/ 361
1 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
oute son attention, pour n’en prendre que l’accessoire : il faut donc convenir que la Comédie pour parvenir à son but, doit lanc
regle, servira de réponse à l’objection qu’on m’a faite ci-dessus. Je conviens par la malignité qui caractérise l’esprit humain,
tourné en ridicule, & de pouvoir se mettre au-dessus de lui : je conviens qu’on jouit avec satisfaction de l’embarras d’un
e brillant, qui salue d’un air timide, & qui perd contenance : je conviens qu’on est charmé de voir un homme qui se laisse d
faire usage dans quelque cas que ce soit. Il y a long-temps que l’on convient assez généralement qu’un honnête homme ne doit pa
Mais si ce même homme est raillé sur ce défaut, non-seulement il n’en conviendra plus, mais il cherchera à perdre son impertinent
de faire cesser le cri des dévots contre les Spectacles ; car il faut convenir qu’ils n’ont eu jusqu’ici que trop de raisons de
2 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
die du Comédien, qui fait un de ses principaux dangers, comme vous en convenez très équitablement. Mais on ne fait guère de Comé
, il est lui-même son Evangéliste, s’il m’est permis de parler ainsi. Convenons donc que ces larmes qu’on donne à la Tragédie, pr
héâtre ait plus de privilège que les Bourdaloue et les Massillon. Ils conviennent ces hommes illustres que la manne délicieuse de l
éraires ne connaissent point de bornes. Monsieur, j’ose encore ne pas convenir avec vous, que l’amour exprimé chastement dans ce
modernes, et même M. Racine en plusieurs de ses Pièces. Lui-même est convenu avec moi, que sa Bérénice était très dangereuse p
saurais mieux finir que par ce Père de l’Eglise. Il est le premier à convenir qu’Homère est excellent dans ses inventions fabul
de leur langage dans ces sources empoisonnées ; quoique d’ailleurs il convienne que les paroles sont en elles-mêmes comme des vas
3 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
ent fois, et il le prouve par Saint Paul, qui dit « que ces choses ne conviennent pas » : car où la vulgate a traduit : « scurrilit
porte que « toutes ces choses », dont l’Apôtre vient de parler, « ne conviennent pas », et c’était ainsi que portait anciennement
, celui qui est fol, et celui qui est plaisant ou qui fait rire, « ne conviennent pas » à un chrétien ; et il explique : « qu’ils n
de la vocation du christianisme. Il comprend sous ces discours qui ne conviennent pas un à chrétien, même ceux qu’on appelait parmi
4 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVIII. Doctrine de l’écriture et de l’église sur le jeûne. » pp. 98-101
aient innocents, on voit bien que cette marque de la joie publique ne conviendrait pas avec le deuil solennel de toute l’église : lo
t la figure du cantique et de la joie du siècle futur. Si le jeûne ne convient pas au temps d’une sainte joie, doit-on l’allier
es réjouissances profanes, quand d’ailleurs elles seraient permises ? convient -il d’entendre alors ou des bouffons dont les disc
5 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
es Conciles & les Docteurs à les proscrire avec tant de sévérité, conviennent à tous également & sans exception. Or ces rai
ec l’esprit de leur Religion. Or cette premiere preuve de S. Ambroise convient -elle, Messieurs, aux spectacles de nos jours ? L’
son cœur complice. Or cette seconde preuve encore tirée de Théophile convient -elle, Messieurs, aux théatres de nos jours ? A le
Or ces deux preuves enfin de Tertullien & de S. Jean Chrysostome, conviennent -elles, Messieurs, au théâtre de nos jours ? Avoue
; puisque les mêmes raisons, qui les ont engagés à condamner les uns, conviennent également aux autres : & puisqu’ils ont trouv
ntraires à l’esprit, à la profession, aux exercices du Christianisme, convenez que ceux-ci le sont encore. Ne nous dites donc pl
de vertu. Le théâtre forme donc, il délasse l’esprit. D’abord, j’en conviendrai , Messieurs, si c’est former l’esprit de le repaît
raits. Il forme cependant, il délasse l’esprit. Encore une fois, j’en conviendrai , si c’est former & délasser l’esprit de lui r
. Il forme cependant, il délasse l’esprit. Oui, Messieur, enfin, j’en conviendrai , si vous pouvez me citer, je ne dis pas un seul D
teur de l’Eglise, mais un seul Sage du Paganisme même, qui veuille en convenir avec moi. Mais ce ne sera pas certainement ce gra
pas dire la débauche de vos tables. Quelle rigidité de morale ! J’en conviens , elle est rigide cette morale. Aussi Tertullien s
mille fois par une triste expérience ; & cependant personne n’en convient . Je me trompe, on en convient en général ; mais o
érience ; & cependant personne n’en convient. Je me trompe, on en convient en général ; mais on ne croit plus trouver du dan
6 (1802) Sur les spectacles « RÉFLEXIONS DE MARMONTEL SUR LE MEME SUJET. » pp. 13-16
gue l’esprit ; la farce amuse, fait rire, et n’occupe point ; oui, je conviens qu’il est des esprits qu’une chaîne régulière d’i
t c’est un plaisir qu’il faut lui laisser, mais dans la forme qui lui convient , c’est-à-dire, avec une grossièreté, innocente, d
rs ; par là, il se trouve à la bienséance des seuls spectateurs qu’il convienne d’y attirer. Lui donner des salles décentes et un
7 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
re l’effet qu’ils font sur moi. Lorsque je vais à l’Opéra (quoique je convienne qu’il n’est peut-être pas aussi bon qu’il pourrai
ons à tous ses semblables. » *** « Blaise Pascal a tort, il faut en convenir  ; Ce pieux Misanthrope ! Héraclite sublime ! Qui
plaisirs et les peines sont bien réels. 3. [NDA] Si une position ne convient pas plus à l’essence d’une chose qu’une autre ; s
r promets de jeter à l’instant au feu mes Ecrits et mes Livres, et de convenir de toutes les erreurs qu’il leur plaira de me rep
8 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
ons et des vices dont on peut faire usage sur le Théâtre ; mais je ne conviens pas qu’on doive en bannir sans distinction toutes
faut attaquer aussi les Menteurs, les Avares, les Imposteurs, etc. Je conviens qu’il y a des passions et des vices qu’il serait
me la seule passion qui doit régner sur la Scène ; les Spectateurs en conviennent , et voilà pourquoi elle y domine impérieusement,
9 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CONCLUSION, de l’Ouvrage. » pp. 319-328
ement, prenne la fiction pour la vérité même : alors on est obligé de convenir qu’une représentation Théâtrale est un amusement
Voilà trois Spectateurs agités de trois différentes passions : et je conviens que leur agitation subsistera pendant quelque tem
orrompu : pour aimer il suffit d’être homme. Je crois donc qu’il faut convenir que si le Théâtre excite toutes les passions, jam
10 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
its qui sont assez spécieux, d’autres faibles, et quelques-uns qui ne conviennent pas à la personne qui parle. Aussi je suis persua
Je ne m’érige point en Juge de la querelle des deux Religieux : il ne convient point à deux personnes d’un même ordre de se quer
11 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — Avertissement » pp. 72-80
oderne est exempte d'idolâtrie et de superstition: mais il faut qu'on convienne aussi qu'elle n'est pas exempte d'impureté ; qu'a
le des Femmes, qui est une des plus nouvelles Comédies. Il faut qu'on convienne encore que, si l'idolâtrie et la superstition en
lle-même, elle ne serait toujours qu'un dérèglement de vanité, qui ne convient pas à ceux qui font profession du Christianisme.
12 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VII. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. » pp. 13-14
I. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. On convient , répliquera peut-être quelqu’un, (car il faut êtr
t, répliquera peut-être quelqu’un, (car il faut être de bonne foi) on convient que la concupiscence est mauvaise ; que loin de l
13 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — ESSAI SUR LES MOYENS. De rendre la Comédie utile aux Mœurs. » pp. 7-10
uit donc naturellement à reconnoître l’utilité de la Comédie, & à convenir que ce genre d’instruction est plus propre que to
connue, ce seroit ici la place d’examiner quelle est la forme qui lui convient le mieux pour parvenir au but qu’elle se propose
14 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — Méthode et règlement pour réformer le Théâtre. Avant Propos. » pp. 87-98
ni les Comédiens ne s’y sont jamais renfermés. Ainsi donc, quoique je convienne de la grande différence qui se trouve entre les S
omains subsistent encore, du moins en partie, parmi les Chrétiens. Je conviens qu’ils n’ont pas la même forme ; qu’ils sont dest
s, et si on en bâtissait d’autres sur leur modèle, on serait forcé de convenir que les Spectacles, en passant des Payens aux Chr
15 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre dernier. Conclusion. » pp. 345-347
oivent toujours être bas & vils. J’ai feint de croire qu’on était convenu de n’insérer dans ces Poèmes que des Hèros commun
ts du Spectacle moderne, n’auront pu s’empêcher, en le condamnant, de convenir du mérite de ses Acteurs. Plus il est prouvé que
16 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
ançais par Corneille & Molière. Un arrangement plus simétrique ne convenait nullement. La diversité qui résulte du plan que j
autre raison m’engageait encore à permettre à ma plume de s’égayer : convenait -il de traiter toujours sérieusement de l’Opéra-Bo
a, la Comédie-mêlée-d’Ariettes ; Mais il me semble que le nom qui lui convienne le mieux ; est celui d’Opéra-Bouffon, vu qu’il pr
17 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à rejeter. » pp. 313-318
roits les plus dangereux de cette Pièce ; et je ne crois pas qu’il me convienne de faire revivre des idées que je condamne. Quand
aire ; j’ai loué Molière autrefois en parlant de cette Pièce16, et je conviens qu’il mérite toute sorte de louange par rapport a
18 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
ortrait de ce Héros de l’antiquité, sans le savoir, des traits qui ne conviennent qu’à soi. Si sa Nation goûte les descriptions emp
er. Les caracteres ! les mœurs ! ne prend-en pas de soi-même ceux qui conviennent  ; pourquoi chercheroit-on dans ces maîtres des pr
l’ai terrassé, étoit du second. Revenons aux jeunes Auteurs. Il faut convenir qu’il y en a peu qui n’ayent de l’esprit. Sans ce
e comparaison, on attribue à l’un des deux objets comparés, ce qui ne convient qu’à l’autre. Preuve que, quand une idée nous pla
19 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
Voilà le caractère Français, le goût du frivole, le Français même en convient et en rit, le petit maître s'en fait gloire : auc
r nous qui ne sommes point initiés dans ces mystères d'élégance, nous convenons que notre antique prud’homie, peut-être en vertug
avec des haillons ? Si ses habits ne sont pas magnifiques, ce qui ne convient ni à certains états, ni à certaines circonstances
poser à une vie licencieuse ou à une folle passion. Eussent-ils tort, convient -il de parler insolemment de ses maîtres, même lor
l'examen de la pièce du Menteur, où le mensonge est récompensé, pour convenir que cela n'est point nécessaire, que le Poète qui
20 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
libets & aux bons mots tant soit peu indécens. On sera forcé d’en convenir . Mais il ressemble à tant de gens sortis de la fa
t une grande analogie avec les Drames de notre Théâtre. Enfin on doit convenir que les Marionnettes en ont tracés le plan. C’est
vant nous. Ils ont été nos maîtres sur bien des choses ; mais nous ne conviendrons jamais qu’ils nous ayent indiqués le genre qui no
Bouffon, nous soutenons au contraire, qu’ils nous en sont redevables. Convenons au moins que nous leurs devons les Chansons, ains
21 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
int de paroles déshonnêtes, ni de folles, ni de bouffonnes, ce qui ne convient pas à votre vocation ; mais plutôt des paroles d’
vocation ; mais plutôt des paroles d’actions de grâces. » Or il faut convenir , qu’on ne peut aller à la Comédie sans exposer so
se de l’Idolâtrie, ou des représentations honteuses et impudiques. Je conviens que ces Saints Pères ont condamné les Spectacles
es fussent, ce ne serait toujours qu’un dérèglement de vanité, qui ne convient point à ceux qui font profession de Christianisme
22 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
s puissent et qu’il leur soit permis de faire jouer… ck. [NDE] Qu’il conviendrait . cl. [NDE] Après avoir lu les lettres patentes d
proclamation publique. cz. [NDE] En faveur des. da. [NDE] Comme il conviendrait et comme il pourra être nécessaire, raisonnableme
23 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
ans le quinzième siècle donnèrent à la Pastorale l’air simple qui lui convient . Une étude réfléchie des Idyles de Théocrite, &am
ions en avoir un qui lui fut entièrement consacré. Loin de vouloir en convenir , nous la forçons de paraître dans la Comédie, dan
r tous les Spectateurs par une parure simple & champêtre, qui lui convient mieux que de pompeux ornemens. Autre cause de
t de nuages. L’habitant du Hameau gémit dans la pauvreté. Mais on est convenu depuis long-tems qu’on le flatterait toujours en
24 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
ce procédé n’aurait-il pas tenu de la férocité et de la barbarie ? Je conviens que le Poète pouvait se dispenser de mettre dans
ipe et de sa malheureuse famille. » M. Racine savait très bien ce qui convenait à la Tragédie ; et, je le répète encore, s’il n’e
ère qui, inhumainement, assassine son neveu et son frère même ; et je conviens que ce sont là des objets terribles pour les prés
des deux, malgré les engagements qu’elle a avec leur père commun. Je conviens que c’est là ce qui m’a le plus choqué, et qui m’
ils en sont éperduement amoureux l’un et l’autre. Voilà le fait, j’en conviens  ; mais examinons de grace si, malgré cette ressem
attention la mort de César, de M. de Voltaire, je suis persuadé qu’on conviendra que, dans toute Pièce aussi bien imaginée et auss
25 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
je crois, qu’après avoir étudié soigneusement le cœur de l’homme, on conviendra qu’ils ont raison tous deux ; cependant, cette ré
es ont caractérisées de faiblesses ; il n’y a donc que l’ambition qui convienne à la majesté tragique : et si nous voulons y asso
NDRE LE GRAND. Alaxandre est la seconde Tragédie de M. Racine. On convient généralement que dans le grand nombre des hauts f
e : ainsi je ne crois pas que l’Alexandre de M. Racine, puisse jamais convenir au nouveau Théâtre. VENCESLAS. La Tragédie
26 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
p; distribuoient publiquement des couronnes aux excellens Acteurs. Je conviens du fait : mais n’avez-vous observé aucune différe
c sur cette jeunesse, l’espérance & la ressource d’un Etat, qu’il convient de tenter la réforme que l’on se propose d’introd
res à régler leur conduite, & à se rendre des Citoyens utiles. Je conviendrai , sans peine, qu’elle a varié ses dons même à l’ég
ertainement point le génie qui nous manque ; nos voisins eux-mêmes en conviennent  ; ce n’est que le goût des choses solides, &
it aujourd’hui. Quel Art peut se perfectionner s’il n’est exercé ? Je conviens que nous ne connoissons pas clairement la nature
27 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
faire usage pour inculquer aux Peuples telles maximes qu’elle croira convenir  ; en temps de guerre, par exemple, l’héroïsme pat
l, un sourire de leur part ont suffi pour faire des héros. Riccoboni, convenons -en, avait trouvé, ainsi qu’il le desirait en prop
de Genève, lui-même, dans une Note tirée de l’Instruction Chrétienne, convient que non-seulement les Spectacles en général sont
ntes de l’Actrice, ou le jeu libre & sémillant de l’Acteur. 3. Je conviendrai donc, que l’austérité Républicaine ne peut compor
, il a laissé toute leur force aux inconvéniens de l’Histrionisme. Je conviens encore que l’Auteur d’un Drame sachant que ce n’e
parler, « ne peut être comporté par l’austérité Républicaine » : mais convenons , en consultant la raison, qu’en eux-mêmes, les Sp
28 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
ces de Théâtre Tragiques, Tragicomiques et Comiques. Cela supposé, je conviens avec vous que Tertullien, Saint Cyprien et les au
plus infâme touchant les Spectacles des anciens : ce qui cependant ne convenait qu’à certains Spectacles qui étaient parmi eux, e
que ces infamies qui se passaient dans les Spectacles des anciens ne convenaient pas à toute sorte de Spectacles, et que les Tragé
t il est question. Pensez-y bien vous-même, et vous serez obligé d’en convenir , à moins que vous ne disiez peut-être qu’elles se
que les infamies dont les Pères et les Auteurs profanes ont parlé, ne convenaient pas à toute sorte de Spectacles : et si ce que j’
uptas, et est reus jam ille vanitatis. 5 » A votre avis, tout cela ne convient -il pas le mieux du monde aux Spectacles que vous
rius cogitat nisi videri et videre. 6 » Encore une fois, tout cela ne convient -il pas aux Spectacles que vous approuvez ; et qua
n, et que j’en demeurerais d’accord, ne faut-il pas du moins que vous conveniez avec moi que ce n’est pas seulement à cause des e
et capable de nier qu’il est jour en plein midi, ou il faut que vous conveniez que j’ai suffisamment prouvé que tous les Spectac
es raisons que nous trouvons dans Tertullien et Saint Cyprien, et qui conviennent , sans que vous puissiez le nier, aux Spectacles q
esprit : « Quod ordinatur ad solatium hominibus exhibendum. 10 » Nous convenons avec ce saint Docteur et avec vous qu’il en est d
ue vous en demeurera d’accord sans peine. En vérité pour des gens qui conviennent dans certains principes, on nous trouvera bien op
aventure, de Saint Antonin, d’Albert le Grand, page 22. Mais comme je conviens avec vous que ces Théologiens n’ont pas eu en cel
damnaient avec tant de raison. Je pourrais en demeurer d’accord si je convenais avec vous que toutes les infamies dont les Saints
, il ne soit entièrement semblable à celui des Gentils ? Pour moi qui conviens avec vous que le nôtre est beaucoup plus épuré, j
té véritable et solide ; malheureusement pour vous tout le monde n’en convient pas. Mais voyons si le second moyen dont vous vou
attire davantage ceux qui en veulent conserver les dehors. Mais si je conviens avec vous que les Pièces de Théâtre sont présente
ux qui n’auront ni lu, ni vu représenter ces Pièces ; tous les autres conviendront sans peine avec moi de ce que j’en dirai. Car peu
faire voir l’opposition de ces maximes. Il faut malgré vous que vous conveniez de cette opposition, et que vous demeuriez en mêm
infamies des Anciens. On ne peut pas dire non plus que ce portrait ne convienne qu’à l’Opéra, et qu’on n’est pas si sensible à la
des anciens : car, comme je vous ai déjà fait remarquer, ce qu’il dit convient encore à ceux de ce temps, puisque les concupisce
xaminer les raisons dont il se sert pour cela, et l’on verra qu’elles conviennent généralement à tous les jours de la semaine. Pour
des femmes pour les mieux contrefaire, et prendre des libertés qui ne conviendraient pas à une femme quelque immodeste qu’elle fût. « 
ad cubicula revertuntur ». Je ne vois pas qu’on puisse rien dire qui convienne mieux à tout ce qui se passe aujourd’hui dans vos
l’Eglise. Ainsi la cinquième condition que Saint Thomas exige, ne lui convient pas mieux que les précédentes que j’ai examinées.
s entendaient des chansons déshonnêtes, etc. pouvait-il rien dire qui convînt mieux à l’Opéra ? Car enfin par ces chansons désh
29 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
r plusieurs qui ne la méritent pas ; mais en général c’est le nom qui convient le mieux à ce Spectacle frivole & plaisant, à
ur le Spectacle de la Nation, auront soin de s’instruire des noms qui conviennent à ses différens Drames. Je ne leur conseille poin
30 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
e grand bien que produirait la suppression entière du Théâtre ; et je conviens sans peine de tout ce que tant de personnes grave
ée ; et je crois que c’était précisément à un homme tel que moi qu’il convenait d’écrire sur cette matière ; et cela par la même
31 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
ouvrage. Le sujet semble, en effet, au premier aperçu, beaucoup mieux convenir à un docteur de Sorbonne qu’a un maréchal de camp
me sur tant d’autres par une législation nouvelle, attendu que ce qui convient dans un temps ne convient pas dans un autre. Les
ne législation nouvelle, attendu que ce qui convient dans un temps ne convient pas dans un autre. Les ordonnances, les diplômes
32 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XI. Qu’on ne peut danser sans péché les jours qui sont particulièrement destinés à l’exercice de la piété Chrétienne. » pp. 41-53
entièrement honteux. En effet, si les danses d’aujourd’hui pouvaient convenir aveca la joie sainte de l’esprit Chrétien, pourqu
i dicitur pœnitentem à ludis et spectaculis abstinere debere. a. NDE convenir avec = s'accorder avec.
33 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
rist, et sans vouloir en adoucir la sévérité, je puis et je dois même convenir d’abord qu’il y a des récréations innocentes, des
mes, mais de tous : tellement que tous d’un consentement unanime sont convenus de ce point, qu’ils n’ont eu tous là-dessus qu’un
eur inspirer les sentiments de la piété chrétienne, la religion, j’en conviens , ne vous défend pas de leur faire prendre certain
trop loin selon la raison, le Christianisme et la conscience ; il en conviendra  : en effet dans la plupart des jeux, sur-tout des
emps ; sans en être aussi instruit que vous, je le connois assez pour convenir qu’on doit maintenant plus que jamais user de pru
re de porter ici trop loin la sévérité de la morale évangélique ? Ils conviendront avec moi de tout ce que j’ai dit du théatre, du j
doit beaucoup vous coûter. Mais en second lieu, il y a, et j’en suis convenu d’abord, j’en conviens encore, il y a des récréat
ûter. Mais en second lieu, il y a, et j’en suis convenu d’abord, j’en conviens encore, il y a des récréations et des divertissem
34 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
e confondue par l’orgueil de la Noblesse ? Cela ne justifie pas, j’en conviens , une femme qui cherche à déshonorer son époux : m
e ; il passe du rire à la compassion pour le pauvre George Dandin, et convient avec lui que quand on a épousé une aussi méchante
c’est d’y être fainéants, orgueilleux, insolents et ridicules. Il ne convient point à des gens que le Prince et l’État ont nomm
N’est-ce qu’un ridicule qu’il a joué dans L’Avare ? Je crois que vous conviendrez que c’est un Vice, et un Vice si bien joué que vo
ous n’êtes pas assurément fait pour apprendre à ce Grand homme ce qui convenait le mieux au Théâtre de son temps et du nôtre. Il
scène 1, p. 8. dq. [NDE] J.-J. Rousseau, op. cit., p. 72. : « […] convenons que, l’intention de l’Auteur étant de plaire à de
35 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
z que des Courtisanes, des Parasites, des Ganymèdes et des Antinoüs : convient -il donc à de plats modernes d’oser mieux faire qu
mieux faire que les Anciens et de ménager les oreilles chastes ? Vous convient -il, Messieurs, d’oser faire des Tragédies, vous q
essus détaillés au point auquel les hommes en sont entichés ? Vous en conviendrez si vous voulez ; mais il n’en sera pas moins vrai
que les hommes en général : elles ont des vices et des défauts, j’en conviens  ; mais elles n’en ont aucun que nous n’ayons comm
ve qu’elles sont plus raisonnables, et qu’étant plus raisonnables, il convient de les faire parler raison ? Mais c’est avilir no
l’un et l’autre accorder que de l’esprit à Mme de Tagliazucchi, vous conviendrez qu’elle a du génie, si vous voulez consulter le r
s l’exemple du bon sens, et nous ne devons pas recevoir ce qu’il nous convient de donner. Un Courtisan précieux, ridicule, fera
36 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [K] » pp. 421-424
ttention à montrer aux Spectateurs, celui des côtés de son masque qui convient à sa situation présente. C’est ainsi qu’agissait
ux & des Héros. Concluons que les Anciens avaient les Masques qui convenaient le mieux à leurs Théâtres, & qu’ils ne pouvai
37 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
amp; rendre à la raison toute la pureté de ses lumieres. Je dois même convenir , que cette erreur a esté suffisamment détruite pa
expressions. Mais comme je me suis imposé la loy de ne rien dire qui convienne uniquement aux spectacles des Payens, & qui n
serez-vous assez sages pour changer de sentiments. Il I. Partie faut convenir d’abord, que la Religion n’est pas si ouvertement
ne veut pas célebrer la Pâque le quatorziéme de la Lune, pour ne pas convenir avec les Juifs, quoyque ce fût en ce jour-là même
u’il appartient de passer la vie dans les plaisirs. Cette conduite ne convient qu’aux amateurs du siecle, pour qui le démon a fa
zelé aux Chrétiens de son siecle, & vous voyez que son langage ne convient que trop à ceux de nos jours, qui pour peu qu’ils
gion, pour condamner les spectacles qui la deshonorent, puisqu’ils ne conviennent nullement à la majesté du Dieu qu’elle adore, &am
retiens, ny de péchez grossiers, ny de railleries deshonnêtes, qui ne conviennent nullement à la sainteté de nostre vocation. Eph. 
38 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
is Cicéron se sert en parlant de son Client, de termes qui ne peuvent convenir qu’à un Citoyen, et à un Citoyen recommandable. C
yens. On pourrait encore avoir là-dessus quelque doute. Tout le monde convient que la mauvaise conduite de quelques particuliers
tent-elles pas le Comédiens de l’ordre général des Citoyens ? Il faut convenir que de semblables prérogatives sont aussi offensa
39 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Table des chapitres. »
Table des chapitres. Chapitre I. Convient -il que les Magistrats aillent à la Comédie, page
40 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire. »
èmes sont trop remplis de licences. La Pastorale & la Parodie lui conviennent mieux qu’aux autres Théâtres : observations parti
41 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
at, nisi ipse sit similis conditionis. » (L. 2. C. de inoff. Testam.) Conviendrait -il à une femme prostituée, disent là-dessus les A
suit pas le droit Romain sur l’exhérédation des Comédiens, quoiqu’il convienne et qu’on ne puisse disconvenir que la novelle 115
our les Comédiens, parce qu’ils ont la mauvaise foi de ne vouloir pas convenir du crime de leur état, quoiqu’il soit plus notoir
’abord Précepteur, qu’ensuite il se fit Comédien dans la troupe. Sans convenir de ces faits, l’Avocat réplique : « Il abandonna
’il eût resté au service du Roi, à l’exemple de ses pères ? » Il faut convenir que M. Cochin était moins galant que sincère, plu
ontel, dans son apologie, et tous, tant défenseurs qu’adversaires, en conviennent également ; qui pourrait en disconvenir ? les pie
42 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
étiennes puissent entendre : qu’on les représente avec la décence qui convient à des chrétiens : que la vertu y soit peinte avec
(peut-être même à leurs mœurs), quànd ils en prennent la défense. Ils conviennent eux-mêmes de la nécessité de réformer le Théâtre,
ndons-nous autre choseb ? » Marmontel, dans son Apologie du Théâtre, convient que « à l’égard des tentations auxquelles une Act
43 (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42
rement reçue par ceux pour qui elle est faite. Nous devons cependant convenir que cette gêne, comme celle de la rime, a quelque
otre nouvelle constitution, et quelle est l’espece de liberté qui lui convient . Pour procéder avec plus de méthode, je diviserai
nt dans leurs plaisirs les amateurs nombreux des spectacles. Ceux qui conviennent de la nécessité de la concurrence pour les progrè
pour le peuple ; elle corrompt ses mœurs, et favorise la paresse. Je conviens que, si l’on trouvoit un moyen de forcer tous les
ientôt un spectacle ; mais c’est à lui seul à choisir le lieu qui lui convient davantage. §. III. Peut-on empêcher un théâtre
réunit les deux genres de l’opéra et de la comédie italienne. Il faut convenir qu’ils exécutent cet opéra comique à merveille, q
ur obtenir la permission de chanter, les entrepreneurs des Beaujolois convinrent que leurs acteurs ne seroient que les gestes pend
44 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
présentation, on voyoit sur le Théâtre des combats de Gladiateurs. On convient que ces circonstances étoient incompatibles avec
punément de l’impuissance & de la méchanceté de leurs Dieux. J’en conviens , mais ce sont des Chrétiens qui leur mettent ces
45 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XI. Du jeu des Acteurs. » pp. 345-354
les talens des Acteurs. S’il arrive à quelques hommes de Lettres d’en convenir , c’est par une fausse modestie, & afin qu’on
es Poètes s’opposent à ce que je veux persuader : Il me paraît qu’ils conviennent devoir beaucoup à la représentation. Le soin, peu
46 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
able d’un ministre ; mais si M. de Sénancourt sait raisonner, il doit convenir qu’il avoue par sa dernière phrase, qu’un évêque
s pour en faire son défenseur et son panégyriste, on serait obligé de convenir , que les évêques auraient choisi un avocat bien m
47 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
p; choisissant ce point de vue à sa volonté, il rend, selon qu’il lui convient , le même objet agréable ou difforme aux yeux des
mp; de devenir des Héros pareils à ceux qu’on leur faisoit admirer*. Convenons donc que tous les Poëtes, à commencer par Homere,
tend souvent ses idées aussi loin que le Poëte étend ses images. J’en conviens  : mais le Philosophe ne se donne pas pour sçavoir
e doivent l’être pour se maintenir dans l’état de modération qui leur convient . Qu’un homme sage & courageux perde son fils,
aux Citoyens. Écoutons leurs raisons d’une oreille impartiale, & convenons de bon cœur que nous aurons beaucoup gagné pour n
48 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
d’adresse que de succès, en paraissant eux-mêmes redevenir enfans Je conviens avec vous Monsieur, que les Théatres de la Nation
rasse ignorance, & la bassesse d’ame de la plupart des assistans. Convenez , Monsieur, d’après cette légere esquisse des diff
e de criminels, en allant subir le supplice dû à leurs forfaits, sont convenus que leur fatal engoûment pour les Spectacles Fora
la Justice immole à la sûreté publique. Les gens les moins scrupuleux conviennent , que les Trétaux sont des endroits de scandale &a
t révoltant, je le sais, Monsieur, mais c’est, en vérité, le seul qui convienne à la chose. Supposons néanmoins, que la jeunesse
e sont coupé la gorge depuis l’établissement de ces maudits Jeux ! Je conviens qu’il y a, aujourd’hui, quelque police extérieure
ctables, sont pour lui de vieilles chimeres, de sots préjugés, qui ne conviennent qu’à des imbécilles & à des têtes de bonnes f
une orgie, vont chercher aux Boulevards l’amusement grossier qui leur convient , & qui n’en sortent que pour réaliser les tab
p, de soutenir que ces seules Pieces ou extravagantes, ou ordurieres, conviennent au bas Peuple. Qui donc sera assez barbare pour a
Vérité ne fut jamais plus certaine que celle-là. Troisiemement, je conviens avec mes antagonistes, qu’il faut des Spectacles
core qu’il en faut pour le menu Peuples, mais je suis bien éloigné de convenir que ces Spectacles, d’un genre borné, comme ils l
ation de la liberté naturelle en liberté sociale, la seule qui puisse convenir à l’homme dans l’état présent des choses celui-là
. Mais on insiste sur la nécessité des Spectacles pour le Peuple ; je conviens qu’il en faut d’honnêtes pour les honnêtes-gens d
dis ici peut également s’appliquer au second chef de l’objection. Je conviens que si l’on supprimait tout-à-coup les Trétaux, l
ons-nous prendre garde de ne nous rien permettre sur ce sujet, qui ne convienne au caractere du parfait honnête homme. Ciceron Li
49 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
ce beau Poëme, que de croire qu’il est uniquement dans le style. Nous convenons qu’il a de grandes beautés ; mais les situations,
e n’est autre chose que l’assemblage de plusieurs signes, dont on est convenu de se servir, pour exprimer les affections de l’a
essée à lui obéir. Chaulieu n’emploie pas les figures, parce qu’elles conviennent à son sujet ; mais, parce qu’il les fait naître.
50 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Approbation qui peut servir de Preface. » pp. -
apporte les dicisions contre la Comedie de leur tems, dont la censure convient fort au Theatre de nos jours. Comme tout relachem
51 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
ait alors que ce qu’on marquerait devoir arriver à tel Personnage lui convint de telle sorte que le Spectateur craignit à chaqu
s. Le Vaudeville deviendrait alors d’une difficulté prodigieuse, j’en conviens  ; il aurait aussi plus d’agrémens, il plairait d’
s paroles condamnent tous ceux du Spectacle moderne, & forcent de convenir qu’ils sont la plus-part défectueux : le fort de
r qu’il m’ait été possible de le passer sous silence. J’aime mieux en convenir , plutôt que de courir les risques qu’on me reproc
52 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
exigent un jargon dévot, je défie de rien trouver au spectacle qui ne convienne aussi bien à des Païens qu’à des Chrétiens, qui n
cteur rit de ma réflexion. Ce langage serait barbare au théâtre. J’en conviens . Voilà précisément de quoi je me plains. Quel pay
, avec plus de simplicité et de droiture, allaient au spectacle, mais convenaient qu’on faisait mal d’y aller ; ils y mêlaient les
eur des Mémoires sur la vie de Molière, ou plutôt son panégyriste, en convient . « La multitude, toujours avide du merveilleux, d
rribles imprécations. Athènes en fut scandalisée, et le Poète Grec en convint  : il ne se défendait, non plus que le Poète Franç
53 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
oique Ecolier, y est bien déplacé : y prend-il l’esprit de son état ? convient -il qu’il quitte son habit ? convient-il qu’il y p
prend-il l’esprit de son état ? convient-il qu’il quitte son habit ? convient -il qu’il y paroisse avec son habit ? Les paroles
et les parents, qui demandaient la succession de la mère. La première convenait qu’elle devait le jour au crime, mais elle préten
avoir été légitimée par le mariage subséquent. Les collatéraux, sans convenir qu’elle fût véritablement fille de Scaramouche, c
les autres personnes indignes de la communion ; mais ils ont toujours convenu , comme d’un principe incontestable, de leur indig
54 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
es, mais naïvement représentées, produisent en nous ? Peut-être aussi conviendra-t -on que jamais homme n’est revenu de la Comédie, p
 » a commencé, et personne n’a manqué d’attribuer à son voisin ce qui convenait le mieux à lui-même. De sorte qu’on ne peut mieux
Prince voyant que la plupart de ses sujets n’ont pas l’éducation qui convient à des Chrétiens, et craignant que faute d’occupat
ns des actions déshonnêtes. On n’y perd pas la gravité de l’âme. Elle convient à la personne, au temps, et au lieu … Si elle exc
propos de dire encore deux mots pour les défenseurs de la Comédie. On convient que la Comédie ne fait pas des Saints ; mais elle
qui connaissait si bien la nature de nos maux, et le remède qui nous convient  ? N'a-t’il point voulu réformer les dehors avec l
55 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
, ne sont-ils pas en droit de vous adresser les mêmes plaintes ? Vous convenez vous-même qu’en 4 matière de Religion plus qu’en
& des Busembaums est celle de l’Eglise Catholique. Mais il ne me convient pas de prendre ici la défense de Messieurs de Gen
56 (1715) La critique du théâtre anglais « AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. » pp. -
es n’ont-ils pas déjà assez de traits dans leurs Poèmes auxquels peut convenir cet ouvrage, au défaut d’une critique particulièr
ens propre au sens figuré, à mesure que l’un ou l’autre me semblaient convenir davantage : j’ai étendu ce qui pouvait nous paraî
57 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
même un effet absolument contraire, et vous prétendez le prouver. Je conviens d’abord avec vous, que les Ecrivains dramatiques
eur second objet ? Soyons de bonne foi, Monsieur, avec nous-mêmes, et convenons que les Auteurs de Théâtre n’ont rien en cela qui
le veux ; cette question demanderait un trop long examen ; mais vous conviendrez du moins que la société, l’intérêt, l’exemple, pe
urs et ses faiblesses, pour nous en défendre ou nous en guérir ? Vous convenez que c’est l’objet de nos Tragédies ; mais vous pr
premier rôle, il est dégradé par le second. Le seul caractère qui lui convienne dans la Tragédie, est celui de la véhémence, du t
naire et froid, une de ces formules de politesse dont les hommes sont convenus de se payer réciproquement lorsqu’ils n’ont rien
que des esclaves à leurs plaisirs. La chasteté des Comédiennes, j’en conviens avec vous, est plus exposée que celle des femmes
elui de la nature) porte toujours à s’y livrer. Je me bornerai donc à convenir que la société et les lois ont rendu la pudeur né
58 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
ipes, et avec raison. Le Journaliste, confus d’en avoir fait l’éloge, convient que l’ouvrage est mauvais, « loue les Ecrivains q
ait un honnête homme, je n’en veux point à sa personne ; mais on doit convenir qu’un spectacle dont les plus belles pièces débit
ordres donnés ? Est-ce même à un fils à faire poignarder sa mère, et convient -il de créer un Néron parmi les ancêtres du Messie
de la tragédie de la Mort de César (que peut-être il a fabriquée), en convient de bonne foi. « On sent bien, dit-il, que l’Auteu
t s’efforçant de la défendre, fournit de quoi lui faire le procès. Il convient que c’est l’action la plus atroce : un fils qui é
n venue du ciel, qu’il appuie de l’exemple du sacrifice d’Abraham. Il convient qu’il a totalement changé l’histoire, qu’il n’a p
a vérité pour entasser toutes les horreurs qu’il peut s’imaginer ! Il convient qu’on en fut si frappé qu’on disait publiquement,
t pour former des Ravaillac et des Jacques Clément, et il ne veut pas convenir , malgré la vérité, que le gouvernement en défendi
is si l’Abbé Pellegrinad a eu part à ces pièces, mais leurs noirceurs conviennent aussi peu à l’état de l’un qu’au sexe de l’autre,
59 (1733) Theatrum sit ne, vel esse possit schola informandis moribus idonea « Theatrum sit ne, vel esse possit schola, informandis moribus idonea. Oratio,  » pp. -211
orité : non pas même comme Philosophe ; les subtilités Philosophiques conviennent peu à un Discours sur le Theatre. Je parlerai tou
venemens, dont la pompe & l’éclat frappent vivement vos esprits ? Convenez que pour en trouver de pareils, il faut les chois
dans les esprits un doute fort délicat : sçavoir si le même avantage convient à une autre espece de theatre, au theatre lyrique
uelquefois sur la Scéne à une noble & charmante gravité ! Vous en convenez . Je demande à présent que vous semble de la Danse
les cœurs, & y exciter une émulation digne de lui ? Pour n’en pas convenir (répondez-vous) il faudroit n’avoir ni oreille, n
e Theatre en général & sans restriction ? Permettez-moi de ne pas convenir avec vous que ces hommes doctes & pieux conda
e de ce discours, où il nous reste à porter nos regards, autant qu’il convient & qu’il est permis de le faire, sur les spect
ngé de mode, & de ne paroître aujourd’hui que dans la décence qui convient à la Nation la plus polie, la plus délicate, &
s éclats du peuple. Ont-ils bien examiné quels sont ceux dont il leur convient de mériter les suffrages ? Ont-ils compris que da
que leur Poëmes sont dans les régles de la bonne morale ? Ces Poëtes conviendront , à la vérité, qu’ils ne sont pas des Censeurs for
e qui est utile & sain, que des mets nuisibles ou dangereux. J’en conviens  ; & c’est cela même qui me fait avancer que l
ole voluptueuse, les Spectateurs réclamoient avec l’autorité qui leur convient , les Auteurs auroient-ils le front detourner &
60 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
un siécle sensé. Si l’Actricisme est un Exercice honnête (comme il en convient page 65), d’où vient suggérer cet odieux moyen de
la Représentation avait été autorisée par le Souverain. Cependant, je conviens que des intrigues, comme celle de l’Ecole-des-Mar
a France. Adelaïde. Mais le mal est fait. Des Tianges. J’en conviens  : aussi ne desaprouverais-je pas qu’il y eût des
rons à sa punition dans le personnage du Drame : monsieur Rousseau en convient ailleurs, & met cette vérité dans le plus bea
. Monsieur Rousseau passe ensuite à l’examen de quelques Pièces : il convient qu’il ne faut pas toujours regarder à la catastro
e toutes les Comédies sont Pièces d’Instruction ? Adelaïde. J’en conviens  ; & je n’ai donné cette dénomination a quelqu
us commençans. La septième Classe est, je pense, dans le rang qui lui convient  ; ainsi que la huitième, où vous regretterez peut
*, des Du*, des B***, &c. Des Arcis. Je pense, Madame, qu’il convient d’en agir ainsi, pour bien des raisons : il ne fa
ns, ces passions excitées, ce plaisir donné qui vous effraient ? Vous conviendrez , mon ami, que si la source en est pure, l’écoulem
op accueilli, trop encouragé, trop protégé par le Gouvernement : mais convenez que la Noblesse sur le Théâtre choque furieusemen
& vos sabbats de femelles où l’on médit ? Il est vrai, & j’en conviens avec vous, cette médisance tant blâmée, est un fr
is-je, furent appliqués aux premiers Rois qui règnèrent, selon qu’ils convenaient à leurs caractères : & cela est très-naturel,
Bacchus, quoiqu’il n’exprimât guère mieux ce qu’il voulait designer, convenait davantage à un Ouvrage sérieux. De-là ce mot du P
tous les Auteurs qui ont traité de l’art Dramatique, se réunissent à convenir que la Tragédie à précédé la Comédie. Mais tous c
n polie au-contraire n’en veut que de riantes. C’est ici où l’on doit convenir que le Paganisme était bien plus favorable à la P
ssement utile & même nécessaire, il a permis les Représentations. Convenons qu’il a fait tout ce qu’il pouvait faire, dans l’
la Représentation, & sur-tout de la profession de Comédien. L’on convient ici, que les dangers du Théâtre seront aussi réel
ne donneront plus lieu qu’à l’amour honnête ; & le Sage de Genève convient qu’il est une vertu. Laissons à leurs sombres idé
que son mérite personnel le fesait bien recevoir par-tout. *. Ce nom convient -il ? l’Enfer & le Purgatoire ne sont guéres s
61 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. » pp. 136-137
qui n’accorde facilement, du moins qu’être bouffon de profession, ne convient pas à un homme grave, tel qu’est sans doute un di
62 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIV. » pp. 66-67
entôt la reprendre. Car l’idée de Poète Panégyriste de votre Héros ne convient point du tout à sa Majesté et ne lui ferait point
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
sont pas trop bien écrites, on doit me savoir gré de ma franchise. Je conviendrai encore, que si j’avais voulu soutenir le contrair
us les Ecrivains, de quelque nature qu’ils puissent être ; le prémier convient à merveilles à notre Spectacle ; c’est celui qu’i
ée que nous nous formons des choses ne leur accorda jamais, & qui convient à peine à la cage. Je demande, qu’elle image l’es
fois de parler Français. Négligences de stile dans Racine. On convient que Racine est l’auteur le plus élégant que nous
64 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
eligieuses. Lorsqu’on représentait, à Madame de Maintenon qu’il ne convenait pas de jouer à S. Cyr des pièces de théâtre, elle
ner du ridicule aux Religieux, par un vernis de théâtre. Mais il faut convenir que ces divertissements, au-dessous de la gravité
e du sacré et du profane. 5.° Que ces récréations toutes mondaines ne conviennent point du tout à des personnes consacrées à Dieu,
s pièces au P. Missionnaire, qui refusa de choisir, disant qu’« il ne convenait ni à sa profession de Ministre du vrai Dieu, ni à
65 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
es que vous avez quelquefois supposés, plutôt qu’établis. D’abord, je conviens que je suis un de ces partisans du théâtre, qui v
e ? « Rien de tout ce qui paraît au théâtre (continuez-vous) ne nous convient , parce que nous y voyons toujours d’autres êtres
vouloir instruire les spectateurs, on ne les instruit plus ; il faut convenir que toutes les productions de l’esprit auront du
laisirs physiques est commun à tous les hommes ; l’amour de la gloire convient à des Rois, et c’est dans leurs âmes qu’il faut l
66 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
se s’exercer, elle est fausse ; & avec un peu d’attention, ils en conviendront aisément. En effet, qui est-ce qui a assez peu ét
e, & je veux qu’elle instruise. Si son but n’est que d’amuser, je conviens qu’elle a parfaitement réussi, & même qu’elle
67 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VII. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques étaient distingués des Histrions et Bateleurs des Jeux Scéniques. » pp. 145-164
nt les Tragédies ne dansaient ni ne chantaient, et ces deux choses ne convenaient qu'aux Chœurs ; Mais ceux qui par leurs danses ex
ient pas attachées de nécessité, le nom de Scéniques ne leur a jamais convenu que par analogie, et seulement parce qu'elles éta
68 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
p hardies et qu’il sera facile de changer. On y voit de l’amour, j’en conviens  ; mais il serait à souhaiter que tous les amours
savait traiter comme il faut la bonne critique, et distinguer ce qui convient à la farce, on ferait des ouvrages fort utiles à
69 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
leins d’éloquence Sais confondre l’erreur, et bannir l’ignorance.  Je conviens avec toi que des hommes pécheurs Devraient avoir
70 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
héâtre rapprochent ces principes ; & s’ils sont de bonne foi, ils conviendront que les spectacles sont opposés au véritable espr
ous prêcheroit cette morale que vous sentez intérieurement ne pouvoir convenir à un disciple de Jesus-Christ ? Le plus grand re
es Conciles & les Docteurs à les proscrire avec tant de sévérité, conviennent à tous & sans réserve ; ces raisons, les voic
esprit de leur Religion. Or, cette premiere preuve de saint Ambroise, convient -elle aux spectacles de nos jours ? On reconnoiss
on cœur complice. Or, cette seconde preuve encore tirée de Théophile, convient -elle aux théâtres de nos jours ? Les spectacles
deux preuves enfin de Tertullien & de saint Jean Chrysostôme, ne conviennent -elles pas aux théâtres de nos jours ? Avouez donc
Docteurs, puisque les raisons qui les ont engagés à condamner les uns conviennent également aux autres ; & puisqu’ils ont trouv
pas l’esprit.Le théâtre forme donc, il délasse l’esprit d’abord j’en conviendrai , si c’est former l’esprit de le repaître de vanit
esprit de le repaître de vanités, de mensonges & de fables ; j’en conviendrai , si c’est former l’esprit de le remplir de sentim
sujet.Il forme cependant, il délasse l’esprit. Encore une fois, j’en conviendrai , si c’est former & délasser l’esprit que de l
me sujet.Il forme cependant & il délasse l’esprit. Oui enfin j’en conviendrai , si vous pouvez me citer, je ne dis pas un seul D
teur de l’Eglise ; mais un seul Sage du Paganisme même qui veuille en convenir avec moi. Mais ce ne sera pas certainement celui
é mille fois par une triste expérience, & cependant personne n’en convient . Je me trompe, on en convient en général, mais on
périence, & cependant personne n’en convient. Je me trompe, on en convient en général, mais on ne croit plus trouver de dang
71 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
, vient jouer des airs de mandoline, sous les fenêtres d’Inès, signal convenu pour qu’elle sorte en habit d’homme et soit enlev
omme ruiné qui emprunte de l’argent ; à la fin il se découvre et fait convenir le jeune homme qu’il l’a trompé. Ce fonds, assez
i le desir, ni le refus, ni l’espoir, ni le chagrin, ni la volupté ». Convenez que des élèves si bien endoctrinés doivent faire
intérêt, qui manquent aux productions qui sont représentées. Ce sont, convenez -en, des institutions bien commodes que celles où
r dégrés jusqu’à étendre à toutes les femmes les dénominations qui ne conviennent qu’à ses maîtresses. Du mépris pour le sexe naiss
72 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VIII. » pp. 42-43
a Chaise, le personnage que l’on fait jouer à ce faux Dieu ne pouvant convenir qu’à sa Révérence. Car qu’est-ce que Mercure pren
73 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87
uelque avantage, faire voir par ce saint docteur, que cette condition convienne aux bouffonneries poussées à l’extrémité dans nos
74 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
le, & elles préferent d’exercer tous les talens séducteurs qui ne conviennent point à une femme honnête. Les jours ne sont pas
garant de ce que j’avance le fameux Riccoboni. Cet Auteur, après être convenu que dès la premiere année qu’il monta sur le théa
grand bien que produiroit la suppression entiere du théatre, & je conviens sans peine de tout ce que tant de personnes grave
suffire pour en inspirer de l’horreur, si on étoit assez sincere pour convenir qu’ils sont la véritable cause des désordres de n
75 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXI. Si les Comédiens épurent les mœurs. Des bienséances qu’ils prétendent avoir introduites sur le Théatre » pp. 86-103
Théatre. Enfin, Ricoboni le pere, Comédien assez fameux, après être convenu que dès la premiere année qu’il monta sur le Théa
composition, je n’en demande pas d’avantage pour la faire siffler. Je conviens qu’il ne faut pas s’en prendre uniquement aux Com
76 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
il se borne à l’art de la représentation, c’est-à-dire, à tout ce qui convient à soi-même, ou à la scène, pour bien imiter ses p
senter sur la scène, d’y venir à propos, d’y prendre la place qui lui convient . Outre qu’il n’y a rien en tout cela qui fasse pr
77 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
ce point tant qu’on voudra la pureté du Théâtre moderne. » Il ne nous convient pas & il est inutile d’examiner ici s’il est
78 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre V. Il n’est point de Drame sans Mœurs. » pp. 139-141
cette éxactitude qu’on a de donner à chaque Artisan le genre qui lui convient . Il suit à la lettre le précepte d’Aristote qui d
79 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81
qui sont de ne rien dire et ne rien faire d’illicite, ni rien qui ne convienne aux affaires et au temps » : et voilà tout ce que
80 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre X. Les spectacles ne sont propres qu’à rendre romanesques ceux qui les fréquentent. » pp. 102-104
eproche à Simpronia, comme de savoir danser et chanter mieux qu’il ne convient à une honnête femme. Les jours ne leur paraissent
81 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
ité…. Pourvu que le peuple s’amuse cet objet est assez rempli. » J’en conviendrai avec vous, lorsque je serai affecté comme vous, l
n en connoîtra la dépravation. Ce n’est pas l’ouvrage d’un jour, j’en conviens , mais corrige-t-on les défauts des hommes avec au
urs qu’il ne peut que suivre et; embellir. » Permettez-moi de ne pas convenir de ce que vous dites, à moins que vous ne prétend
passagere. Voilà aussi l’effet que produit la Tragédie. Je veux bien convenir avec vous, que la vengeance, l’amour, l’ambition,
rite n’aura point de retour sur lui-même en voyant jouer Tartufe ? Je conviens qu’il y a des gens assez dépravés pour se dire à
rable, ce seroit toujours outrer la matiere que de vouloir nous faire convenir que les massacres des gladiateurs n’étoient pas s
pitié de notre pere, lorsque vous l’assassinâtes si cruellement ? Je conviendrai avec vous que si nos Tragédies avoient des défaut
, que le Misantrope ne soit un sujet très-propre à être censuré. Vous convenez vous-même qu’Alceste a des défauts réels dont on
sont méchans Et les autres, pour être aux méchans, complaisans. Je conviens que s’il ne peut avoir de commerce qu’avec de tel
lleure et; la plus saine morale, sur celle-là jugeons des autres, et; convenons que l’intention de l’Auteur étant de plaire à des
t qui vous seroit bien glorieux, parce qu’il vous couteroit beaucoup, convenez de bonne foi, que l’intention de Moliere n’a pas
se mettre à sa place ? Que répondre à cela ? Lecteur, j’en ris. Vous convenez , Monsieur, que nos Auteurs modernes, guidés par d
era l’animosité. Tout homme a ses foiblesses. Les Spectacles, vous en convenez , peuvent être utiles dans les grandes Villes, pou
abitans des environs de Neufchâtel soit le plus heureux de tous, j’en conviendrai avec vous, à la faveur de la peinture que vous no
eules qu’appartient l’honneur de faire rougir un honnête homme. Je ne conviens pas non plus que la seule chose dont une femme bi
rtiront celles de l’autre. Combien de personnes seront dans le cas de convenir avec elles-mêmes de cette vérité ! N’allez pas au
ue de substituer la Comédie aux coteries. Vous savez bien que je n’en conviendrai pas, parcequ’en vérité je ne crois pas le devoir.
82 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
r celui que j’ai le plus de répugnance à traiter, et dont l’examen me convient le moins ; mais sur lequel, par la raison que je
sement ; et s’il est vrai qu’il faille des amusements à l’homme, vous conviendrez au moins qu’ils ne sont permis qu’autant qu’ils s
angage et ses vêtements. On se dit bien que rien de tout cela ne nous convient , et l’on se croirait aussi ridicule d’adopter les
me il n’y a personne qui n’aimât mieux être Britannicus que Néron, je conviens qu’on doit compter en ceci pour bonne, la Pièce q
que. Prenons-le dans sa perfection, c’est-à-dire, à sa naissance. On convient et on le sentira chaque jour davantage, que Moliè
illeure et la plus saine morale, sur celle-là jugeons des autres ; et convenons que, l’intention de l’Auteur étant de plaire à de
ontribuent à se rendre méprisables, en renonçant au maintien qui leur convient , pour prendre indécemment la parure et les manièr
éral sera le même sur tous les hommes ; mais les hommes ainsi changés conviendront plus ou moins à leur pays. En devenant égaux, les
qualité de vils assassins, restés soumis aux tribunaux criminels. Je conviens que plusieurs duels n’étant jugés qu’après coup,
contestables. Vous me direz qu’il n’en résulte que des préjugés. J’en conviens  : mais ces préjugés étant universels, il faut leu
se montrer au public, et qui pis est, de se montrer pour de l’argent, conviendrait à d’honnêtes femmes, et pourrait compatir en elle
veulent pas voir ce que la raison leur montre, mais seulement ce qui convient à leurs passions ou à leurs préjugés. Si tout cel
notre perte. Genève ne contient pas vingt-quatre mille âmes, vous en convenez . Je vois que Lyon bien plus riche à proportion, e
gaieté, ces amusements ont quelque chose de simple et d’innocent qui convient à des mœurs républicaines ; mais, dès l’instant q
es des amis, des citoyens, des soldats, et par conséquent tout ce qui convient le mieux à un peuple libre. On accuse d’un défaut
personnes passent ainsi leurs jours, livrées aux occupations qui leur conviennent , ou à des amusements innocents et simples, très p
e sans modestie et sans discrétion. On me dit que cela les forme ; je conviens que cela les forme à être impertinents et c’est,
sons que j’en pourrais donner, je me contenterai d’en choisir une qui convient mieux au plus grand nombre : parce qu’elle se bor
coûteux qu’il se donnerait au défaut de celui-là. Il suffit, pour en convenir , de faire attention que la différence du prix des
igeant nos goûts et nos inclinations sur les choses du monde qui nous conviennent le moins. La Tragédie nous représentera des tyran
ortes d’imitations, mais seulement celles des choses honnêtes, et qui conviennent à des hommes libres57. Il est sûr que des Pièces
’auraient pas un poids suffisant pour contrebalancer les vôtres, vous conviendrez au moins que, dans un aussi petit Etat que la Rép
qu’on les voit briller avec un véritable air de fête. A quels peuples convient -il mieux de s’assembler souvent et de former entr
é qui la produit. L’hiver, temps consacré au commerce privé des amis, convient moins aux fêtes publiques. Il en est pourtant une
je m’en charge après lui ? Tout est dit, en avouant que cet usage ne convenait qu’aux élèves de Lycurgue ; que leur vie frugale
aient guère sages. Nous n’avons à la place que le mot de Dames qui ne convient pas à toutes, qui même vieillit insensiblement, e
83 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XII. La représentation des pièces de théâtre est plus dangereuse que la lecture. » pp. 108-110
enchantements et l’ensemble du spectacle, on ne pourra s’empêcher de convenir qu’il n’y a point de comparaison à établir entre
84 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
à M. de Voltaire qui, s’y trouvant nommé et critiqué, ne cessa pas de convenir que j’avais raison ; et qui me pria d’annoncer, l
uelque sorte, excuser sur la condescendance qu’ils ont pour Jason. Je conviens aussi que Médée a de fortes raisons pour s’emport
e voir les objets, doivent y mettre des distinctions essentielles. Je conviens que dans le dernier cas l’humanité l’emporte, et
et que la compassion est plus propre à corrompre qu’à corriger : j’en conviens , et même je tâcherai de le prouver dans l’examen
85 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144
m potius. Il n’est pas nécessaire de faire valoir cette raison : nous conviendrons aisément que la Tragédie nous procure un plaisir
ne, les graces naturelles du Stile. Sa Versification est la seule qui convienne à la Comédie, & sa Prose même a un agrément q
86 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
son impression. Mr. DrydenL’Astrologue Joué. dans une de ses préfaces convient qu’on l’a blâmé pour en user de la sorte ; « pour
et il n’est pas clair non plus que les choses en soient venues là. Je conviens que ce Face, l’un des principaux imposteurs du Ch
onde fin. « L’affaire essentielle du Poète est de réjouir. » Quand je conviendrais de ce principe, je ne sais si M. Dryden en serait
z de faire dire des choses où il y ait beaucoup d’esprit, si elles ne conviennent pas à la personne qui les dit, ou qu’elles soient
li. Action de tabarin, ou bouffonnerie (Littré). ar. [NDE] Seyait = convenait . as. [NDE] On corrige Cornwall et Coswald at.
87 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XX. Exemples de pratique. » pp. 48-50
cellente & tout don parfait descend .   Nota pour la page 30. On convient assez que chaque Représentation produit aux Coméd
88 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre X. Des entrées faites aux Rois & aux Reines. » pp. 205-208
onheur & pour le Heros, & pour le Poëte : quand l’Allegorique convient mieux & fait un plus beau Jeu, le Poëte y a b
89 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
avoure est une qualité estimable dont il est beau de se piquer : elle convient surtout à une Noblesse généreuse appelée par sa n
ables à leur bonheur particulier, et à celui de l’Etat en général. Il convient donc de leur laisser leur indifférence en matière
de bâton à Mascarille et à Jodelet dans les Précieuses Ridicules, je conviendrai de bonne foi que le spectacle non seulement est m
r leur hardiesse, leur prévoyance, et la justesse de leur esprit ? Je conviens que Ravaillac et Jacques Clément ont existé avant
grands applaudissements. Le Quiétisme Tolérant de la Pennsylvanie ne convient point du tout à la France : on applaudit cependan
nables doivent se soumettre ? « Non, direz-vous en style Clinique, il convient d’être seul de son parti, quand on est seul raiso
ient d’être seul de son parti, quand on est seul raisonnable » : j’en conviens , mais quand le Public est sage, il est beau sans
90 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210
journée. Le vin, les exercices violents, les femmes ne peuvent guère convenir à des gens extenués de fatigue et sûrement leur s
avail fatiguant et assidu. Le spectacle est donc l’amusement qui leur convient le mieux ; mais pour juger de son utilité la plus
des complots dangereux. C’est une bonne chose dont on pourrait, j’en conviens , reprocher aux Césars qu’ils abusaient ; mais dan
es avantages qu’on peut tirer de la scène. A Paris comme à Genève, il convient au Théâtre de montrer le Vice dans toute sa laide
posés de la Justice, de porter des Armes quelconques. Cette loi, j’en conviens , est terrible ; elle est même injuste en un sens,
e, n’a-t-on jamais sifflé des Acteurs qui ne le méritaient pas ? J’en conviens  : donc leur profession est flétrissante par elle-
rès deviennent les gens du monde les plus vertueux : il faut pourtant convenir avec vous-même ; et si l’emploi de chaque Comédie
91 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
cription de l’Opéra est copiée de Boileau, de Voltaire. Tous les deux conviennent que l’Opéra n’est qu’une leçon de volupté, dont l
lupté, dont les ames les plus pures ne peuvent se défendre.     J’en conviens , il est vrai, la bonne Comédie Repand le ridicule
eau, tous les adversaires du théatre, n’en ont pas dit davantage. Ils conviennent qu’il corrige des ridicules, mais non des vices ;
’ordre littéraire, le Philosophe est un Ecrivain très-mediocre. Il en convient  ; & il est surprenant qu’avec des idées si pe
92 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75
éritent aussi-bien que les Veuves le double honneur, le seul qui leur convienne , de la traduction Turque & de la représentati
assez ordinairement l’unique fonds de bien des Auteurs ; mais il faut convenir que dans des pieces aussi courtes, dont il faudro
, admirateur décidé, & trop admirateur pour n’avoir pas été payé, convient que ce stratagème, trop froid pour plaire, avoit
onnable, le Philosophe ne montre qu’un esprit faux & superficiel. Convenons que toute cette morale de théatre, toute la préte
93 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28
lui faire honneur d’un triomphe qui ne mérite que nos larmes ? Il en convient même sans y penser, car si aujourd’hui le masque
tant combatu. Clement dans ses Lettres, S. Foix dans son Théatre, en conviennent . Les pieces de Moliere sont heureuses d’être admi
de novembre 1765, en veut fort au Théatre de la Foire, & il faut convenir que les règlemens faits pour l’Opéra comique, &am
es fonctions les plus sérieuses, une scene, une action indécente vous convient mieux. Allez grossir la foule de la frivolité qui
94 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
nt le plus accorder à tout le monde la lecture des Ecritures, doivent convenir qu’elle n’est pas faite pour le théâtre ; que c’e
ieurs raisons de la conduite de Jésus-Christ et de S. Paul. 1.° Il ne convient pas, dit Tertullien (L. 4. contra Marcionem), que
, de peur que leur haleine pestilentielle n’infectât l’air. 2.° Il ne convient pas qu’un Chrétien paraisse avoir aucun commerce
onnaire, à qui la place qu’il donne aux Jansénistes et aux Molinistes conviendrait aussi bien que son exclusion de l’Académie frança
95 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
notre communion » : « An talis debeat communicare nobiscum ». « Il ne convient ni à la Majesté divine, ni à la discipline, ni à
formules modernes, conformément à la décision des décrétales, il faut convenir que cela est vrai. Mais aussi, pour peu que l’on
il fait un acte de communion ecclésiastique avec le théâtre ? Il faut convenir que voilà de la plus fine mixticitém, que tous le
roit et de faire des poursuites légales (comme M. l’Avocat général en convenait ). Les Comédiens représentaient que ce spectacle,
96 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
ler à la Comédie, et de nous amuser à de tels divertissements. Ils ne conviennent pas à des soldats de Jésus-Christ, qui doivent êt
le. Ilp. 5. en fait un grand éloge et bien inutile. Car tout le monde convient que la doctrine de cet Ange de l’Ecole, de ce Maî
don de l’infaillibilité dans tous les points qu’il a traités. Elle ne convient qu’aux Ecritures dictées par le Saint Esprit, et
n’en soit pas interrompu. Et la troisième est, que le divertissement convienne aux personnes et au temps. Or ces trois précautio
eut qu’on apporte, pour que le divertissement soit louable, est qu’il convienne aux personnes et au temps. Or peut-on dire cela d
rsonnes et au temps. Or peut-on dire cela de la Comédie d’à présent ? Convient -elle à des Chrétiens qui sont des enfants d’un Di
97 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
on ne lâche aucun mot quine parte du cœur. Je crois que tout le monde convient de cela avec lui. On montre un sonnet à Alceste,
a se confier aveuglément aux dehors trompeurs d’une fausse dévotion ? Convenons donc qu’une Comédie, pour atteindre à son but, ne
98 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
omédiens sur le nombre des pièces qu’on leur présence chaque jour. Je conviens que cela peut les déranger quelquefois. Mais leur
99 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
nisme, qui ne sont bien caractérisés que par l’humilité, & qui ne conviennent qu’à ces prétendus grands hommes de l’Antiquité p
100 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
e moquaient de l’impuissance et de la méchanceté de leurs dieux. J’en conviens , mais ce sont des chrétiens qui leur mettent ces
/ 361