu’on vous fâcherait encore davantage, si l’on vo
rs d’âmes. Je ne pense pas aussi que ces Poètes s’en offensent, et je
crois
qu’après vous il n’y en a point qui ne sachent qu
-ils pas toujours nommé la Comédie l’Art de charmer, et n’ont-ils pas
cru
, en lui donnant cette qualité, la mettre au-dessu
pas plus fortement ce qu’on avait seulement proposé. Est-ce que vous
croyez
que l’Auteur des lettres ne puisse prouver ce qu’
t juger des autres Poètes par vous-même. Que pensez-vous qu’on puisse
croire
de votre esprit quand on vous entend parler des S
éprisante dont vous traitez les Saints que l’Eglise honore. Mais vous
croyez
avoir grande raison, et vous apportez l’exemple d
Comédie, et il y a plaisir de vous le voir pousser à votre mode. Vous
croyez
qu’il est invincible, et parce que vous n’en voye
tément et sans pudeur ! Pour qui pensez-vous passer, et quel jugement
croyez
-vous qu’on fasse de votre conduite, quand vous of
tions et les violements qu’il fait de la parole divine. Si on le veut
croire
ce n’est plus lui qui parle, c’est Dieu qui parle
re histoire. Je ne pense pas aussi que vous l’ayez dite pour la faire
croire
, mais seulement pour faire rire, et vous n’avez é
eulement pour faire rire, et vous n’avez été trompé qu’en ce que vous
croyiez
qu’on rirait de l’histoire et qu’on ne rit que de
les livres de Port-Royal, vous les avez entièrement détruits, et vous
croyez
avoir suffisamment répondu à tous les anciens Con
nne, parce qu’elle est plus simple & plus chantante, ainsi que je
crois
l’avoir démontré. Ces deux précieuses qualités do
s Musiciens font particulièrement l’éloge de la musique d’Italie ; je
crois
trouver dans leur conduite une nouvelle raison de
t plus certaine de plaire que celle de l’Opéra-Sérieux ; ainsi que je
crois
l’avoir déjà remarqué. Notre chant héroïque offre
ands succès, autant que sa ressemblance avec la mélodie Italienne. Je
crois
découvrir une nouvelle raison des succès actuels
ffraye une âme neuve & trop sensible ! En ouvrant ta Lettre, j’ai
cru
que ton mari, affichant le desordre, profitait de
moler… Elle n’est donc pas… Tu as oublié de me la nommer : mais je la
crois
une Actrice. De quel théâtre ?… Marque-le moi, ma
tage si grand aux yeux des hommes sensés, que monsieur Des Tianges ne
croit
faire son bonheur & le mien qu’autant qu’il e
nnais ta Rivale, étudie-la, pénètre-la, copie-la, surpasse-la ; &
crois
que pour regagner entièrement un cœur sur le poin
ce de Conti, qui avait fréquenté les Théâtres avant sa conversion, se
crut
obligé d’écrire contre la Comédie ; ce qu’il fit
re intitulé, Dissertation sur la condamnation des Théâtres, dont on a
cru
qu’Hédelin était encore l’Auteur. M. de Voisin se
tres, dont on a cru qu’Hédelin était encore l’Auteur. M. de Voisin se
crut
obligé de défendre le Traité de Monsieur le Princ
onse à tous ces savants et solides Ecrits contre la Comédie, et on ne
croyait
pas que personne osât mettre la main à la plume p
un mérite distingué, et que je n’aurais pas consulté si je ne l’avais
cru
tel, me vint hier faire des reproches de ce que j
en sûreté de conscience la faire représenter. Je lui tins parole, et
crus
ne me pouvoir mieux adresser qu’à celui qui avait
ppeler un peu votre souvenir, vous trouveriez que des Papes n’ont pas
cru
les plaisirs du Théâtre indignes de l’attention d
des fatigues qui sont inséparables de la vie, c’est un de ceux que je
crois
le plus innocents. Si je ne craignais d’être comp
ettent sont dans une plus grande élévation. De là je le mènerai où je
croirai
ses leçons le plus nécessaires ; et partout je do
ai de faire aller Esope Partout où les abus offrent de faux appas, Ne
croyez
pas que j’enveloppe Parmi les vicieux ceux qui ne
sément en sa faveur par préférence à ses Rivaux ; d’autant plus qu’il
croirait
être en droit de lui moins donner qu’à tout autre
c fondement d’y avoir donné son consentement, et par conséquent on la
croira
coupable, etc… d’ailleurs Elise a raison d’être o
blables et surtout de meilleures que tout autre pourrait imaginer, je
crois
que la Comédie de l’Avare peut être conservée pou
avec une attention scrupuleuse, ou avec une vicieuse nonchalance. On
croirait
qu’il ne peut pas y en avoir un seul qui souhaitâ
deux passions en ridicule ; en forte que depuis Molière, j’ai peine à
croire
que le vrai style de la Comédie se soit conservé
nt pour faire signer à Chicaneau le Contrat de mariage, lui faisant à
croire
que c’est un papier de procédure. Quoiqu’on en pu
qu’on verra aux Actes suivants dans le saint Personnage. Vous pouvez
croire
que la Vieille n’écoute pas cette raillerie, qu’e
us pouvez croire que la Vieille n’écoute pas cette raillerie, qu’elle
croit
impie, sans s’emporter horriblement contre celle
pour lui reprocher l’extravagante estime qu’il a pour ce Cagot, qu’on
croit
être cause de la méchante disposition d’esprit où
ts de son Beau-frère, auxquels il n’a rien à répondre, bien qu’il les
croie
mauvais, lui dit adieu brusquement, et le veut qu
la maxime, que nous jugeons des autres par nous-mêmes, parce que nous
croyons
toujours nos sentiments et nos inclinations fort
est une vérité, il dit qu’« il la veut marier avec Panulphe, et qu’il
croit
qu’elle lui obéira fort volontiers quand il lui c
une seconde fois, et elle pensant bonnement, sur ce qu’il a témoigné
croire
qu’elle aime Panulphe, que c’est peut-être ensuit
n faire parler à Panulphe même par la Dame, parce qu’ils commencent à
croire
qu’il ne la hait pas. Et par là finit l’Acte, qui
ous les jours pour les visites qu’elle reçoit », et la prie de ne pas
croire
« que ce qu’il en fait soit par haine qu’il ait p
opinions erronées par la Comédie : que pour arriver à ce but, ils ont
cru
que le plus sûr moyen était de proposer les exemp
e cela ; qu’il n’est qu’un ver, un néant : quelques gens jusqu’ici me
croient
homme de bien ; mais, mon frère, on se trompe, hé
sentiment sur tout ce qui se passe, et pour lui demander « s’il ne se
croit
pas obligé comme Chrétien de pardonner à Damis »,
que, s’il s’accommodait avec Damis et la Dame, il donnerait sujet de
croire
qu’il est coupable ; que les gens comme lui doive
cieux, insiste à lui demander « si, par un motif tel que celui-là, il
croit
pouvoir chasser de la maison le légitime héritier
ose et de lui demander « ce qu’il dirait s’il voyait ce qu’il ne peut
croire
», ils le contraignent de répondre : « Je dirais,
raisons assez plausibles, il commence à s’aveugler, à se rendre, et à
croire
qu’il se peut faire que c’est tout de bon qu’elle
avagance, et de sorte, « qu’il est dans un état à tout voir sans rien
croire
». Excellente adresse du Poète, qui a appris d’Ar
ns étant capables de cet excès de fourberie, la plupart ne peuvent le
croire
; et qu’enfin on ne saurait dire combien les paro
ulphe. La Vieille, encore entêtée du saint personnage, n’en veut rien
croire
, et sur cela enfile un long lieu commun « de la m
« qu’il est puni selon ses mérites ; et que comme il n’a point voulu
croire
longtemps ce qu’on lui disait, on ne veut point l
point voulu croire longtemps ce qu’on lui disait, on ne veut point la
croire
lui-même à présent sur le même sujet ». Enfin la
hoses autrement qu’elles ne sont, et qu’enfin il ne faut pas toujours
croire
tout ce qu’on voit ; qu’ainsi il fallait s’assure
élicate que celle-là. Le pauvre homme serait encore à présent, que je
crois
, à persuader sa mère de la vérité de ce qu’il lui
pût porter aucune atteinte à sa dignité. En effet, Monsieur – car ne
croyez
pas que j’avance ici des paradoxes – c’est elle q
le importance il était de l’imprimer dans l’esprit du peuple, ils ont
cru
sagement ne pouvoir mieux lui en persuader la vér
tablement accidentel, mais aussi très important, que non seulement je
crois
qu’on peut tirer de la représentation de L’Impost
ens. Cela est si vrai, et telle est la force de la prévention, que je
croirais
prouver suffisamment ce que je prétends, en vous
i est en elle, nous fait la mésestimer nécessairement, parce que nous
croyons
que la raison doit régler tout. Or ce mépris est
ns que l’homme qui l’a faite ignore qu’elle soit déraisonnable, et la
croit
raisonnable, donc qu’il est dans l’erreur et dans
ilà, Monsieur, ce que vous avez souhaité de moi : gardez-vous bien de
croire
pour tout ce que je viens de dire, que je m’intér
le, qui, après avoir satisfait aux devoirs extérieurs de la piété, ne
croient
point en perdre le fruit & le mérite, en assi
n, qui l’aimez, qui aspirez aux récompenses qu’elle promet, & qui
croyez
pouvoir concilier, avec les devoirs qu’elle presc
hil tale faciamus, nisi & talia facientibus non conferamur. Et ne
croyez
pas, mes Frères, que ce soit ici seulement l’opin
er enim Christianis omnibus hoc interdictum est. Ici, mes Frères, je
crois
entendre la réponse que vous opposez à ces raison
l’amour n’est pas aussi condamnable que l’Evangile veut nous le faire
croire
; qu’il est ou un penchant légitime de la nature,
divine parole est-elle donc aujourd’hui réduite ! Non, mes Frères, ne
croyez
pas qu’un profane Comédien puisse jamais devenir
ré le théâtre que du côté de sa morale & de ses maximes, & je
crois
avoir suffisamment prouvé que sous ce point de vu
s jours ; voilà ce qui attire aux Ministres de l’Evangile, lorsqu’ils
croient
devoir censurer ces spectacles pernicieux, des re
rrible sans doute ; mais la colère de Dieu l’est encore davantage. Et
croyez
-vous que parmi les Pasteurs de l’Eglise, il y en
oyez-vous que parmi les Pasteurs de l’Eglise, il y en ait un seul qui
croie
les Comédiens à l’abri de cette vengeance divine,
e ; & mon cœur n’y voit point le poison qu’une morale trop sévère
croit
y appercevoir. Voilà, mes Frères, ce qu’on nous r
lus émus. Ils le disent, mes Frères, & cela peut être ainsi. Mais
croyez
-vous qu’ils en soient, en effet, moins coupables
ne spiritûs non est… & si cesset affectus, nulla est voluptas. Et
croyez
-vous, mes Frères, que ces sentimens, reçus dans v
, reçus dans votre cœur, n’y laissent point de traces pour la suite ?
Croyez
-vous que votre ame, ébranlée par des mouvemens si
lance avec ce monde ennemi de Jésus-Christ. A Dieu ne plaise que vous
croyiez
pouvoir allier l’œuvre de Dieu avec celle du mond
us devez vous éloigner du monde son ennemi. A Dieu ne plaise que vous
croyiez
pouvoir allier l’œuvre de Dieu avec celle du mond
gens qui ne vous ont fait aucun mal ? Non sans doute : il suffit, je
crois
, de l’avoir bon. Sous le masque spécieux du patri
is, de l’avoir bon. Sous le masque spécieux du patriotisme, vous vous
croyez
en droit d’exhaler une bile odieuse, et; pour pro
hique l’exige, excitera mon admiration et; mes applaudissemens. Je ne
crois
pas au reste qu’il soit fort difficile de faire d
ment pas. Est-ce suivre et; embellir les mœurs d’un Conquérant qui se
croit
tout permis, que de lui représenter Christierne a
e suis très-assuré que vous avez senti ces vérités comme moi. Puis-je
croire
conséquemment que ce soit avec bonne foi que vous
la laisse telle qu’elle est sans l’attaquer. Parlons vrai, Monsieur,
croyez
-vous qu’un Auteur qui donneroit au Parterre de Lo
effet ? Il n’y auroit point d’Acteurs s’il n’y avoit point d’Auteurs.
Croyez
-moi, faites amende-honorable d’avoir été le premi
e se plaindre du mépris de sa fille qui refuse de la reconnoître, et;
croyez
-vous que ce même monstre ne sera pas touché, quan
l’honneur à un Spectacle composé de mille ou douze cent personnes de
croire
que le plus grand nombre ressemble à un tel homme
si je n’avois apperçu Mlle. D***. dans le carosse de Monseigneur, je
croirois
qu’il vient de confesser. Une Tragédie où les mêm
ant encore pour oser soutenir que l’homme est né bon, je le pense et;
crois
l’avoir prouvé ; la source de l’intérêt qui nous
convaincre de cette vérité. Fabula de te narratur. Avançons. « On se
croiroit
, à votre décision, aussi ridicule d’adopter les v
us les devoirs de la vie humaine, à peu près comme ces gens polis qui
croient
avoir fait un acte de charité, en disant au pauvr
de l’illusion qui a dicté cette régle, c’est celui de la vérité. Vous
croyez
convaincre du peu de profit qu’on peut tirer des
mis cette vérité dans la bouche de Caton qui lui dit : Catilina, je
crois
que tu n’es point coupable, Mais si tu l’es, tu n
ôt sera mieux occupée ; Elle n’aspire plus qu’à te percer le sein.
Croyez
-vous que ces deux vers disposent en sa faveur, et
plus généreux que ceux de Mérope qui veut protéger Égiste lorsqu’elle
croit
être persuadée qu’il n’est pas son fils ? Écouton
cruauté et; la barbarie de Clytemnestre et; d’Égiste. D’ailleurs il a
cru
instruire par-là plus efficacement les hommes de
nvention de l’Auteur et; l’adresse de l’Acteur me font plaisir. Je ne
crois
pas avoir rien à me reprocher à cet égard sur ma
’être, Mais après ce qu’en vous je viens de voir paroître, et;c. Ne
croiriez
-vous pas que Philinte a commis quelque crime ou f
propres maximes de Moliere dans la bouche d’Alceste que plusieurs ont
cru
qu’il vouloit se peindre lui-même. » Si cela est,
ble apparence réjaillit jusqu’à un certain point sur les hommes. Vous
croyez
qu’on pourroit faire sur votre idée un nouveau Mi
s hommes ; Philinte a donc pu donner à son ami le conseil qu’il lui a
cru
salutaire à cet égard. S’il le refuse c’est qu’il
posent d’ordinaire le cercle ne sont pas d’assez mauvaises mœurs pour
croire
que leur oisiveté produiroit des forfaits comme v
s vieillards s’opposent encore à ce qu’elle souhaite, c’est moins, je
crois
, parcequ’ils les regardent comme dangereux, que p
ert a proposé de les contenir par la sévérité des Loix, c’est qu’il a
cru
la chose facile. Vous n’êtes pas de ce sentiment.
ncérité, que si j’épluchois votre systême de la chambre d’honneur, je
crois
qu’il ne me seroit pas difficile d’apprêter à rir
dre au public une opinion contraire à celle qu’il a des Comédiens. Je
crois
ne m’être pas trompé. Dans l’idée que chaque homm
pas trompé. Dans l’idée que chaque homme s’est formé des duels, il a
cru
son honneur engagé à ne les pas regarder honteux,
bre, reste à savoir si la Loi seroit capable de leur en imposer. J’ai
cru
avoir déja suffisamment démontré que si Genève vo
cher. Pour parvenir à l’exécution du plan que je m’en fais, voici, je
crois
, les moyens les plus aisés. Premierement il faudr
ous nous avez mesuré à votre aune. Revenons toutefois sur nos pas. Ne
croyez
point que je serois consolé de l’infamie parcequ’
op dur dans certains endroits de mon livre, j’ose me flater qu’ils ne
croiront
pas que vous ayez à vous plaindre de ma vivacité,
rtain qu’il y en ait plusieurs dont la conduite est irréprochable, on
croit
si peu à la possibilité de leur vertu, qu’on la t
e que vous entendez par les femmes du meilleur air. Je suis obligé de
croire
que vous voulez parler de celles que la Police me
prix à la Ville. Il faut les assujettir à la loi somptuaire. Vous ne
croyez
pas que cela soit possible. Pourquoi ? « C’est en
lles profiteront avec plaisir d’un amusement pour lequel on a lieu de
croire
qu’elles ont un goût décidé. Malgré tous les inco
urs troupes : ils ont très-bien fait leurs affaires, et; si on les en
croit
, ils ont presque gagné en quatre à cinq mois ce q
es la description. Je ne m’éleverai point contre ces sociétés, je les
crois
très-estimables, parce qu’elles sont composées de
s que cela arrive, je ne vois pas que le malheur soit bien grand ; je
crois
au contraire que vous y gagneriez. Vous n’êtes pa
ne le préféreroient pas à vos cercles, si par une supposition que je
crois
fausse, ils sont sujets à tous les désagrémens de
l ne trouve point de milieu entre faire ou dire du mal ? Si cela est,
croyez
-moi, Monsieur, joignez-vous à ceux qui veulent in
isent tant qu’elles voudront, pourvu qu’elles médisent entre elles. »
Croyez
-vous de bonne foi que la médisance mourra dans so
j’osois vous représenter qu’un sentiment presque général, autorise à
croire
que les femmes se corrompent ordinairement les un
er ; elles se sentent aisément. J’en reviens à ma proposition, et; je
crois
pouvoir affirmer qu’à moins d’une vertu à toute é
que je le fais, que le Gouvernement saura y mettre ordre quand il s’y
croira
obligé ; et; que tout au plus on apperçoit le ger
Vous savez bien que je n’en conviendrai pas, parcequ’en vérité je ne
crois
pas le devoir. Je puis me tromper, mais j’imagine
s échappées à la faveur des excuses que la foule pourra leur fournir.
Croyez
-vous en outre que l’assemblée se séparera sans qu
n qu’on ne s’imagine. Ce que vous dites des Bals me donneroit lieu de
croire
que pourvu qu’on veuille exclure la Comédie de ch
qui vous êtes à présent, et; quel vous avez été autrefois. Je ne vous
crois
point fou de la danse, nous savons bien pourquoi
ns le propre d’un esprit bienfait, et; d’un bon cœur ; mais à vous en
croire
sur votre parole, « l’amour du bien public est la
peut-être enfin vous estiment, et; que vous forcez de vous détester.
Croyez
-vous que vos préceptes et; vos remontrances eusse
. Ce trait de modestie ne s’accorde pas avec tous les éloges que vous
croyez
mériter et; que vous vous prodiguez. Vous y prêch
rsonne ne reviendra donc pour revoir ses Dieux penates ? Rendez-vous,
croyez
-moi, à des raisons aussi solides que celles-ci, e
aussi agréable que nécessaire à la société. » Cette apologie est, je
crois
, plus que suffisante pour contrebalancer le poids
nt faire ici une comparaison d’état. On me fera la grace de ne pas me
croire
fou. La comparaison ne tombe que sur l’utilité qu
tion. Le Récitatif est mal placé dans les nouveaux Drames. Je
crois
inutile d’observer que le Récitatif devrait être
vre quatre. Son ancienneté. Le Vaudeville est très-ancien. On
croit
qu’il fut inventé sous Charles-magne. Mais comme
e trouve guères qu’à la fin des Comédies d’un Acte, je serai tenté de
croire
qu’on s’en sert encore afin d’allonger un peu le
Le Vaudeville est sur-tout mal placé dans la Comédie récitée. Je
crois
pourtant qu’il serait mieux de terminer les Drame
i détruit toute l’illusion, & par conséquent l’intérêt » (66). Je
crois
seulement que le chant à côté de la parole paraît
it paraître, le Drame serait naturel & sa marche plus rapide : je
crois
même que les Spectateurs auraient lieu d’être con
i répèterait plusieurs fois quelques endroits de son discours ? On le
croirait
ivre ou fou. Le Musicien dira envain pour s’èxcus
cement & à la fin de la plus-part des Ariettes, nous est venu, je
crois
, des Italiens, qui les font durer une demi-heure.
Mais pour parvenir à relever le genre de l’Ariette, il faut qu’ils le
croient
susceptible de nouveaux ornemens, & qu’ils av
qu’il faut mettre de l’esprit dans une Ariette ? On aurait tort de me
croire
capable de tomber dans une telle erreur. Je voudr
la musique peut-elle tirer de pensées si délicates ? « On ne saurait
croire
combien l’esprit & la subtilité nuisent à la
Théâtre de bien choisir l’instant où ils font entendre la musique. Je
crois
qu’ils ne doivent absolument placer aucune ariett
même que quand le Comédien Théodore joue, ce n’est par Théodore qu’on
croit
entendre, mais le Personnage qu’il imite ; le Poë
amp; à les savoir ranger dans un ordre harmonieux, & tel a été je
crois
le secret de notre Euripide. J’ai fait remarquer
die. Notre éloignement à rechercher une vaine parure de Stile, a fait
croire
à quelques Italiens que nous n’avions pas une Lan
taliens que nous n’avions pas une Langue Poëtique comme eux. J’aurois
cru
, comme M. de Voltaire, pouvoir appeller très-simp
ilosophes Payens sur la métempsycose étoit vraisemblable, on pourroit
croire
que l’ame de Corneille a été la même que celle de
esea. Dans les Scenes non rimées, ce n’est plus Corneille que nous
croyons
entendre. A l’égard de ces variétés de Césure, do
amp; nous obligent d’y faire deux ou trois Césures, & d’enjamber.
Croient
-ils que dans la colere, Hermione marche à pas com
lisons même les Vers qui sont sans passion, tout autrement que ne le
croient
les Etrangers, Oui, je viens † dans son Temple
Amour devient alors ma suprême raison. Quand Médée après son crime
croit
voir les Enfers ouverts, & l’ombre de son fre
attribuer cette réforme au Poëte qu’ils nomment le Tendre, & qui
croiront
que mon attachement pour lui m’aveugle, se rappel
rappellent ce qu’a écrit M. Voltaire dans sa Lettre à M. Maffei : Ne
croyez
pas, Monsieur, que cette malheureuse coutume d’ac
e disputer la supériorité aux Grecs ? Nous permet-il du moins de nous
croire
leurs égaux, & pouvons nous dire sans nous tr
vie est si courte et le temps si précieux. » Pages 15 et 16. « L’on
croit
s’assembler au Spectacle, et c’est là que chacun
oilà l’effet des amours permis au Théâtre. » Page 93. « Pour moi je
crois
entendre chaque Spectateur dire en son cœur à la
ne Zaïre, je ferai bien en sorte de ne la pas tuer. » Page 97. « Je
crois
qu’on peut conclure de ces considérations diverse
ans Paris. XXI. Répétitions des mêmes injures. XXII. Laquelle faut-il
croire
? XXIII. Fausse plaisanterie, puisque cela n’est
anterie, puisque cela n’est nullement incompatible. XXIV. M. Rousseau
croit
superflu de prouver ce qu’il avance à la multitud
de, inventé par l’ignorance : ce que nous nommons hasard, ce que nous
croyons
fortuit, est un résultat dont nous ignorons le ca
résultat dont nous ignorons le calcul, de même que l’axiome que nous
croyons
le plus certain. XXVI. Vices de caractère, et non
le Lecteur indigné, s’il ne craignait de lui ressembler. XXXII. On ne
croyait
pas que ce fussent leurs vertus caractéristiques.
dignité naturelle que la dignité paternelle, et je danse encore sans
croire
blesser celle-ci, tout comme ses chers Spartiates
ient avec son éloquence, qu’il vaut mieux être ivrogne que galant, et
croit
l’excès du jeu très facile à réprimer, si le gouv
e pour servir la patrie, et du sang à verser pour elle. » M. Rousseau
croit
être à Lacédémone. Mais Genève, ne lui déplaise,
Rousseau n’ait écrit toutes ces choses dans cette fermentation qu’il
croit
apaisée, et qui peut-être ne l’est pas assez. Quo
it, d’autres imiteront, en lui répondant, l’amertume de son style, et
croiront
être aussi éloquents que lui, quand ils lui auron
, que par un vrai sentiment de leurs beautés. » M. Rousseau a-t-il pu
croire
, a-t-il voulu nous persuader que nous faisions se
r et de charme, Ariane, Inès et Zaïre ; je demande à M. Rousseau s’il
croit
que l’impression qui en reste, soit une dispositi
este M. Rousseau lui-même, en supposant, comme de raison, qu’il ne se
croit
pas plus incorruptible que nous. Mais voici bien
Rousseau peut me le persuader, j’aurai autant de plaisir que lui à le
croire
. 2°. Que si cet amour et cette haine sont assoupi
en nous, mais l’art du théâtre la purifie. L’homme est né bon, je le
crois
; mais a-t-il conservé ce caractère ? Si les trai
e généreux et compatissant qu’il a reconnu dans les Français. « On se
croirait
, ajoute-t-il, aussi ridicule d’adopter les vertus
ndosser un habit de théâtre. » Encore un coup, où a-t-il vu cela ? Se
croirait
-on ridicule d’être humain comme Alvarès, et vertu
ueux comme Burrhus ? M. Rousseau le pense-t-il ? Est-ce à lui de nous
croire
des monstres ? Le gigantesque qui est ridicule au
ns en état de choisir, ne fit plus de Mahomet que de Zophire. » Je le
crois
: aussi l’instruction n’est elle pas pour le peti
mais comme il en résulte plus d’horreur que de crainte des Dieux, je
crois
la morale de ces Tragédies pernicieuse à cet égar
agination du Peuple ; faut-il ne pas les publier ? C’en est assez, je
crois
, sur l’article de la Tragédie. Je vais approfondi
as assez pour lui : tout comique sans distinction est, s’il faut l’en
croire
, une école de vice : il n’en connaît point d’inno
sûreté pour son honneur que dans une tyrannie odieuse ; un avare qui
croit
trouver l’équivalent de tous les biens dans un tr
tre, rappelons-nous ce qui s’est passé dans la nouveauté du Tartuffe.
Croira-t
-on que les faux dévots eussent du plaisir à s’y v
roira-t-on que les faux dévots eussent du plaisir à s’y voir peints ?
Croira-t
-on que l’usurier se complaise dans le miroir de l
ner ? » Il faut avouer que M. Rousseau ne nous ménage guère, et je ne
crois
pas qu’on puisse, en termes plus énergiques, fair
ont jamais flétris : cette distinction appliquée aux exemples, va, je
crois
, devenir sensible ; elle contient toute la philos
incérité, je ne me plains que de sa mémoire : mais il eût été bon, je
crois
, d’avoir Molière sous les yeux en faisant le proc
omme un bon homme, quoiqu’on en rie comme d’un sot. Ce qui a fait, je
crois
, que M. Rousseau s’est mépris sur l’impression de
êle ; et l’on semble dire au Misanthrope : hé bien, censeur, qui vous
croyez
si sage, vous vous passionnez donc aussi, vous dé
’Alceste un si grand nombre de ses propres maximes, que plusieurs ont
cru
qu’il s’était voulu peindre lui-même. » Confronto
mal, se contentent de pratiquer l’un, et d’éviter l’autre ; qui ne se
croient
ni assez de vertu, ni assez d’autorité pour s’éri
n’est pas impénétrable aux traits qui sont lancés contre lui-même. Je
crois
bien que le courage et la force étouffent ses pla
en ôter, on le défigure », c’est de quoi je ne puis convenir ; et je
crois
avoir bien prouvé que, sans les filous et les fem
gue, des Dehors trompeurs, du Méchant i, sont épurées ; et je ne puis
croire
que M. Rousseau les compare à d’ennuyeux sermons.
nt ce respect en s’abstenant de les exposer au jugement du public, et
croyaient
honorer leur modestie, en se taisant sur leurs au
se à les aimer, est un spectacle pernicieux. Cependant M. Rousseau ne
croit
pas ses arguments sans réplique ; il s’en fait un
à prouver que la pudeur est inspirée aux femmes par la nature. Je le
crois
: je suis persuadé que l’attaque est le rôle natu
ée à l’honnêteté de leur sexe ; et les réduisant à une oisiveté qu’il
croyait
louable, il ne leur laissait pour toute gloire qu
femmes s’offensaient qu’on mît au théâtre des héros et des sages, les
croiriez
-vous moins fondées ? A votre avis, ces modèles so
rincipes d’honnêteté, de vertu, d’humanité : la nature leur tient, je
crois
, le même langage qu’à nous ; le monde leur donne
ue plus goûtées ; et je ne connais que vous seul parmi les hommes qui
croyez
en être avili. M. Rousseau ne peut se persuader q
guerre et à l’intempérie des saisons. Encore une fois, M. Rousseau se
croit
-il à Lacédémone ? N’est-il pas singulier que l’on
ses timides aveux, sa tendre et naïve finesse disent mieux ce qu’elle
croit
taire que la passion ne l’eût dit sans elle. C’es
e ne profiterai pas de l’avantage que me donne le peu d’accord que je
crois
voir entre ses maximes. Je reconnais donc de bonn
es timides aveux, la tendre et naïve finesse, disent mieux ce qu’elle
croit
taire que la passion ne l’eût dit sans elle : s’i
, et l’on ne laisse pas de souhaiter de rencontrer une Zaïre. » Je le
crois
bien ; aussi n’est-ce pas la crainte d’aimer une
cause de Rome pour complaire à Sabine : je demande à M. Rousseau s’il
croit
que l’intérêt de l’amour l’emportât dans nos cœur
es illusions de l’amour, et à fuir l’erreur d’un penchant aveugle qui
croit
toujours se fonder sur l’estime. » J’ai dit comme
nées, et les grâces de l’innocence unies à celles de la jeunesse, je
crois
que c’est remplir l’intention de la nature, et ce
bjets les vœux innocents des hommes de leur état, et de leur âge : je
crois
que leur inspirer une estime, une confiance mutue
, une confiance mutuelle, c’est les disposer à se rendre heureux : je
crois
, en un mot, qu’attendrir un sexe pour l’autre, c’
u’une Mérope est un personnage vicieux, et aucune mère ne voudra m’en
croire
. L’amour passionné, c’est-à-dire, aveugle et sans
ent de bonnes mœurs, ils savent que si nos sages Magistrats n’ont pas
cru
devoir encore céder aux vœux de la nation et aux
a vérité, n’en étaient que de vains fantômes, et que le mal auquel il
croit
avoir contribué par ses écrits et par ses exemple
e, & je viens vous le rendre sur un genre d’Ouvrages, auquel j’ai
cru
devoir renoncer pour toujours. Indépendamment du
e peut le sacrifier, on ne veut que briller, on parle contre ce qu’on
croit
, & la vanité des mots l’emporte sur la vérité
de foibles productions auxquelles j’attache fort peu de valeur, je me
crois
obligé d’en publier une Edition très corrigée, où
Ecrits seront brûlés au flambeau qui doit éclairer notre agonie. J’ai
cru
, pour l’utilité des mœurs, pouvoir sauver de cett
l’honnêteté publique, & au respect dû à la Raison, que je me suis
cru
obligé d’en conserver les traits & la censure
er avec une absurde présomption, cet instant qui nous est laissé pour
croire
& pour adorer avec une soumission fondée sur
oet. J’ai donc assez bonne opinion de l’Auteur du Discours, pour le
croire
destiné à faire voir aux hommes qu’on peut surpas
ût que les hommes ont naturellement pour l’Imitation ? Je ne sçaurois
croire
que ce soit là le vrai sentiment de l’Auteur ; &a
r & d’abbattement, nous ne le sentons presque plus, & à peine
croyons
-nous vivre lorsqu’il demeure trop longtemps dans
r & d’abbattement, nous ne le sentons presque plus, & à peine
croyons
-nous vivre lorsqu’il demeure trop longtemps dans
: elles allarment si peu les passions favorites du cœur humain, qu’il
croit
pouvoir les concilier aisément avec ces passions.
s qu’il y voit, s’éleve dans son esprit, au-dessus de tous ceux qu’il
croit
que le Poëte a voulu peindre, & il jouit du p
acun peint avec art dans ce nouveau miroir, S’y voit avec plaisir, ou
croit
ne s’y point voir. L’Avare des premiers rit du ta
s & généreux, qui sont comme endormis au fonds de notre ame. Nous
croyons
les reconnoître dans les Héros que le Poëte fait
us inspire l’estime de nous-mêmes par le mépris des défauts dont nous
croyons
être exempts, & la Tragédie ne nous l’inspire
les bornes de notre intelligence, en lui découvrant ce qu’elle auroit
cru
impossible, si l’événement ne lui en montroit la
s une impression si vive par l’opposition de ces deux états, que nous
croyons
presque éprouver dans nous-mêmes une révolution s
oëme Epique, ne devoit chercher à plaire que pour instruire : ils ont
cru
que l’une & l’autre n’étoient véritablement q
sent dans son ame je ne sçai quoi de plus noble, de plus sublime : il
croit
être transporté dans une région supérieure. Sub
itions qu’elle inspire dans l’ame, qui en s’y livrant a de la peine à
croire
que ce qui lui paroît si innocent & qui est s
te distinction & cette vivacité que je juge de leur proximité, je
crois
voir la Lune au bout du Télescope au travers duqu
s & dans le lieu où l’action s’est passée véritablement, que l’on
croie
la voir de ses yeux, l’entendre de ses oreilles,
la voir de ses yeux, l’entendre de ses oreilles, & il ne faut pas
croire
que notre ame refuse de se prêter à cette espece
voit, ou que l’on entend dire, & l’on se plaît à l’imiter ; on se
croit
assuré de plaire en imitant ce qui est à la mode.
ix mille copies contre un seul original. Je serois donc bien tenté de
croire
, que d’un côté le desir d’agir, & de l’autre
ction de notre ame en prononçant un jugement. La seconde est que nous
croyons
exercer par-là un acte de supériorité, & nous
ection comparée à celle des autres, & l’on ne manque guères de la
croire
supérieure. Quelque parfait que soit un Ouvrage,
quelques fautes légeres qui sont inévitables à l’humanité, nous nous
croyons
supérieurs à ceux-mêmes dont nous ne pourrions ap
gement. 2°. L’esprit qui se plaît à agir, comme je l’ai déja observé,
croit
agir davantage quand il découvre des rapports, qu
çoit l’impression des différentes couleurs ; mais pour les autres, il
croit
être le pinceau, ou plutôt le Peintre qui les dis
ien fait ; il a l’œil ardent plutôt que vif, le caractère sombre ; je
crois
que ses passions seront intraitables : l’amour le
onchalante ; c’est l’opposé de son frère, que je lui préférerais ; je
crois
que j’aimerais mieux une étourdie, une coquette q
à notre manière ; c’est la grâce que j’ose exiger de vous. [*] Ne me
croyez
pas aussi tranquille que je tâche de le paraitre
le fait, tout ce qu’elle dit, pour l’élever jusqu’au ciel, dèsqu’elle
croit
n’en plus être entendue. Misérable ton , qui priv
enveloppe ; j’ai déguisé mon écriture ; je viens de l’envoyer. A qui
croyez
-vous qu’il s’adresse ?… O ma sœur ! hier, il étai
leurs regards… Voilà donc ce qu’il cherchait au Théâtre ! Moi, qui me
croyais
adorée, si le devoir n’était pour moi, je me verr
! ma chère Adelaïde !… Conseillez-moi : ce moment est cruel. Mais, le
croiriez
-vous ? dévorée de jalousie, j’ai la faiblesse enc
atire est de corriger les mœurs quand elles sont mauvaises ; & je
crois
que pour les corriger, il suffit de les peindre d
quoi je dois appuyer mon sentiment des raisons les plus solides. On a
cru
jusqu’à present que les ridicules des vices étoie
geries qu’on lui prête pour nous faire rire ? Je ne le pense pas : je
crois
qu’on aura une idée bien plus juste de l’avare &a
action vicieuse, de faire rire ceux devant qui elle se passe ; je ne
crois
pas qu’on se range du côté de l’affirmative, à mo
aisir le ridicule, s’il en trouve dans ce personnage : pour moi je ne
crois
pas être seul de mon avis, quand je dis que Tartu
iece à l’autre ; la Comédie de l’Imposteur est cependant, à ce que je
crois
encore, une vraie Comédie ; donc les vices odieux
êt d’adopter son sentiment. On me demande maintenant quelle figure je
crois
que fera la Comédie, si on la travaille d’après m
commence à se pénétrer du véritable esprit du Christianisme, elle se
croit
obligée de s’interdire pour toujours les Spectacl
ang de Jésus-Christ. Comment, après cela, aller aux Spectacles, et se
croire
innocent ? Le serait-on, en fournissant à un homm
son attrait, sans ce pernicieux artifice ? Or, quelle présomption, de
croire
que l’on résistera à un danger auquel on s’expose
amener au bien des mondains obstinés. Ne serait-il point téméraire de
croire
que des Ministres, appelés aux fonctions redoutab
es paroles redoutables : Si quelqu’un scandalise un de ces petits qui
croient
en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui atta
font pas le moindre scrupule de ce que tous les Pères de l’Eglise ont
cru
devoir hautement qualifier de péché. Il s’agit de
de cœur ; qu’il y a de la témérité, de l’orgueil et de l’impiété à se
croire
capable de résister, sans la Grâce, aux tentation
tions que l’on y rencontre ; et que ce serait présomption et folie de
croire
que Dieu nous délivrera d’un danger auquel nous n
ins esprits, pourraient-ils s’en faire un divertissement innocent, et
croire
qu’ils ne sont point coupables en y assistant ?…
fférente. Plus vous êtes pieux et réglé dans vos actions, plus ils se
croient
autorisés à vous imiter en celle-là, et à citer m
ci ce que le célèbre Racine écrivait à son fils sur les Spectacles. «
Croyez
-moi, mon fils, quand vous saurez parler de Romans
ne serait plus utile, que la suppression entière des Spectacles. « Je
crois
, disait-il, que c’était précisément à un homme te
’ils la connaissent tôt ou tard… C’est ce que je suis très-éloigné de
croire
: on doit toujours ignorer le libertinage. D’aill
r cette voix des remords, à laquelle on n’impose point silence, ou je
croyais
y répondre par de mauvaises autorités que je me d
dre à douter ou à délibérer, le seul instant qui nous est laissé pour
croire
et pour mériter ?… Bayle, cet auteur trop fameu
ssous dans la corruption, a avancé dans un de ses écrits : « Qu’il ne
croyait
nullement que la Comédie fût propre à corriger le
, de l’envie, de la fourberie, de l’avarice, de la vanité, etc. Il ne
croit
pas que Molière ait fait beaucoup de mal à ces dé
é contre le Théâtre un jugement fondé sur sa propre expérience. Il ne
croit
pas, comme bien des penseurs de nos jours, que de
ne personne qui veut se battre en duel contre son ami, parce qu'on le
croyait
auteur d'une chose dont il le jugeait lui-même in
sait trop ce qu'il se doit Pour ne vous pas punir de ce que l 'on en
croit
... Telle est de mon honneur l'impitoyable loi, Lo
nsidérant selon la raison, il n'y a rien de plus détestable ; mais on
croit
qu'il est permis aux Poètes de proposer les plus
ne personne qui veut se battre en duel contre son ami, parce qu'on le
croyait
auteur d'une chose, dont il le jugeait lui-même i
é sait trop ce qu'il se doit Pour ne vous pas punir de ce que l'on en
croit
. Telle est de mon honneur l'impitoyable loi, Lors
sentiments selon la raison, il n'y a rien de plus détestable. Mais on
croit
qu'il est permis aux Poètes de proposer les plus
mes talens, me donner ses avis, & m’obtenir une Lettre de Début.
Croyez
, ma sœur, que je m’étais préparée. D’après elle-m
Spectacle : en partant, elle m’a dit : Vous allez tout effacer ; mais
croyez
que nous n’en serons pas moins amies. Le cœur me
à tout ce qu’elle voulut : je fus applaudie à outrance. Cependant, je
crus
m’appercevoir que les femmes se refroidissaient u
is que je m’en tiendrais aux bontés de Mademoiselle ***. Comme ils me
croyaient
son Elève, ils trouvèrent ma réponse sensée, &
urelle : mille fois on a vu… — En vérité, lorsqu’elle s’exprimait, je
croyais
vous entendre ; & maintenant que vous parlez,
mait, je croyais vous entendre ; & maintenant que vous parlez, je
crois
que c’est elle : ce ton intéressant… Pardonnez, M
isir sa manière. Son père ayant paru surpris de ses absences, elle se
crut
obligée de prévenir ses soupçons, & de lui fa
de chose à changer dans la Scène d’amour entre Hémon et Antigone ; je
crois
même qu’on pourrait se dispenser d’y toucher ; et
our affaiblit et détruit même toute la majesté de la Tragédie ; je ne
crois
pas que je puisse en trouver un meilleur que celu
tion du Poète a tiré partie de certaines choses qu’on n’aurait jamais
cru
pouvoir paraître avec agrément sur la Scène. D’un
êcher qu’on ne la conservât pour le Théâtre de la réforme, dont je la
crois
extrêmement digne. RHADAMISTE ET ZENOBIE. A
digne. RHADAMISTE ET ZENOBIE. Au seul nom de cette Tragédie, je
crois
m’entendre objecter que, si j’ai rejeté le Mithri
de sa mort, l’ayant jetée dans l’Araxe. A l’égard de Zénobie (qui se
croit
veuve depuis le bruit qui a couru de la mort de R
iqu’elle soit prévenue en sa faveur, et cela dans un temps où elle se
croit
libre et maîtresse de disposer d’elle-même. Zénob
ux intrigues d’amour des Tragédies de Mithridate et de Rhadamiste, je
crois
que, d’avoir rejeté cette première ne doit point
oltaire l’avait voulu, il l’aurait mise facilement en cinq Actes ; je
crois
même voir très clairement qu’il s’est fait violen
de la réforme ; quoique j’eûsse souhaité le pouvoir faire : mais j’ai
cru
que cette entreprise ne pourrait réussir de nos j
ent le Spectateur est instruit, loin d’être séduit ou corrompu. Je ne
crois
donc pas qu’il y ait rien à changer pour la rendr
s ; vous vous êtes tiré d’embarras en coupant le nœud, et vous n’avez
cru
pouvoir nous rendre heureux et parfaits, qu’en no
ces maisons décorées par la vanité et par l’opulence, que le vulgaire
croit
un séjour de délices, et où les raffinements d’un
ussent, une école de mœurs et de vertu. Voilà, Monsieur, de quoi vous
croyez
le Théâtre incapable ; vous lui attribuez même un
pouvez regarder l’amour de la vertu comme inné dans nous, car vous ne
croyez
pas apparemment que le fœtus et les enfants à la
s seuls qu’on en puisse attendre. Si elle n’en a pas de plus marqués,
croyez
-vous que la morale réduite aux préceptes en produ
es spectateurs l’un après l’autre au sortir de ces Tragédies que vous
croyez
une école de vice et de crime ; demandez-leur leq
ut quelquefois entraîner les hommes. Ce que je dis ici de Mahomet, je
crois
pouvoir le dire de même des autres Tragédies qui
es ont d’être émus. C’est en effet ce besoin, et non pas, comme on le
croit
communément, un sentiment d’inhumanité qui fait c
répondre. Voudriez-vous bannir l’amour de la société ? Ce serait, je
crois
, pour elle un grand bien et un grand mal. Mais vo
froid et subalterne qu’il y joue presque toujours. L’amour, si on en
croit
la multitude, est l’âme de nos Tragédies ; pour m
s, qu’il en est peu qu’ils écoutent avec plus de plaisir. Aussi je ne
crois
pas que ce chef-d’œuvre de Molière (supérieur peu
plus besoin du Médecin malgré lui pour aller au Misanthrope. Mais je
crois
en même temps avec vous, que d’autres chefs-d’œuv
ère qui n’est pas le leur, les accoutume à la fausseté. Je ne saurais
croire
que ce reproche soit sérieux. Vous feriez le proc
t, Monsieur, les femmes comme très sensibles et très faibles ; je les
crois
au contraire ou moins sensibles ou moins faibles
e opinion que vous avez de la bravoure d’un régiment de femmes, je ne
croirai
pas que le principal moyen de les rendre utiles,
proposé l’établissement d’un Théâtre dans leur Ville, et j’ai peine à
croire
qu’ils se livrent avec autant de plaisir aux amus
épublique est-il susceptible de l’application de ces règles ? Je veux
croire
qu’il n’y a rien d’exagéré ni de romanesque dans
ion de son étendue, une des plus riches de l’Europe ; et j’ai lieu de
croire
que plusieurs Citoyens opulents de cette ville, q
campagne, et aux exercices militaires dont vous parlez. J’ai peine à
croire
aussi qu’on ne pût remédier par des lois sévères
eurs fait un juste éloge ; mais d’exposer par un seul mot ce que j’ai
cru
être leur doctrine, et ce qui sera infailliblemen
de Foi de Genève, en aient été aussi satisfaits que vous, jusqu’à se
croire
même obligés d’en faire l’éloge. Mais il s’agissa
le Spectacle qui nous fait tant de plaisir. La raison qui me le fait
croire
ést toute simple, c’est qu’ordinairement les Aute
. Quand j’avance qu’il n’en a point parlé, l’on aurait tort de me
croire
à la lettre, il est très-possible qu’il l’ait con
ux noms qui le forment, ni l’un ni l’autre ne signifient rien12. » Je
crois
avoir prouvé le contraire ; je vais le faire sent
nce ! s’écriera-t-il ; Aristote au nombre des Élus ! Je le supplie de
croire
que je n’avance point sans preuve une pareille ch
alheureux pour moi de n’être pas du sentiment de M. l’Abbé Vatry, qui
croit
que les Tragédies anciennes se chantoient d’un bo
de la Danse des Anciens, & ignorant les matieres de Théâtre, il a
cru
aussi que la Déclamation théatrale des Romains ét
me dispense d’expliquer plusieurs autres passages, dans lesquels il a
cru
trouver de même, l’idée dont il étoit rempli : il
thétiques, & que les Spectateurs vouloient être vivement remués ;
croirai
-je que les Représentations de ces Piéces étoient
e qu’il représentoit. Voila donc une Déclamation naturelle, puisqu’on
croit
entendre la personne même ; ce ne sont donc point
Ce ne sont point les Modes de Sapho, mais ceux d’Horace : ainsi je
crois
que ni Commentateur, ni Traducteur ne nous a expl
l’instant que ce Comédien éleva sa voix, tous les Spectateurs qui se
crurent
frappés d’un coup de tonnerre, s’enfuirent. Les C
s, & les ramenoit à ceux de la Nature quand ils s’emportoient. Je
crois
que dans les Représentations Tragiques la Flutte
agiques la Flutte pouvoit faire un véritable accompagnement ; mais je
crois
aussi que ce n’étoit que dans les endroits triste
e dans les endroits tristes, dans les lamentations. Ce qui me le fait
croire
est ce que dit l’Auteur du Traité des Spectacles
ot de Plaute aux Spectateurs : Tibicen vos interea hic delectabit. Je
crois
donc qu’excepté quelques plaintes lugubres dans l
doit tout intelligible : Tout ce qu’il imitera, dit Manilius, vous le
croirez
voir, surpris de l’image de la vérité, Quodque
ader une opinion si inconcevable, & encore plus étonnant qu’il la
croie
autorisée par le Passage suivant de Saint Augusti
t d’avoir vu cet usage, & nous ne devons pas avoir de peine à les
croire
, puisqu’encore aujourd’hui, si quelqu’un qui n’a
fait son éloge, mais non pas celui de l’état auquel tout le monde se
croit
en droit d’en faire l’application. On joue jusqu’
. Une place distinguée ne servirait qu’à montrer leur faiblesse. On a
cru
qu’il valait mieux pour l’honneur de l’Etat, les
, et lors de l’élection de ce Saint, l’Empereur se félicita qu’on eût
cru
digne de l’épiscopat quelqu’un de ses Juges : « E
, et y en employèrent des centaines, selon Suétone : nombre que je ne
crois
pas vraisemblable, et je croirais avec Juste Lips
ines, selon Suétone : nombre que je ne crois pas vraisemblable, et je
croirais
avec Juste Lipse (Saturnal. L. 3. C. 3) que le te
ntent sur le théâtre pendant le pièce, se mêlent avec les Acteurs, se
croient
tout permis, causent souvent bien du désordre, et
de représenter aux troupes de Comédiens qui voudraient l’introduire.
Croirait
-on que Ménochius, célèbre Jurisconsulte (de Arbit
nem. » (L. Clavibus de contrah. empt. C. solit. de majorit. et obed.)
Croirait
-on que cet ouvrage, imprimé pendant la vie de l’A
M. Achille de Harlay, premier Président au Parlement de Paris ? Je ne
crois
pas qu’on soit tenté de m’opposer l’autorité de c
livré à ses plaisirs, et qui par les honneurs attachés à son rang se
croyait
un homme d’importance, disait de lui : « Sese a
eu ne veut point de notre cœur, s’il ne le possède toujours : et vous
croyez
qu’il agréera des jours que le monde partage avec
adoption ? Un Prince n’oserait faire le Comédien, un simple Bourgeois
croit
qu’il y a des divertissements indignes de sa cond
ensait-on que la morale avait été outrée, et qu’elle portait à faux ?
Crut
-on qu’on avait eu tort de condamner ce que nous a
et de lui faire sentir le poison de ce qui l’enchante. J’ai toujours
cru
les bals dangereux, disait un des plus beaux espr
on temps, et le Courtisan le plus poli de son siècle :* j’ai toujours
cru
les bals dangereux ; ce n’a pas été seulement ma
s bals dangereux ; ce n’a pas été seulement ma raison qui me l’a fait
croire
, ç’a encore été mon expérience ; et quoique le té
e tiens qu’il ne faut point aller au bal quand on est Chrétien, et je
crois
que les Directeurs feraient leur devoir, s’ils ex
qu’il commence à naître, il est le présage d’une grandeur rapide. Qui
croirait
que les faibles progrès de la Tragédie sous le rè
it craindre d’étaler au grand jour, sont plus importantes que l’on ne
croit
. La Coquetterie, par éxemple, n’est elle pas cont
as difficile de prouver ce que j’avance, en m’étendant d’avantage. Je
crois
en avoir assez dit, pour ceux qui savent réfléchi
encore de leur utilité ? Pourquoi le Théâtre est méprisé. Je
crois
découvrir une des principales raisons qui porte l
nt à venir réciter en public les Ouvrages des Hommes de génie ? On ne
croira
jamais que le Théâtre soit le centre du bon goût,
eux Théâtres pour nous produire une foule de grands hommes ; pourquoi
croyons
-nous en avoir assez d’un ? Jugeons-nous notre siè
t des Romans, il le dira, il l’écrira, et ses zélés Catéchumènes l’en
croiront
sur sa parole. Mais cette qualité de Roman qu’il
us avons l’Ame naturellement plus élevée que les femmes, et nous nous
croyons
fort au-dessus de leurs faiblesses : nous prétend
Ces objets célestes sont rares à la vérité, mais pas autant que vous
croyez
. On en tire tous les jours du Couvent ; il en sor
éconisaient-ils le courage et les autres Vertus de leurs Héros, s’ils
croyaient
le silence plus honorable que la louange ? Je ne
iste de ce que, par des louanges hyperboliques, il s’empêchait d’être
cru
, ce n’est plus blâmer la louange, c’est blâmer se
oue que le mérite de sa Poésie m’oppose tant de difficultés, que j’ai
cru
devoir choisir non pas une des plus fortes scènes
de tous côtés se présente à nos yeux. C’est aigrir nos douleurs et je
crois
qu’il est mieux Que le Peuple aujourd’hui célèbre
des Du Châtelet. Il n’est donc pas si déplacé que vous feignez de le
croire
de mettre la raison dans la bouche des Dames, et
nt pris soin de leur dicter »eh : à prendre vos mots à la lettre, on
croirait
vous entendre dire que tous les Spectateurs ont p
ous à une malheureuse couturière ; que, pour plaire aux hommes, elles
croiront
devoir donner aux beaux-arts la moitié du temps q
ndre étincelle à toutes les autres femmes. Quant aux hommes, vous les
croyez
très abondamment pourvus de ce feu : il faut que
conseillait donc pas de devenir femme ? Elle avait donc de la raison.
Croyez
-vous qu’elle eût à elle seule ce que vous refusez
oilà par exemple un axiome politique tout nouveau : en le lisant j’ai
cru
d’abord que vous vouliez dire qu’il était indiffé
chevé de traiter cet admirable caractère. J’ai trop bien démontré, je
crois
, que l’amour vertueux que vous attaquez encore ic
. cit., p. 189, note (g). L’édition de 1782 précise cependant : « Qui
croirait
que cette plaisanterie, dont on voit assez l’appl
mettre de ce nombre celle qui regarde la Comédie. Car l’on a toujours
cru
dans l’Eglise que les spectacles étaient des dive
ne réparation si solemnelle du scandale causé par cette Lettre, je ne
crus
plus nécessaire ce présent Traité, qui avait été
onciles et les Pères de l’Eglise ; C’est pourquoi il y a tout lieu de
croire
que Dieu y répandra sa bénédiction. 2. Ad Timot.
pas surpris, MONSIEUR, que vous et d’autres personnes éclairées ayez
cru
voir dans les deux Discours sur la Comédie, quelq
rches également utiles et curieuses. Un jugement si avantageux a fait
croire
à ceux qui avaient cet ouvrage entre les mains qu
’il était attendu avec quelque sorte d’impatience. Ainsi l’on n’a pas
cru
que la modestie de l’Auteur dût en empêcher l’imp
e la Cour. Cet Auteur a prêté à la Comédie une noblesse dont on ne la
croyait
point capable. Ses Vers sont toujours d’une force
int au Tragique, je n’approuve point une pareille association ; je la
crois
révoltante & tout-à-fait ridicule. Chaque gen
ffliger. Je n’ai fait une telle découverte qu’avec indignation. Je me
crois
autorisé maintenant à mal penser du cœur humain.
ommes, s’ils sont capables de rire, ou même de sourire, lorsqu’on les
croit
vivement touché du malheur de quelque infortuné.
âtres. J’ai déjà parlé des spectacles, théâtres et comédies, et je
croirais
avoir assez dit, pour n’y devoir rien ajouter, si
ses pompes, aux spectacles et à ses œuvres, et après cela, tu dis, je
crois
en Dieu le Père tout-puissant, et en Jésus-Christ
en Dieu le Père tout-puissant, et en Jésus-Christ son Fils. Pour donc
croire
en Dieu, on renonce auparavant au diable, parce q
ce auparavant au diable, parce que qui ne renonce point au diable, ne
croit
point en Dieu : d’où il s’ensuit que celui-là qui
des affaires il se peut exercer à la Peinture et à la Musique ; J'ai
cru
néanmoins que je devais traiter ce sujet, parce q
Modulatricibus a quis constitit Deo mundus. »Tertull. de Baptismo. a
cru
que Dieu avait fait le Monde à la musique des eau
es de Pythagore peuvent avoir quelque rang parmi nos Théologiens, Ils
croyaient
avec leur Maître que les Sphères des Cieux par le
teurs et les Soldats en conçurent du mépris, et les uns et les autres
crurent
que l’Empire ne pouvait être plus malheureux que
tantôt dans un endroit, tantôt dans un autre. On est presque tenté de
croire
, chaque fois que la Scène change, qu’on va représ
st pourtant ce qu’on veut me rendre possible, en cherchant à me faire
croire
que je vois encore dans sa chambre celui qui vien
m’éxpliquer, Aristote entend un jour ordinaire de douze heures. On a
cru
peut-être mal-à-propos qu’il étendait l’action ju
e leurs Tragédies sont l’histoire détaillée de leur Héros ; car je ne
crois
pas qu’ils ayent de Comédies ; parce qu’une actio
action, n’est pas généralement suivi. D’habiles modernes commencent à
croire
que cette importante partie du Drame est encore l
de l’action ne devrait pas passer celle de la représentation. Je
crois
, ainsi que l’a dèjà pensé D’aubignac, qu’il faudr
deux heures à considérer telle Pièce ; & vous prétendez me faire
croire
que j’y emploie un jour entier ! La perfectio
eurs ont pensé sans doute qu’il n’en était point susceptible. Ils ont
cru
qu’étant nécessaire de jetter de l’intérêt dans u
aître un jour ; pourvu toute fois que le nouveau Spectacle soit enfin
cru
digne d’avoir des ouvrages bien constitués. 22
re. Eh bien, on se rend à peu près aussi ridicule en voulant me faire
croire
que je vois agir des gens qu’une muraille épaisse
Acteurs puissent naturellement se faire entendre ; que, si l’on m’en
croyait
, l’on ne serait plus pardonnable d’y manquer. C’e
ait, l’on ne serait plus pardonnable d’y manquer. C’est une erreur de
croire
que l’on n’est présent qu’en esprit à ce qui se p
e rappeller les endroits les plus dangereux de cette Pièce ; et je ne
crois
pas qu’il me convienne de faire revivre des idées
, il est juste de la modifier ; mais quand elle regarde les mœurs, je
crois
qu’on ne saurait trop tôt se taire ; j’ai loué Mo
andin, dont Molière a puisé le sujet dans une Nouvelle de Boccace. Je
crois
l’avoir déja remarqué, toutes les fois que Molièr
ec plus de plaisir encore, il m’a fourni quelques réflexions que j’ai
cru
pouvoir offrir, sous vos auspices, au public et à
re celle de la personne intéressée ? Qui sait mieux que moi ce que je
crois
ou ne crois pas, et à qui doit-on s’en rapporter
la personne intéressée ? Qui sait mieux que moi ce que je crois ou ne
crois
pas, et à qui doit-on s’en rapporter là-dessus pl
e éternel selon la raison qu’il nous a donnée. Quand un homme ne peut
croire
ce qu’il trouve absurde, ce n’est pas sa faute, c
a reçu de lui ? Si un Docteur venait m’ordonner de la part de Dieu de
croire
que la partie est plus grande que le tout, que po
oxe, qui ne voit nulle absurdité dans les mystères, est obligé de les
croire
: mais si le Socinien y en trouve, qu’a-t-on à lu
echerches qui ne seraient pas indignes de votre plume. Pour moi, sans
croire
y suppléer, je me contenterai de chercher dans ce
omme, n’ont-ils ni femmes, ni enfants ? Le Barbare avait raison. L’on
croit
s’assembler au Spectacle, et c’est là que chacun
fection, qu’on ne saurait mettre en pratique, sans rebuter ceux qu’on
croit
instruire. Voilà d’où naît la diversité des Spect
beautés. On dit que jamais une bonne Pièce ne tombe ; vraiment je le
crois
bien, c’est que jamais une bonne Pièce ne choque
êcher qu’on ne puisse donner aux Spectacles la perfection dont on les
croit
susceptibles, et qu’ils ne produisent les effets
hant encore pour oser soutenir que l’homme est né bon, je le pense et
crois
l’avoir prouvé ; la source de l’intérêt qui nous
ts. On se dit bien que rien de tout cela ne nous convient, et l’on se
croirait
aussi ridicule d’adopter les vertus de ses héros,
s les devoirs de la vie humaine ; à peu près comme ces gens polis qui
croient
avoir fait un acte de charité, en disant au pauvr
elques exemples, qui puissent en rendre la solution plus sensible. Je
crois
pouvoir avancer, comme une vérité facile à prouve
d’Alceste un si grand nombre de ses propres maximes que plusieurs ont
cru
qu’il s’était voulu peindre lui-même. Cela parut
il n’a qu’à ouvrir les yeux ; et il n’estime pas assez l’argent pour
croire
avoir acquis sur ce point un nouveau droit par la
nt ce respect en s’abstenant de les exposer au jugement du public, et
croyaient
honorer leur modestie, en se taisant sur leurs au
s. Ils avaient une telle idée de la modestie du Sexe, qu’ils auraient
cru
manquer aux égards qu’ils lui devaient, de mettre
triomphe de plus pour une femme, qui, traînant à son char un Nestor,
croit
montrer que les glaces de l’âge ne garantissent p
de lui ressembler ? Rappelez-vous, Monsieur, une Pièce à laquelle je
crois
me souvenir d’avoir assisté avec vous, il y a que
ne représentation de Zaïre, bien prémuni contre l’amour. Pour moi, je
crois
entendre chaque Spectateur dire en son cœur à la
ce qui mène au plaisir, on en laisse ce qui tourmente. Personne ne se
croit
obligé d’être un héros, et c’est ainsi qu’admiran
rtune brûle d’un feu non partagé, on en fait le rebut du Parterre. On
croit
faire merveilles de rendre un amant estimable où
r des illusions de l’amour, à fuir l’erreur d’un penchant aveugle qui
croit
toujours se fonder sur l’estime, et à craindre qu
qui perd tant de gens bien nés ? Il s’en faut peu qu’on ne nous fasse
croire
qu’un honnête homme est obligé d’être amoureux, e
e et d’un peuple éclairés ont fait pour la perfection des nôtres ; je
crois
qu’on peut conclure de ces considérations diverse
ut sur les apparences, parce qu’on n’a le loisir de rien examiner, on
croit
, à l’air de désœuvrement et de langueur dont frap
méprisées. Restez quelque temps dans une petite ville, où vous aurez
cru
d’abord ne trouver que des Automates : non seulem
i, vous montrant des prodiges de travail, de patience et d’industrie,
croira
ne vous montrer que des choses communes à Paris.
son père, un autre de sa tante, un autre de son cousin, quelques-uns
croyaient
l’avoir toujours sue. Un de leurs plus fréquents
mmes singuliers un mélange étonnant de finesse et de simplicité qu’on
croirait
presque incompatibles, et que je n’ai plus observ
e m’en tiens uniquement à ce qui regarde le travail et le gain, et je
crois
montrer par une conséquence évidente, comment un
malgré toute sa puissance, aura beau le déclarer brave, personne n’en
croira
rien ; et cet homme, passant alors pour un poltro
le représente. Louis XIV était digne de faire de ces choses-là, et je
crois
qu’il les eût faites, si quelqu’un les lui eût su
toire de leur pays. 4°. Ce Peuple, enthousiaste de sa liberté jusqu’à
croire
que les Grecs étaient les seuls hommes libres par
’on le prenne en effet pour la personne qu’il représente, ni qu’on le
croie
affecté des passions qu’il imite, et qu’en donnan
ment pesé ses raisons. Moi qui ne me pique pas de les connaître, j’en
crois
voir qui leur ont échappé. Quoiqu’ils en disent,
es timides aveux, sa tendre et naïve finesse, disent mieux ce qu’elle
croit
taire que la passion ne l’eût dit sans elle : c’e
? Pourquoi l’un des sexes se ferait-il un crime de ce que l’autre se
croit
permis ? Comme si les conséquences étaient les mê
eux. Cet embarras fait l’éloge des femmes de leurs pays, et il est à
croire
que celles qui le causent en seraient moins fière
t à l’or auquel elles sont d’avance à demi vendues ! Il faudrait nous
croire
une simplicité d’enfant pour vouloir nous en impo
Qu’il en soit jusqu’à trois que l’on pourrait nommer.v Je veux bien
croire
là-dessus ce que je n’ai jamais ni vu ni ouï dire
s les foyers. Après ce que j’ai dit ci-devant, je n’ai pas besoin, je
crois
, d’expliquer encore comment le désordre des Actri
en mouvement, tout s’empresse à son travail et à ses affaires. Je ne
crois
pas que nulle autre aussi petite ville au monde o
sa fille à cette dangereuse école, et combien de femmes respectables
croiraient
se déshonorer en y allant elles-mêmes ? Si quelqu
un impôt pour l’établissement de la Comédie. A Dieu ne plaise que je
croie
nos sages et dignes Magistrats capables de faire
union est un petit jeu de commerce, un goûter, et, comme on peut bien
croire
, un intarissable babil. Les hommes, sans être for
emme ou de jeune homme qui traitera nos cercles de corps de garde, et
croira
sentir l’odeur du tabac. Il faut pourtant répondr
part des productions de notre âge passeront avec lui, et la postérité
croira
qu’on fit bien peu de livres, dans ce même siècle
iètent pas. Il faudrait avoir d’étranges idées de l’amour pour les en
croire
capables, et rien n’est plus éloigné de son ton q
ac pour nager, tout le pays ouvert pour la chasse ; et il ne faut pas
croire
que cette chasse se fasse aussi commodément qu’au
leur entendra jamais intenter contre autrui des accusations qu’elles
croient
fausses ; tandis qu’en d’autres pays les femmes,
cartes, les dés, les jeux de hasard tomberont infailliblement. Je ne
crois
pas même, quoiqu’on en dise, que ces moyens oisif
ssez heureux pour n’en point avoir ; et qui sait combien de courtauds
croiront
se mettre à la mode, en imitant les marquis du si
uple dont tous les sentiments ont encore leur droiture naturelle, qui
croit
qu’un scélérat est toujours méprisable et qu’un h
nous peint, même à ceux qu’il nous fait aimer ? J’en ai dit assez, je
crois
, sur leur chapitre et je ne pense guère mieux des
les sont assez bonnes pour qu’il soit fâcheux d’y descendre, et j’ose
croire
le mien dans ce dernier cas. J’ajouterai que les
ont été faites, nous deviendra préjudiciable, jusqu’au goût que nous
croirons
avoir acquis par elles, et qui ne sera qu’un faux
our réprimer des vices qui naissent de la nature des choses, comme je
crois
l’avoir montré, combien plus le seront-elles parm
t, tout favorisera leur licence : chacun, cherchant à les satisfaire,
croira
travailler pour ses plaisirs. Quel homme osera s’
ses des jeunes Lacédémoniennes ? Je réponds que je voudrais bien nous
croire
les yeux et les cœurs assez chastes pour supporte
mes écrits, c’est celui par lequel finira ma vie. FIN. 2. [NDA] Je
crois
voir un principe qui, bien démontré comme il pour
enir que j’ai à répondre à un Auteur qui n’est pas Protestant ; et je
crois
lui répondre en effet, en montrant que ce qu’il a
contre elle-même, nous forcerait à la récuser ; et loin de nous faire
croire
ceci ou cela, elle nous empêcherait de plus rien
de nous faire croire ceci ou cela, elle nous empêcherait de plus rien
croire
, attendu que tout principe de foi serait détruit.
i serait détruit. Tout homme, de quelque Religion qu’il soit, qui dit
croire
à de pareils mystères, en impose donc, ou ne sait
u but qu’aucune pièce française que je connaisse. » o 24. [NDA] Je
crois
entendre un bel-esprit de Paris se récrier, pourv
r mensonge ! Erreur de physique ! Ah, pauvre Auteur ! Quant à moi, je
crois
la démonstration sans réplique. Tout ce que je sa
ur, rage, et désespoir dans la possession même de ce qu’il aime, s’il
croyait
n’en point être aimé.Vouloir contenter insolemmen
cher. Mon père, en m’embrassant, fut saisi d’un tressaillement que je
crois
sentir et partager encore. Jean-Jacques, me disai
premier principe d’une religion véritable, est de ne rien proposer à
croire
qui heurte la raison : aussi quand on les presse
mis, qui ont joué des rôles si extraordinaires sur la scène du monde,
croient
d’un caractere tout opposé. Le Roi de Pologne éto
mais on ne vit de roi mépriser comme lui les commodités de la vie. On
croit
voir un de ces Chrétiens dont parle. S. Paul. In
la Comtesse ne remporta de son voyage que la satisfaction de pouvoir
croire
que le Roi de Suede ne redoutoit qu’elle : C’est
a terre & sur l’onde, les échos en mugissent au loin. Mais qui le
croiroit
? Ce ne fut pas le Czar qui triomphoit : il n’éto
e-amiral. Voltaire avoue que cette cérémonie est bizarre ; mais il la
croit
nécessaire, & qu’elle étoit utile pour le peu
faut donc que le peuple Russe soit stupide, & que son Empereur le
croie
, pour l’amuser par des farces qui n’amuseroit pas
ltava. Le désespoir de sa défaite l’accabla & le dérangea ; il se
crut
abandonné de Dieu : &, comme s’il eût voulu
e de ses Ouvrages. Pour devancer les autres comme il a fait, il s’est
cru
obligé de prendre une autre route qu’eux. Il s’es
refuser la justice que l’on doit à tout le monde, & qui n’a point
cru
devoir blâmer des qualités qui sont véritablement
arice, la vanité, & les autres crimes semblables ; il ne faut pas
croire
, selon l’observation du même Auteur, qu’elles leu
droit considére comme retranchées de son corps, parce qu’elle ne les
croit
jamais dans l’innocence. Mais quand Moliere auroi
alors n’auroit-il pas cessé de l’être dès qu’il eut la présomption de
croire
que Dieu vouloit bien se servir de lui pour corri
à un ami, ne donne par tout à l’Hypocrite que ce nom de Panulphe. On
croit
que Moliére a depuis changé Panulphe en Tartuffe,
pas. Il n’est donc point surprenant que nos Auteurs qui ont toujours
cru
que le ridicule étoit le domaine essentiel de la
e cet excellent homme qui me l’a fait préférer à ses rivaux, & je
crois
que la preuve qui résultera de l’examen de ses ou
; qu’en homme d’honneur on ne lâche aucun mot quine parte du cœur. Je
crois
que tout le monde convient de cela avec lui. On m
s que tout honnête homme voudroit sûrement trouver dans la sienne. Il
croit
en être trompé, il s’emporte contre elle, & s
du caractere du misanthrope, tels que ceux-ci : « J’ai un procès, je
crois
avoir raison, je voudrois pour la beauté du fait
amp; plusieurs autres endroits de même nature que je pourrois citer ;
croira-t
-on, dis-je, que quelques petits ridicules prêtés
plusieurs fois à Versailles, devant le Roi, qui sans le vouloir ni le
croire
, revenoit ainsi au théatre. Bien des Prélats &
onnes Royales ; il a raison, rien de plus ordinaire dans le monde, on
croit
se deshonorer en se mesalliant, & un Seigneur
sur une carte. On pend un voleur, & on couronne un conquerant. On
croit
un Dieu & on l’offense ; on croit un enfer &a
; on couronne un conquerant. On croit un Dieu & on l’offense ; on
croit
un enfer & on s’y expose. Salomon idolâtre, D
Moliere, fait rire, ou plutôt fait pitié ; on plaint l’aveugle qui le
croit
ou l’avance, & le public qui est la victime d
mais elle mit sa gloire à réfuser ce que Louis XIV avoit exigé, elle
crut
qu’il y avoit peu d’honneur à humilier les foible
aircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. J E ne sçaurais
croire
que notre Opéra-ait été inconnu des Anciens. Tout
ancienne les masques & les bouffonneries. Ce Sannyrion vivait, je
crois
, cent ans auparavant Aristote, qui florissait 384
de la Tragédie des Grecs. Aristote en a dit quelque chose. Le
croirait
-on ? Il en est question dans la Poétique d’Aristo
rait-on ? Il en est question dans la Poétique d’Aristote ; il est, je
crois
, le prémier qui en ait parlé. Ce Philosophe sembl
tacle cessera donc d’en être un, si les Auteurs ne s’obstinent plus à
croire
qu’on ne peut attirer les François au Spectacle,
il faut qu’il consacre ses veilles pour un objet aussi important ; je
crois
même qu’avec beaucoup d’art & de ménagement,
e jadis la Comédie de l’Imposteur de Moliere, par la rage de ceux qui
crurent
se reconnoître dans le portrait que ce célebre Au
ulement reconnoître à des signes différens de ceux d’autrefois. Je ne
crois
pas qu’on me fasse un crime de la liberté que je
atteint le degré de perfection ; mais si son but est d’instruire, je
crois
avoir démontré qu’elle n’a pas suivi le chemin qu
édilection, lui qui haissait tout le genre humain. Voilà, à ce que je
crois
, la correction et l’instruction que l’on doit che
lques expressions, qui ont grand besoin d’examen et de correction, je
crois
que la Comédie du Misanthrope mérite d’être conse
ue non content de m’en faire un modèle pour mon usage particulier, je
crus
devoir communiquer au Public mes réfléxions pour
de quelques-unes des imitations de Molière, elles feront, à ce que je
crois
, sentir la vérité de ce que j’avance. La Comédie
; car s’il dit vrai, il a certainement grand tort : j’aime donc mieux
croire
qu’il connaissait fort bien tout le mérite de sa
randes beautés, irait-on quarante fois à la même Pièce ? Me fera-t-on
croire
qu’on aille rire si long-tems à des ouvrages qui
le changement continue notre Aristarque ; dégoûté de la Comédie qu’on
croit
n’avoir plus rien à peindre, & des Tragédiés
tre Théâtre n’était point encore arrivé au point de la perfection. Le
croirions
-nous ? Corneille, le grand Corneille a prophétisé
je veux dire à la plus-part de ceux qui fréquentent les Théâtres ? Je
crois
avoir déja prouvé que ses adversaires étaient san
it une gloire de voir leurs ouvrages goûtés par les ignorans ? Ils ne
croyaient
leurs productions sans déffauts que lorsque des g
lui du Vaudeville. Ce Sage caressé des Muses & des gens vertueux,
crut
autant s’immortaliser en fesant une espèce d’Opér
mouvoir au son de leurs violons tout un Peuple éclairé ; ils lui font
croire
qu’il vient entendre une Pièce de Théâtre, tandis
prétendent l’accabler par de fortes raisons, tandis que ses partisans
croient
que tout doit se réunir en sa faveur : au milieu
Scène. S’ils sont entrés dans un semblable détail, c’est qu’ils l’on
cru
nécessaire ; & c’est avec raison. Trop d’A
yeux doivent s’arrêter ; il le parcourt d’un œil inquiet : lorsqu’il
croit
avoir trouvé l’objet sur lequel il peut se fixer,
amp; faire agir dans une Scène tant d’Acteurs que l’on voudra28. » Je
crois
pourtant qu’on aurait tort de prendre ses paroles
suite de la promptitude avec laquelle les Ouvriers ont travaillé, je
crois
pourtant qu’elles y sont assez rares ; et; j’ai f
mêler des Dissertations de Dogme à l’examen des piéces de Théatre, je
crois
avoir eu raison. Au surplus, quand je dis qu’il
de Religion Chrétienne en abolissant la Foi. Quand un homme ne peut
croire
ce qu’il trouve absurde, ce n’est pas sa faute, c
endrois de bon cœur de cette frequentation ; mais si je le fais on en
croira
du mal, j’en seray deshonoré, ou je seray cause q
e cette personne le sera ? Le Confesseur leur pourroit dire : Ou l’on
croit
qu’il y a déja du mal, ou l’on ne le croit pas :
ur pourroit dire : Ou l’on croit qu’il y a déja du mal, ou l’on ne le
croit
pas : si on le croid, il y a moins de scandale à
on : de plus que quand on remarqueroit qu’il ne communie pas, on peut
croire
que son Confesseur luy a differé le devoir du tem
precipiter l’absolution qu’à la differer, lorsqu’on n’a pas sujet de
croire
que le penitent soit assez bien disposé pour la r
nimez d’un amour & d’un zele tres ardent pour les ames, n’ont pas
cru
que cette consideration, qu’un penitent pourroit
nt qui ne s’accuse que de fautes fort légeres, & qu’il a sujet de
croire
qu’il est coupable de beaucoup d’autres pechez pl
es que particulieres, luy marquant les principaux defauts desquels il
croiroit
qu’il pourroit estre coupable, & l’avertir de
ur les pechez qui leur sont cachez. Mais pour l’ordinaire il les doit
croire
dans l’accusation qu’ils font de leurs fautes ; p
est qu’il m’a paru que je pouvais entreprendre de les justifier. J’ai
cru
même qu’il était absolument nécessaire qu’ils fus
ois beaucoup arrêté à ce qui distinguera davantage mon travail ? J’ai
cru
ne devoir pas craindre les longueurs, quand il s’
ndir particulièrement tout ce qui concerne le nouveau Spectacle, j’ai
cru
que je devais insérer les louanges qu’on lui prod
ment particulier, duquel on ne s’écarte presque jamais parce qu’on le
croit
le meilleur, je dois m’attendre que les raisons q
-t-il qu’à décrier les plus gens de bien par vos fictions Poétiques ?
Croyez
-vous qu’un Ballet profane et follement idolâtre s
est apparemment ce qui l’a fait le plus connaître à Rome. Car on peut
croire
que l’estime que tous les gens de bien font de ce
le de la bonne conscience reconnue par les Païens mêmes qui n’ont pas
cru
qu’il fut permis de faire une chose que l’on dout
s vertus dansantes s’en réjouissent chez vous. Mais on a tout lieu de
croire
que ceux qui n’en connaissent que de plus sérieus
rie et des sentiments de courage, de justice, et de bienfaisance ; je
crois
de même que dans leurs pièces comiques ils peuven
eux-mêmes, et leurs ouvrages vers la plus grande utilité publique, je
crois
qu’il est avantageux, 1°. Que le Conseil établiss
rreur. Tout le monde sait ce que c’est que Médée ; cependant un Poète
croit
bien employer son esprit en lui faisant dire : «
a roue, pour l’infâme Catilina détesté de tous les bons citoyens ? Je
crois
même qu’ils eussent aperçu et qu’ils eussent cond
nce sont dans la bouche de gens d’ailleurs odieux et méprisables ; je
crois
qu’ils auraient remarqué et blâmé des sentiments
tations comme Censeurs publics. A l’égard du spectacle de l’Opéra, je
crois
qu’il n’est pas impossible d’en faire peu à peu q
e. C’est cet espoir qui me fait te présenter cette Brochure. J’aurais
cru
manquer à ce que je me dois, & aux personnes
i la nature, seul organe que je consulte, & que je fais vanité de
croire
, crie au fond de mon ame que le mépris est le par
n’est point là mon caractère : non, Messieurs, & vous pouvez m’en
croire
. Une Dame respectable, dont l’amitié m’honore, me
les prévoir. Il y a de la témérité, de l'orgueil et de l'impiété à se
croire
capable de résister sans la grâce aux tentations
contre dans la Comédie ; et il y a de la présomption et de la folie à
croire
que Dieu nous délivrera toujours par sa grâce d'u
les prévoir. Il y a de la témérité, de l'orgueil et de l'impiété à se
croire
capable de résister sans la grâce aux tentations
encontre dans la Comédie et il y a de la présomption et de la folie à
croire
que Dieu nous délivrera toujours par sa grâce d'u
n, que les nouvelles Observations n’opéreront sa décharge : mais j’ai
cru
qu’il était essentiel de détromper ceux qu’elles
pule, et qu’on nous les procurât sans rougir. Mais j’ai de la peine à
croire
ce que nous dit un célèbre Rhéteur1, qu’on pourra
a matière, et les mettre en état d’en porter un jugement solide, on a
cru
à propos d’ajouter à la fin de ce petit ouvrage u
’elles auront trouvé de juste dans la cause des Comédiens. Mais on ne
croit
pas que ses instances aient beaucoup de succès, n
se déguise avec tant d’art, qu’on le prend pour la vertu ; souvent il
croit
se rendre ridicule, il se rend aimable ; et toujo
la fourberie, l’avarice, la vanité, et choses semblables, on ne peut
croire
que le Comique leur ait fait beaucoup de mal. » I
n mauvais livre, Ce n’est qu’aux malheureux qui composent pour vivre.
Croyez
-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au Public
; Et l’on ne donne emploi, charge, ni bénéfice Qu’à tout ce qu’il se
croit
on ne fasse injustice. Clitandre. Mais le jeu
icules, dont la plupart même sont si outrés, que personne au monde ne
croira
les avoir à ce point-là ; et quand par hasard que
droitement le péril, ennoblissant autant qu’il peut le sujet ; car on
croit
que c’est de cette Comédie dont il a entendu parl
Telle est la Comédie dont on parle. A l’analyse qu’en fait M.F. on ne
croirait
pas, si on ne la connaissait, que sous le vain pr
llèle avec les prédications les plus saintes et les plus éloquentes ?
Croit
-on nous persuader que s’il est des jeunes gens es
ance des personnes chargées de leur conduite. N’ont-elles pas lieu de
croire
, que ce qui arrive sur le Théâtre, arrivera pour
d’un règlement, qui au fond n’a rien d’impossible ni de bizarre, il a
cru
qu’il aurait plutôt fait, pour en dégoûter les ge
ignore la circonstance qui occasionna celui-ci, dans lequel l’Orateur
crut
pouvoir risquer un parallèle qui ne tirait point
délibératif vis-à-vis de M. de la Chaussée, en disant seulement qu’il
croyait
qu’il lui « semblait par le bien qu’il avait ente
asion qu’on pourrait dire justement, que beaucoup de préjugés dont on
croyait
ne jamais revenir, ont néanmoins été détruits par
me ; si l’on veut, dis-je, entrer dans l’esprit de ses réflexions, je
crois
que dans le chaos qu’il n’a pas voulu nous débrou
entrevoir quelque lueur du plan dont on donne ici une idée ; il faut
croire
qu’il l’avait en vue, quand il a dit qu’il était
le capable de former les mœurs. On a d’autant plus de raisons pour le
croire
, qu’il soutient que la scène est actuellement dép
d’avoir outré la matière : mais puisque l’occasion s’en présente, on
croit
devoir le justifier un peu aux yeux de ceux qui n
rentes à la thèse ; mais on se fait une espèce de scrupule de laisser
croire
à M.F. qu’elles ont persuadé, et que l’on ne peut
Térence. L’on ne pense pas que personne fasse à ce Saint l’injure de
croire
qu’il aura précisément choisi, pour s’amuser, les
es embrasse que pour lui montrer qu’il en avait plus d’une raison. On
croit
encore, sans trancher du Théologien, pouvoir lui
. Cependant, sans attaquer aucuneso de nos Comédiennes, que l’on veut
croire
très sages, il est vrai de dire que ces sortes de
lté qu’il y trouve, M.F. a voulu un peu justifier cette morale. Il ne
croit
pas qu’il y ait au monde une personne assez simpl
dans ce genre ; mais comme il n’a point approfondi la matière, on ne
croit
pas à propos non plus de l’approfondir. Voilà à p
as que celui qui tenoit la plume fasse plus de grace à la scene. Il a
cru
sans doute que le réquisitoire étoit un préservat
li, les obscénités plus voilées, les termes des halles plus rares. Je
crois
la différence légère ; mais ce n’est pas à Molier
e, plus il court lestement à l’ennemi. Pour le goût de la comédie, je
crois
sans peine que Moliere l’a épuré. Ses pieces de c
t embarrassé du poids de son humiliation ; il a au contraire toujours
cru
se profession très-noble. Il se mit au sortir du
eur à leur Auteur ! S. Foix, Essais sur Paris, Tom. 4. a bien dit. Je
croirai
la décadence de notre nation prochaine, si les ho
uarante ans pour en douter, & en avoir passé quatre-vingt pour le
croire
. Que restera-t-il donc à Moliere, qui dans son g
t jusqualors, il eût cessé de l’être, dès qu’il eut la présomption de
croire
que Dieu ait voulu se servir de lui pour corriger
e tous les Prédicateurs ensemble. Il faut une étrange prévention pour
croire
que les vices qu’il a corrigés fussent autre chos
l’avarice, la vanité, & autres crimes semblables, il ne faut pas
croire
qu’elles leur ayent fait grand mal. Au contraire
est un esprit fort qui se joue de tout, un homme sans religion qui ne
croit
rien, qui ne respecte rien, qui affiche, s’il l’o
u beau titre de réformatrices. Il est des gens de mauvaise humeur qui
croient
bien plus rare la sainteté théatrale. Réflexions
défendu aux Ecclésiastiques, on a vu des Prélats le tolérer, ils s’y
croyaient
obligés, on en a vu l’aimer et le fréquenter. Ce
it pas : il voulut y joindre celle de faire des comédies. Et qu’on ne
croie
pas qu’il s’en tint là ; en même temps qu’il fais
y pouvoir recueillir des traits pour lui et pour ses Poètes gagés. Il
crut
que cette découverte et cette collection honorera
mille écus à M. le Gay pour se faire céder la Polyglotte, et laisser
croire
qu’il en était l’Auteur ; ce que Corneille refusa
silence pour faire entendre des endroits encore plus beaux. » Qui ne
croirait
qu’une pièce pour qui un premier Ministre n’éparg
ès qu’il paraîtrait quelque chose sur le théâtre, le moindre Poète se
croirait
en droit de faire un procès à l’Auteur devant son
issaires pour polir et retoucher l’ouvrage, on le lut et relut, et on
crut
pouvoir le donner à l’Imprimeur. Le Cardinal étai
e, parce qu’on y relève avec justice tous les défauts du Cid. Scudéry
crut
sa cause gagnée, et remercia les Juges. Corneille
rsuader que la faiblesse d’un homme si célèbre pût aller si loin, ont
cru
qu’il n’agissait que par politique, et il est vra
ts, il agissait d’autant plus sûrement qu’on se défiait moins ; on le
croyait
occupé d’une représentation pour laquelle on le v
agité des guerres civiles du Calvinisme, de la Ligue, etc. Richelieu
crut
que le moyen de calmer les esprits, de se rendre
e crime ils calomnieront l’innocence de cette condition. Mais il faut
croire
qu’ayant ce grand esprit que vous avez déjà remar
lgaire qui juge d’ordinaire des choses comme un aveugle des couleurs,
croit
beaucoup plus à l’opinion qu’à la raison ; d’où i
emblent avoir été un peu sévères à ceux qui exercent cet art, il faut
croire
que ces lois en ont voulu condamner l’abus et non
iques qui bâtissaient des lois pour conserver leur République, que de
croire
qu’ils eussent voulu flétrir d’aucune note d’infa
envoyé à aucune personne pour se faire payer ? Pour les Dames, on ne
croit
pas qu’elles se puissent plaindre, puisque la Com
ableau ? Et GUILLOT-GORJU s’en rapporte à ses critiques, savoir s’ils
croiraient
à la foi de Gros-Guillaume lorsqu’il s’excuserait
l se fait du bruit, pour preuve de ceci c’est que si vous les vouliez
croire
jamais vous n’y ameneriez vos laquais, et jamais
été humaine roulent sur deux pivots que la bonne politique a toujours
cru
de son devoir et de son intérêt de maintenir et d
et interprètes des lois, vont sans scrupule à la comédie ; ils ne les
croient
donc pas si sévères, et sans doute vous en outrez
beaucoup moins répandu et fréquenté qu’en France, où chaque bourgade
croit
du bel air de jouer la comédie, sans penser qu’el
ravage. On mutile souvent en Italie les Chantres de l’Opéra, Voltaire
croit
-il que ce soit un exemple à suivre ? Les ouvrages
’hui purifie l’amour sensuel, en le faisant aboutir au mariage. Je
crois
qu’il est assez démontré, que la représentation d
, et qui n’en est que plus périlleuse lorsqu’elle paraît plus épurée.
Croyez
-vous en vérité, que la subtile contagion d’un mal
des choses auxquelles il serait bon de ne penser pas. Mais puisqu’on
croit
tout sauver par l’honnêteté nuptiale, il faut dir
amnent hautement.) « Ils ne sentent rien, disent-ils, et on peut les
croire
sur parole. Ils n’ont garde de sentir le poids de
Bossuet, (Réflexions sur la comédie.) Quand on s’abuserait assez pour
croire
qu’on n’a rien à craindre des impressions du théâ
r apprendre d’elles ce qu’il ne faudrait jamais savoir ? Vous ne vous
croiriez
pas innocens, dit l’évêque d’Arras, si vous fourn
ature impudique les moyens d’entretenir son mauvais commerce, et vous
croiriez
l’être en donnant lieu, solidairement avec les au
l l’exhorte à fuir le théâtre, qu’il avait abandonné avec repentir. «
Croyez
-moi, mon fils, lui écrit-il, quand vous saurez pa
nts, on sait maintenant ce qu’il faut penser de ces confesseurs. Nous
croyons
avoir fait sentir assez que le spectacle produit
u’on vous a inspiré de vains scrupules, qu’aujourd’hui les enfants se
croient
plus sages que leurs parents et veulent se condui
-C. dans votre cœur par la grâce. Or, je vous le demande, pouvez-vous
croire
que J.-C., vous suive à ces spectacles profanes,
ive à ces spectacles profanes, condamnés par son Église ? Pouvez-vous
croire
que J.-C. vienne s’asseoir dans ces lieux, où Sat
angile sont contredites, méprisées et foulées aux pieds ! Pouvez-vous
croire
enfin que J.-C. y vienne entendre ces chants lasc
ts impudiques si opposés à la sainteté de sa morale ? Ah ! vous ne le
croyez
pas, la seule idée vous fait frémir. J.-C. s’éloi
ils la connaissent tôt au tard ? C’est ce que je suis très-éloigné de
croire
. On doit toujours ignorer le libertinage. D’aille
i prouver par vos bons procédés, et puis observez-la silencieusement,
croyez
à son innocence jusqu’à ce que vous ayiez acquis
ux ; parce que vous n’en aurez aucune apparence. Voilà à peu près, je
crois
, comment on doit se comporter dans ces diverses c
besoin d’affecter aussi et qu’il affectait également, persistaient à
croire
que cette satire, qui ne regardait que les hypocr
les plus honteuses sous les traits sacrés de la vertu qu’enfin on ne
croit
plus voir nulle part qu’en apparence, que l’on mé
orce pour nous dire une chose que nous ne devons pas avoir de peine à
croire
, pour nous montrer qu’un petit particulier, clerc
uiller les passants, se cachent aussi derrière les temples, quand ils
croient
y être plus avantageusement placés ; or, l’on n’a
ancienne qu’elle a pris, pour beaucoup de monde, nature de vérité, je
crois
ne pouvoir trop multiplier les raisons qui peuven
ésiré, non pas de le proscrire, comme il y en a qui le prétendent, je
crois
cela aussi difficile à présent que de faire recul
n et l’autorité de nos rois n’ont cessé de protéger et d’honorer ; je
crois
satisfaire au vœu du public en fournissant, sur c
mon cœur avoir atteint le but que je me suis proposé, et vous prie de
croire
aux sentiments d’estime et d’affection que vos ta
sans connaître, il prend son ton moqueur, et répond ainsi à ceux qui
croient
que la Comédie est mauvaise, parce qu’elle est dé
éfendue dans les saintes Ecritures. « Jusqu’à présent, je l’avoue, je
croyais
qu’on défendait les choses parce qu'elles étaient
s. Ibid. » Ainsi, selon ce nouveau Docteur, il n’est pas à propos de
croire
qu’une chose est mauvaise, quoique l’Ecriture la
stinien. » Ce n’est pas ce qui embarrasse le Révérend Père ; et je ne
crois
pas que qui que ce soit s’en embarrasse beaucoup.
sard ? Ou parce que des Abbés, des Prêtres, des Evêques, s’il en faut
croire
le Théologien, jouent aux cartes et aux dés malgr
en à lui dire puisqu’il en est si content : mais il voudra bien qu’on
croie
toujours qu’il est rare d’avoir des sentiments de
naîtront de là ne seront pas importuns. Où sont ces âmes faibles qui
croient
toujours du mal où il n’y en a pas ? Qu’elles vie
son « qu’ils ne perdent point la gravité de l’âme ». Notre Théologien
croit
sans doute parler à des gens de l’autre Monde. Ma
de plus il connaît si bien comment nous sommes faits, qu’il faut l’en
croire
sur sa parole. Le Théologien achève, en faisant l
a, ou à la Comédie pour se délasser l’espritPage 55.. Si on l’en veut
croire
, on imite en cela même le Créateur, qui après avo
ceur de l’opinion, mais uniquement à la vérité Page 61. ». Il le faut
croire
puisqu’il jure. Mais il est fâcheux que pour avoi
oint regarder comme Casuiste ni relâché, ni sévère, ni modéré ; et de
croire
ou ne croire pas « trahir la vérité », ni « bless
comme Casuiste ni relâché, ni sévère, ni modéré ; et de croire ou ne
croire
pas « trahir la vérité », ni « blesser » personne
s de mauvaise humeur, & lui ont fait lancer des sarcasmes qu’il a
cru
de bons mots ; mais un historien est plus croyabl
ialité les événemens & les hommes dans une balance équitable. Qui
croira-t
-on si on ne croit pas un Historiographe en titre,
& les hommes dans une balance équitable. Qui croira-t-on si on ne
croit
pas un Historiographe en titre, nommé & payé
istoriographe en titre, nommé & payé pour dire la vérité ? Qui le
croiroit
? Cependant ces histoires même n’épargnent pas pl
’usage extravagant dura plusieurs siécles. Au détail de ces usages on
croit
voir le portrait des Negres, ou des Hottentots, &
e d’exécutions de sorciers, que le zèle peu éclairé des Magistrats se
crut
obligé de faire, qui ne servit qu’à donner un air
’étoit pas bel homme, il étoit alors vieux & cassé, Louis XIII se
crut
toujours le véritable pere du Prince qui lui succ
e de femme ; on y mêle une foule de circonstances romanesques ; on le
croit
sur la foi d’une tragedie, & d’un roman. La p
taire qui en a souvent prononcé d’un aussi grand poids, a su se faire
croire
de ses partisans, fait lui-même fort peu de cas d
n sent qu’il est indigne d’un Prince chrétien & raisonnable. On a
cru
voir un air de bon mot & de gentillesse, dans
répandre, on y a trouvé de quoi satisfaire son irréligion. Voltaire a
cru
embellir son livre en le rapportant, & l’a do
té de Protecteur ; il fut d’abord en purgatoire, qu’il n’avoit jamais
cru
, & ensuite dans le Ciel, dont il ne s’étoit g
l y a de plus grand. Elle a dû plaîre aux Ecrivains philosophes ; ils
croient
ne pouvoir mieux louer un Roi, un Héros, qu’en di
son maître. Dans quelque obscurité, &c. Cette idée est burlesque.
Croit
-on que si Louis XIV étoit né fils de berger dans
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