/ 392
1 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
e fois dans la Mer. Et SénèqueSene. ep. 7. dit qu’il n’y a rien de si contraire aux bonnes mœurs que ces jeux, qui insinuent le v
eurs, comme de dire que ce qu’on voit aux Comédies, est ordinairement contraire à la vertu et aux bonnes mœurs par la raison ci-d
et qui fait ce qu’on a appelé Spectacle. L’Ecriture Sainte est-elle contraire à tels Spectacles et recréations ? Il ne faut qu
une notable partie du temps à ces folies et extravagances, absolument contraires à la profession Chrétienne, et à la loi de Dieu,
réjouir selon le Diable ? C’est quand on met son plaisir aux choses contraires à la règle de la Doctrine de l’Eglise, comme nous
ifférence de celle-ci aux autres est si visible, qu’elle paraît toute contraire . En quoi paraît cette si grande différence ? C’
2 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
concevrai-je que Dieu le punisse de ne s’être pas fait un entendement contraire à celui qu’il a reçu de lui ? Si l’on ne voit pa
justice. Qu’en pareil cas ils interprétent de leur mieux les Passages contraires à leur opinion, plutôt que de l’abandonner, que p
t, comme tout bon Catholique, ne se permettra jamais des sentimens si contraires à la croyance qu’on doit aux Mysteres de Foi, quo
3 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
. C’est en ne voulant plus qu’on y enseigne une Morale si pure, et si contraire à vos maximes relâchées, mais qu’on y substitue c
ns probable et moins sûre en faisant ce qui est péché selon l’opinion contraire qui nous paraît plus probable. Le 2. Principe réd
nt négatif par lequel il nous serait défendu de rien faire qui serait contraire à cet amour, mais aussi affirmatif qui nous oblig
l’on se met à couvert de cette obligation en souscrivant à l’opinion contraire . D’où il s’ensuit que selon cette moelleuse Théol
4 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre III. Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. » pp. 14-21
s en leur présence ; parce que ce sont des inventions diaboliques, et contraires à l’esprit de l’Eglise, et aux Canons. Mais il y
ont pas illicites à l’égard des Clercs, lorsqu’il ne s’y mêle rien de contraire à l’honnêteté, et à la modestie ; cette objection
encore plus puissamment cette illusion, ce qui ne passerait pas pour contraire à l’honnêteté, si on le prenait absolument, d’une
5 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
s Ecrivains ont remarqué) nous ont donné plusieurs préceptes qui sont contraires à la vérité et à la raison : depuis deux mille an
se, que je n’ai point écrite au hasard, on ne m’accusera point d’être contraire à moi-même. Je me suis, il est vrai, conformé à c
on ; mais je ne les écoute pas quand elles forcent la nature, et que, contraires au bon sens et à la raison, elles ne tendent qu’à
6 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
; ses règles dans l’administration du Sacrement de Pénitence, étaient contraires aux vôtres ; il voulait qu’on mit en usage bien p
us ne lui donnerez ni approbation ni louange lorsque sa conduite sera contraire à la votre et qu’il n’agira point selon vos maxim
7 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
n vous faisant voir combien ce silence est injuste, et combien il est contraire à la piété et aux sentiments que les véritables C
ait entièrement le souvenir,1 on n’a qu’à lire pour être convaincu du contraire , le Décret qui se faisait en suite de l’Election
8 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIX. Les Spectacles condamnés par les saintes Ecritures. » pp. 164-167
tout ce qui vous empêche d’y penser, et qui vous inspire des pensées contraires , ne doit point vous plaire, et doit vous être sus
oivent qu’inspirer du dégoût et du mépris pour des divertissements si contraires à l’esprit évangélique qui est un esprit de pénit
9 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
représentations étant d'exciter les passions, elles sont directement contraires au Christianisme. Quand même elles ne les exciter
uent aux autres de contribuer à les entretenir dans une profession si contraire au Christianisme. Si tout le monde s'accordait à
olèrent-elles pas les Comédiens ? R. L'esprit des Lois a toujours été contraire au Théâtre. Elles ont toujours flétri les Comédie
10 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
s d’une manière très indigne de la foi qu’il professe, et entièrement contraire à l’esprit de la Religion Chrétienne ; car il ne
ns et dans la débauche, et s’ils renonçaient à ces divertissements si contraires à l’honneur de Dieu, et à la piété de son Eglise 
e soient pas toujours mauvais, et qu’ils ne soient pas de leur nature contraires à la vertu ; les Pères de l’Eglise, et les saints
rle encore bien clairement sur ce sujet. « C’est, dit-il, une coutume contraire à l’esprit du Christianisme, que celle qu’on voit
11 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
e manifeste; car il marque que c'est parce que ces spectacles étaient contraires aux commandements de Dieu. Mais comme en ce temps
faut persécuter personne, pour l'obliger de faire des choses qui sont contraires aux Commandements de Dieu; mais on doit laisser c
res divertissements semblables, qui sont des restes du Paganisme sont contraires à la discipline Chrétienne; combien ils sont exéc
12 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
Ad Rom. 6. V. 11. Sur le Batesme. VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême. NOus vîmes hier, N., q
-ils pas les mœurs par tant de mauvais sentimens qu’ils inspirent, si contraires aux maximes de l’Evangile ? Voilà, M. P., ce que
ntes, mauvaises & dissolues, ou qu’ils ne fassent point d’actions contraires à l’honnêteté. » Il est donc évident que ce saint
suetudine, lib. I titulo 4. Ce Pape est mort en 1216.Tout ce qui est contraire aux loix de l’Eglise & à ses constitutions ca
ne autorité, & n’est qu’un pur abus. Or la comédie est évidemment contraire aux loix de l’Eglise, qui l’a toujours condamnée 
mais il n’y a jamais envoyé de comédiens, pour y débiter des maximes contraires à cet Evangile, comme font tous les gens de théat
éternelle. Amen. Sur le Batesme. VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême. Tertullien mort en 216.
13 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
Ce discours vous devrait flatter bien sensiblement puisqu’il est tout contraire à celui qui vous a si rudement choqué : Mais si j
il arrive que quelqu’un dit un peu rudement que ces deux Esprits sont contraires , Il est certain que le meilleur pour les Poètes c
ivement tout ce qu’il avance, quoique vous ayez dessein de prouver le contraire . Il dit que les Poètes de Théâtre ne travaillent
rendre bonne ? Avec quel esprit avez-vous donc joint deux choses plus contraires que n’étaient l’Arche d’Alliance, et l’Idole de D
avec celle de Desmarets. En vérité vous ne pouviez rien faire de plus contraire à cette gloire que vous poursuivez si ardemment,
éloigner davantage, il a fait toutes les actions qui lui sont le plus contraires . Mais s’il a bêché la terre comme vous dites, ave
ité et le mensonge, la sagesse et la folie, et qu’il n’y a rien de si contraire que vous n’ajustiez dans vos comparaisons. Pour v
14 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
la science diabolique, opérante par philaphtiea et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Ci
e est tenu d’ôter la confrérie, plutôt que permettre telles choses si contraires marcher ensemble : comme aussi il n’est raisonnab
tous les maux. m. [NDE] Il y montre que dans les théâtres, tout est contraire à la piété et à l’honnêteté. n. [NDE] Saint Cypr
15 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
quefois des sujets conformes aux loix divines, quelquefois des sujets contraires , quelquefois des sujets en partie conformes, &
ntraires, quelquefois des sujets en partie conformes, & en partie contraires à ces loix. Nous pouvons remarquer la mesme diffe
tat qui en fait concevoir de l’horreur : & elles ne sont non plus contraires au respect que nous devons à ces images parlantes
’aller à la Comedie quand on sçait que les Pieces qu’on y jouëra sont contraires à la chasteté, à la pieté, au respect qu’on doit
eres ne doivent pas permettre à leurs enfans de commettre des actions contraires à ce que Dieu leur ordonne, ils sont obligez, à p
ar l’obligation de défendre les méchans livres. La défense des livres contraires à la pieté & aux bonnes mœurs est un des devo
leur devoir, s’ils permettoient toutes ces choses, lorsqu’elles sont contraires à la seureté, à l’épargne, & à la bienseance
du préjudice au public ; & Dieu veut qu’ils défendent ce qui est contraire à la premiere & à la souveraine des loix, qui
Point. Un Magistrat souffriroit sans peché qu’on jouë des Comedies contraires aux bonnes mœurs, & à la Religion ? Il souffr
e, & du monde, qu’il ne leur pardonnera point une complaisance si contraire à leur devoir, au bien public, & à sa propre
ocentes, mais parce qu’ils sçavoient que la plus grande partie estoit contraire à la Religion, & aux bonnes mœurs, & que
à ce hazard, sans offenser celuy qui nous défend une indiscretion si contraire à la crainte que nous devons avoir de luy déplair
16 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
Quelques exemples de leur insolence, 170 Conduite du Théâtre Anglais contraire en ce point à l’usage de toutes les nations, 191
ication de l’Astrologue Joué, dans sa Préface, 254 Sentiment d’Horace contraire à celui de l’Astrologue joué, 256 Exemple de Ben
17 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
olir, 119 Argent, ne doit point en recevoir des Comédiens, 291 Arnobe contraire aux Spectacles, 155. Se moque des Païens qui lais
défenseur de la Comédie, avoue que les Pères et les Conciles lui sont contraires , 3. Que les Religieux et les Prêtres pécheraient
rléans, 242. De Grenoble, 246. De Nyon, 247. de Toulon, 253 T Tacite, contraire aux Spectacles, 139 Tapia Casuiste Espagnol, son
18 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
de la Sagesse : « Trompons le juste, parce qu’il nous nuit, qu’il est contraire à nos œuvres, et qu’il nous reproche nos péchés,
ent, et je ne vous ai marqué les raisons de ceux qui n’étaient pas si contraires à ces deux vers, que parce que vous témoignez dan
19 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
êmes, comme Sénèque, ont regardé les Comédies, comme la chose la plus contraire aux bonnes mœurs : « Nihil tam moribus alienum, d
t pour renverser les véritables maximes de l’Evangile par des maximes contraires , qu’ils tâchent de rendre agréables par leurs bou
tatem se, non consuetudinem cognominavit. » Enfin une coutume qui est contraire aux Lois de l’Eglise et aux Constitutions Canoniq
-on sans faire une injure atroce à ce Saint, lui imputer une doctrine contraire à celle des Conciles et des Pères de tous les siè
es gens du dehors en puissent avoir connaissance ; car nous savons le contraire  : puisqu’un Prêtre qui avait été Religieux dans u
20 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
porte en soi-même, pour juger que ce divertissement est périlleux et contraire à la piété : Qu’il interroge sa propre conscience
est presque toujours pour le plus mauvais parti. Qu’y a-t-il de plus contraire à la Loi qui nous fait adorer un Jésus-Christ cru
chent de donner une extrême aversion de ces actions de Théâtre, comme contraires à la religion et à la dévotion. Si vous voulez fa
eurs fausses divinités : où comme s’il ne s’y passait rien qui ne fût contraire à l’humanité naturelle, à l’homme qui abhorre le
21 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
pté des principes basés sur l’injustice la plus révoltante et la plus contraire à l’indépendance, aux prérogatives, et à la digni
Nous ajouterons qu’une conduite aussi blâmable et même coupable, est contraire à la charité chrétienne, puisque le prêtre en rej
émesuré, ce conflit d’autorité, cet abus de puissance est tout à fait contraire à l’esprit de notre sainte religion et à la volon
ai, de ce qui n’est qu’en question. Cette supposition est entièrement contraire à la raison, puisque dans tout raisonnement, ce q
22 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
urs Provinces, ils défendaient expressément d'y mêler aucune chose et contraire à la pudeur et aux bonnes mœurs. Il est certain q
impudentes, et les Comédies libertines, où l'on mêle bien des choses contraires au sentiment de la piété, et aux bonnes mœurs, ra
23 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
et agréables : licet interdum joca honesta ac suavia sint : ils sont contraires à la règle de l’église : ab ecclesiastica abhorre
dit, est opposée à la règle. Saint Thomas pour adoucir ce passage si contraire à l’eutrapélie d’Aristote, dit que ce père a voul
24 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
tire de la nature des choses. Les prêtres païens, plus favorables que contraires à des spectacles qui faisaient partie de jeux con
loin de suivre à cet égard l’exemple des Grecs, en donnèrent un tout contraire . Quand leurs lois déclaraient les comédiens infâm
eureuses chrétiennes, si elles le sont encore, dans une profession si contraire aux vœux de leur baptême, comme des esclaves expo
25 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XV.  » p. 470
Il faut que la jalousie y entre, que la volonté des parents se trouve contraire , et qu'on se serve d'intrigue pour la faire réuss
26 (1675) Traité de la comédie « XV.  » p. 296
nsport, que la jalousie y entre, que la volonté des parents se trouve contraire , et qu'on se serve d'intrigues pour faire réussir
27 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIII.  »
auseraient une intempérie: parce que cette sorte de nourriture serait contraire à la fin du manger, qui est de conserver la vie d
28 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXII.  » p. 492
considère comme pécheur, il doit reconnaître qu'il n'y a rien de plus contraire à cet état qui l'oblige à la pénitence, aux larme
29 (1675) Traité de la comédie « XXIII.  » p. 311
auseraient une intempérie; parce que cette sorte de nourriture serait contraire à la fin du manger, qui est de conserver la vie d
30 (1675) Traité de la comédie « XXXII.  » p. 327
considère comme pécheur, il doit reconnaître qu'il n'y a rien de plus contraire à cet état qui l'oblige à la pénitence, aux larme
31 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
e, dès que la majeure part des saints Ministres se trouve en un parti contraire . Quel cas fit-on de l’opposition des Eusebiens, à
elle ne sçauroit légitimer ce que la Loi de Dieu défend, un amusement contraire aux bonnes mœurs & à la religion chrétienne,
32 (1700) IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, etc. [Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquiéme partie] « IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, &c. » pp. 95-126
temps les Chrétiens ne devroient point faire à Dieu une priere toute contraire , & dire avec le S. Roy Prophete, Psalm. 118.
a plus forte raison qu’ils leur en apportoient, étoit, que cela étoit contraire à leur profession, & qu’ils devoient se souve
es spectacles sont comme une école, où l’on enseigne une Morale toute contraire à l’Evangile, & à la Religion. Cela n’est poi
iser l’injustice par d’illustres exemples, & les maximes les plus contraires à la Religion, passer pour de grandes vertus, &am
du danger de s’accoûtumer à entendre des sentimens & des maximes contraires à la Religion que nous professons, si l’Eglise mê
re vertu. Enfin, Messieurs, ces sortes de spectacles sont d’eux-mêmes contraires à l’esprit du Christianisme, & ensuite danger
33 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien troisieme. Le danger des Bals & Comedies découvert par l’Auteur des Sermons sur tous les sujets de la morale Chrétienne de la Compagnie de Jesus. » pp. 26-56
e tems les Chrétiens ne devroient point faire à Dieu une priere toute contraire , & dire avec le S. Roi Prophete, * Averte oc
a plus forte raison qu’ils leur en apportoient, étoit, que cela étoit contraire à leur profession, & qu’ils devoient se souve
es spectacles sont comme une école, où l’on enseigne une Morale toute contraire à l’Evangile, & à la Religion. Cela n’est poi
iser l’injustice par d’illustres exemples, & les maximes les plus contraires à la Religion, passer pour de grandes vertus, &am
du danger de s’accoûtumer à entendre des sentimens & des maximes contraires à la Religion que nous professons, si l’Eglise mê
re vertu. Enfin, Messieurs, ces sortes de spectacles sont d’eux-mêmes contraires à l’esprit du Christianisme, & ensuite danger
34 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — III.  » p. 457
suites. On ne peut donc nier que les Comédies et les Romans ne soient contraires aux bonnes mœurs, puisqu'ils impriment une idée a
35 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 14
s répandrons dans des joies vaines et mondaines ! il n’y a rien de si contraire à l’esprit de componction que ces dissolutions ;
36 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
aval qu’en Carême, on se fera honneur dans un temps, de faire tout le contraire de ce que cette loi ordonne ; dans un autre, un m
e n’aimer et ne servir que le monde. Oserait-on débiter une maxime si contraire à la foi et au bon sens ? C’est cependant la maxi
es peu chrétiennes. Alors on avouera que les maximes du monde étaient contraires à la véritable sagesse et au bon sens ; et que ce
37 (1675) Traité de la comédie « IV.  » p. 278
tâchent de la revêtir, on ne peut nier qu'en cela même ils ne soient contraires aux bonnes mœurs, puisqu'ils impriment une idée a
38 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « Approbation des Docteurs »
’elle leur inspirera de l’horreur pour ces Assemblées dangereuses, si contraires à la piété, et dont l’effet ordinaire est d’amoll
39 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
s’est donné la coupable licence de hazarder les propositions les plus contraires à la Religion & aux bonnes mœurs, & de co
erronés, de fausses maximes & de propos injurieux à la Religion, contraires aux bonnes mœurs, attentatoires aux deux Puissanc
40 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE IV. Deux conséquences que les Pères de l’Eglise ont tirées des principes qui ont été établis ci-devant. » pp. 82-88
r votre plaisir. Enfin on doit conclure que la Comédie est un plaisir contraire aux bonnes mœurs, aux règles de l’Evangile, aux d
tous les gens de bien qui ont une piété solide, et que même elle est contraire aux sentiments des honnêtes Païens, comme on l’a
41 (1675) Traité de la comédie « XIII.  » p. 293
vais effets dans ces représentations, que celui de donner des pensées contraires à la pureté, et de croire ainsi qu'elles ne nous
42 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIII.  » p. 468
vais effets dans ces représentations, que celui de donner des pensées contraires à la pureté, et de croire ainsi qu'elles ne nous
43 (1733) Traité contre les spectacles « AVERTISSEMENT. » pp. 143-144
t du Christianisme, auquel la police même du monde n’est pas toujours contraire . Enfin il conclut par une instruction morale, en
44 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
e raisonne Tertullien. L. de veland. virgin.Enfin une coûtume qui est contraire aux loix de l’Église & aux constitutions cano
rtient. On ne peut donc soûtenir, ni suivre une semblable coûtume, si contraire aux maximes de l’Évangile. Tertul. ibid. Christu
enable à son sexe, & dit que c’est une chose honteuse de faire le contraire . Ajoûtons à cela, que les jeux défendus & la
45 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Approbation qui peut servir de Preface. » pp. -
tout Chrêtien lise donc cette Dissertation Epistolaire : rien n’y est contraire à la Foi, ni aux bonnes mœurs ; elle sera utile à
46 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IX. Des mouvements déréglés du corps qui se font dans la danse. » p. 36
ment du corps, et les agitations indiscrètes et excessives, ne soient contraires à la raison, et par conséquent à la vertu, qui ne
47 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XII. Son opposition aux vœux du Batême. » p. 25
l’Eglise reprocher aux chrétiens leur assistance aux Spectacles comme contraires aux engagemens solemnels qu’ils ont contractés da
48 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [D] »
rticle Poéme-lyrique, T. XII, p. 823, où monsieur Grimm est d’un avis contraire à celui de la Mimographe, sur l’exclusion donnée
49 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
ales, et pleines de sentences ; et s'il y en a quelquefois qui soient contraires à la vérité, il s'en faut prendre à la morale des
anière du monde la plus honnête, je soutiens qu'il n'en est pas moins contraire à la religion Chrétienne. Et j'ose même dire que
re. Mais que bien loin qu'il fasse de mauvais effets, il en a de tous contraires , puisque le vice y est repris, et que la vertu y
que les divertissements nécessaires ; encore faut-il qu'ils ne soient contraires ni à la sainteté du jour, ni à celle à laquelle l
50 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VI. Elle le donne pour une foiblesse : mais on veut qu’il y régne. » p. 12
ranches par tous les sens, n’est point mauvaise ; qu’il n’y a rien de contraire au Christianisme & aux bonnes mœurs dans le s
51 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre V. De ceux qui vont danser avec mauvais dessein. » pp. 26-27
où on se divertit avec des désirs déréglés, et avec des dispositions contraires à la Loi de Dieu, se rendent encore coupables de
52 (1704) Des Bals et Comedies « Des Bals et Comedies. » pp. 31-33
a pas moins de Sectateurs, que de spectateurs. Rien n'étant donc plus contraire , non seulement à l'esprit du Christianisme, mais
53 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
crivez quelque espéce de travail, ils s’en acquittent mal, ou font le contraire . Il en est d’une pièce à faire d’une certaine faç
urbettes à faire ! Que d’impatiences à dévorer ! Enfin, cet usage est contraire aux Comédiens mêmes. Il y en a plusieurs qui malg
54 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
loi, que la religion existe dans l’Etat ; si cette volonté avait été contraire , cette religion n’y existerait pas, ou du moins e
nt dans l’exercice de leurs fonctions, rien faire, rien articuler, de contraire à la volonté du prince et aux lois de l’Etat. Les
55 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
la chaire, cet argument si rebattu contre les spectacles, qu’ils sont contraires à l’esprit du Christianisme, qui nous oblige de n
ez le Théâtre incapable ; vous lui attribuez même un effet absolument contraire , et vous prétendez le prouver. Je conviens d’abor
il excite ; mais il nous en garantit en excitant en nous les passions contraires  ; j’entends ici par passion, avec la plupart des
sort presque unique du Théâtre Français ; et rien ne vous paraît plus contraire à la saine morale que de réveiller par des peintu
même serviraient de poison ; aussi suis-je persuadé, malgré l’opinion contraire où vous êtes, que les représentations théâtrales
la pièce, que le sentiment même qu’elle produit en nous, prouvent le contraire . Molière a voulu nous apprendre, que l’esprit et
er le bonheur dont ils jouissent. Personne, Monsieur, ne prétendra le contraire  ; des hommes assez heureux pour se contenter des
lique de se montrer difficile, sans que des Chrétiens d’une Communion contraire puissent légitimement en être blessés. L’Eglise R
56 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
die par cet exemple, il se contredit dans la page 58. où il décide le contraire par ces paroles : « A l’égard de ceux qui vont à
it fait une Ordonnance pour permettre la Comédie, lorsqu’on trouve le contraire dans le premier concile Provincial de Milan, où c
S. Jean Chrysostome contre la Comédie, et de montrer combien elle est contraire à la Discipline de l’Eglise, et les maux qu’elle
es que le Parlement de Paris défendit en 1541. sous François I. comme contraires aux Saints Canons. On voit encore sur une des por
57 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
ameux Comique, défiguré un si bel ouvrage par un dénouement postiche, contraire aux mœurs établies dans les quatre premiers actes
emples donnés par vous, et à vous en opposer d’autres qui, leur étant contraires , suffisent pour mettre la vérité dans tout son jo
ravages par les moyens qu’elle emploie quelquefois, comment de moyens contraires , employés par le même génie, ne pourrait-il résul
plus utile à l’humanité, qu’il a attaqué le vice qui lui est le plus contraire , et qu’il l’a combattu avec les seules armes qui
58 (1772) Spectacles [article du Dictionnaire des sciences ecclésiastiques] « Spectacles. » pp. 150-153
a jube. Trist. l. 2. Seneque, epist. 7, soutient que rien n’est plus contraire aux bonnes mœurs que d’assister à quelque spectac
ation des spectacles, parce qu’ils excitent les passions, qu’ils sont contraires aux dons du Saint-Esprit, incompatibles avec les
e action que l’on ne peut rapporter à Dieu, & qui est directement contraire à l’esprit du christianisme, qui est un esprit de
59 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — I.  » pp. 455-456
permis aux autres de contribuer à les entretenir dans une profession contraire au Christianisme, ni de l'autoriser par leur prés
60 (1675) Traité de la comédie « II.  » pp. 275-276
permis aux autres de contribuer à les entretenir dans une profession contraire au Christianisme, ni de l'autoriser par leur prés
61 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
est à tous ces principes que la morale des Spectacles est directement contraire . Les hommes et les femmes y prennent au premier c
i qu’on a coutume de nous la représenter, ne produise des effets tout contraires . Pour peu que l’on réfléchisse, on reconnaîtra qu
62 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — REGLEMENTS. Pour la Réformation du Théâtre. » pp. 99-116
emier lieu, le Substitut de la Police jugera si l’ouvrage n’est point contraire aux Loix du Gouvernement. En second lieu, la Pièc
t impossible, dis-je, que de tels Spectateurs adoptent précisément le contraire , et ne soient pas révoltés par mon système. Sans
63 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484
cle et d'empêchement en faisant volontairement ce qui est directement contraire à cet esprit.
64 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
iction du nouveau Converti est effrayante ; mais j’ose moi prédire le contraire , quand l’Eglise aura vu l’exécution de ce que je
rodigue, y a-t-il donc dans la morale de cette pièce quelque chose de contraire à la morale du Christianisme, les Espagnols n’ont
Moi je dis qu’en consultant le décret de l’Eglise je ne fais rien de contraire à ce qu’elle m’impose, elle s’est expliquée sur l
rage par des peintures agréables et flatteuses, ce qui est absolument contraire à la Religion. Je réponds à cela non pas comme l’
x partis à s’unir, que l’on prouve maintenant ce qu’il y a en cela de contraire à l’Ecriture. On doit convenir bien plutôt que c’
supérieurs aux autres, ou qui, malgré notre persuasion intérieure du contraire , nous porte à ne pas avouer notre infériorité et
atriés, ils avaient la bassesse de feindre, ou d’avoir des sentiments contraires au bien de leur Patrie. Que ces Messieurs sachent
65 (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316
cle et d'empêchement en faisant volontairement ce qui est directement contraire à cet esprit.
66 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
p; sans exception. Or ces raisons les voici : rien en général de plus contraire que les spectacles à l’esprit du Christianisme, à
galement aux autres : & puisqu’ils ont trouvé ceux de leur siecle contraires à l’esprit, à la profession, aux exercices du Chr
re ; & pourquoi ? Précisément, parce que rien, dit-il, n’est plus contraire à l’honnêteté publique & particuliere que d’i
tre ? Enfin, quand par mille sentiments divers & mille mouvements contraires , qu’on aura eu l’art d’exciter ; même malgré vous
Peres se soient trompés ; car tous les saints Peres assurent tous le contraire  ; mais laissez-nous cependant déplorer la corrupt
67 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XV. La tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les principes de ce philosophe.  » pp. 61-63
X].  : et les chrétiens ne comprendront pas combien ces émotions sont contraires à la vertu ? De Rep. lib. 10. [Platon, De la Rép
68 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
ption étoient les spectacles de la Comedie, & que tout ceci étoit contraire à la morale chrétienne. » Personne ne nous prouve
peché, où les représentans se servent des paroles, ou font des gestes contraires à la pureté, ou des choses, qui puissent nuire au
lut : elle s’en peut flâter tant qu’elle voudra ; je suis persuadé du contraire , & je vais le lui montrer. Il est de la foi,
ra elle-même à se défier de sa vie, & à croire que la Comedie est contraire aux maximes de l’Evangile. Le Seigneur nous dit :
69 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
re de la morale chrétienne et évangélique la plus pure, a dit tout le contraire . Ecoutons-le, voici comme il s’exprime en parlant
e soumettre leur esprit aux croyances absurdes de la superstition, si contraires au bon sens et à la raison. Les prêtres des ancie
un mal, le mal ne peut produire que du mal, et tous les raisonnements contraires aux principes de philanthropie ne sont que des pa
la dissolution de tout ce qui lui résiste, et de tout ce qui lui est contraire . Que sa sainteté, surtout, proscrive le jésuitism
70 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
anière du monde la plus honnête, je soutiens qu’il n’en est pas moins contraire à la Religion Chrétienne. Et j’ose même dire que
e : mais que bien loin qu’il fasse de mauvais effets, il en a de tout contraires , puisque le vice y est repris, et que la vertu y
que les divertissements nécessaires ; encore faut-il qu’ils ne soient contraires ni à la sainteté du jour, ni à celle à laquelle l
impudentes, et les Comédies libertines, où l’on mêle bien des choses contraires aux sentiments de la piété et aux bonnes mœurs, r
71 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Privilege du Roy. » pp. -
sion, nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, & Lettres à ce contraires Car tel est nostre plaisir : Donné à Paris, le jõ
72 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seconde Lettre. De madame Des Tianges, À sa Sœur. » pp. 21-24
inconséquens, voudraient qu’adroitement nous pussions allier les deux contraires  ; le manége de la coquetterie, & la naïveté d
73 (1751) Avertissement (Les Leçons de Thalie) pp. -
s uns sans aucun examen condamnent absolument ce genre d’écrire comme contraire aux bonnes mœurs. Les autres prennent hautement s
74 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
& nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, & Lettres à ce contraires . Car tel est notre plaisir. Donné à Paris le ving
75 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Stances à Madame Isabelle, sur l’admiration où elle a tiré la France » pp. -
re de nature Se perd en discordants accords. Dont au lieu de quatre contraires , Il voulut par divins mystères, Qu’elle eut le Ci
76 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
ion, et nonobstant clameur de Haro, Chartre Normande, et Lettres à ce contraires  : Car tel est notre plaisir, Donné à Versailles l
77 (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276
semblables qui tirent leur origine des mœurs des Gentils, et qui sont contraires à l’esprit du christianisme ; qu’ils se serviraie
banqueter : si est ce que d’avoir de l’affection à cela, c’est chose contraire à la dévotion, et extrêmement nuisible et pérille
jecte que le théâtre français, tel qu’il est aujourd’hui, n’a rien de contraire aux bonnes mœurs ; qu’il est même si épuré qu’il
on, sans faire une injure atroce à ce saint, lui imputer une doctrine contraire à celle des conciles et des Pères de tous les siè
78 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
e la musique et de la danse, et condamne absolument le théâtre, comme contraire au bien de la République, gâtant l’esprit, corrom
re enseigner à nos femmes, à nos enfants, à nos concitoyens, rienr de contraire à notre religion, à nos lois, à nos mœurs, et dét
e seul plaisir du Roi, et où l’on n’entend que des maximes absolument contraires aux bonnes mœurs, serait bien convenable à retouc
pas offenser Dieu, qui le craint, qui l’aime, on ait des pratiques si contraires à tous les systèmes de la religion, et des condes
79 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
tés très-défectueux ; que souvent la forme, par exemple, a des effets contraires qui nuisent au fond, et empêchent l’auteur d’arri
n de nombreux et chauds partisans dont je blâme franchement les excès contraires , d’être qualifié à la fois de fanatique et d’impi
80 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
tantes que l’on ne croit. La Coquetterie, par éxemple, n’est elle pas contraire aux bonnes mœurs ? Elle trouble le repos des fami
de ceux qui les récitent. Une telle façon d’agir est si pitoyable, si contraire au sens commun, que j’aurais honte de m’y arrêter
81 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
on ne peut pas assister à la Comédie. Les Scolastiques soutiennent le contraire . Tâchons donc de nous servir de cette règle de sa
en allumé. Cette disposition l’empêche de trouver que l’Ecriture soit contraire au Théâtre ; et que dans le précepte de mortifier
ues autant qu’il est en leur pouvoir, et qu’ils n’en fassent point de contraires . Ainsi, le Prince voyant que la plupart de ses su
njurieux au Christianisme, et les bouffonneries de nos Comiques, très contraires à la charité et à la chasteté Chrétienne. Le Théo
ères, dont il a tiré tout ce qu’il pouvait y avoir de favorable ou de contraire aux Spectacles. Page 61. » Il n’a pas bien lu, il
82 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
sion, et nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, et Lettres à ce contraires  ; car tel est notre plaisir. Donné à Paris le vin
83 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « LIVRE QUATRIEME. » pp. 1-3
ucun de ces vices, si rigoureusement condamnés dans l'Evangile, et si contraires aux bonnes mœurs, que le théâtre ne loue, n'ensei
84 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
sion, et nonobstant Clameur de Haro, Charte Normande, et Lettres à ce contraires  : Car tel est notre plaisir. Donné à Paris le tre
85 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
sont du ressort de la Comédie. Quand M. Marmontel m’aura démontré le contraire , je suis prêt d’adopter son sentiment. On me dema
que la Comédie les fasse rire, mais je prétends que ces Comédies sont contraires au but que doit se proposer la bonne Comédie ; au
86 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
ancer, que la comédie, telle qu’« elle est aujourd’hui », n’a rien de contraire aux bonnes mœurs, et qu’elle est même si « épurée
87 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
nt permis aux autres de contribuer à les entrenir dans une profession contraire au Christianisme, ni de l’autoriser par leur prés
aniere du monde la plus honnête, je soutiens qu’il n’en est pas moins contraire à la réligion Chrétienne, & j’ose même dire q
comme remarque Salvien, ou l’esprit seul est attaqué par des pensées contraires à la pureté, ou les yeux sont frappés par des obj
doivent être honnêtes à tous égards, qu’ils ne doivent avoir rien de contraire à l’innocence, à la sainteté, & qu’enfin il f
vous faire des dangers du théâtre, après vous les avoir montrés comme contraires en tout à la Religion & aux mœurs, il semble
aise impression sur leur esprit ; qu’ils n’y ont jamais rien senti de contraire à la sainteté du Christianisme ; qu’ils en sorten
& sans réserve ; ces raisons, les voici. Rien en général de plus contraire que les spectacles, à l’esprit du Christianisme,
u Christianisme, aux exercices du Christianisme. Les spectacles sont contraires à l’esprit du Christianisme.L’esprit du Christian
alement aux autres ; & puisqu’ils ont trouvés ceux de leur siécle contraires à l’esprit, à la profession, aux exercices du Chr
éâtre ? Enfin, quand par mille sentimens divers & mille mouvemens contraires qu’on aura eu l’art d’exciter même malgré vous da
s Peres se soient trompés, car tous les saints Peres assurent tout le contraire . Mais laissez-nous cependant déplorer la corrupti
tous les temps ont fait défendre les spectacles. Les spectacles sont contraires à l’esprit du Christianisme. On reconnoissoit aut
88 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
oncevrai-je que Dieu le punisse de ne s’être pas fait un entendement3 contraire à celui qu’il a reçu de lui ? Si un Docteur venai
justice. Qu’en pareil cas ils interprètent de leur mieux les passages contraires à leur opinion, plutôt que de l’abandonner, que p
les motifs qui vous ont pu porter à nous proposer un établissement si contraire à nos maximes. Quelles que soient vos raisons, il
nt en vices. Je sais que la Poétique du Théâtre prétend faire tout le contraire , et purger les passions en les excitant : mais j’
oût il s’est formé un modèle, et sur ce modèle un tableau des défauts contraires , dans lequel il a pris ces caractères comiques, e
ales se rapportant à la bienfaisance, rien ne leur est si directement contraire que l’inhumanité. Le vrai Misanthrope est un mons
ue, il lui fait tenir quelquefois des propos d’humeur, d’un goût tout contraire à celui qu’il lui donne. Telle est cette pointe d
lace. Pour rendre cette vérité sensible, imaginons un dénouement tout contraire à celui de l’Auteur. Qu’après avoir mieux consult
s tels qu’ils sont, et cependant on en tirerait une leçon directement contraire . Tant il est vrai que les tableaux de l’amour fon
e a sur tous une inspection facile, il faut suivre des maximes toutes contraires . S’il y a de l’industrie, des arts, des manufactu
s. De ces nouvelles réflexions il résulte une conséquence directement contraire à celle que je tirais des premières ; savoir que,
ais quand il est bon lui-même. Il semblerait donc que ces deux effets contraires devraient s’entredétruire et les Spectacles reste
qu’on eût réussi : parce qu’une pareille institution est entièrement contraire à l’esprit de la Monarchie ; mais il est très sûr
re de la chose. Les Prêtres païens et les dévots, plus favorables que contraires à des Spectacles qui faisaient partie des jeux co
loin de suivre à cet égard l’exemple des Grecs, en donnèrent un tout contraire . Quand leurs lois déclaraient les Comédiens infâm
u monde, celle où les mœurs des deux sexes paraissent d’abord le plus contraires . De leur rapport dans ce pays-là nous pouvons con
onte produit parmi les hommes ? Je vois tous les jours des preuves du contraire . J’en vois se cacher dans certains besoins, pour
r sexe et le nôtre. Je sais qu’il règne en quelques pays des coutumes contraires  ; mais voyez aussi quelles mœurs elles ont fait n
s aux femmes de qualités. Mais voulez-vous savoir combien ces usages, contraires aux idées naturelles, sont choquants pour qui n’e
glacis. Ce n’est pas tout : il est impossible qu’un établissement si contraire à nos anciennes maximes soit généralement applaud
rien à cette réserve. Pour nous, nous avons pris des manières toutes contraires  : lâchement dévoués aux volontés du sexe que nous
l’honnêteté, mais en prenant son image ; et les mots sales sont plus contraires à la politesse qu’aux bonnes mœurs. Voilà pourquo
é ; car rien ne part de sentiments plus opposés, et n’a d’effets plus contraires . Je suppose l’amour innocent et libre, ne recevan
89 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
tout ce qui vous empêche d’y penser, et qui vous inspire des pensées contraires , ne doit point vous plaire, et doit vous être sus
90 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Punctum Unicum. » pp. 5-6
érieux, la gravité et la modestie chrétienne1, et il n’est rien de si contraire que ces mouvements indécents et folâtres qui se f
91 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
inguée par sa piété. Et au théâtre public, où tout manque, où tout le contraire est rassemblé avec le plus d’art, le cœur sera-t-
Il ajoute que même cette règle de bienséance est abrogée par un usage contraire , puisqu’en Italie on voit tous les jours des Eccl
as dû penser qu’il fût nécessaire de pourvoir, comme étant absolument contraire à l’esprit de l’état. Cet Auteur permet encore au
92 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
semblables qui tirent leur origine des mœurs des Gentils et qui sont contraires à l’Esprit du Christianisme : Qu’ils se serviraie
à-dessus les peuples, et qu’ils leur montreraient que rien n’est plus contraire aux mœurs, et à la discipline de l’Eglise. C’est
nt l’article 5. du premier titre commence ainsi : « Rien n’étant plus contraire à l’esprit du Christianisme que les Bals et les C
93 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
u les Peres pour vous ? mais en a-t-on trouvé un seul, qui ne dise le contraire de ce que vous avez si hardiment avancé ?… &
ceux qui l’exercent, sont obligés de le quitter… cette profession est contraire au Christianisme. En 1660. Mr. Bourdelot, Avocat
z pu dire, que la Comédie, telle qu’elle est aujourd’hui, n’a rien de contraire aux bonnes mœurs, & qu’elle est même si épuré
mp; dans lesquelles nous lisons expressément, que les spectacles sont contraires à la profession du Christianisme. Ecoutons encore
é l’art du Theatre en 1769 ; mais il nous en donne des preuves toutes contraires  : on sait, dit-il, dans le même ouvrage, « qu’on
en parlant du Théatre François… Je soutiens, qu’il n’en est pas moins contraire à la vertu, & j’ose même dire, que le retranc
ous les Peres &c, les spectacles ne peuvent être contagieux & contraires à l’esprit du Christianisme. Il est donc palpable
, & pourquoi ont-ils encore tant de partisans ? si le duel est si contraire aux loix Divines & Royales, comment a-t-il en
la, ce Prélat se conduisoit comme bien d’autres, « par un esprit bien contraire à celui de tous les Peres de l’Eglise, qui l’ont
alheur à ceux, qui approchent des Sacremens, avec des dispositions si contraires à celles que J.C. demande d’une ame pénitente ; c
94 (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864
dont le jeu réunit tant d’objets si capables de faire des impressions contraires à l’honnêteté, quelle violence ne faut-il pas fai
aîtres pernicieux. L’Evangile & le Théâtre opposés, leurs maximes contraires forment ici un contraste frappant, dont l’Auteur
95 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70
dont le jeu réunit tant d’objets si capables de faire des impressions contraires à l’honnêteté, quelle violence ne faut-il pas fai
aîtres pernicieux. L’Evangile & le Théâtre opposés, leurs maximes contraires forment ici un contraste frappant, dont l’Auteur
96 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
n doute. Une loi nouvelle détruit toute loi antérieure qui lui serait contraire . Sans m’embarrasser de savoir s’il y a eu des loi
on appelle les traits hardis, c’est-à-dire, ces maximes pernicieuses, contraires aux Lois des Nations, au respect que l’on doit au
97 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363
d’un Drame se borna à sa représentation. Aristote dit formellement le contraire . Ecoutons ce fameux Philosophe, « La Tragédie ne
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
se piquer mutuellement ; on ne verrait pas l’un faire quelquefois le contraire de ce que l’autre demande. On ne saurait donc tro
99 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XI. Si on a raison d’alléguer les lois en faveur de la comédie. » pp. 46-48
e sans s’en émouvoir disait au contraire, que l’esprit des lois était contraire aux théâtres : nous avons maintenant à leur oppos
100 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
ne faut pas s’étonner que Molière soit mort dans des sentiments tout contraires  ; il n’a point eu le temps de se convertir. D’ail
/ 392