mmencer par secouer ces entraves ridicules qu’on donne à l’esprit des
Citoyens
. Alors il devient permis de publier ses pensées,
ution. Un Gouvernement, ami des hommes, voudroit le bonheur de chaque
Citoyen
, & l’éclat de la société entière. Mais le bon
toyen, & l’éclat de la société entière. Mais le bonheur de chaque
Citoyen
dépend de l’égalité politique de tous les Citoyen
e bonheur de chaque Citoyen dépend de l’égalité politique de tous les
Citoyens
; & plus chaque Citoyen est heureux dans son
épend de l’égalité politique de tous les Citoyens ; & plus chaque
Citoyen
est heureux dans son intérieur, plus la société e
la publication de la pensée en tout ce qui ne nuit point au droit des
Citoyens
. Or, comme ce droit des Citoyens est essentiellem
ut ce qui ne nuit point au droit des Citoyens. Or, comme ce droit des
Citoyens
est essentiellement égal pour tous, il est très-é
-à-dire un livre utile, devient la seule action publique permise à un
Citoyen
qui ne veut point descendre à des démarches humil
e Nation, victime de sa rage, lui doit encore des égards, & qu’un
Citoyen
de cette Nation ne peut la venger après deux sièc
de leur déplaire, en disant tout haut des vérités énergiques ? Un bon
Citoyen
ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un vérita
bien loin de lui manquer de respect, j’aurois fait le devoir d’un bon
Citoyen
. Par conséquent il est démontré que votre objecti
ragiques, ces grandes époques de l’Histoire, qui intéressent tous les
Citoyens
; & non plus ces intrigues amoureuses, qui n’
ion Françoise ; & vous, Prêtres, qui ne dédaignez point le nom de
Citoyens
François ; c’est à vous maintenant que je m’adres
ruction publique. L’instruction publique est importante pour tous les
Citoyens
. Prêtres qui siégez parmi les Représentans de la
ns. Prêtres qui siégez parmi les Représentans de la Nation, vous êtes
Citoyens
, vous êtes envoyés dans cette Assemblée pour y ex
ns sacerdotales. XXIV. Vous tous, Législateurs élus par le Souverain,
Citoyens
de toutes les professions ; vous tous que nous av
er pour l’utilité publique. Cette raison devroit seule déterminer des
Citoyens
; mais cette raison, déjà si forte, n’est ici que
toujours ma seule éloquence. Ce n’est pas comme Ecrivain, c’est comme
Citoyen
que je veux mériter l’estime. Je consens que l’on
ix une protection particulière, que ne partageroit point le reste des
Citoyens
. Des loix équitables ne connoissent point d’accep
équitables ne connoissent point d’acception pour certaines classes de
Citoyens
; mais elles ne connoissent pas non plus d’except
s non plus d’exception. Si cette locution, le premier, le dernier des
Citoyens
n’étoit pas une locution absurde, il seroit vrai
t pas une locution absurde, il seroit vrai de dire que le dernier des
Citoyens
doit jouir dans la même étendue que le premier de
més par les loix. Ce qui est juste, ce qui est injuste à l’égard d’un
Citoyen
, est juste, est injuste à l’égard d’un autre. Il
révolution, alors le nom de François deviendra le plus beau nom qu’un
Citoyen
puisse porter ; alors nous verrons s’élever des v
un instant que les loix doivent également protéger tous les Ordres de
Citoyens
, que toute acception de personne ou d’état, est u
on, que tout ce qui ne gêne point l’ordre public doit être permis aux
Citoyens
, & que par une conséquence nécessaire, il doi
andus de nos jours avec tant de profusion, pour troubler le repos des
Citoyens
& déshonorer des familles entières. Mais je n
ur qu’une Nation jouisse de la liberté individuelle, il faut que tout
Citoyen
de cette Nation puisse faire librement tout ce qu
point la sûreté personnelle, l’honneur & la propriété des autres
Citoyens
. Aucun homme juste, aucun homme doué de raison ne
p; la constitution n’est pas libre, je ne dis pas quand une classe de
Citoyens
, mais quand un seul Citoyen ne jouit pas de cette
libre, je ne dis pas quand une classe de Citoyens, mais quand un seul
Citoyen
ne jouit pas de cette liberté dans sa plus grande
résentées avec la franchise altière d’un ami de la vérité, & d’un
Citoyen
digne de respirer un air libre. Je n’adopterai ja
cène, a été charmé de connaître en vous les estimables qualités d’une
Citoyenne
, jalouse de sa réputation en un point plus essent
vanté, ne put convaincre le Sénat du droit qu’il voulait se donner de
Citoyen
Romain. Cicéron, son Orateur adverse, employa les
t en parlant de son Client, de termes qui ne peuvent convenir qu’à un
Citoyen
, et à un Citoyen recommandable. Cet homme, dit-il
on Client, de termes qui ne peuvent convenir qu’à un Citoyen, et à un
Citoyen
recommandable. Cet homme, dit-il, que tout le Peu
homme noté d’infamie. Mille autres traits font voir que Roscius était
Citoyen
et universellement respecté. Ce même Cicéron étan
Religion même ; que deviendrait leur mérite ? Croyez-vous que le bon
citoyen
, ou l’homme pieux, puisse entendre sans en être c
sont établis les Spectacles d’à présent est vraiment convenable à des
Citoyens
. On pourrait encore avoir là-dessus quelque doute
a-t-il pas reçu une tache en même temps que ses immunités ? Lorsqu’un
Citoyen
, quel qu’il soit, a contracté des dettes considér
es distinctions n’ôtent-elles pas le Comédiens de l’ordre général des
Citoyens
? Il faut convenir que de semblables prérogatives
si vous y réussissez, vous aurez justement uni le titre d’excellente
Citoyenne
à celui d’admirable Actrice. Voici comme j’imagin
tous les genres, non seulement seraient soumis aux Lois générales des
Citoyens
; mais il faudrait que les Magistrats eussent san
ouvait donc que s’applaudir de cette influence de la religion sur les
citoyens
, et pour perpétuer un état de choses aussi louabl
t de conciliant ; elle n’a point mis les prêtres au-dessus des autres
citoyens
, elle les a rangés au contraire dans la loi commu
ut en conséquence leur permettre d’appliquer des pénalités aux autres
citoyens
, parce que le Clergé se trouverait, par ce fait,
Clergé, qu’une fois le gouvernement les ayant tolérées à l’égard des
citoyens
, il se verrait bientôt attaqué lui-même, corps à
et d’action, qu’ils auraient commencé d’abord par soumettre tous les
citoyens
du royaume. La puissance séculière, livrée à elle
r la personne des rois et sur un si grand nombre de particuliers. Les
citoyens
une fois rangés pour ainsi dire sous la bannière
t lorsque ces peines deviennent infamantes, et attirent sur ces mêmes
citoyens
le mépris et la vindicte publique, effets réels d
n’attentera en rien aux droits qu’elle consacre à l’égard de tous les
citoyens
. En effet, la religion catholique n’aurait aucune
utiles à l’Etat Je suis de l’avis de ceux qui pensent que les bons
citoyens
dans leur belles pièces sérieuses peuvent inspire
ageux, 1°. Que le Conseil établisse une compagnie de huit ou dix bons
Citoyens
connaisseurs, qui sous la direction du Magistrat
l est de la bonne police de former quelques Poètes excellents et bons
Citoyens
, et d’en faire des Officiers importants à l’Etat
gréable. La raison nous dicte donc de travailler à fortifier dans les
Citoyens
, un des deux principaux motifs des actions des ho
iminels : et serait-ce un projet digne d’un honnête homme et d’un bon
citoyen
d’employer beaucoup d’esprit à exciter des larmes
et morts sur la roue, pour l’infâme Catilina détesté de tous les bons
citoyens
? Je crois même qu’ils eussent aperçu et qu’ils e
souciait point du tout du but de la politique qui est d’inspirer aux
citoyens
par des traits de ridicule le mépris et l’indigna
es sentiments de vertu entreraient avec le plaisir dans les cœurs des
Citoyens
, et par le perfectionnement de nos mœurs, la soci
itre, soumis à l’autorité séculière ; premièrement en leur qualité de
citoyen
, qui les soumet à la puissance temporelle, comme
vu toutefois que les acteurs se soumettent, ainsi que tous les autres
citoyens
, aux devoirs de chrétien et aux pratiques de reli
is. S’il en était autrement, il y aurait de la barbarie à engager des
citoyens
, à les exciter à embrasser un état qui les dévoue
r… c’est la Vertu sous un nom plus gai. Young. Ainsi rappelait ses
Citoyens
par des Fêtes modestes, & des Jeux sans éclat
rieuse oisiveté, tout était plaisir & Spectacle… C’est-là que les
Citoyens
, continuellement assemblés consacraient leur vie
n un mot, les Romains avoient tant de mépris pour les Acteurs que les
Citoyens
, qui montoient sur le Théâtre, étoient chassés de
ui étoit la peine la plus infamante dont les Censeurs punissoient les
Citoyens
: Cùm artem ludicram scenamque totam probro duce
laroient les Acteurs infâmes, leur ôtoient le titre & le droit de
Citoyen
Romain, & mettoient les Actrices au rang des
pensions aux Comédiennes ; mais les personnes sensées, les véritables
Citoyens
, qui estiment peu le dangereux & le frivole,
t des sueurs & des travaux du laboureur tombant sous le faix ; du
Citoyen
religieux, qui compte pour peu le Théâtre ? Qu’il
x à la société, dit un Auteur moderne, que de voir tous les jours des
citoyens
consacrer leurs plus beaux jours à des filles de
ent quelques traits. On annonce que l’Ouvrage est fait pour tous les
Citoyens
qui en ont besoin si souvent, sur-tout dans ces t
les contestations du Clergé élevent fréquemment contre la liberté du
Citoyen
fidéle,, en le rendant esclave d’une domination a
ormer l’éloge de cette femme forte, qui prend en main la défense d’un
Citoyen
fidéle. . Elle nous fait voir , dit-on, que c’e
our mettre les Comédiens au pair & de niveau avec tous les autres
Citoyens
, Marchands, Avocats, & même avec la Magistrat
-à-vis de l’église, un acteur doit être considéré à l’égal des autres
citoyens
, puis qu’il est citoyen lui-même et qu’il jouit d
teur doit être considéré à l’égal des autres citoyens, puis qu’il est
citoyen
lui-même et qu’il jouit de tous les droits civils
jouit de tous les droits civils sous la protection des lois. Tous les
citoyens
, en effet, qu’ils soient comédiens ou non, lorsqu
Fautes à corriger. page 68, ligne 9 :
Citoyens
; lisez, Citoyennes. — 78, ligne 12 : ôtez le sec
Fautes à corriger. page 68, ligne 9 : Citoyens ; lisez,
Citoyennes
. — 78, ligne 12 : ôtez le second pas. — 117, lign
en dédaignant les formes prescrites par l’église, exercer contre des
citoyens
et sans l’aveu du prince, une action publique, un
eur profession d’acteur de comédie, et ils feignent d’ignorer que ces
citoyens
sont autorisés à exercer leur art sous la protect
, honorés et honorables, sont entièrement assimilés à tous les autres
citoyens
; nous l’avons prouvé, et par conséquent, ils ne
en atteignant le terme de la carrière ; de donner pour amusement, le
Citoyen
qui a rempli les devoirs de fils, d’époux, de pèr
e dangereux, c’est Paris, ou Londres, ou Rome, &c. il avertit les
Citoyens
que tel vice existe dans la société, & qu’on
ovince, pourvu que chaque Ville n’eût d’autres Acteurs que ses jeunes
Citoyens
, formés de la manière que vous l’indiquez. Ad
si courte, & le temps précieux ; Qu’un père, un fils, un mari, un
Citoyen
, ont des devoirs si chers à remplir, qu’ils ne le
de boue, sans doute pour avoir droit de la méconnaître ? Cet honnête
Citoyen
ne dit pas un mot qui ne soit d’accord avec la ra
le, dans un pays où les scélératesses scéniques n’apprennent rien aux
Citoyens
; & où le mépris de toute morale, ne laisse q
Tragédie patriotique, tout cela me paraît fort sage : vous êtes bonne
citoyenne
, mon amie. Adelaïde. Nous en sommes aux Dram
pratique, on pourrait décerner l’Eloge Théâtral au bon Magistrat, au
Citoyen
utile d’une manière grande & générale, de que
e, dont elle aura dessiné les situations : de jeunes & vertueuses
Citoyennes
y laisseront, à la vérité, voir la finesse de leu
urs de Quinaut, & de ses successeurs dans la bouche de nos jeunes
Citoyennes
. Honorine. Les précautions de l’Article II,
ns, Egyptiens, Gaulois : chez tous ces Peuples ce furent les premiers
Citoyens
qui furent Poètes & Acteurs ; le Comédisme ét
N’est-ce pas assez ? passons en Amérique, vous trouverez des Acteurs
Citoyens
dans l’Etat le plus policé de cette partie du mon
tentit d’applaudissemens, de cris de joie ; on combla d’éloges ce bon
Citoyen
; on le glorifiait ; on s’honorait d’avoir la mêm
moyen de la procurer est trouvé : le Comédisme honorera desormais le
Citoyen
& la Noblesse elle-même. Honorine. Je vo
iques Grecques. L’empire de celles-ci fut toujours très borné : leurs
Citoyens
ne se crurent jamais au-dessus des Monarques ; la
richesses s’introduisent dans la Ville & corrompent les mœurs. Le
Citoyen
, qui n’avait auparavant des Esclaves que pour lab
te espèce ; mais rarement ils accordèrent à ces étrangers le titre de
Citoyens
: on aimait l’Art, mais le Maître était vil : car
re de Citoyens : on aimait l’Art, mais le Maître était vil : car d’un
Citoyen
Romain, jouissant des plus belles prérogatives, à
les métiers étaient le partage des Esclaves & des Etrangers : le
Citoyen
Romain, brave, fier, était ignorant comme un Bern
tre ; qui souvent était esclave lui-même. Un Romain, c’est-a-dire, un
Citoyen
conservé dans tous les droits & dans toutes l
t dans leurs Acteurs, moins des gens qui jouaient des Fables, que des
Citoyens
instruits, qui représentaient aux yeux de leurs C
es Ministres composent-ils le premier Ordre de l’Etat ? Quel ordre de
Citoyens
, que celui qui ne peut subsister par lui-même ? P
s propres Pères ? Pourquoi voir dans nos Prêtres, autre chose que des
Citoyens
estimables, qui se consacrent à la concorde publi
res : il faut que ces derniers rentrent aussi dans les deux ordres de
citoyens
, la Noblesse & la Roture, les seuls légitimes
u que les Comédiens furent avilis à Rome, dès qu’ils cessèrent d’être
Citoyens
; nous voyons qu’ils sont Létris parmi nous. Le P
agination : Mais une tendre Epouse, mais l’Etat à qui nous devons des
Citoyens
, ont bien une autre importance que toutes les chi
mp; nos Actrices, & voyons si leurs mœurs peuvent être celles des
Citoyens
ordinaires honnêtes gens, estimables en tout. De
hommes, il s’ensuit que cet état ne peut tenter que ceux d’entre les
Citoyens
, qui méprisent les bienséances : parmi ceux qui p
décidé pour un Art honorable, fait renoncer à tous les avantages des
Citoyens
, parce qu’ils espèrent de forcer un jour leur pat
ns, aussi desirable qu’elle est nécessaire. Le premier, c’est que des
Citoyens
honnêtes, de mœurs irreprochables, pourraient se
accompagnées les leçons ou les exemples de la vertu, transmis par une
Citoyenne
honnête, plus considérée par son mérite que par s
version des Loix. Alors, sur un Théâtre appartenant à l’Etat, que nos
Citoyens
les plus favorisés des dons de la nature, viennen
ivre que pour lui. Si l’amour de la gloire fait les Héros, les grands
Citoyens
; le mépris des jugemens des hommes fait les gran
bles avantages du nouveau Théâtre, de mettre dans l’âme de nos jeunes
Citoyens
, une extrême sensibilité aux applaudissemens, aux
au-dessus de ce qu’on peut imaginer, sur cette glorieuse portion des
Citoyens
: qu’on leur fasse envisager le louable & l’u
dévoue la jeunesse au théâtre. On a vu dans telle ville plus de cent
citoyens
, pauvres à la vérité mais honnêtes, et pouvant pa
t payé le prix ; c’est une infamie concentrée dans un petit nombre de
citoyens
avilis et dégénérés, que le public ne partage poi
erce utile et décent ? Plus cette nouvelle voie menace d’engloutir de
citoyens
, plus elle doit fixer les vues et les opérations
ans la crise du développement des qualités qui font le Chrétien et le
citoyen
, un enfant soit arraché à ses foyers paternels po
hommes dans leurs travaux, envoyât dans le cœur, dans la fortune des
citoyens
des malheurs multipliés, propres par leur concour
tte fureur des spectacles mimiques qui a gagné toutes les classes des
citoyens
, qui se déploie avec une fureur qui va toujours e
les ; je le peindrois comme un gouffre qui engloutit la substance des
citoyens
, la propriété des commerçans, les secours des pau
u vice et de la plus incorrigible licence. On verroit des milliers de
citoyens
détruits par la chute subite des édifices consacr
naturel de l’examen public, et la discussion en appartient à tous les
citoyens
. Il en est d’un genre différent, dont les chefs d
il. Lorsque les prêtres sont parvenus à augmenter leur action sur les
citoyens
au mépris des lois civiles, ils finissent par att
te monarchie légalement instituée : « Qu’un prince qui maltraite ses
citoyens
est une bête féroce, cruelle et pernicieuse ; «
débats domestiques qui deviennent funestes ou au gouvernement ou aux
citoyens
. 11. [NDA] Salmeron, comm. in evang. part. 3 t
t des autres ; les représentations théâtrales formeraient le goût des
citoyens
, et leur donneraient une finesse de tact, une dél
ient dignes, enfin absolument placés sur la même ligne que les autres
citoyens
, cette ville aurait bientôt l’avantage de posséde
puis la publication de ce volume, de jeunes Genevois, d’ailleurs bons
citoyens
, n’attendent-ils que le moment de favoriser l’éta
comédiens que j’ai entrepris de défendre. Ceux-ci en leur qualité de
citoyens
, ont un droit incontestable à la protection du pr
islative et exécutive dans l’état et punirait dans le corps mort d’un
citoyen
, le zèle et le dévouement que celui-ci aurait app
jets du roi, et soumis à toutes les lois du royaume, comme les autres
citoyens
, mais ils ne peuvent dans l’exercice de leurs fon
ait l’heure du spectacle sur celle où les occupations nécessaires des
citoyens
sont terminées. Un Officier ne manquera pas la Pa
l ne s’assujettissait pas à l’heure où les occupations des principaux
citoyens
sont terminées. Il y a telle ville du Royaume où
on en faveur du pays ; augmenter la circulation, c’est multiplier aux
citoyens
les occasions d’accroître leur fortune ; varier l
r les gens de mauvaise vie attachés au spectacle comme sur les autres
citoyens
dont les mœurs sont corrompues. Tout le monde a b
tacles du Roi, croient leur gloire intéressée à ne commander qu’à des
citoyens
et non pas à des gens proscrits ; qu’ils daignent
es Comédiens ravis de pouvoir se compter au nombre des Fidèles et des
Citoyens
chercheraient à mériter ces titres, d’autant plus
op rigoureuses puisqu’elles sont les mêmes auxquelles tous les autres
citoyens
sont assujettis et habitués. Si les Comédiens, do
ourgeoisie en général : je sais combien cette classe renferme de bons
citoyens
, de gens vertueux et respectables. Je sais que le
talent qu’on admira à Lacédémone, et le seul objet de l’étude de ses
citoyens
; étude barbare, que les sanguinaires admirateurs
r rendre les privilèges qu’on accorde dans la société à tous les bons
citoyens
. Les Dames Romaines, les jeunes Sénateurs s’oubli
pour insulter par des satires odieuses et personnelles les meilleurs
citoyens
, et alarmer la pudeur par l’exécution de rôles in
ut cela me les fait voir tels qu’ils sont, d’honnêtes gens et de bons
citoyens
. Je ne vois pas non plus des Mursius, des Pétrone
nter une Parade de l’espèce de celles que nous venons de définir ? Un
Citoyen
, qui jouit de la réputation d’honnête-homme (M. R
arade (Paliss… de M…) en a fait une seconde, où il a embrassé le même
Citoyen
qui avait obtenu son pardon, avec un grand nombre
Philosophes ; à son tour il ne compte guere d’être peuplé de pareils
citoyens
. Enfin pour ne rien perdre des divers genres de m
ent la dédicace, & donnerent au Sieur Durosoi le titre pompeux de
Citoyen
de Toulouse, ce que plusieurs d’entr’eux ne sont
accordé en recompense ce titre brillant, comme les Capitouls celui de
Citoyen
. Il est vrai qu’il n’y a eu ni pension ni présent
oliers, & les qualités sublimes d’Annaliste, d’Historiographe, de
Citoyen
. La Tragédie de Richard, l’Opéra des trois Roses
les décorent du titre de Licentié & de Docteur, comme de celui de
Citoyen
& d’Historiographe ? Les aventures du Sieur D
; il parle de tout. Mais il prend le titre nouveau de Greffier de ses
Citoyens
. Il seroit bien embarrasse à montrer sa commissio
es Citoyens. Il seroit bien embarrasse à montrer sa commission. Aucun
Citoyen
ne l’a chargé d’écrire. Il s’appelle Pavanne, Gre
elle Brevet la prétendue délibération de l’Hôtel-de-ville qui le fait
Citoyen
de Toulouse. Ce nom qui ne convient qu’à ce qui é
on Drame. Le présent est mediocre, il est vrai qu’il vaut le titre de
Citoyen
, & il faut avoir la fatuité d’un Comédien pou
firent une Loi, par laquelle il était ordonné, que lorsqu’un mauvais
Citoyen
aurait ouvert un bon avis, avant de le communique
seront dues comme Poètes, seront couronnés sur le Théâtre, comme bons
Citoyens
. Art. III. Comédies. On pourrait ranger nos
ue. Nous regarderions ces Théâtres, comme destinés à récréer ceux des
Citoyens
dont les mœurs ne sont pas sévères : une mère sau
; d’en réformer tous les abus. Chez les Grecs, dit-on, l’Acteur était
Citoyen
, & tout Citoyen qui se connaissait des tatens
les abus. Chez les Grecs, dit-on, l’Acteur était Citoyen, & tout
Citoyen
qui se connaissait des tatens, pouvait être Acteu
sans renoncer aux places, aux emplois que l’on exerçait en qualité de
Citoyen
. On vit donc sur le Théâtre d’Athênes des Générau
Généraux d’armées, c’est-à-dire, des hommes égaux aux Rois, & des
Citoyens
distingués par leurs talens & leur vertu. Le
our lequel il décernait la couronne, & présentait en même-tems le
Citoyen
qui devait la recevoir. Toute l’Assemblée réponda
es factions Théâtrales qu’il occasionnait, n’étaient sûrement pas des
Citoyens
Romains. Le nom d’Acteur, honoré par les Grecs, p
nnent les usages de ces deux Peuples : Le premier nous apprend que le
Citoyen
peut être Acteur : le second, nous porte à croire
; il y réussirait difficilement. Quel avantage pour la Nation, si des
Citoyens
éclairés, en même-tems qu’ils chercheraient le ta
seront admis à y faire briller leurs talens, ne devront être que des
Citoyens
aisés. Ainsi, dans les maisons publiques d’éducat
’Exercice n’auront rien de libre, ou même de trop tendre ; d’honnêtes
Citoyens
qui se connaîtront du talent, pourraient y faire
jeunes-gens des deux sexes étant obligés de remplir leurs devoirs de
Citoyens
, à l’exemple des Acteurs Grecs, ils doivent, comm
de l’Actrice, Hippolyte ou Phèdre, Célimène ou Alceste eux-mêmes. Les
Citoyens
destinés aux grands emplois, acquerront sur le Th
raient aimés & connus. Les Rôles inférieurs étant remplis par des
Citoyens
d’un autre ordre, ceux-ci apprendraient à obéir,
des Pyrrhiques, qui traceront une exquisse de la Pièce. Nos Danseurs
Citoyens
& nos Danseuses, seront choisis, de même que
douze Directrices, & douze Directeurs choisis parmi les honnêtes
Citoyens
, depuis la première condition, jusqu’à la dernièr
. Les Spectacles offriront tous les jours une récréation honnête aux
Citoyens
: au moyen des règles ci-dessus, elle sera toujou
& ne jouissent d’aucuns priviléges onéreux à l’Etat. Ce sont des
Citoyens
, des fils, des frères, des amis, auxquels la sati
urs contraignirent aussi quelquefois des enfans de Sénateur & des
Citoyens
à se donner en Spectacle. 2. On ne jouait pas ha
la Nation n’en serait pas moins fréquenté. Tous les jours de nouveaux
Citoyens
se montreront sur nos Théâtres ; on voudra du moi
ouve beaucoup de Riches, que le Spectacle ne dérangera pas, comme les
Citoyens
de Genève, de leurs importantes occupations, il e
forcés d’oublier jusqu’à leurs calamités : par-là l’on fait aimer au
Citoyen
un pays où il trouve des plaisirs inconnus ailleu
& les Romains, une affaire d’Etat ; que, s’il était possible, le
Citoyen
y fût admis sans paraître contribuer en rien à la
tte raison même, c’est à lui, s’il prétend au mérite solide d’être un
Citoyen
utile, estimable, à ne fournir au Comédien qu’un
grands hommes ; ces Drames ne pourraient qu’échauffer dans nos jeunes
Citoyens
l’amour de la gloire, du Prince* & de la Patr
seconde avec une liberté inconnues par-tout ailleurs. 4. Pourquoi les
Citoyens
d’une Ville médiocre seraient-ils pour jamais pri
vec des notes d’un théologien, et réponse à la lettre de M. Rousseau,
citoyen
de Genève, Amsterdam, Zacharie Chatelain et fils,
le. Réédition • Lettre de Monsieur d’Alembert à Mr. J. J. Rousseau,
citoyen
de Genève, Amsterdam, Marc-Michel Rey, in-12, 60
ource. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. A suscité en rép
BVIL. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Bayle, arti
(1725?-1801) : L. H. Dancourt Arlequin de Berlin à Mr. J. J. Rousseau
citoyen
de Genève, Berlin, Amsterdam, J. H. Schneider, 17
Rééditions • L. H. Dancourt Arlequin de Berlin à Mr. J. J. Rousseau
citoyen
de Genève, Berlin, Lausanne, François Grasset, 17
224 p. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Dancourt, L
578D, ARTFL) [a suscité en réponse Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758] ; • « Scéniques
Saint Cyr ; 1726-1803) : P. A. Laval, comédien, à M. J. J. Rousseau,
citoyen
de Genève. Sur les raisons qu’il expose pour réfu
oogle. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Le Bœuf, J.
u, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Le Bœuf, J. J. L. B.
citoyen
de Marseille, à son ami, 1760 • Le Bœuf, Jean-
à son ami, 1760 • Le Bœuf, Jean-Joseph (1730?-1799?) : J. J. L. B.
citoyen
de Marseille, à son ami, sur l’atrocité des parad
BVIL. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Le Brun, Di
9 II). Corpus OBVIL. N.-B. Voir Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. A suscité en rép
→ Texte : « Apologie du Théâtre. Analyse de la lettre de M. Rousseau,
Citoyen
de Geneve, à M. d’Alembert, au sujet des Spectacl
) : Critique d’un livre contre les spectacles intitulé J. J. Rousseau
citoyen
de Genève à M. D’Alembert, Amsterdam et Paris, La
BVIL. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Millin de G
2 à la même date. Rousseau, Jean-Jacques, Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758 • Rousseau, Je
1758 • Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) : Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert […] sur son article Gen
t », p. 194-458, in Collection complete des œuvres de J. J. Rousseau,
citoyen
de Genève, t. XI : Mélanges, vol. 1, Genève, s. n
, P. A. Laval, comédien, à M. Rousseau, 1758 ; Le Bœuf , J. J. L. B.
citoyen
de Marseille, à son ami, 1760 ; Marmontel , Apol
ologie du théâtre, 1758-1759. Voir Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Sélis, Lett
Considérations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau,
citoyen
de Geneve, Genève, Henri-Albert Gosse [= Paris, A
tion • Lettre d’un écolier de philosophie a monsieur J. J. Rousseau,
citoyen
de Genêve & habitant de Montmorency. En répon
llica. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Villiers, E
BVIL. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau,
Citoyen
de Genève à M. d’Alembert, 1758. Yves de Par
rallume partout le feu sacré de l’amour de la Patrie. Le dernier des
Citoyens
, alors, met toute sa gloire et tout son bonheur à
aidant à supporter les peines de la vie, elle conservait à l’Etat des
Citoyens
utiles. Jetant ensuite un coup-d’œil rapide sur l
le vice, les usages et les institutions humaines, loin de rendre les
citoyens
plus sages et plus heureux, contribuent très souv
ées après eux, la conquête de la Grèce et la servitude d’Athènes. Les
citoyens
de cette ville, autrefois si formidable à ses enn
le commerçant, ni l’artisan, ni père, ni fils, ni mari, ni épouse, ni
citoyens
, qui au contraire nuisent à tous les états et à t
affecte ou recherche trop. Ce n’est même qu’un très petit nombre des
citoyens
du théâtre qui y recueillent ces prétendus fruits
tic. L. 7. C. 15.) dit qu’il faut bien se garder de laisser aller les
citoyens
à la comédie. « Faible remède, dit Bodin à l’endr
losophiques qui éclairent l’esprit, des repas innocents qui lient les
citoyens
. Jamais nos plus graves Théologiens n’ont porté p
eut du moins qu’on tâche d’en prévenir les abus, il ne permet à aucun
citoyen
ni à aucune personne libre, de monter sur la scèn
soumis, moins simple, moins modeste, moins sobre, moins sujet, moins
citoyen
qu’un autre. Le vice y gagne, donc l’Etat y perd.
es sujets du prince. Ils sont par conséquent soumis, comme les autres
citoyens
, à la loi commune ; mais il ne faut pas oublier q
lus, de l’expédition des actes importants de la vie et de la mort des
citoyens
, ils étaient chargés de les enregistrer comme mag
la sépulture, à entraver ou empêcher les mariages, et à tracasser les
citoyens
pour l’enregistrement des actes de naissance ; qu
te jésuitique, au point de commettre la faute politique, d’exiger des
citoyens
, que l’acte religieux précède l’acte civil, pour
d’hommes recommendables qui l’ont proposée avant moi ; ou plutôt tout
citoyen
vertueux la demande au fond de son cœur. Ne perdo
dangers*. Quelle ressource cette Capitale par exemple offre-t-elle au
Citoyen
timoré & délicat sur le choix des plaisirs ?
itique y étoit présentée d’une maniere générale pour ne blesser aucun
Citoyen
; ayant dégénéré en différents temps, la Républiq
oblème : car n’en déplaise à ceux qui les rejettent hors du corps des
Citoyens
, ces sévères censeurs ne forment pas le général ;
ns autant qui les y admettent) : décidons cet état. Ils ne seront pas
Citoyens
: ce seront des hommes & des femmes destinés
ves publics, qui mettront en action, l’ouvrage d’un homme libre, d’un
Citoyen
distingué : on ne verra plus que l’Auteur dans le
dirait, sous les peines les plus sévères, cette occupation à tous les
Citoyens
nés légitimes. Voici comme j’imagine que pourrait
Actrices, seront libres, & ne seront point distingués des autres
Citoyens
. Ils hériteront du pécule de leurs pères & mé
ils soient honnêtes, nos frères, nos égaux, nos amis ; bien plus, des
Citoyens
, élevés au-dessus du vulgaire, par leur mérite, l
ssa de venir s’instruire & s’amuser à ces Spectacles, où quelques
Citoyens
préservés de la contagion générale & fermes p
teurs n’excitent à présent, pour me servir des expressions du célebre
Citoyen
de Genêve11, que des mouvemens stériles & pas
a résulter de toute cela, sera que nous aurons toujours de fort plats
Citoyens
, & des Citoyennes fort insipides. Je le répet
cela, sera que nous aurons toujours de fort plats Citoyens, & des
Citoyennes
fort insipides. Je le répete, on ne saurait doute
qui abondent aux Spectacles Forains, fait mourir ou estropie plus de
citoyens
& de citoyennes, en un an, que la guerre ne d
Spectacles Forains, fait mourir ou estropie plus de citoyens & de
citoyennes
, en un an, que la guerre ne détruit de soldats en
, on risque la corruption & la perte, pour l’Etat, d’une foule de
Citoyens
! Et qu’importe à l’homme vertueux, dira-t-on, qu
les sont publiques ; ceux qui les dirigent jouissent de la qualité de
Citoyens
; je le répete, je ne doute point qu’ils ne soien
mal montées. Il est une vérité certaine en politique, c’est que tout
Citoyen
doit être utile à son pays, soit par ses talens &
encore moins une honnête femme. Si par hazard il se trouve huit à dix
citoyens
vraiment respectables, sur sept à huit cents spec
e, le cercle, peut-être peu nombreux, mais presque toujours choisi de
Citoyens
honnêtes & éclairés, que le desir naturel de
est de toute fausseté qu’il faille des Spectacles pour la classe des
Citoyens
les plus indigens. 2° Parce que quand bien même i
ne injure proférée contre la sagesse & l’innocence. Si l’illustre
Citoyen
de Genêve a raison d’avancerLettre sur les specta
être dans le malheur public, se déchaînent contr’eux : mais les vrais
Citoyens
, qui n’ont en vue que le bien, de la Patrie, s’él
ts n’est pas moins précieuse au Roi & à la Société, que celle des
Citoyens
constitués dans les plus hautes dignités. C’est l
t de ses travaux. 41. Dans tous les Etats, mettez, à la place de ces
Citoyens
dont les mœurs pures sont formées par une bonne é
ra la première victime. L’ami du Prince & de la Patrie, ou le bon
Citoyen
, par M. de Sapt. I. Entretien. Liv. I. Ch. 1. Li
ionales, côté du domaine de la patrie, où une portion considérable de
citoyens
honnêtes et utiles, dont la plupart, pères de fam
, asservis de fait, ne jouissant que très-illusoirement des droits de
citoyen
et des bienfaits de la liberté, ils s’énervent et
Critique d’un livre contre les spectaclesintitulé J. J. Rousseau,
citoyen
de Genève à M. D'Alembert A Amsterdam Et se trou
lut une nouvelle loi pour défendre de faire la satire personnelle des
citoyens
. Il ne fut plus permis que de faire la satire gén
fixèrent à Paris, on vit cette capitale surchargée d’une multitude de
citoyens
désœuvrés, dont on crut devoir occuper le loisir,
a, bordée de pourpre, était portée par les magistrats et par d’autres
citoyens
romains. e. [NDE] E.J. Montchablon, Dictionnaire
claraient les acteurs infâmes, leur ôtaient le titre et les droits de
citoyens
romains, et mettaient les actrices au rang des pr
ans ces mêmes acteurs moins des gens qui jouaient des fables, que des
citoyens
instruits qui représentaient aux yeux de leurs co
nt le même être, il est à sa place ; il est dans le cas de tout autre
citoyen
qui remplit les fonctions de son état. « Mais l
Lettre à M. Rousseau,
citoyen
de Geneve a. Quittez-moi votre serpe, instrume
x qu’on admire, quels services ils ont rendus à la Nation, & quel
Citoyen
est devenu meilleur en les lisant ? Nous avons tr
jouissent pas encore des droits que les Loix accordent au dernier des
Citoyens
. D’où peut venir, & tant d’indocilité, &
us des qualités propres à régler leur conduite, & à se rendre des
Citoyens
utiles. Je conviendrai, sans peine, qu’elle a var
s. Les gens en place trouveront à leur tour, dans le second ordre des
Citoyens
, des premiers Commis, des Secrétaires, des hommes
nutention de la paix que la société, occasion qu’il contraignitac ses
citoyens
de manger tous ensemble le brouet lacédémonien à
Car, puisque la terre en sa circonférence n’est qu’un théâtre, et les
citoyens
d’icelle que les acteursam, qui y représentent di
ent : vous ressemblez à ceux. am. [NDE] Comprendre : et puisque les
citoyens
de la terre ne sont que les acteurs. an. [NDE]
qu’ils desiroient. On avoit lieu de croire que les comédiens, devenus
citoyens
actifs, électeurs et éligibles, élevés pour la pl
exclusif ne sçauroit exister, puisqu’il priveroit absolument tous les
citoyens
des droits qu’il attribueroit à un petit nombre d
tous les citoyens des droits qu’il attribueroit à un petit nombre de
citoyens
. Tout ce qui peut nuire est défendu par la loi. L
héâtre n’est pas défendu par la loi. La loi ne sçauroit défendre à un
citoyen
ce qu’elle permet à un autre. Si un seul homme pe
n langage si épuré ? C’est qu’il se formoit aux théâtres, où tous les
citoyens
, sans distinction, étoient admis ; dans les fêtes
iers ; et le gouvernement doit veiller en pere sur les propriétés des
citoyens
comme sur leur vie. Sans doute, un bon gouverneme
roient trop exposées aux incendies ; afin que la sûreté et la vie des
citoyens
ne soient pas compromises. Il ne peut pas exister
a Dépense sera médiocre : si elle charge (quoique très-légèrement) le
Citoyen
en particulier, elle doit être nulle pour la Vill
ui contribueront à l’embellissement de la Ville ou à la commodité des
Citoyens
, soit pour des encouragemens à la campagne. Mais
nnit de sa République ; et, en cela, son but n’a été que de former le
Citoyen
parfait. Il a paru de nos jours plusieurs Ouvrage
ensuite personnelle, jusque là que les Acteurs prenaient les noms des
Citoyens
que l’on critiquait. La République en réprima la
u préjudice qu’il aurait occasionné une dépense utile à la sureté des
citoyens
et à la circulation du Commerce, au roulage des m
qu’on vous proposerait d’étudier dans nos Pièces, ce seraient ceux de
citoyen
. Or les devoirs d’un Roi sont ceux d’un bon citoy
seraient ceux de citoyen. Or les devoirs d’un Roi sont ceux d’un bon
citoyen
: le zèle, l’attention, le courage, l’équité, le
orda ensuite des places marquées aux Chevaliers et à plusieurs autres
citoyens
; on fit jusqu’à quatorze rangs différents. Cette
. 9.) Ces gémissements furent bientôt plus grands et plus justes. Des
citoyens
distingués, des Chevaliers, des Patriciens, des S
r les fleurs de lys pour juger des biens, de l’honneur, de la vie des
citoyens
. Mais si les Magistrats ne peuvent pas aller à la
ience souffrir les Comédiens dans leur ville, et doivent empêcher les
citoyens
d’aller à la comédie, sans quoi ils se rendent co
p; pénètre jusqu’à l’ame. La Grèce sur ses Théatres voulut former des
citoyens
vertueux dans le sein même du plaisir. C’est une
priva des honneurs littéraires un de nos plus célébres écrivains, un
citoyen
vertueux des droits de citoyen & à la vie &am
un de nos plus célébres écrivains, un citoyen vertueux des droits de
citoyen
& à la vie & à la mort, car il est vrai q
prononce rien. Avec des mœurs la république aura des magistrats, des
citoyens
, des hommes ; sans les mœurs on n’aura que des sc
la scene Priam, Ulisse, Philoctete, tandis que personne ne sait être
citoyen
dans la place publique, ni magistrat dans l’aréop
mille belles fictions sentez un aise véritable de dire la vérité, qui
citoyenne
du ciel ne permet qu’aux Déesses la jouissance de
aisirs si purs et si simples que devraient nous offrir les devoirs de
Citoyen
, d’ami, d’époux, de fils, et de père : mais rende
accompagnent. Rendez les peuples plus heureux, et par conséquent les
Citoyens
moins rares, les amis plus sensibles et plus cons
ser que l’amour seul puisse les émouvoir, comme si elles n’étaient ni
citoyennes
ni mères. Ne les avons-nous pas vues s’intéresser
vous blâmez à présent les pièces où l’on n’expose à nos yeux que nos
citoyens
et nos semblables ; ce n’est plus comme pernicieu
s si l’âge d’or s’est réfugié dans les rochers voisins de Genève, vos
Citoyens
en sont pour le moins à l’âge d’argent ; et dans
ne des plus riches de l’Europe ; et j’ai lieu de croire que plusieurs
Citoyens
opulents de cette ville, qui désireraient d’y avo
e intéressée à les violer, parce qu’elles obligent également tous les
Citoyens
, et qu’à Genève les hommes ne sont jugés ni par l
a peinture que vous avez faite vous-même de la vie journalière de vos
citoyens
; et je n’ignore pas qu’ils se récrient fort cont
pollet. CHERS FRANÇOIS, IL est du devoir de tout Chrétien, de tout
Citoyen
, de déférer au tribunal de la Justice toute manœu
l’Etat. C’est ce devoir que des Magistrats plus Chrétiens encore que
Citoyens
, ont rempli il y a aujourd’hui trois mois, en dén
(P. 11.) tant d’anecdotes scandaleuses capables de faire frémir tout
Citoyen
fidèle & tout sujet soumis ? Que de graces à
oce ! la veux-tu manger ? Tais-toi, voix sépulcrale ; Chrétiens &
Citoyens
, nous croyons que le sang ne doit couler que pour
es les impiétés répandues dans tous les auteurs ; Chrétiens, Sujets,
Citoyens
, hommes, nous les réprouvons également : la Reli
je fais le mal que je hais. » J’en appelle encore à témoin ce héros
citoyen
, qui semble ne vivre parmi nous que pour s’élever
la licence qui s’accrédite de jour en jour . L’humanité frémit, le
Citoyen
est allarmé ; on entend de tous côtés les Ministr
ste seroit bien la prudence, si le Ciel la rendoit commune à tous les
Citoyens
! Que ne sommes-nous tous autant d’Ulysses ! Les
ta nature ? Ma mission ! Apprends qu’ il suffiroit d’être homme &
Citoyen
pour être sensible à tous les maux (p. 2.) que n
ront dignes, enfin absolument placés sur la même ligne que les autres
Citoyens
, nos Villes auront bientôt l’avantage de posséd
on y joue, on y passe la vie ; il se forme des troupes brillantes de
citoyens
distingués, dont les biens, les travaux, les tale
, sauteurs, joueurs d’instruments, qu’il y a plus de Comédiens que de
citoyens
: « Plures sunt Histriones quam cives. » (Misopog
il n’y en aura pas un seul qui ne soit ou père, ou fils, ou mari, ou
citoyen
: et si, par hasard, il se rencontrait un Spectat
e rencontrait un Spectateur qui fut bon père, mais qui ne fut pas bon
citoyen
, et que l’action théâtrale de ce jour-là ne trait
t jouir peu sensible à tous les autres. Un Père, un Fils, un Mari, un
Citoyen
, ont des devoirs si chers à remplir, qu’ils ne le
lieu s’oublier soi-même et s’occuper d’objets étrangers, ne donne au
Citoyen
d’autres habitudes et ne lui forme de nouvelles m
s vertus ; à mettre toute la morale en métaphysique ; à travestir les
citoyens
en beaux esprits, les mères de famille en Petites
ge, était une proclamation publique par laquelle ils enjoignaient aux
citoyens
, non pas d’observer les lois, mais de les aimer,
r laquelle les lois et les mœurs, intimement unies dans les cœurs des
citoyens
, n’y faisaient, pour ainsi dire, qu’un même corps
pourrait établir à Genève un Spectacle sans aucun risque : car jamais
citoyen
ni bourgeois n’y mettrait le pied. Par où le gouv
claraient les Acteurs infâmes, leur ôtaient le titre et les droits de
Citoyens
Romains, et mettaient les Actrices au rang des pr
ns ces mêmes Acteurs, moins des gens qui jouaient des fables, que des
Citoyens
instruits qui représentaient aux yeux de leurs co
nt le même être, il est à sa place ; il est dans le cas de tout autre
Citoyen
qui remplit les fonctions de son état. Mais un Co
plus charmant paysage qui soit sous le Ciel. Il y a même beaucoup de
Citoyens
et Bourgeois qui y résident toute l’année, et n’o
nos anciennes maximes soit généralement applaudi. Combien de généreux
Citoyens
verront avec indignation ce monument du luxe et d
icable, c’est la voie des taxes et impositions, c’est d’assembler nos
Citoyens
et Bourgeois en conseil général dans le temple de
t ce qui peut contribuer à former dans les mêmes hommes des amis, des
citoyens
, des soldats, et par conséquent tout ce qui convi
nction de Censeurs. C’est ainsi que dans les beaux temps de Rome, les
Citoyens
, surveillants les uns des autres, s’accusaient pu
les mauvaises, la haine des vices qui les démasque en devint un. Aux
citoyens
zélés succédèrent des délateurs infâmes, et au li
. Telle est la différence essentielle des cercles aux spectacles. Les
citoyens
d’un même Etat, les habitants d’une même ville ne
but de ses ans. Il a tort, sans doute : il cesse avant la mort d’être
citoyen
. Mais l’autre ne commence pas même à l’être : il
ant ne peut guère se prouver qu’en montrant qu’elle fait de meilleurs
citoyens
. Il est certain que les enfants font mieux la rév
ous dédommagera-t-elle des vertus simples et modestes qui font le bon
citoyen
? Au lieu de nous guérir de nos ridicules, la Com
faut des beaux-arts et du luxe, il faut un commerce intime entre les
citoyens
, il faut une étroite dépendance les uns des autre
les héros de nos Tragédies. Des Berthelier ? des Lévrery ? Ah, dignes
citoyens
! Vous fûtes des héros, sans doute ; mais votre o
, c’est qu’il faudra mal augurer de la République, quand on verra les
citoyens
travestis en beaux esprits, s’occuper à faire des
ée aux gens âgés de l’un et de l’autre sexe, qui ayant déjà donné des
citoyens
à la patrie, verraient encore leurs petits enfant
a point de contrée où l’on n’en trouve de répandus. La moitié de nos
Citoyens
épars dans le reste de l’Europe et du Monde, vive
où sont les jeux et les fêtes de ma jeunesse ? Où est la concorde des
citoyens
? Où est la fraternité publique ? Où est la pure
uoi tient-il que nous n’adorions tous la patrie ? Ainsi rappelait ses
citoyens
, par des fêtes modestes et des jeux sans éclat, c
es délassements formaient une instruction publique ; c’est là que les
citoyens
, continuellement assemblés, consacraient la vie e
e, propre à former de sages Politiques, d’intrépides Soldats, de bons
Citoyens
, des Magistrats intègres et zélés pour l’Etat.
ions si courageuses, & les raconteront à leurs enfants. Le simple
Citoyen
instruit par la renommée, se dira à lui-même que
n’ôterez pas tout le mal, mais ne soyez pas insensibles aux vœux des
Citoyens
qui vous conjurent de le diminuer. Ce bien est au
ui a donné des lettres de Bourgeoisie, comme l’on donnoit le droit de
Citoyen
Romain, si parva licet componere magnis, l’a fait
obtint le suffrage, Et la postérité verra dans cet Auteur L’excellent
citoyen
, le poëte & le sage (le sage n’est-il pas un
nt citoyen, le poëte & le sage (le sage n’est-il pas un excellent
citoyen
?). La comédie Françoise le couronna à sa maniere
ts gratis à la convalescence du Roi. Cependant ce sage, cet excellent
citoyen
, peu reconnoissant de cette libéralité faite à so
Les Comédiens diminuerent le dividende selon l’usage. Un si généreux
citoyen
, un sage, un poëte, déjà si bien payé, auroit bie
ïsme des personnages, & a défiguré le sage, le poëte, l’excellent
citoyen
de Calais, placé dans la salle de l’Hôtel-de-vill
plus vif aliment, rebut de la misere, Manque à l’or prodigué du riche
citoyen
. Ose venger nos maux & nos forfaits, &c.
& peu intelligible voix, va dans tous les carrefours annoncer aux
citoyens
les ordonnances de police, & le triomphe de l
is si le Comédien est honnête, l’Actrice sage, réservée, ils sont des
Citoyens
utiles, ils peuvent atteindre à la véritable vert
s interrompus, Le Couvreur, recevez l’hommage & les tributs D’un
Citoyen
de l’autre Monde. Mes succès, par vos soins, su
oint d’excommunication ni religieuse ni civile. Les Comédiens restent
citoyens
dans la communion des Fidèles. Ils savent même s’
dre sur ce qui concerne le gouvernement de l’Etat, et l’existence des
citoyens
, que le nombre des prêtres est tellement considér
; l’autre est vraiment un art de la paix, puisqu’il lie entr’eux les
Citoyens
par la compassion & l’humanité. » Les dernie
Comme les Dieux habitent dans l’Olympe, les Rois dans des Palais, le
Citoyen
dans sa maison, & que le Berger est assis à l
x caprices d’un Libertin ? Peut-elle souffrir que l’âme de ses jeunes
Citoyennes
& des jeunes-gens, sa glorieuse espérance, so
tisans même ne l’imaginent, la place qu’ils doivent occuper parmi les
Citoyens
, place que le préjugé, de fausses vues & la j
irs de la vie, du sage gouvernement de la maison, de la conduite d’un
citoyen
dans tous les états ? Thalès de Milet & le Sc
ange en bouffons & plaisans de Théâtre, les plus respectables des
Citoyens
. J’en dis autant de l’amour, de la colère, &
volupté : les passions excitées domineront au lieu de la raison. Les
Citoyens
ne seront plus des hommes vertueux & justes,
e, n’est pas seulement agréable, mais utile à la République & aux
Citoyens
. Écoutons leurs raisons d’une oreille impartiale,
lice aurait peine à conserver le bon ordre dans les Villes, si chaque
Citoyen
se trouvait désœuvré. Que de maux se succéderaien
os travers, tandis qu’on verra ceux qui y montent rejettés du rang de
citoyens
. Les gens à préjugés ont quelque apparence de rai
P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU,
CITOYEN
DE GENÈVE. Faut-il avoir autant d’esprit que v
amitié, l’esprit de fraternité formeroit-il le lien qui doit unir des
citoyens
? Les méchans feroient du mal à tout le monde, et
est certain que toute la morale du Misantrope se réduit à faire d’un
citoyen
un homme tout à la fois aimable et; vertueux. Je
Comédie à Genève en rendra le séjour plus agréable et; en amusant les
Citoyens
les empêchera d’abandonner leur pays et; d’aller
aux Spectacles, qu’en conséquence ils les mettent au rang des autres
citoyens
. Le menu peuple en sera d’abord surpris, petit à
s des certitudes par l’éloge que la troupe du sieur le Moine fait des
Citoyens
. Ajoutez à ce témoignage les marques de bienveill
de personnes à vivre et; à se conduire comme de bons et; de paisibles
citoyens
? Dès qu’on les aura intéressé à mener une vie ir
rie : vous en venez ensuite à un examen politique pour convaincre vos
Citoyens
que le Spectacle seroit aussi scandaleux pour leu
s seroient fâchés qu’on les contraignît à se vêtir comme le reste des
Citoyens
. La loi étant générale, ils seroient au contraire
ore pour faire valoir votre cause ? Le voici : « Ce sont les généreux
Citoyens
qui verront avec indignation ce monument du luxe
de ce monument. Soyez convaincu, Monsieur, que le nombre des généreux
Citoyens
, dont vous parlez ici, ne sera pas si considérabl
nt réduire les foibles honoraires de vos Magistrats, ni assembler vos
Citoyens
et; Bourgeois en Conseil général dans le Temple d
es donc plus un pompeux étalage de la nécessité d’entretenir chez vos
Citoyens
l’humeur martiale, la force et; la vigueur des At
es Piéces, sur le goût de parure qui se communiqueroit du Comédien au
Citoyen
, sur la pauvreté de la République, sur la crainte
re qui a donné matiere à mes repliques, par un souhait digne d’un bon
Citoyen
. Vous voudriez qu’on rappellât au sein de la patr
authentique de votre amour et; de vos respects, en lui restituant un
Citoyen
qui lui fait honneur, et; qui lui en feroit encor
is plus douce et plus insinuante. Dans une Démocratie au contraire un
Citoyen
est toujours instruit des motifs qui font agir le
’ont qu’une autorité passagère et dont ils sont comptables à tous les
Citoyens
en général ; chacun peut donc leur demander compt
er dans l’âme une espèce d’indifférence sur le sort de la Patrie. Les
Citoyens
alors ne s’occuperont que de choses frivoles, par
ilement leur aveugle et fougueux Patriotisme : ils seraient meilleurs
Citoyens
dans l’âme, mais l’Etat en serait peut-être plus
ait réformer leurs mœurs à cet égard, s’il parvenait à les rendre des
Citoyens
plus chauds, il pourrait arriver qu’il les rendra
ait en même temps turbulents, indociles, présomptueux, et ces ardents
Citoyens
abusant d’un excellent motif ne se seraient corri
me le maintien de leurs lois exige un plus grand nombre de véritables
Citoyens
, on a grand soin pour leur inspirer le Patriotism
tous les hommes en deux grandes Classes, il place dans l’une tous les
citoyens
de la Jérusalem céleste ; et dans l’autre il met
la Jérusalem céleste ; et dans l’autre il met ceux qu’il appelle les
citoyens
de Babylone. Les premiers se regardent comme des
ls en attendent d’autres qui seront plus grands et plus durables. Les
Citoyens
de Babylone au contraire ne songent qu’à se bien
ées avec tout le goût et toute l’intelligence possible ; là, tous les
Citoyens
bien ou mal disposés (ces derniers, remarquons-le
et en fait une partie de sa Thérapeutique. L’Abbé de Saint Pierre, ce
Citoyen
décidé dont les rêves ne roulaient que sur les mo
Théâtre qui tournât au profit du cœur et de l’esprit ; qui formât des
Citoyens
, des Pères et des Mères de famille, des Enfants e
plaisirs publiques. Les bonnes policesm prennent soin d’assembler les
citoyens
et les rallier, comme aux offices sérieux de la d
ment quelques traits. On annonce que l’ouvrage est fait pour tous les
citoyens
qui en ont besoin si souvent, « ’surtout dans les
les contestations du Clergé élèvent fréquemment contre la liberté des
citoyens
fidèles, en les rendant esclaves d’une domination
er l’éloge de cette femme forte qui seule prend en main la défense du
citoyen
fidèle. Elle nous fait voir, dit-on, que c’est de
re, pour mettre le Comédien au pair et de niveau avec tous les autres
citoyens
, même avec la Magistrature. « Voilà le précis d
de son sentiment. « Les bonnes polices prennent soin d’assembler les
citoyens
et les rallier, comme aux offices sérieux de la d
puiser. Il est très faux qu’il soit utile au public de rassembler les
citoyens
au spectacle ; ils n’y voient que les excès, les
é. Bien loin de convoquer une si mauvaise compagnie, et d’inviter les
citoyens
à s’y unir, la bonne police demande qu’on la diss
unir, la bonne police demande qu’on la dissipe, et qu’on empêche les
citoyens
d’y venir. Ils y perdraient leur vertu, et y appr
ccoboni, voit le Théâtre des mêmes yeux que le célèbre & vertueux
Citoyen
de Genève : mais loin de chercher, comme J. J. Ro
re, ce serait montrer qu’on est peu scrupuleux sur les obligations du
Citoyen
& de l’honnête-homme : le mépris de la Religi
mer ? » Enfin ajoutons à ces solides réflexions ce coup de pinceau du
Citoyen
de Geneve1 qui a peint l’objet d’après nature : «
lut une nouvelle loi pour défendre de faire la satyre personnelle des
Citoyens
. Il ne fut plus permis que de faire la satyre gén
édie Romaine ou togata ; parce qu’on s’y servoit de l’habit de simple
Citoyen
. Elle se sous-divisoit en quatre autres especes ;
par des Comédiens de profession. Les Acteurs des Atellanes étant des
Citoyens
, en conservoient tous les droits14 : ils servoien
us de leurs tribus, & jouissoient enfin de tous les privileges de
Citoyens
; au lieu que les Comédiens mercenaires étoient r
ien à perdre, aiment toujours le changement. Voilà les deux genres de
Citoyens
qui préparerent & avancerent la ruine de ce v
ce volume une note qui prouve que la Ville de Marseille a encore des
Citoyens
qui se font honneur de cette pureté de mœurs de l
pu y arriver, sans être de plus en plus surchargée d’une multitude de
Citoyens
désœuvrés dont on crut devoir occuper le loisir,
pousse la difficulté plus loin ; on ne peut, selon lui, (p. 14) être
citoyen
sans être fidéle, en France où la seule Religion
ffets de cette sorte d’Excommunication influent nécessairement sur le
citoyen
: par conséquent vous faites dépendre l’Etat des
nces temporelles qui trouvent bon que les qualités de fidéle & de
citoyen
se réunissent ; elle ne subsiste qu’autant de tem
recréation si indifférente, selon lui, aux Fidèles, si nécessaire aux
Citoyens
, & si instructive pour tout le monde. Une pri
nne & qu’on prend au théâtre, tous les Magistrats, & tous les
Citoyens
jaloux des mœurs publiques, s’uniroient pour la f
ecréation si indifferente, selon lui, aux Fidèles, si nécessaire aux
Citoyens
, & si instructive pour tout le monde . Une pr
nne & qu’on prend au théâtre, tous les Magistrats, & tous les
Citoyens
jaloux des moeurs publiques, s’uniroient pour la
iné pour les femmes ; l’Ephébicon, l’endroit où se plaçaient tous les
Citoyens
dès qu’ils avaient atteint dix-neuf ans : les Ech
s Ordres de l’Etat, n’est plus que l’occupation lucrative de quelques
Citoyens
oisifs. Alors le Philosophe Socrate & le Save
emens, & seroit un ornement de plus à la Capitale. Les besoins du
Citoyen
exigent le premier soin des Magistrats municipaux
la dédaigneuse opulence fait remper devant elle l’homme estimable. O
citoyen
! sois honnête, & brave tes tyrans. Que te fe
ssion de cette surveillance démontrera au clergé que s’il indique aux
citoyens
des devoirs à remplir, le prince et ses délégués
’étendre les lumières et d’ennoblir les sentiments d’une multitude de
citoyens
, dont la profession même exige le plus souvent de
dit, chacun voulut l’apprendre, tout devint pantomime. Ce mélange des
citoyens
avec les Acteurs est pernicieux même à l’art &
stinction entre l’artiste, qui devroit seul professer l’art, & le
citoyen
qui ne devroit que l’encourager & en jouir. L
de 1767 & le Journal de Trevoux de 1768 ont annoncé que plusieurs
citoyens
de la ville de Toulouse, amateurs des beaux arts,
honneur & du profit, a formé aussi sa société d’actionnaires. Ces
citoyens
zélés ont fait des offres avantageuses, ont implo
mœurs ? Il n’y a point là de peut-être. Le théatre, en corrompant le
citoyen
, a énervé la valeur par la mollesse, diminué les
amp; mette les mœurs dans le plus grand danger. Quelle ressource a un
citoyen
délicat sur le choix des plaisirs, a une mère ver
ns l’abyme du luxe, du faste, des folles dépenses, du libertinage, le
citoyen
& l’étranger. Ne fît-il qu’inspirer son goût,
étranger qui ne fait que passer, quel affreux ravage fait-il dans le
citoyen
qui y passe sa vie ? Le dévouement du Héros de C
ermettez au roi et à ses courtisans, ce que vous refusez à tout autre
citoyen
; s’accuse-t-on au tribunal de la pénitence d’avo
pas être d’un moindre prix aux yeux de Dieu que celles de tout autre
citoyen
, ne faisonsu point à la cendre de ceux dont le cœ
puté Théatre forains & étrangers : c’est déjà pour la plupart des
citoyens
un embarras, une dépense d’aller chercher au loin
cuse ! Comme s’il étoit plus permis d’être vicieux aux forains qu’aux
citoyens
, aux ambulans qu’aux permanens, comme si l’on dev
ans dans la paix, Obéissez au Peuple, écoutez ses décrets. Il fut des
citoyens
avant qu’il fut des maîtres ; Nous rentrons dans
é, un Périclès, un Caton ! Par la loi des 12 tables la réputation des
citoyens
n’est pas abandonnée à la licence des Poètes il n
on, ont déclaré les Comédiens infâmes, les ont même exclus du rang de
citoyens
et de toutes les tribus, comme remarque Cicéron :
ciel ces Dieux dont les adorateurs ne sont pas reçus au nombre de vos
citoyens
. Si vous voulez parvenir à cette céleste société,
ès-nécessaire, puisqu’il rend heureux tous les ans un grand nombre de
Citoyens
estimables. Avantages qu’en tirera la Postéri
ctable redoutable ; mais nécessaire, pour terminer les différents des
Citoyens
, & maintenir la paix dans la société. Des gen
tirer le public ; c’est-à-dire, les curieux, les gens de plaisir, les
citoyens
désœuvrés, des femmes, sur-tout les jeunes gens,
e est tant soit peu délicate. Ainsi, emporté par son génie, le fameux
Citoyen
de Genève compose de la musique Française ; &
usseau ; & sentiment d’un autre Auteur. Voici comme le fameux
Citoyen
de Genève définit la mélodie Italienne & la n
sez long passage d’un Auteur Français, qui achèvera de prouver que le
Citoyen
de Genève s’est beaucoup trompé dans les morceaux
éducation des enfants comme le moyen le plus assuré de former de bons
Citoyens
, il n’est cependant que trop ordinaire, même dans
part, et qui n’a point de rapport nécessaire avec les devoirs du bon
Citoyen
. Qu’on le prenne comme un amusement frivole, ou q
ruption, et les Poètes qui agissent ainsi manquent au devoir des bons
Citoyens
. Par ce motif, dans mes Règlements de Réformation
issent mutuellement ; ce n’est point en les détournant des devoirs de
citoyens
ou même de sujets, qu’il a prétendu établir sa mo
la patrie. Des cirques immenses réunissaient la presque totalité des
citoyens
, et les chefs-d’œuvre de Sophocle, d’Euripide, et
plus utile, et peut-elle être plus profitable pour l’universalité des
citoyens
! C’est d’eux-mêmes qu’elle les occupe, c’est la
es que tu as obtenus sur la scène ; les regrets, les vœux que tant de
citoyens
adressaient au Ciel, chacun à sa manière, ont bie
s du rôle de la tribu du commun peuple, et n’étaient point tenus pour
citoyens
Romains. Et au même temps Décime Laberie fut fait
inondas rendit une charge vile, glorieuse ; et changea l’envie de ses
citoyens
en admiration pour être toujours splendide et éga
'a-t-on pas à la scène de cette utile révolution ? Aussi les stupides
citoyens
, les graves Ecrivains qui ne respirent pas l'air
fréquentation du spectacle. Le théâtre est une république où tous les
citoyens
sont égaux, ou plutôt une anarchie où tout le mon
se qu’en particulier ! Et on laisse vomir, imprimer, et distribuer au
Citoyen
de Genève, des libelles infâmes, contre ce qu’il
fférent à un Monarque de gouverner des hommes ou des femmes. XLIV. Le
Citoyen
de Genève est encore le premier qui ait accusé le
sur les désordres qui troublent la paix des familles ou divisent les
citoyens
entre eux. Considérez l’union conjugale : n’est-e
s particuliers. Ecrasé sous son poids énorme, quel est aujourd’hui le
citoyen
qui peut respirer et satisfaire à des engagements
du gouvernement sur un objet pareil ; je me borne donc, comme simple
citoyen
, à indiquer la source du mal ; c’est aux mains ad
orts qui les lient au corps social, sans doute, comme tous les autres
citoyens
, ils méritent des égards. Mais c’est donner une b
aient exercer publiquement, sans déroger à toutes les prérogatives du
citoyen
, et où, comme le remarque très judicieusement un
e ! » Mais la peinture de ces délits qui compromettent la sûreté des
citoyens
, n’est peut-être pas ce que le théâtre offre de p
vrais intérêts de l’état, si intéressé à la conservation du sang des
citoyens
, on ne peut réellement se dispenser de se mesurer
nt sur le théâtre une morale propre à corrompre la masse générale des
citoyens
. Sans nous inquiéter de ces vaines clameurs, que
eur ou l’esprit de parti tentent de flétrir jusqu’à l’honneur même du
citoyen
; l’avocat est leur égide tutélaire et le vengeur
ivent obéissance et soumission, que désordre et dérèglement parmi les
citoyens
; enfin que peines et désespoir dans la plupart d
de ignorance des dogmes qu’ils combattent, je serais encore assez bon
citoyen
pour renfermer dans ma triste pensée des opinions
t homo non separet ! » 9. NDA La grande et constante affluence des
citoyens
de tous les ordres dans les églises de Paris à l’
es de frivoles et ridicules passions, dans des conjonctures où chaque
Citoyen
doit prier pour son Prince ; où le Roi s’humilian
édommagera de toutes les pertes, &, en détournant l’attention des
citoyens
sur les malheurs publiqcs & particuliers, il
par les grands mêmes, & payés par la République ; & tous les
citoyens
en foule, les grands à la tête, oubliant les sent
en foule, les grands à la tête, oubliant les sentimens naturels à un
citoyen
, à un gentilhomme, à un républicain, se sont étou
, eu égard à la religion, doivent être considérés à l’égal des autres
citoyens
et comme ayant, aux mêmes conditions, les mêmes d
s qui ont inventé le spectacle ont moins songé à amuser ceux de leurs
citoyens
qui vivaient dans l’oisiveté qu’à instruire le pe
Il fit substituer ceux-ci : De l’ouvrier actif qui cultive sa terre,
citoyen
estimé, les soins industrieux, dont lui-même a cr
t vérifie déjà la prédiction de J. C., putas, inveniet fidem , quels
Citoyens
, quels Peres de famille, quels Magistrats prépare
en. Du reste, il doit être traité par l’église, comme tous les autres
citoyens
qui professent la religion chrétienne. Le prêtre
de l’église, en frappant d’opprobre, un cadavre que le prince et les
citoyens
honorent et qui dans l’ordre social réclame les é
Magistrat, ni Militaire, ni artisan, ni laboureur, ni aucun genre de
citoyen
, mais des hommes frivoles, à charge à la société.
emiers temps de la République, où la comédie était inconnue, tous les
citoyens
s’établissaient et peuplaient l’Etat ; le divorce
s de frivoles et ridicules passions, dans des conjoncturesh où chaque
citoyen
doit prier pour son Prince j ; où le Roi s’humili
peut obtenir le sépulture ecclésiastique. Sont-ce des Chrétiens, des
citoyens
, des gens sages, qui ont proposé à toute la Franc
de la bizarrerie de nos usages. On le voit encore dans l’Académie. Un
citoyen
vertueux réformateur de la patrie. C’est encore u
t ni l’un ni l’autre. Désavoué par la patrie, & privé du droit de
citoyen
. Que veut-on dire ? il vécut dans Paris comme les
t de citoyen. Que veut-on dire ? il vécut dans Paris comme les autres
citoyens
: on veut faire une antithèse. L’honneur séparé d
peuple, & enfin prépare la ciguë au plus juste, au plus sage des
citoyens
. Ce n’est là, comme on voit, qu’une suite d’antit
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