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1 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXIII.  » p. 493
XXXIII. La véritable piété ne peut subsister sans une crainte salutaire, que l'âme conçoit à la vue des dangers
fficile, que de se sauver. Comment pourrait-elle donc allier avec une crainte si juste de maux effroyables qui la menacent les
visible que comme l'effet naturel de la Comédie est d'étouffer cette crainte si salutaire; aussi l'effet de cette crainte doit
die est d'étouffer cette crainte si salutaire; aussi l'effet de cette crainte doit être d'étouffer le désir des divertissements
2 (1675) Traité de la comédie « XXXIII.  » pp. 328-329
L'âme ne saurait conserver une véritable piété sans le secours d'une crainte salutaire, qu'elle conçoit à la vue des dangers d
ifficile que de se sauver. Comment pourrait-elle donc allier avec une crainte si juste des maux effroyables qui la menacent, le
visible que comme l'effet naturel de la Comédie est d'étouffer cette crainte si salutaire, aussi l'effet de cette crainte doit
die est d'étouffer cette crainte si salutaire, aussi l'effet de cette crainte doit être d'étouffer le désir d'un divertissement
3 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
nomie de son ame soit en garde contre elle, & ne l’écoute qu’avec crainte . G. J’en tombe d’accord. S. Car c’est un grand co
âcher de développer. §. I. Aristote exhorte les Poëtes à exciter la Crainte & la Pitié, qui sont, selon lui, les deux Pas
Terreur est un trouble de l’ame très différent de celui que cause la Crainte , & Φόβος ne signifie que Crainte. L’Auteur de
différent de celui que cause la Crainte, & Φόβος ne signifie que Crainte . L’Auteur de l’Argument qui est à la tête de l’Ag
terrore. Un Commentateur Espagnol se fert du mot miedo, qui veut dire Crainte  : enfin Corneille dans son Discours sur la Tragéd
qui en sont l’ame, suivant Aristote, nomme toujours la Pitié & la Crainte . Athalie inspire ces deux Passions, & non pas
fit par conséquent qu’elle excite en moi cette émotion que causent la Crainte & la Pitié. Ces deux Passions sont donc essen
essentielle, & voici mon sentiment. Une Piéce qui n’excite ni la Crainte ni la Pitié, mais seulement l’Admiration, comme C
, être appellée Tragédie. Une Piéce qui n’excite que la Pitié sans la Crainte , comme Bérénice, est une Tragédie imparfaite. Une
e Bérénice, est une Tragédie imparfaite. Une Piéce ne peut exciter la Crainte sans la Pitié, puisqu’on ne craint que pour ce qu
on plaint, sans cela je dirois de même qu’une Piéce qui exciteroit la Crainte sans la Pitié, seroit une Tragédie imparfaite. Un
ans la Pitié, seroit une Tragédie imparfaite. Une Piéce qui excite la Crainte & la Pitié, comme Athalie, Iphigénie & ta
e &] d’agréable aux hommes, mais cela ne peut exciter ni Pitié ni Crainte , car on n’a pitié que d’un malheureux qui ne méri
Il se contente de dire qu’il n’est point agréable, & n’excite ni Crainte , ni Pitié ; & j’observe que le mot a été ici
ni Crainte, ni Pitié ; & j’observe que le mot a été ici rendu par Crainte , le Traducteur n’ayant pu se servir du mot Terreu
ristote pour prouver qu’un méchant qui devient malheureux n’excite ni Crainte ni Pitié : sa Réflexion est véritable ; mais ne d
est parfaite, puisque les Passions essentielles à la Tragédie sont la Crainte & la Pitié, qu’elle excite jusqu’à la fin. No
raconter la maniere dont il a été arraché au couteau d’Athalie. Notre Crainte & notre Pitié augmentent pour lui quand nous
au qui cachoit l’Enfant qu’elle cherche pour le faire périr. Ainsi la Crainte & la Pitié vont toujours en croissant jusqu’a
, puisque mettant son bonheur dans ses souffrances, il n’excite ni la Crainte , ni la Pitié ; mais seulement l’Admiration. Pourq
orance. §. II. Aristote a-t-il pu penser que la Tragédie excite la Crainte & la Pitié pour purger ces deux Passions ?
, & ce mot est inintelligible. Il dit que la Tragédie excitant la Crainte & la Pitié, opere la purgation de Passions se
mme peut-il être trop compatissant ? S’il s’agit d’exciter en lui une Crainte & une Pitié conforme à la Raison, quelle Trag
lheur, où nous voyons, dit-il, tomber nos semblables, nous porte à la crainte d’un pareil pour nous, cette crainte au desir de
nos semblables, nous porte à la crainte d’un pareil pour nous, cette crainte au desir de l’éviter, & ce desir à purger, mo
Passions qu’elle excite. Suivant le P. Brumoy la Tragédie corrige la Crainte par la Crainte, & la Pitié par la Pitié, en n
le excite. Suivant le P. Brumoy la Tragédie corrige la Crainte par la Crainte , & la Pitié par la Pitié, en nous apprivoisan
e trouble, elle guérit le mal qu’elle a fait : en excitant en nous la Crainte & la Pitié, elle parvient à purger ces Passio
ture, le premier cri du cœur que revolte l’horreur du crime, & la crainte de ses suites funestes. La Nature nous a donné un
ne qualité du cœur si excellente ? La pitié que nous inspire Joas, la crainte ou nous sommes qu’il ne soit la victime des Mécha
Ciceron, tous les autres Amours. Vouloir purger du cœur des hommes la Crainte & la Pitié, c’est vouloir émousser les deux é
la suppression de ce seul mot rend la lumiere. La Tragédie excite la crainte & la pitié, pour purger en nous toutes nos Pa
-on, une trop grande vivacité aux Passions. A quelles Passions ? A la Crainte , & à la Pitié. Un Poëme dont l’objet est de r
4 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
e toute sorte de tourments, de menaces et de supplices, regarder sans crainte le visage de ses bourreaux, se jeter hardiment au
; Et combien y en a-t-il parmi nous, qui sans donner aucune marque de crainte , ont vu brûler tous leurs membres pouvant se déli
t à un songe qui s’écoule en un instant. Les Rois reçoivent autant de crainte qu’ils en donnent, et quoique une grande foule le
e vin dont on a fait des effusions ; ce n’est pas une preuve de notre crainte , mais un témoignage de notre liberté. Car quoique
5 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
s la plus parfaite. Athalie nous coute des larmes, nous tient dans la Crainte & dans la Pitié, & en même tems dans l’ad
e même, attentif à l’Action, s’attendrir, pleurer, & être dans la crainte jusqu’à la Catastrophe. Elle confirme donc tout c
ur du crime & l’amour de la vertu, elle peut être lûe sans aucune crainte par un homme même qui penseroit comme Socrate [p.
t toujours être en garde contre la Poësie, & ne l’écouter qu’avec crainte , s’il veut conserver l’œconomie de son ame. C’es
6 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
agédie consistant, comme elle faisait, aux mouvements excessifs de la Crainte et de la Pitié h, n’était-ce pas faire du Théâtre
pitié pour un misérable : et afin de mieux imprimer les sentiments de crainte et d’affliction aux Spectateurs, il y avait toujo
ns nos représentations que dans celles de l’Antiquité ; puisque notre crainte ne va jamais à cette superstitieuse terreur, qui
terreur, qui produisait de si méchants effets pour le courage. Notre crainte n’est le plus souvent qu’une agréable inquiétude
hant usage de cette belle passion, qu’en ont fait des Anciens de leur crainte et de leur pitié : car, à la réserve de huit ou d
éables sentiments d’amour et d’admiration, discrètement ajoutés à une crainte et à une pitié rectifiées, on arrivera chez nous
7 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madame de Nemours  » pp. -
pour les rendre offrande pure et digne de l’Autel ; le respect et la crainte m’en eussent retenuea, sans l’assurance que j’ai
ante, M. D. B. a. [NDE] Le texte original est : « le respect et la crainte m’en ont retenue » ; la main d’un lecteur a corri
8 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TABLE DES CHAPITRES. » pp. 3-4
excite les Passions. §. I. Aristote exhorte les Poëtes à exciter la Crainte & la Pitié qui sont, selon lui, les deux Pass
Tragédie. §. II. Aristote a-t-il pu penser que la Tragédie excite la Crainte & la Pitié, pour purger ces deux Passions ?
9 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVIII. Sentiment d’Aristote.  » pp. 66-68
as, de purifier les passions en les excitant (du moins la pitié et la crainte ) il ne laisse pas de trouver dans le théâtre quel
nt : quel fruit après tout, peut-on se promettre de la pitié ou de la crainte qu’on inspire pour les malheurs des héros ; si ce
10 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
s, si elles étaient corrigées ; enfin celles que je rejette. Mais, de crainte d’ennuyer par un détail trop long, car je crois q
J’ai pensé moi-même comme les autres, pendant un temps ; et, dans la crainte qu’on ne m’accusât de présomption en combattant l
tenir cette conduite, c’était le désir d’éviter la singularité, et la crainte d’être le seul de notre siècle qui osât opposer u
11 (1641) Déclaration du roi
etrancher tous les dérèglements par lesquels il peut être offensé. La crainte que nous avons que les Comédies qui se représente
es de leur devoir aux représentations publiques qu’ils seront, que la crainte des peines qui leur seraient inévitables, s’ils c
12 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
culis, c. 2.), plusieurs refusaient de se faire chrétiens, plutôt par crainte d’être privés de ces passe-temps, que par crainte
rétiens, plutôt par crainte d’être privés de ces passe-temps, que par crainte du martyre. En second lieu, c’est entreprendre l
13 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
V. AVIS. Touchant les Comédies. Si la crainte de faire naître dans le cœur de vos enfants des p
es éloigner de ces assemblées dont nous venons de parler ; cette même crainte vous engage indispensablement à ne jamais permett
d’un Chrétien : Que ce qui fait qu’ils ont tant de défenseurs, est la crainte que l’homme a qu’on ne diminue le nombre de ses p
vait osé attaquer une Chrétienne, il répondit qu’il l’avait fait sans crainte , parce qu’il l’avait trouvée dans un lieu qui lui
être ferme, et ne vous point éloigner de cette discipline et de cette crainte du Seigneur, dans laquelle Saint Paul vous ordonn
14 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
e s’imagine mille pretextes pour appuyer son droit, & que dans la crainte d’être privée de ce qui la flate, elle vient enfi
que l’on en voyoit presque plus s’éloigner de nôtre sainte Foi par la crainte d’être privez de ces divertissemens qu’elle conda
te d’être privez de ces divertissemens qu’elle condamnoit, que par la crainte du Martyre, & de la mort, dont les tyrans les
15 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien quatrieme. Sur la vanité & le danger des Bals, & des Danses en particulier, Tiré de la Bibliotheque des Predicateurs, composé par le Reverend Pere Vincent Houdry de la Compagnie de Jesus. » pp. 57-66
ropres à donner entré au peché, c’est qu’on est sans experience, sans crainte , sans défiance, sans preservatifs ; faute d’exper
faute d’experience tout plaît, tout touche, toute attache : faute de crainte on ne sçait ce que c’est que de se menager, que d
nde, qui n’a pas encore étouffé tous les sentimens de pieté, & de crainte des jugemens de Dieu, mais qui a peine a souffrir
16 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
vous viviez dans le libre exercice de vos erreurs, osiez-vous, ou par crainte , ou par conscience approcher de ces spectacles qu
rs Frères, qu’il est bon d’amuser et d’étourdir, pour ainsi dire, les craintes et les inquiétudes des peuples, et de leur mettre
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
toujours agir tant que l’action dure ; mais aux Spectateurs, dans la crainte que leur attention ne se fatiguât, si elle était
Ce nouvel Acte serait d’ailleurs susceptible de grandes beautés. Les craintes & les transports de Rodrigue éclateraient ; c
ens forcés, qui laissent après eux bien des choses à deviner. Dans la crainte que les Drames ne devinssent à la fin d’une longu
18 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
ubsistait encore, n’y en aurait-il point aujourd’hui plusieurs que la crainte de ce châtiment obligerait de renoncer au mariage
it fait un Édit touchant la réconciliation extérieure des ennemis, la crainte d’une taxe, ferait ce que ne fait pas la crainte
eure des ennemis, la crainte d’une taxe, ferait ce que ne fait pas la crainte de l’Enfer ; et que César serait mieux obéi que J
19 (1691) Nouveaux essais de morale « [FRONTISPICE] »
astete du style et du langagel'antipathie et la bizarrerieles duelsla crainte du tonnerre Et sur ces paroles Proverbiales il
20 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
isqu’elle éclaire d’avance ceux qui la redoutent ? C’est souvent à la crainte de mal-faire que tel Auteur doit ses succès. En é
tout ce qui déplaira dans mon Livre, ou si je voulais même calmer les craintes que la raison, ou trop de délicatesse, fait éprou
21 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [C] » pp. 391-398
e sa propre faiblesse, à la vue d’un grand danger : elle est entre la crainte & le desespoir. La crainte nous laisse entrev
d’un grand danger : elle est entre la crainte & le desespoir. La crainte nous laisse entrevoir, au moins confusément, des
lles que sont l’amour, l’amour de la partie, l’amour de la gloire, la crainte du deshonneur, serait aussi vicieuse qu’une Tragé
22 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
vous viviez dans le libre exercice de vos erreurs, osiez-vous, ou par crainte , ou par conscience, approcher de ces spectacles q
rs Frères, qu’il est bon d’amuser et d’étourdir, pour ainsi dire, les craintes et les inquiétudes des peuples, et de leur mettre
23 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84
’après nature (Serm. du Luxe) : Des femmes lascives, qui ont perdu la crainte de Dieu & secoué le joug de Jesus-Christ, ne
ce est le fruit de sa victoire, & lui en prépare mille autres. La crainte de Dieu, commencement de la sagesse, est insépara
Ce n’est pas moins pour lui que pour les hommes. La modestie est une crainte religieuse des moindres choses qui peuvent blesse
use des moindres choses qui peuvent blesser ou exposer la pureté : la crainte de Dieu est une sorte de modestie qui s’observe s
bserve sur tout ce qui peut lui déplaire. Rien de plus modeste que la crainte , de plus timide que la modestie : rien au contrai
ame se montre toute entiere sur ce miroir ; elle inspire l’estime, la crainte , le respect ; elle édifie, elle gagne, arrête, re
24 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
de la mort. Les désordres infinis du clergé de France excitèrent les craintes de la nation et du roi Henri III, aux états de Bl
onc nécessaire de vous soumettre aux puissances, non seulement par la crainte du châtiment, mais aussi par le devoir de la cons
25 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  résume général et comparatif du clergé de france.  » pp. 363-364
avant la révolution, à la somme de 121.235.496 f. ; on pourrait, sans crainte d’erreur, le porter à 135 millions, attendu qu’on
26 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 9
dit que plusieurs païens refusaient de se faire chrétiens, plutôt de crainte d’être privés de ces passe-temps que par appréhen
27 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
aura de sauvés qu’un petit nombre de gens qui operent leur salut avec crainte & en tremblant, on ne laisse pas de se calmer
Dieux d’or & d’argent, de pierre & de bois, pour donner de la crainte aux Nations ; donnés-vous bien de garde de vous l
hes & les grands se parent ; pour inspirer du respect & de la crainte aux petits : ces plaisirs que tout le monde se pe
28 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
rang, & il n’appelleroit point Tragédie, Cinna qui n’excite ni la Crainte ni la Pitié, & dont la Catastrophe est heureu
deux ont les mêmes Principes, & le même but, qui est d’exciter la Crainte & la Pitié : toutes les deux cependant ont un
ligation à celui qui nous y jette. Tant qu’il nous entretient dans la crainte & dans les larmes, nous n’examinons point si
29 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79
en fille de théatre : Le temps presse, il fait nuit ; allons sans crainte aucune, A la foi d’un amant commettre ma fortun
a même. Ce sont des tours que joue une sorte à un jaloux, qui dans la crainte des infidélités ordinaires à celles qui ont de l’
la main de mon père, toûjours soûmise a votre loi, pénétrée de votre crainte , jamais pour suivre mon inclination & mon amo
ns différentes, des engagemens pris ailleurs, mais seulement la juste crainte du malheur arrivé à tant d’autres. Son guide le r
rez de vos droits avec une intention pure & sainte, & dans la crainte du Seigneur, non par un mouvement de passion, mai
30 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
repos des Avettes, où il n’y a souillure, pollution, ni amertume : la crainte que mes paroles en apportent aux douceurs de vos
31 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
l'impureté pour ceux qui s'assemblent ce lieu infâme. Ceux qui ont la crainte du Seigneur, attendent le Dimanche pour offrir le
32 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
urs à la République. « Combien de scandales publics ne retient pas la crainte de ces sévères observatrices ! » Tout cela peut p
reur, toutes les faiblesses malheureuses y font naître la pitié et la crainte . Les sentiments qui de leur nature peuvent être d
ns l’ivresse. L’état honteux de ces esclaves inspirait aux enfants la crainte ou la pitié, ou l’une et l’autre en même temps ;
e qui excite en nous la pitié, nous dispose à la vengeance ; ainsi la crainte que nous inspirent les forfaits de l’ambition, le
lâches complots de l’envie, les projets sanglants de la haine, cette crainte , dis-je, est elle-même le germe des passions qui
s sûr de contenir une passion, que de lui opposer pour contrepoids la crainte des dangers et des remords qui l’accompagnent ? E
ur nous-mêmes, qui est le principe de la pitié, est aussi celui de la crainte . « La source de l’intérêt qui nous attache à ce q
’homme sa dépendance ; mais comme il en résulte plus d’horreur que de crainte des Dieux, je crois la morale de ces Tragédies pe
gédie allume en nous les mêmes passions dont elle prétend inspirer la crainte , et qu’elle nous conduit aux crimes dont elle veu
s : l’un, qu’au défaut de la vertu, le désir de l’estime publique, la crainte du blâme et du mépris, tiennent le vice comme à l
s de la nature tient sans cesse l’âme des spectateurs agitée entre la crainte et la pitié, sera donc ce qu’il lui plaira. Mais
nnent que plus séduisants ; en les gênant la pudeur les enflamme. Ses craintes , ses détours, ses réserves, ses timides aveux, sa
S’il est vrai que la pudeur qui inspire si bien l’amour, et dont les craintes , les détours, les réserves, les timides aveux, la
r de rencontrer une Zaïre. » Je le crois bien ; aussi n’est-ce pas la crainte d’aimer une Zaïre, mais la crainte de l’immoler d
crois bien ; aussi n’est-ce pas la crainte d’aimer une Zaïre, mais la crainte de l’immoler dans les accès d’une jalousie aveugl
re qu’on en fait sur la scène, n’inspire-t-il jamais la pitié sans la crainte  : voyez Hermione, Radamiste, Orosmane, etc. mais
’abuseront jamais de cet art pour séduire de jeunes personnes ; votre crainte peut être fondée, et je sens qu’un bon Comédien d
33 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
au contraire que les Poëtes excitent, le plus qu’il est possible, la Crainte & la Pitié, les deux Passions, selon lui, ess
34 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
Eux qui loin des témoins en des réduits cachés. S’abandonnaient sans crainte aux plus honteux péchés.  C’est ainsi, Grand Prél
35 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre V. Il n’est point de Drame sans Mœurs. » pp. 139-141
n d’un Opéra-Sérieux, ôtait bonnement son chapeau, & tremblait de crainte , à chaque éclair qu’il apperçevait, & au brui
36 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
un songe, elle est sortie pour aller au Temple de Baal, & par une crainte superstitieuse pour le Dieu des Juifs qu’elle veu
tte Piéce a pour ame les deux Passions essentielles à la Tragédie, la Crainte & la Pitié. Le Dénouement arrive par une Reco
orreur. Cependant quand il est amené devant elle, il en approche sans crainte , & il répond à toutes ses demandes avec une f
. Le Grand-Prêtre qui donne ses conseils à cet Enfant, rassure les craintes de Josabet, ranime la foi d’Abner, excite le cour
ler aussi, est à tout, & malgré tous ses soins, tant de sujets de crainte , tant d’ordres à donner, conserve toujours une am
êt à couronner Joas, il apprend la foiblesse de tout le Peuple que la crainte a dispersé ; il se contente d’en gémir, Peuple
37 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
lait prendre des mesures de douceur, il fallait user de tolérance, de crainte que la sévérité n’écartât ceux qu’il voulait atti
as projiciamur6 . Ne nous trouvons point aux spectacles du monde, de crainte qu’en fuyant la verité et en cherchant les ombres
38 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Des Spectacles des Grecs. » pp. 3-6
n celebre & redouté voleur qui faisoit gemir tout le Païs sous la crainte & sous la cruauté de ses brigandages & de
39 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 19-20
rs joies sont détrempées de mille amertumes, d’envie, de jalousie, de crainte , de défiance ou d’autre passion, les vôtres seron
40 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
s & soutenu ses theses A l’Université des coulisses Françoises De crainte que Cujas ne gâtat son cerveau, Il ne sait que Mo
es demeures sombres, Souffriront sans espoir d’éternels châtimens. La crainte & l’artifice ont produit ces erreurs, Mensong
al pour notre cendre éteinte ; Il n’est aucun objet ni d’espoir ni de crainte , &c. Ce nous qui n’est pas nous, cet être chi
sa religion, de ses œuvres divines. Il ose dire d’après Térence : La crainte fit les Dieux, & la force fit les Rois  : Pr
41 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
par un divertissement, au milieu duquel l’homme conserve toujours la crainte , et le respect qu’il doit à son divin maître ? Il
mille gens, qui s’éloignent de la religion chrétienne, plutôt par la crainte d’être privés des divertissements, que par la cra
, plutôt par la crainte d’être privés des divertissements, que par la crainte de perdre la vie. Car quelque insensé que l’on so
la vérité et l’intégrité de la morale chrétienne ; l’exactitude de la crainte , et la fidélité de l’obéissance, que nous devons
ements. Prenons garde à ne pas nous divertir aujourd’hui avec eux, de crainte qu’un jour nous ne pleurions comme eux. Disciple
une bonne confiance ; que la sainteté de la vie, et l’exemption de la crainte de la mort ? Quelle satisfaction que de fouler au
42 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
ssé d’exiger, viennent réveiller l’attention du public et exciter ses craintes . La nation qui trouvait dans son roi, et dans les
a fulminé, certes, cet acte qui a réveillé tant de passions, tant de craintes et d’alarmes aurait subi de sages modifications ;
43 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
t toujours plaisante ; et la pudeur toujours offensée, ou toujours en crainte d’être violée par les derniers attentats, je veux
44 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVII. Accidents arrivés dans les spectacles. » pp. 150-153
idents arrivés dans les spectacles. « … … … Fi du plaisir Que la crainte peut corrompre. » La Font. Fab. IV, Liv. I.bm
45 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre V. Du nombre des Acteurs. » pp. 252-256
s Acteurs se retirent. Mais je n’ose appuyer sur cette règle, dans la crainte qu’elle ne soit trop contredite. Les Poètes du Th
46 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE V. Que la circonstance d'aller aux Spectacles un jour de Fête, et de jeûne est une circonstance aggravante. Que ceux qui les fréquentent ne sont pas disposés à approcher des Sacrements. » pp. 83-87
ré à la Prière, aux larmes, à la componction, à la tristesse, et à la crainte salutaire qui nous mène au salut, et aux joies ét
47 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
oir pû hazarder la dispute. Si je ne l’ai pas osé, c’est moins par la crainte de succomber sous la force de ses Argumens, que p
48 (1670) Du delay, ou refus de l’absolution [Les Instructions du Rituel du diocèse d’Alet] « Du delay, ou refus de l’absolution. » pp. 128-148
roit faire soupçonner quelque mal, il faut preferer vostre salut à la crainte de ce soupçon. Qu’entend-on par le peché d’habitu
s pechez plus grands, & l’esperance de l’absolution luy ostant la crainte de les commettre. Ce n’est donc pas perdre, mais
e exactitude, & de cette fermeté avec les penitens, nonobstant la crainte qu’ils pouvoient avoir qu’ils ne mourussent sans
49 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
d’un précipice quoiqu’il n’y tombe pas, ne laisse pas d’être dans la crainte , et qu’il arrive souvent que la crainte le troubl
ne laisse pas d’être dans la crainte, et qu’il arrive souvent que la crainte le trouble et le fait tomber dans ce précipice :
50 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
’honneur que vous me rendez ? Et si je suis votre Seigneur, où est la crainte respectueuse que vous me devez ? » Que dirons-nou
51 (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre X. Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs, bien loin de les réformer. » pp. 185-190
tifice. C’est un Œdipe qui tue son père, qui épouse sa mère. La seule crainte des supplices rigoureux ordonnés par les Lois ret
52 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
rvation de leurs parties, retire les méchants de leur impiétés par la crainte d’infamie, exhorte à la vertu, déteste le vice, g
53 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
les arrêts. Les donations entre mari et femme sont défendues, dans la crainte qu’abusant de l’amour et de l’empire qu’ils aurai
trancher tous les dérèglements par lesquels il peut être offensé ; la crainte que nous avons que les comédies qui se représente
les termes de leur devoir, des représentations qu’ils feront, que la crainte des peines qui leur seraient inévitables, s’ils c
squ’alors le théâtre avait été très licencieux, on marque beaucoup de crainte qu’il ne continue à l’être, et que Dieu n’en soit
54 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
etrancher tous les déréglemens par lesquels il peut être offensé ; la crainte que nous avons que les comédies qui se représente
es de leur devoir des représentations publiques qu’ils feront, que la crainte des peines qui leur seroient inévitables, s’ils c
55 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
ut âge de tout sexe de toute condition y peuvent librement aller sans crainte de rencontrer aucun scandale. Au contraire ils on
lieu d’assurance où délivrée des mains de mes ennemis je pourrai sans crainte servir Dieu en sainteté et en justice tous les jo
56 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
n’avoir plus honte de rien, et pour s’exposer à tous les dangers sans crainte . Quel mal il y a de passer une partie du jour au
u’on se livrera à toutes les passions, le temps qu’on s’exposera sans crainte à mille périls, le temps qu’on sacrifiera publiqu
57 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
capable de rendre Ursule heureuse. ] Je suis &c. J’exagère nos craintes , mon amie, pour le mieux persuader, & te proc
58 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [Q] » pp. 444-446
nuire au bon goût, il est utile de les faire remarquer, & que la crainte du ridicule empêche les Auteurs de nous donner du
59 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
rétien ne saurait conserver une véritable piété sans le secours d'une crainte salutaire, qu'il conçoit à la vue des dangers qui
60 (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325
essuram habebitis , ne laissez pas pourtant abbatre vôtre courage par crainte ou par lâcheté, confidite ego vici mundum , ayez
viter, qu’ils n’ont jamais voulu approcher nos Temples ny nos Autels, crainte d’irriter leurs Dieux, & d’offenser leurs Ido
. Et cependant on voit des Chrétiens biens moins scrupuleux, qui sans crainte de l’outrage qu’ils font à Dieu, frequentent les
Eglise plusieurs furent detournés de se faire Chrétiens plutôt par la crainte de renoncer au plaisir, que de perdre la vie, pl
à personne, ne offensis legibus, voluptas vivere secura non poßit , crainte que les loix étans violées, elles ne vinssent tro
spublica, per voluptatum deperiret illecebrasTribell. in Gallien.  ; crainte que la Republique qui avoit déja beaucoup perdu d
antesTertull. L. de spect. c. ulti. , tous pâles & fremissans de crainte , non pas devant le tribunal de Minos, ou de Radam
61 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
discerner la vérité, qu’ils ont environnée de tant de nuages. Dans la crainte qu’on ne m’accuse d’écrire sur un être imaginaire
ent de la même manière les passions diverses, la joye, la douleur, la crainte & l’audace, l’amour & la haine : c’est un
rofond mépris. Cette inimitié que fait naître dans les deux partis la crainte de se voir surpasser, & que les gens à talens
62 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
ouve la un étrange supplément à cette loi qui n’est arrêté que par la crainte de se tromper, de punir les bons pour les méchant
s’esquiver, seraient toujours inquiets, tourmentés et retenus par la crainte , de temps en temps justifiée par de bons exemples
avec la verge d’une sanglante satire. Il n’est pas douteux que cette crainte que chacun aurait seulement, ou surtout pour soi-
oir pas été arrêtés dans la route du crime, ou par l’effet, ou par la crainte d’un premier et moindre châtiment plus difficile
63 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
nt point qu’on joüât dans leur Ville de Comédies, ni de Tragédies, de crainte d’écoûter, même en se joüant, ceux qui represento
ister aux Comédies, ni aux autres spectacles vains & profanes, de crainte que leurs oreilles & leurs yeux, qui sont des
sfaits de nostre condition presente, qui fait que nous n’avons aucune crainte de la mort ; qui nous fait fouler aux pieds les i
pice quoi qu’il n’y tombe pas, ne laisse pas d’estre toûjours dans la crainte  ; & il arrive souvent que la crainte le troub
pas d’estre toûjours dans la crainte ; & il arrive souvent que la crainte le trouble, & le fait tomber dans le precipic
64 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
ert le démon, me demanderez-vous ? Ces armes sont les plaisirs, et la crainte . Et vous devez savoir, mes très chers frères, qu’
s, qu’il en attire bien plus à son parti par les plaisirs, que par la crainte . Car pourquoi pensez-vous qu’il propose aux chrét
Dieu et à la Religion. Ainsi quand ils semblent se relâcher, c’est la crainte de voir troubler l’Etat et le repos public par de
sprit. Ne puis-je donc pas continuer d’y aller, sans scrupule et sans crainte  ? » REPONSE. 1. Il ne faut point juger du péril
par qui les scandales arrivent. » Que si notre âme est touchée de la crainte de ces menaces, nous devons plus appréhender le p
65 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71
oix, s’il est fondé ? Mais ce sexe est sans force ; on l’opprime sans crainte . Il est difficile de fixer les bornes de l’autori
gereuse des passions ; il n’en est que plus dangereux. Deux sortes de crainte peuvent faire entrer dans un Couvent ; une craint
ux. Deux sortes de crainte peuvent faire entrer dans un Couvent ; une crainte forte, capable d’ébranler un homme constant, cade
d’ébranler un homme constant, cadens in constantem virum ; & une crainte légère, qui ébranle une ame foible, timide, respe
rop d’emportement, sur-tout au moment de la mort, où la foiblesse, la crainte d’une éternité dans une Religieuse, interdisent l
que loin de lui, à l’en dédomager lui-même. Je lui parlois alors sans crainte & sans danger (dans son imagination). J’expri
66 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
donner aucune inquiétude. Mais ne nous est-il pas permis d’avoir des craintes sur le sort de notre patrie, lorsque nous voyons
67 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
de mille maux. La tragédie excitant alors des mouvemens excessifs de crainte & de pitié, n’apprenoit qu’à s’alarmer des pé
Peut-on se plaire à ces blasphemes ? Je déteste ces Dieux par la crainte adorés. Comme s’il ne falloit pas craindre Die
oit se borner. Toute la religion se borne donc à la priere ? amour, crainte , culte extérieur, bonnes œuvres, &c. bagatell
68 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
pice, quoi qu'il n'y tombe pas, ne laisse pas d'être toujours dans la crainte . Et il arrive souvent que la crainte le trouble,
isse pas d'être toujours dans la crainte. Et il arrive souvent que la crainte le trouble, et le fait tomber dans le précipice.
69 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VI. Du sérieux et de la gaieté. » pp. 128-149
i fort le partisan de la joie, lui à qui les risques de son salut, la crainte d'une éternité de supplices, des remords de consc
vertissement, l'homme sans règles, sans bornes, sans ménagement, sans crainte , peut s'abandonner à tout ? Les Barbares même réc
u si quelquefois on écoute ou on parle avec attention, prononcez sans crainte de vous méprendre, que c'est quelque discours lic
70 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
nfin, mille choses qui me sont échappées, & d’autres que je tais, crainte d’être trop long, sont des preuves convaincantes
71 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
inconcevables. Son âme est agitée en même temps de mille passions, de craintes , de désirs, et d’espérances, et son cœur est mis
72 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
irs l’emporterent sur les loix & sur la severité : L’on perdit la crainte du peril, que les meurs y pouvoient courir ; &
e qui peut regarder le détail de cette partie appellée la Scene. Mais crainte de quelque redite, je ne toucheray que les partie
73 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
syndérèse n’est tout à fait étouffée, elle lui donnera toujours de la crainte de le prendre, et de l’inquiétude de l’avoir pris
t la seule lumière des vérités chrétiennes qui les produit, et que la crainte de faire mal allant à la Comédie, est un effet, n
74 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200
c lui, qu’on gémit, qu’on se réjouit, qu’on passe de l’espérance à la crainte , de la tristesse à la joie, des plaintes aux reme
vez imprimé en nos cœurs tant de différentes affections, d’estime, de crainte , de désir, de joie, de tendresse ? Ne sont-ce pas
75 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
ce bas monde l’office des démons. Qu’on ne dise pas, que de pareilles craintes soient puériles et imaginaires. La triste situati
de nos voisins au-delà des Pyrénées, ne prouve que trop, combien ces craintes se réalisent effectivement de nos jours, par la c
76 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
manqué de Confesseur à qui il aurait confessé tous ses péchés par la crainte d’être damné, quand il aura eu besoin de se récon
77 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
met pas de les dissimuler, ni de m’autoriser de son silence ; mais la crainte de vous retenir trop longtems veut que je finisse
78 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
que ses divertissements sont innocents. S. Chrysostome avait la même crainte que S. Paul : Croyez-moi, dit-il, je suis en gran
79 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
faiblir extrêmement la foi d’un vrai Dieu ? n’est-ce pas nous ôter la crainte de sa Justice, et les consolations de sa Providen
80 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
a matiere d’un poëme, & frappé jusqu’à un Poëte comique, qui sans crainte d’être démenti, ose dire dans toute la piece que
le soin que peuvent prendre les maris pour empêcher le crime : leurs craintes sont une foiblesse, leur désirs un ridicule, leur
le théatre le font supposer par-tout, on le sent plus vivement par la crainte des excès & du ridicule dont on vient de se r
81 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
on fils de s’y livrer, ou s’il ne l’en retirait, ne fût-ce que par la crainte d’être déshérité. Furgole cite pourtant un Auteur
ssion, n’abuseront jamais de leur art pour séduire la jeunesse. Votre crainte est fondée ; un Comédien doit savoir mieux que pe
lus fort, s’il en était aucun pour des Comédiens, ne serait-ce pas la crainte de cette privation de l’honneur et des biens de l
82 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
in, en présence de beaucoup de gens qui en furent très-satisfaits. La crainte d’encourir la peine d’infamie ne devroit-elle pas
ans l’ivresse. L’état honteux de ces esclaves inspiroit aux enfans la crainte ou la pitié, ou l’une & l’autre en même temps
83 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Fêtes de Théatre. » pp. 169-185
ce beau vers : Je crains Dieu, cher Abner, & n’ai point d’autre crainte , au désespoir de se voir arrêté, il y suppléa pa
raste ! quel amer assaisonement de la volupté, de la joie & de la crainte  ! la liberté & la gêne, le chatiment & la
84 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
quoiqu’il n’y tombe pas, ne laisse pas de trembler, & souvent la crainte le trouble & le fait tombet. Ainsi celui qui
qui ne s’éloigne pas du péché, mais vit avec lui, doit vivre dans la crainte , & souvent y tombe. Homil 15. in Genesim. Ce
85 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158
n théâtre ; il n’osa pas même le bâtir sous le nom de théâtre, par la crainte des Censeurs, qui ne le souffraient qu’à regret.
comme dans ces temples somptueux d’où la vertu ne peut approcher sans crainte , où Bélial est la Divinité qu’on adore, et l’honn
86 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132
, et que l’amour du plaisir n’ait pas tant de pouvoir sur vous que la crainte qu’il y a dans sa douceur. » Sixièmement, les Spe
qu’ils commenceront à pleurer, nous commencions à nous réjouir, et de crainte qu’en nous réjouissant avec eux, nous ne pleurion
ains exercices d’armes et aux autres Spectacles vains et profanes, de crainte que leurs oreilles et leurs yeux qui sont consacr
u plaisir dit Tertullien76, n’ait pas plus de pouvoir sur vous que la crainte du péril qu’il y a dans sa douceur. » On n’est pa
remarque ce Père78, comme d’un homme qui marche près du précipice, la crainte seule qu’il doit avoir d’y tomber est capable de
t du péché, mais qui s’en approche facilement, doit s’attendre que la crainte dans laquelle il vit le fera tomber dedans. En ef
87 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XI. De l’amour & de ses impressions dans le Poéme Tragique. » pp. 165-178
ux, qui excitent le courage, la vertu, l’émulation, la compassion, la crainte , l’estime, l’admiration ; on ne voit presque plus
88 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
en dansant, c’est-à-dire dans une disposition bien contraire à cette crainte et cette frayeur que leur humilité leur a toujour
89 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
ond : Que vous êtes heureux de pouvoir marcher au milieu du feu, sans crainte de vous brûler, sans que le feu fasse sur vous au
90 (1844) Théologie morale « CHAPITRE I. Des Péchés de luxure non consommée, sections 644-651. » pp. 291-296
troduire dans sa paroisse. Il évitera toutefois d’aller trop loin, de crainte d’être plus tard dans la nécessité de reculer ; c
91 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
lui d’Auguste : en lui pardonnant, il reste toujours Tyran ; c’est la crainte et la politique seules qui lui arrachent ce pardo
92 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
e si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêmes ? Est-ce par la crainte d’avouer qu’ils peuvent être bons que vous ne vou
rix de ses crimes n’encouragera personne à l’imiter. Au surplus votre crainte à cet égard ne peut regarder que votre patrie. Je
t ! O tempora ! ô mores ! Si quelque chose est capable d’adoucir les craintes que vous nous inspirez si salutairement, c’est la
de vivre dans l’ignorance d’un état plus heureux que le leur, dans la crainte qu’ils ne se servissent de moyens illicites pour
oins, je crois, parcequ’ils les regardent comme dangereux, que par la crainte de rien innover, et; parcequ’il se rencontre des
quelque chose doit fortement s’opposer à son établissement, c’est la crainte « des inconvéniens qui peuvent naître de l’exempl
urd’hui pour se préserver d’encourir l’indignation de leur Maître. La crainte de perdre son poste, ses honneurs, et; les graces
ls, il a cru son honneur engagé à ne les pas regarder honteux, par la crainte d’être soupçonné de poltronnerie. Il est donc for
roit du Comédien au Citoyen, sur la pauvreté de la République, sur la crainte de voir attenter à la liberté, sur le changement
st bonne à vos ennemis en ce qu’ils vous nuisent à leur aise et; sans crainte de représailles ; elle est bonne aux Lecteurs qui
93 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
j'ai dit, qui voudra se corriger de ses vices, qui sera occupé de la crainte des jugements de Dieu, que la Foi lui représente,
notre ennemi séduit et prend plus de gens par la volupté, que par la crainte  ; Car pourquoi tend-il tous les jours les pièges
94 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
ions et des lois inquisitoriales. Page 168 Ce ne sont point de vaines craintes , que de pressentir les dangers de l’influence du
s juifs et tous les mécréants à coups de sabre. Page 202 De pareilles craintes ne sont point puériles et imaginaires, témoin la
95 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
istianisme est un esprit de docilité, de vénération, de confiance, de crainte filiale pour les Pasteurs et pour les sacrificate
d’un Dieu : quel respect, quelle confiance, quelle déférence, quelle crainte religieuse peut-on avoir pour des Prêtres qu’on v
96 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
bstination et l’importunité de vos prières, et pour vous guérir de la crainte scrupuleuse où vous êtes que votre conscience ne
uerait à vaincre l’obstination d’un Laïque ; et que pour dissiper une crainte qu’il appelle scrupuleuse, il ne craindrait pas d
97 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
lon lui, est donc moins un divertissement qu’une école de vertu et de crainte salutaire. Mais où est celui dont elle a rendu l’
car elle fait ce qu’on n’aurait jamais pensé, elle rend compatible la crainte du péché avec une volonté constante et positive d
ntrons à tous moments dans le commerce du Monde. » J’abrège son texte crainte d’ennuyer : mais je lui conserve toute sa force.
98 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
ien de grands traits, de beautés se sont présentés à la plume, que la crainte que le Comédien ne les rejettât, ou qu’il ne déve
99 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Naumachies. » pp. 100-111
nes de qualité ou de merite ne se rendirent à cette Assemblée que par crainte ou par maxime de Cour, & n’y goûterent qu’en
100 (1715) La critique du théâtre anglais « AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. » pp. -
dégénérer de ces grands Hommes ; et se corrigeront peut-être dans la crainte qu’on ne leur fasse bientôt les mêmes reproches q
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