ens, on s’était avisé de leur reprocher que tandis que notre Religion
condamne
le Paganisme dans tous ses chefs, elle en suit la
e d’accuser la loi chrétienne de dérèglement dans les mœurs, elle qui
condamne
jusqu’au désir, jusqu’à la pensée du crime ? Peut
e saurait déroger à l’invariable sainteté de la loi chrétienne, qui a
condamné
de tout temps, comme elle condamne encore aujourd
inteté de la loi chrétienne, qui a condamné de tout temps, comme elle
condamne
encore aujourd’hui, ces profanes et scandaleux di
vilège ont ces jours qui précèdent le Carême, pour autoriser ce qu’on
condamne
en tout autre temps ? On demande quel mal il y a
en, nous penserons même comme lui. Nous contenterons-nous toujours de
condamner
ce que nous continuons de faire ? Et ferons-nous
ce que nous continuons de faire ? Et ferons-nous toujours ce que nous
condamnons
. N’est-ce pas se jouer de notre Religion que de d
es allarmes. On regarde avec pitié tous ces Directeurs incommodes qui
condamnent
les spectacles et les bals ; on n’oublie rien pou
s de plaisirs ? Et Jésus-Christ lui-même est-il mieux traité, si pour
condamner
ces plaisirs qu’il proscrit si hautement, on s’av
des charmes. Pour peu qu’on ait de Religion, on ne peut s’empêcher de
condamner
les réjouissances et les mascarades du carnaval,
s et les mascarades du carnaval, on ne peut ignorer que l’Evangile ne
condamne
le bal, les spectacles, et les assemblées profane
té outrée, et qu’elle portait à faux ? Crut-on qu’on avait eu tort de
condamner
ce que nous approuvons aujourd’hui, et qui alluma
s viendra que ces jeunes personnes, ces libertins, ces gens du monde,
condamneront
avec indignation contre eux-mêmes, avec une espèc
qui l’envisage au lit de la mort ! On n’attend pas même si tard pour
condamner
un divertissement si peu chrétien. Le tumulte n’é
l ? Quel homme raisonnable peut conserver l’esprit chrétien et ne pas
condamner
les divertissements profanes du carnaval, et ne p
s spectacles sont absolument mauvais, d'où vient que l'Ecriture ne le
condamne
pas ? R. C'est une erreur que de croire que l'Ecr
le condamne pas ? R. C'est une erreur que de croire que l'Ecriture ne
condamne
pas les spectacles. L'Ecriture les condamne quand
croire que l'Ecriture ne condamne pas les spectacles. L'Ecriture les
condamne
quand elle condamne les concupiscences du siècle.
re ne condamne pas les spectacles. L'Ecriture les condamne quand elle
condamne
les concupiscences du siècle. Ecoutez ce que dit
récisément que l'Ecriture en condamnant les concupiscences du siècle,
condamne
les spectacles. « Quasi parum de spectaculis pron
stin, et de plusieurs autres Pères. D. Ne dit-on pas que les Pères ne
condamnaient
les spectacles, qu'à cause de l'idolâtrie qui y r
qui y régnait ? R. L'idolâtrie n'était pas le seul mal que les Pères
condamnaient
dans les spectacles. Une de leurs principales rai
propres à allumer les feux de l'amour impudique. D. L'Eglise a-t-elle
condamné
les spectacles dans ses Conciles ? R. L'Esprit de
celui des Pères, ou plutôt les Pères ont parlé comme l'Eglise ; qui a
condamné
les spectacles pour les mêmes raisons tant partic
il. Arelat. can. 5. anno 314. D. Les Canons qu'elle a faits pour les
condamner
sont-ils abrogés, ou obligent-ils encore ? Concil
la scene. Voilà ce qui se voit sur le théâtre, & ce qui l’a fait
condamner
comme une source de mille désordres, non-seulemen
n, l’Ecriture ne défend point les spectacles. Les saints Peres ne les
condamnent
que par rapport à l’idolâtrie, aux superstitions
dit-on, ne défend point les spectacles. Il est vrai que l’Ecriture ne
condamne
point formellement la comédie, l’opéra, ni les au
condamnation implicite & continuelle des spectacles, puisqu’elle
condamne
jusqu’à un geste, un clin-d’œil, une parole inuti
s. Quoi donc ! l’Apôtre saint Jean, ép. 1, ch. 11, v. 15 & 16, ne
condamne-t
-il pas les vains plaisirs du théâtre, lorsqu’il d
’établir à Jérusalem les spectacles de la Grece. Les saints Peres ne
condamnent
les spectacles que par rapport à l’idolâtrie, aux
x impuretés grossieres qui y régnoient de leur tems. Les saints Peres
condamnent
les spectacles non-seulement par rapport à l’idol
noit plus, employent les mêmes raisons & d’autres semblables pour
condamner
les spectacles. On sait comment saint Augustin dé
odigue à d’infames créatures ; cet abus suffiroit seul pour les faire
condamner
absolument ; ce n’est pas moins qu’une idolâtrie
d’Espagne, & cite un grand nombre de Docteurs espagnols, qui les
condamnent
. Tels sont entr’autres Mariana, de spect. cap 12.
ement, de pénitence ; 9°. parce qu’on viole les loix de l’Eglise, qui
condamnent
les spectacles & ceux qui les représentent. C
g. 155.) & M. Arnauld, qui dit expressément qu’il ne voudroit pas
condamner
de péché mortel les personnes qui n’auroient été
I. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être
condamnée
tant qu'elle sera modeste et honnête. De toutes
iverses bouffonneries indignes de la sainteté des lieux, Innocent III
condamna
ce désordre sans condamner ces représentations, n
gnes de la sainteté des lieux, Innocent III condamna ce désordre sans
condamner
ces représentations, ni même chasser ces Jeux de
nt plus y paraître que sous le masque, et dans un déguisement qui les
condamne
. Il est certain néanmoins que depuis quelques ann
étiens, est que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être
condamnée
quand elle est innocente, quand elle est honnête.
é serait encore plus avantageuse aux autres, que l'on ne pourrait pas
condamner
contre la résolution de ce grand Théologien, qui
premiers siècles. Lactance1, S. Chrysostome2 et Salvien3 qui semblent
condamner
davantage la Comédie même d’à présent, y supposen
’Eglise ne la regardent plus, que comme une vaine curiosité, et s’ils
condamnent
cette vaine curiosité avec force, c’est dans des
lise des derniers siècles a toujours gardé une grande modération à ne
condamner
la Comédie que pour les jours de Fêtes, comme il
raît entièrement au même moment que le rideau est tiré. Enfin si l’on
condamne
la Comédie, on doit donc condamner pareillement l
e le rideau est tiré. Enfin si l’on condamne la Comédie, on doit donc
condamner
pareillement les Tragédies des Collèges. A l’égar
rd des Ouvriers qui travaillent pour la Comédie, on ne peut point les
condamner
. Ils ne prétendent coopérer qu’à une chose bonne
egardée comme une chose mauvaise; et comme telle, elle a toujours été
condamnée
par les Saints Pères et les Canons de l’Eglise. O
é de l’or et de l’argent avec le plaisir de la Comédie, et qu’ils ont
condamné
l’un et l’autre, ils n’ont pas supposé pour cela,
ermis d’assister aux Comédies et d’en être spectateurs. Les Pères ont
condamné
les Comédies, soit à cause de l’idolâtrie, ou de
x Fidèles. Que l’idolâtrie ait été une des raisons pour laquelle on a
condamné
la Comédie dans les premiers siècles, c’est une p
osition dont on demeure d’accord : mais les Saints Pères l’ont encore
condamnée
par les autres raisons qu’on a touchées ci-dessus
etés et de dissolutions. Tertullien dans son Livre des Spectacles les
condamne
dans plusieurs endroits par des raisons si partic
par des raisons si particulières, que l’on peut s’en servir tant pour
condamner
les Comédies d’aujourd’hui, que pour répondre aux
re défendus, Tertullien montre que l’Ecriture les défend, lorsqu’elle
condamne
la concupiscence du siècle ; « comme14 si, dit-il
plaisir même ? » Saint Cyprien dans le Traité des Spectacles, ne les
condamne
pas seulement par rapport à l’idolâtrie, il suppo
eur et blesser la pudeur ». Saint Clément Alexandrin, et Saint Basile
condamnent
les Spectacles, par la raison qu’ils corrompent l
des Spectacles dans plusieurs endroits de ses ouvrages ; mais il les
condamne
particulièrement dans son Homélie 42 sur les Acte
les amants lorsqu’ils accomplissaient leurs mauvais désirs, ce qu’il
condamne
. Et il ne faut pas s’en étonner, parce que j’étai
n verra qu’il n’a pas été différent de celui des Pères, et qu’ils ont
condamné
les Spectacles et les Comédies par les mêmes rais
fait. Le sixième Concile tenu à Constantinople, in Trullo, Canon 51.
condamne
ceux que l’on appelle Comédiens, et défend leurs
tendent. On ne peut pas douter que du temps de saint Bernard on n’ait
condamné
les Comédies. Jean de Salisberya Evêque de Chartr
omment on peut avancer, comme on a fait, que saint Charles n’a jamais
condamné
la Comédie et les Comédiens, que lorsqu’ils la re
la défense de la Comédie, que les Pères des premiers siècles n’aient
condamné
la Comédie que par la raison seule de l’idolâtrie
la Comédie que par la raison seule de l’idolâtrie ; ils l’ont encore
condamnée
par d’autres raisons, puisque l’on ne peut pas pr
e la Comédie et de la justifier, prétendent que ce grand Prélat ne la
condamne
que pour les Fêtes et pour les heures du Service
int Charles en suivant l’exemple de l’esprit des Pères de l’Eglise, a
condamné
la Comédie par des raisons particulières prises d
ues des premiers siècles de l’Eglise, comme Salvien et Lactance n’ont
condamné
les Spectacles que par des raisons particulières
orté ci-devant l’autorité de Salvien. Pour ce qui est de Lactance, il
condamne
les Spectacles par des raisons particulières qu’i
efois la Comédie comme une simple vanité, ou que leur raisons pour la
condamner
dans leurs Sermons eussent été des exagérations,
ies, et les circonstances qui les accompagnent, elles méritent d’être
condamnées
par l’une ou par l’autre de ces raisons. Première
demeuré sans effet, parce qu’avec une subtilité pareille, ceux qu’ils
condamnaient
, pouvaient répondre qu’ils ne prenaient de plaisi
contre les Comédiens pour souffrir cette interprétation puisqu’elles
condamnent
l’exercice des Comédiens sans distinction, et ind
soit favorable aux Comédiens, elle renferme au contraire de quoi les
condamner
. Car l’on demande, où est la Comédie dans laquell
core que notre divertissement soit un crime, ce qui est manifestement
condamné
dans l’Ecriture », dit cet Auteur. Quant à l’exem
; on répond qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a toujours
condamné
, et condamne encore aujourd’hui. Ce jugement que
qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a toujours condamné, et
condamne
encore aujourd’hui. Ce jugement que l’Eglise a po
leurs Dieux, que l'on y représentait avec beaucoup de mépris ; il en
condamne
le sujet par le peu de respect qu'ils portaient à
ian. de Spect. observer la différence dont Saint Cyprien se sert pour
condamner
les Mimes et les Poèmes Dramatiques ; car à l'éga
en aise quand ils obtenaient ce qu'ils avaient désiré. Mais lorsqu'il
condamne
quelques désordres dans les représentations Théât
les Comédies de Terence au chevet de son lit, a vécu dans un désordre
condamné
par les Canons, et que la lecture de Virgile est
de les attaquer de vive voix et par écrit : Les Prédicateurs les ont
condamnées
dans leurs Chaires, et quelques Gens doctes ont a
urs. Enfin un grand Prince poussé d’un bon zèle a fait un Traité pour
condamner
nos Comédies ordinairesb, et il s’est trouvé qu’a
a voulu montrer qu’il n’y a que les Comédies infâmes qui doivent être
condamnées
. Peut-être n’a-t-il point pensé à l’autre Traité,
i faisaient gloire des mauvaises actions que les Chrétiens ont depuis
condamnées
. Les allégations de plusieurs Auteurs ne sont pas
que des impertinentes Equivoques ; Certainement on a bien fait de les
condamner
, mais si on ne se sert plus de ces pointes grossi
nous les puissions voir sans scrupule : Il n’y a point d’apparence de
condamner
toutes les Comédies, non plus que tous les Romans
aminer les Comédies dignes d’être représentées, il vaudrait mieux les
condamner
entièrement ; Que par ce moyen on ne craindrait n
r des autres Spectacles. Ceux qui défendent les Spectacles en général
condamnent
le Théâtre aussi bien que l'Amphithéâtre, et le C
de toute son honnêteté prétendue, est un mal, et que les Pères l'ont
condamnée
par les endroits qui paraissent les plus innocent
uissances. Que l'Ecriture sainteTertullien, De Spectaculis, Chap. 14.
condamne
toute sorte de concupiscence et de volupté ; que
t pas à ceux qui font profession du Christianisme. Lactance Firmien y
condamne
le changement d'habits d'un sexe à l'autre : il n
ime des Pères, et qu'il continue à approuver un divertissement qu'ils
condamnent
, il ne faut pas essayer de lui prouver davantage
Canon précèdent. Le 6. Concile général, tenu à Constantinople en 680.
condamne
les Comédies et les Danses qui se font sur le thé
, des Synodes et des Rituels, doit convaincre que l’Eglise a toujours
condamné
et condamne encore à présent les Comédies de ce s
s et des Rituels, doit convaincre que l’Eglise a toujours condamné et
condamne
encore à présent les Comédies de ce siècle, comme
r de quelques expressions de ces Pères, pour en conclure qu’ils n’ont
condamné
les Spectacles qu’à cause de l’Idolâtrie, ou des
tations honteuses et impudiques. Je conviens que ces Saints Pères ont
condamné
les Spectacles par ces deux motifs ; mais je prét
Spectacles ne sont pas défendus dans la sainte Ecriture, puisqu’elle
condamne
toute sorte de concupiscence ? Car comme la Concu
es sont une espèce de volupté. » Par là l’on voit que cet ancien Père
condamne
les Spectacles, à cause de la volupté, qui est un
prien sur les Spectacles. Saint Basile dans son Hom. 4. in Hexameron,
condamne
de même les Chansons de l’Opéra : « Ils vont , di
re X. Que l'extrême impudence des Jeux Scéniques et des Histrions fut
condamnée
. Après l'éclaircissement de ces vérités, toucha
c'est un mystère d'impudicité, où rien n'est approuvé que ce que l'on
condamne
ailleurs ; et tout ce qu'il a de charmes pour pla
d'Egypte ; mais les Auteurs du Talmud, ou Livre de narration d'Enoch,
condamnent
les Mimes, chansons, danses et bouffonneries, aux
distinction que les Conciles et le droit des souverains Pontifes, ont
condamné
la Scène de l'antiquité. Le Concile Elibertin ne
dies et Comédies, qui n'étaient pas encore en état d'être estimées ou
condamnées
. Et lors que Salvien « Mimos, ludicra et Thymelic
l’on ne voit plus dans les nôtres. Vous prétendez que les Pères n’ont
condamné
que ces excès, et non pas la Comédie prise en ell
Comédies en étaient exemptes ; et que par conséquent si elles ont été
condamnées
par les Pères, ce n’a pas été seulement à cause d
ise que ce n’est pas seulement à cause de ces excès que les Pères ont
condamné
les Spectacles, comme vous l’avez prétendu, et qu
né les Spectacles, comme vous l’avez prétendu, et que ce qu’ils y ont
condamné
, se trouve encore dans les Spectacles que vous vo
r, vous n’avez qu’à lire le Chapitre 15 suivant, où vous verrez qu’il
condamne
généralement tous ceux où les passions et la vani
C'est en effet ce qui ne se peut accommoder, et c’est pour cela qu’il
condamne
même ceux qui pourraient y assister avec modérati
s moqueriez-vous pas de moi, si de ma propre autorité je m’avisais de
condamner
vos Spectacles seulement à cause de l’affectation
avec moi que ce n’est pas seulement à cause des excès prétendus qu’il
condamnait
les Spectacles des anciens. Soyez-en vous-même le
et qu’ainsi c’est toujours à cause de leurs excès seulement qu’il les
condamne
. Mais quelque fort que peut vous paraître ce retr
oursuivez-vous, il vous est facile de juger que « ce saint Docteur ne
condamne
pas absolument les Danses, les Chants, les Opéra,
cilité à juger tout le contraire, et à dire que puisque Saint Cyprien
condamne
les Danses et les chants des Spectacles des Genti
des Spectacles des Gentils, à cause de ce qu’il y avait de lascif, il
condamne
en même temps les Danses et les chants des Opéra
n sentiment par Saint Augustin et par le Droit Canon, et se sert pour
condamner
cette profession de la saleté des représentations
dont il fallait parler et dont vous n’avez rien dit parce qu’il était
condamné
par Saint Antonin et que celui que vous vouliez j
-là seulement qu’il permet à sa Philotée d’aller, et par cela seul il
condamne
celles que vous voulez justifier. Outre cela quel
ans la Comédie, la moindre apparence des excès que les saints Pères y
condamnaient
avec tant de raison. Je pourrais en demeurer d’ac
iez par les moyens dont vous vous êtes servi, les excès que les Pères
condamnaient
? Est-ce que vous n’en trouverez pas de moindres
rouverez pas de moindres qui vous paraîtront encore blâmables ? et ne
condamnerez
-vous point notre théâtre à moins que selon votre
pas encore assez, et qu’on y trouvera bien des choses à réformer et à
condamner
; et mon sentiment n’est fondé que sur les lumièr
ujours ou est dans la disposition de le faire, il n’avait garde de se
condamner
lui-même ; mais c’est à M. Racine qui a cessé de
aume contre les blasphémateurs, qu’on leur perce la langue, qu’on les
condamne
même au feu, et qu’on n’entretiendrait pas les Co
die ne nuise que par accident dans vos principes, il faut pourtant la
condamner
. Que vous vous plaisez à vous faire de frivoles o
as exposés volontairement. C’est pour cela que je ne voudrais pas les
condamner
si vite, sans les entendre et sans les examiner ;
out le monde indifféremment y coure en France, on ne cessera point de
condamner
votre Théâtre. Cette infamie dont on le note, n’e
Comédie ? comme si elle ne l’avait pas assez suffisamment défendue et
condamnée
, en condamnant les concupiscences du siècle ? « Q
ert le Grand, page 26, et lui faites dire, que « l’Ecriture sainte ne
condamne
pas les Jeux, les Danses, et les Spectacles ; mai
a pas non plus contre les excès qui peuvent s’y trouver, et que vous
condamnez
cependant aussi bien que nous. Combien de choses
ègnent pas moins que dans les autres. La Comédie est donc défendue et
condamnée
par l’Ecriture, et par conséquent on ne peut y as
z pas que ce ne sont que les excès de la Comédie que les Conciles ont
condamné
: en voici trois ou quatre Français qui condamnen
que les Conciles ont condamné : en voici trois ou quatre Français qui
condamnent
formellement la profession des Comédiens. Vous al
ce que le Théâtre se purifiait : car ces Conciles n’ont pas seulement
condamné
les Comédies des anciens, mais aussi celles qui s
en France de leur temps. Que si les derniers Conciles ne les ont pas
condamnées
, c’est qu’ils supposaient qu’elles l’avaient été
lles que vous vouliez justifier.) Mais je vois au contraire qu’il les
condamne
généralement sans en faire aucune distinction. Vo
est plus que suffisant pour vous faire voir que les autres Pères ont
condamné
la Comédie, et qu’ils n’ont pas seulement déclamé
n mot ce n’est pas seulement pour tous vos excès prétendus qu’ils ont
condamné
le Théâtre, mais pour tout ce qu’on y voit encore
tur, aut amoribus meretricum. 37 » Voilà donc ce qui porte Lactance à
condamner
la Comédie. A votre avis, approuverait-il la vôtr
a, incesta » ; en voilà assez pour Lactance, cela lui suffit pour les
condamner
. Pourquoi cela même ne nous suffira-t-il pas pour
pour les condamner. Pourquoi cela même ne nous suffira-t-il pas pour
condamner
les vôtres, puisqu’elles ne roulent toutes que su
e l’ignorait pas sans doute, et cependant cela n’empêche pas qu’il ne
condamne
leurs Comédies. D’ailleurs vous me faites pitié a
abandonné Lactance, reprenons-le pour un moment. Après que ce Père a
condamné
les Comédies et les Tragédies, il passe aux Farce
’est ce que l’on fait encore tous les jours, et c’est ce que Lactance
condamne
. Enfin, ajoute-t-il, que dirai-je de ces Bouffons
vous peut-être : je veux bien imiter en cela Salvien. Et puisqu’il ne
condamnait
pas les Spectacles seulement à cause des excès, m
à leur état et à leur vocation ; souffrez que pour la même raison je
condamne
les vôtres, quoiqu’ils soient exempts des excès d
rgent, ces habits qu’on appelle d’Ordonnance ne pourront jamais faire
condamner
de luxe ceux qui les portent. Mais si un Artisan,
vous l’accorder je dis que puisque de votre propre aveu les Pères ont
condamné
la Comédie de la même manière que l’intempérance
anière que l’intempérance ; il est aisé de conclure que les Pères ont
condamné
la Comédie que vous vouliez justifier. Et je tire
t mis de tempérament à l’égard du luxe et de l’intempérance, que l’on
condamne
toujours également, suivant le plus fidèlement qu
nt, suivant le plus fidèlement que je puis, les traces des Pères ; je
condamne
, comme eux, non seulement le luxe et l’intempéran
nt, ni touchant la Comédie, ni sur le luxe et l’intempérance ; que je
condamne
, dis-je, sans pourtant condamner ceux qui s’habil
ur le luxe et l’intempérance ; que je condamne, dis-je, sans pourtant
condamner
ceux qui s’habillent honnêtement et modestement,
vous être d’aucune utilité ni d’aucun secours. Or le Rituel de Paris
condamne
la Comédie et défend d’administrer les Sacrements
Pour ce qui regarde la circonstance du temps, je puis me servir pour
condamner
la Comédie, par rapport au temps, des mêmes endro
lesiam quoque cortemnant ». « Saint Jean de Damas42 , continuez vous,
condamnait
aussi le même excès en ces termes. ‘Il y a certai
oser que cette unique fois votre traduction est fidèle : il faut vous
condamner
par vous-même ; permettez-moi donc d’abord de vou
e des Fêtes. C’est particulièrement dans ces jours-là qu’il défend et
condamne
les Spectacles. En un mot, si les Chrétiens doive
s, en disant que quand les Pères avec Tertullien et Saint Cyprien ont
condamné
la Comédie, parmi toutes les raisons dont ils se
é a fortiori les raisons dont les Pères s’étaient déjà servis pour la
condamner
. Il me semble qu’après tout cela vous mériteriez
re ceux qui donnaient de l’argent aux Comédiens, 132 Alès (Alexandre)
condamne
les Jeux de Théâtre, 188 S. Ambroise engage l’Emp
Cicéron, idée qu’il donne de la Comédie, 197 S. Clément d’Alexandrie,
condamne
le seul concours des hommes et des femmes, 145 Cl
es qui ne sont pas Chrétiennes, à monter sur le Théâtre, 104. Loi qui
condamne
celles qui après avoir embrassé le Christianisme
jeux de Carin, 72 Domitien gêne les Histrions, 60 E Ecriture Sainte,
condamne
les Spectacles, 141. Respect que le Concile de Tr
glise Grecque est opposée aux Jeux de Théâtre, 179 et suiv. S. Ephrem
condamne
hautement les Spectacles, 159. 345 Espagne n’a pl
nd les Spectacles les jours de Fête, 118 Théophile Evêque d’Antioche,
condamne
les Spectacles, 143 Thomas Evêque d’Antioche calo
lentinien I. défend aux Gouverneurs les Spectacles, 108 Valère Maxime
condamne
les Spectacles ; loue les Marseillais de ne point
chose de soi indifférente, qui n’est ni bonne ni mauvaise, doit être
condamnée
dans son usage et avec ses circonstances. II. Si
cap. 11. Matt. et Salvien, Salvian. lib. 6. de Provid. qui semblent
condamner
davantage la Comédie, même d’à présent, y suppose
’Eglise ne la regardent plus que comme une vaine curiosité ; et s’ils
condamnent
cette vaine curiosité avec force, c’est dans des
lise des derniers siècles a toujours gardé une grande modération à ne
condamner
la Comédie que pour les jours de Fêtes, comme il
entièrement dans le même moment que le rideau est tiré. Enfin si l’on
condamne
la Comédie, on doit condamner pareillement les Tr
nt que le rideau est tiré. Enfin si l’on condamne la Comédie, on doit
condamner
pareillement les Tragédies de Collège. A l’égard
rd des Ouvriers qui travaillent pour la Comédie, on ne peut point les
condamner
. Ils ne prétendent coopérer qu’à une chose bonne
’est point de soi mauvaise ; mais dans son usage, elle a toujours été
condamnée
par les Saints Pères et par les Canons de l’Eglis
é de l’or et de l’argent avec le plaisir de la Comédie, et qu’ils ont
condamné
l’un et l’autre, ils n’ont pas supposé pour cela,
rmis d’assister aux Comédies, et d’en être spectateurs. Les Pères ont
condamné
les Comédies, soit à cause de l’idolâtrie ou de l
x fidèles. Que l’idolâtrie ait été une des raisons pour laquelle on a
condamné
la Comédie dans les premiers siècles, c’est une p
osition dont on demeure d’accord ; mais les Saints Pères l’ont encore
condamnée
par les autres raisons rapportées plus haut, et e
s étaient souillés ; ou qu’ils ont supposé qu’elle ne méritait d’être
condamnée
, que parce qu’il y avait toujours beaucoup d’impu
retés et de dissolutions. Tertullien dans son Livre des Spectacles la
condamne
en plusieurs endroits par des raisons si précises
ndroits par des raisons si précises, qu’on peut s’en servir tant pour
condamner
les Comédies du temps présent, que pour répondre
re défendus, Tertullien montre que l’Ecriture les défend, lorsqu’elle
condamne
la concupiscence du siècle : « Comme Ibid. « Quas
prien dans un Traité qu’il a aussi composé sur les Spectacles, ne les
condamne
pas seulement par rapport à l’idolâtrie ; il supp
ur et blesser la pudeur. » Saint Clément d’Alexandrie et Saint Basile
condamnent
les spectacles, par la raison qu’ils corrompent l
des spectacles dans plusieurs endroits de ses ouvrages ; mais il les
condamne
particulièrement dans son Homélie 42. sur les Act
es amants, lorsqu’ils accomplissaient leurs mauvais désirs ; ce qu’il
condamne
; et il ne faut pas en être surpris, parce que j’
n verra qu’il n’a pas été différent de celui des Pères, et qu’ils ont
condamné
les spectacles et les Comédies par les mêmes rais
out à fait. Le VI. Concile tenu à Constantinople in Trullo, Canon 51.
condamne
ceux que l’on appelle Comédiens, et défend leurs
tendent. On ne peut pas douter que du temps de Saint Bernard on n’ait
condamné
les Comédies. Jean de Salisbury Evêque de Chartre
s comment on peut avancer, comme on a fait, que S. Charles n’a jamais
condamné
la Comédie et les Comédiens, que l’on la représen
la défense de la Comédie, que les Pères des premiers siècles n’aient
condamné
la Comédie, que par la raison seule de l’idolâtri
la Comédie, que par la raison seule de l’idolâtrie ; ils l’ont encore
condamnée
par d’autres raisons, puisque l’on ne peut pas pr
ie, et qui veulent la justifier, prétendent que ce grand Prélat ne la
condamne
que pour les Fêtes et les heures du Service divin
ue S. Charles, suivant l’exemple et l’esprit des Pères de l’Eglise, a
condamné
la Comédie par des raisons particulières prises d
es des premiers siècles de l’Eglise, comme Salvien et Lactance, n’ont
condamné
les spectacles que par des raisons particulières
orté ci-devant l’autorité de Salvien. Pour ce qui est de Lactance, il
condamne
les spectacles par des raisons particulières qu’i
dé la Comédie comme une simple vanité ; ou que leurs raisons, pour la
condamner
dans leurs sermons, eussent été des exagérations
ies, et les circonstances qui les accompagnent, elles méritent d’être
condamnées
par l’une ou par l’autre de ces raisons. Première
ans effet, parce que se servant d’une subtilité pareille, ceux qu’ils
condamnaient
pouvaient répondre qu’ils ne prenaient de plaisir
contre les Comédiens pour souffrir cette interprétation, puisqu’elles
condamnent
l’exercice des Comédiens sans distinction, et ind
soit favorable aux Comédiens, elle renferme au contraire de quoi les
condamner
. Car on demande où est la Comédie dans laquelle i
ore que notre divertissement soit un crime ; ce qui est manifestement
condamné
dans l’Ecriture, dit cet Auteur. » Quant à l’exem
e, on répond qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a toujours
condamné
, et condamne encore aujourd’hui. Ce Jugement que
qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a toujours condamné, et
condamne
encore aujourd’hui. Ce Jugement que l’Eglise a po
spectacles, que nostre Evangile nous présente ! On y voit saint Jean,
condamner
par l’austérité de sa vie la mollesse de ceux, qu
ligion se croyant deshonorée par les spectacles, les a rigoureusement
condamnez
; & il n’y a point eu de siecle, où elle n’ai
de. Une grande indecence pour la Religion, que la Religion a toujours
condamnée
. Une des plus dangereuses pompes du monde, que le
nt, sans en dire, ny trop, ny trop peu, justifier la Religion qui les
condamne
, condamner le monde qui les justifie, & vous
n dire, ny trop, ny trop peu, justifier la Religion qui les condamne,
condamner
le monde qui les justifie, & vous faire senti
s, du moins après la réflexion chacun y peut dire avec le Sage ; J’ay
condamné
le ris de folie, & j’ay dit à la joye, pourqu
la scene, Asmodée n’en sortira jamais. Aussi Art. 2. La Religion les
condamne
. la Religion se sentant deshonorée par ces sortes
s personnes de pieté. Tout cela vient au secours de la Religion, pour
condamner
les spectacles qui la deshonorent, puisqu’ils ne
decence si grande soit si commune, & qu’estant si universellement
condamnée
par la Religion, le monde témeraire ose entrepren
e indecence pour la Religion, que la Religion a toujours légitimement
condamnée
. Vous allez voir, qu’ils sont une des plus danger
leurs raisons, c’est qu’ils prétendent ; Que l’Ecriture ne les a pas
condamnez
. Que les Peres ont même condamné tout autre chose
ndent ; Que l’Ecriture ne les a pas condamnez. Que les Peres ont même
condamné
tout autre chose. Que les Théologiens & les S
; saint Cyprien n’ont pas fait difficulté d’avouer, que l’Ecriture ne
condamne
les spectacles par aucun passage formel. Mais ils
n autorise l’usage. Il2. n’est pas vray non plus, que les Peres ayent
condamné
tout autre chose que ce qui se passe sur nos théa
estoient tous, si vous en exceptez les Chrétiens, des malheureux déja
condamnez
pour leurs crimes. Cependant, les Peres n’ont pas
e & les desordres y paroissoient à découvert ; aussi ont-ils esté
condamnez
par les Tertulliens & les Cypriens. Les suiva
de leurs sentiments, approuveroit-il ce qu’ils ont si solemnellement
condamné
? Ce grand saint, encore plus angelique par sa pu
sagesse de l’Evangile, & comme l’Eglise de tous les siecles les a
condamnez
, vous ne balancerez plus de les condamner avec el
e de tous les siecles les a condamnez, vous ne balancerez plus de les
condamner
avec elle. Regardez les comme une des plus danger
leat. Salv. Hab. 1. 13. 7. Eccli. 9. 5. Art. 2. La Religion les
condamne
. 1. Chrys. in Matth. Hom. 6. Genn. in Cat. vir.
ir la représentation. II. Tous les Pères et beaucoup de Conciles ont
condamné
la Comédie et les spectacles. La Tradition n’a ja
n abus qui ne saurait rendre licite et innocent ce qui est mauvais et
condamné
de tout temps par l’Eglise. Demande. On
nts ces Comédiens, ou ordonner aux Confesseurs de les y admettre ? ne
condamnerait
-il pas par cette conduite celle des Confesseurs q
ie se joue à Paris et à Rome ; comme si on ne savait pas que l’Eglise
condamne
bien des choses qui se font publiquement par un u
nocent et licite ce qui est mauvais de sa nature. Toute l’antiquité a
condamné
les Théâtres et les spectacles, les Conciles des
d’autorité qui puisse justifier devant Dieu ce que toute la tradition
condamne
, parce qu’il n’y a point en lui acception de pers
re, puisque Tertullien lui-même en cite un passage, qui selon lui les
condamne
. Mais il ne laisse pas cependant de nous présente
diquer quelques-uns. Qui doutera, par exemple, que la Comédie ne soit
condamnée
par la prière que David fait à Dieu dans le Psaum
pas le théâtre de la vanité même ? Qui doutera qu’elle ne soit aussi
condamnée
dans Isaïe ? Quand il y est dit : « Parce que les
tie aux femmes et aux filles. Qui doutera que Jésus-Christ même n’ait
condamné
la Comédie et les Spectacles ? lorsqu’il a dit :
bon Chrétien doit être toujours en garde. Ce n’est pas qu’on veuille
condamner
toutes sortes de Jeux ; il y a d’honnêtes amuseme
mps de nos Pères, qu’il n’y a personne à l’heure qu’il est qui ne les
condamnât
comme ont fait les Pères. » Notre Docteur fait i
ait de la Comédie. Il convient donc que les Conciles et les Pères ont
condamné
la Comédie. Et en effet, il apporte plusieurs aut
Comédie. Et en effet, il apporte plusieurs autorités des Pères qui la
condamnent
: il cite Tertullien, Salvien, Lactance, saint Cy
rien tirer des Pères contre la Comédie d’aujourd’hui, et s’ils n’ont
condamné
dans la Comédie ancienne que les horribles circon
enne que nous avons à comparer avec la Comédie moderne. Les Pères ont
condamné
la Comédie ancienne ; notre Docteur en demeure d’
être mise au nombre des actions indifférentes, et que ce n’est pas la
condamner
que d’en reprendre seulement l’excès comme il a f
mauvais raisonnement des Païens, parce que tous les maux qu’eux-mêmes
condamnent
, s’exécutent par des choses qui sont des ouvrages
i sont des ouvrages de Dieu : l’homicide, par exemple, que les Païens
condamnent
, s’exécute par le fer qui est un ouvrage de Dieu,
anges des idoles. D’où il est facile de juger que ce saint Docteur ne
condamne
pas absolument les danses, les chants, les Opéras
rien approuve « les Opéras et les Comédies d’aujourd’hui, et qu’il ne
condamne
que les Spectacles qui représentaient les fables
ui est encore de sa façon n’est pas plus juste. Saint Cyprien n’a pas
condamné
la danse de David ; donc il n’a condamné que les
juste. Saint Cyprien n’a pas condamné la danse de David ; donc il n’a
condamné
que les Spectacles qui représentaient des fables
nt Cyprien même, qui s’explique nettement là-dessus ; car après avoir
condamné
toutes les superstitions et toutes les ordures du
atem ». Que notre Docteur cesse donc de dire, « Que saint Cyprien n’a
condamné
que les Spectacles qui représentaient les fables
s Gentils, à cause de la vaine pompe qui les accompagnait, il a aussi
condamné
les Opéras et les Comédies d’aujourd’hui, où l’on
il y a toujours quelque chose des caractères du monde que saint Jean
condamne
, c’est-à-dire, qui tient « ou de la concupiscence
e pieux et savant Cardinal approuva donc les Comédies modestes, et ne
condamna
que les déshonnêtes et les impies, comme on le vo
médies telles qu’elles sont aujourd’hui, elles se trouvent absolument
condamnées
par tout ce qu’il enseigne dans les deux chapitre
caire... Ce pieux Cardinal approuva donc les Comédies modestes, et ne
condamna
que les déshonnêtes et les impies, comme on le vo
aux, rien ne pouvant prescrire ni prévaloir contre le Droit divin qui
condamne
tous ces excès. Et il pèche dans la forme, parce
onne Albert le Grand à certains passages de l’Ecriture qui paraissent
condamner
les Comédies ; comme s’il n’y avait pas encore un
ait pas encore une infinité d’autres passages dans l’Ecriture qui les
condamnent
, ou comme si Albert le Grand était l’unique Juge
ns ; où l’on fait paraître des garçons habillés en filles, ce qui est
condamné
par les Lois divines et humaines ; et où l’on fai
pas être moins pour leur faire approuver par leur conduite ce qu’ils
condamnent
dans leurs Rituels. Mais ce sont là de ces libert
marque que ce grand Prélat n’approuve point par sa conduite ce qu’il
condamne
si formellement dans son Rituel, il n’y a qu’à se
asard, il n’y aurait rien de plus outré et de plus injuste que de les
condamner
, autrement il ne faudrait pas qu’une belle femme
igneur ; ce qui serait indécent, je l’avoue ; et si cela était, je le
condamnerais
absolument et sans restriction. Car, comme disait
, qu’elles ne sont ni Prêtres ni Religieux ; et si cela était, il les
condamnerait
lui-même » : c’est là un grand effort pour lui. M
ait lui-même » : c’est là un grand effort pour lui. Mais pourquoi les
condamnerait
-il lui-même ? « C’est, ajoute-t-il, parce que, se
faire des aumônes que d’un gain sordide et honteux que saint Augustin
condamne
, et que l’Eglise n’approuvera jamais. Il paraît p
s avaient vu qu’avec cette loi si pure, si sainte et si parfaite, qui
condamne
jusqu’à la pensée du mal, qui oblige de tendre sa
ls ne les défendent pas en particulier quelque part, parce qu’ils les
condamnent
partout : car que signifie autre chose tout ce qu
fortifie. En condamnant en général tout ce qui est déshonnête, elles
condamnent
les représentations théâtrales et les tableaux im
asion d’en parler dès les premiers siécles du Christianisme. Tous ont
condamné
les jeux de théatre comme très-pernicieux & c
unément des plaisirs les plus illégitimes. Saint Clément d’Aléxandrie
condamne
les comédies en des termes aussi forts, quand il
pposer, M. P., la comédie dont saint Thomas parloit, à celle que nous
condamnons
. Je sai quel est l’endroit où vous prétendez que
e la sorte, n’a jamais prétendu justifier la comédie, telle que l’ont
condamnée
les saints Docteurs. Saint Thomas en ces endroits
eur parle de la comédie, telle que les Conciles & les Peres l’ont
condamnée
, & qu’on la représente aujourd’hui, je veux d
artifices séduisans on excite les passions les plus déreglées, il la
condamne
formellement aussi. Voici ses termes & ce qu’
table abus qui ne la justifiera jamais, puisque l’Eglise l’a toujours
condamnée
. Elle est passée en coutume, je le veux ; mais la
ar l’autorité de Dieu, pour rendre légitime ce qu’elle a expressément
condamné
& défendu : c’est ainsi que parle Tertullien,
médie est évidemment contraire aux loix de l’Eglise, qui l’a toujours
condamnée
; elle est donc un abus manifeste, nonobstant tou
je vous le dis : & les raisons qui ont porté les Saint Peres à la
condamner
avec tant de chaleur, ne subsistent plus. Les com
ints voyoient la comédie sur le pié qu’elle est à présent, loin de la
condamner
, ils l’approuveroient ; parceque ce n’est en effe
gnent dans le monde, j’en convient : & ce n’est pas là ce qu’on y
condamne
; c’est la maniére de la faire qui est pernicieus
our se venger de lui en l’exposant ou aux satires des libertins, s’il
condamnait
la comédie, ou aux reproches des dévots, s’il ne
, s’il condamnait la comédie, ou aux reproches des dévots, s’il ne la
condamnait
pas. Y a-t-il du mal à aller à la comédie ? Le o
ue les gens les plus déréglés, s’ils ne sont pas de la lie du peuple,
condamneraient
eux-mêmes aujourd’hui. L'éloquence des saints Pèr
i aux reproches des dévots, trouva un tempérament qui fut de ne point
condamner
la lettre, mais de punir le théatin qui en était
ar force 3 Le sixieme Concile Général tenu à Constantinople, en 680,
condamne
tous les Comédiens & leurs spectacles. Si qu
massa dans son Nomocanon, les loix ecclésiastiques & civiles, qui
condamnent
les spectacles du Théatre. Il y fait voir que les
utre sçavant canoniste Grec du douxieme Siécle, certifie que l’Eglise
condamne
toutes les danses, & les comédies des farceur
are en faveur des spectacles, comment faudra-t-il s’exprimer pour les
condamner
? St. Thomas, mort en 1274, n’avoit pas enseigné
l’Eglise sur la Comédie. Les SS. Docteurs ne se contentent pas de
condamner
la Comédie en général ; mais ils en donnent les r
moins véhément dans celui qu’il a donné en 1708. L’Eglise , dit-il,
condamne
les spectacles, & nous les condamnons avec l’
en 1708. L’Eglise , dit-il, condamne les spectacles, & nous les
condamnons
avec l’Eglise. Ensuite, il les declare Contraire
inspirer, à reveiller & à justifier les passions que Jesus-Christ
condamne
&c. Telle est la Doctrine contenue dans les
ux Rituel, réimprimé en 1780, contient encore ce qui suit : L’Eglise
condamne
les Comédiens, & croit par-là défendre assez
t. C’est pourquoi les partisans mêmes de la morale la plus relachée,
condamnent
les Comédies, & bien loin d’exempter de péché
rétiques mêmes, tous conviennent unanimement, que l’Eglise a toujours
condamné
les spectacles, & c’est d’après ses décisions
; parlera au nom de ses Théologiens. L’Eglise , dit ce grand Prélat,
condamne
les Comédiens, & les prive de la sépultûre ec
rps des Avocats dit, que c’est une critique indécente de tout ce qui
condamne
& frappe sur les Acteurs … Après cet exposé,
aturellement ce qu’elles expriment, & que pour cette raison on en
condamne
l’usage… Combien plus sera-t-on touché des expres
tacles avec autant de force que vous. « On ne peut pas dire, que vous
condamnez
ce que vous ne connoissez pas. Vous avez vous-mêm
r de pécher. » Conférences d’Angers pag. 202. Aussi l’Eglise a-t-elle
condamné
, comme contraire à la Doctrine de J. C, une propo
eignement, dis-je, ne nous demontre-t-il pas, que l’Eglise a toujours
condamné
les spectacles, & qu’elle les a toujours inte
injustice criante, d’excommunier ceux qui les représentent, & de
condamner
ceux qui y assistent ; ce seroit encore un scanda
imiter ; par exemple, Bénoit XIV. Ce n’est donc pas une injustice de
condamner
les spectacles, de les décrier dans les lieux Sai
ommes. 1. tom 3 publié par Mr Diderot en 1753. La Doctrine en a été
condamnée
par le Parlement de Paris, en 1759, Le 23 janvier
s des spectacles et de la Comédie en particulier. Les saints Pères la
condamnent
dans leurs écrits ; ils la regardent comme un res
ommunion. Il est donc impossible de justifier la Comédie sans vouloir
condamner
l’Eglise, les saints Pères, les plus saints Préla
ns lui demander avec trop d’ardeur ; quoique nous ne puissions ne pas
condamner
en tout temps la Comédie : Nous défendons particu
ter : Car ils leur conseilleront de fuir le luxe dans les habits pour
condamner
celui des autres, de laisser les ornements aux fe
grandeur et de son adresse. Il faudrait être tout à fait injuste pour
condamner
les tournois, les courses de Bague, les combats à
quente que sa raison, qu’elle excuse mieux le parricide qu’elle ne le
condamne
, que sous ce désir de vengeance qu’elle découvre,
, et qu’elles sont bien plus disposées à imiter son injustice qu’à la
condamner
. L’homme est entièrement perverti depuis le péché
s l’ai marqué par les endroits tirés de son livre et qui servent à le
condamner
), il ne peut plus dire que Molière est un athée,
toutefois qu’il y trouverait encore quelque chose à redire, puisqu’il
condamne
la paysanne. Il ne peut pas même souffrir ses rév
ière qui l’a fait paraître sur la scène, et l’on n’en a pas autrefois
condamné
d’autres, qui dans le même Festin de Pierre ont,
u Festin de Pierre lorsqu’il a composé les endroits que notre censeur
condamne
, car autrement personne ne peut assurer que Moliè
e leur profession l’ont admirée, ce qui fait voir qu’on ne la pouvait
condamner
, à moins d’être surpris par les originaux dont Ta
ur mérite, l’Observateur, qui voit bien que cela suffit pour le faire
condamner
et qui combat autant qu’il peut ce qui nuit à son
point de vaine complaisance en vous ou en votre fille au bal ? On ne
condamne
dans le monde que les péchés extérieurs et grossi
chés extérieurs et grossiers ; mais Dieu juge plus rigoureusement, il
condamne
plus sévèrement les péchés spirituels, les péchés
n ; et quoique vous n’y puissiez répondre, vous ne laissez pas de les
condamner
, et eux semblablement vous condamnent. Comme en e
ndre, vous ne laissez pas de les condamner, et eux semblablement vous
condamnent
. Comme en effet ils sont dignes de blâme, et vous
ullien & S. Cyprien qui parlent de la scène payenne, & qui la
condamnent
par les mêmes raisons que nous employons contre l
voit usurpé la dignité. Le Concile de Trente, qu’il accuse de n’avoir
condamné
la comédie que par haine contre Luther & sa m
l vivoit, étoit précisément ce théatre porté aux derniers excès qu’il
condamne
? Etoit-il supportable aux yeux des Philosophes P
ger tous les abus : l’Eglise elle-même tolère bien des choses qu’elle
condamne
. La tolérance civile & extérieure du Prince e
ès-pernicieux, & que l’usage qu’on en fait est si authentiquement
condamné
. L’Auteur méprise trop l’autorité ecclésiastique
connoissance. Les Parlemens ont agi de même. Les autres Conciles ont
condamné
par des motifs qui n’existent plus : c’étoit l’an
es étoient pourtant décens. Ose-t-on approuver ce que ces oracles ont
condamné
? Qu’on pense différemment lorsqu’au moment de la
et étoit applaudi & méritoit de l’être, & le dépit de se voir
condamné
par un Auteur célèbre, qu’on ne peut accuser d’ig
res & le ridicule de tous les rangs. Si quelqu’un est tenté de me
condamner
, qu’après avoir apprécié le phosphore qu’on nomme
Rep. lib. 3 [Platon, De la République, livre III]. une des raisons de
condamner
le théâtre en général ; parce que, la coutume rég
phe trouvait si indigne, qu’il ne lui eût fallu que cette raison pour
condamner
la comédie. De Rep. lib. 3 [Platon, De la Républ
peu coûteuse. De là ces conseils perfides, donnés aux souverains, de
condamner
les peuples à l’ignorance, sous prétexte de les r
nce, séduits d’ailleurs par les faveurs, ou contenus par les menaces,
condamnaient
souvent à regret la tendance et les mauvaises int
leurs instituteurs, ils ne veulent pas que les hommes s’éclairent, et
condamnent
les peuples à l’ignorance : A peine sortis des ba
connaître la vérité ; ils brûlent les livres des philosophes, qu’ils
condamnent
sur des ouï-dire, car souvent ils ne les ont pas
s de conscience. Tout livre mis à l’index religieux et politique, est
condamné
au pilon. N’est-ce pas là la meilleure manière de
nc toujours été de l’intérêt des séducteurs et de leurs complices, de
condamner
les hommes à l’ignorance et à l’abrutissement. Il
s nombre, qui ont eu lieu dans les siècles de barbarie. Pourquoi donc
condamner
le peuple à l’ignorance ? pourquoi l’exposer à to
e laissent plus aisément duper et spolier ? De quel droit ceux-là qui
condamnent
le peuple à l’ignorance, voudraient-ils qu’une po
ropie ne sont que des paradoxes. Je le répète donc, il est injuste de
condamner
le peuple à l’ignorance : cette injustice est une
ulit nos nequiores, Mox daturos progeniem vitiosiorem. Quand on
condamne
l’immodestie des femmes, ne parle-t-on que de cet
r les anathèmes que sur un désordre qui n’exista jamais. L’Eglise qui
condamne
l’immodestie, la vertu qui la redoute, le sage go
our faire du plus saint des Rois un adultère & un assassin. David
condamne
ses yeux coupables à des larmes intarissables : E
ns ses Confessions. Jamais Casuiste ne porta la rigueur si loin. Elle
condamne
jusqu’à la comédie des Femmes savantes de Moliere
ennemis même. Toute la religion s’élève contre cette indécence ; elle
condamne
la vanité & la mollesse, défend l’impureté, d
s depuis des siecles ne se font aucun scrupule de la liberté que vous
condamnez
. Mais pense-t-on que l’Evangile est la vérité, &a
r qu’en vous fuyant ! La belle excuse ! voilà précisément ce qui vous
condamne
. Plus ils sont foibles, plus la charité vous ordo
ien chaste ? Le premier péché est celui du scandale : toutes les loix
condamnent
à payer le dommage l’imprudent qui par hasard aur
deviner la piété sous l’épais nuage qui la défigure ! Le jugement qui
condamne
, on le dit faux ; mais est-il téméraire ? Disting
cusari non potes ut casta. Cyprian, de Hab. Virg. Mais l’Ecriture ne
condamne
point les nudités. Qui le dit ? des Actrices &
malice, s’en faire un trophée, blasphemer la sainteté de Dieu qui le
condamne
, sa justice qui le punit, se préparer la liberté
ître l’un que parce qu’on l’a perdu, et l’autre que parce qu’on y est
condamné
. « Comme la loi de Dieu est juste et sainte, on
ères, et qu’elles justifient ce que les autres voient bien qu’il faut
condamner
. « Car il ne s’agit pas de dire qu’on est reven
et par conséquent les plus fausses ; et, si un vice y est quelquefois
condamné
, c’est pour en justifier quelque autre plus éclat
on lui apprend en secret à ne rougir de rien : on le dispose à ne pas
condamner
, à son égard, des sentiments qu’il a excusés et p
onnaître l’un que parce qu’on l’a perdu, et l’autre parce qu’on y est
condamné
. III. Comme la Loi de Dieu est juste et sainte, o
ière, et qu’elles justifient ce que les autres voient bien qu’il faut
condamner
. VI. Car il ne s’agit pas de dire qu’on est reven
et par conséquent les plus fausses ; et si le vice y est quelquefois
condamné
, c’est pour en justifier quelque autre plus éclat
on lui apprend en secret à ne rougir de rien ; on le dispose à ne pas
condamner
à son égard des sentiments qu’il a excusés, et pe
sons en peu de paroles. La premiere, parce que les Païens mêmes l’ont
condamné
. Plutarqueg rapporte que Solon condamna les Tragé
ce que les Païens mêmes l’ont condamné. Plutarqueg rapporte que Solon
condamna
les Tragédies dés leur naissance ; Que les Athéni
ttes. La quatriéme, parce que, comme remarque Tertulliene, l’Ecriture
condamne
la Comédie & les Spectacles dans les passages
atyres, ni en Tragédiens. La sixiéme, parce que les Peres de l’Eglise
condamnent
ou les Spectacles en general ou les Comédies en p
t que Dieu même en porte, n’y aïant rien dans les Spectacles qu’il ne
condamne
; parce que les Spectacles sont du nombre des pom
s plaisirs les plus innocens & les plus legitimes. Saint Cypriena
condamne
les Tragédies parce qu’elles donnent de mauvais e
es par les crimes qu’elles representent ; saint Clement d’Alexandrieb
condamne
les Comédiens tant parce que Jesus-Christ ne nous
La Scene & le Theâtre des Farceurs & des Comédiens aïant esté
condamnez
dés il y a long-temps par les sentimens des Saint
gratuitement ». Troisiémement, parce que saint Macaire l’ancienb le
condamne
par ces mots : « Si par l’oüie toute seule on pou
ure, les Conciles & les Peres que nous venons de rapporter ne les
condamne
pas expressément Car ils doivent sçavoir qu’une d
feigne des gemissemens. » C’est aussi ce que Saint Jean Chrysostome
condamne
par ces motsa : « Que dirai-je du bruit & du
Ordonnances du Diocese d’Aleta depuis 1640. jusqu’en 1659 l’ont ainsi
condamné
: « Sur les plaintes qui nous ont esté faites par
à commencer par celui de la Septuagesime. » La même chose avoit esté
condamnée
longtemps auparavant par le cinquiéme Concile Pro
lle où l’on prend des habits de Religieux ou de Religieuses. Elle est
condamnée
expressément par la Loi Mimæ b, & par la Nouv
Il y a bien d’autres raisons que celles que je viens d’expliquer, qui
condamnent
la danse ; mais je serois trop long, si je les vo
horrible d'une prostitution à laquelle une1 Sainte Martyre avait été
condamnée
. Mais ce qu'il tire de là pour justifier la Coméd
e que l'on n'y saurait souffrir les objets déshonnêtes, est ce qui la
condamne
manifestement. Car on peut apprendre de cet exemp
e horrible d'une prostitution à laquelle une sainte Martyre avait été
condamnée
. Mais ce qu'il tire de là pour justifier la Coméd
e que l'on n'y saurait souffrir les objets déshonnêtes, est ce qui la
condamne
manifestement. Car on peut apprendre de cet exemp
confié que vous aurez à gré que j’aie tiré secours de votre nom, pour
condamner
cette-ci. De vous spécifier le motif particulier
ne, laquelle tous les jours, selon que les textes se rencontrent, ils
condamnent
en leurs chaires, avec les autres dissolutions, e
ciens Pères se sont écriés contre eux. 10. Que l’Ecriture Sainte les
condamne
par ses Arrêts. 11. Que les hommes sages de cet
urs, et Comédiens, qui montent sur l’échafaud. Suivant cela lorsqu’on
condamne
les Théâtres, on y comprend aussi ceux des Charla
ar la Cour de Parlement de Rouen Arrest de Papon liv. 23, tit. 7. s ,
condamna
en l’année 1508, à l’amande de cent livres, tous
ela se trouvant ès Théâtres, c’est un sujet plus que suffisant de les
condamner
. CHAP. III. Touchant l’exception que les Théât
t pour chaste, jusqu’au XVIIIe s. . Lors donc que les Pères ont ainsi
condamné
généralement les Théâtres, ce n’est pas qu’ils ne
ent, posant par fait en leur exception, que les Anciens qui ont ainsi
condamné
les Théâtres, n’ont entendu parler que de ceux de
t donc une notoire méprise, lorsqu’on veut poser, que les Pères n’ont
condamné
que les Théâtres Païens, et non pas ceux des Chré
er comme auparavant. Comme donc nous avons ouï, que les Anciens Pères
condamnaient
ceux de leur temps, combien que parfois ils disen
lle en tous les âges, tous les serviteurs de Dieu, unanimement, l’ont
condamnée
, et ont fait des Règlements publics à l’encontre
e même jusques à les y obliger par leurs seingsam. Lorsqu’ensuite ils
condamnent
les Théâtres, c’est grande injustice de les accus
mptables à Dieu. CHAP. V. Qu’entre les Païens mêmes, les Sages ont
condamné
les Théâtres. Nous avons ouï que ce sont les
les Citoyens. CHAP. VII. Que la pratique des premiers Chrétiens a
condamné
les Théâtres. La droite raison, et les Lois,
nt les blandices et allèchements ne soient pernicieux, aussi nous les
condamnons
. Es jeux des Gladiateurs qui n’aurait horreur de
e Seigneur J. C. de reprendre les vices ; ainsi ils ont égal droit de
condamner
cetui-ci, et de menacer du juste jugement de Dieu
s qui tous les jours leur en sont faites. CHAP. X. Que l’Ecriture
condamne
les mêmes Théâtres par ses Arrêts Souverains.
tcf que la Parole de Dieu, de laquelle seule ils veulent dépendre, ne
condamne
point les Théâtres, et n’en dit un tout seul mot
ident mécompte de ceux qui veulent prétendre que la Parole de Dieu ne
condamne
pas les Théâtres. Que s’il y en a d’opiniâtres qu
lieu sur les Théâtres des Païens, nonobstant quoi les Anciens les ont
condamnées
, considérant, que de celles-là plus tolérables, S
ite des Sentences dedans les écrits, ce qui montre qu’il ne les a pas
condamnées
. Mais je leur demanderais volontiers, s’ils croie
ont tort de vouloir faire parler en leur faveur la Discipline qui les
condamne
. VI. Il en suit quelques-uns qui nous touchent ic
ni le prochain scandalisédm ; autrement, ni les « plaisanteries »dn,
condamnées
ci-dessus par saint Paul, ni les danses, ni les b
ont raisonné ainsi : Il n’y a celui qui sans beaucoup hésiter ne les
condamnât
. Que s’ils venaient aussi à objecter, que ces cho
n’est pas à dire qu’ils aient fait paix avec les autres, lesquels ils
condamneront
de même à leur tour, et selon que le temps aussi
éché. Mais si cette règle doit être gardée, lorsqu’il est question de
condamner
les vices en général, il en va un peu autrement l
t combien que le mot de Théâtre n’y soit pas, en divers endroits elle
condamne
la chose. 10 Nous avons montré que les Sages Poli
(« même abord ») publique que l’on va au théâtre et que les pasteurs
condamnaient
hautement les spectateurs sans broncher contre le
nité ? Chap. 38. Nous renonçons à vos Spectacles, comme nous en
condamnons
les diverses origines, par la connaissance que no
la Foi, l'ordre de la vérité, et la Loi de la discipline Chrétienne,
condamnent
absolument le divertissement des Spectacles, comm
Spectacles ne sont pas défendus par la sainte Ecriture; puis qu'elle
condamne
toute sorte de concupiscence ? Car comme la concu
nous éloigner: Mais d'ailleurs celui qui assiste à la Comédie, ne se
condamne-t
-il pas lui-même, puis qu'en ce qu'il ne voudrait
dignités. Qui vit jamais un pareil désordre ? ils aiment ceux qu'ils
condamnent
, ils méprisent ceux qu'ils approuvent, ils estime
es divinités, dont nous savons la naissance et l'origine, et nous les
condamnons
comme des corrupteurs agréables : Car qui n'a hor
, et après lui les Théologiens, admettent la Comédie, et que s’ils en
condamnent
quelque chose avec les Pères, ce n’en peut être q
ut être que l’excès. Pour prouver que ce n’est que l’excès qu’il faut
condamner
dans tous les jeux et les plaisirs, et que les Sa
ens du monde et de ceux encore qui sont les moins retenus) qui ne les
condamna
comme ont fait les Pères, et ce n’est pas une cho
son cœur. ». C’est ce qui obligea le troisième Concile de Carthage à
condamner
par ce Canon les Comédiens comme blasphémateurs :
Canon 2. . » Après des choses si criminelles, qui pourrait ne pas
condamner
la Comédie, s’il est vrai qu’elle fût remplie de
de spect. » Il n’est donc besoin que des lumières de la raison pour
condamner
de si grands excès. Aussi lisons-nous dans saint
les Comédies parmi les actions indifférentes, et que ce n’est pas les
condamner
que d’en reprendre l’excès. Saint Cyprien« Quod D
des Idoles. D’où il vous est facile de juger que ce saint Docteur ne
condamne
pas absolument les Danses, les Chants, les Opéras
e pieux et savant Cardinal approuva donc les Comédies modestes, et ne
condamna
que les déshonnêtes et les impies, comme on le vo
a sagesse et de l’honnêteté ? « Pour preuve que l’Ecriture Sainte ne
condamne
point les Jeux, les Danses et les Spectacles, pri
mêmes et dépouillés des circonstances fâcheuses qui les peuvent faire
condamner
(ce sont les propres paroles du Bienheureux Alber
dans la Comédie la moindre apparence des excès que les Saints Pères y
condamnaient
avec tant de raison. Mille gens d’une éminente ve
arlait pas par expérience, et qu’il n’allait pas aux Spectacles qu’il
condamnait
. Il faut donc qu’il se fut servi d’un des trois m
s ce Royaume contre les blasphèmes : on leur perce la langue ; on les
condamne
même au feu : Entretiendrait-on les Comédiens, et
sions, il n’y aurait rien de plus outré et de plus injuste que de les
condamner
. Et comment le pourrait-on faire à moins que de f
ent à l’Eglise rendre leur devoir à leur Créateur. » S. Jean de Damas
condamnait
aussi le même excès en ces termes« Civitates quae
Seigneur, ce qui serait indécent je l’avoue, et si cela était, je le
condamnerais
absolument et sans restriction ; car, comme disai
suit évidemment, qu’il n’a point créé pour de mauvaises fins ce qu’il
condamne
lui-même ; puisque les choses dont on se sert pou
mme toute l’idolâtrie est anathématisée de Dieu, il est certain qu’il
condamne
aussi ces profanes consécrations, que l’on fait a
qu’on y représentait. Remarquez ici en passant, combien les païens se
condamnent
eux-mêmes par leurs propres arrêts, et combien il
e convient point, ce me semble, aux Chrétiens. Bien plus, un homme se
condamne
lui-même, en se rangeant parmi ceux auxquels il n
dre ce qu’on ne saurait dire sans crime ? sachant d’ailleurs que Dieu
condamne
toute plaisanterie ; Math. 12. et toute parole in
corrompue. Voilà donc le théâtre interdit, dès là que l’impureté est
condamnée
. Si Chap. 18. vous dites que les actions théâtral
ut-il Chap. 19. que nous examinions maintenant, si l'amphithéâtre est
condamné
dans les saintes Ecritures ? Si nous pouvons démo
? Il n’y a, disent-ils, aucun endroit formel dans les Ecritures, qui
condamne
les spectacles : un chrétien ne peut-il donc pas
ors des degrés, hors des portiques ? Nous nous trompons : ce que Dieu
condamne
, n’est jamais permis ; ce qu’il défend, est toujo
ur corps, en commettant avec eux des infamies, qu’elles se piquent de
condamner
en public.) On condamne donc authentiquement cett
vec eux des infamies, qu’elles se piquent de condamner en public.) On
condamne
donc authentiquement cette espèce de gens à la de
notent d’infamie l’ouvrier. Quelle étrange sorte de jugement, que de
condamner
un homme pour les mêmes choses, pour lesquelles o
qu’ils deviennent en la faisant. Puisque Chap. 23. la justice humaine
condamne
donc ces malheureux, malgré le plaisir qu’ils don
me une espèce d’adultère tout ce qu’on réforme dans son ouvrage. S’il
condamne
toute sorte d’hypocrisie, fera-t-il grâce à un co
qui serait à table depuis le matin jusqu'au soir ; ce que le Prophète
condamne
par ces paroles : « Vae qui consurgitis mane ad e
une espèce de lassitude qui a besoin d'être réparée. Cela suffit pour
condamner
la plupart de ceux qui vont à la Comédie. Car il
qui serait à table depuis le matin jusqu'au soir, ce que le Prophète
condamne
par ces paroles : « Vae qui consurgitis mane ad e
e une espèce de lassitude qu'on a besoin de réparer. Cela suffit pour
condamner
la plupart de ceux qui vont à la Comédie. Car il
Chapitre XVII. Que les danses sont
condamnées
dans l’Ecriture, et par les Pères. Nous avons
ment sans craindre les menaces d’Isaïe : Mais ce Prophète, dit-il, ne
condamne
pas moins par ces paroles la conduite de beaucoup
ndi de paganorum observatione remansit. » Tous les Pères de l’Eglise
condamnent
généralement dans plusieurs endroits de leurs Ouv
il s’en sert pour surprendre les âmes, et pour les perdre ; et il les
condamne
avec tant de fermeté, qu’il prouuve qu’elles sont
et qui naissent des regards, des attouchements et des entretiens, les
condamnent
encore, et les détestent comme un divertissement
ils avaient vu qu’avec cette loi si pure, si sainte, si parfaite, qui
condamne
jusqu’à la pensée du mal, qui oblige de tendre sa
ls ne les défendent pas en particulier quelque part, parce qu’ils les
condamnent
partout. Que signifie autre chose, tout ce que l’
jugé ainsi. Comptera-t-on pour rien le concours de tous les Saints à
condamner
ces divertissements profanes ? Et les idées licen
ux Chrétiens, mais on soutient que c’est le seul que les saints Pères
condamnent
, et que le théâtre purgé, tel qu’il est aujourd’h
oses, trouveront-ils les spectacles innocents ? Mais, mon Dieu ! pour
condamner
de si profanes divertissements, pourquoi chercher
les Pères, une conséquence infaillible ; savoir, que la doctrine qui
condamne
les Théâtres, est celle que l’Esprit Saint a insp
euses, et qu’il est facile d’y répondre ! 1. Il dit que l’Écriture ne
condamne
point en termes formels la Comédie. 2. Qu’elles o
nventées pour reprendre les vices des Grands. 3. Que les Pères ne les
condamnent
que parce que de leur temps il s’y commettait des
? Combien ceux qui traitent des Cas de Conscience approuvent-ils, ou
condamnent
-ils tous les jours d’actions, conformément à la d
ns solides qu’ils donnent à ceux qui les consultent. C’est assez pour
condamner
un abus que l’on trouve dans le Texte sacré, des
dans le détail de chaque action, pour la justifier comme bonne, ou la
condamner
comme mauvaise. Ainsi, c’est mal raisonner pour u
ture ne parle en aucune part des Spectacles, et elle ne laisse pas de
condamner
les Spectacles ; parce qu’elle contient des maxim
rononce point le mot de Comédie. Elle a toujours été en possession de
condamner
les Théâtres, de tenir les Comédiens pour gens ex
médies avaient été innocentes pour les mœurs, ils ne les auraient pas
condamnées
. S. Paul ne se mettait pas en peine de l’idolâtri
âtrie et de l’impureté grossière, est encore assez mauvaise pour être
condamnée
, à cause de la vanité, de la fausseté, des ajuste
ir. Dans tous ces Canons et plusieurs autres que j’omets, l’Église ne
condamne
point les Spectacles comme faisant partie de l’id
s sacrilèges et impurs,i il y a quantité d’autres endroits où ils les
condamnent
, n’y supposant même rien de ces désordres monstru
cela de favorable à la Comédie, ou plutôt ; que ne dit-il pas qui la
condamne
ouvertement, puisqu’il renferme toute la liberté
res de sa journée : puisqu’enfin dans l’Article suivant, saint Thomas
condamne
de péché mortel le ris et la joie immodérée. Je
scandale ; et c’est ce que saint Thomas n’approuva jamais, puisqu’il
condamne
dans les divertissements toutes les paroles et le
s bien reçu si l’on n’en est que médiocrement réjoui. Or saint Thomas
condamne
de péché mortel le ris et la joie immodérée ; car
ombre de ces maux qui ont d’abord une difformité suffisante pour être
condamnée
. Celui qui y entre a dessein d’en goûter le plais
a sorte : À Dieu ne plaise que je veuille autoriser ce que l’Église a
condamné
; mais je prétends que si on fait plus de quartie
et des Musiciennes, que d’en reconnaître la vanité et le péril : J’ai
condamné
, dit-il, le ris de folie, et j’ai dit à la joie ;
’argument de l’idolâtrie : « [...]ce saint Docteur [saint Cyprien] ne
condamne
pas absolument les Danses, les Chants, les Opéras
public et de soi-même innocent par des maximes qui ne servaient qu'à
condamner
l'Idolâtrie, et qui n'ont plus aujourd'hui de cau
ciens Pères de l'Eglise ont autrefois prononcées, et l'on ne doit pas
condamner
un divertissement que les Papes et les Princes Ch
tre raison dont nos premiers Docteurs se sont servis, et qui semblait
condamner
les représentations de nos Théâtres, aussi bien q
Paris, chez Coignard. M. l’Abbé Fleury, dans les Mœurs des Chrétiens,
condamne
les Théâtres ; chez Aubouin, en 1682. Il parut en
s ; il fait aussi ses efforts pour établir que les saints Pères n’ont
condamné
les Spectacles des Païens, qu’à cause de la seule
Mai 1694, qui contient sa soumission à la discipline des Rituels qui
condamnent
les Spectacles, et à tout ce que ce Prélat lui or
lut n’est pas leur affaire capitale ; negligence, que le Saint Esprit
condamne
dans les saintes Ecritures, quand il dit : Prover
oit assés pour en inspirer de l’horreur aux Chrêtiens, & pour les
condamner
. Rien n’est plus vrai, que les paiens en represen
e vous priois pas, que vous écoutiez les Saints Peres, & que vous
condamniez
ce que les Interpretes du Saint Esprit ont condam
& que vous condamniez ce que les Interpretes du Saint Esprit ont
condamné
. Vous trouverez peutêtre un certain nombre de gen
s criminelles que celles d’à présent. Les Païens mêmes n’ont-ils pas
condamné
les danses ? Cir. orat. pro Murena. Oui, et c’es
élices. Venons s’il vous plaît à la raison, pourquoi est-ce que vous
condamnez
les danses ? Nous les condamnons principalement.
la raison, pourquoi est-ce que vous condamnez les danses ? Nous les
condamnons
principalement. 1. Parce que les Chrétiens y ont
sus représentés. Néanmoins il est encore véritable, qu’on ne doit pas
condamner
absolument quelques danses qui se feraient modest
entre les comédies de ce temps-ci, et celles que les saints Pères ont
condamnées
dans le leur ; et que si celles contre lesquelles
i que Dieu même en porte, n’y ayant rien dans les spectacles qu’il ne
condamne
Chap. 24. ; 3. parce que les spectacles sont du n
, cette corruption qui fait que l’on aime ceux que les lois publiques
condamnent
; qu’on approuve ceux qu’elles méprisent ; qu’on
n donnant ce titre spécieux à cet ouvrage, qui ne méritait que d’être
condamné
, il éluda par cette superstition les règlements q
ous voyez, ma Sœur, que S. Chrysostome, aussi bien que Tertullien, ne
condamne
pas seulement les comédies à cause de leur dissol
dans les délices qui sont inséparables de ces spectacles ; qu’il les
condamne
, parce qu’on ne peut s’empêcher d’y donner de l’a
t se glisser quelque légère exagération ; mais ce qui est unanimement
condamné
dans la chaire, ne peut se soustraire à l’anathèm
qui ait toléré la comédie, qui ne l’ait expressément & sévèrement
condamnée
. Ils se sont tous réunis pour en détourner les fi
semens une sorte d’horreur, ils m’apprendront que les Payens même ont
condamné
les spectacles, à la honte des Chrétiens qui voud
s du monde que j’ai maudit, & enivré vos sens des plaisirs que je
condamne
? Vous tremblez ! Mais pourquoi ? Si les spectacl
bliothèque du théatre. Or j’ose dire qu’on n’en trouvera point qui ne
condamne
les spectacles. Tous les examens de conscience, t
orce de persuader le contrairea. Encore que l’envie soit généralement
condamnée
, elle ne laisse pas quelquefois de servir ceux à
r, de crainte d’être regardé comme le défenseur de ce que la religion
condamne
, encore qu’elle n’y prenne point de part et qu’il
ions n’exigeait point de lui cette satire. Il fait plus toutefois, il
condamne
son geste et sa voix, et par un pur zèle de chrét
ès pernicieux. On ne se contente pas de faire le procès du maître, on
condamne
aussi le valet, pource qu’il n’est pas habile hom
ouanges, et, le regardant comme leur vengeur, tâcheront de nous faire
condamner
, Molière et moi, sans nous entendre. Pour vous, M
es qu’ils ne sentent pas. C’est pourquoi les justes s’accusent, et se
condamnent
continuellement eux-mêmes, afin que par le mérite
Tradition perpétuelle de l’Eglise, que les Comédies ont toujours été
condamnées
, et que leurs Acteurs ont été excommuniés, et not
ions visiblement fausses. La première est, que les Saints Pères n’ont
condamné
les Comédies de leur temps, qu’à cause de l’Idolâ
dies de notre temps étant exemptes d’Idolâtrie, elles ne peuvent être
condamnées
? Cette supposition, dis-je, est visiblement faus
t celle de la Dissertation, que les Comédies de ce temps doivent être
condamnées
par cette même raison qu’elles ne servent qu’à fa
rrompre les bonnes mœurs. Mais quand même les Saints Pères n’auraient
condamné
les Comédies de leur temps, qu’à cause seulement
e s’ensuivrait pourtant pas que celles de notre temps ne dussent être
condamnées
, puisqu’encore qu’elles ne soient pas consacrées
ma Réponse : où je montre aussi que les plus sages des Païens les ont
condamnées
pour la même raison. Secondement, L’Auteur de la
s Acteurs du Théâtre, que selon la différence de leurs vices ; et les
condamnent
tous selon qu’ils sont plus, ou moins vicieux, et
st certain que les Conciles, les Saints Pères, et les Jurisconsultes,
condamnent
en termes exprès les Comédies, et les Tragédies a
la représentation des Comédies, et des Tragédies, ne doit point être
condamnée
, tant qu’elle sera modeste, et honnête. Mais c’es
tre II. I. Observation. Les Comédies et les Tragédies furent
condamnées
dès leur origine. II. Observation. Les Pa
i ne les distingue que selon la différence de leurs vices, et qui les
condamne
tous selon qu’ils sont plus, ou moins vicieux.
ondamnant absolument et sans distinction les Histrions, ils ont aussi
condamné
les Comédiens. Ainsi le titre que l’Auteur de la
La Loi Senatoris ff. de ritu nupt. et la Loi quædam ff. de pœnis,
condamnent
la Comédie. IX. Réfutation. La Loi consen
La Loi consensu C. de Repud. et la Novelle 22. de iis qui nupt. iter.
condamnent
le Théâtre. X. Réfutation. Néron est blâm
tes de gens fussent infâmes. XVII. Réfutation. Saint Augustin
condamne
les Comédies, et montre qu’elles étaient infâmes,
les Rois d’Espagne : les Lois Romaines, et le Parlement de Paris ont
condamné
les Comédies, et leurs Acteurs. Chapitre X.
s. Chapitre X. I. Réfutation. Tatien, et Minucius Félix
condamnent
les Comédies et les Tragédies. II. Réfutation
ent les Comédies et les Tragédies. II. Réfutation. Tertullien
condamne
les Comédies, et les Tragédies. III. Réfutati
es Comédies, et les Tragédies. III. Réfutation. Saint Cyprien
condamne
les Comédies, et les Tragédies. IV. Réfutatio
Comédies, et les Tragédies. IV. Réfutation. Saint Chrysostome
condamne
les Comédies en termes formels. V. Réfutation
mes formels. V. Réfutation. Saint Cyrille Evêque de Jérusalem
condamne
généralement, et sans exception toutes sortes de
x des Comédies, et des Tragédies. VI. Réfutation. S. Basile a
condamné
les Comédies, et les Tragédies. VII. Réfutati
dies, et les Tragédies. VII. Réfutation. Clément d’Alexandrie
condamne
généralement tous les spectacles sans aucune exce
Concile Elibertin, ou d’Elvire, et celui de Constantinople in Trullo
condamnent
les Acteurs de Comédies, et de Tragédies. XI.
nt, offensent Dieu. XII. Réfutation. Le 1. Concile de Milan a
condamné
les Comédies. XIII. Réfutation. Illusion
signifie Trouvères, ou Troubadours. XIV. Réfutation. Salvien
condamne
les Comédies, et les Tragédies. Chapitre XI.
r de la Dissertation : à qui l’on fait voir évidemment que Tertullien
condamne
les Comédies, et les Tragédies. III. Réfutati
iques ou de la Scène, et en notant d’infamie leurs Acteurs, ont aussi
condamné
les Comédies, et les Tragédies, puisqu’elles fais
ndus par l’Auteur de la Dissertation. V. Réfutation. Lactance
condamne
les Comédies, et les Tragédies. VI. Réfutatio
elon leurs effets. C’est pourquoi les Lois Civiles, et Canoniques les
condamnent
. II. Réfutation. Plus les Comédies sont i
s Apôtres, et les Histoires du vieux, et du nouveau Testament ont été
condamnées
par le Parlement de Paris. IX. Réfutation.
igion, et être exempt de Superstition, et d’Idolâtrie, parce qu’il la
condamnait
en son cœur, et qu’il ne reconnaissait point pour
ente et voce veneremur. » Cicero lib. 2. de natura Deorum. ,rejeté et
condamné
toutes ces fables, nous pouvons concevoir un Dieu
aient : ils faisaient ce qu’ils improuvaient, ils adoraient ce qu’ils
condamnaient
, parce que la Philosophie leur avait enseigné com
rt. Mais toi, pauvre misérable, qu’as-tu fait qui ait mérité qu’on te
condamnât
à des spectacles si inhumains, où le peuple crie
ne fût de cet avis, puisque dans l’épître 7. qu’il écrit à Lucile, il
condamne
généralement tous les Spectacles. « Il n’y a rien
frir qu’on introduisît des Religions sales et honteuses ; mais de les
condamner
comme impies « Publicus Sacerdos audaciam in amit
nibus fœdis damnet, atque impiam judicet. » Cicero 2. de legib. ; Ne
condamnaient
-elles pas aussi les Spectacles honteux et déshonn
s, est à présent le même qui se déclare contre les Pantomimes, et qui
condamne
ces Jeux infâmes, et ces divertissements honteux
superstitione conceptas. » Tertull. in Apolog. c. 38., comme nous en
condamnons
les diverses origines par la connaissance que nou
de faire voir le contraire par le témoignage même des Païens, qui en
condamnent
la plupart comme impies, et déshonnêtes, et qui n
de regarder les Tragédies comme des actes de religion, puisqu’il les
condamnait
comme des choses très pernicieuses au public.
t de Tacite sur ce sujet, il n’est pas difficile de reconnaître qu’il
condamnait
les Jeux et le Théâtre ; puisque rapportant les r
des objets de Jeux et de risée, en leur imputant des crimes que l’on
condamnait
parmi les hommes, car toutes ces choses étaient m
e nous l’apprend dans son livre intitulé Euterpe : où cet Historien
condamne
la folie des peuples, qui adoraient des Dieux qui
s., de même que la peinture est une Poésie muette ; Aussi Aristote ne
condamne
pas moins les infâmes représentations de la Poési
eût bien lu Varron, et Macrobe, il aurait appris que les Philosophes
condamnaient
et ces fables honteuses des Dieux ; et leurs allé
et leurs allégories et mythologies dans la Théologie fabuleuse qu’il
condamnait
. « Les Poètes, dit S. Augustin « Multa et ipsi (
reste : et néanmoins tout cela n’est que Théologie fabuleuse qui est
condamnée
, rejetée, et improuvée avec toutes ses interpréta
e qu’ils eussent de ces actions infâmes, ils ne laissaient pas de les
condamner
, et de les regarder comme des choses indignes des
logie fabuleuse, dit S. Augustin, que Varron a cru lui être permis de
condamner
librement : et par là nous voyons comme Varron co
re permis de condamner librement : et par là nous voyons comme Varron
condamne
le Théâtre et les représentations du Théâtre, pui
sont des choses qui appartiennent à la Théologie fabuleuse que Varron
condamne
, de quelques allégories ou mythologies qu’on les
aient à leurs Dieux, d’une manière encore plus sale: Et néanmoins ils
condamnaient
, et rejetaient celles-là, comme des choses déshon
s la Théologie civile, que la fabuleuse, et que par conséquent ils ne
condamnaient
pas moins les Comédies, et les Tragédies qui cont
celles-ci ouvertement et avec toute sorte de liberté, ils n’osassent
condamner
les autres publiquement, craignant la sévérité de
Dei cap. 8.,qui ont écrit de ces choses, jugeaient bien qu’on devait
condamner
ces deux genres de Théologie, savoir la fabuleuse
mprouver celle-ci ouvertement ; ils ont donc proposé celle-là pour la
condamner
; et celle-ci, pour la comparer avec l’autre, afi
mœdiam faceret. » Idem de gloria Atheniensium. . Et les sages Romains
condamnaient
encore les Comédies des Grecs, à cause de l’insol
e s’en voudra mêler ; et nous nous confierons à des ivrognes que nous
condamnons
lorsqu’ils sont encore à jeun ? » « Que si nous
it pas moins être rejetée, que la fabuleuse ; et on ne doit pas moins
condamner
les Temples, et le culte qu’on y rend aux Dieux,
ublic, et de soi-même innocent, par des maximes qui ne servaient qu’à
condamner
l’Idolâtrie, et qui n’ont plus aujourd’hui de cau
je ne pus voir sans admiration qu’elle se fût si facilement résolue à
condamner
plutôt la coutume qu’elle suivait auparavant, qu’
qui suivent les coutumes des Païens. » En un mot l’Eglise a toujours
condamné
généralement tous les restes de l’Idolâtrie, et d
qui aura gardé en quelque chose les coutumes des Païens, soit puni et
condamné
à l’amende de quinze écus d’or. » Et dans un autr
ublic, et de soi-même innocent, par des maximes qui ne servaient qu’à
condamner
l’Idolâtrie, et qui n’ont plus aujourd’hui de cau
voici son principe. « Les maximes des anciens Pères ne servaient qu’à
condamner
l’Idolâtrie. » Ce principe est visiblement faux ;
t fausse. « Les maximes , dit-il, des anciens Pères ne servaient qu’à
condamner
l’Idolâtrie ; elles n’ont donc plus aujourd’hui d
de prétextes, c’est-à-dire, elles ne servent donc plus aujourd’hui à
condamner
les Jeux et les Spectacles, puisqu’ils sont exemp
re pour cela que les raisons dont se servaient les anciens Pères pour
condamner
l’Idolâtrie, servent encore aujourd’hui pour cond
ens Pères pour condamner l’Idolâtrie, servent encore aujourd’hui pour
condamner
les Spectacles du Théâtre, parce qu’ils sont des
uoi les avez-vous rendus infâmes ? est-ce pour les louer, ou pour les
condamner
? c’est sans doute parce que vous les condamnez,
es louer, ou pour les condamner ? c’est sans doute parce que vous les
condamnez
, et qu’ainsi cette condamnation les rend infâmes.
et pernicieuse ; et par conséquent c’est avec raison que l’Eglise la
condamne
comme un ouvrage du démon, et comme un reste de l
t de l’Empereur Constantin, et les saints Pères qu’il y cite, qui ont
condamné
les spectacles comme souillés d’Idolâtrie et de s
nt, quelques-uns de mes auditeurs (je dis quelques-uns, car je ne les
condamne
pas tous, à Dieu ne plaise) oubliant ces terrible
ue leur conscience s’élève contre eux par ses remords, et qu’elle les
condamne
hautement par des cris intérieurs ? N’ont-ils jam
» Jean de Salisbury Evêque de Chartres, qui vivait au même temps, ne
condamnait
-il pas aussi les Spectacles, quand il disait « Vi
temps-là n’étaient point exempts de superstition, et que l’Eglise les
condamnait
comme étant opposés à l’esprit du Christianisme.
l’Empereur Constantin jusqu’à celui des Comnènes, l’Eglise a toujours
condamné
les Spectacles comme étant indignes des Chrétiens
ns Pères de l’Eglise ont autrefois prononcées : et l’on ne doit point
condamner
un divertissement que les Papes, et les Princes C
iens Pères de l’Eglise ont autrefois prononcées ; et l’on ne doit pas
condamner
un divertissement que les Papes et les Princes Ch
montrer que « la représentation des Poèmes Dramatiques n’a jamais été
condamnée
comme contraire aux bonnes mœurs ; mais qu’elle f
ces, il est constant que les Lois tant civiles qu’Ecclésiastiques ont
condamné
les représentations des Poèmes Dramatiques, c’est
i ne les distingue que selon la différence de leurs vices, et qui les
condamne
tous selon qu’ils sont plus ou moins vicieux. Il
s’il est vrai que les Lois civiles et Ecclésiastiques, n’aient point
condamné
les Comédies et les Tragédies qu’on représente su
en condamnant absolument et sans distinction les Histrions, ont aussi
condamné
les Comédiens ; qu’ainsi le titre qu’il a mis à l
istrions, et de Scéniques : de sorte que lorsque nous trouvons qu’ils
condamnent
absolument, et sans distinction, les Scéniques, e
s, et les Histrions ; nous ne pouvons pas douter qu’ils n’aient aussi
condamné
les Comédiens, et les Joueurs de Tragédies. C’est
elever de cette infamie. Dissertation pag. 198. « Les lois
condamnent
la fille d’un Sénateur qui s’est abandonnée, ou q
te souillée d’idolâtrie ; Ensuite il montre que l’Ecriture sainte les
condamne
, en condamnant la concupiscence, la volupté et l’
onnées, qui étaient propres aux Bouffons, et vrais Histrions, étaient
condamnées
par tous les Sages au siècle de ces deux célèbres
e X. QUE L’EXTREME IMPUDENCE des Jeux Scéniques et des Histrions fut
condamnée
. Dissertation pag. 216. 217. et 218. «
cord que l’extrême impudence des jeux Scéniques, et des Histrions fut
condamnée
. Mais comme dès l’entrée du même chapitre il pass
r encore plus expressément, que les premiers Docteurs de l’Eglise ont
condamné
les Comédies, et les Tragédies : « A quoi me sert
à notre exemple ces badineries. » Tatien pouvait-il plus expressément
condamner
les Tragédies, qu’en condamnant celles d’Euripide
damner les Tragédies, qu’en condamnant celles d’Euripide ? Pouvait-il
condamner
plus clairement les Comédies qu’en condamnant cel
c’est un mystère d’impudicité, où rien n’est approuvé que ce que l’on
condamne
ailleurs ; et tout ce qu’il a de charmes pour pla
l qu’il est cité dans la Dissertation, pour montrer que Tertullien ne
condamne
que les Atellanes et les Mimes, et non pas les Co
et non pas les Comédiens ni les Tragédiens ; puisqu’aussitôt après il
condamne
en termes exprès les Comédies et les Tragédies, c
ndre ce qu’il n’est pas permis de dire ; puisque nous savons que Dieu
condamne
même toutes sortes de bouffonneries et de paroles
de la Dissertation a eu la hardiesse de dire que Tertullien n’a point
condamné
les Tragédies ni les Comédies, dans l’endroit mêm
condamné les Tragédies ni les Comédies, dans l’endroit même où il les
condamne
en termes exprès. Dissertation pag. 220. «
pour convaincre d’imposture l’Auteur de la Dissertation. Car peut-on
condamner
plus expressément les Tragédies qu’en ces termes
eur de la Dissertation s’est engagé de prouver, que S. Chrysostome ne
condamne
point les Comédies, et au lieu de le prouver, il
amne point les Comédies, et au lieu de le prouver, il dit que ce Père
condamne
les Histrions, les Farceurs et les Mimes. Peut-on
isonnement, il ne faut que faire voir au contraire que S. Chrysostome
condamne
les Comédies en termes formels. Car en effet S. C
rtes de Comédies. » Peut-on dire après cela que saint Chrysostome ne
condamne
pas les Comédies, puisqu’il les met au rang des c
efféminés. » Il paraît clairement par ces paroles que S. Cyrille ne
condamne
pas seulement les Mimes ; mais aussi toutes sorte
scholam iis qui eo provolant consessuri. » S. Basil. hom. 4. Hexam.,
condamne
aussi les Comédies, et les Tragédies, dont les Ch
ent l’Auteur de la Dissertation a-t-il pu s’imaginer que S. Basile ne
condamnait
point les Comédies, ni les Tragédies ? N’a-t-il j
a composé de la manière qu’on doit lire les livres des Gentils ? Il y
condamne
en termes exprès les Poèmes Dramatiques, comme ét
eur de la Dissertation n’a nulle raison de dire que ce grand homme ne
condamne
point les Comédies et les Tragédies ; car on verr
ne condamne point les Comédies et les Tragédies ; car on verra qu’il
condamne
tous les Spectacles généralement sans aucune exce
se si extravagante. Il faut donc qu’il avoue que Clément d’Alexandrie
condamne
la Comédie par la même raison pour laquelle il co
d’Alexandrie condamne la Comédie par la même raison pour laquelle il
condamne
généralement les Spectacles ; savoir parce que Jé
s’y font, des assemblées maudites ; et qu’ainsi Clément d’Alexandrie
condamne
le Théâtre, à l’égard de la Comédie, aussi bien q
25. « Mais les Auteurs du Talmud ou livre de la narration d’Enoch
condamnent
les Mimes, chansons, danses et bouffonneries, aux
distinction que les Conciles, et le droit des souverains Pontifes ont
condamné
la Scène de l’Antiquité « Mimos et saltationes q
1. du Concile de Constantinople qu’on appelle in Trullo, qu’il dit ne
condamner
que les Mimes et les danses de la Scène. Mais il
n a de mauvais mémoiresad ; car le 1. Concile de Milan qu’il allègue,
condamne
les Comédies si clairement, qu’il n’y a pas lieu
ies et Comédies, qui n’étaient pas encore en état d’être estimées, ou
condamnées
. » XIII. Réfutation. L’Auteur de la Diss
qu’on appelait Troubadours, ne fussent pas en état d’être estimées ou
condamnées
, ainsi que l’Auteur de la Dissertation le prétend
e nos Théologiens en condamnant les pièces de ces Histrions ont aussi
condamné
les Comédies. Dissertation pag. 228. « Et
ra sur ces deux points, et lui fera comprendre clairement que Salvien
condamne
les Tragédies, et les Comédies, aussi bien que le
des crimes de tous les Spectacles, et entre autres de lusoriis, qu’il
condamne
, il y comprend les Tragédies et les Comédies : Se
s exception, les Histrions et les Scéniques, ont aussi par conséquent
condamné
les Acteurs de Tragédies, et de Comédies. Dans la
du même Chapitre3. Réfut. du 9 chap., j’ai fait voir que S. Augustin
condamne
les Poèmes Dramatiques en termes exprès, lorsqu’i
es vices ne l’eussent souffert. J’y ai fait voir aussi que Tertullien
condamne
les Tragédies comme étant si criminelles, qu’elle
du même chapitre 9.12. Réfut. du 9 chap. j’ai montré ; que Tertullien
condamne
les Tragédies, et les Comédies, comme étant des r
ation du chapitre 10.1. Réfut. du chap. 10. j’ai fait voir que Tatien
condamne
les Tragédies, et les Comédies, comme des badiner
n du même Chapitre3. Réfut. du chap. 10., j’ai montré, que S. Cyprien
condamne
les Tragédies comme donnant de mauvais exemples p
chapitre 10.4. Réfut. du chap. 10. j’ai fait voir, que S. Chrysostome
condamne
les Comédies, comme étant des obstacles à la conv
10., j’ai représenté les raisons pour lesquelles Clément d’Alexandrie
condamne
les Comédies ; 1. parce que Jésus-Christ ne nous
Chapitre10. Réfut. du chap. 10., j’ai montré, que le Concile d’Elvire
condamne
les Comédies, en défendant aux filles et aux femm
épouser des Comédiens. J’y ai encore montré, que le Concile in Trullo
condamne
aussi les Comédies, en défendant aux Laïques de s
hap. 10. j’ai fait voir, que S. Charles Borromée Archevêque de Milan,
condamne
les Comédies, comme des choses qui sont illicites
pitre13. Réfut. du chap. 10., j’ai montré que le 1. Concile de Milan,
condamne
les Comédies comme des spectacles infâmes, en déf
-il possible qu’un Chrétien s’imagine que les SS. Pères n’aient point
condamné
les Comédies ? puisque les Païens mêmes les ont c
’aient point condamné les Comédies ? puisque les Païens mêmes les ont
condamnées
, comme je l’ai prouvé ci-dessus. Car dans la 1. o
.1. Observat. in cap. 2. de la Dissertation, j’ai fait voir que Solon
condamna
les Tragédies dès leur naissance, comme étant des
vation sur le même Chapitre2. Observat. in cap. 2. on voit que Platon
condamna
les Tragédies, en jetant au feu celles qu’il avai
d’un homme qui aime la sagesse. On y voit aussi que les Lacédémoniens
condamnaient
les Tragédies et les Comédies, pour ne point écou
., j’ai représenté les raisons pour lesquelles les Philosophes Païens
condamnaient
les Tragédies et les Comédies, 1. parce que leur
eur insolence. J’ai fait voir encore au même endroit, que les Romains
condamnaient
les Comédies, en notant d’infamie leurs Acteurs,
Comédies, en notant d’infamie leurs Acteurs, et que les Athéniens les
condamnaient
aussi comme indécentes, en défendant aux Aréopagi
Réfut. du chapitre 9., j’ai montré qu’Aristote, Aulu-Gelle et Martial
condamnent
les Comédiens comme étant des personnes vicieuses
cieuses. Et enfin dans la même Réfutation, j’ai fait voir qu’Aristote
condamne
les Tragédies et les Comédies en défendant aux en
leurs Dieux, que l’on y représentait avec beaucoup de mépris : il en
condamne
le sujet par le peu de respect qu’ils portaient à
l’Auteur de la Dissertation ajoute ensuite, que Tertullien n’a point
condamné
les Comédies, et n’a point chargé d’infamie ni d’
qui se réduit à deux points : le premier, que les anciens Pères n’ont
condamné
les Poèmes dramatiques qu’à cause de l’idolâtrie
uant au second point qui regarde la corruption des mœurs ; Tertullien
condamne
si clairement les Tragédies et les Comédies pour
approuver dans les paroles qui le représentent. » Au Chapitre 23. il
condamne
même les Cothurnes, c’est-à-dire les hauts soulie
outer à sa taille la hauteur d’une coudée. » Dans le Chapitre 25. il
condamne
les Tragédies, à cause qu’elles nous détournent d
Chapitre 9. Enfin Tertullien en condamnant les Spectacles en général,
condamne
aussi les Tragédies et les Comédies qui en sont u
du genre à l’espèceTertull. de Spectac. cap. 3. ». Or premièrement il
condamne
les Spectacles en général, parce qu’ils tirent le
s bonnes selon le sentiment de Tertullien. En second lieu, Tertullien
condamne
les Spectacles, à cause qu’ils sont opposés aux g
soit permise. Mais d’ailleurs celui qui assiste aux spectacles ne se
condamne-t
-il pas lui-même en fréquentant des personnes qu’i
les des crimes qui s’y commettent ; Il est évident que Tertullien les
condamne
en particulier par les mêmes raisons qu’il a cond
Tertullien les condamne en particulier par les mêmes raisons qu’il a
condamné
les spectacles en général. En troisième lieu Ter
l a condamné les spectacles en général. En troisième lieu Tertullien
condamne
les Spectacles, à cause des masques dont les Acte
exprime des passions de colère, qu’on feigne des gémissements. » Il
condamne
encore les Spectacles ; parce que les hommes s’y
puisqu’ils se masquent, et se déguisent en femmes ? Enfin Tertullien
condamne
tous les Spectacles, à cause du dérèglement des a
s assemblées de la Comédie, on ne peut pas dire que Tertullien ne les
condamne
point ; puisqu’il parle généralement de tous les
de la Dissertation a pu avoir la hardiesse de dire que Tertullien ne
condamne
point les Poèmes Dramatiques. Dissertation pag
rver la différence dont S. Cyprien se sert Cyprian. de Spectac. pour
condamner
les Mimes, et les Poèmes Dramatiques ; car à l’ég
ès par un Arrêt définitif, crient qu’on juge s’il y avait lieu de les
condamner
. Il suffit donc de lui dire que l’Eglise de Paris
en aise quand ils obtenaient ce qu’ils avaient désiré. Mais lorsqu’il
condamne
quelques désordres dans les représentations Théât
ue les Poèmes Dramatiques n’ont point été condamnés. Car n’est-ce pas
condamner
les Comédies et les Tragédies que de dire, « que
bon qu’on y était allé, on en revienne meilleur. » Un Comédien Païen
condamne
les Comédies ; et un Chrétien ne rougit pas de vo
rétien ne rougit pas de vouloir faire accroire que S. Augustin ne les
condamne
pas ? S’il objecte que Plaute ne condamne pas les
oire que S. Augustin ne les condamne pas ? S’il objecte que Plaute ne
condamne
pas les Comédies qui sont exemptes d’impureté : J
les Jeux de la Scène, et en notant d’infamie leurs Acteurs, ont aussi
condamné
les Comédies, et les Tragédies, puisqu’elles font
it que S. Augustin nous apprend en termes formels que les Romains ont
condamné
les Comédies et les Tragédies aussi bien que les
s propre pour détruire ce qu’il prétendait prouver ? Car n’est-ce pas
condamner
les Comédies, que de dire, qu’il y a beaucoup d’i
oup d’impureté dans les choses qui y sont représentées ? N’est-ce pas
condamner
les Comédies, que de dire qu’elles ne peuvent êtr
ieillards, pour marquer la vieille coutume de cette instruction qu’il
condamne
expressément dans le 1. livre de ses Confessions,
aux hommes cette infamie détestable avec plus de hardiesse ? Je ne
condamne
point les paroles que je considère en elles-mêmes
ue je considère en elles-mêmes comme des vases riches et précieux. Je
condamne
seulement la corruption du vin qui est enfermé da
en aise quand ils obtenaient ce qu’ils avaient désiré. Mais lorsqu’il
condamne
quelques désordres dans les représentations Théât
’ils avaient désiré, n’étaient point des désordres que ce grand Saint
condamnât
, y a-t-il dis-je rien de plus éloigné des sentime
nt en des actions vicieuses, n’est-ce pas un désordre que S. Augustin
condamne
? Ecoutons encore ce qu’il ajoute sur le même suj
Cor. 13. v. 6. » ; n’est-ce pas un désordre criminel, que S. Augustin
condamne
? Je conjure donc l’Auteur de la Dissertation de
l’Auteur de la Dissertation nous veut faire accroire que Lactance ne
condamne
pas ce qu’il condamne en termes exprès. Est-ce qu
tation nous veut faire accroire que Lactance ne condamne pas ce qu’il
condamne
en termes exprès. Est-ce qu’il s’est imaginé que
les parricides, les incestes, et toutes sortes de crimes. » Peut-on
condamner
en termes plus exprès non seulement les sujets de
ussi l’art du Poète, et l’exercice des Acteurs ? Voilà comme Lactance
condamne
les Comédies et les Tragédies en particulier : et
les Comédies et les Tragédies en particulier : et voici comme il les
condamne
en général, en condamnant tous les Spectacles « S
les Comédies de Térence au chevet de son lit, a vécu dans un désordre
condamné
par les Canons, et que la lecture de Virgile est
les Comédies de Térence au chevet de son lit, a vécu dans un désordre
condamné
par les Canons ». Voilà une plaisante manière d’i
UE LA REPRESENTATION des Comédies et des Tragédies ne doit point être
condamnée
tant qu’elle sera modeste et honnête. Disse
et selon leur fin, elles sont mauvaises, et qu’elles méritent d’être
condamnées
. Or il est facile de faire voir que selon leur ge
grand profit. C’est pourquoi les lois Civiles et Ecclésiastiques ont
condamné
ce métier et ceux qui en font profession, comme n
, si ce n’est qu’il monte sur le Théâtre pour le gain. » L’Eglise ne
condamne
pas moins la Comédie et les Comédiens : « Quant à
verses bouffonneries indignes de la sainteté des lieux, Innocent III.
condamna
ce désordre, sans condamner ces représentations,
es de la sainteté des lieux, Innocent III. condamna ce désordre, sans
condamner
ces représentations, ni même chasser ces jeux des
Auteur de la Dissertation prétend « qu’Innocent III. par ce Décret ne
condamna
que ce désordre, sans condamner ces représentatio
nd « qu’Innocent III. par ce Décret ne condamna que ce désordre, sans
condamner
ces représentations, ni même chasser ces jeux de
cile Provincial de Cologne tenu l’an 1549. sous l’Archevêque Adolphe,
condamne
en termes exprès « Percepimus Comœdiarum Actores
ire ce qu’il prétend prouver. Ainsi voulant montrer qu’on ne doit pas
condamner
les Tragédies, ni les Comédies, lorsqu’elles repr
onstant que ces représentations ont été rejetées dès leur origine, et
condamnées
par un Arrêt célèbre du Parlement de Paris. EXTR
’éclaircissement, qui dissipe ma crainte, M’interdit toute excuse, et
condamne
ma plainte. Mais de quelle arme enfin espérez-vou
justice, de générosité, de gloire, et d’honneur. Les sages Païens ont
condamné
ces dérèglements dans les Tragédies, et dans les
nt plus y paraître que sous le masque, et dans un déguisement qui les
condamne
. Il est certain néanmoins que depuis quelques ann
étiens, est que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être
condamnée
quand elle est innocente, quand elle est honnête.
s, que dans leurs circonstances, et dans leurs effets, on ne les peut
condamner
; Mais la question est si celles qu’on représente
Papes, et les Princes Chrétiens l’ont approuvé ; qu’il n’a point été
condamné
, et que c’est enfin l’opinion des doctes Chrétien
e à montrer. Car s’il les eût bien consultés, il aurait trouvé qu’ils
condamnent
la Comédie et les défenseurs de la Comédie. « Il
é serait encore plus avantageuse aux autres, que l’on ne pourrait pas
condamner
contre la résolution de ce grand Théologien, qui
’on a tiré le Canon Donare, dist. 86. » Ces paroles de saint Antonin
condamnent
les principales propositions de la Dissertation,
des Souverains Pontifes en condamnant la scène de l’antiquité, n’ont
condamné
que les Mimes, chansons, danses, et bouffonneries
à que dans le quinzième siècle les Tragédies, et les Comédies étaient
condamnées
. Ce qui détruit cette proposition fondamentale de
’Histrions ; et de Scéniques que les lois civiles, et Ecclésiastiques
condamnent
sans exception. Ce qui renverse de fond en comble
t Tertullien, S. Cyprien, Salvien, et S. Chrysostome se sont servis ;
condamne
formellement cette proposition fondamentale de la
u Paganisme, et une pure invention du Démon ; il les doit abolir ; il
condamne
cette proposition, qui fait la conclusion de la D
des Souverains Pontifes en condamnant la Scène de l’Antiquité, n’ont
condamné
que les Mimes, chansons, danses, et bouffonneries
e Diable se sert pour séduire les âmes. » Nous voyons que ce Concile
condamne
les Comédies, comme des choses qui blessent la re
: et de vider cette sale sentine de la République. » Le Père Ribera
condamne
dans ce discours toutes les propositions fondamen
les Théâtres des Chrétiens, et les Comédies qui y sont jouées ? » Il
condamne
cette proposition de la Dissertation pag. 89. « Q
le n’a point d’égard à cette distinction ; mais qu’il lui suffit pour
condamner
les uns et les autres ; qu’ils corrompent tous le
conjurant les Princes, et les Magistrats de bannir les Comédiens ; il
condamne
cette proposition de la Dissertation pag. 239. «
ins qui ont défendu notre religion. S. Cyprien dans l’Epitre à Donat,
condamne
comme coupables d’un crime énorme, ceux qui favor
et des Spectacles de Monseigneur le Prince de Conti. « S. Jérôme les
condamne
aussi de même expliquant ces paroles du Prophète
ande partie dans nos Réfutations. Ainsi par cette 2. preuve Comitolus
condamne
cette proposition de la Dissertation pag. 89. « Q
peut être défendue par la raison des Anciens Pères de l’Eglise. » Il
condamne
aussi tout ce que l’Auteur de la Dissertation dit
i se plaît à un péché mortel, pèche mortellement. Le Cardinal Caïetan
condamne
de même ces acteurs, et ces spectateurs de Comédi
octes interprètes de notre Religion. Tant de célèbres Théologiens ont
condamné
les Comédies déshonnêtes, et leurs Acteurs, comme
Père Guzman rapporte ensuite plusieurs passages des anciens Pères qui
condamnent
les Comédies, et les autres spectacles : On les p
le Père Guzman rapporte les Lois civiles, et Ecclésiastiques qui ont
condamné
les Comédies, et leurs Acteurs, comme nous les av
tation le discours entier du Père Mariana. Monsieur l’Evêque de Vence
condamne
en peu de paroles l’idée chimérique de la réforma
icence : Et rien n’y blesse plus ni l’esprit, ni les yeux. On y voit
condamner
les Actes vicieux, Malgré les vains efforts d’une
uente que sa raison ; qu’elle excuse mieux le parricide qu’elle ne le
condamne
; que sous ce désir de vengeance qu’elle découvre
et qu’elles sont bien plus disposées à imiter son injustice, qu’a la
condamner
. « L’homme est entièrement perverti depuis le p
outume vicieuse, la tradition perpétuelle de l’Eglise, qui a toujours
condamné
la Comédie, comme une chose tout à fait opposée a
entre les Comédies de ce temps-ci, et celles que les saints Pères ont
condamnées
dans le leur ; et que si celles contre lesquelles
, cette corruption qui fait que l’on aime ceux que les lois publiques
condamnent
; qu’on approuve ceux qu’elles méprisent ; qu’on
en donnant ce titre spécieux à cet ouvrage qui ne méritait que d’être
condamné
, il éluda par cette superstition les règlements q
ous voyez, ma Sœur, que S. Chrysostome, aussi bien que Tertullien, ne
condamne
pas seulement les Comédies à cause de leur dissol
dans les délices qui sont inséparables de ces spectacles ; qu’il les
condamne
, parce qu’on ne peut s’empêcher d’y donner de l’a
s son cœur aucun mouvement, ni aucune attache de cette sorte, sans la
condamner
, sans en gémir, et sans demander à Dieu d’en être
rostitution, à laquelle une sainte MartyreThéodore Martyre. avait été
condamnée
. Mais ce qu’il tire de là pour justifier la Coméd
, que l’on n’y saurait souffrir les objets déshonnêtes, est ce qui la
condamne
manifestement. Car on peut apprendre de cet exemp
i serait à table depuis le matin jusques au soir ; ce que le Prophète
condamne
par ces paroles : « Væ qui consurgitis mane ad eb
une espèce de lassitude qui a besoin d’être réparée. Cela suffit pour
condamner
la plupart de ceux qui vont à la Comédie. Car il
de pestilencecg : Soutenant que ces paroles dans leur véritable sens,
condamnent
ces actions et ceux qui y prennent part. On peut
e véritable illusion. Ces éclatantes lumières qui font les Chrétiens,
condamnent
si absolument toutes les vanités du siècle ennemi
à la cour des Grands : et qui fait le procès au mauvais riche, et le
condamne
aux enfers ; pour le punir de s’être habillé de p
violables, quelque artifice qu’on emploie pour les détruire, et elles
condamneront
devant le Tribunal de Dieu comme criminels, ceux
me, jusqu’au nôtre ; où nous voyons que les Comédies ont toujours été
condamnées
comme des restes du Paganisme, comme des choses p
Il n’y a point d’homme raisonnable, qui ne reconnaisse que l’Eglise
condamne
encore aujourd’hui les Comédies, et leurs Acteurs
ncore aujourd’hui les Comédies, et leurs Acteurs, de même qu’elle les
condamnait
dans les premiers siècles. Je conjure l’Auteur de
si excellent ouvrage. Mais outre que ces protecteurs de l’iniquité se
condamnent
assez eux-mêmes, puisqu’ils n’ont pas osé se décl
, la vérité, les bonnes mœurs, parmi tant d'autres erreurs du siècle,
condamnent
le plaisir du spectacle, afin que vous ne péchiez
êtes féroces, les forces du corps, la douceur de la voix ? peut-on en
condamner
l'usage, comme contraires à la gloire de leur aut
l'argent, l'ivoire, dont on fait les idoles, sont ses créatures ; en
condamne-t
-il moins l'infamie ? L'homme lui-même, qui commet
es que tinrent les Juifs contre Jésus-Christ, peut-on douter qu'il ne
condamne
toutes celles des impies ? les Païens valent-ils
aru que sous ce titre. Les Païens sont ici d'accord avec nous, ils le
condamnent
eux-mêmes. Les Censeurs, pour prévenir la corrupt
sur le théâtre ; on verra dans tout le reste de cet ouvrage qu'il le
condamne
par d'autres raisons qui ne regardent pas moins l
des gens qu'on déteste, et à qui on ne veut pas ressembler, c'est se
condamner
soi-même. Ce n'est pas assez de ne pas les imiter
nge ; toute fiction est auprès de lui une sorte d'adultère. Celui qui
condamne
toute hypocrisie approuve-t-il qu'on contrefasse
ple s’amuse à entendre un Baladin monté sur des treteaux, un Criminel
condamné
à un supplice douloureux, vienne à passer, le Bal
d’Homere, des Enfans, & des gens du Peuple. Platon a raison de le
condamner
: mais il est trop severe, s’il ne permet pas aux
reté des choses est jointe à l’obscénité des paroles (que de Comédies
condamnées
!) Si rerum turpitudini adhibetur verborum obscen
t assez d’attention au genre dans lequel Moliere écrivoit, quand il a
condamné
sa Versification & sa Prose. Cette Prose a un
ifier ces divertissements profanes. 2. Ce que dit l’Evangile pour les
condamner
. La justification des divertissements du monde, s
du monde. Ainsi quoi qu’il eût cette tolérance, il n’a pas laissé de
condamner
le bal, la comédie, et les autres divertissements
our justifier les divertissements profanes ; ce serait assez pour les
condamner
que Jésus-Christ leur a donné tant de fois une ét
vec les démons. Le grand principe qui nous fait voir que Jésus-Christ
condamne
les divertissements mondains, est qu’il a ouverte
ent de Tertullien, de saint Cyprien et de saint Jean Chrysostome, qui
condamnent
les Spectacles à cause de l’Idolâtrie que l’on y
e passer saint Antonin comme défenseur de la Comédie, quoiqu’il l’ait
condamnée
si fortement ? Enfin l’Auteur de la Réfutation s’
rie étant abolie depuis trois cents ans, la Comédie n’y peut pas être
condamnée
à cause de l’Idolâtrie. Le premier Discours comme
s questions : entre autres on répond que le Cardinal Tolet et Navarre
condamnent
les Académies de Jeu aussi bien que les Comédies,
l se sert de la comparaison des Peintures immodestes dont l’usage est
condamné
, parce qu’elle ramènent naturellement à l’esprit
monde sont différentes. Il y a des choses curieuses sur Platon, qui a
condamné
les Tragédies anciennes, parce qu’elles réveillai
’en a jamais eu, puisque l’Ecriture n’en dit pas un mot ; et il s’est
condamné
lui-même, en avançant au commencement de sa Préfa
et ce Philosophe appelle ces sortes de gens des Pestes d’Etat, et les
condamne
au bannissement et aux supplices. Si le dessein d
ui mènent de l’une à l’autre. L’Impiété qui craint le feu, et qui est
condamnée
par toutes les Lois, n’a garde d’abord de se rebe
fendre ses maximes, qu’en faisant la Satire de ceux qui les pouvaient
condamner
. Certes, c’est bien à faire à Molière de parler d
par la foule, d’autant plus librement, que Molière se plaint qu’on le
condamne
sans le connaître, et que l’on censure ses Pièces
ssister à des Comédies plus modestes que celles de Molièreh. Théodose
condamna
aux Bêtes des Farceurs qui tournaient en dérision
que le Saint Esprit anime, déclamer contre lui dans les Chaisesr, et
condamner
publiquement ses nouveaux blasphèmes ? et que peu
pratiques : il a châtié ses partisans : il a ruiné ses écoles : il a
condamné
hautement ses maximes : il l’a reléguée dans les
ociété humaine : l’usure, la médisance, l’impureté, ne sont-elles pas
condamnées
par toutes les lois ? Il y a pourtant plus de lib
ter à qui des deux il a donné la préférence. Ce mot ingénieux, qui ne
condamne
pas directement Louis XIV, dont cet habile courti
excellons, qu’on excommunie des personnes gagées par le Roi, que l’on
condamne
comme impie un spectacle représenté dans des couv
& sa causticité, mérité d’être chassé de l’Abbaye de Saint Denis,
condamné
par un Concile, excommunié par le Pape, qu’il s’a
e Sabellianisme, qui mene au Déïsme. C’est très justement qu’il a été
condamné
par le Concile de Soissons, et par celui de Sens,
e enfin opéra, le prisonnier d’abord involontaire, prit son parti, se
condamna
à la même pénitence, & tous deux passerent le
sement, puisque c’étoit le vrai nom du héros. La Réligion ne peut que
condamner
cette idée, parce qu’elle défend sévérement la ca
rtreux, trop dévot pour aimer la comédie, qui vraisemblablement l’eût
condamné
; mais il imagina de faire étudier les comédies d
qui l’adoptoit jouissoit de la dispense ; celle qui le refusoit étoit
condamnée
en punition, à célébrer la fête, & à faire le
pris l’allarme, les vieillards, les gens sages, les gens de bien ont
condamné
le théatre ; les jeunes gens, les scenomanes, les
. Caffaro, Théatin, qui est à la tête du théatre de Boursaut, quoique
condamnée
par l’Archevêque de Paris, & rétractée par so
fut interdit de l’entrée au chœur, & aux assemblées du Chapitre,
condamné
à demeurer trois mois dans un Seminaire, jeûnant
deformabat. j [b] Car j’ai toujours accusé d’impertinencek ceux qui
condamnent
ces ébattements, et d’injustice ceux qui refusent
is, principal du collège de Guyenne. i. [NDE] Comprendre : que je ne
condamne
pas pour les jeunes enfants de bonne maison. j.
u’ils présentent encore aujourd’hui tous les dangers qui les ont fait
condamner
par les saints Pères. Plus irréligieux que ceux d
voir. Ne vous étayez point de l’autorité de certains casuistes qui ne
condamnent
pas absolument les plaisirs du théâtre ; n’oublie
e les saints Pères, que Bossuet, que saint François de Sales, qui les
condamnent
? Si un aveugle conduit un autre aveugle, dit l’E
e que les Chrétiens aient des sentiments différents, lorsque l’Eglise
condamne
des choses aussi marquées que le sont les Comédie
omédiens et leurs spectacles. Faut-il qu’on ose dire que l’Eglise n’a
condamné
les Comédies, qu’à cause de l’Idolâtrie et des in
uit de mauvais effets sur plusieurs personnes, ne pourront-ils pas la
condamner
absolument ? L’Eglise avouera si l’on veut qu’on
est mauvaise, et que presque toutes les mêmes raisons qui l’ont fait
condamner
autrefois par les Pères et par les Conciles, doiv
ndamner autrefois par les Pères et par les Conciles, doivent la faire
condamner
telle qu’elle est aujourd’hui. C’est, Messieurs,
’Eglise jusqu’à présent, et pour quelle raison les Pères ont toujours
condamné
la Comédie. I. Division du discours Pour don
nager des femmes pour représenter les Naïades, ce que S. Chrysostome
condamna
avec tant de zèle et d’éloquence, comme nous verr
e ce n’était là qu’un effet de la licence du peuple, Licentiam vulgi,
condamnée
par les honnêtes gens, et qui faisait même rougir
plicité ne laissait pas d’avoir un air de propreté que S. Chrysostome
condamne
. Il fallut donc défendre aux Comédiennes de prend
r presque tous les Temples des faux Dieux. On commença par démolir ou
condamner
ceux des Villes, et Arcadius ordonna qu’on détrui
s Comédies d’aujourd’hui sont souillées par ces sortes de paroles que
condamne
l’Apôtre ; mais remarquez, je vous prie, ces dern
s actions de grâce de la Comédie après y avoir assisté. Saint Jean ne
condamne
pas moins S. Joan[nes]. 2. 16. les vains plaisirs
de. Je ne parcourrai pas les autres endroits du nouveau Testament qui
condamnent
la Comédie. Toutes les maximes de l’Evangile y so
Chrétiens avaient en horreur toutes sortes de spectacles. Tatien les
condamne
par leur seule inutilité, et Théophile L. 3. ad A
suffisait pour justifier les pompes du monde, il ne faudrait pas même
condamner
l’Idolâtrie, puisque l’encens, le feu, les victim
étant ainsi dissipée, Tertullien passe aux raisons qui doivent faire
condamner
généralement tous les spectacles « Nunc interposi
équent coupable d’une inutilité et d’une perte de temps considérable,
condamnée
parmi les Chrétiens aussi bien que la concupiscen
tion, poursuit-il, qui fait que l’on aime ceux que les lois publiques
condamnent
, qu’on approuve ceux qu’elles méprisent, qu’on re
ur réduire en peu de mots toutes les autres raisons de Tertullien. Il
condamne
le Théâtre, parce qu’il est incompatible avec la
i bien appliquées à notre temps, nous objectera-t-on encore qu’il n’a
condamné
les spectacles qu’à cause de l’idolâtrie, et que
a peine de le lire, il n’aurait pas eu la hardiesse de dire, qu’il ne
condamne
que les jeux qui se célébraient en l’honneur des
pauvres manquent du nécessaire. Enfin lorsque Dieu, dont la doctrine
condamne
à haute voix ces excès, est blasphémé par des peu
Laïques qui ont été les Acteurs de la représentation, le Concile les
condamne
à trois ans de pénitence publique, un an hors la
le ramassa dans son Nomocanon les Lois Ecclésiastiques et Civiles qui
condamnent
les spectacles du Théâtre, et il montre en trois
du douzième siècle, dit en peu de mots sur le même Canon que l’Eglise
condamne
généralement les danses, les farces, les momeries
visible qu’ils doivent approuver en certaines suppositions, ce qu’ils
condamnent
dans la pratique commune. Cette maxime, qui peut
nt au mal, qu’ils ont toujours passé pour infâmes, et sur cela il les
condamne
généralement, comme ils ont été condamnés durant
mas soit favorable aux Comédiens, ni à ceux qui vont à la Comédie. Il
condamne
au contraire bien précisément le prétendu Théolog
dans l’examen des Comédies d’à présent, puisque l’Eglise de Paris les
condamne
, jusqu’à déclarer les Comédiens excommuniés, il s
fenser Dieu ; puisque le jeu devient mauvais, par cela seul qu’il est
condamné
par l’Eglise. Après cette décision si juste et si
rapporte au jeu, seront donc toujours en état de péché. Et il faudra
condamner
de même ceux qui se servent de leur ministère, ou
mps défendus, il n’est pas difficile de montrer qu’elle est nettement
condamnée
par saint Thomas. Premièrement, est-il de Comédie
emière condition que Saint Thomas exige, la Comédie d’aujourd’hui est
condamnée
. Nous pouvons même dire qu’il ne paraîtra peut-êt
es, pour être jugés toujours criminels par les Scholastiques, et pour
condamner
ceux qui assisteraient à leurs jeux ; saint Anton
qu’ils rouvrissent leur Théâtre. » Cela n’empêcha pas que l’Eglise ne
condamnât
tous ces Comédiens, et que plusieurs Conciles ne
de leur refuser de quoi manger, quoiqu’ils ne fassent que passer ; il
condamne
celui qui n’obéira pas à ce Décret, à restituer à
ns quelques Paroisses de la Campagne. Un autre abus aussi pernicieux,
condamné
dans un Synode de Paris tenu en 1557. par Eustach
ts, sur les Théâtres publics ou dans les Places : mais le même Synode
condamne
les spectacles publics des Histrions, et les repr
attachait des Images qu’on portait aux maisons des Laïques, abus déjà
condamné
par un Synode de Paris de l’an 1557. ainsi que no
êmes, comme parle l’Apôtre, un spectacle d’étonnement au monde qu’ils
condamnent
, de joie aux Anges qu’ils imitent, et d’exemple a
es enfants, qu’il est impossible de justifier la Comédie sans vouloir
condamner
l’Eglise, les Saints Pères, les plus Saints Préla
Clergé de France, firent dans leur Discipline, un article exprès pour
condamner
tous les spectacles Discipl[ine]. des Protest[ant
erniers Auteurs, non plus que le Rituel de Paris, imprimé en 1654. ne
condamnent
la Comédie qu’à cause de l’Idolâtrie ou des nudit
les pièces de Théâtre contiennent des maximes d’amour, et d’ambition
condamnées
par l’Evangile : Que la Comédie n’est pas compati
sprit de prière, et d’exciter les trois concupiscences que saint Jean
condamne
. Ne pouvons-nous pas joindre à tout cela la défe
ies et des Tragédies dans toutes les règles du Théâtre. Pourquoi donc
condamner
ailleurs ce qu’on approuve dans ces Collèges ? Ré
udit les hommes qui osent prendre des habits de femme, ne doit-on pas
condamner
davantage ceux qui deviennent pour ainsi dire tou
à ceux qui exercent cet art, il faut croire que ces lois en ont voulu
condamner
l’abus et non pas l’usage : et à le prendre à la
la communauté des femmes dans sa République ; laquelle opinion a été
condamnée
universellement de tous les Magistrats comme pern
ux qui rient pour rien et sans aucun sujet légitime : Si on veut donc
condamner
le plaisir de la Comédie, il faut aussi désapprou
vent, comme un juste salaire de leur travail. Mais en ce point ils se
condamneront
eux-mêmes. Y a-t-il personne au monde qui fasse r
ersité n’est-ce point, dit un grand personnage, d’aimer ceux que l’on
condamne
, de mépriser ceux que l’on applaudit, d’adorer l’
ous n’avez que cette voie pour vous distinguer. Le nombre de ceux qui
condamnent
Jansénius, est trop grand, le moyen de se faire c
, et qui trouve partout des sujets de se fâcher ? Ce n’est pas que je
condamne
sa mauvaise humeur ; il a ses raisons, c’est un h
e. J’en pourrais dire autant des romans, et il semble que vous ne les
condamnez
pas tout à fait. « Mon Dieu, Monsieur, me dit l’u
de ce qui s’est fait à Rome dans l’affaire des cinq propositions fut
condamné
au feu par un arrêt du 4 janvier 1664, à qui Raci
vectivoient. Pensées diverses. Sur les Spectacles. L’Eglise
condamne
les comédiens & par conséquent les comédies.L
ise condamne les comédiens & par conséquent les comédies.L’Eglise
condamne
les comédiens, & croit par-là défendre assez
s par la loi de l’Evangile. Les saints Peres ont dans tous les temps
condamné
les spectacles.Ce n’est pas avoir lû les Peres, q
t à l’esprit ce qu’elles expriment, & que pour cette raison on en
condamne
l’usage, combien plus sera-t-on touché des expres
Conciles & des Peres, qui depuis le premier jusqu’au dernier, ont
condamné
les spectacles, & employé la ferveur de leur
& d’applaudir, on apprend à ne rougir de rien. Comme l’Evangile
condamne
les spectacles, & comment.On se trompe de dir
; comment.On se trompe de dire que l’Evangile, que l’Ecrire sainte ne
condamnent
nullement ces divertissemens profânes : ils ne le
s ne les défendent pas en particulier, quelque part, parce qu’ils les
condamnent
par-tout ; car, que signifie autre chose, tout ce
acles, & de combattre les prétextes qu’on allégue pour ne les pas
condamner
; ainsi je vous ferai voir dans ma premiere Parti
s-Christ ; & quand vous entendez les principes qui nous portent à
condamner
les spectacles, pouriez-vous encore chercher des
aindre. Voilà les raisons qu’on apporte d’ordinaire aux principes qui
condamnent
les spectacles. Preuves de la premiere Soudivisi
e l’esprit de Jesus-Christ, n’en doivent pas être moins prompts à les
condamner
par leurs discours & leurs exemple. Ils doive
ectacles en général, ceux de nos jours comme ceux de leur siécle, que
condamnent
les saints Docteurs, puisque les raisons qui les
amnent les saints Docteurs, puisque les raisons qui les ont engagés à
condamner
les uns conviennent également aux autres ; &
une passion ; dans un temps où l’auteur le plus célebre d’Athènes fut
condamné
par un jugement public, pour avoir mis sur la scè
; de recueillement, ce signe de pénitence & de mortification vous
condamne
. Ah ! vous ne seriez pas là, si vous l’aviez dans
nt in fronte, undè discederent si haberent in corde. Il faudra donc
condamner
tous les amusemens & les plaisirs.Mais quelle
orale, me direz-vous sans doute ! il faudra donc sur les mêmes régles
condamner
& proscrire tous les amusemens, tous les plai
l’art de nourrir, d’entretenir une passion que toutes les bienséances
condamnent
. C’est-là l’héroïsme du théâtre de nos jours, c’e
vous voulez vivre en J. C. pour régner un jour avec J. C. L’Eglise
condamne
les comédiens & par conséquent les comédies.
ser ou justifier la comédie. Les saints Peres ont dans tous les temps
condamné
les spectacles. Les spectacles excitent les passi
tous côtés. Les spectacles pernicieux à l’innocence. Comme l’Evangile
condamne
les spectacles, & comment. Les personnes mond
oudroit-on être au théâtre frappé subitement de mort ? Il faudra donc
condamner
tous les amusemens & les plaisirs. Introducti
érance d’amendement. » Il est vrai que c’est une des 65. Propositions
condamnées
par le Pape. Mais ce que l’on me mande être arriv
ar on dit que soutenant dans une Thèse quelqu’une de ces Propositions
condamnées
, sur ce qu’un des Disputants objecta le Décret de
as. Il fait aussi ses efforts pour établir que les saints Pères n’ont
condamne
les Spectacles des Païens, qu’à cause de la seule
cette Lettre ; les uns faisant voir que la Comédie avait toujours été
condamnée
, d’autres que l’Auteur de cette Lettre est un fau
» Il est bien vrai que l’on y rend l’avarice ridicule, et que l’on y
condamne
les débauches des jeunes gens et leurs folles amo
leur dessein est plutôt de rendre le vice aimable que honteux. Ils ne
condamnent
effectivement et ne rendent ridicules que certain
et la Sorbonne, qui lui est redevable de tant de bienfaits, peut-elle
condamner
ce qu’approuvait ce grand Homme, sans donner une
en, et pour citer des autorités encore plus grandes, les Conciles ont
condamné
le plus justement du monde les Spectacles de leur
e pareils je suis persuadé que les plus Libertins de notre Siècle les
condamneraient
aussi ; mais aujourd’hui que la Comédie est non s
cet article ? R. Il ne le peut, 1°. Parce que tous les SS. Pères ont
condamné
les spectacles, et ceux mêmes qui avaient été réf
que l’Eglise qui après tout doit être la grande règle d’un Chrétien,
condamne
les spectacles, et regarde comme excommuniés ceux
n’est pas un mal réel. En est-on moins dans l’erreur ? Et ce que Dieu
condamne
parce qu’il est mauvais, peut-il jamais être excu
ersonnes qui en ont, comme nous le verons dans ce qui suit : Faut-il
condamner
les personnes, qui par les devoirs de leur état n
s personnes. (Cependant tous les théologiens, d’un commun accord, les
condamnent
hautement.) « Ils ne sentent rien, disent-ils, e
témoignages osera-t-on dire encore qu’il n’y a que des imbécilles qui
condamnent
la comédie et qui trouvent mauvais qu’on y aille
moignages par une remarque de Bossuet sur les SS. Pères, qui tous ont
condamné
le théâtre. « C’est lire trop négligemment les Pè
de, lois ecclésiastiques et civiles, autorité sacrée et profane, tout
condamne
le théâtre, tout parle de ses fruits amers pour l
peut être ainsi. Il est prouvé jusqu’à l’évidence que le théâtre est
condamné
, le fidèle catholique ne peut donc pas le fréquen
se, il vous approuve, il applaudit à votre conduite, mais la foi vous
condamne
. Quel jugement terrible n’aurez-vous donc pas à c
Elemosina, etc. non seulement il blâme en général le théâtre, mais il
condamne
en détail chacun des ressorts que les passions fo
le défend de faire : « Prohibet spectare quod prohibet geri. » Elle a
condamné
tous les spectacles, en condamnant l’idolâtrie qu
u’on avait imité à Carthage, qui n’est que celui de l’Opéra, et qu’il
condamne
aussi sévèrement. Puis revenant aux folies de la
de vos spectacles ; nous en connaissons l’origine profane, et nous en
condamnons
les douceurs empoisonnées : « Abstinemus, a spect
issime valent. » Il parle d’abord des cruautés des Gladiateurs, qu’il
condamne
avec raison, comme le comble de l’inhumanité, qui
lâché en effet sur la matière des spectacles, cite ce passage, qui le
condamne
? Tom. 1. Tract. 11. Q. 21. S. Léon Pape.
ervatif ; mais on ne peut détailler ces jeux dangereux, même pour les
condamner
; l’idée même d’amusement en est l’amorce et le v
espèce, des traits d’histoire bien choisis, etc. Après avoir vivement
condamné
(C. 7.) la folie de Néron pour le théâtre, il ajo
a toujours entretenu & l’entretiendra toujours dans le public. On
condamne
toujours le Théatre, & toujours on le frequen
p;c. feroient voir le Théatre, quoique son nom fût inconnu aux Juifs,
condamné
dans son objet, dans son esprit, dans ses circons
ntre les Prêtres), abusant du pouvoir que le Prince leur a donné, ont
condamné
à mort ce jeune Guebre. Autre erreur, les Prêtres
utre erreur, les Prêtres des faux Dieux n’ont jamais eu le pouvoir de
condamner
à mort dans l’Empire Romain, & jamais avant l
ed propter conscientiam. Le Gouverneur dit, en parlant de la personne
condamnée
: A ses illusions si le Ciel l’abandonne, le Ciel
t leur service aux Princes qui veulent les soudoyer ; car voudroit-il
condamner
toute sorte de guerre, & tous les soldats qui
e d’un fils qui se rend volontairement forçat à la place de son pere,
condamné
aux galeres. Ces traits sont beaux, mais non sans
océdure comme complices. Les Juges crurent le crime assez prouvé pour
condamner
le pere à être rompu vif, ce qui fut exécuté avec
ertitude, de probabilité ou de tolérance ? Que Calas soit bien ou mal
condamné
, les dogmes de la présence réelle, de la primauté
-ils moins certains ? C’est si l’on veut, une injustice, que le Roi a
condamnée
& réparée autant qu’il est possible ; mais es
rricide sur la roue. Ce n’est pas la religion, c’est le crime qu’on a
condamné
; la créance ne lui a pas fait donner un coup de
t fait mourir pour venger l’assassinat de son fils Oreste ? Ayant été
condamné
à mort, Pilade son ami s’offre pour mourir à sa p
publique. C’est ce qui le rend si pernicieux & l’a toujours fait
condamner
, parce que c’est une école de vice & d’irréli
tobule et Marianne ne peuvent les excuser devant Dieu. Car l’Eglise a
condamné
les jeux de théâtre dans tous les siècles, ainsi
ts : Tout cela ne suffit pas pour les justifier, puisque l’Eglise les
condamne
et les a toujours condamnés et qu’elle veut qu’on
donner à ceux qui les représentent ; puisque tout au contraire il les
condamne
lui-même avec S. Augustin peu après les paroles q
mmes se travestissent en femmes, ou les femmes en hommes, suffit pour
condamner
cette pratique, excepté dans le cas de nécessité,
gieux par le seul endroit que la vie à laquelle leur état les engage,
condamne
les maximes et la conduite des gens du siècle. La
doivent pas moins regarder les Religieux que les Religieuses, et qui
condamnent
encore plus ceux dont il s’agit dans l’espèce pro
pour justifier les alarmes du zèle, et la délicatesse de la vertu, et
condamner
la témérité de ceux qui osent tendre ce piège, co
servez les vices, tandis que tous les honnêtes gens vous méprisent et
condamnent
votre négligence et votre frivolité : « Necessita
nt. Ce second n’ayant pas plus d’effet, un troisième du 14 août 1442,
condamna
ces Acteurs à plusieurs jours de prison au pain e
ect pour sa toque royale, ses mortiers, ses drapeaux, son écusson, le
condamna
aux verges par tous les carrefours, à la confisca
ibération des Avocats, fit rayer du tableau le nom du sieur la Mothe,
condamna
le livre au feu, et fit entrer le Bâtonnier dans
Jansénisme et le théâtre ? Il le connaît mal ; Port-Royal a toujours
condamné
le théâtre, et Racine dans deux lettres a fait co
cond Mémoire à consulter. C’est une critique indécente de tout ce qui
condamne
la comédie et frappe sur les Acteurs, ce n’est qu
nts Pères, les lois Romaines, les canons, les Magistrats, les avaient
condamnées
. Sans doute il n’eût pas fait ce beau compliment
cution de son entreprise, demanda que le dévot Ramponeau fût du moins
condamné
à lui payer le dédit de cent pistoles, et des dom
il convient de bonne foi, « que la religion n’approuve point et même
condamne
les spectacles, qu’on ne peut y assister quand un
mme en Hollande, etc., quoique rejetée dans d’autres, et généralement
condamnée
par l’Eglise ; ce qui appuyant son raisonnement,
e temps qu’il les laisse représenter, il maintient les canons qui les
condamnent
, les Prédicateurs et les Confesseurs qui les pros
le voit dans les Œuvres de Cassiodore, Ministre de Théodoric, qui la
condamne
sévèrement. Elle expira avec leur empire, elle fi
: un héritier succède aux charges comme aux avantages. Des arrêts qui
condamnent
au bannissement, au fouet, à la confiscation, à l
ssion, le mauvais exemple, il a la foiblesse de faire ce que lui-même
condamne
. Video meliora proboque deteriora sequor. La pe
r . Ceux qui fréquentent les spectacles, les comédiens eux-mêmes, les
condamnent
au fond du cœur, & approuvent ceux qui n’y vo
plus avare rend en secret justice au vice & à la vertu, & se
condamne
lui-même : il ne faut que le livrer à sa propre c
était si persuadé de cette vérité, dans la primitive Eglise, que l’on
condamnait
pour lors toutes sortes de jeux et d’exercices pu
Saint Bernard, qui vivait dans le douzième siècle, n’a pas laissé de
condamner
les représentations théâtrales, quoiqu’elles fuss
i chrétienne. Nous avons le concile d’Arles de l’an 314, lequel ayant
condamné
les fidèles qui conduisaient les chariots dans le
êter à des vétilles, et être susceptible de petits scrupules que d’en
condamner
l’usage dans des Ecoliers qui étudient les belles
yer son nom et ses vers pour autoriser une chose qu’il a expressément
condamnée
dans la même page d’où les Vers que je viens de r
n cet endroit de sa seconde partie, après un fort long discours où il
condamne
amplement le jeu de dés, il vient à d’autres mati
ulement la dissertation n’y sera pas appuyée, mais encore elle y sera
condamnée
en tous ses chefs. Page 23 [« Lettre d’un théolo
ces honnêtes ; il suffit qu’il y en ait souvent de mauvaises, pour le
condamner
. Le Ch. Vous ignorez sans doute, en parlant ai
société humaine. L’usure, la médisance, l’impureté ne sont-elles pas
condamnées
par toutes les loix ? Il y a pourtant plus de lib
Ils se gardent bien de flétrir l’opéra, qu’ils fréquentent, & de
condamner
les spectacles, qui leur donnent tant de plaisir.
ient constamment blessées. Les excès de la comédie la firent toujours
condamner
par les gens de bien, même païens. Les premiers c
des jeux au peuple. Ce n’est donc pas ici un reclus misanthrope, qui
condamne
ce qu’il n’a jamais vu. Il est encore certain que
morale est bien plus pure, ce Saint fait l’éloge de la libéralité, et
condamne
la prodigalité (L. 1. C. 30. L. 2. C. 21. qui son
nane. » Dans les observations sur le Prophète Agée (Tom. 5.) ce Saint
condamne
, comme une folle dépense, la somptuosité des bâti
Ambroise a faits sur la pureté, on sent bien avec quelle sévérité il
condamne
la licence des peintures, la superfluité des paru
ns que l’on a rapportées jusqu’à présent, pour prouver que la Comédie
condamnée
n’est point celle qui existe aujourd’hui, n’ont j
tation du Jugement de Pâris, étoit suivie de l’exposition d’une femme
condamnée
à mort, & à une prostitution dont la pudeur n
présenté dans les Conciles la nécessité de le régler plutôt que de le
condamner
en général, & que la sévérité des Conciles n’
tes & aussi épurées que nos bonnes Comédies, ont été de tous tems
condamnées
pour leur seule inutilité. Du nombre de ces Ecriv
raison, sans doute, puisqu’ils ont passé leur vie dans une occupation
condamnée
: mais n’est-il pas bien cruel que les Auteurs de
es défenseurs d’un Spectacle qu’ils ne fréquentent pas, qu’ils voyent
condamné
dans la plupart des Livres qui se présentent à le
ute la vivacité de son zèle & toute l’impression de la vérité. Il
condamne
les romans sans restriction, & ne parle plus
ou si quelquefois ils l’y laissoient paroître, ce n’étoit que pour la
condamner
& la punir. Encore même n’y mettons-nous pas
sé le spectacle, il a fait composer pour S. Cyr. Plusieurs Auteurs ne
condamnent
que la comédie licencieuse, &c. C’est ce qu’o
gne que le vice, & dans son système le théatre réel est justement
condamné
, puisqu’on n’y trouve aucun des traits qui rendro
dans les idées chimériques de la possibilité de la perfection, il le
condamne
sans restriction dans la réalité. Un extrait de c
s’y soutiendroient ! Les Sainte n’en ont pas ainsi jugé, ils ont tous
condamné
le théatre ; leur préférera-on les idées licencie
osé un traité contre les spectacles. La force de la vérité lui a fait
condamner
l’esprit & les usages de sa Société. Il dit a
t ne fuit pas, mais cherche l’occasion du péché, ce que tout le monde
condamne
: car qui aime le péril y périra. Cet Auteur, à l
s et saint Charles Borromée « approuvent les Comédies modestes, et ne
condamnent
que les déshonnêtes et les impies ». La condition
s déshonnêtes et les impies ». La condition supposée. Rien n’est tant
condamné
par ces grands Saints que les Comédies ordinaires
la Comédie. Monsieur « vit à son aise Page 25. ». Donc il ne doit pas
condamner
la Comédie. « Il vit avec une honnête modération.
. Mais « certains Docteurs, ou du moins qui se piquent de l’être, les
condamnent
». Ils ont grand tort : mais certains ne condamne
nt de l’être, les condamnent ». Ils ont grand tort : mais certains ne
condamnent
-ils point les jeux de hasard ? Ou parce que des A
in et ce qui l’accompagne n’y règne pas. Il demande ou qu’on cesse de
condamner
la Comédie, ou qu’on la laisse passer avec ces ch
on ne ferme point le Théâtre, c’est par pure politique ; et si on le
condamne
, c’est par principe de Religion. Ce serait une ch
ce qu’on ne perce pas la langue aux Comédiens, ou de ce qu’on ne les
condamne
pas au feu, il conclut qu’ils ne sont ni blasphém
s admirez ; enfin, vous faites vous-même le rôle du comédien que vous
condamnez
si sévérement. Le danger que vous courez est donc
pposer*. Cependant j’ai peine à croire que les Pères de l’Eglise, qui
condamnèrent
les Troubadours, les Jongleurs, & les pièces
oltaire ; car on n’ignore pas qu’il est l’auteur de l’épître que vous
condamnez
. Vous deviez réfléchir longtemps sur le choix d’u
es pour l’entretien du Théâtre, que l’Eglise et les Pères ont si fort
condamné
dans tous les temps. Est-il possible, disais-je e
r des louanges aux plus fins empoisonneurs des âmes, pendant que l’on
condamne
aux plus rigoureux supplices un homme pour avoir
rutus ne manquait pas de tendresse pour ses enfants, cependant il les
condamna
à la mort, parce qu’ils avaient voulu remettre le
runte des sujets étrangers, pour remplir le vide de ses scènes. Je ne
condamne
pas absolument toutes sortes d’épisodes ; ils son
qui demeurent sans récompense. La même règle doit être observée pour
condamner
le vice, qui demeure heureux et impuni : Il faut,
es incertitudes, pour faire comprendre aux spectateurs, que la raison
condamne
ces crimes, et que ce sont des effets de la natur
oreilles délicates. Ce n’est donc pas l’état des Comédiens qu’il faut
condamner
, ni la Comédie en soi ; on ne peut condamner que
des Comédiens qu’il faut condamner, ni la Comédie en soi ; on ne peut
condamner
que l’excès, et l’abus qu’on en fait ; car si tou
être, pour exposer le pauvre Socrate à la risée des Athéniens, qui le
condamnèrent
enfin à boire de la Ciguë, quoiqu’il fût le plus
es humaines, pour commettre un adultère. Il n’est pas nécessaire pour
condamner
les Comédies, qu’elles soient déshonnêtes, et rem
la complaisance des Magistrats ne dispense pas de la Loi de Dieu, qui
condamne
tout ce qui porte au péché : Or il est visible qu
re proscrire, et les passages des conciles et des saints Pères qui la
condamnent
unanimement, dont il fait une chaîne perpétuelle
Le P. Senaut, Général de l’Oratoire, dans son Monarque (L. 4. C. 7.),
condamne
la comédie dans les Princes, comme dans les sujet
éloquente que sa raison, elle excuse plus le parricide qu’elle ne le
condamne
; sous ce désir de vengeance qu’elle découvre, on
père, et qu’elles sont plus disposées à imiter son injustice qu’à la
condamner
. » Il regarde comme impossible, depuis le péché o
u long des spectacles, de la poésie, de la musique et de la danse, et
condamne
absolument le théâtre, comme contraire au bien de
t. 43. Il décrit au long les différentes espèces de spectacles, qu’il
condamne
d’une manière très pathétique ; il les compare au
ais d'action si sévèrement détestée par les Chefs des Fidèles, ils la
condamnaient
sans recevoir d'excuse ni de prétexte. Mais afin
ous découvrir eux-mêmes quels ont été leurs sentiments, quand ils ont
condamné
les Jeux du Théâtre. Tertullien le plus sévère, c
rrompu la sainteté pour les rendre criminelles. Nos Livres sacrés ont
condamné
tous les Spectacles, en condamnant l'idolâtrie qu
des ouvrages qui devaient être employées au culte des faux Dieux : il
condamnait
d'impiété l'Architecte qui en donnait le dessein,
ient convenir aveca la joie sainte de l’esprit Chrétien, pourquoi les
condamnerait
-on en certaines personnes, et en certains lieux,
timents de l’Eglise, et à l’esprit de leur profession. Car Angélus ne
condamne
pas la danse aux jours de Fêtes, pourvu qu’on ne
pourrait vous donner lieu de penser que nous tolérons ce que l’Eglise
condamne
, et que nous condamnons avec l’Eglise. Nous étion
ieu de penser que nous tolérons ce que l’Eglise condamne, et que nous
condamnons
avec l’Eglise. Nous étions assez occupés à ramene
Theod. de pag. l. 2. & 3..Il est certain que l’Eglise n’a jamais
condamné
indifferemment les Pieces de theatre, elle n’a ja
e seroit un caprice bien injuste de respecter les dernieres, & de
condamner
les premieres ; l’Eglise n’est pas capable de cet
mesmes extremitez, si nous le quittions avec la mesme perfidie ? Dieu
condamne
Jerusalem à souffrir tous ces malheurs, parce que
mme sur Jerusalem ; & si nos crimes nous rendoient dignes d’estre
condamnez
avec ces miserables Provinces, pourquoy cette Sen
s d’appaiser la colere de Dieu. Si vous entendez parler de ces Pieces
condamnées
avec tant de justice par les Peres, ayez autant d
ne pouvoit plus disputer contre la necessité de la Grace, sans estre
condamné
d’heresie, se servit de plusieurs subtilitez pour
qu’elles prennent le party du vice en apparence ; on ne peut pas les
condamner
comme mauvaises, parce qu’elles semblent soûtenir
edies. L es Comedies innocentes sont si rares, que les Peres ont
condamné
les Comedies sans distinction, non pas qu’ils ne
re. Les Conciles de Dieu soustiennent la verité, reforment les mœurs,
condamnent
& punissent les erreurs & les vices. Les
ensable d’estre purifiez par les rigueurs de la penitence, ou d’estre
condamnez
à des peines eternelles ? Les plaisirs du Chresti
abominable lieu. Cet edifice sembloit dire au Ciel, qu’il ne pouvoit
condamner
la representation des vices qu’il couronnoit dans
ta du mariage ; il était même puni de mort, conformément à la loi qui
condamnait
ces jeunes et secrètes pécheresses à être lapidée
ducation, surtout à leurs filles. L’on dit qu’on a grand tort d’avoir
condamné
et réduit les femmes à l’ignorance ; car on leur
e que vous ayez pour le Sexe, vous ne pouvez pas vous dispenser de le
condamner
du moins, à n’être plus appelé que le prétendu Se
mine s’il faut, ou qu’on ferme les Théâtres, ou que l’Eglise cesse de
condamner
ceux qui les fréquentent. Il paraît bizarre, qu
es, dont on n’a pourtant pu faire revenir le monde qu’après les avoir
condamné
durant fort longtemps. Quelle peine n’eût-on pas
le ne fut guère observée. Les Chrétiens eux-mêmes qui ne cessaient de
condamner
cet usage, comme on voit dans les écrits des Père
nner son argent aux Comédiens, c’est pratiquer ce que le Saint Esprit
condamne
par ces paroles du Ps. 49. « Vous mettiez votre b
nfamie des spectacles anciens, qui avait porté les saints Pères à les
condamner
, est réfutée par les saints Pères mêmes qui les o
er : or il n’y a personne qui n’ait ouï parler qu’il y a des gens qui
condamnent
la Comédie. 2°. Il suffit d’avoir lu l’Evangile,
Dans la seconde Partie, il parle des Comédies peu modestes, et il les
condamne
. Il prouve que celles de ce siècle sont de ce car
eut débiter son orviétan. Racine mécontent de Port-Royal, qui l’avoit
condamné
, écrivit deux lettres pleines d’esprit & de s
Curés de Paris déférerent cet ouvrage à l’Officialité, pour le faire
condamner
les chaires retentirent plus que jamais d’anathêm
comédie, sont très-frivoles, & que celles que l’Eglise a pour la
condamner
, sont incontestables. Boursaut, qui, pour quelque
révalent de tout. Ce Prélat va plus loin dans un mandement exprès. Il
condamne
absolument la comédie avec cette éloquence que to
e & toute l’Europe, depuis plus d’un siécle que toute l’Eglise le
condamne
, le théâtre est bien autre chose. Des troupes inn
& notre salut, on ne doit pas trouver mauvais que la comédie soit
condamnée
, &c. Que faut-il de plus pour décider un Chré
lument contraires à l’esprit de leur Réligion, à la loi de Moyse, qui
condamne
tous ces excès, & à leurs mœurs naturellement
étruire un préjugé qui lui nuit, puisque les prétextes qui l’ont fait
condamner
ne subsistent plus. C’est au temps de Molière, do
u pour but que de justifier la Comédie moderne, et étant le premier à
condamner
l’ancienne, on ne peut s’empêcher de lui demander
l est impossible qu’elle subsiste sans être condamnable, et sans être
condamnée
. Cependant, si l’on y faisait bien réflexion, il
is flatter la Comédie et la caresser, il est trop vrai pour ne la pas
condamner
. On dirait qu’il a prévu les objections de M.F. t
onvaincante que ce Discours ? N’y voit-on pas en effet le P. Porée la
condamner
ouvertement ? Il la soutient dans l’état même qu’
abord d’avoir soutenu que les Pièces de Théâtre ont été de tout temps
condamnées
pour leur seule inutilité. Cela n’est pas plus ex
dit que l’inutilité des Comédies était une raison qui les avait fait
condamner
; et en cela il a parlé d’après l’Evangile ; mais
ons d’Etat et de Politique ne peuvent pas ôter à l’Eglise le droit de
condamner
ces abus et ces dérèglements tolérés. M.F. demand
s sentiments reçus dans l’Eglise, que la Comédie est et sera toujours
condamnée
; c’est par une suite de ces sentiments qui ne va
lle de 1701, ce que M.F. expose dans ses Observations, que la Comédie
condamnée
dans les derniers siècles n’est point celle qui e
que tous ces Personnages n’ont pu parler que de l’ancienne, que M.F.
condamne
). Il est vrai que dans tout ce nombre, il n’y a q
son style, l’arrangement de ses phrases ; l’aimer comme savant, et le
condamner
comme Auteur comique. Il n’y a personne qui ne se
r la Comédie, à condition qu’elle sera comme elle doit être, c’est la
condamner
comme elle est. Quoi qu’il en soit, on ne rapport
es Spectacles, ni rapporter généralement toutes les autorités qui les
condamnent
: c’est pour éviter ce détail immense, dans leque
usques icy les spectacles charmans. Il y a tant de choses, lesquelles
condamnent
l’usage, qui s’en fait, que, de quelque côté que
e nos actions. Si cela ne peut être contredit, n’est-on pas obligé de
condamner
, ce qu’ils condamnent ? N’est-on pas donc obligé
a ne peut être contredit, n’est-on pas obligé de condamner, ce qu’ils
condamnent
? N’est-on pas donc obligé de regarder au moins l
démontré par des raisons sans réplique, que le Théâtre n’a jamais été
condamné
par l’Eglise, et qu’en soi-même il ne peut être c
ler d’un autre point beaucoup plus embarrassant. Le Théâtre n’est pas
condamné
, je le sais. Mais tel qu’il est aujourd’hui, les
que les Spectacles en général n’ont jamais été condamnés. Que l’on ne
condamnera
jamais ceux qui conserveront la décence en toutes
un livre d’assertions plus infâme en tout genre que celui qui a fait
condamner
ces Pères, on n’a qu’à extraire la moitié des opé
ter une multitude d’anciens, on verra que le sentiment presqu’unanime
condamne
les spectacles les jours de fête. 1.° La servilit
nable qu’une simple distraction. L’irrévérence dans le lieu saint est
condamnée
; est-il de plus grande irrévérence qu’un péché ?
ivre en bête, on y croupit en démon. Il en est peu que la religion ne
condamne
, que la vertu ne redoute, que la pénitence n’inte
ence proscrit toutes ces voluptés, mais qu’en particulier deux choses
condamnent
les spectacles dans la loi du jeûne. 1.° Le jeûne
ag. 13. l. 14 personne lisez posture. Pag. 14. l. 30 condamnés lisez
condamné
. l. 33 suiveront lisez suivront. Pag. 29. l. 2.
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