ur des Hérésies imaginaires jugera à propos de vous faire réponse. Je
connais
des gens qui auraient sujet de se plaindre, s’il
de votre lettre. J'espère que cela ne sera pas inutile pour en faire
connaître
le prix. Le monde passe quelquefois trop légèreme
vez bien senti qu’il n’y a pas d’honneur à gagner. Il commence à être
connu
dans le monde, et vous savez ce qu’on en a dit en
imaginaires qui en est un, cela pourrait passer à la Chine où l’on ne
connaît
ni l’un ni l’autre. Mais en France on sait à peu
sait à peu près à quoi l’on s’en doit tenir. On dira que vous ne vous
connaissez
pas en visionnaires, et que si jamais vous le dev
n formée, il est sûr qu’il y aura quelqu’un de condamné. Le monde s’y
connaît
; il juge ; il fait justice ; mais il veut des pr
t pour faire voir que vous êtes homme de bon goût, et que vous vous y
connaissez
, vous vous avancez jusqu’à dire qu’il y a grande
ont pleines. Quoi donc, Monsieur, est-il possible que vous n’ayez pas
connu
la différence qu’il y a des Imaginaires aux Chami
Imaginaires, se réduisent à faire voir que vous n’êtes pas capable de
connaître
une différence aussi visible et aussi marquée que
? Peut-on mieux pénétrer les replis du cœur humain, et en faire mieux
connaître
les ruses ? Je ne prétends pas marquer tout ce qu
Si ce n’est là tout le contraire de l’Évangile, j’avoue que je ne m’y
connais
pas ; et il faut entendre la religion comme Desma
i elle est due, quoiqu’à dire vrai, cette gloire consiste plutôt à se
connaître
à ces choses, et à être capable de les faire, qu’
norable, même devant les hommes. Mais enfin il n’empêche pas qu’on ne
connaisse
ce qu’il y a de beau dans les ouvrages de Sophocl
Corneille, et qu’on ne l’estime son prix. On peut même dire qu’il s’y
connaît
, et qu’il sait les règles par où il en faut juger
ement, au moins elle sert à embellir les histoires, et il est aisé de
connaître
celles qui ont passé par les mains de ceux qui sa
Monseigneur, que j’aille voler sur les grands chemins ? Cet homme ne
connaissait
que deux conditions dans le monde, celle de prêtr
lle de prêtre, et celle de voleur de grands chemins. Et vous, vous ne
connaissez
qu’une sorte de plaisir dans la vie ; la lecture
ocent, mais qui est encore très louable et très utile. Vous avez bien
connu
qu’il y avait là un peu de mauvaise foi. Et c’est
n’oser les ôter de peur de rendre le livre plus dangereux ; et je ne
connais
que vous qui les y voulussiez remettre par princi
disent plus rien de nouveau. Cela ne me surprend point. Je commence à
connaître
votre humeur. Vous jugez à peu près de ces écrits
rien de grand que ces sortes d’ouvrages et leurs auteurs, et vous ne
connaissez
point d’autres louanges que celles qui leur convi
rsaire du jansénisme. c. [NDE] Petites lettres : nom par lequel sont
connues
les Lettres au Provincial de Pascal au XVIIe sièc
ervir ceux à qui elle s’attache le plus obstinément, puisqu’elle fait
connaître
leur mérite et que c’est elle, pour ainsi dire, q
rites, il serait difficile de trouver un livre plus achevé. Mais vous
connaîtrez
d’abord que la charité ne fait point parler cet a
ses fautes à tout le monde, au moment que l’on tâche à les lui faire
connaître
. La première chose où l’auteur de ces Observatio
re connaître. La première chose où l’auteur de ces Observations fait
connaître
sa passion est que par une affectation qui marque
même temps, par des raisons convaincantes, qu’il ne l’est pas. Je ne
connais
point cet auteur, mais il faut avouer qu’il aime
ce, puisqu’il en parle si pertinemment que l’on peut croire qu’il s’y
connaît
mieux qu’à la belle comédie. Après ce beau galima
a dévotion, avec laquelle il a si peu de commerce et qu’il n’a jamais
connue
, ni par pratique ni par théoried. » Je crois que
tien doit parler de son frère ? Sait-il le fond de sa conscience ? Le
connaît
-il assez pour cela ?A-t-il toujours été avec lui
arité, de juger même du fond des âmes et des consciences, qui ne sont
connues
qu’à Dieu, puisque le même apôtre ditf qu’il n’y
t de conséquence que pour les tartufes. Il y a plus longtemps qu’elle
connaît
Le Festin de Pierre que ceux qui en parlent. Elle
il le méritât. Ce n’est point un conte, c’est une vérité manifeste et
connue
de bien des gens. Ce n’est pas que je veuille pre
était difficile de faire paraître un athée sur le théâtre et de faire
connaître
qu’il l’était, sans le faire parler. Cependant, c
re, par un trait de prudence admirable, a trouvé le moyen de le faire
connaître
pour ce qu’il est sans le faire raisonner. Je sai
qui secouait la tête, et sa pièce ne doit rien valoir, puisqu’il l’a
connu
dans le cœur de tous ceux qui avaient mine d’honn
et de la bienséance. Je voudrais que l’on se fût bien examiné, bien
connu
, avant que de prendre un parti contre les hommes.
rands talents. Il est un homme qui m’arrache ces réflexions. Si je le
connaissais
, je ne les communiquerais qu’à lui seul ; s’il n’
uerais qu’à lui seul ; s’il n’était point absent, je chercherais à le
connaître
pour les lui communiquer ; il les pardonnerait à
r. Il verrait le sentiment dans mes discours ; en les écoutant, il se
connaîtrait
; et en se connaissant, il verrait que, s’il peut
l’esprit le plus droit, aussi aisément qu’elle le porte à juger. J’ai
connu
cet état, Monsieur ; il m’en reste un souvenir qu
ce moment, ne servent qu’à m’en convaincre : le charme des grâces est
connu
; quand on l’attaque, beaucoup d’esprit ne sert q
er ; il vous faut des raisons ; je suis en état de vous en donner. Je
connais
les femmes : j’ai eu vos erreurs : le plaisir me
propres réflexions. Les femmes, dites-vous, n’aiment aucun art, ne se
connaissent
à aucun, et n’ont aucun génie. Elles peuvent réus
des arts ; ils vous diront combien les femmes aiment ces arts, et s’y
connaissent
. Ils vous diront que les plans les plus ingénieux
ous appelle en ces lieux ? Ah ! n’espérez pas me surprendre ; je vous
connais
, je connais votre sexe… Si vous le connaissiez, v
en ces lieux ? Ah ! n’espérez pas me surprendre ; je vous connais, je
connais
votre sexe… Si vous le connaissiez, vous ne le fu
as me surprendre ; je vous connais, je connais votre sexe… Si vous le
connaissiez
, vous ne le fuiriez point ; vous ne seriez pas da
, et cela arrivera toutes les fois que l’on fuira la beauté…. Ah ! je
connais
bien la sagesse des maîtres que j’ai écoutés ; je
é…. Ah ! je connais bien la sagesse des maîtres que j’ai écoutés ; je
connais
bien aussi le danger des conseils que vous voudri
ient faits pour nous rendre heureux ; mon cœur, sans les avoir jamais
connus
, en chérira toujours l’image ; mais ils ne sont p
t beaucoup à lire vos écrits ingénieux, profonds et sublimes ; à vous
connaître
, à vous entendre ; si l’on parvenait à détruire l
avoir ni le dédommagement de la passion, puisqu'elle ne se fit jamais
connaître
à son amant, encore moins le secours de la religi
s larmes, sans jamais lui dire un mot, lui faire un signe, se laisser
connaître
; et pour comble de prodige, (car tout est prodig
t amant imbécile, qui la voit, qui l'entend toujours à ses côtés, qui
connaît
au premier mot d'Orvigni le beau-frère de sa maît
vigni le beau-frère de sa maîtresse, qu'il n'avait presque pas vu, ne
connaît
pas celle dont il avait les traits toujours prése
pas celle dont il avait les traits toujours présents, et qui l'avait
connu
au premier son de sa voix au milieu de cent autre
s les jours son portrait, qui l'a tous les jours à ses côtés et ne la
connaît
pas. Enfin ce Frère femelle tombe subitement mala
la piété n'est que la nature !Les Pélagiensc en ont-ils tant dit ? ne
connaissaient
-ils que la loi et les vertus naturelles ? « Mai
eurs faiblesses. Rien même de plus imprudent à lui. Des Religieux qui
connaissent
leurs vices secrets, se mépriseront, ou se lieron
nce. Est-ce ignorance d'un Protestant (le sieur Arnaud) ? Mais qui ne
connaît
ce devoir des Confesseurs ? Est-ce malice d'un li
lle prière plus touchante que le galimatias qu'on fait débiter, on ne
connaît
aucune trace de catholicité à la Trappe (du sieur
on sans conséquence pour les mœurs ; le théâtre souffre-t-il, veut-il
connaître
les objets vraiment importants qui vont au cœur,
sevelir dans le tombeau, et achevant de perdre un Religieux dont elle
connaissait
la passion, puisqu'elle l'avait surpris baisant s
rai plus adorer mon amant. » Il est singulier qu'elle ne se fasse pas
connaître
, quoique cent fois ses pas, sa voix, son cœur aie
ourquoi vient-elle s'enfermer au grand hasard d'en être à tout moment
connue
? Pour ne pas violer la loi du silence. N'est-il
chœur le dernier mot au lieu d’amen ; ce que la Dame Journaliste, qui
connaît
aussi peu que le Protestant de Berlin les cérémon
e une décoration nouvelle, on attachait aux coulisses les estampes si
connues
des exercices de la Trappe qu'on voit dans les bo
e la loi naturelle et le théisme. Si on désavoue ces conséquences, on
connaît
peu les lois de la logique. Se peut-il que le Mer
ever au-dessus des règles pour produire des beautés. » Un Chrétien ne
connaît
ni beautés ni génie dans ce qui blesse la religio
nuages. Heureusement ce sombre est rare, il est peu goûté, il est peu
connu
. La farce vient bientôt après essuyer ces larmes
par un suprême effort : l'impérieux effet d'un miracle suprême. Je ne
connais
ni les efforts, ni les miracles suprêmes ; les bo
On blesse l'histoire et la géographie. Dans des personnages vrais et
connus
l'anacronisme est ridicule : l'extinction de la m
péché mortel ? R. Saint Augustin enseigne qu'il est très difficile de
connaître
, et très dangereux de décider quels sont les péch
venions plus lâches à éviter toutes sortes de péchés. Car si nous les
connaissions
, nous ne nous mettrions pas peut-être en peine de
ate Dei]. Lib. 21. c. 27. n. 5.Au lieu que maintenant que nous ne les
connaissons
pas, nous sommes plus obligés de nous tenir sur n
fort loin de le commettre. Les gens de bien qui considèrent qu'on ne
connaît
point avec certitude le degré de sa cupidité, et
oupables ? R. Dieu seul peut faire ce discernement, parce que seul il
connaît
les plus secrètes pensées des cœurs. S'ils ne le
ce. Enfin, ils ont oublié que l’épreuve du bien et du mal n’apprend à
connaître
l’un que parce qu’on l’a perdu, et l’autre que pa
ueil, et qui n’est présomptueuse que parce qu’elle a mérité de ne pas
connaître
ce qu’elle vient de perdre. Car c’est une maxime
p. « Entre les jeunes gens qui vont aux spectacles, y en a-t-il qui
connaissent
toute la pureté de l’Evangile et toutes les oblig
ît, ou il inspire du dégoût et déplaît : dans le dernier cas, on fait
connaître
ce qu’on désirait, et ce qu’on était allé cherche
retenir ? Comment peut-on concevoir que des chrétiens à qui on a fait
connaître
la nécessité de combattre leurs passions, croient
ve pas ce qu’il goûte avec joie. « Il est vrai que peu de personnes
connaissent
tout le danger des passions, dont on n’est ému qu
et le faux, s’ils ont de l’esprit ; comme ceux qui aiment le monde en
connaissent
bien l’injustice et la malignité, s’ils profitent
mander, avant que fermer ma lettre, ce que je viens d’apprendre. Vous
connaîtrez
par là que j’ai perdu ma cause et que l’Observate
vie partout et ne lui a laissé aucun lieu de retraite, vient enfin de
connaître
que Molière est vraiment diabolique, que diaboliq
qu’il leur a commandé de prendre, et c’est par là qu’il a voulu faire
connaître
qu’il ne se laisse pas surprendre aux tartufes et
ire connaître qu’il ne se laisse pas surprendre aux tartufes et qu’il
connaît
le mérite de ceux que l’on veut opprimer dans son
ît le mérite de ceux que l’on veut opprimer dans son esprit, comme il
connaît
souvent les vices de ceux que l’on lui veut faire
veut répondre à des gens qui se mêlent de parler de choses qu’ils ne
connaissent
point. Comme ils ne savent pas eux-mêmes ce qu’il
d’esprit ! Ah, que cet observateur sait marquer les endroits qui font
connaître
les athées ! Il n’est rien de plus juste que ce q
» Puisqu’il est ainsi, comme on n’en peut douter, puisque, dis-je, on
connaît
l’hypocrite par ses méchantes actions, lorsqu’il
oins de mérite à être versificateur, que Poëte. Cependant des Auteurs
connus
prétendent que la Poésie de style, est-ce qu’il y
ication, il y aura peu d’idées dans cet ouvrage, qu’on ne parvienne à
connoître
. Les Langues anciennes sont mortes, & nous n’
ux qui les caractérisent & leur servent de base. Ces signes étant
connus
, l’idée perce, éclate à nos yeux ; ceux qui l’acc
les signes principaux nous échappent d’abord, les moindres nous sont
connus
. Ils nous éclairent sur la valeur des premiers. L
t à l’egard de la notre. Un Allemand qui liroit un de nos Poëmes sans
connoître
qu’imparfaitement le François, ne perdroit point
ut beaucoup que toute la Nation l’entende & la parle purement. Je
connois
un homme qui n’y excelle pas. Il y a quinze ans q
que le Cid plein de défauts, ne se soutient que par la Poësie. C’est
connoître
bien peu le mérite de ce beau Poëme, que de croir
des exemples dans l’antiquité, Corneille nous en fournit assez. Je ne
connois
guère de Poëtes, dont les vers soient aussi plein
rs Spectacles, peut facilement être embrassée par une Nation, qui n’a
connu
les Spectacles qu’en passant, et dont le goût n’e
nt gloire de soumettre leurs préjugés à la vérité qu’elle leur ferait
connaître
. Qu’il me soit permis de me flatter que le zèle
sant Serviteur, Louis Riccoboni. a. [NDE] Pierre Ier (1672-1725),
connu
sous le nom de Pierre le Grand, devient tsar de R
ue des Spectacles ne me paraît pas juste. On prétend qu’ils ne furent
connus
qu’environ deux cens ans avant Aléxandre. Peut-on
miers siécles du monde. La découverte de la vigne fait tout-à-fait
connaître
la Comédie. La Comédie n’aura pris une certai
demande qu’un peu de réflexion de la part de mes Lecteurs, pour faire
connaître
toute son évidence. La Tragédie n’est venue q
fait naître le Tragique. Il est certain, que si la Comédie était
connue
long-tems avant qu’on sacrifiât un bouc au dieu d
ices peu certaines. On s’écriera d’une commune voix, que la Grèce les
connut
la prémière ; cette opinion me paraît très-mal fo
aire faire de pareils, peint bien les mœurs des prémiers Romains. Ils
connurent
enfin l’utilité des Arts & des Sciences. Ils
c’est que nos Provinces les plus proches d’eux furent les prémières à
connaître
l’art des Vers. La Provence & le Languedoc co
représentations des Farces ; preuve convaincante que la Comédie était
connue
depuis long-tems en France. Les Troubadours, ou l
des, firent adopter à toute l’Europe des pièces bizares. Les Français
connurent
les prémiers le ridicule de pareils Drames, &
tement ? Les Arts peuvent-ils citer un génie heureux qui les ait fait
connaître
par son seul travail, ainsi que Térence découvrit
où il y a tant de Gens de Lettres, & où les Poëtes Grecs sont si
connus
, le Théâtre Anglois soit approuvé de tout le mond
dia famosa, è grande, les Ouvrages des autres Nations n’y étoient pas
connus
. Depuis que les Espagnols ont pris un style plus
a parlé qu’avec admiration. Les Etrangers en parlent souvent sans les
connoître
, & les Italiens sont communément plus disposé
besoin de prouver que le désordre regna par tout, je l’ai assez fait
connoître
par l’Histoire de la Poësie Dramatique moderne. N
homme sur les Loix d’un Pays où il n’a jamais été, & qu’il n’a pu
connoître
. Il est aisé de répondre à Pope, que les Régles d
t confondre notre jalousie, sont dans le même goût. J’en ai déja fait
connoître
le stile : voici la conduite de sa Cléopatre. Apr
ies de l’Arioste, quoique le meilleur Poëte de l’Italie, n’y sont pas
connues
comme le sont parmi nous celles de Moliere. Dans
difficile qu’elle se perfectionne, si ceux qui sont capables de faire
connoître
les beautés de l’Art, ne trouvent pas des Auditeu
niere dont ils ont imité quelques-unes de nos meilleures Piéces, font
connoître
leur goût. Je vais encore le faire connoître, par
meilleures Piéces, font connoître leur goût. Je vais encore le faire
connoître
, par une Piéce entiérement à eux, & qui est m
tendre et si susceptible des impressions du vice, ils commencent à le
connaître
et à se familiariser avec lui. « Ces principes
ls entendent parler de la passion de l’amour ? il faut bien qu’ils la
connaissent
tôt ou tard. C’est ce que je suis bien éloigné de
es parents s’intéressent-ils à leur conserver cette vertu, s’ils n’en
connaissent
pas eux-mêmes le prix ? Néanmoins ils sont ensuit
ce. Enfin, ils ont oublié que l’épreuve du bien et du mal n’apprend à
connaître
l’un que parce qu’on l’a perdu, et l’autre parce
ueil, et qui n’est présomptueuse que parce qu’elle a mérité de ne pas
connaître
ce qu’elle vient de perdre. Car c’est une maxime
II. Entre les jeunes personnes qui vont au Spectacle, y en a-t-il qui
connaissent
toute la pureté de l’Evangile, et toutes les obli
ent disposé que ce qu’il aime. XVII. Il est vrai que peu de personnes
connaissent
tout le danger des passions, dont on n’est ému qu
t le faux, s’ils ont de l’esprit ; comme ceux qui aiment le monde, en
connaissent
bien l’injustice et la malignité, s’ils profitent
èrement conservées ; au contraire lorsqu’il a inventé, il nous a fait
connaître
combien il était exact observateur des règles de
t vrai, il a certainement grand tort : j’aime donc mieux croire qu’il
connaissait
fort bien tout le mérite de sa Pièce et que la po
rimait et sentant de quelle conséquence il était pour lui de se faire
connaître
par un ouvrage distingué et digne de la réputatio
ie, pour m’étendre de nouveau sur son sujet ; cependant afin de faire
connaître
précisement ce que je pense de cette Pièce par ra
donc pas même le temps d’exprimer sa passion, ni Orphise de lui faire
connaître
si elle y est sensible. En un mot je ne trouve ri
les et naturels par leur institution primitive ; ils n’avaient jamais
connu
ces inventions de la Grèce : et après ces louange
reprendre en termes exprès dans leurs écrits, des pratiques qu’ils ne
connaissaient
pas dans leur nation : il leur suffisait d’établi
spirituel, de flatter les sens par des joies que le peuple charnel ne
connaissait
pas. Page 3. [« Lettre d’un théologien », page 3
lui-même alloit voir. Les Grecs si habiles dans tous les beaux Arts,
connurent
de bonne heure le véritable goût de chaque Piéce
vivre des Ris. Non seulement il faut louer les Grecs d’avoir si bien
connu
ce qui convient à chaque espece de Poësie, il fau
aut encore les louer d’avoir dans la Poësie Dramatique si promptement
connu
cette vraisemblance d’une Action, ces trois Unité
on contente de parler un langage qui l’avilit, elle fut longtems sans
connoître
aucune vraisemblance dans l’Imitation. Le désordr
c enthousiasme. Je me réserve d’agiter ailleurs la question, s’il fut
connu
des Anciens. Méprisable origine de l’Opéra-com
de saint-Laurent à Paris furent les prémières causes qui nous firent
connaître
l’Opéra-comique. Sans elles nous aurions toujours
onclure, malgré l’expérience & le bon sens que les Italiens ayent
connus
l’Opéra-Bouffon avant nous. Ils ont été nos maîtr
’observerai en faveur des Anglais, que ce Peuple si sage semble avoir
connu
avant nous l’Opéra-Bouffon ; il suffit pour s’en
les sots cherchent à déprimer ce qu’ils ont le malheur de ne pouvoir
connaître
. Soyons-en persuadé, si l’Opéra-Comique n’avait e
de ses rivaux. Les couplet qu’on devait chanter étaient sur des airs
connus
, on en répandait des copies dans le Partèrre &
vec les ornements qu'ils avaient portés en jouant leurs Fables, je ne
connais
point quelle était l'excellence de ce privilège ;
s Rome assez longtemps avant les Poèmes Dramatiques dont l'art ne fut
connu
du peuple Romain qu'au siècle de Plaute et de Név
ouveau longtemps après par les Atellanes, faute de Comédiens. Et pour
connaître
que l'on estimait les Tragédiens et Comédiens plu
mène les enfants, afin qu’ils y apprennent, dit-on, de bonne-heure à
connaître
le cœur de l’homme, et à en éviter le ridicule.
fatigue de les voir de nouveau. Mais un homme encore un coup, qui ne
connaît
que le sensible, qui n’a point été élevé dans les
ns les principes de raison, en sera ébloui, et deviendra esclave sans
connaître
son malheur. Eugene. Tout cela signifie qu’il n’
u avoir l’esprit dont Jésus-Christ est le dispensateur, puisqu’ils ne
connaissaient
pas Jésus-Christ. Il ne vous reste plus qu’à gara
t la preuve d’avec ce qui n’en est que l’accessoire et l’ornement. Il
connaîtra
par là que souvent ceux qui font grand bruit ne d
les plus exacts. Theodore. J’avoue qu’il y a peu de personnes qui se
connaissent
en raisonnements ; et que c’est cause de cela qu’
’il est quelquefois obligé de la leur représenter. Theodore. Il doit
connaître
l’homme. Eugene. Cette connaissance est bonne à
ière l’ouvrage de M. le Prince de Conti, de M. Bossuet, et l’Ecrit si
connu
de M. Rousseau de Genève, contre un article de l’
Voyez ma Morale, Tome VI, c. 3, art. 7. Cas II. Licinius, Comédien,
connu
pour tel, s’étant présenté à Pâques à la Communio
lui a refusée. L’a-t-il pu en conscience ? R. Puisque ce Comédien est
connu
publiquement pour tel, son Curé a dû lui refuser
des plus fougueuses passions ? « Combien de personnes qui, avant de
connaître
ce funeste plaisir, ne trouvaient de joie et de c
’innocence et à la vertu ne soient interdits aux chrétiens ? Quand on
connaît
les obligations et l’essence du christianisme, on
l ne peut être adoré sur le même autel avec Jésus-Christ. » « Je ne
connais
pas, dit un auteur, d’esprit plus opposé à l’espr
irectement opposés à la mortification et à l’humilité Chrétienne ? Je
connais
un Poète qui est en cela de meilleure foi que not
La raison n’a point été tellement éteinte en eux qu’ils n’aient bien
connu
les défauts les uns des autres : mais comme les s
courant du Monde, personne durant plus de quatre mille ans n’a pu se
connaître
soi-même. De manière que d’une part sentant le dé
définir la Comédie, qu’une « assemblée de railleurs ou personne ne se
connaît
, et où chacun rit des défauts qui les rendent tou
on grand ouvrage et triomphé de ces dévots ignorants qui blâment sans
connaître
, il prend son ton moqueur, et répond ainsi à ceux
ises, parce que le Prince ne les défend pas. Ne suffit-il pas pour en
connaître
le crime de consulter la loi qui nous parle au fo
ie. Si nous n’entendons pas ses réponses, consultons l’Eglise qui l’a
connue
parfaitement. Nous pouvons, sans faire tort à l’E
si savamment, il nous apprend les moyens dont il s’est servi pour en
connaître
la nature. Premièrement, « il s’en est informé à
re Théologien, et sur son témoignage scandaleux lui déclarer qu’il ne
connaît
pas assez l’homme, ni les impressions que les obj
la « moindre émotion ». Le Père a recueilli les voix ; et de plus il
connaît
si bien comment nous sommes faits, qu’il faut l’e
pour nous guérir ne l’a point mise au nombre de ses conseils, lui qui
connaissait
si bien la nature de nos maux, et le remède qui n
éteste et la foudroie ? D'ou vient que le Peuple de Dieu ne l’a point
connue
, ou l’a laissée là contre le partage des Païens ?
ruit que les richesses immenses des Comédiens, et ce que le public ne
connaît
que trop sans que j’en parle. A l’égard des expre
teurs que sa plume aurait décriés, je réponds, de l’humeur dont je le
connais
, qu’on n’attendrait point après sa mort pour le c
que vos oreilles avaient entendus, que l’impiété de ce fils, que vous
connaissiez
pour imaginaire et pour chimérique. Voilà l’endro
ment ce qui peut en avoir quelque apparence. Monsieur de Molière, qui
connaît
le faible des gens, a prévu fort favorablement qu
ner des nouvelles armes en travaillant pour sa défense. Et comme j’ai
connu
par là qu’il n’avait pas besoin d’un grand secour
s de la mauvaise opinion qu’il veut donner de vous à ceux qui ne vous
connaissent
point, il y a lieu d’appréhender encore quelque c
par hasard il arrive que ceux qui liront ce qu’il a fait contre vous
connaissent
qu’il s’est mépris, et qu’ils ne vous viennent po
rt de représenter les objets est fort différent de celui de les faire
connoître
. Le premier plaît sans instruire ; le second inst
e, flatte le peuple & les ignorans, parce qu’il ne leur fait rien
connoître
, & leur offre seulement l’apparence de ce qu’
voit quelque mélange de vérité dans ses imitations, il faudroit qu’il
connût
les objets qu’il imite ; il seroit Naturaliste, O
gnorance ; & il ne peint tout, que parce qu’il n’a besoin de rien
connoître
. Quand il nous offre un Philosophe en méditation,
nir à eux seuls les talens de tous les mortels. Si quelqu’un nous dit
connoître
un de ces hommes merveilleux, assurons-le, sans h
du plaisir ; en sorte qu’ils prennent les images d’objets qui ne sont
connus
, ni d’eux, ni des auteurs, pour les objets mêmes,
ages, il les affirme conformes à la vérité : il est donc obligé de la
connoître
, si son art a quelque réalité ; en peignant tout,
ette foiblesse de l’entendement humain, toujours pressé de juger sans
connoître
, qui donne prise à tous ces prestiges de magie pa
re ame dépourvue de prudence & de raison, & incapable de rien
connoître
par elle-même de réel & de vrai*. Ainsi l’art
efois qu’il est impossible à l’homme de prévoir l’avenir, & de se
connoître
assez lui-même pour sçavoir si ce qui lui arrive
plusieurs Chrétiens ne font pas difficulté d'y aller; parce qu'on ne
connaît
pas la sainteté à laquelle ils sont obligés par l
de Jésus-Christ. Si on regardait la vie Chrétienne par cette vue, on
connaîtrait
aussitôt combien la Comédie y est opposée ; et il
plusieurs Chrétiens ne font pas difficulté d'y aller; parce qu'on ne
connaît
pas la sainteté à laquelle ils sont obligés par l
de Jésus-Christ. Si on regardait la vie chrétienne par cette vue, on
connaîtrait
aussitôt combien la Comédie y est opposée ; et il
ilés de lie (injures qui pouvaient avoir pour objet, soit leurs vices
connus
, soit leurs défauts corporels, soit enfin leurs r
âtre d’Athènes, des Satyres en action ; c’est-à-dire, des Personnages
connus
& nommés, dont on imitait les ridicules &
l conseilla de même a Denys la lecture des Comédies de ce Poète, pour
connaître
les mœurs de la République d’Athènes : & c’ét
ps, & représentait sans ménagement les actions de sa vie les plus
connues
, de quelque nature qu’elles fussent, semble donne
e de Molière, la rencontre d’Harpagon avec son fils, lorsque, sans se
connaître
, ils viennent traiter ensemble, l’un comme usurie
tend à l’estime publique, qui n’oserait se montrer, s’il croyait être
connu
comme il se connaît lui-même. La politesse gaze l
blique, qui n’oserait se montrer, s’il croyait être connu comme il se
connaît
lui-même. La politesse gaze les vices ; mais c’es
uges dévoués, entraînés par l’esprit de parti, dont les opinions sont
connues
d’avance, séduits d’ailleurs par les faveurs, ou
arant leur raison, par les vaines terreurs de la superstition. Qui ne
connaît
les manœuvres des prêtres, pour priver les hommes
; ils sont soumis à l’erreur et au mensonge. Ils semblent redouter de
connaître
la vérité ; ils brûlent les livres des philosophe
e et moderne, s’est toujours appliquée à étudier le cœur humain, à en
connaître
les défauts et les vices, et à flatter ses inclin
ls sur cette matière que je n’ai fait qu’effleurer. Je voudrais faire
connaître
l’origine de l’intolérance et du fanatisme qui dé
x gouvernements eux-mêmes avec une confiance filiale, pour leur faire
connaître
les abus qui rongent et détruisent sourdement, et
ni de provoquer la haine contre les ministres du culte, que de faire
connaître
l’immoralité et le fanatisme des mauvais prêtres.
torité spirituelle et l’autorité temporelle. Il est temps qu’il fasse
connaître
à tous les souverains de l’Europe, qu’il se désis
, ainsi que les ecclésiastiques dans tous leurs grades hiérarchiques,
connaissent
leurs devoirs et leurs droits légitimes. Les lumi
vertus, de sa douceur, de sa tendresse envers vous ; une femme qui la
connaît
comme vous-même, celle qui m’a révélé ce secret q
st toute belle, cette épouse que vous aimez……… Oui, vous l’aimez ; je
connais
trop bien votre cœur pour en douter : il n’est po
sa voix, son sourire, jusqu’à son geste. Elle s’est nommée ; vous la
connaissez
: vous n’ignorez pas combien elle est séduisante
tendre et si susceptible des impressions du vice, ils commencent à le
connaître
et à se familiariser avec lui. Ces principes de c
être, leur apprendront, pour la première fois et toujours trop tôt, à
connaître
cette passion ; car, quand même il serait vrai de
même il serait vrai de dire que, tôt ou tard, il faut bien qu’ils la
connaissent
, (ce que je suis très éloigné de croire) il n’y a
s pas une suprématie orgueilleuse sur le clergé séculier ? Si on veut
connaître
les processions licencieuses, les farces indécent
iter, ne sont plus applicables aux comédiens français, et nous ferons
connaître
les décisions des papes à l’appui de nos assertio
, en obtenant la permission de jouer leurs ouvrages, qui étaient déjà
connus
sous le nom de pièces de moralité. Dans ces pièce
alais-Royal, galeries de Bois, n° 243. 7. [NDA] Ceux qui voudraient
connaître
les accusations graves qui pèsent sur la réputati
iter ; s’il balance entre ma Rivale & moi ; j’y suis résolue ; je
connais
un moyen… je l’emploierai. Ne me le demandez pas.
n croit que nous les aurons ici : je voudrais que vous me les fîssiez
connaître
d’avance.
rêtre, c’est un Confesseur qu’on introduit pour nous assurer qu’il ne
connaît
pas les péchés que des docteurs trop rigoureux at
sonnes de piété et de savoir qui sont en charge dans l’Eglise, et qui
connaissent
les dispositions des gens du monde ont jugé qu’il
ième Lettre. De madame Des Tianges. Jeudi 2 novembre. I l ne te
connaît
pas, non, il ne t’a pas reconnue : en voici la pr
toutes mes fautes ! Que je l’admire ! Elle ignore que je l’ai d’abord
connue
, & qu’entrevoyant son dessein, j’ai fait l’im
édommagée du cœur que je perds, & dont, autant que personne, j’ai
connu
le prix : daignez quelquefois permettre que je vo
Saint Thomas a prise d’Aristote, il faut avouer qu’ils ne l’ont guère
connue
. Les traducteurs ont tourné ce mot grec eutrapeli
i en toutes manières, il le regardait dans cette homélie, et ceux qui
connaissent
le génie de Saint Chrysostome, dont tous les disc
uteront pas. Voilà donc ce qu’il a pensé de la vertu d’eutrapélie peu
connue
des chrétiens de ces premiers temps. Théophylacte
e que la République, fut admirée universellement. Quoique des Auteurs
connus
trouvent dans les Poëmes d’Homère, les premières
avantages sur les Romains. En effet, la Langue Grecque étoit à peine
connue
, qu’Homère en fit le langage des Dieux. Athènes n
e. On m’objectera sans doute que Rome, jusqu’à Auguste, n’avoit point
connu
l’Epopée, & que cela n’empêcha pas que Virgil
es exploits, parce qu’ils parlent aux yeux : son caractère ne se fait
connoître
qu’à l’esprit, qu’à la réflexion, qui ne travaill
’ordre universel. Ceux des Poëtes Latins, qui ont commencé à se faire
connoître
par leurs Tragédies, les écrivoient en Grec, &
rqué, je fus il y a quelques jours chez Mademoiselle *** : elle ne me
connaît
pas : je me donnai pour une jeune-personne malheu
le Théâtre : je vantai sa générosité ; je me flatai que sans en être
connue
, elle prendrait mes intérêts, voudrait bien essay
a défense Et celle de l’hymen ? Vous… — Ce doute m’offense ; Vous me
connaissez
peu, si vous me soupçonnez De penser autrement. —
utant plus difficile de s’opposer à la fantaisie de son mari, qu’elle
connaissait
peu le monde & ses usages ; & que, renfer
elle sait quelqu’un qui n’est pas de la Ville, & qui n’y sera pas
connu
, qui consentirait à remplacer Mademoiselle *** po
t de moi ? Vous ne manqueriez pas encore de vous écrier, que je ne me
connais
point en Auteurs, « que je confonds les Chamillar
e ceux qui condamnent Jansénius, est trop grand, le moyen de se faire
connaître
dans la foule ? Jetez-vous dans le petit nombre d
ait, ou plutôt n’en changez point du tout, vous ne sauriez être moins
connus
qu’avec le vôtre : surtout louez vos Messieurs, e
x que lui. Mais, Monsieur, vous qui êtes plaisant, et qui croyez vous
connaître
en plaisanterie trouvez-vous que le pouvoir proch
point accoutumé d’avoir affaire à des inconnus. Il leur faut des gens
connus
et des plus élevés en dignité, je ne suis ni l’un
secours, le Roi ordonnerait qu’on ne reçût point d’Acteur qui ne fût
connu
pour homme d’honneur, et, comme tel, avoué de sa
n ajoutera qu’il est impossible que des Spectateurs, qui n’ont jamais
connu
d’autres Spectacles que ceux où l’amour sert de b
célébrer sans cesse et uniquement la passion d’amour. D’ailleurs, ils
connaissent
trop bien l’Antiquité pour ne pas savoir que les
s de voir leur génie en liberté, et que leurs premiers efforts feront
connaître
combien l’amour, qu’on croit aujourd’hui l’unique
c’est sur cela que je crois devoir prévenir mon Lecteur, et lui faire
connaître
ce que je pense. Je fais cas des règles sans en ê
de guide, et je n’osais même communiquer mes doutes à personne. Je ne
connaissais
pour lors aucun Ecrivain qui pût m’aider à rectif
in eut dans ce temps là avec le Tasse et ceux de son parti, est assez
connue
des gens de Lettres : avec ce secours je me défia
s eu garde de dire le moindre mot de ses licences, si elles n’étaient
connues
de tout le monde. Il vaut mieux avertir ses Poète
délicat, nous invitent à nous livrer à la tendresse. Saint Augustin a
connu
le danger qu’on courait à des représentations tro
l’Auteur immortel de tant de Tragédies célèbres : « Ce n’est pas même
connaître
le cœur humain de penser qu’on doit plaire davant
pourquoi la bonne compagnie a des plaisirs que les gens grossiers ne
connaissent
pas… Les Spectateurs en ce cas sont comme les ama
& les personnages n’ayent rien de commun avec ceux qui nous sont
connus
; & de tirer avantage du goût qu’ont les Fran
Il faut se garder de choisir le sujet d’un Drame dans des Ouvrages
connus
par leur indécence ; parce qu’il est bien diffici
vergondée pour parler avec aussi peu de retenue à un homme qu’elle ne
connaît
que depuis un jour, tout au plus ? Cette mine fr
autant(8). Si ce ne sont-là des indécences, j’avoue que je ne m’y
connais
pas. Le Serrurier. Veut-on voir quel est
dit plus haut, qu’il est ridicule de croire gâzer un sujet indécent,
connu
de tout le monde. On sçait par cœur les Contes de
n à l’original, comme le portrait d’une jolie femme fait désirer d’en
connaître
le modèle à ceux qui ne l’ont pas vue ; il est do
ux austères des Pasteurs ou des Philosophes, peut faire désirer de la
connaître
et de la pratiquer. Or on voit souvent au Théâtre
’on conçoit pour Phèdre, qu’on haïssait si fort avant que de la mieux
connaître
? Il s’en faut bien que Médée opère le même effet
us un Scélérat est heureux, plus il est en horreur à tous ceux qui le
connaissent
. Un des motifs qui fait que les Comédiens jouent
toïcisme, vous appuyez un peu plus effrontément sur son compte. Je le
connais
par quelques-uns de ses amis ; je ne l’ai vu qu’u
vôtre. M. de Crébillon vous a obligé, à la première vue et sans vous
connaître
; vous payez son service de la plus noire ingrati
l’avoue, très justement méritée. Avant de m’être procuré l’honneur de
connaître
M. de Voltaire, la mode de fronder tous ses ouvra
plus flatteuses et les plus capables d’y assurer mon bonheur. Si vous
connaissiez
un peu mieux les sentiments de la reconnaissance,
’étendue de la mienne : mais vous n’avez appris qu’il faut vous faire
connaître
jusqu’où ce sentiment peut et doit aller. Je vous
on ne donne pas même le nom de Communauté, mais de troupe, dont on ne
connaît
pas l’établissement par une voie juridique. » On
qui était noble, et prit celui de Monfleury, sous lequel seul il est
connu
, et qui ne sera jamais inséré dans la généalogie
entre eux, à la bonne heure, ils sont faits l’un pour l’autre, ils se
connaissent
, et par une équitable compensation ils se doivent
’aspirer à des charges, et de s’exposer à l’affront d’un refus. On ne
connaît
qu’un trait trop singulier pour le passer sous si
lus vile. Je croirais faire un crime de penser que des Magistrats qui
connaissent
la dignité de leur état, et n’en sont quelquefois
de leur assiduité, de leurs applaudissements, de leur familiarité. Je
connais
une exception à cette règle, mais je n’en connais
eur familiarité. Je connais une exception à cette règle, mais je n’en
connais
qu’une. Marguerite de Valois, sœur de François I,
tait pas. Lorsqu’il fut bien affermi sur le trône, et qu’il eut mieux
connu
les vices de cette engeance, il en purgea l’Itali
l’Empereur à Lambertus, Gouverneur de cette île. La voici, elle fera
connaître
le génie de l’Auteur, on y trouvera de très bonne
Pastorale ». C’est directement tout le contraire. Les Anciens ne
connurent
point le vrai genre de la Pastorale ; & pourq
p; pourquoi. Il me semble que les Grecs ni les Latins n’ont point
connus
le vrai genre de la Pastorale, aussi-bien que plu
e comparable à l’Aminte ni au Berger fidèle. Le génie d’une Nation se
connaît
rarement par les Ouvrages d’un ou de deux de ses
ubin de M. Marmontel, & le Devin du Village, dont l’Auteur est si
connu
& si digne de l’être. Vous remarquerez que l’
près lui. Jérôme & Fanchonnette, dont il est l’Auteur, fera mieux
connaître
ce genre singulier que tout ce que j’en pourrai d
ec une volupté qu’eux seuls peuvent apprécier, le sentiment qu’ils ne
connaissent
pas. Et voila du plaisir, mais du plus vrai, pour
ait desert, comme il l’était avec leurs Pièces de Déclamation, ils ne
connaissent
guères le cœur humain, notre Nation & leurs i
s Pièces, on nous présente des êtres de raison. Gens des Villes, pour
connaître
le Paysan, il faut avoir vécu long-temps avec lui
nt admirables ; ce sont les hommes par excellence. Ah ! s’ils étaient
connus
!… Que ne puis-je tracer ici le tableau de condui
lles est plus naturel que la Comédie-Ariette : l’heureux choix d’airs
connus
, presque proverbiaux, répand sur ces Pièces une n
pièces ne sont pas ordinairement si bonnes, il en est peu qui soient
connues
hors des Collèges, mais si la pratique est médioc
ins voudrais-je soupçonner la pureté d'intention d'un Auteur que j'ai
connu
rempli de piété, je dis seulement que c'est un ho
moteurs du théatre. Sans eux, renfermé dans la capitale, tout au plus
connu
dans trois ou quatre villes du royaume, jamais il
s mêmes sentiments. On apprendra les scènes, on lira les Comédies, on
connaîtra
les Auteurs, on s'initiera dans tous les mystères
vers de Sénèque ? Cependant le zèle et les bûchers s'allument. Qui ne
connaît
Corneille, Racine, Voltaire, et le théâtre des Jé
ents, ou pour ménager les suffrages des Grands et du peuple, dont ils
connaissaient
le goût, ou dans l'idée que c'est un exercice uti
lus d'union dans les familles ? les droits de l'amitié sont-ils mieux
connus
et plus respectés ? la patrie a-t-elle acquis un
n à faire à quelqu’un qui ne l'a jamais vu ; il fait rire ceux qui le
connaissent
, si l'enthousiasme ne leur met sur les yeux un ve
ns qui n’est pas donné à tout le monde, et qui est réservé à ceux qui
connaissent
le véritable sens de Jansénius. A l’égard des fau
r ces Messieurs a toujours un caractère de bonté que tout le monde ne
connaît
pas. Il n’importe que l’on compare dans un écrit
ont toujours quelque chose d’utile à l’Eglise. Enfin, il est aisé de
connaître
, par le soin qu’ils ont pris d’immortaliser ces R
pper. Mais ce qui concerne les personnages est trop simple & trop
connu
, pour qu’il fasse la moindre grace au Poète qui s
ir aucune ressemblance avec les caractères déja tracé dans des Pièces
connues
. Je ferais loin de donner un pareil avis, si le p
arce qu’il leur manquait ce poli, cette fine élégance que les Romains
connurent
aussi-tôt que le luxe. La plus-part des Hèros des
de chaque Peuple ; il tient tout-à-fait aux mœurs d’une Nation ; les
connaître
, c’est avoir une idée de ses Pièces enjouées.
lly. Cet échange ne peut que causer de l’indignation à tous ceux qui
connaissent
le prix et le mérite de ces deux livres. Le premi
l’y enseignât lui-même : Et c’est apparemment ce qui l’a fait le plus
connaître
à Rome. Car on peut croire que l’estime que tous
éjouissent chez vous. Mais on a tout lieu de croire que ceux qui n’en
connaissent
que de plus sérieuses et de plus Chrétiennes, s’e
onquête de l’Ile de Samos. L’amour de ce Général des Athéniens, était
connu
de tout le monde, et Sophocle qui était son intim
ela ne fait rien ni pour ni contre moi : je veux seulement vous faire
connaître
que ces Histoires fournissent assez de passions e
e délicatesse, et je veux bien avouer qu’il y a de certains noms trop
connus
que je ne voudrais pas donner pour titre à une Pi
reprît de faire cette Tragédie ; mais je voudrais que le sujet en fût
connu
: car je ne me souviens d’aucuns événements de l’
ue l’action principale soit conservée avec les circonstances que l’on
connaît
, il est permis d’ajouter et de changer comme l’on
il est permis d’ajouter et de changer comme l’on veut ce que l’on ne
connaît
pas, ou ce qui n’est connu que d’un petit nombre
e changer comme l’on veut ce que l’on ne connaît pas, ou ce qui n’est
connu
que d’un petit nombre de curieux et de Savantsak.
t à l’histoire de l’Eglise, que de changer quelques circonstances peu
connues
et peu importantes. CLEARQUE. Vous me faites fa
èce n’eût eu un succès plus grand, si le nom d’Argélie eût été un peu
connu
. C’est un défaut dont il est aisé de se corriger,
vu réussir des Tragédies, dont le nom était inconnu auparavant. On ne
connaissait
point le Cid avant la Tragédie de Monsieur Cornei
ur Corneille. J’avoue néanmoins que quand le titre d’une Tragédie est
connu
, cela prépare mieux les esprits, et je ne voudrai
illit guère de succès. ap. [NDE] Il s’agit du Philoctète, encore peu
connu
au xvii e siècle. aq. [NDE] Ce paragraphe pourra
once, outre qu’il ne leur échappe pas la moindre expression qui fasse
connaître
leur passion, je trouve que c’est une espèce d’am
rable femme l’aurait réduite à l’extrémité, si elle ne l’eût pas fait
connaître
au fils de son époux, dont elle était follement é
ait encore très jeune, et la Thébaïde était son premier essai. Racine
connaissait
trop bien l’antiquité ; il avait trop lu Sophocle
our le Théâtre de la Réformation. ATRÉE ET TYESTE. Avant que de
connaître
cette Tragédie de M. Crébillon, j’étais d’une cer
faite ; et, si s’en était ici la place, j’oserais me flatter de faire
connaître
, dans une courte apologie de cette Pièce, l’art a
ver Rhadamiste, lorsque l’on rejette Mithridate. Zénobie n’est point
connue
pour ce qu’elle est ; elle porte un nom emprunté,
rmation. Il est vrai que Pilade aime Iphigénie ; mais cet amour n’est
connu
que par un mot, et est traité avec la plus grande
dévotion, avec laquelle il a si peu de commerce, et qu’il n’a jamais
connue
ni par pratique ni par théorie. L’hypocrite et le
e ne contribue pas peu à échauffer sa veine, contre la Religion. « Je
connais
son humeur, il ne se soucie pas qu’on fronde ses
utant plus librement, que Molière se plaint qu’on le condamne sans le
connaître
, et que l’on censure ses Pièces sans les avoir vu
de... », en lui reprochant de lancer les pires accusations sans même
connaître
ce qu’il attaque : « ma comédie, sans l’avoir vue
rer dans le sentiment de tous ceux qui font la foule à ses Pièces, il
connaîtrait
que l’on n’approuve pas toujours ce qui divertit
amais vu un plus mauvais Bouffon, ni une Farce plus pitoyable ; et je
connus
par là que le Marquis jouait quelquefois Molière,
de... », en lui reprochant de lancer les pires accusations sans même
connaître
ce qu’il attaque : « ma comédie, sans l’avoir vue
vous ne ferez pas mal d’aller à ce jeu, au bal ou à la danse, s’il ne
connaît
parfaitement toutes les circonstances du lieu, du
nière et des personnes qui s’y rencontrent, et principalement s’il ne
connaît
certainement la posture et la disposition de votr
naît certainement la posture et la disposition de votre cœur, qui est
connu
de Dieu seul : Inscrutabile cor hominis, et quis
quent des Pères Latins, d’une des premières familles de Carthage, qui
connaissait
bien les spectacles, où il avait souvent été avan
ense de la religion Chrétienne, dont il explique les mystères et fait
connaître
la sainteté, et contre le paganisme, dont il déco
abstenons de vos plaisirs, de vos pompes, de vos spectacles ; nous en
connaissons
l’origine profane, et nous en condamnons les douc
» Lactance. L’éloquent Lactance, appelé le Cicéron Chrétien,
connaissait
le monde, il avait été Païen ; il connaissait la
lé le Cicéron Chrétien, connaissait le monde, il avait été Païen ; il
connaissait
la Cour, il y avait passé plusieurs années Précep
s, fils du Gouverneur de Carthagène, élevé dans le grand monde, qu’il
connaissait
parfaitement, a laissé grand nombre d’ouvrages ex
portentis ». Je n’en parle qu’avec peine, je voudrais ne pas même les
connaître
: « Piget malum illud, vel nosse. » On ne peut en
rs des Rois et les capitales des empires, et par elle les provinces :
connaît
-elle quelque mesure ? « Vix poterit in tanta reru
I, son ami. Entre autres ouvrages, il en a fait un sur la Cour, qu’il
connaissait
bien, intitulé des Désordres ou des futilités des
e davantage dans les familles ? Les droits de l’amitié sont-ils mieux
connus
& plus respectés ? La Patrie a-t-elle acquis
l tend au bien, sans regarder autour de lui. Mais il ne suffit pas de
connoître
la nature du mal, il faut indiquer le remede, &am
d’en trouver la solution ; la lecture des Historiens leur apprendra à
connoître
l’homme dans toutes ses variétés ; les Orateurs l
mmander & d’obéir. Or, pour bien commander, il faut non-seulement
connoître
les hommes que l’on conduit, mais encore ceux que
Les exemples viennent ici à l’appui du raisonnement. Depuis que l’on
connut
, dans la Grece & à Rome, des Ecoles pareilles
it plus d’esprit que Rousseau, &c. Mais on seroit plus curieux de
connoître
quelles passions sont les plus dangereuses de l’a
Comédie, qu’au tems de Corneille & de Moliere. C’est ce que fera
connoître
une Histoire très-abrégée, dans laquelle je ne pr
’Œdippe. Les Espagnols disputent aux Italiens la gloire d’avoir fait
connoître
les premiers la Tragédie, puisque D. Montiano dan
ut ordonné de n’y jouer que des Sujets profanes. Cependant pour faire
connoître
que ce Bâtiment leur appartenoit, ils mirent sur
is, elles y firent oublier celles de Vondel. La Poësie Dramatique fut
connue
en Allemagne plus tard que par tout ailleurs, &am
l’Italie le goût de la belle Nature ; mais enfin nos Tragédies mieux
connues
, forcerent ceux qui les méprisoient, à prendre un
Poëtes avoient su exciter une Pitié charmante ? Nos belles Tragédies
connues
aujourd’hui en Espagne, y ont aussi introduit un
Chapitre XII. Des Spectateurs. CE n’est pas le tout de bien
connaître
les différentes parties d’un Drame ; il faut savo
tort, si chacun l’avait adoptée ; au moins il a la gloire de l’avoir
connue
en partie. On conclura aisément de ce que je vien
s ! Ses Œuvres achevés éternisent sa gloire. *** Combien d’Auteurs
connus
, qu’on passe sous silence, De leurs prédécesseurs
s ces grands hommes, Ces modèles parfaits et ces Maîtres de l’art Qui
connaissent
de tout, et qui dans tout ont part ; Je les laiss
; dans un âge si susceptible des impressions du vice on commence à le
connoître
& à se familiariser avec lui. Ces principes d
s plus pernicieuses impressions, ils y apprennent toujours trop tôt à
connoître
& à sentir l’amour ; & quand même il sero
é, instruit par une expérience de quarante années, courageux, qui ose
connoître
& dire la vérité, quoiqu’avec beaucoup de mod
a renaissance du théatre, il ne parle que de cinquante-trois des plus
connues
, des mieux accueillies. Il ne daigne pas même jet
re, ce qui seroit presque le détruire : d’ailleurs ces amours sont si
connus
, que quelque précaution qu’on prenne pour les dég
La réformation ne peut adopter cette piece. En voilà assez pour faire
connoître
le goût & le système de Riccoboni. Je ne parl
l propose. 1.° Aucun Acteur ne sera reçu qui ne soit homme d’honneur,
connu
& avoué de sa famille, dont il rapportera des
ent conduits à la vérité. Il ne faut qu’étudier les vivans, pour bien
connoître
les morts. Nous avons en petit ce que nos pères a
tout péché réduit, et ne passe pas le for intérieur. Si le péché est
connu
, il doit en priver devant les hommes ; Dieu l’a e
hez lui, comme sont la plupart des Acteurs et des Actrices, est moins
connu
. Il ne monte pas sur un théâtre étaler son crime,
bsolution. Sa notoriété n’est pas une sentence, ce n’est que le péché
connu
. Un Pasteur qui fait sortir la brebis d’un pâtura
s, parce que quoique communs parmi les Théologiens, ils sont fort peu
connus
des amateurs du théâtre. Une censure en général e
es, il faut convenir que cela est vrai. Mais aussi, pour peu que l’on
connaisse
l’ancienne discipline et les anciens canons, on n
ples, occupés de croisades, de joutes, de tournois, de chevalerie, ne
connaissaient
que des vielleurs, jongleurs, tabarins, danseurs
fréquenté le théâtre, peu de lois dans la discipline qui soient plus
connues
, contre lesquelles on ait moins réclamé, que l’ex
ls ont fait depuis ce qu’ils auraient dû faire d’abord, s’ils avaient
connu
le noble désintéressement des Comédiens ; ils ont
, qui , selon les apparences, fut la prémière représentation en règle
connue
des hommes. Il est bien certain que l’action d’un
dit tout haut à l’oreille de cinq ou six personnes discretes, qu’elle
connaît
bien là son amie ; le petit Maître sourit à l’esq
ms reculés de l’histoire, ni parcourir de vastes contrées, pour mieux
connaître
les Hèros qu’elle fait agir ; ses Personnages son
confession si on cherchait en soi-même les causes du mal. Qui saurait
connaître
ce que c’est en l’homme qu’un certain fond de joi
e et vague au plaisir des sens qui ne tend à rien et qui tend à tout,
connaîtrait
la source secrète des plus grands péchés. C’est c
e grand affaiblissement est déjà un commencement de chute. Si l’on ne
connaît
de maux aux hommes que ceux qu’ils sentent et qu’
rité spirituelle sur l’autorité temporelle. On le soupçonne de ne pas
connaître
les circonstances qui favorisèrent, en France, l’
fin, par quelle raison M. de Sénancourt, que je n’ai pas l’honneur de
connaître
, m’a attaqué si gauchement et avec si peu d’espri
présente point une analyse claire de mon ouvrage, et n’en fait point
connaître
les parties principales. Il aurait dû en saisir l
es conditions il faudrait pour qu’une Tragédie fût parfaite ? Je n’en
connais
qu’une seule. Il faudrait qu’elle nous rendît mei
squels on s’efforce de nous le montrer ? Pourquoi ne nous point faire
connaître
l’amour sous une forme estimable ? Il n’a point d
e l’ambition ; et M. de Voltaire se résout à s’écarter d’une histoire
connue
en faveur d’une épisode qui détruit le fonds de s
que commet le clergé de l’exiger, et les procureurs du Roi doivent en
connaître
, pag. 132, 134. Aix, en Provence (procession d’)
. Langres, les évêques de Langres donnent des statuts à la société
connue
sous le nom de Mère Folle à Dijon, et en recoiven
argés de la censure de nos premières comédies, pag. 108 ; ils doivent
connaître
du délit que le clergé commet en demandant l’abju
iviles, et les diplômes de nos rois, les procureurs du roi doivent en
connaître
, pag. 134, 135 et 182. Servante ; aucune servant
Le Lapon qui vit sous la neige, & l’Africain brûlé par le soleil,
connaissent
les charmes de l’harmonie. Les Sauvages les plus
e de prononcer les mots. Il suffit aussi de lire nos bons Poètes pour
connaître
que notre langue sait même très-souvent peindre l
isonnemens, qui tendaient à nous ôter jusqu’à la moindre espérance de
connaître
la Mélodie, sont tombés en pure perte. Il est si
de celle des Italiens ; c’est-à-dire que je veux éssayer de les faire
connaître
l’une & l’autre, de manière qu’on puisse les
arques, on distinguera tout de suite les divers genres de musique. On
connaîtra
, par éxemple, que la Romance d’On ne s’avise jama
çais. Il serait trop long de citer d’autres Drames. On peut aussi
connaître
les divers genres de nos Compositeurs de musique
e Lubin, lorsqu’il arrive sur la Scène, dans l’espèce de Pastorale si
connue
d’Annette & Lubin, remplit toutes les conditi
et d’aboiement, d’autant plus remarquables, qu’ils tendraient à faire
connaître
les différentes nuances de l’hypocrisie et de la
t l’affermissement de la religion catholique, elles refusent de faire
connaître
leurs constitutions et leurs règlements, non seul
er habilement ce levier politique, et comme un autre Archimède, il en
connaît
toute la puissance, et il a trouvé le point d’app
ets ; ils savent tout ce qui se passe dans l’intérieur des maisons et
connaissent
les actions et surtout la manière de penser de ch
idèle du culte de cette divinité chérie de tous les peuples ? Il n’en
connaissait
pas le prix et ne fut pas digne d’en être inspiré
point de vue dans lequel j’ai placé le portrait que j’ai voulu faire
connaître
, et dont j’ai été à portée d’observer l’original,
de tous les partis, qui veulent renverser les ministres actuels ; on
connaîtra
mes motifs en lisant la Notice que j’ai placée à
y avoit été vaincu & jetté dans les fers, & n’étoit cependant
connu
de personne. Sur un faux avis, donné à dessein pa
rmée pour une si heureuse expédition. Zaraès revient ensuite, se fait
connoître
, dit au Roi que c’est la scène du poignard tombé
ourceaugnac, la Femme juge et partie, Arlequin Procureur, etc. Qui ne
connaît
la comédie des Plaideurs du doucereux Racine ? On
oique à la vérité les poètes Magistrats sont en petit nombre, on n’en
connaît
qu’un de quelque nom assez distingué d’ailleurs p
. Débarrassés de la gênante décence de leur profession, n’étant point
connus
, et se flattant de ne pas l’être, ils s’y permett
l’Etat, les cacher dans la foule ; n’étant point affichés ni souvent
connus
, les affronts et les fautes ne retombent point su
sentiments de conserver la décence et les marques de la dignité. Les
connaît
-on, les souffrirait-on à la comédie ? Nous l’avon
e lui aient pas obtenu la préférence sur son concurrent, homme formé,
connu
, et, à en juger par son style, bien plus agréable
lui aurait conseillé de faire. Oui, ma chère, dissimule : puisque tu
connais
ta Rivale, étudie-la, pénètre-la, copie-la, surpa
gitime sont devenus sans piquant & sans saveur ; ils ne sont plus
connus
que d’un petit nombre d’honnêtes gens, assez heur
de les adopter ou de les avouer aujourd’hui, la Logique que vous leur
connoissez
doit naturellement les y conduire, ou les laisser
Religion Protestante en général, en assurant que la logique que vous
connoissez
à ses Ministres les conduit naturellement au Soci
nsidérer que cette même philosophie & cette logique que vous nous
connoissez
, & dont vous faites éloge, au lieu de nous él
es lueurs qui promettent une plus grande lumière. L’Auteur s’est fait
connoître
, s’est placé, & ses vues sont remplies, au mo
plûpart n’ont besoin, pour se distinguer dans la carriere, que de la
connoître
: servez d’appui à ces tendres plantes, à qui la
ela ne paroît-il pas extraordinaire aux étrangers, qui font gloire de
connoître
& de fréquenter ceux qui cultivent les Scienc
veur de la Comédie. Monseigneur, Si j’avais l’honneur d’être mieux
connu
de Votre Grandeur, je prendrais la liberté de l’a
y aller. Tous ceux qui se sont déchaînés contre elle ne sont pas plus
connus
qu’ils l’étaient auparavant, ou s’ils le sont ce
à quelque chose de plus sérieux, mon obéissance à ses Ordres lui fera
connaître
avec combien de soumission et de respect je suis,
est estimé l’un des plus beaux esprits de de-là la mer, et passe pour
connaître
à fond les grâces propres de sa langue. Et l’on r
onner au public un Recueil de ses Poésies, et dont le mérite est trop
connu
par ses Poèmes, de l’Art de Prêcher et de l’Amiti
Anglais : j’espère que M. Collier ne s’en formalisera point, lui qui
connaît
toute la délicatesse, et du langage et du génie F
ècles. Descartes et Gassendi ont découvert des vérités qu’Aristote ne
connaissait
pas : Corneille a trouvé des beautés pour le Théâ
Corneille a trouvé des beautés pour le Théâtre qui ne lui étaient pas
connues
: nos Philosophes ont remarqué des erreurs dans s
and, le fabuleux. Je ne veux pas comparer la Pharsale à l’Enéide ; je
connais
la juste différence de leur valeur : mais à l’éga
ient à chaque événement, ou leurs frayeurs, ou leurs larmes. Aristote
connut
bien le préjudice que cela pourrait faire aux Ath
& voyons pourquoi les Comédiens y furent meprisés. Les Romains ne
connurent
que très-tard les pieces de théâtre ; ce ne fut q
hane & de Ménandre. Ils furent aussi les derniers Poëtes comiques
connus
. Sous Auguste l’Empire devenu tranquille, produis
Médée par Ovide, & dans Ajax par Auguste, les trois seules pieces
connues
, celles de Seneque n’ayant jamais été jouées. Ces
furent ceux qui se sentirent moins de la barbarie générale. Les plus
connus
sont Arnauld Daniel de Tarascon, qui vivoit en 11
aussi au rang des Poëtes Provençaux, l’Empereur Fréderic Barberousse,
connu
par les vers qu’il fit en 1162, lorsque Raymond B
ce & a commencé avec lui. Les premiers Marchands ont dû être ceux
connus
aujourd’hui sous le nom de Charlatans, Joueurs de
es passions, & offrir aux spectateurs des imitations dont il doit
connoître
les modeles. C’est celui qui peint le mieux, qui
é & qui ont imaginé ce genre de spectacle, semblent l’avoir mieux
connu
. C’est d’eux que nous tenons l’usage, à chaque re
e. Il est ridicule qu’à des assemblées où chacun se rassemble sans se
connoître
, & en achetant seulement le droit de s’y rend
des Rois de leur patrie, après Pindare & Horace ils apprendront à
connoître
les Poëtes François qui ont illustré les Lettres,
ieux j’ose blâmer Venus ; Pour le Dieu des plaisirs mes respects sont
connus
. A Savert, son Petrone. Lettre XIV. De nos
cats Du fer & de l’acier dont s’arment les soldats. Il n’a jamais
connu
Vauban, Folard, Euclide, Son Code Militaire est l
ont pas flâtés ; qui oseroit les adopter ? Mais aussi, qui doit mieux
connoître
un grand Poëte, qu’un Roi Poëte, son intime ami ?
ître un grand Poëte, qu’un Roi Poëte, son intime ami ? qui doit mieux
connoître
un Philosophe, qu’un Roi Philosophe ? qui auroit
t genre. Puissant & fameux Sak, ce suppot de Calvin, Ce zélateur
connu
du sexe feminin, Qui deux fois par semaine, en st
s-je en tremblant ? Dieu garde, de ma vie. Quoi, vous, Prélat, qui ne
connoissez
rien, Vous décidez & du mal & du bien ? A
lus précieuse que ses talens. Depuis cet heureux moment il n’est plus
connu
à Berlin. Autre lien qui forme l’alliance la plus
le spectacle était tout à fait châtié ? Montaigne, qui se vantait de
connaître
le monde, croyait-il le public décidé pour la mod
sage et la pudeur avaient fait conserver sur le théâtre, où l’on n’en
connaît
presque plus. C’est de ne pas y paraître sans cei
res traits de Cicéron dans cet ouvrage : ceux-là suffisent pour faire
connaître
ses sentiments. Il faudrait extraire une grande p
ositions sur les femmes débauchées, comme de l’argent volé dont on ne
connaît
pas le maître, comme des restitutions des usurier
nt dans leurs écritures la qualité de Comédiens, que les Tribunaux ne
connaissent
pas. C’est la remarque de M. l’Avocat général dan
lle ne consiste que dans l’imitation de ses défauts. Ce serait en mal
connaître
l’institution que de la comparer avec nos pièces
âces, en s’habillant comme des Actrices. Concluons que c’est bien mal
connaître
l’histoire et la jurisprudence, ou vouloir en imp
is, dit-on, ce ne sont que des crimes en peinture, dont tout le monde
connaît
le faux, et par là sans conséquence. La punition
et par là sans conséquence. La punition en est-elle plus réelle ? en
connaît
-on moins le faux ? Ce n'est donc qu'un remède en
dans le froid, le contraint, l’invraisemblable (mot nouveau que je ne
connais
point). Il rapporte nombre de pièces où la vertu
e son esprit et de sa vertu. Elle est d'autant plus croyable, qu'elle
connaît
mieux qu'une autre un spectacle pour lequel elle
nt des gestes de désespoir qui n'ont pas besoin de paroles pour faire
connaître
l'excès de leur douleur. Pourrait-on croire qu'un
dans des ouvrages qui portent le sceau de l'autorité publique : on y
connaît
les bienséances. Nouveau trait de la corruption d
e pardon est une faiblesse. La charité, l'amour des ennemis, sont-ils
connus
sur la scène ? L'intempérance et la paresse sont
e chaque Peuple éxige de ses Auteurs Dramatiques. Le Poète qui voudra
connaître
particuliérement le Théâtre auquel son génie le p
Scène est décorée de nos jours de Poèmes dont le genre n’était guères
connu
autrefois. La Comédie larmoyante, l’Opéra-Bouffon
écieuses. Satisfait-il à cette obligation indispensable ? Il fait
connaître
plusieurs Gens à Talens. Les Drames des Théât
du dix-huitième Siècle ; nos mœurs, notre façon de penser lui seront
connues
. Elle apprendra avec quel soin nous cultivions le
ous trompez. Etourdi par l’enchantement du spectacle, vous n’avez pas
connu
ce qui se passait en vous. Dans le saint lieu mêm
tes de divertissements, il a écrit tout ce qui est capable d’en faire
connaître
le ridicule, le danger et le venin. Ce grand Sain
s qu’elle a prononcées contre elle et contre les Comédiens. M. Fagan,
connu
par plusieurs Pièces de Théâtre qui ont réussi, (
on parle. A l’analyse qu’en fait M.F. on ne croirait pas, si on ne la
connaissait
, que sous le vain prétexte de réprimer la mauvais
r publiquement, et de le faire paraître au grand jour. Ceux qui ne le
connaissent
pas apprennent à le connaître ; il n’effraie pas
araître au grand jour. Ceux qui ne le connaissent pas apprennent à le
connaître
; il n’effraie pas ceux qui le connaissent déjà.
naissent pas apprennent à le connaître ; il n’effraie pas ceux qui le
connaissent
déjà. ACTE III. Scène 3. « … … … … … L’amour
fet de Comédie où cela ne soit ; les passages sont si fréquents et si
connus
, qu’il n’est pas possible de les détailler, sans
s ne roulent toutes que sur des intrigues amoureuses ; on y apprend à
connaître
ce malheureux sentiment dans tous ses degrés, dan
, principalement celles de Dancourt et de Legrand. Pour peu qu’on les
connaisse
, on conviendra que je les apprécie ce qu’elles va
doute fort que celui dont elle partait eût été aussi loin, s’il avait
connu
par lui-même les Pièces qui en étaient l’objet. A
and but paraît être uniquement de briller, et de se faire promptement
connaître
et admirer du public, de se donner en quelque sor
e après les avoir allumées. Il fait voir que les anciens Tragiques ne
connaissaient
point cette passion, et que leur Théâtre ne se so
présente, on croit devoir le justifier un peu aux yeux de ceux qui ne
connaîtraient
pas son ouvrage ; on ne craint rien de ceux qui l
i ne connaîtraient pas son ouvrage ; on ne craint rien de ceux qui le
connaissent
. M.F. l’accuse d’abord d’avoir soutenu que les Pi
her le bon grain ; qu’elle doit tourner toute son application à faire
connaître
cette ivraie aux Fidèles, et à leur en donner de
rance. Il est fâcheux que M.F. nous ait dérobé l’avantage de la mieux
connaître
, et qu’il ait enseveli un nom si précieux dans le
eveli un nom si précieux dans les ténèbres. Il est cependant utile de
connaître
ceux que l’on donne pour exemple. A la peinture q
r ? Comment les peignant si bien, seraient-elles supposées ne les pas
connaître
, et ne les pas sentir ? Comment faites pour le pl
avoué qu’elles achevaient de lire la Nouvelle-Héloïse, & qu’elles
connaissaient
la Lettre de M. Rousseau à M. d’Alembert, la Réfo
Ouvrages n’ont fait aucune impression sur le jeune Des Arcis ; il ne
connaît
pas plus le Théâtre que sa maitresse & sa sœu
par exemple ? Cet Auteur, ancien Comédien, devait mieux que personne,
connaître
les inconvéniens de son état : il est une passion
t un objet indifférent, devient pour lui une occasion de chute : j’ai
connu
un de ces hommes saints, que le bruit de la march
gnèrent chez les Anciens, & qui vous feraient frémir, si vous les
connaissiez
… Cependant, comme je me défie de mes lumières, ra
défie de mes lumières, rapportons-nous-en à monsieur Des Tianges, qui
connaît
les Spectacles, le Monde & la Capitale. D
j’ai pris ce délassement, c’est qu’il est un temps où l’on doit tout
connaître
par soi-même : devenu père-de-famille, je devais
la terre : mais les Drames qui les lui retracent, ne les lui font pas
connaître
; il a vu ces traits dans la Fable & dans l’H
s en général) pourrait être dangereux chez un Peuple innocent, qui ne
connaîtrait
ni les écarts de notre siècle, ni les crimes des
p; du mal, il ne peut être qu’avantageux : lorsqu’une fois le mal est
connu
, il n’y a plus à barguigner ; il faut le montrer
ur & de monsieur Des Tianges les lumières dont j’ai besoin. Je ne
connais
pas nos Spectacles, ainsi, je veux croire, qu’il
e pas le style règlementaire ; mais votre sexe n’est pas obligé de le
connaître
comme monsieur D’Alzan. Vos idées sur le genre de
nt étaler aux yeux du Public tous les talens qu’ils auront acquis, on
connaître
leur mérite ; il sera employé, recompensé : ce ne
e nos Acteurs seront pures : quel est le Jeune-homme, la Jeune-fille,
connus
, estimés d’une Ville entière, qui oseront se manq
é, pour qui les moindres choses sont des merveilles, parce qu’elle ne
connaît
rien ; qui veut tout voir, tout imiter ; les enfa
cer lui-même sur l’autel. Les actions de ces troisièmes Dieux étaient
connues
: avec quelques additions, que la tradition orale
Romains, dont les Comédies Atellanes furent une suite : elles étaient
connues
chez les Peuples d’Italie longtemps avant la fond
la Tragédie & la Comédie, ainsi que les premiers Auteurs-Acteurs
connus
. Plaçons à la tête, pour satisfaire à l’ancien pr
de Sophocle & d’Euripide. Il se présente peu d’Acteurs Grecs : on
connaît
un Néoptolème : Tragédien, un Archélaüs, cet Aris
l’étendue que nous avons à parcourir, n’est pas grande : deux Nations
connues
, voilà tout. Des Grecs, nous passons aux Romains.
ie, puis a Rome par la Jeunesse, forment le premier genre de Comédies
connu
dans cette contrée. Lorsqu’en 390, selon Tite-Liv
hez les Romains. A Plaute, succéda Térence, un Africain affranchi. On
connaît
encore un Plautius : Virginius & Roscius comp
qui fit des progrès si rapides en Grèce, dès qu’Epicharmus l’eut fait
connaître
, se cacha longtemps à Paris dans des Tavernes &am
nt-ils bien dignes de l’estime publique ? C’est en exposant des faits
connus
que j’attaquerais les Comédiens, si je pensais co
mbres idées le reste des Misomimes ; il est des gens qui n’ont jamais
connu
la nature ; toujours guindés au-dessus de l’human
erce. [C’est-à-dire, que des Spectacles au-dessus de tout ce que l’on
connaît
, attiroraient l’Etranger, & feraient aimer la
s dans la médiocrité, se passionner pour l’art déclamatoire : j’en ai
connu
beaucoup, qui, s’ils eussent pu choisir, auraient
uivie de personnes très propres et de fort bonne mine ne la faisaient
connaître
. Ses paroles et ses grimaces témoignent également
avec laquelle elle juge de l’esprit et de la conduite d’aujourd’hui,
connaît
tous ces gens-là mieux qu’elle-même, et reçoit un
c’est-à-dire, selon Aristote, qu’on dépeint le Valet pour faire mieux
connaître
le Maître. La Suivante, sur ce propos, continuant
tère, tel qu’il le faut pour la suite, d’une vraie femme de bien, qui
connaît
parfaitement ses véritables devoirs et qui y sati
contraire doit augmenter la vénération qui leur est due, quand on les
connaît
parfaitement ». Là-dessus, la Vieille arrive, et
emps, des exemples de sa jeunesse, et des citations de gens qu’elle a
connus
. Son Fils a beau se tuer de lui répéter qu’« il l
bien ; parce qu’étant plus intéressés, ils considèrent davantage, et
connaissent
mieux combien ils se peuvent être utiles les uns
ulphe de faire discerner le poison que les autres avaient faute de le
connaître
; à cela près, je ne me mêle point de juger des c
rce qu’elles n’y sont cherchées que de ceux qui les aiment et qui les
connaissent
; et que comme si on se défiait de leur force et
s à cela deux choses ; l’une, que dans l’opinion de tous les gens qui
connaissent
le monde, ce péché, moralement parlant, est le pl
ue vous demandez. Quoique la nature nous ait fait naître capables de
connaître
la Raison pour la suivre, pourtant jugeant bien q
nable, pour nous en faire apercevoir, et nous obliger à le fuir. Pour
connaître
ce Ridicule il faut connaître la Raison dont il s
cevoir, et nous obliger à le fuir. Pour connaître ce Ridicule il faut
connaître
la Raison dont il signifie le défaut, et voir en
ar la première apparence de ressemblance qu’ils ont avec ce qu’elle a
connu
auparavant, et qui frappe d’abord les sens. Cela
me Suédoise avoit été long-temps à la Cour de Charles, & en étoit
connue
. A sa naissance, aux graces, à sa beauté, elle jo
permet à son Ambassadrice de n’être pas trop difficile : c’étoit mal
connoître
son ennemi. La Comtesse met envain tout en œuvre
foule de déguisemens, de marches, de contre-marches, pour n’être pas
connu
; quoique par-tout il y eût ordre de lui rendre l
libre-arbitre. Dans ce portrait d’après nature l’original est aisé à
connoître
. Voltaire a voulu faire honneur à la Philosophie,
ation en ont fait un prétendu besoin. Mais les Empereurs Chrétiens ne
connaissaient
rien de plus nécessaire que le culte et la loi de
a comédie ! Cet heureux temps n’est plus, les Acteurs et les amateurs
connaissent
-ils des temps consacrés au service de Dieu ? « Ut
t les Païens. « Quoique d’une religion différente, dit la loi, ils ne
connaissent
point nos fêtes, ils doivent les respecter et s’a
rême, la semaine sainte, la semaine de Pâques (Voilà toutes les fêtes
connues
alors dans l’Eglise). C’étaient, dit-il, des jour
es et de tous les états, y va qui veut. Dans l’autre ce sont des gens
connus
et choisis ; point de mélange de sexe, les états
reprend fortement le peuple d’y avoir assisté pendant le carême. Mais
connaît
-on les saints Pères à la comédie ? un Acteur est-
ait écrire, doit, je crois, m’attirer les suffrages de ceux qui ne me
connaissent
pas. Il leur prouve la pureté de mon ame, & l
l veut parler des Français ; son Devin de Village est la preuve qu’il
connaît
l’esprit & le goût de la nation ; il a donc c
s. Combien ne doit-il pas sentir de remords, s’il était fait pour les
connaître
? Les Spectacles ont-ils corrompu nos mœurs ? La
pour vertu que d’absurdes préjugés, dédaigne un Art dont elle ne peut
connaître
les beautés : un Roquet qui m’aboie, est-il fait
t d’infortunés qu’on égorgeait par ses ordres. » Mauvaise preuve : je
connais
des gens de toutes sortes de religions, qui sont
’impostures. Je puis lui citer Agathe Sticotti, Epouse de Labédoyere,
connue
par ses Vertus & par ses infortunes. Isabelle
de Padoue, dont les vers sont estimés. Madame d’Erval dont j’ai fort
connu
le Mari à notre Cour, aussi honnête homme que sa
Papia Poppæa, au sujet des mariages des Comédiennes, s’il n’en avait
connu
toute l’extravagance. Car enfin, qu’en serait-il
nt pas y être mélancoliques & naturellement un peu bourus. « Pour
connoître
les Hommes, dit-il, il faut étudier les Femmes. »
. Je ne m’y suis jamais trompé, j’ai pris souvent plaisir à les faire
connaître
, ennemi juré de la canaille, & je le prouve.
laire, j’aurai dans ma manche tous les Saints des deux sexes, passés,
connus
, inconnus. L’Hérésiarque Augustin,32 indigné ains
est défendre à l’Homme d’être malade. » Mais avec sa permission, j’ai
connu
des Hommes à qui l’on aurait fait en vain cette d
es bannit infâmement, plusieurs subirent les derniers supplices. J’en
connais
qui n’étant pas sortis du Royaume, jeunes encore,
re, la gloire de la France, qu’en vain l’envie a tâché de noircir, en
connaissait
mieux l’importance & l’efficacité que notre D
ler avec les Partisans de Silène) que de toutes les passions, je n’en
connais
pas de plus basse & de plus crapuleuse ; elle
e plus l’yvresse, sont ceux qui ont plus d’intérêt à s’en garantir. »
Connaître
le danger d’une chose, & l’éviter, caractéris
tout sujet de m’en louer, & l’amitié du seul d’entre eux que j’ai
connu
particulièrement, ne peut qu’honorer un honnête H
, qui l’a déterminé à écrire contre les Spectacles. « Le seul qu’il a
connu
ne peut qu’honorer un honnête Homme. » C’est donc
Eratostrate ou Erostrate, Homme obscur de cette Ville. 39. J’en ai
connu
un dont le profond savoir a mérité la confiance d
examinés sous tous leurs points de vue, qui, peut-être même sans les
connaître
, condamnent les Spectacles en général, ou de ces
bre, & des maux presque irremédiables qu’enfantent ces Trétaux 7,
connus
d’abord sous le nom de Spectacles Forains, ou au
es chûtes les plus humiliantes. Mais comme il importe que le mal soit
connu
, pour y remédier, & que j’entre dans vos vues
ux, qui ne rapportent que des fruits amers, lesquels ne sont que trop
connaître
le terroir empoisonné qui les produit. I. La per
pour me servir des expressions d’un Agréable, qui avait appris à les
connaître
à ses propres dépens, les galeries de la sœur aîn
deux jeunes gens morts de la grande maladie, qu’ils n’auraient jamais
connue
, si les Salles du Rempart n’eussent pas existées.
continue, avant une vingtaine d’années nos filles & nos femmes ne
connaîtront
plus qu’une seule profession, celle d’Actrices Fo
qu’on représente si stupide, & qui par conséquent ne doit pas s’y
connaître
; n’est-ce pas semer des perles devant des pource
la pénétration d’esprit nécessaire, pour apprécier les beautés &
connaître
les défauts des Ouvrages de nos grands Maîtres, c
esJe ne suis pas assez injuste pour les regarder tous du même œil. Je
connais
de ces maisons où les jeunes demoiselles, qui y t
es gens sans aveu, de ces bandits même, dont elle a tant d’intérêt de
connaître
les actions & les démarches. On arrête tous l
amp; célébrer les merveilles de son siecle, supérieur aux trois, déjà
connus
dans les Fastes de l’Univers46. Voilà, Monsieur,
e. 1. L’heureuse influence du Théatre sur tous les Peuples qui l’ont
connu
, prouve assez son utilité. La Comédie corrige, &a
avec ces Entrepreneurs, & que je n’ai pas même l’avantage de les
connaître
, ils ne peuvent m’en supposer d’autres. 17. Let
isme pousse trop avant contre les Théatres. Si on ne les avait jamais
connus
, peut être serait-ce un bien. S’ils sont un mal,
a suppression totale. O France ! félicite-toi d’avoir un Monarque qui
connaît
tes vrais intérêts, & qui saisit les occasion
s, sont toujours fort grossieres, puisque la débauche y préside. J’en
connais
plus d’un qui aujourd’hui maudit encore le moment
sur les Euménides, traduction des Tragedies d’Eschyle, tout le monde
connaît
le mérite de cet ouvrage. Je ne suis pas assez in
. Je ne suis pas assez injuste pour les regarder tous du même œil. Je
connais
de ces maisons où les jeunes demoiselles, qui y t
prend dans les communautés et les collèges, mais que certainement ne
connaissent
pas sur le théâtre les gens sans mœurs qui les do
ifié qu’en y renonçant ? Mais on n’a pas eu occasion de les refuser ;
connaissent
-ils les exercices de piété ? ils ne célèbrent que
ce que pouvaient faire leurs adorateurs. Parmi des Chrétiens qui les
connaissent
et font profession de les mépriser, c’est une imp
ssées jusqu’à la fadeur, où l’on chante leurs louanges. Le théâtre ne
connaît
pas ses richesses, il cherche des sujets, il se r
Et n’est-ce pas la condamnation générale de la comédie ? le Chrétien
connaît
-il de lieu et de temps où la piété soit déplacée
doute que pour s’en moquer, peut-être pour se déguiser et n’être pas
connues
, et par là ouvrir une porte au crime, dont la hon
aire à la musique profane, qu’il traite de nouvelle, c’est-à-dire peu
connue
de son temps. Jugeons, à plus forte raison, si ce
eux. Ils ne joueraient pas la vertu, s’ils la pratiquaient, s’ils la
connaissaient
. La vertu ne souffre ni fard ni nudité ; quelle A
obligeait à résilier le contrat, et d'un autre côté les vendeurs, qui
connaissaient
leur qualité, pouvaient facilement s'attendre à d
du théâtre, qu'on ne lui permit de satisfaire dans le moment que pour
connaître
ses inclinations, et les tourner vers des objets
aux jeunes gens. Quels principes et quelle éducation ! Serait-ce bien
connaître
la jeunesse et sa fragilité, ces cœurs tous neufs
elles, et quelque jeune homme le poursuivant. Que leur apprend-on ? à
connaître
l'amour, à ne pas craindre, à satisfaire les feux
la jeunesse qui s'y trouve, s'y font aisément sentir. Celui qui parle
connaissait
bien le monde, et n'était point scrupuleux. « L
C'était un Ex-Jésuite, qui longtemps Régent et ensuite dans le monde,
connaissait
les pièces de Collège et les effets pernicieux qu
nauté naissante, ne négligeait rien pour la lui rendre agréable. Elle
connaissait
le goût de Louis XIV pour le spectacle, il s'en
s frais en étaient faits ; mais peu à peu on abandonna ce qu'on avait
connu
si dangereux. Je le répète, quoiqu'il y ait certa
nt propres, & sur celles que doivent adopter tous les Peuples qui
connaissent
ce genre de Spectacle : observons tout-à-la-fois
a-Sérieux. Ce n’est que par conjecture qu’on présume que les Grecs le
connaissaient
tel qu’il est présentement. Les Ouvrages dramatiq
la Chambre du Roi. Ce célèbre Musicien, dont les talens étaient déjà
connus
par la musique de plusieurs balets, ne trompa poi
. MM. Rébel & Francœur dont les chefs-d’œuvres de musique sont si
connus
, l’ont conduit plusieurs années avec toute la sag
Poèmes n’étaient susceptibles d’aucune règle, ont montré qu’ils ne le
connaissaient
guères. S’ils avaient fait une sérieuse attention
ritable qu’il met alors sur la Scène, ne peut éprouver que des revers
connus
, ou naturels. Il serait ridicule qu’Aléxandre, ou
tout ce qu’il nous représente de merveilleux ; il est facile de faire
connaître
qu’il la respecte sans cesse dans les moindres pa
simplicité apparente des pensées grandes & majestueuses. Quinault
connaissait
bien le genre du Spectacle qu’il a formé ; &
qu’il a formé ; & Lully qui ne put s’accommoder de Corneille, le
connaissait
bien aussi. Concluons que celui qui voudrait écri
faire sentir le mérite de l’un & de l’autre ; afin de mieux faire
connaître
quel est celui qu’on doit préférer, fesons un par
doute d’intolérables, que je n’entreprendrai point d’excuser : je les
connois
, non pas comme vous, sur la foi des autres, mais
; pouviez-vous penser que votre décision, sur une matière que vous ne
connoissez
pas, pourroit faire quelqu’impression sur les esp
n amant, & d’ailleurs les sentimens de l’auteur sont généralement
connus
. A l’égard de M. Bayle, que vous n’accusez pas av
’y conforme souvent, il fera faire bien de sotises. Pour qu’un Acteur
connût
les moyens qui sont propres à toucher le spectate
ons rester longtems dans la même assiette. Dans les passions les plus
connues
nous nous proposons tous à-peu-près la même fin.
ainte, & de ce retour fastidieux des mêmes actions. Ce seroit mal
connoître
l’essence de cette cruelle satiété, que de préten
s fait valoir. Il est donc nécessaire que les Poètes s’attachent à le
connaître
; ils y parviendront, s’ils étudient avec soin la
qui les agitent. S’il se montre dans-leurs discours, si l’on croit le
connaître
aux pensées relevées, aux réfléxions, aux maximes
int à vous donner. Guillot. Ne faites pas tant la fière ; vous ne me
connaissez
pas encore ; mais regardez-moi bien ; vous verrez
lequel un homme du monde aurait eu de la peine à se déterminer. J'en
connais
même un, distingué par son esprit et par son méri
patience ; mais on l’a perdue quand on a vu qu’il voulait vous faire
connaître
pour un Théologien de mérite. Le Public n’a pu là
ans celles qui pourraient la lire dans la suite, et que je leur fasse
connaître
ce qu’elles doivent croire dans une matière si dé
e vous ; mais seulement plus de solidité, et plus de régularité. Pour
connaître
donc clairement quel est le sentiment de ces deux
; mais par la distinction que chacun peut en faire, pour peu que l’on
connaisse
l’antiquité, on mettra une grande différence entr
rié de jeter les yeux sur tout ce qui se passait sur la terre pour en
connaître
la vanité ; après lui avoir parlé des jeux de Lut
eu en cela d’autres sentiments que Saint Thomas, tout dépend de bien
connaître
et de bien entendre la doctrine de ce Docteur Ang
se en particulier de Saint Antonin, quand ce ne serait que pour faire
connaître
les bévues que vous avez faites sur son sujet. Je
l savait bien à qui il parlait, et voyait que pour peu que l’on fasse
connaître
à une âme pieuse qu’il y a du danger dans une pra
repos sur la fin qu’ils se proposent ; contentons-nous de leur faire
connaître
celle qu’ils doivent se proposer pour exercer leu
doute une belle idée que vous nous donnez de la Comédie, et qui ne la
connaîtrait
que par là, n’en pourrait avoir qu’une grande est
usitées, qui en veulent plus savoir qu’on n’a envie de leur en faire
connaître
, vous serez le fait de ces gens-là : car vous vou
e les personnes que vous avez confessées, ne pouvaient pas vous faire
connaître
le mal qu’il y a d’assister à la Comédie : c’étai
l qu’il y a d’assister à la Comédie : c’étaient des malades ou qui ne
connaissaient
pas leur mal, ou qui n’en voulaient pas guérir, e
toute autre occasion au Pénitent l’horreur du péché en le lui faisant
connaître
; dans celle-ci ce sera le Pénitent qui l’inspire
pas toujours ; et c’est ce qui vous a trompé, ou que vous n’avez pas
connu
, ou que vous avez tu par adresse. Parce que la Co
ire l’application dans des exemples, cela n’est que trop public. Vous
connaissez
pourtant, dites-vous page 54, de « fort honnêtes
r pardonne plus facilement et qu’on en est moins scandalisé ; j’en ai
connu
aussi bien que vous qui hors du Théâtre étaient o
e n’ai garde d’en faire ici le moindre détail, elles ne sont que trop
connues
, et ceux qui les commettent avec tant de liberté,
pourrait dire que leur vie hors du Théâtre serait bien solitaire. Je
connais
une Demoiselle qui a demeuré plus de quatre année
se impossible. Je n’ai plus qu’une chose à ajouter, qui est que je ne
connais
point d’esprit plus opposé à l’esprit du Christia
ctes, sans être Docteurs ni doctes, il ne vous est pas difficile d’en
connaître
. Mais combien en voit-on qui prennent la qualité
u’en pensez-vous ? Si vous n’en savez rien, informez-vous-en. Vous en
connaissez
sans doute, ou vous en connaîtrez facilement, si
vez rien, informez-vous-en. Vous en connaissez sans doute, ou vous en
connaîtrez
facilement, si vous vous déclarez pour Auteur de
icateur qui n’ait pendant ce temps là déclamé contre la Comédie. J’en
connais
qui l’ont fait plusieurs fois contre votre Lettre
urait tort de me croire à la lettre, il est très-possible qu’il l’ait
connu
. Les mêmes accidens, le ravage des années, qui no
heur de nous divertir alternativement avec l’Opéra-Bouffon. On ne les
connaissait
pas du tems d’Aristote, puis qu’il dit dans sa Po
tique ; & s’il a autant de courage pour l’entreprendre que je lui
connois
de talents pour l’exécuter, la premiere chose que
éveille dans notre ame ; & sans en dire davantage sur un sujet si
connu
, il est certain qu’une passion vive & agréabl
de des faits dont il a chargé sa mémoire, soit que notre ame née pour
connoître
& pour posséder l’infini, se plaise à trouver
ur, & afin, si j’ose hazarder ici cette pensée, que nous pûssions
connoître
la Vertu par un sentiment d’admiration, comme nou
lle source d’un plaisir plus fin & plus spirituel, qui n’est bien
connu
que des Spectateurs capables de réflexion, mais q
s événements qui doivent arriver, par le désir que nous avons de tout
connoître
, & de satisfaire la curiosité de notre esprit
tus. Quoi qu’il en soit, le Poëte dont toute la force consiste à bien
connoître
toute notre foiblesse, profite heureusement de ce
nnent plus à l’ornement qu’à l’essence de cette espéce de Poëme, fait
connoître
les prémieres causes de l’impression qu’elle prod
i desire toujours la perfection, trouve naturellement à juger & à
connoître
les rapports des objets qui lui sont présentés ;
t plus aisé d’appercevoir des rapports entre des objets qui nous sont
connus
, que d’examiner à fonds les choses en elles-mêmes
ration, plus il découvre de ces rapports ; & comme rien n’en fait
connoître
un plus grand nombre que l’Imitation, il n’est pa
eux dans cette administration. L’Orateur en ce cas est un juge qui ne
connaît
rien au-dessus de lui que les lois, qui peut parl
faites consister votre sagesse à savoir les lois, tandis que vous ne
connaissez
pas la raison qui vous apprendrait à vous passer
z. Ces Poèmes admirables où tout respire l’amour de la Patrie et fait
connaître
les suites dangereuses des conspirations, auraien
me en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A
connaître
un pourpoint d’avec un haut de chausse : Les leur
ne font d’ailleurs usage de leur adresse que vis-à-vis de ceux qu’ils
connaissent
ou timides ou maladroits. « Je connais tels de me
e vis-à-vis de ceux qu’ils connaissent ou timides ou maladroits. « Je
connais
tels de mes écoliers, dit le maître d’armes dans
’on la représente plus souvent qu’on ne fait, si elle vous était plus
connue
. Elle est traduite de l’Espagnol, nouvelle observ
e leur siècle et de leur pays que vous voulez vous le persuader. Vous
connaissez
La Double Inconstance de M. de Marivaux : il ne t
Un habile Dramatique, à force d’étudier la nature du cœur humain, en
connaît
tous les ressorts ; il sait les ajuster, les réun
’avoir pris le Chapeau, la Perruque et l’Habit de Ménageaz pour faire
connaître
que c’était lui qu’il jouait dans le rôle de Vadi
II, scène 6, p. 83. La citation exacte est la suivante : « […] et je
connais
tels de mes Ecoliers, qui sont la terreur de la v
cteur sçait maintenant ce que c’est que la musique. Afin qu’il puisse
connaître
tout-à-fait cet art célèbre, je vais lui en racon
comme ce Hèros venait de Phénicie, il s’ensuit que les Phéniciens ont
connu
la musique avant eux. Enfin les Grecs ont jetté t
pperçevoir que l’Egypte, qui les instruit de tant de choses, leur fit
connaître
cet art agréable ? Cependant Enoch qui passe pour
t arrivés de nos jours. Les Grecs ouvrirent peut-être les yeux, &
connurent
enfin leur erreur au sujet d’un Art dont ils arrê
Musique chez les Latins. Il ne faut pas croire que les Romains ne
connurent
la Musique qu’après avoir conquis la Grèce. Dès l
ançaise. Il ne faut pourtant pas s’imaginer que les Gaulois ne la
connurent
qu’après la destruction des Romains. Bardus, leur
ent des Italiens. Il y a pourtant toute apparence que les Grecs l’ont
connus
, puis que leurs Pièces étaient entre-mêlées de ch
n de quelque instrument. La Motte le Vayer, dont les ouvrages sont si
connus
, ne pouvait entendre sans douleur les accords les
t pour lui un supplice. M. Rousseau de Genève nous apprend même qu’il
connaît
une Dame de condition à Paris, qui ne peut entend
▲