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1 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
mmencer par secouer ces entraves ridicules qu’on donne à l’esprit des Citoyens . Alors il devient permis de publier ses pensées,
ution. Un Gouvernement, ami des hommes, voudroit le bonheur de chaque Citoyen , & l’éclat de la société entière. Mais le bon
toyen, & l’éclat de la société entière. Mais le bonheur de chaque Citoyen dépend de l’égalité politique de tous les Citoyen
e bonheur de chaque Citoyen dépend de l’égalité politique de tous les Citoyens  ; & plus chaque Citoyen est heureux dans son
épend de l’égalité politique de tous les Citoyens ; & plus chaque Citoyen est heureux dans son intérieur, plus la société e
la publication de la pensée en tout ce qui ne nuit point au droit des Citoyens . Or, comme ce droit des Citoyens est essentiellem
ut ce qui ne nuit point au droit des Citoyens. Or, comme ce droit des Citoyens est essentiellement égal pour tous, il est très-é
-à-dire un livre utile, devient la seule action publique permise à un Citoyen qui ne veut point descendre à des démarches humil
e Nation, victime de sa rage, lui doit encore des égards, & qu’un Citoyen de cette Nation ne peut la venger après deux sièc
de leur déplaire, en disant tout haut des vérités énergiques ? Un bon Citoyen ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un vérita
bien loin de lui manquer de respect, j’aurois fait le devoir d’un bon Citoyen . Par conséquent il est démontré que votre objecti
ragiques, ces grandes époques de l’Histoire, qui intéressent tous les Citoyens  ; & non plus ces intrigues amoureuses, qui n’
ion Françoise ; & vous, Prêtres, qui ne dédaignez point le nom de Citoyens François ; c’est à vous maintenant que je m’adres
ruction publique. L’instruction publique est importante pour tous les Citoyens . Prêtres qui siégez parmi les Représentans de la
ns. Prêtres qui siégez parmi les Représentans de la Nation, vous êtes Citoyens , vous êtes envoyés dans cette Assemblée pour y ex
ns sacerdotales. XXIV. Vous tous, Législateurs élus par le Souverain, Citoyens de toutes les professions ; vous tous que nous av
er pour l’utilité publique. Cette raison devroit seule déterminer des Citoyens  ; mais cette raison, déjà si forte, n’est ici que
toujours ma seule éloquence. Ce n’est pas comme Ecrivain, c’est comme Citoyen que je veux mériter l’estime. Je consens que l’on
ix une protection particulière, que ne partageroit point le reste des Citoyens . Des loix équitables ne connoissent point d’accep
équitables ne connoissent point d’acception pour certaines classes de Citoyens  ; mais elles ne connoissent pas non plus d’except
s non plus d’exception. Si cette locution, le premier, le dernier des Citoyens n’étoit pas une locution absurde, il seroit vrai
t pas une locution absurde, il seroit vrai de dire que le dernier des Citoyens doit jouir dans la même étendue que le premier de
més par les loix. Ce qui est juste, ce qui est injuste à l’égard d’un Citoyen , est juste, est injuste à l’égard d’un autre. Il
révolution, alors le nom de François deviendra le plus beau nom qu’un Citoyen puisse porter ; alors nous verrons s’élever des v
un instant que les loix doivent également protéger tous les Ordres de Citoyens , que toute acception de personne ou d’état, est u
on, que tout ce qui ne gêne point l’ordre public doit être permis aux Citoyens , & que par une conséquence nécessaire, il doi
andus de nos jours avec tant de profusion, pour troubler le repos des Citoyens & déshonorer des familles entières. Mais je n
ur qu’une Nation jouisse de la liberté individuelle, il faut que tout Citoyen de cette Nation puisse faire librement tout ce qu
point la sûreté personnelle, l’honneur & la propriété des autres Citoyens . Aucun homme juste, aucun homme doué de raison ne
p; la constitution n’est pas libre, je ne dis pas quand une classe de Citoyens , mais quand un seul Citoyen ne jouit pas de cette
libre, je ne dis pas quand une classe de Citoyens, mais quand un seul Citoyen ne jouit pas de cette liberté dans sa plus grande
résentées avec la franchise altière d’un ami de la vérité, & d’un Citoyen digne de respirer un air libre. Je n’adopterai ja
2 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
cène, a été charmé de connaître en vous les estimables qualités d’une Citoyenne , jalouse de sa réputation en un point plus essent
vanté, ne put convaincre le Sénat du droit qu’il voulait se donner de Citoyen Romain. Cicéron, son Orateur adverse, employa les
t en parlant de son Client, de termes qui ne peuvent convenir qu’à un Citoyen , et à un Citoyen recommandable. Cet homme, dit-il
on Client, de termes qui ne peuvent convenir qu’à un Citoyen, et à un Citoyen recommandable. Cet homme, dit-il, que tout le Peu
homme noté d’infamie. Mille autres traits font voir que Roscius était Citoyen et universellement respecté. Ce même Cicéron étan
Religion même ; que deviendrait leur mérite ? Croyez-vous que le bon citoyen , ou l’homme pieux, puisse entendre sans en être c
sont établis les Spectacles d’à présent est vraiment convenable à des Citoyens . On pourrait encore avoir là-dessus quelque doute
a-t-il pas reçu une tache en même temps que ses immunités ? Lorsqu’un Citoyen , quel qu’il soit, a contracté des dettes considér
es distinctions n’ôtent-elles pas le Comédiens de l’ordre général des Citoyens  ? Il faut convenir que de semblables prérogatives
si vous y réussissez, vous aurez justement uni le titre d’excellente Citoyenne à celui d’admirable Actrice. Voici comme j’imagin
tous les genres, non seulement seraient soumis aux Lois générales des Citoyens  ; mais il faudrait que les Magistrats eussent san
3 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
ouvait donc que s’applaudir de cette influence de la religion sur les citoyens , et pour perpétuer un état de choses aussi louabl
t de conciliant ; elle n’a point mis les prêtres au-dessus des autres citoyens , elle les a rangés au contraire dans la loi commu
ut en conséquence leur permettre d’appliquer des pénalités aux autres citoyens , parce que le Clergé se trouverait, par ce fait,
Clergé, qu’une fois le gouvernement les ayant tolérées à l’égard des citoyens , il se verrait bientôt attaqué lui-même, corps à
et d’action, qu’ils auraient commencé d’abord par soumettre tous les citoyens du royaume. La puissance séculière, livrée à elle
r la personne des rois et sur un si grand nombre de particuliers. Les citoyens une fois rangés pour ainsi dire sous la bannière
t lorsque ces peines deviennent infamantes, et attirent sur ces mêmes citoyens le mépris et la vindicte publique, effets réels d
n’attentera en rien aux droits qu’elle consacre à l’égard de tous les citoyens . En effet, la religion catholique n’aurait aucune
4 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
utiles à l’Etat Je suis de l’avis de ceux qui pensent que les bons citoyens dans leur belles pièces sérieuses peuvent inspire
ageux, 1°. Que le Conseil établisse une compagnie de huit ou dix bons Citoyens connaisseurs, qui sous la direction du Magistrat
l est de la bonne police de former quelques Poètes excellents et bons Citoyens , et d’en faire des Officiers importants à l’Etat
gréable. La raison nous dicte donc de travailler à fortifier dans les Citoyens , un des deux principaux motifs des actions des ho
iminels : et serait-ce un projet digne d’un honnête homme et d’un bon citoyen d’employer beaucoup d’esprit à exciter des larmes
et morts sur la roue, pour l’infâme Catilina détesté de tous les bons citoyens  ? Je crois même qu’ils eussent aperçu et qu’ils e
souciait point du tout du but de la politique qui est d’inspirer aux citoyens par des traits de ridicule le mépris et l’indigna
es sentiments de vertu entreraient avec le plaisir dans les cœurs des Citoyens , et par le perfectionnement de nos mœurs, la soci
5 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VI. Des Comédiens français rétablis dans leurs droits civils et religieux, à raison de leur profession, et entièrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’Eglise. » pp. 130-133
itre, soumis à l’autorité séculière ; premièrement en leur qualité de citoyen , qui les soumet à la puissance temporelle, comme
vu toutefois que les acteurs se soumettent, ainsi que tous les autres citoyens , aux devoirs de chrétien et aux pratiques de reli
is. S’il en était autrement, il y aurait de la barbarie à engager des citoyens , à les exciter à embrasser un état qui les dévoue
6 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « [Épigraphe] » pp. -6
r… c’est la Vertu sous un nom plus gai. Young. Ainsi rappelait ses Citoyens par des Fêtes modestes, & des Jeux sans éclat
rieuse oisiveté, tout était plaisir & Spectacle… C’est-là que les Citoyens , continuellement assemblés consacraient leur vie
7 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
n un mot, les Romains avoient tant de mépris pour les Acteurs que les Citoyens , qui montoient sur le Théâtre, étoient chassés de
ui étoit la peine la plus infamante dont les Censeurs punissoient les Citoyens  : Cùm artem ludicram scenamque totam probro duce
laroient les Acteurs infâmes, leur ôtoient le titre & le droit de Citoyen Romain, & mettoient les Actrices au rang des
pensions aux Comédiennes ; mais les personnes sensées, les véritables Citoyens , qui estiment peu le dangereux & le frivole,
t des sueurs & des travaux du laboureur tombant sous le faix ; du Citoyen religieux, qui compte pour peu le Théâtre ? Qu’il
x à la société, dit un Auteur moderne, que de voir tous les jours des citoyens consacrer leurs plus beaux jours à des filles de
8 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
ent quelques traits. On annonce que l’Ouvrage est fait pour tous les Citoyens qui en ont besoin si souvent, sur-tout dans ces t
les contestations du Clergé élevent fréquemment contre la liberté du Citoyen fidéle,, en le rendant esclave d’une domination a
ormer l’éloge de cette femme forte, qui prend en main la défense d’un Citoyen fidéle. . Elle nous fait voir , dit-on, que c’e
our mettre les Comédiens au pair & de niveau avec tous les autres Citoyens , Marchands, Avocats, & même avec la Magistrat
9 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
-à-vis de l’église, un acteur doit être considéré à l’égal des autres citoyens , puis qu’il est citoyen lui-même et qu’il jouit d
teur doit être considéré à l’égal des autres citoyens, puis qu’il est citoyen lui-même et qu’il jouit de tous les droits civils
jouit de tous les droits civils sous la protection des lois. Tous les citoyens , en effet, qu’ils soient comédiens ou non, lorsqu
10 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Fautes à corriger. »
Fautes à corriger. page 68, ligne 9 : Citoyens  ; lisez, Citoyennes. — 78, ligne 12 : ôtez le sec
Fautes à corriger. page 68, ligne 9 : Citoyens ; lisez, Citoyennes . — 78, ligne 12 : ôtez le second pas. — 117, lign
11 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
en dédaignant les formes prescrites par l’église, exercer contre des citoyens et sans l’aveu du prince, une action publique, un
eur profession d’acteur de comédie, et ils feignent d’ignorer que ces citoyens sont autorisés à exercer leur art sous la protect
, honorés et honorables, sont entièrement assimilés à tous les autres citoyens  ; nous l’avons prouvé, et par conséquent, ils ne
12 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
en atteignant le terme de la carrière ; de donner pour amusement, le Citoyen qui a rempli les devoirs de fils, d’époux, de pèr
e dangereux, c’est Paris, ou Londres, ou Rome, &c. il avertit les Citoyens que tel vice existe dans la société, & qu’on
ovince, pourvu que chaque Ville n’eût d’autres Acteurs que ses jeunes Citoyens , formés de la manière que vous l’indiquez. Ad
si courte, & le temps précieux ; Qu’un père, un fils, un mari, un Citoyen , ont des devoirs si chers à remplir, qu’ils ne le
de boue, sans doute pour avoir droit de la méconnaître ? Cet honnête Citoyen ne dit pas un mot qui ne soit d’accord avec la ra
le, dans un pays où les scélératesses scéniques n’apprennent rien aux Citoyens  ; & où le mépris de toute morale, ne laisse q
Tragédie patriotique, tout cela me paraît fort sage : vous êtes bonne citoyenne , mon amie. Adelaïde. Nous en sommes aux Dram
pratique, on pourrait décerner l’Eloge Théâtral au bon Magistrat, au Citoyen utile d’une manière grande & générale, de que
e, dont elle aura dessiné les situations : de jeunes & vertueuses Citoyennes y laisseront, à la vérité, voir la finesse de leu
urs de Quinaut, & de ses successeurs dans la bouche de nos jeunes Citoyennes . Honorine. Les précautions de l’Article II,
ns, Egyptiens, Gaulois : chez tous ces Peuples ce furent les premiers Citoyens qui furent Poètes & Acteurs ; le Comédisme ét
N’est-ce pas assez ? passons en Amérique, vous trouverez des Acteurs Citoyens dans l’Etat le plus policé de cette partie du mon
tentit d’applaudissemens, de cris de joie ; on combla d’éloges ce bon Citoyen  ; on le glorifiait ; on s’honorait d’avoir la mêm
moyen de la procurer est trouvé : le Comédisme honorera desormais le Citoyen & la Noblesse elle-même. Honorine. Je vo
iques Grecques. L’empire de celles-ci fut toujours très borné : leurs Citoyens ne se crurent jamais au-dessus des Monarques ; la
richesses s’introduisent dans la Ville & corrompent les mœurs. Le Citoyen , qui n’avait auparavant des Esclaves que pour lab
te espèce ; mais rarement ils accordèrent à ces étrangers le titre de Citoyens  : on aimait l’Art, mais le Maître était vil : car
re de Citoyens : on aimait l’Art, mais le Maître était vil : car d’un Citoyen Romain, jouissant des plus belles prérogatives, à
les métiers étaient le partage des Esclaves & des Etrangers : le Citoyen Romain, brave, fier, était ignorant comme un Bern
tre ; qui souvent était esclave lui-même. Un Romain, c’est-a-dire, un Citoyen conservé dans tous les droits & dans toutes l
t dans leurs Acteurs, moins des gens qui jouaient des Fables, que des Citoyens instruits, qui représentaient aux yeux de leurs C
es Ministres composent-ils le premier Ordre de l’Etat ? Quel ordre de Citoyens , que celui qui ne peut subsister par lui-même ? P
s propres Pères ? Pourquoi voir dans nos Prêtres, autre chose que des Citoyens estimables, qui se consacrent à la concorde publi
res : il faut que ces derniers rentrent aussi dans les deux ordres de citoyens , la Noblesse & la Roture, les seuls légitimes
u que les Comédiens furent avilis à Rome, dès qu’ils cessèrent d’être Citoyens  ; nous voyons qu’ils sont Létris parmi nous. Le P
agination : Mais une tendre Epouse, mais l’Etat à qui nous devons des Citoyens , ont bien une autre importance que toutes les chi
mp; nos Actrices, & voyons si leurs mœurs peuvent être celles des Citoyens ordinaires honnêtes gens, estimables en tout. De
hommes, il s’ensuit que cet état ne peut tenter que ceux d’entre les Citoyens , qui méprisent les bienséances : parmi ceux qui p
décidé pour un Art honorable, fait renoncer à tous les avantages des Citoyens , parce qu’ils espèrent de forcer un jour leur pat
ns, aussi desirable qu’elle est nécessaire. Le premier, c’est que des Citoyens honnêtes, de mœurs irreprochables, pourraient se
accompagnées les leçons ou les exemples de la vertu, transmis par une Citoyenne honnête, plus considérée par son mérite que par s
version des Loix. Alors, sur un Théâtre appartenant à l’Etat, que nos Citoyens les plus favorisés des dons de la nature, viennen
ivre que pour lui. Si l’amour de la gloire fait les Héros, les grands Citoyens  ; le mépris des jugemens des hommes fait les gran
bles avantages du nouveau Théâtre, de mettre dans l’âme de nos jeunes Citoyens , une extrême sensibilité aux applaudissemens, aux
au-dessus de ce qu’on peut imaginer, sur cette glorieuse portion des Citoyens  : qu’on leur fasse envisager le louable & l’u
13 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
dévoue la jeunesse au théâtre. On a vu dans telle ville plus de cent citoyens , pauvres à la vérité mais honnêtes, et pouvant pa
t payé le prix ; c’est une infamie concentrée dans un petit nombre de citoyens avilis et dégénérés, que le public ne partage poi
erce utile et décent ? Plus cette nouvelle voie menace d’engloutir de citoyens , plus elle doit fixer les vues et les opérations
ans la crise du développement des qualités qui font le Chrétien et le citoyen , un enfant soit arraché à ses foyers paternels po
hommes dans leurs travaux, envoyât dans le cœur, dans la fortune des citoyens des malheurs multipliés, propres par leur concour
tte fureur des spectacles mimiques qui a gagné toutes les classes des citoyens , qui se déploie avec une fureur qui va toujours e
les ; je le peindrois comme un gouffre qui engloutit la substance des citoyens , la propriété des commerçans, les secours des pau
u vice et de la plus incorrigible licence. On verroit des milliers de citoyens détruits par la chute subite des édifices consacr
naturel de l’examen public, et la discussion en appartient à tous les citoyens . Il en est d’un genre différent, dont les chefs d
14 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
il. Lorsque les prêtres sont parvenus à augmenter leur action sur les citoyens au mépris des lois civiles, ils finissent par att
te monarchie légalement instituée : « Qu’un prince qui maltraite ses citoyens est une bête féroce, cruelle et pernicieuse ; «
débats domestiques qui deviennent funestes ou au gouvernement ou aux citoyens . 11. [NDA] Salmeron, comm. in evang. part. 3 t
15 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
t des autres ; les représentations théâtrales formeraient le goût des citoyens , et leur donneraient une finesse de tact, une dél
ient dignes, enfin absolument placés sur la même ligne que les autres citoyens , cette ville aurait bientôt l’avantage de posséde
puis la publication de ce volume, de jeunes Genevois, d’ailleurs bons citoyens , n’attendent-ils que le moment de favoriser l’éta
16 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
comédiens que j’ai entrepris de défendre. Ceux-ci en leur qualité de citoyens , ont un droit incontestable à la protection du pr
islative et exécutive dans l’état et punirait dans le corps mort d’un citoyen , le zèle et le dévouement que celui-ci aurait app
jets du roi, et soumis à toutes les lois du royaume, comme les autres citoyens , mais ils ne peuvent dans l’exercice de leurs fon
17 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210
ait l’heure du spectacle sur celle où les occupations nécessaires des citoyens sont terminées. Un Officier ne manquera pas la Pa
l ne s’assujettissait pas à l’heure où les occupations des principaux citoyens sont terminées. Il y a telle ville du Royaume où
on en faveur du pays ; augmenter la circulation, c’est multiplier aux citoyens les occasions d’accroître leur fortune ; varier l
r les gens de mauvaise vie attachés au spectacle comme sur les autres citoyens dont les mœurs sont corrompues. Tout le monde a b
tacles du Roi, croient leur gloire intéressée à ne commander qu’à des citoyens et non pas à des gens proscrits ; qu’ils daignent
es Comédiens ravis de pouvoir se compter au nombre des Fidèles et des Citoyens chercheraient à mériter ces titres, d’autant plus
op rigoureuses puisqu’elles sont les mêmes auxquelles tous les autres citoyens sont assujettis et habitués. Si les Comédiens, do
ourgeoisie en général : je sais combien cette classe renferme de bons citoyens , de gens vertueux et respectables. Je sais que le
talent qu’on admira à Lacédémone, et le seul objet de l’étude de ses citoyens  ; étude barbare, que les sanguinaires admirateurs
r rendre les privilèges qu’on accorde dans la société à tous les bons citoyens . Les Dames Romaines, les jeunes Sénateurs s’oubli
pour insulter par des satires odieuses et personnelles les meilleurs citoyens , et alarmer la pudeur par l’exécution de rôles in
ut cela me les fait voir tels qu’ils sont, d’honnêtes gens et de bons citoyens . Je ne vois pas non plus des Mursius, des Pétrone
18 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
nter une Parade de l’espèce de celles que nous venons de définir ? Un Citoyen , qui jouit de la réputation d’honnête-homme (M. R
arade (Paliss… de M…) en a fait une seconde, où il a embrassé le même Citoyen qui avait obtenu son pardon, avec un grand nombre
19 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35
Philosophes ; à son tour il ne compte guere d’être peuplé de pareils citoyens . Enfin pour ne rien perdre des divers genres de m
ent la dédicace, & donnerent au Sieur Durosoi le titre pompeux de Citoyen de Toulouse, ce que plusieurs d’entr’eux ne sont
accordé en recompense ce titre brillant, comme les Capitouls celui de Citoyen . Il est vrai qu’il n’y a eu ni pension ni présent
oliers, & les qualités sublimes d’Annaliste, d’Historiographe, de Citoyen . La Tragédie de Richard, l’Opéra des trois Roses
les décorent du titre de Licentié & de Docteur, comme de celui de Citoyen & d’Historiographe ? Les aventures du Sieur D
; il parle de tout. Mais il prend le titre nouveau de Greffier de ses Citoyens . Il seroit bien embarrasse à montrer sa commissio
es Citoyens. Il seroit bien embarrasse à montrer sa commission. Aucun Citoyen ne l’a chargé d’écrire. Il s’appelle Pavanne, Gre
elle Brevet la prétendue délibération de l’Hôtel-de-ville qui le fait Citoyen de Toulouse. Ce nom qui ne convient qu’à ce qui é
on Drame. Le présent est mediocre, il est vrai qu’il vaut le titre de Citoyen , & il faut avoir la fatuité d’un Comédien pou
20 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232
firent une Loi, par laquelle il était ordonné, que lorsqu’un mauvais Citoyen aurait ouvert un bon avis, avant de le communique
seront dues comme Poètes, seront couronnés sur le Théâtre, comme bons Citoyens . ‌ Art. III. Comédies. On pourrait ranger nos
ue. Nous regarderions ces Théâtres, comme destinés à récréer ceux des Citoyens dont les mœurs ne sont pas sévères : une mère sau
; d’en réformer tous les abus. Chez les Grecs, dit-on, l’Acteur était Citoyen , & tout Citoyen qui se connaissait des tatens
les abus. Chez les Grecs, dit-on, l’Acteur était Citoyen, & tout Citoyen qui se connaissait des tatens, pouvait être Acteu
sans renoncer aux places, aux emplois que l’on exerçait en qualité de Citoyen . On vit donc sur le Théâtre d’Athênes des Générau
Généraux d’armées, c’est-à-dire, des hommes égaux aux Rois, & des Citoyens distingués par leurs talens & leur vertu. Le
our lequel il décernait la couronne, & présentait en même-tems le Citoyen qui devait la recevoir. Toute l’Assemblée réponda
es factions Théâtrales qu’il occasionnait, n’étaient sûrement pas des Citoyens Romains. Le nom d’Acteur, honoré par les Grecs, p
nnent les usages de ces deux Peuples : Le premier nous apprend que le Citoyen peut être Acteur : le second, nous porte à croire
; il y réussirait difficilement. Quel avantage pour la Nation, si des Citoyens éclairés, en même-tems qu’ils chercheraient le ta
seront admis à y faire briller leurs talens, ne devront être que des Citoyens aisés. Ainsi, dans les maisons publiques d’éducat
’Exercice n’auront rien de libre, ou même de trop tendre ; d’honnêtes Citoyens qui se connaîtront du talent, pourraient y faire
jeunes-gens des deux sexes étant obligés de remplir leurs devoirs de Citoyens , à l’exemple des Acteurs Grecs, ils doivent, comm
de l’Actrice, Hippolyte ou Phèdre, Célimène ou Alceste eux-mêmes. Les Citoyens destinés aux grands emplois, acquerront sur le Th
raient aimés & connus. Les Rôles inférieurs étant remplis par des Citoyens d’un autre ordre, ceux-ci apprendraient à obéir,
des Pyrrhiques, qui traceront une exquisse de la Pièce. Nos Danseurs Citoyens & nos Danseuses, seront choisis, de même que
douze Directrices, & douze Directeurs choisis parmi les honnêtes Citoyens , depuis la première condition, jusqu’à la dernièr
. Les Spectacles offriront tous les jours une récréation honnête aux Citoyens  : au moyen des règles ci-dessus, elle sera toujou
& ne jouissent d’aucuns priviléges onéreux à l’Etat. Ce sont des Citoyens , des fils, des frères, des amis, auxquels la sati
urs contraignirent aussi quelquefois des enfans de Sénateur & des Citoyens à se donner en Spectacle. 2. On ne jouait pas ha
la Nation n’en serait pas moins fréquenté. Tous les jours de nouveaux Citoyens se montreront sur nos Théâtres ; on voudra du moi
21 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
ouve beaucoup de Riches, que le Spectacle ne dérangera pas, comme les Citoyens de Genève, de leurs importantes occupations, il e
forcés d’oublier jusqu’à leurs calamités : par-là l’on fait aimer au Citoyen un pays où il trouve des plaisirs inconnus ailleu
& les Romains, une affaire d’Etat ; que, s’il était possible, le Citoyen y fût admis sans paraître contribuer en rien à la
tte raison même, c’est à lui, s’il prétend au mérite solide d’être un Citoyen utile, estimable, à ne fournir au Comédien qu’un
grands hommes ; ces Drames ne pourraient qu’échauffer dans nos jeunes Citoyens l’amour de la gloire, du Prince* & de la Patr
seconde avec une liberté inconnues par-tout ailleurs. 4. Pourquoi les Citoyens d’une Ville médiocre seraient-ils pour jamais pri
22 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
vec des notes d’un théologien, et réponse à la lettre de M. Rousseau, citoyen de Genève, Amsterdam, Zacharie Chatelain et fils,
le. Réédition • Lettre de Monsieur d’Alembert à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève, Amsterdam, Marc-Michel Rey, in-12, 60 
ource. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. A suscité en rép
BVIL.   N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Bayle, arti
(1725?-1801) : L. H. Dancourt Arlequin de Berlin à Mr. J. J. Rousseau citoyen de Genève, Berlin, Amsterdam, J. H. Schneider, 17
Rééditions • L. H. Dancourt Arlequin de Berlin à Mr. J. J. Rousseau citoyen de Genève, Berlin, Lausanne, François Grasset, 17
224 p. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Dancourt, L
578D, ARTFL) [a suscité en réponse Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758] ; • « Scéniques
Saint Cyr ; 1726-1803) : P. A. Laval, comédien, à M. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. Sur les raisons qu’il expose pour réfu
oogle. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Le Bœuf, J.
u, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Le Bœuf, J. J. L. B. citoyen de Marseille, à son ami, 1760 • Le Bœuf, Jean-
à son ami, 1760 • Le Bœuf, Jean-Joseph (1730?-1799?) : J. J. L. B. citoyen de Marseille, à son ami, sur l’atrocité des parad
BVIL.   N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Le Brun, Di
9 II). Corpus OBVIL.   N.-B. Voir Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. A suscité en rép
→ Texte : « Apologie du Théâtre. Analyse de la lettre de M. Rousseau, Citoyen de Geneve, à M. d’Alembert, au sujet des Spectacl
) : Critique d’un livre contre les spectacles intitulé J. J. Rousseau citoyen de Genève à M. D’Alembert, Amsterdam et Paris, La
BVIL.   N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Millin de G
2 à la même date. Rousseau, Jean-Jacques, Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758 • Rousseau, Je
1758 • Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) : Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert […] sur son article Gen
t », p. 194-458, in Collection complete des œuvres de J. J. Rousseau, citoyen de Genève, t. XI : Mélanges, vol. 1, Genève, s. n
, P. A. Laval, comédien, à M. Rousseau, 1758 ; Le Bœuf , J. J. L. B. citoyen de Marseille, à son ami, 1760 ; Marmontel , Apol
ologie du théâtre, 1758-1759. Voir Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Sélis, Lett
Considérations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve, Genève, Henri-Albert Gosse [= Paris, A
tion • Lettre d’un écolier de philosophie a monsieur J. J. Rousseau, citoyen de Genêve & habitant de Montmorency. En répon
llica. N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Villiers, E
BVIL.   N.-B. Publié en réponse à Rousseau , Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Yves de Par
23 (1804) De l’influence du théâtre « PREFACE. » pp. -
rallume partout le feu sacré de l’amour de la Patrie. Le dernier des Citoyens , alors, met toute sa gloire et tout son bonheur à
aidant à supporter les peines de la vie, elle conservait à l’Etat des Citoyens utiles. Jetant ensuite un coup-d’œil rapide sur l
24 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
le vice, les usages et les institutions humaines, loin de rendre les citoyens plus sages et plus heureux, contribuent très souv
ées après eux, la conquête de la Grèce et la servitude d’Athènes. Les citoyens de cette ville, autrefois si formidable à ses enn
25 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
le commerçant, ni l’artisan, ni père, ni fils, ni mari, ni épouse, ni citoyens , qui au contraire nuisent à tous les états et à t
affecte ou recherche trop. Ce n’est même qu’un très petit nombre des citoyens du théâtre qui y recueillent ces prétendus fruits
tic. L. 7. C. 15.) dit qu’il faut bien se garder de laisser aller les citoyens à la comédie. « Faible remède, dit Bodin à l’endr
losophiques qui éclairent l’esprit, des repas innocents qui lient les citoyens . Jamais nos plus graves Théologiens n’ont porté p
eut du moins qu’on tâche d’en prévenir les abus, il ne permet à aucun citoyen ni à aucune personne libre, de monter sur la scèn
soumis, moins simple, moins modeste, moins sobre, moins sujet, moins citoyen qu’un autre. Le vice y gagne, donc l’Etat y perd.
26 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
es sujets du prince. Ils sont par conséquent soumis, comme les autres citoyens , à la loi commune ; mais il ne faut pas oublier q
lus, de l’expédition des actes importants de la vie et de la mort des citoyens , ils étaient chargés de les enregistrer comme mag
la sépulture, à entraver ou empêcher les mariages, et à tracasser les citoyens pour l’enregistrement des actes de naissance ; qu
te jésuitique, au point de commettre la faute politique, d’exiger des citoyens , que l’acte religieux précède l’acte civil, pour
27 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
d’hommes recommendables qui l’ont proposée avant moi ; ou plutôt tout citoyen vertueux la demande au fond de son cœur. Ne perdo
dangers*. Quelle ressource cette Capitale par exemple offre-t-elle au Citoyen timoré & délicat sur le choix des plaisirs ?
itique y étoit présentée d’une maniere générale pour ne blesser aucun Citoyen  ; ayant dégénéré en différents temps, la Républiq
28 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
oblème : car n’en déplaise à ceux qui les rejettent hors du corps des Citoyens , ces sévères censeurs ne forment pas le général ;
ns autant qui les y admettent) : décidons cet état. Ils ne seront pas Citoyens  : ce seront des hommes & des femmes destinés
ves publics, qui mettront en action, l’ouvrage d’un homme libre, d’un Citoyen distingué : on ne verra plus que l’Auteur dans le
dirait, sous les peines les plus sévères, cette occupation à tous les Citoyens nés légitimes. Voici comme j’imagine que pourrait
Actrices, seront libres, & ne seront point distingués des autres Citoyens . Ils hériteront du pécule de leurs pères & mé
ils soient honnêtes, nos frères, nos égaux, nos amis ; bien plus, des Citoyens , élevés au-dessus du vulgaire, par leur mérite, l
29 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
ssa de venir s’instruire & s’amuser à ces Spectacles, où quelques Citoyens préservés de la contagion générale & fermes p
teurs n’excitent à présent, pour me servir des expressions du célebre Citoyen de Genêve11, que des mouvemens stériles & pas
a résulter de toute cela, sera que nous aurons toujours de fort plats Citoyens , & des Citoyennes fort insipides. Je le répet
cela, sera que nous aurons toujours de fort plats Citoyens, & des Citoyennes fort insipides. Je le répete, on ne saurait doute
qui abondent aux Spectacles Forains, fait mourir ou estropie plus de citoyens & de citoyennes, en un an, que la guerre ne d
Spectacles Forains, fait mourir ou estropie plus de citoyens & de citoyennes , en un an, que la guerre ne détruit de soldats en
, on risque la corruption & la perte, pour l’Etat, d’une foule de Citoyens  ! Et qu’importe à l’homme vertueux, dira-t-on, qu
les sont publiques ; ceux qui les dirigent jouissent de la qualité de Citoyens  ; je le répete, je ne doute point qu’ils ne soien
mal montées. Il est une vérité certaine en politique, c’est que tout Citoyen doit être utile à son pays, soit par ses talens &
encore moins une honnête femme. Si par hazard il se trouve huit à dix citoyens vraiment respectables, sur sept à huit cents spec
e, le cercle, peut-être peu nombreux, mais presque toujours choisi de Citoyens honnêtes & éclairés, que le desir naturel de
est de toute fausseté qu’il faille des Spectacles pour la classe des Citoyens les plus indigens. 2° Parce que quand bien même i
ne injure proférée contre la sagesse & l’innocence. Si l’illustre Citoyen de Genêve a raison d’avancerLettre sur les specta
être dans le malheur public, se déchaînent contr’eux : mais les vrais Citoyens , qui n’ont en vue que le bien, de la Patrie, s’él
ts n’est pas moins précieuse au Roi & à la Société, que celle des Citoyens constitués dans les plus hautes dignités. C’est l
t de ses travaux. 41. Dans tous les Etats, mettez, à la place de ces Citoyens dont les mœurs pures sont formées par une bonne é
ra la première victime. L’ami du Prince & de la Patrie, ou le bon Citoyen , par M. de Sapt. I. Entretien. Liv. I. Ch. 1. Li
30 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Post-scriptum. » pp. 201-216
ionales, côté du domaine de la patrie, où une portion considérable de citoyens honnêtes et utiles, dont la plupart, pères de fam
, asservis de fait, ne jouissant que très-illusoirement des droits de citoyen et des bienfaits de la liberté, ils s’énervent et
31 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « [FRONTISPICE] »
Critique d’un livre contre les spectaclesintitulé J. J. Rousseau, citoyen de Genève à M. D'Alembert A Amsterdam Et se trou
32 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
lut une nouvelle loi pour défendre de faire la satire personnelle des citoyens . Il ne fut plus permis que de faire la satire gén
fixèrent à Paris, on vit cette capitale surchargée d’une multitude de citoyens désœuvrés, dont on crut devoir occuper le loisir,
a, bordée de pourpre, était portée par les magistrats et par d’autres citoyens romains. e. [NDE] E.J. Montchablon, Dictionnaire
33 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
claraient les acteurs infâmes, leur ôtaient le titre et les droits de citoyens romains, et mettaient les actrices au rang des pr
ans ces mêmes acteurs moins des gens qui jouaient des fables, que des citoyens instruits qui représentaient aux yeux de leurs co
nt le même être, il est à sa place ; il est dans le cas de tout autre citoyen qui remplit les fonctions de son état. « Mais l
34 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Lettre à M. Rousseau, citoyen de Geneve. »
Lettre à M. Rousseau, citoyen de Geneve a. Quittez-moi votre serpe, instrume
35 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
x qu’on admire, quels services ils ont rendus à la Nation, & quel Citoyen est devenu meilleur en les lisant ? Nous avons tr
jouissent pas encore des droits que les Loix accordent au dernier des Citoyens . D’où peut venir, & tant d’indocilité, &
us des qualités propres à régler leur conduite, & à se rendre des Citoyens utiles. Je conviendrai, sans peine, qu’elle a var
s. Les gens en place trouveront à leur tour, dans le second ordre des Citoyens , des premiers Commis, des Secrétaires, des hommes
36 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
nutention de la paix que la société, occasion qu’il contraignitac ses citoyens de manger tous ensemble le brouet lacédémonien à
Car, puisque la terre en sa circonférence n’est qu’un théâtre, et les citoyens d’icelle que les acteursam, qui y représentent di
ent : vous ressemblez à ceux. am. [NDE] Comprendre : et puisque les citoyens de la terre ne sont que les acteurs. an. [NDE]
37 (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42
qu’ils desiroient. On avoit lieu de croire que les comédiens, devenus citoyens actifs, électeurs et éligibles, élevés pour la pl
exclusif ne sçauroit exister, puisqu’il priveroit absolument tous les citoyens des droits qu’il attribueroit à un petit nombre d
tous les citoyens des droits qu’il attribueroit à un petit nombre de citoyens . Tout ce qui peut nuire est défendu par la loi. L
héâtre n’est pas défendu par la loi. La loi ne sçauroit défendre à un citoyen ce qu’elle permet à un autre. Si un seul homme pe
n langage si épuré ? C’est qu’il se formoit aux théâtres, où tous les citoyens , sans distinction, étoient admis ; dans les fêtes
iers ; et le gouvernement doit veiller en pere sur les propriétés des citoyens comme sur leur vie. Sans doute, un bon gouverneme
roient trop exposées aux incendies ; afin que la sûreté et la vie des citoyens ne soient pas compromises. Il ne peut pas exister
38 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
a Dépense sera médiocre : si elle charge (quoique très-légèrement) le Citoyen en particulier, elle doit être nulle pour la Vill
ui contribueront à l’embellissement de la Ville ou à la commodité des Citoyens , soit pour des encouragemens à la campagne. Mais
39 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
nnit de sa République ; et, en cela, son but n’a été que de former le Citoyen parfait. Il a paru de nos jours plusieurs Ouvrage
ensuite personnelle, jusque là que les Acteurs prenaient les noms des Citoyens que l’on critiquait. La République en réprima la
40 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224
u préjudice qu’il aurait occasionné une dépense utile à la sureté des citoyens et à la circulation du Commerce, au roulage des m
qu’on vous proposerait d’étudier dans nos Pièces, ce seraient ceux de citoyen . Or les devoirs d’un Roi sont ceux d’un bon citoy
seraient ceux de citoyen. Or les devoirs d’un Roi sont ceux d’un bon citoyen  : le zèle, l’attention, le courage, l’équité, le
41 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
orda ensuite des places marquées aux Chevaliers et à plusieurs autres citoyens  ; on fit jusqu’à quatorze rangs différents. Cette
. 9.) Ces gémissements furent bientôt plus grands et plus justes. Des citoyens distingués, des Chevaliers, des Patriciens, des S
r les fleurs de lys pour juger des biens, de l’honneur, de la vie des citoyens . Mais si les Magistrats ne peuvent pas aller à la
ience souffrir les Comédiens dans leur ville, et doivent empêcher les citoyens d’aller à la comédie, sans quoi ils se rendent co
42 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28
p; pénètre jusqu’à l’ame. La Grèce sur ses Théatres voulut former des citoyens vertueux dans le sein même du plaisir. C’est une
priva des honneurs littéraires un de nos plus célébres écrivains, un citoyen vertueux des droits de citoyen & à la vie &am
un de nos plus célébres écrivains, un citoyen vertueux des droits de citoyen & à la vie & à la mort, car il est vrai q
prononce rien. Avec des mœurs la république aura des magistrats, des citoyens , des hommes ; sans les mœurs on n’aura que des sc
la scene Priam, Ulisse, Philoctete, tandis que personne ne sait être citoyen dans la place publique, ni magistrat dans l’aréop
43 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
mille belles fictions sentez un aise véritable de dire la vérité, qui citoyenne du ciel ne permet qu’aux Déesses la jouissance de
44 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
aisirs si purs et si simples que devraient nous offrir les devoirs de Citoyen , d’ami, d’époux, de fils, et de père : mais rende
accompagnent. Rendez les peuples plus heureux, et par conséquent les Citoyens moins rares, les amis plus sensibles et plus cons
ser que l’amour seul puisse les émouvoir, comme si elles n’étaient ni citoyennes ni mères. Ne les avons-nous pas vues s’intéresser
vous blâmez à présent les pièces où l’on n’expose à nos yeux que nos citoyens et nos semblables ; ce n’est plus comme pernicieu
s si l’âge d’or s’est réfugié dans les rochers voisins de Genève, vos Citoyens en sont pour le moins à l’âge d’argent ; et dans
ne des plus riches de l’Europe ; et j’ai lieu de croire que plusieurs Citoyens opulents de cette ville, qui désireraient d’y avo
e intéressée à les violer, parce qu’elles obligent également tous les Citoyens , et qu’à Genève les hommes ne sont jugés ni par l
a peinture que vous avez faite vous-même de la vie journalière de vos citoyens  ; et je n’ignore pas qu’ils se récrient fort cont
45 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
pollet. CHERS FRANÇOIS, IL est du devoir de tout Chrétien, de tout Citoyen , de déférer au tribunal de la Justice toute manœu
l’Etat. C’est ce devoir que des Magistrats plus Chrétiens encore que Citoyens , ont rempli il y a aujourd’hui trois mois, en dén
(P. 11.) tant d’anecdotes scandaleuses capables de faire frémir tout Citoyen fidèle & tout sujet soumis  ? Que de graces à
oce ! la veux-tu manger ? Tais-toi, voix sépulcrale ; Chrétiens & Citoyens , nous croyons que le sang ne doit couler que pour
es les impiétés répandues dans tous les auteurs  ; Chrétiens, Sujets, Citoyens , hommes, nous les réprouvons également : la Reli
je fais le mal que je hais. » J’en appelle encore à témoin ce héros citoyen , qui semble ne vivre parmi nous que pour s’élever
la licence qui s’accrédite de jour en jour . L’humanité frémit, le Citoyen est allarmé ; on entend de tous côtés les Ministr
ste seroit bien la prudence, si le Ciel la rendoit commune à tous les Citoyens  ! Que ne sommes-nous tous autant d’Ulysses ! Les
ta nature ? Ma mission ! Apprends qu’ il suffiroit d’être homme & Citoyen pour être sensible à tous les maux (p. 2.) que n
ront dignes, enfin absolument placés sur la même ligne que les autres Citoyens , nos Villes auront bientôt l’avantage de posséd
46 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « [Introduction] » pp. 1-9
on y joue, on y passe la vie ; il se forme des troupes brillantes de citoyens distingués, dont les biens, les travaux, les tale
, sauteurs, joueurs d’instruments, qu’il y a plus de Comédiens que de citoyens  : « Plures sunt Histriones quam cives. » (Misopog
47 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
il n’y en aura pas un seul qui ne soit ou père, ou fils, ou mari, ou citoyen  : et si, par hasard, il se rencontrait un Spectat
e rencontrait un Spectateur qui fut bon père, mais qui ne fut pas bon citoyen , et que l’action théâtrale de ce jour-là ne trait
48 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
t jouir peu sensible à tous les autres. Un Père, un Fils, un Mari, un Citoyen , ont des devoirs si chers à remplir, qu’ils ne le
lieu s’oublier soi-même et s’occuper d’objets étrangers, ne donne au Citoyen d’autres habitudes et ne lui forme de nouvelles m
s vertus ; à mettre toute la morale en métaphysique ; à travestir les citoyens en beaux esprits, les mères de famille en Petites
ge, était une proclamation publique par laquelle ils enjoignaient aux citoyens , non pas d’observer les lois, mais de les aimer,
r laquelle les lois et les mœurs, intimement unies dans les cœurs des citoyens , n’y faisaient, pour ainsi dire, qu’un même corps
pourrait établir à Genève un Spectacle sans aucun risque : car jamais citoyen ni bourgeois n’y mettrait le pied. Par où le gouv
claraient les Acteurs infâmes, leur ôtaient le titre et les droits de Citoyens Romains, et mettaient les Actrices au rang des pr
ns ces mêmes Acteurs, moins des gens qui jouaient des fables, que des Citoyens instruits qui représentaient aux yeux de leurs co
nt le même être, il est à sa place ; il est dans le cas de tout autre Citoyen qui remplit les fonctions de son état. Mais un Co
plus charmant paysage qui soit sous le Ciel. Il y a même beaucoup de Citoyens et Bourgeois qui y résident toute l’année, et n’o
nos anciennes maximes soit généralement applaudi. Combien de généreux Citoyens verront avec indignation ce monument du luxe et d
icable, c’est la voie des taxes et impositions, c’est d’assembler nos Citoyens et Bourgeois en conseil général dans le temple de
t ce qui peut contribuer à former dans les mêmes hommes des amis, des citoyens , des soldats, et par conséquent tout ce qui convi
nction de Censeurs. C’est ainsi que dans les beaux temps de Rome, les Citoyens , surveillants les uns des autres, s’accusaient pu
les mauvaises, la haine des vices qui les démasque en devint un. Aux citoyens zélés succédèrent des délateurs infâmes, et au li
. Telle est la différence essentielle des cercles aux spectacles. Les citoyens d’un même Etat, les habitants d’une même ville ne
but de ses ans. Il a tort, sans doute : il cesse avant la mort d’être citoyen . Mais l’autre ne commence pas même à l’être : il
ant ne peut guère se prouver qu’en montrant qu’elle fait de meilleurs citoyens . Il est certain que les enfants font mieux la rév
ous dédommagera-t-elle des vertus simples et modestes qui font le bon citoyen  ? Au lieu de nous guérir de nos ridicules, la Com
faut des beaux-arts et du luxe, il faut un commerce intime entre les citoyens , il faut une étroite dépendance les uns des autre
les héros de nos Tragédies. Des Berthelier ? des Lévrery ? Ah, dignes citoyens  ! Vous fûtes des héros, sans doute ; mais votre o
, c’est qu’il faudra mal augurer de la République, quand on verra les citoyens travestis en beaux esprits, s’occuper à faire des
ée aux gens âgés de l’un et de l’autre sexe, qui ayant déjà donné des citoyens à la patrie, verraient encore leurs petits enfant
a point de contrée où l’on n’en trouve de répandus. La moitié de nos Citoyens épars dans le reste de l’Europe et du Monde, vive
où sont les jeux et les fêtes de ma jeunesse ? Où est la concorde des citoyens  ? Où est la fraternité publique ? Où est la pure
uoi tient-il que nous n’adorions tous la patrie ? Ainsi rappelait ses citoyens , par des fêtes modestes et des jeux sans éclat, c
es délassements formaient une instruction publique ; c’est là que les citoyens , continuellement assemblés, consacraient la vie e
49 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — A SA MAJESTÉ IMPERIALE ELISABETH PREMIERE, IMPERATRICE DE TOUTES LES RUSSIES. » pp. -
e, propre à former de sages Politiques, d’intrépides Soldats, de bons Citoyens , des Magistrats intègres et zélés pour l’Etat.
50 (1768) Des Grands dans la Capitale [Des Causes du bonheur public] « Des Grands dans la Capitale. » pp. 354-367
ions si courageuses, & les raconteront à leurs enfants. Le simple Citoyen instruit par la renommée, se dira à lui-même que
n’ôterez pas tout le mal, mais ne soyez pas insensibles aux vœux des Citoyens qui vous conjurent de le diminuer. Ce bien est au
51 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153
ui a donné des lettres de Bourgeoisie, comme l’on donnoit le droit de Citoyen Romain, si parva licet componere magnis, l’a fait
obtint le suffrage, Et la postérité verra dans cet Auteur L’excellent citoyen , le poëte & le sage (le sage n’est-il pas un
nt citoyen, le poëte & le sage (le sage n’est-il pas un excellent citoyen  ?). La comédie Françoise le couronna à sa maniere
ts gratis à la convalescence du Roi. Cependant ce sage, cet excellent citoyen , peu reconnoissant de cette libéralité faite à so
Les Comédiens diminuerent le dividende selon l’usage. Un si généreux citoyen , un sage, un poëte, déjà si bien payé, auroit bie
ïsme des personnages, & a défiguré le sage, le poëte, l’excellent citoyen de Calais, placé dans la salle de l’Hôtel-de-vill
plus vif aliment, rebut de la misere, Manque à l’or prodigué du riche citoyen . Ose venger nos maux & nos forfaits, &c.
& peu intelligible voix, va dans tous les carrefours annoncer aux citoyens les ordonnances de police, & le triomphe de l
52 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
is si le Comédien est honnête, l’Actrice sage, réservée, ils sont des Citoyens utiles, ils peuvent atteindre à la véritable vert
53 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  RACINE. A Mlle. Le Couvreur. » pp. 77-80
s interrompus, Le Couvreur, recevez l’hommage & les tributs  D’un Citoyen de l’autre Monde. Mes succès, par vos soins, su
54 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
oint d’excommunication ni religieuse ni civile. Les Comédiens restent citoyens dans la communion des Fidèles. Ils savent même s’
55 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
dre sur ce qui concerne le gouvernement de l’Etat, et l’existence des citoyens , que le nombre des prêtres est tellement considér
56 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
 ; l’autre est vraiment un art de la paix, puisqu’il lie entr’eux les Citoyens par la compassion & l’humanité. » Les dernie
Comme les Dieux habitent dans l’Olympe, les Rois dans des Palais, le Citoyen dans sa maison, & que le Berger est assis à l
x caprices d’un Libertin ? Peut-elle souffrir que l’âme de ses jeunes Citoyennes & des jeunes-gens, sa glorieuse espérance, so
tisans même ne l’imaginent, la place qu’ils doivent occuper parmi les Citoyens , place que le préjugé, de fausses vues & la j
57 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
irs de la vie, du sage gouvernement de la maison, de la conduite d’un citoyen dans tous les états ? Thalès de Milet & le Sc
ange en bouffons & plaisans de Théâtre, les plus respectables des Citoyens . J’en dis autant de l’amour, de la colère, &
volupté : les passions excitées domineront au lieu de la raison. Les Citoyens ne seront plus des hommes vertueux & justes,
e, n’est pas seulement agréable, mais utile à la République & aux Citoyens . Écoutons leurs raisons d’une oreille impartiale,
58 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
lice aurait peine à conserver le bon ordre dans les Villes, si chaque Citoyen se trouvait désœuvré. Que de maux se succéderaien
os travers, tandis qu’on verra ceux qui y montent rejettés du rang de citoyens . Les gens à préjugés ont quelque apparence de rai
59 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. Faut-il avoir autant d’esprit que v
amitié, l’esprit de fraternité formeroit-il le lien qui doit unir des citoyens  ? Les méchans feroient du mal à tout le monde, et
est certain que toute la morale du Misantrope se réduit à faire d’un citoyen un homme tout à la fois aimable et; vertueux. Je
Comédie à Genève en rendra le séjour plus agréable et; en amusant les Citoyens les empêchera d’abandonner leur pays et; d’aller
aux Spectacles, qu’en conséquence ils les mettent au rang des autres citoyens . Le menu peuple en sera d’abord surpris, petit à
s des certitudes par l’éloge que la troupe du sieur le Moine fait des Citoyens . Ajoutez à ce témoignage les marques de bienveill
de personnes à vivre et; à se conduire comme de bons et; de paisibles citoyens  ? Dès qu’on les aura intéressé à mener une vie ir
rie : vous en venez ensuite à un examen politique pour convaincre vos Citoyens que le Spectacle seroit aussi scandaleux pour leu
s seroient fâchés qu’on les contraignît à se vêtir comme le reste des Citoyens . La loi étant générale, ils seroient au contraire
ore pour faire valoir votre cause ? Le voici : « Ce sont les généreux Citoyens qui verront avec indignation ce monument du luxe
de ce monument. Soyez convaincu, Monsieur, que le nombre des généreux Citoyens , dont vous parlez ici, ne sera pas si considérabl
nt réduire les foibles honoraires de vos Magistrats, ni assembler vos Citoyens et; Bourgeois en Conseil général dans le Temple d
es donc plus un pompeux étalage de la nécessité d’entretenir chez vos Citoyens l’humeur martiale, la force et; la vigueur des At
es Piéces, sur le goût de parure qui se communiqueroit du Comédien au Citoyen , sur la pauvreté de la République, sur la crainte
re qui a donné matiere à mes repliques, par un souhait digne d’un bon Citoyen . Vous voudriez qu’on rappellât au sein de la patr
authentique de votre amour et; de vos respects, en lui restituant un Citoyen qui lui fait honneur, et; qui lui en feroit encor
60 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
is plus douce et plus insinuante. Dans une Démocratie au contraire un Citoyen est toujours instruit des motifs qui font agir le
’ont qu’une autorité passagère et dont ils sont comptables à tous les Citoyens en général ; chacun peut donc leur demander compt
er dans l’âme une espèce d’indifférence sur le sort de la Patrie. Les Citoyens alors ne s’occuperont que de choses frivoles, par
ilement leur aveugle et fougueux Patriotisme : ils seraient meilleurs Citoyens dans l’âme, mais l’Etat en serait peut-être plus
ait réformer leurs mœurs à cet égard, s’il parvenait à les rendre des Citoyens plus chauds, il pourrait arriver qu’il les rendra
ait en même temps turbulents, indociles, présomptueux, et ces ardents Citoyens abusant d’un excellent motif ne se seraient corri
me le maintien de leurs lois exige un plus grand nombre de véritables Citoyens , on a grand soin pour leur inspirer le Patriotism
61 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
tous les hommes en deux grandes Classes, il place dans l’une tous les citoyens de la Jérusalem céleste ; et dans l’autre il met
la Jérusalem céleste ; et dans l’autre il met ceux qu’il appelle les citoyens de Babylone. Les premiers se regardent comme des
ls en attendent d’autres qui seront plus grands et plus durables. Les Citoyens de Babylone au contraire ne songent qu’à se bien
62 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
ées avec tout le goût et toute l’intelligence possible ; là, tous les Citoyens bien ou mal disposés (ces derniers, remarquons-le
et en fait une partie de sa Thérapeutique. L’Abbé de Saint Pierre, ce Citoyen décidé dont les rêves ne roulaient que sur les mo
Théâtre qui tournât au profit du cœur et de l’esprit ; qui formât des Citoyens , des Pères et des Mères de famille, des Enfants e
63 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
plaisirs publiques. Les bonnes policesm prennent soin d’assembler les citoyens et les rallier, comme aux offices sérieux de la d
64 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
ment quelques traits. On annonce que l’ouvrage est fait pour tous les citoyens qui en ont besoin si souvent, « ’surtout dans les
les contestations du Clergé élèvent fréquemment contre la liberté des citoyens fidèles, en les rendant esclaves d’une domination
er l’éloge de cette femme forte qui seule prend en main la défense du citoyen fidèle. Elle nous fait voir, dit-on, que c’est de
re, pour mettre le Comédien au pair et de niveau avec tous les autres citoyens , même avec la Magistrature. « Voilà le précis d
65 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
de son sentiment. « Les bonnes polices prennent soin d’assembler les citoyens et les rallier, comme aux offices sérieux de la d
puiser. Il est très faux qu’il soit utile au public de rassembler les citoyens au spectacle ; ils n’y voient que les excès, les
é. Bien loin de convoquer une si mauvaise compagnie, et d’inviter les citoyens à s’y unir, la bonne police demande qu’on la diss
unir, la bonne police demande qu’on la dissipe, et qu’on empêche les citoyens d’y venir. Ils y perdraient leur vertu, et y appr
66 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
ccoboni, voit le Théâtre des mêmes yeux que le célèbre & vertueux Citoyen de Genève : mais loin de chercher, comme J. J. Ro
re, ce serait montrer qu’on est peu scrupuleux sur les obligations du Citoyen & de l’honnête-homme : le mépris de la Religi
67 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100
mer ? » Enfin ajoutons à ces solides réflexions ce coup de pinceau du Citoyen de Geneve1 qui a peint l’objet d’après nature : «
lut une nouvelle loi pour défendre de faire la satyre personnelle des Citoyens . Il ne fut plus permis que de faire la satyre gén
édie Romaine ou togata ; parce qu’on s’y servoit de l’habit de simple Citoyen . Elle se sous-divisoit en quatre autres especes ;
par des Comédiens de profession. Les Acteurs des Atellanes étant des Citoyens , en conservoient tous les droits14 : ils servoien
us de leurs tribus, & jouissoient enfin de tous les privileges de Citoyens  ; au lieu que les Comédiens mercenaires étoient r
ien à perdre, aiment toujours le changement. Voilà les deux genres de Citoyens qui préparerent & avancerent la ruine de ce v
ce volume une note qui prouve que la Ville de Marseille a encore des Citoyens qui se font honneur de cette pureté de mœurs de l
pu y arriver, sans être de plus en plus surchargée d’une multitude de Citoyens désœuvrés dont on crut devoir occuper le loisir,
68 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
pousse la difficulté plus loin ; on ne peut, selon lui, (p. 14) être citoyen sans être fidéle, en France où la seule Religion
ffets de cette sorte d’Excommunication influent nécessairement sur le citoyen  : par conséquent vous faites dépendre l’Etat des
nces temporelles qui trouvent bon que les qualités de fidéle & de citoyen se réunissent ; elle ne subsiste qu’autant de tem
69 (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864
recréation si indifférente, selon lui, aux Fidèles, si nécessaire aux Citoyens , & si instructive pour tout le monde. Une pri
nne & qu’on prend au théâtre, tous les Magistrats, & tous les Citoyens jaloux des mœurs publiques, s’uniroient pour la f
70 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70
ecréation si indifferente, selon lui, aux Fidèles, si nécessaire aux Citoyens , & si instructive pour tout le monde . Une pr
nne & qu’on prend au théâtre, tous les Magistrats, & tous les Citoyens jaloux des moeurs publiques, s’uniroient pour la
71 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
iné pour les femmes ; l’Ephébicon, l’endroit où se plaçaient tous les Citoyens dès qu’ils avaient atteint dix-neuf ans : les Ech
s Ordres de l’Etat, n’est plus que l’occupation lucrative de quelques Citoyens oisifs. Alors le Philosophe Socrate & le Save
72 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVII. Du gouvernement & de la Police intérieure du Théâtre. » pp. 12-18
emens, & seroit un ornement de plus à la Capitale. Les besoins du Citoyen exigent le premier soin des Magistrats municipaux
73 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
la dédaigneuse opulence fait remper devant elle l’homme estimable. O citoyen  ! sois honnête, & brave tes tyrans. Que te fe
74 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Conclusions générales. » pp. 371-378
ssion de cette surveillance démontrera au clergé que s’il indique aux citoyens des devoirs à remplir, le prince et ses délégués
75 (1802) Sur les spectacles « RÉFLEXIONS DE MARMONTEL SUR LE MEME SUJET. » pp. 13-16
’étendre les lumières et d’ennoblir les sentiments d’une multitude de citoyens , dont la profession même exige le plus souvent de
76 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56
dit, chacun voulut l’apprendre, tout devint pantomime. Ce mélange des citoyens avec les Acteurs est pernicieux même à l’art &
stinction entre l’artiste, qui devroit seul professer l’art, & le citoyen qui ne devroit que l’encourager & en jouir. L
de 1767 & le Journal de Trevoux de 1768 ont annoncé que plusieurs citoyens de la ville de Toulouse, amateurs des beaux arts,
honneur & du profit, a formé aussi sa société d’actionnaires. Ces citoyens zélés ont fait des offres avantageuses, ont implo
77 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81
mœurs ? Il n’y a point là de peut-être. Le théatre, en corrompant le citoyen , a énervé la valeur par la mollesse, diminué les
amp; mette les mœurs dans le plus grand danger. Quelle ressource a un citoyen délicat sur le choix des plaisirs, a une mère ver
ns l’abyme du luxe, du faste, des folles dépenses, du libertinage, le citoyen & l’étranger. Ne fît-il qu’inspirer son goût,
étranger qui ne fait que passer, quel affreux ravage fait-il dans le citoyen qui y passe sa vie ? Le dévouement du Héros de C
78 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
ermettez au roi et à ses courtisans, ce que vous refusez à tout autre citoyen  ; s’accuse-t-on au tribunal de la pénitence d’avo
pas être d’un moindre prix aux yeux de Dieu que celles de tout autre citoyen , ne faisonsu point à la cendre de ceux dont le cœ
79 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140
puté Théatre forains & étrangers : c’est déjà pour la plupart des citoyens un embarras, une dépense d’aller chercher au loin
cuse ! Comme s’il étoit plus permis d’être vicieux aux forains qu’aux citoyens , aux ambulans qu’aux permanens, comme si l’on dev
ans dans la paix, Obéissez au Peuple, écoutez ses décrets. Il fut des citoyens avant qu’il fut des maîtres ; Nous rentrons dans
80 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198
é, un Périclès, un Caton ! Par la loi des 12 tables la réputation des citoyens n’est pas abandonnée à la licence des Poètes il n
on, ont déclaré les Comédiens infâmes, les ont même exclus du rang de citoyens et de toutes les tribus, comme remarque Cicéron :
ciel ces Dieux dont les adorateurs ne sont pas reçus au nombre de vos citoyens . Si vous voulez parvenir à cette céleste société,
81 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
ès-nécessaire, puisqu’il rend heureux tous les ans un grand nombre de Citoyens estimables. Avantages qu’en tirera la Postéri
82 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. —  CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. » pp. 128-140
ctable redoutable ; mais nécessaire, pour terminer les différents des Citoyens , & maintenir la paix dans la société. Des gen
tirer le public ; c’est-à-dire, les curieux, les gens de plaisir, les citoyens désœuvrés, des femmes, sur-tout les jeunes gens,
83 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
e est tant soit peu délicate. Ainsi, emporté par son génie, le fameux Citoyen de Genève compose de la musique Française ; &
usseau ; & sentiment d’un autre Auteur. Voici comme le fameux Citoyen de Genève définit la mélodie Italienne & la n
sez long passage d’un Auteur Français, qui achèvera de prouver que le Citoyen de Genève s’est beaucoup trompé dans les morceaux
84 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE V. Du principal motif de la Réformation du Théâtre. » pp. 49-58
éducation des enfants comme le moyen le plus assuré de former de bons Citoyens , il n’est cependant que trop ordinaire, même dans
85 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
part, et qui n’a point de rapport nécessaire avec les devoirs du bon Citoyen . Qu’on le prenne comme un amusement frivole, ou q
86 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
ruption, et les Poètes qui agissent ainsi manquent au devoir des bons Citoyens . Par ce motif, dans mes Règlements de Réformation
87 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
issent mutuellement ; ce n’est point en les détournant des devoirs de citoyens ou même de sujets, qu’il a prétendu établir sa mo
la patrie. Des cirques immenses réunissaient la presque totalité des citoyens , et les chefs-d’œuvre de Sophocle, d’Euripide, et
plus utile, et peut-elle être plus profitable pour l’universalité des citoyens  ! C’est d’eux-mêmes qu’elle les occupe, c’est la
es que tu as obtenus sur la scène ; les regrets, les vœux que tant de citoyens adressaient au Ciel, chacun à sa manière, ont bie
88 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
s du rôle de la tribu du commun peuple, et n’étaient point tenus pour citoyens Romains. Et au même temps Décime Laberie fut fait
inondas rendit une charge vile, glorieuse ; et changea l’envie de ses citoyens en admiration pour être toujours splendide et éga
89 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
'a-t-on pas à la scène de cette utile révolution ? Aussi les stupides citoyens , les graves Ecrivains qui ne respirent pas l'air
fréquentation du spectacle. Le théâtre est une république où tous les citoyens sont égaux, ou plutôt une anarchie où tout le mon
90 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
se qu’en particulier ! Et on laisse vomir, imprimer, et distribuer au Citoyen de Genève, des libelles infâmes, contre ce qu’il
fférent à un Monarque de gouverner des hommes ou des femmes. XLIV. Le Citoyen de Genève est encore le premier qui ait accusé le
91 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
sur les désordres qui troublent la paix des familles ou divisent les citoyens entre eux. Considérez l’union conjugale : n’est-e
s particuliers. Ecrasé sous son poids énorme, quel est aujourd’hui le citoyen qui peut respirer et satisfaire à des engagements
du gouvernement sur un objet pareil ; je me borne donc, comme simple citoyen , à indiquer la source du mal ; c’est aux mains ad
orts qui les lient au corps social, sans doute, comme tous les autres citoyens , ils méritent des égards. Mais c’est donner une b
aient exercer publiquement, sans déroger à toutes les prérogatives du citoyen , et où, comme le remarque très judicieusement un
e ! » Mais la peinture de ces délits qui compromettent la sûreté des citoyens , n’est peut-être pas ce que le théâtre offre de p
vrais intérêts de l’état, si intéressé à la conservation du sang des citoyens , on ne peut réellement se dispenser de se mesurer
nt sur le théâtre une morale propre à corrompre la masse générale des citoyens . Sans nous inquiéter de ces vaines clameurs, que
eur ou l’esprit de parti tentent de flétrir jusqu’à l’honneur même du citoyen  ; l’avocat est leur égide tutélaire et le vengeur
ivent obéissance et soumission, que désordre et dérèglement parmi les citoyens  ; enfin que peines et désespoir dans la plupart d
de ignorance des dogmes qu’ils combattent, je serais encore assez bon citoyen pour renfermer dans ma triste pensée des opinions
t homo non separet ! » 9. NDA La grande et constante affluence des citoyens de tous les ordres dans les églises de Paris à l’
92 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
es de frivoles et ridicules passions, dans des conjonctures où chaque Citoyen doit prier pour son Prince ; où le Roi s’humilian
93 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105
édommagera de toutes les pertes, &, en détournant l’attention des citoyens sur les malheurs publiqcs & particuliers, il
par les grands mêmes, & payés par la République ; & tous les citoyens en foule, les grands à la tête, oubliant les sent
en foule, les grands à la tête, oubliant les sentimens naturels à un citoyen , à un gentilhomme, à un républicain, se sont étou
94 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
, eu égard à la religion, doivent être considérés à l’égal des autres citoyens et comme ayant, aux mêmes conditions, les mêmes d
95 (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194
s qui ont inventé le spectacle ont moins songé à amuser ceux de leurs citoyens qui vivaient dans l’oisiveté qu’à instruire le pe
96 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
Il fit substituer ceux-ci : De l’ouvrier actif qui cultive sa terre, citoyen estimé, les soins industrieux, dont lui-même a cr
t vérifie déjà la prédiction de J. C., putas, inveniet fidem , quels Citoyens , quels Peres de famille, quels Magistrats prépare
97 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
en. Du reste, il doit être traité par l’église, comme tous les autres citoyens qui professent la religion chrétienne. Le prêtre
de l’église, en frappant d’opprobre, un cadavre que le prince et les citoyens honorent et qui dans l’ordre social réclame les é
98 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
Magistrat, ni Militaire, ni artisan, ni laboureur, ni aucun genre de citoyen , mais des hommes frivoles, à charge à la société.
emiers temps de la République, où la comédie était inconnue, tous les citoyens s’établissaient et peuplaient l’Etat ; le divorce
99 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
s de frivoles et ridicules passions, dans des conjoncturesh où chaque citoyen doit prier pour son Prince j ; où le Roi s’humili
100 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
peut obtenir le sépulture ecclésiastique. Sont-ce des Chrétiens, des citoyens , des gens sages, qui ont proposé à toute la Franc
de la bizarrerie de nos usages. On le voit encore dans l’Académie. Un citoyen vertueux réformateur de la patrie. C’est encore u
t ni l’un ni l’autre. Désavoué par la patrie, & privé du droit de citoyen . Que veut-on dire ? il vécut dans Paris comme les
t de citoyen. Que veut-on dire ? il vécut dans Paris comme les autres citoyens  : on veut faire une antithèse. L’honneur séparé d
peuple, & enfin prépare la ciguë au plus juste, au plus sage des citoyens . Ce n’est là, comme on voit, qu’une suite d’antit
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