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1 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
ugement si aisé, et que voyant d’un côté l’Auteur des lettres, qui ne cite que les Saints Pères, comme vous lui reprochez, e
, qui peut bien en dire davantage, lui qui sait les Pères, et qui les cite si à propos. Vous eussiez mieux fait sans doute d
peu de ce qu’ils disent, ce ne sont point vos Auteurs, et vous ne les citez que pour les accuser. Vous n’avez cité S. Jérôme
gustin que pour montrer qu’il avait le cœur trop sensible, et vous ne citez S. Grégoire de Nazianze que pour abuser de son au
ison, la justice, l’innocence et la pitié. b. [NDE] Goibaud du Bois cite presque textuellement Racine : « Je laisse à juge
is, Dabo et Tremblay, 1819, tome IV, p. 11. c. [NDE] Goibaud du Bois cite exactement Racine. Ibid., p. 11. d. [NDE] Goibau
Bois cite exactement Racine. Ibid., p. 11. d. [NDE] Goibaud du Bois cite exactement Racine. Ibid., p. 18 e. [NDE] « Un fa
abscedit inde fastidiens et reprehendens » g. [NDE] Goibaud du Bois cite une nouvelle fois Nicole, mais décale la portée d
présentant bien souvent comme des rivaux. l. [NDE] Goibaud du Bois cite exactement Racine. Op. cit., p.13 m. [NDE] Racin
s » élevés à la gloire des poètes antiques. n. [NDE] Goibaud du Bois cite la pique ironique de Racine : « Je ne doute point
ez point dans les Pères ? » Op. cit., p.13. o. [NDE] Goibaud-Dubois cite exactement Racine (Op. cit., p. 21-22). p. [NDE]
ubois cite exactement Racine (Op. cit., p. 21-22). p. [NDE] L’auteur cite une nouvelle fois un passage de la lettre de Raci
question de la lecture des poètes antiques. q. [NDE] Goibaud-Dubois cite presque exactement un passage évoqué plus haut (n
à sa charrue (Histoire de Rome, III, 26). w. [NDE] Laurent Thirouin cite ce passage de la première lettre aux Thessalonici
r le sérieux ; remplissez vos lettres de longues et doctes périodes ; citez les pères ; jetez-vous souvent sur les injures, e
2 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26
cessité du sujet, touchant les diables et les damnés, et pour cela il cite son rêveur Camerarius, ne faisant qu’une pure drô
Harvard University Press, 1989, p. 560). j. [NDE] André de Gaule ne cite pas directement le texte du Récit touchant la com
xaux très en vogue au XVIe et XVIIe siècles. s. [NDE] André de Gaule cite avec quelques omissions un passage de la p. 4 du
Fourbe = fourberie. y. [NDE] Voir Jn 5, 22. z. [NDE] André de Gaule cite de manière approximative le texte du Récit toucha
e texte du Récit touchant la comédie, p. 4. aa. [NDE] André de Gaule cite avec quelques omissions le texte du Récit touchan
ses arguments comme issu d’une foi partisane. ae. [NDE] André Gaule cite , avec des omissions, le Récit touchant la comédie
donc ni du pape, ni du purgatoire non plus. ag. [NDE] André de Gaule cite exactement le Récit touchant la comédie, p. 5. a
. [NDE] Par antiphrase : blâmer, critiquer. ai. [NDE] André de Gaule cite exactement le Récit touchant la comédie, p. 5. a
ctement le Récit touchant la comédie, p. 5. aj. [NDE] André de Gaule cite exactement le Récit touchant la comédie, p. 5. a
e texte du Récit touchant la comédie, p. 4. bl. [NDE] André de Gaule cite textuellement le Récit touchant la comédie, p. 6.
nations : les païens (latin : gentes, nationes). co. [NDE] L’auteur cite un passage du De Spectaculis de Tertullien « qual
3 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
er peut bien trouver sa place après les grands Hommes que je viens de citer , il mérite que sa voix soit comptée pour quelque
d’Aubignac à l’Opéra-Bouffon, plutôt qu’à la Comédie ? Je finirai par citer Boileau, dont le sentiment, tel qu’il soit, sera
te remarque au Lecteur. J’espère qu’on voudra bien observer que je ne cite que les Drames les plus célèbres ; que de fautes
çon qui n’est connue que de lui seul ; en voici d’autres éxemples. Je cite plus volontiers des morceaux de Musique, parce qu
2 » ; il fallait dire, ce nuage ne fera que passer. Il est inutile de citer un plus grand nombre de Poèmes du nouveau Théâtre
des négligences pareilles, où qui leur sont échappées ? J’en pourrais citer mille éxemples plus convaincans les uns que les a
oir au milieu des beautés dans lesquelles elles sont cachées, je vais citer les prémières que je découvrirai. Que parlez vou
st pris.45 Sans que Mère ni Père ait daigné me sourire45. Je vais citer un Vers qui me semble tout-à-fait comique. Trouv
Sottises plaisantes de Pradon. le Lecteur me permettra-t-il de citer deux endroits originaux, tirés d’une Epitre de Pr
4 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
 ; nous en verrons des preuves dans les Extraits suivants. Je ne veux citer ici qu’une faute grossière contre le bon sens, qu
particulièrement à répondre à l’Ordonnance de saint Charles Borromée, citée dans la Lettre du Théologien. Il soutient qu’elle
mour qui est le sujet le plus ordinaire de cette sorte de Comédie. On cite saint Basile, qui dit que la Musique dont on se s
preuve de la 3me Partie de sa Somme Tit. 8. Chap. 4. Sect. 12. et il cite seulement ces deux mots, Ludus scenicus. Mais l’o
les Opéra excitent ou entretiennent l’Amour impur dans les cœurs. Il cite des vers de la Satire des Femmes, où l’on dit qu’
dans la mémoire, parce qu’elle prend d’abord l’oreille et le cœur. Il cite Racine qui a renonce à sa Bérénice, la croyant da
tirées de l’opposition de la Comédie à l’esprit du Christianisme. On cite ces vers d’Atys : « O douce vie, Digne d’envie !
iatique aux Comédiens, s’ils ne promettent de renoncer au Théâtre. Il cite l’exemple de Floridor fameux Comédienai, qui fut
e saint Eustache, après que Dieu lui eût rendu la santé. Il aurait pu citer Arlequin à qui on n’a donné le Viatique qu’à la m
5 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
petit Abrégé des autorités de l’Ecriture Sainte, sans réflexions. Il cite entre autres les paroles de l’Ecclésiastique chap
nt écrit contre les Spectacles. Il commence par saint Thomas, dont il cite trois passages qu’il soutient être autant de cond
dans le Chapitre 4 Sect. 7. parce qu’ils y seront fort éclaircis. Il cite ensuite le Cardinal Cajétanf, saint Antonin Arche
uré les Comédies. Des Auteurs Thomistes, il passe aux Jésuites, et il cite Sanchezk, Livre 9.e disp. 46. n. 42. Mendozal que
calogue. Il répond. 1°. Par l’explication de Tertullien sur le 1. Ps. cite ci-devant. 2°. Par les vœux du Baptême, par lesqu
et qu’on y parle très peu du remède, et toujours inutilement. Puis il cite en cet endroit les paroles de Tertullien, si dign
mauvais effets dans la plupart de ceux qui y vont. Le Père Ottonelli cite ces paroles de la page 30. de l’Avertissement de
6 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
discerner le vrai genre du nouveau Spectacle. Il me suffirait de citer plusieurs de ses Drames, qui n’ont aucune ressemb
chaque jour au Spectacle moderne ne sont point justement désignés. Je citerai pour éxemple les deux Chasseurs & la Laitière
p; Gertrude. Mais ce sont peut-être les seules Pièces que l’on puisse citer . Je n’ai rien à remarquer au sujet de Comédie-lyr
7 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112
rons bientôt que les conciles d’Elvire et d’Arles, que nous venons de citer , ne sont plus applicables aux comédiens français,
ître les décisions des papes à l’appui de nos assertions. Nous allons citer encore au nombre des comédiens les clercs de la B
. Sans entrer dans de grands détails à ce sujet, je me contenterai de citer Favo, noble Romain, vivant en l’an 81. Il exerçai
irent en France le goût de la comédie et du chant. On pourrait encore citer un grand nombre de gentilshommes qui, jusqu’à nos
8 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
y conduirait, que ne le fait Boileau dans les vers que nous venons de citer . En effet, « le théâtre lyrique n’offre à l’âme q
. 2., pp. 113-115. av. [NDE] Hulot paraphrase Desprez de Boissy, qui cite Riccoboni, op. cit., vol. 1, pp. 76-77. aw. [NDE
. 81. ay. [NDE] Desprez de Boissy, op. cit., vol. 1, pp. 585-586. Il cite Rousseau sur la musique.
9 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
talent de les rendre intéressantes, instructives, ou agréables. Vous citez les Atrée, les Catilina, les Œdipe, le Misanthrop
peuvent retirer aucun fruit : et moi, Monsieur, je commence par vous citer un Britannicus, pièce faiblement accueillie des p
ce n’est pas la peine de vous rétracter ; je puis, Monsieur, vous en citer d’autres qui, quoique moins parfaites (sous le po
d’un peuple, j’ai tort ; et il faut fermer tous les théâtres. Je vous citerai encore Alzire, à laquelle vous ne refuserez pas d
aire ? J’ose, Monsieur, en appeler à vous-même. Je ne puis finir sans citer encore un ouvrage moderne, plus louable que loué 
ent leur épargner la peine de consulter eux-mêmes les ouvrages que je cite  ; et les mettre en état de juger, entre nous, d’a
e Charles Osmont en 1715. 5. [NDA] Corneille, page 31. de l’édition citée ci-dessus. 6. [NDA] Voici les paroles de Cornei
10 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -
r composer l’article Racine. Il en rapporte plusieurs morceaux, ne la cite jamais que pour adopter les sentimens de l’Auteur
eçues n’ont pas été bornées à celles des Ecrivains que nous venons de citer . Plusieurs autres en ont parlé avec les mêmes élo
11 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
des preuves innombrables de l’ambition démésurée de ce corps, et nous cite des faits qui ont mis plus d’une fois l’Etat dans
éplaire au clergé, car on pourrait, en s’appuyant de faits constatés, citer plusieurs crimes de ce genre. Si donc, il est pro
du sacré ministère. Ce n’est qu’avec la plus grande vénération qu’on cite les efforts que les parlements de France, les pro
12 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
qui ne laissent pas d’être belles, et sur cela on ne manque jamais de citer Polyeucte ; car il serait difficile d’en citer be
on ne manque jamais de citer Polyeucte ; car il serait difficile d’en citer beaucoup d’autres. Mais en vérité, y a-t-il rien
tion de son héritage. Mais, comme dit le grand Evêque que je viens de citer ae : "Pour changer leurs mœurs, et régler leur ra
de saint Ambroise. Dans le onzième Chapitre de cette Dissertation, on cite des passages de Tertullien, de saint Cyprien et d
pas être condamnée tant qu’elle sera modeste et honnête ; pourquoi il cite saint Thomas. Mais il se plaint à la fin de cet O
-Baptiste Coignard rue S. Jacques, à la Bible d’Or. 1672. L’Auteur cite l’endroit de Tertullien au Chapitre 28. du Livre
ou des bêtes, et qu’au Cirque on voyait les courses des chariots. Il cite saint Cyprien dans la seconde Epitre, qui nous ap
13 (1715) La critique du théâtre anglais « AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. » pp. -
a apparence qu’on s’en rapportera plus sur ce point à M. Collier, qui cite tous les anciens Poètes avec lesquels il confront
nfronte ceux de sa nation, qu’on n’en croira M. de S. Evremond qui se cite tout seul, et qui de son propre aveu n’avait null
èrent point le fonds d’un ouvrage : j’ai même eu la précaution de les citer à la marge ; du moins j’en ai cité assez pour qu’
14 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
e plus … ton amitié fera ma renommée. J’entre en matière, & ne te citerai qu’une partie des impertinences dont la Brochure
rt des meilleures choses : mille exemples le prouvent. Je ne puis lui citer qu’Horace pour le confondre, que nos auteurs doiv
de la sienne ; qui des deux est plus méritoire ? Je n’ai que faire de citer des exemples : tout le monde sait que l’Opéra, an
que de lui, prouvent & démasquent tant d’impostures. Je puis lui citer Agathe Sticotti, Epouse de Labédoyere, connue par
Mais comme il n’est rien que l’on n’empoisonne, je suis bien aise de citer ce qu’en dit Marc-Mic Bouquet, Auteur de la Cause
A propos du mariage de justinien avec Théodora, je suis bien aise de citer ce qu’en dit M. Antoine Terrasson dans son Histoi
haïr. Celui qui les représente n’est pas plus avili que celui qui les cite . « Mais, poursuit-il, un Comédien, en jouant un s
e l’Auditoire les crimes affreux de nos pères, ne rougira-t-il pas de citer Sodome & Gomorrhe ; les infâmes débauches des
nt-elles pas l’humanité ? Quoi ! pour nous faire aimer la Vertu, nous citer des crimes abominables, souvent ignorés d’une par
apostille, quoiqu’étrangère à mon sujet, que je ne puis m’empêcher de citer « pag. 158, les femmes sauvages n’ont point de pu
Amenzaga, le Prince de Chimes ; Mr de Mareuil37 jouait la Comédie. Je citerais toute la France, les pays étrangers même. Louis l
étaient les plus zélés Défenseurs de la Religion réformée.41 Je ne cite ces anecdotes au Sr Jean-Jacques que je sais sans
i prouver que cette école n’est pas si dangéreuse, il faut que je lui cite ce que dit l’Abbé d’Aubignac dans son Traité de l
raire. Mais je ne fais pas attention que les exemples que je viens de citer au Génevois, qui est Calviniste, sont des armes d
s Genéve. Il a l’insolence d’abuser du nom de M. d’Alembert, & le cite comme tenant de lui le refus que firent mes compa
. Voici une note indiquée dans ses corrections, qu’il faut que je te cite  ; elle est tirée d’un ouvrage intitulé : Instruct
oir ces Orgies en l’honneur du Dieu de la Treille, & n’est-ce pas citer pour édifier la débauche la plus infâme ? Le joli
ar le commerce des lettres, une douceur qui les rende aimables. Je ne citerai point mille paradoxes extravagans dont il est le
es Armées de Terre & de Mer. Combien n’aurais-je pas d’exemples à citer sur cette matière si je le voulais. 29. L’Imp. p
Régiment de Diesbak, de la Cheau, Capitaine au Régiment de Monin. Je citerai un Jean-Pierre de Cronzas, célèbre Philosophe &am
15 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-9
culier su le Théatre. Vida, Scaliger, Boileau les ont copiées, on les cite tous les jours, on les sait par cœur, on se fait
rs, on les sait par cœur, on se fait un devoir de les suivre. Mais on cite peu & on écrit encore moins celles qu’il a do
fait pas leur apologie : ils sont fort heureux quand on peut au moins citer leur pénitence, comme celle de Racine, Quinault,
16 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIV. Que les danses sont aussi défendues les jours des Fêtes par les lois Canoniques. » pp. 76-93
age, qui fut célébré presque à même temps que ces lois que nous avons citées de l’Empereur Valentinien et des autres furent fa
inciblement confirmé par les lois des Empereurs que nous avons encore citées , dans lesquelles ces Princes zélés pour la gloire
, et qui sont recherchés pour le plaisir ; et les lois que nous avons citées dans le Chapitre précédent le déclarent encore as
17 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « [Introduction] » pp. 1-9
e reproche à S. Paul, pour avoir lu les comédies de Ménandre, dont il cite des vers, à S. Augustin et à S. Jérôme, qui en ra
onséquence : qui jamais a approuvé tous les livres qu’il lit ou qu’il cite , encore moins la représentation de tout ce qu’il
ses, ni de les envenimer. Je cherche à convertir, non à mordre, et je cite partout mes garants. Tous les ouvrages solides qu
18 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement général du personnel et des revenus de l’ancien clergé séculier et régulier de france.  » pp. 351-362
es conventuelles. 2.000.000 … 7.109.100 Indépendamment des abbayes citées ci-dessus, il y avait d’autres abbayes et prieuré
its casuels, 90.000 … 1.500.000 Le nombre de religieux des abbayes citées aux articles 2, 3 et 4, se montait à 8.945 … 5°
19 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13
dies inspirent autant la tristesse que la joye ; je me contenterai de citer l’Andrienne. Quand la Comédie naquit en France, e
ies, & l’on y trouve le triste & le sérieux : ai-je besoin de citer l’Enfant prodigue, l’Ecossaise ? Nos Voisins ont
20 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
é de mettre la passion de Notre Seigneur en Tragédief. Saint Augustin cite Virgile aussi souvent que vous citez saint August
neur en Tragédief. Saint Augustin cite Virgile aussi souvent que vous citez saint Augustin. Je sais bien qu’il s’accuse de s’
sur le sérieux. Remplissez vos Lettres de longues et doctes périodes. Citez les Pères. Jetez-vous souvent sur les injures, et
21 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
squels le P. Le Brun est entré dans tout le détail possible, et où il cite et rapporte les différentes autorités qui font la
st M. de la Grange, Docteur et Chanoine régulier de Saint Victor, qui cite entre autres ce passage de saint Augustin, traité
22 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
nds à cela, dit-il, avec les propres paroles de Saint Thomas », et il cite un article de ce saint docteur sur les sentencesI
68, article 4]. dans la question de la somme que nous avons déjà tant citée , article quatrième, où il demande s’il peut y avo
23 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
uze sur la terre, » Lesquels present nous meinent dure guerre » En la cite Hierusalem nommee » Et tout autour du pays de Jud
’ils tont mis » En bon estat & en sante » Pour avoir bruyt par la cite » De faire miracles patens Là même, folio 8. vers
atre ; mais aujourd’hui, elle fait pitié. C’est ici qu’il faut que je cite ces Vers de Mr. Des Preaux : Chez nos devots Aye
24 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
es. Je suis donc entièrement de l’avis du journaliste que je viens de citer . Je pense encore que de pareils rapprochements en
and Roi était l’ami des jésuites, et comme un lâche hypocrite, il ose citer les propres expressions de ce bon prince, tandis
cha la vie au meilleur des rois. Et l’écrivain éhonté que je viens de citer , ose le présenter comme l’ami des jésuites ! Il f
t pas pour venir à l’appui de ce que je viens de dire. Car si on veut citer les grands conquérants qui opérèrent de si grande
de cinq cents lieues de long, après une agonie de soixante jours. On cite en effet un rapport officiel du ministre de la po
25 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « [Épigraphe] » pp. -6
& des Jeux sans éclat, cette Sparte, que je n’aurai jamais assez citée pour l’exemple que nous devrions en tirer… C’est
26 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
s ne vous sont pas favorables. Cela seul pourrait me dispenser de les citer contre vous, du moins les Conciles ; aussi ne vou
nombre. Je vous prie pourtant de remarquer que Valère Maxime que vous citez page 17 et Lampridius page 18, sont des Historien
dont il parle se commissent sur le Théâtre. Les paroles que j’ai déjà citées suffisent pour vous en convaincre. « De parricidi
rôme, Saint Augustin, Saint Chrysostome, Alexander Alexandro que vous citez pages 16 et 17, en parlant des infamies des Spect
favorablement qu’il pouvait pour lui. A quoi bon, je vous prie, nous citer toutes ces Bulles pour donner du poids à la doctr
fût besoin pour nous y soumettre, de toutes les Bulles que vous avez citées page 5, ni des témoignages des savants page 6, ap
losophie de la fameuse Université d’Alcala, où toutes ces Bulles sont citées . J’avoue que Saint Thomas dans sa 2.2. q. 168. a.
bréger tout ce que. Saint Thomas dit, outre que je serai obligé de le citer dans la suite. De tout ce qu’il dit et de tout ce
urs que de Saint Thomas. J’ajoute que les autres Théologiens que vous citez pages 22 et 23, Albert le Grand, S. Bonaventure,
timent que Saint Thomas. Je ne crois pas même devoir m’embarrasser de citer ici contre vous tous les autres Théologiens ou Ca
ous avez faites sur son sujet. Je ne parle pas de votre manière de le citer , je veux croire que s’il est mal cité, c’est la f
ng, ce serait tout au plus section ; mais c’est paragraphe qu’il faut citer . C’est là une bagatelle à laquelle je ne m’arrête
plus sérieux et de plus solide à dire. Vous deviez vous contenter de citer les endroits où Saint Antonin parle de la Comédie
verrez qu’il parle conformément aux sentiments de Saint Thomas qu’il cite , qu’il admet les mêmes conditions que lui, qu’il
ques, où il y ait des abréviations que vous n’entendez pas : car vous citez le § 1 du Chapitre 23, du titre 1 de la 2e partie
scrupule ; pour moi je m’en fais un véritable. Si je me contente d’en citer les endroits, cela ne sera pas suffisant pour per
fe, qu’on trouve avec le Ciel des accommodements. Je pourrais vous en citer assez d’autres aussi formelles ; mais vous me dir
mot de ce que vous dites, encore moins le « plane nusquam », que vous citez à la marge. Tout ce que je vois dans Tertullien,
ticulières. Pour ce qui regarde les Conciles, je suis dispensé de les citer contre vous ; parce que vous demeurez d’accord pa
es défendent également. » Et pour justifier ce que vous avancez, vous citez quelques Conciles et quelques Pères. Vous n’avez
dont vous vous êtes servi page 53, pour la justifier, et que vous ne citez que pour nous éblouir et nous surprendre à votre
27 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
ulement au tribunal de pénitence, mais encore d’avoir le droit de les citer par-devant les conciles, comme étant justiciables
vertus de la primitive église. Voici le nom des conciles que j’ai osé citer , savoir : ceux d’Arles, années 314 et 1234 ; de C
28 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
Seconde question. Il faut avouer, M. P., que les auteurs que vous citez contre la comédie, sont des auteurs graves, &
dit, ex profeβo, & non simplement en passant ou par occasion, il cite Quædam vero spectacula sunt de rebus utilibus &a
i ses termes & ce qu’il venoit de dire avant les paroles que j’ai citées . «  Hujusmodi spectacula, si sunt rerum turpium &
éfend au contraire, au même endroit de sa seconde Seconde qu’ils nous citent , & peu après les paroles qu’ils croient les a
M. P. : nous nous en étions rapporté à la bonne foi des comédiens qui citent continuellement Saint Thomas pour eux. Mais pourq
29 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137
ue, les spectacles des boulevards, les parades de Vadé, &c. qu’on citera pour modèles, ni ce nombre infini de spectateurs
u théatre). Carolet, obscène comique, ne doit jamais être cité (on le cite deux pages après). Vade est l’inventeur, du moins
m. 2. L. 5. N. 6.), qui rapporte ce fait d’après divers Auteurs qu’il cite , fait une dissertation très-peu importante pour s
; qui a été toûjours reprouvé par les gens sages & pieux, dont il cite un grand nombre : Se hasion con tan excessivo gus
, pense-t-il qu’il est ici aussi peu galant que respectueux ? peut-il citer avec tant d’éloge une nation qui n’a jamais admis
30 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « A MONSEIGNEUR DE HARLAY, ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE  » pp. 394-406
re Grandeur de chercher elle-même l’endroit que j’ai l’honneur de lui citer , je vais mettre ici ses propres termes. « Pontife
ciple, S. Chrysostome, S. Augustin, Orose, Lactance, Salvien, et pour citer des autorités encore plus grandes, les Conciles o
31 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
à la parole de Dieu, transmise par le saint apôtre que nous venons de citer  ; mais encore ils sont criminels aux yeux du chri
violation de ces divins préceptes de Jésus-Christ, que nous venons de citer plus haut, que réside le principe de l’abominable
e social, et toujours, d’après ce principe affreux que nous venons de citer , que c’est par la violence et par les punitions,
32 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
dicules théâtres, se sont plûs à leur en vanter les pièces, à leur en citer des traits, à allumer leur curiosité. D’un autre
n’attendez pas de moi, monsieur, que pour prouver ce que j’avance, je cite ici tout le répertoire des Boulevards, et du Pala
, m’a paru un chef-d’œuvre d’imprudence. Il ne s’agissoit plus que de citer le bréviaire au bas. Je ne suis pas le seul qui a
ours, & que je veux perdre bien plus vîte, je dois, ce me semble, citer pou en cette occasion, & ne citer que ce que
us vîte, je dois, ce me semble, citer pou en cette occasion, & ne citer que ce que j’ai pu voir & entendre. Cassandr
33 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
ègles. On le peut voir dans les Conférences d’Automne sur la loi déjà citée , Bened. in C. Rainututius, v. Dotem. N. 38. Tiraq
l’en retirait, ne fût-ce que par la crainte d’être déshérité. Furgole cite pourtant un Auteur qui jamais avant lui n’avait é
quement pour de l’argent. Qu’on consulte sur toutes les lois que nous citons , sur la loi 1. de postul. la loi 2. de his qui no
 109. n. 4.), conformément aux ordonnances des Rois Catholiques qu’il cite . Il en donne une raison plaisante, mais vraie. De
éâtre, il est censé la livrer au public et lui permettre le crime. Il cite là-dessus une foule d’Auteurs. « Histriones sunt
34 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
nt espérer de faire insérer dans l’ouvrage périodique que je viens de citer , ma réponse à M. de Sénancourt, je me détermine à
35 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
indulgens à la Comédie. On ne terminera pas ces Observations sans les citer . Pour le moment, on choisit sit seulement le célé
ous les vices y seront-ils moins communs ? On pourroit, au contraire, citer la Capitale d’une Province de France, du côté du
l’environnoient. Du côté de la bonne conduite, & de la piété, on cite encore Mademoiselle Beauval, ainsi que plusieurs
célebres Philosophes, l’un Prophane, & l’autre Chrétien, que l’on cite mal-à-propos, comme contraires à la Comédie. Sénè
36 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
user le peuple, compris sous le nom général d’Histrion. 1.° S. Thomas cite en preuve l’exemple de S. Paphnuce, à qui il fut
donc l’éviter : Omnes arceri debent. Ainsi, selon S. Augustin, qu’il cite , c’est un très-grand crime de donner aux Histrion
ad vitia lasciviæ. Je ne crois pas que personne ose le contester. Il cite la-dessus S. Chrysostome, dont nous avons ailleur
ime : Adulteros & inverecundos constituunt tales inspectiones. Il cite encore le trait d’Alipius, rapporté par S. August
37 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
er ici un nombre infini de noms immortels ; mais je me contenterai de citer trois ou quatre de nos plus fameux Musiciens. La
st presque entièrement dans le genre Français. Il serait trop long de citer d’autres Drames. On peut aussi connaître les
ne la Mesure ; il l’énerve & la défigure sans scrupule ». Je vais citer tout de suite un assez long passage d’un Auteur F
rincipe. Il est vrai que les amateurs de la musique Italienne peuvent citer des morceaux qui feraient croire ma proposition h
38 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
is elle n’est pas la seule dans ce genre, & celles que je vous ai citées plus haut en font la preuve. J’aurois tort cepend
st toujours puni. On peut en dire autant des autres passions que j’ai citées déjà. Le spectacle nous représente le tableau de
39 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
recevoir la S. Communion, tandis qu’ils perseverent en cet emploi. Il cite en confirmation de son sentiment un beau passage
des Directeurs dans le Tribunal de la Penitence. Je vous pourrois en citer quelques-uns, que j’ai l’honneur de connaître, je
40 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
Auteurs Anciens & Modernes semblent avoir écrits en sa faveur. Je citerai , quand l’occasion s’en présentera, plusieurs de c
rateurs. Que n’a-t-on pas cherché à tourner en ridicule ? Que l’on me cite une chose qu’on ait d’abord applaudi d’une voix u
des paroles3. » Si l’on voulait récuser l’Auteur Grec que je viens de citer , sous prétexte de son ancienneté, & que les g
41 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XI. Les pères et mères perdent leurs enfants en les conduisant ou en leur permettant d’aller aux spectacles. » pp. 105-107
u les irriterar ? » aq. [NDE] Gérard, op. cit, pp. 121-122. Gèrard cite ici la préface de Riccoboni, Traité de la réforma
42 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
u’elle avoue. Voyez les conférences d’Angers depuis la pag. 547. déjà citée , jusqu’à 557. Troisieme preuve. Tirée des man
mettre sous les yeux, le témoignage de Benoit XIV, que nous venons de citer , & la commission qu’il donna au célèbre Conci
ne sont pas moins décidés contre les spectacles. Pour abréger, je ne citerai que deux des plus fameux Théologiens de cette nat
& dèfendent aux fidéles d’assister à leurs représentations, & cite les plus habiles Auteurs de sa nation, qui ont éc
étoit certainement pas fixé à l’époque de l’arrêt, que nous venons de citer . « Nos Comédiens , ajoutent-ils au même endroit,
ls font, en est un nouveau. » Ce sont les termes des conférences déjà citées , pag 551. 552. Troisieme vérité LEs Spec
ur n’en pas faire un crime à leurs pénitens ; mais si l’on pouvoit en citer un : je lui donnerois hardiment le défi de signer
43 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
es lettres a, b et c, nous dérogeons à la norme habituelle qui est de citer d'après les toutes premières éditions, en donnant
44 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
ts dont leur piété et leur sagesse ne permettent pas de douter, et de citer l’un des plus grands et des plus habiles Magistra
il mourut enfin Conseiller d’Etat. Il a laisse un autre ouvrage qu’on cite tous les jours au barreau. C’est un recueil d’arr
es ; (C. 47.) sur la dissipation, la légèreté, les ris immodérés ? Il cite quelques vers de M. de Maniban, grand-père du pre
re, il y a des propos indécents, et des erreurs ou des impiétés. J’en citerai seulement quelques traits. On annonce que l’ouvra
45 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
am finxit, etc. » Pour imprimer à son fils l’amour de la décence, il cite (Officiis C. 1.), comme une espèce de prodige un
seraient-ils moins admirables dans les Actrices ? Nous n’en avons vu citer aucun. En 1759 il y eut à Paris un procès singuli
rance, est véritablement mauvais et défendu en conscience. M. Beaumon cite diverses permissions accordées aux Comédiens, ce
pas voir par les dates même des lettres patentes et des arrêts qu’ils citent avec tant de confiance, que ces titres ne peuvent
46 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
es de douleur et de volupté. S. Augustin, que je ne me lasse point de citer , les appelle tantôt l’impureté d’une folle compas
our vouloir en dédire Saint Augustin : mais s’il m’était permis de me citer , profane que je suis, après une autorité sacrée,
47 (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11
e Pindare et le Tibulle françaisa. Passons à la Tragédie. On aurait à citer , de nos jours, Roméo-Ducisb, Chénier-Fénélonc, Ab
Corneille par nos impitoyables Aristarques, il devient impossible de citer personne après ce grand génie. L’art de la coméd
48 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVII. Accidents arrivés dans les spectacles. » pp. 150-153
t., vol. 1, p. 449-455. Dans ce premier paragraphe, Desprez de Boissy cite le Discours contre les spectacles de l’abbé Cléme
49 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
t, où l’Amour & la Vertu répandent des larmes. Je pourrais encore citer pour exemple, notre Opéra-sérieux, qui fut à sa n
cune preuve de ce qu’ils allèguent, au lieu que les Athéniens peuvent citer en leur faveur l’amour qu’ils avaient pour les Ar
qui se soient perfectionnées aussi promptement ? Les Arts peuvent-ils citer un génie heureux qui les ait fait connaître par s
50 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
e laissent pas d'être très belles, et sur cela on ne manque jamais de citer Polyeucte, car il serait difficile d'en citer bea
on ne manque jamais de citer Polyeucte, car il serait difficile d'en citer beaucoup d'autres. Mais en vérité, y a-t-il rien
ation de son héritage. Mais comme dit le grand Evêque que je viens de citer  : « Pour changer leurs mœurs et régler leur rais
51 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
es plus grandes peines, s’ils y assistent. Entre autres autorités, il cite S. François de Sales, le plus doux des hommes (St
, pays célèbre par la licence des divertissements. Ce Pape affecte de citer pour les Conciles l’édition du Jésuite Hardouin ;
pper. Comme la plupart connaissent peu les anciens canons, ils ne les citent ni en objection ni en preuve ; on ne fait mention
52 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Que le Compositeur doit chercher à peindre. » pp. 340-344
te imitation frappante qui nous amuse & nous charme. Il suffit de citer le Soldat Magicien, le Roi & le Fermier, Sanc
53 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE IV. Des Femmes de Théâtre. » pp. 42-48
e lieu d’assurer qu’elles y aient joué parmi eux. Et, quoi qu’on nous cite cette Actrice qui reparut sur la Scène dans une g
54 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
e me soupçonniez d’exagérer la pensée du S. Docteur, permettez que je cite ici ses propres expressions : ) Equidem arbitror
e l’esprit. Oui, Messieur, enfin, j’en conviendrai, si vous pouvez me citer , je ne dis pas un seul Docteur de l’Eglise, mais
r son expérience. J’y consens, oui, paroissons au Tribunal où il nous cite . J’ai dit, en second lieu, que l’expérience commu
particuliers ; parmi les Auteurs sacrés, j’entends un Augustin qui se cite lui-même en témoignage ; & avec cette noble f
55 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110
int que je sache qui ait désigné en particulier le Tartuffe. L’Auteur cite mal le septième dimanche après Pâques, il n’y en
que de renoncer à leur malignité. L’Auteur qui fait cette remarque en cite d’autres exemples, & rapporte le témoignage d
une femme qui certainement n’a jamais lu la moitié des livres qu’elle cite , sur-tout pleins de galanterie, sans obscénité il
ment il a gagné du terrein & levé le masque, il seroit inutile de citer des passages de l’Évêque de Vence, soit de son hi
56 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128
-il encore dans son désert ? en conseilleroit-on la lecture ? S. Paul cite des vers du Poëte Ménandre ; approuvoit-il la com
des approbateurs du théatre ? Un enfant riroit de cette objection. Il cite la Bruyere. L’a-t-il lu ? il est déclaré contre l
ême, & nous dirons, comme Bossuet, n. 35. qu’on affecte de ne pas citer , quoiqu’un des plus redoutables adversaires, pour
57 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
ques Auteurs attribuent cette Pièce à Jean de Meun, mais Jean de Meun cite lui-même des passages de Pathelin dans sa continu
58 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre II. De deux sortes de Danses, dont il est parlé dans l’Ecriture Sainte. » pp. 6-13
Gentils et Idolâtres, comme il est marqué dans la Loi que nous avons citée , et dans un passage de saint Augustin que nous ra
59 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
ur le théâtre, si vous êtes plus adroit dans les vôtres, lorsque vous citez l’auteur de la fameuse lettre à d’Alembert. Je ne
existe, il ne faudrait pas se borner à dire : il y a du danger. Vous citez , M. le Laïc, un comte Rabutin, de l’académie fran
60 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
arlant ainsi, les défauts que le théâtre a réformés. Je pourrois vous citer plusieurs exemples, je me borne à quelques-uns. U
statuts des dioceses n’y sont pas moins séveres. S’il me convenoit de citer des théologiens, je vous nommerois les PP. Concin
61 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
iens & modernes, ont tenu le même langage. Il seroit inutile d’en citer davantage, personne n’en doute. Eh ! n’est-ce pas
grand essor dans la pratique des conseils. Nous croyons inutile d’en citer aucun ; mais nous invitons tout le monde d’en fai
62 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
s l’entrée & la sortie de leurs personnages. Je me contenterai de citer Sophocle : sa Pièce d’Ajax est assurément très-be
apport les uns aux autres ; la Pièce d’Ajax de Sophocle que j’ai déjà citée , & les Horaces de Corneille, m’en fourniront
63 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224
’autre par l’ivresse et se livre à toute sa fureur, que le vin anime. Citez Monsieur, les crimes que le spectacle a fait comm
anime. Citez Monsieur, les crimes que le spectacle a fait commettre : citez -en un, et je me rends. Examinons un peu deux nouv
64 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
uite prenant le ton érudit, lui qui ne savoit pas un mot de latin. Il cite les Saints Peres, & les annales de Baronius.
les de Baronius. C’est-à-peu-près la scène du Médecin malgré lui, qui cita Aristote dans le chapitre des chapeaux, & il
’auteur de la lettre que Boursaut avoit élevée jusqu’aux nues ; où il cite l’antiquité dont il n’a aucune connoissance, &
lons ailleurs, qui a demeuré sans réponse, & que n’osent pas même citer ceux qui ont depuis fait des appologies de la Com
65 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160
bstiné à trouver favorables à son parti tant d’anciens Docteurs qu’il cite , comme Saint Thomas d’Aquin, Saint François de Sa
rand Seigneur. Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne cite jamais que Duc, Prince, ou Princesse. La qualité
qui a été fait une fois, ne peut pas l’être mille. On pourrait encore citer une Pièce de M.F. dont l’amour n’est point le mob
étale les vices et les défauts qu’elle réforme par ses Pièces ; elle cite les Petits-maîtres, les Femmes savantes, les Misa
harles Borromée, de S. Jérôme, et de plusieurs autres Docteurs, qu’il cite pour avoir été favorables à la Comédie. (Citation
ôme. Si l’on voulait rendre à M.F. fait pour fait, on pourrait lui en citer un qui ferait l’opposé du sien. C’est que saint A
ingulier que pour prouver l’indulgence d’un homme pour la Comédie, on cite un de ses ouvrages, où il n’en dit pas le mot. Co
cette question ; et c’est sans doute pour y répondre d’avance, qu’il cite la capitale d’une Province de France du côté du n
66 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
te, des Conciles & des Peres de l’Eglise sur la Comédie. L’Auteur cite de l’Ecriture sainte le Livre des Proverbes, c. 4
’Ecriture sainte. Il y a joint l’autorité des Canons des Conciles. Il cite les Canons 62 & 67 du Concile d’Elvire tenu l
e par les Rituels ou les Actes des Synodes des Dioceses. M. Lalouette cite entr’autres, le Rituel de Châlons-sur-Marne de 16
tioche, de la troisieme Homélie du même Pere sur Saül & David. On cite encore de Saint Ambroise le premier chapitre de s
ont autant de décisions contre les Spectacles publics, que nous avons citées dans nos Lettres, pages 121 & 122. Voilà ce q
e ce grand Philosophe sur les Spectacles sont intéressantes : on n’en citera que celles-ci du cinquieme Tome de ses Essais de
leurs Comédies, de quelque nature qu’elles fussent ; & ensuite il cite les premiers Peres qui les ont condamnées, &
u’il rendit des Ecrits où l’on soutenoit la bonne cause. Que ceux qui citent comme favorable aux Théatres la réponse que M. Bo
ettres historiques sur tous les Spectacles de Paris, 1719. Cet Auteur cite comme des anecdotes avantageuses aux Théatres, qu
é l’instituteur de ce Spectacle, on auroit à observer que si l’on a à citer quelques Ecclésiastiques élevés en dignité, qui s
us rapporte, sont si formels, qu’on ne conçoit pas comment on ose les citer en faveur des Spectacles. Ils n’approuvent donc l
eroit ses mœurs. Est-ce donc bien justifier les Théatres, que de nous citer pour exemple ceux de Rome ? Leur établissement y
ccompagne ordinairement la vraie science. Il releve beaucoup ce qu’il cite des autres111, & il semble n’attendre rien de
e l’a dit dans un Ecrit latin un Auteur que nous avons eu occasion de citer plusieurs fois ;116 « C’est un double personnage
a regle que suivent tous les bons Evêques. Nous pourrions à cet égard citer en preuves les différens témoignages que nous avo
&c. Notre Critique convient que les Pieces de M. de la Chaussée, citées par M. Fagan pour un modele, sont, sans contredit
ées si souvent contre les Comédiens », & dont on a eu occasion de citer les preuves, p. 110 de ce vol. & 121 de nos L
é127 quelques traits de cette Lettre, & nous aurons occasion d’en citer d’autres. Elle fut réimprimée en 1773, pour, dit
, qu’on ne sçauroit faire servir aux passe-temps sans la profaner. Il cite le sentiment du Jésuite Mariana dans son Traité d
re dédicatoire fait honneur à la vertu de cette Princesse, qu’on peut citer aussi en témoignage contre les Spectacles. Voici
encore en des cas particuliers pour des vues politiques ; & il en cite cet exemple : « Les Tyrans d’Athenes craignant la
a également toujours été pernicieux pour les mœurs : on pourroit même citer en preuve ce qui est échappé à un Poëte dramatiqu
Feuille, par exemple, d’où l’on a tiré les réflexions qu’on vient de citer sur les Romans, contient les pensées les plus lum
on du Théatre, qu’il regarde comme un moyen politique à conserver. Il cite la Tragédie de Polyeucte comme capable de donner
e, mais encore en bon spéculateur politique. Nous avons cru devoir en citer quelques pensées168. Elles se réduisent à prouver
ribue pas cette opinion à un préjugé d’une Philosophie cynique, on va citer les Historiographes & les maîtres de l’art. «
& que de cœur il tient à la philosophie de Despréaux, dont on va citer ici quelques vers pour faire opposition. … … …
gion, trois sources d’argumens invincibles. Ne pourroit-on pas encore citer en preuve le témoignage intérieur d’un grand nomb
s, plus superstitieux, que l’ignorant & le simple ! Nous pouvons citer , à l’appui de cette derniere réflexion de M. de M
, on lit l’Ecriture Sainte qu’ils expliquent en maîtres, & qu’ils citent par-tout. Aussi, dit Clément XIV, les Ecclésiasti
. 67. Dans notre Lettre II, pages 226 & 229. 68. Nous les avons citées page 226 de nos Lett. 69. Profana & vaniloq
ossuet, Disc. sur l’Hist. univ. 193. Ibid. 194. Cette Piece a été citée ci-dessus, p. 323, lig. 7, où il faut lire, Sophr
sa Lettre à Louis Racine. 210. Dans une Dissertation que nous avons citée page 19 de ce volume. 211. Réglement donné par u
67 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
ht, Reine d’Angleterre ; lis. que l’Empereur Leopold, que je viens de citer . pag. 166. lig. 1. où l’on trouve ; lis. où l’on
68 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
is combien de Cléopatre. Il est facheux que la Comédie ne puisse rien citer de pareil ; puisque sa rivale s’élève au dessus d
Perses, Agamemnon, les Suppliantes, &c. On m’objectera que je ne cite que l’enfance du Théâtre ; mais son enfance vaut
69 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
idolâtries, ou qu’on y faisait des saletés ; ceux que nous venons de citer prouvent avec évidence que les Saints ont regardé
et ces Danses dont parle l’Écriture dans ces lieux que nous venons de citer , étaient toutes pour l’honneur de Dieu, et pour l
s choses propres à exciter les passions. » Je ne sais comment on peut citer en faveur de la Comédie, un Saint qui y est si op
les gémissements de vos proches serviront de violons. » Vous donc qui citez saint François de Sales pour autoriser la Comédie
er, comme fait l’Auteur de l’Écrit, aux Saints des premiers temps, et citer les Retraites que saint Gregoire de Nazianze fais
nicieuses que s’accordent les gens du monde : A-t-il lu ce Pere, pour citer son exemple si mal-à-propos ? Chacun sait que ce
rimes qu’ils auront fait commettre ? Vous les abusez, quand vous leur citez l’exemple de saint Paphnuce, auquel après une lon
70 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
moins pour l’appuyer que pour répondre à vos objections, que je vais citer des exemples ; je ne les chercherai pas loin. J’a
ent en faveur de l’humanité souffrante . Il vous seroit impossible de citer une seule de nos tragédies qui ne produise cet ef
e. Il ne me reste plus qu’à parcourir avec vous les Comedies que vous citez , & qui effarouchent votre zele pour la vertu.
unique source. Je finis l’examen des pieces de Moliere que vous avez citées , par la Comédie du Misantrope sur laquelle vous v
ous, se charge d’encourager les filoux  ; & pour le prouver, vous citez , non le Joueur, mais le Légataire. Eraste, l’hon
71 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
a réponse, déjà trop longue, à M. de Sénancourt, je me dispenserai de citer plusieurs exemples trop fréquents, de ces refus d
72 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
r lui, Madame de La Fayette aurait objecté à Nicole des vers qu’il ne citait pas, et qu’il identifie comme ces deux vers, pron
73 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
tant qu’à ceux des Maîtres de l’Art ; aussi lorsqu’il m’est arrivé de citer quelque dogme du grand Maître, j’ai toujours dit 
74 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
ctions, plus ils se croient autorisés à vous imiter en celle-là, et à citer même votre exemple. Vous participez donc à leur p
ne rien laisser à désirer sur la question des Spectacles, nous allons citer des autorités qui ne seront suspectes à personne.
V. 14. 32. Matth. XVIII. 6. 7. 33. Lettres sur les Spectacles, déjà citées . 34. Telles furent celles d’un célèbre Littérate
ivent également résulter de cette espèce d’apprentissage. On pourrait citer  ; à ce sujet de terribles exemples. 39. C’est d
75 (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194
ès qu’il parut, dans l’oubli et dans le mépris si fort qu’on n’ose le citer  ; aussi dit-on que les illustres n’y avaient pris
76 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
avec quelque justice au caractère français. Je ne puis m’empêcher de citer ici ce que le tragique le plus soumis aux sentime
la religion à laquelle je suis attachée de conviction et de cœur. Je cite seulement un fait reconnu par tous ceux qui ont u
77 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
qui font rire. Les Latins ne sont pas moins sévères. Saint Thomas cite un passage de Saint Ambroise, qu’il a peine à con
78 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
ossède un avantage encore plus précieux que tous ceux que je viens de citer . Elle remplit de cet esprit divin qui fait prophé
Rois de l’appeller à leur Cour, de l’y fixer à force de bienfaits. Je citerai à ce sujet un trait singulier. Comme Louis IV. di
ue le prouve particulièrement le passage de Plutarque que je viens de citer ,) trouvaient qu’une musique trop tendre, trop éff
son cheval aux sons de tous les instrumens des Grecs. On dira que je cite une Nation barbare. Je répondrai qu’Hérodote ne n
79 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
fendus en aucun endroit de l’Ecriture, puisque Tertullien lui-même en cite un passage, qui selon lui les condamne. Mais il n
le nom de Spectacles n’y soit point exprimé. Mais on pourrait encore citer à notre Docteur beaucoup d’autres endroits de l’E
es ; il a le malheur de trébucher autant de fois qu’il se mêle de les citer  : je l’ai relevé sur le fait de Tertullien, il fa
ffet, il apporte plusieurs autorités des Pères qui la condamnent : il cite Tertullien, Salvien, Lactance, saint Cyprien, sai
qu’il ne sied pas à notre Docteur de contrefaire l’habile homme et de citer les Pères. Il dit donc que Tertullien, après avoi
tions qui en pourraient être exemptes, telles qu’étaient celles qu’il cite lui-même, où il n’y avait que de la symphonie, et
termes des Arrêts de 1584. et de 1588. Quant à ce qu’il a l’audace de citer l’exemple de Sa Majesté, laquelle, dit-il, « n’a
eurs temps qu’à la vérité et à l’esprit de l’Eglise. » Saint Charles cite ensuite le second Concile de Mâcon pour justifier
80 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
e à la critique. Pour donner une idée de ces immoralités, nous allons citer un passage du désespoir de saint Joseph, que les
81 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
grands hommes de l’antiquité ; par exemple, Auguste, ce prince qu’on cite à tout moment, dont on donne le nom à tout propos
t en effaçant les traces de la décadence grammaticale. On en pourroit citer mille exemples de ces mots différemment ortograph
bles, ils n’oublient point les contes, même dans un âge avancé on les cite , on les répete. Quel homme sensé contera les aven
int les passions, l’amour n’entre point dans ces aventures. Comment y citer la tendresse, y compter des fleurettes, y former
ce qui forme différentes scènes dans le même temps. L’auteur lui-même cite Britannicus, où Néron derriere une tapisserie, éc
82 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
s humaines ne sont pas tenues à réprimer tous les maux. Ceux qui nous citent la tolérance du souverain Pontife à l’égard du th
uxquels elle les expose, est un péché grief. » Il serait trop long de citer tous les mandements des autres évêques de la Belg
âtre moderne sur les mœurs, la Religion et le bien-être des familles. Citons le passage où cet écrit traite de l’immoralité ép
83 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
lfaisance dans le cœur de l’homme, un fond de cruauté et de barbarie, cite en preuve l’empressement de la multitude à contem
i s’est passé au su de tout le monde dans ces dernières années. Je ne cite que les exemples qui ont paru dans toutes les feu
la salle des pansemens de l’Hôtel-Dieu. Dans plus d’un cas (j’en puis citer des exemples avérés), les chandelles s’y sont éte
84 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168
e de sa propre beauté : Littera nativis ornantur picta capillis. Il cite l’exemple de plusieurs beautés célebres, qui se s
font que le défigurer : Sed facies aderat nullis obnoxia gemmis. Il cite encore l’exemple d’Apelles, ce peintre si célebre
les rendre méprisables comme lui ; ainsi nos petits maîtres ont beau citer le grand monde, & même les actrices, qui sont
85 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
assage ne se trouve point dans ses Œuvres théologiques. Baile, qui en cite un pareil sans le rapporter, le suppose, dans le
r de réfléchir sur leur état & de cabaler contre lui. Sur quoi il cite les monstrueuses pyramides que firent bâtir les r
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
ure qu’il ne voit qu’au Théâtre. Les beautés du Drame que je viens de citer achèveront de persuader (je m’en flatte au moins)
mais chez lui la durée de la représentation. Je défie qu’on puisse me citer une seule de ses Pièces, sur-tout en un Acte, ou
87 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
Que les exemples ne forment ni lois ni décisions, et qu’on ne nous en citera jamais émanées de cette Capitale du Monde Chrétie
e. Mais le Cid, après tout, n’a-t-il pas lui-même ses dangers ? Si je cite pour le prouver un exemple tiré d’un âge qui n’es
88 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XI. De l’amour & de ses impressions dans le Poéme Tragique. » pp. 165-178
eu de les ébranler. « Peut-on, dit encore l’Auteur que nous venons de citer , avoir quelque élevation dans les sentimens, sans
89 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
re ! C’est un Auteur entierement décrié du côté de la Religion. Je ne cite aucun trait de lui, persuadé que l’on m’en croira
90 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
ire, il a des propos indécens, ou des erreurs, ou des impiétés : j’en citerai seulement quelques traits. On annonce que l’Ouvra
91 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VII. De la Vraisemblance. » pp. 277-286
rait-il tomber dans de pareilles fautes ? Les deux Pièces que je vais citer , prouveront si je lui fais des reproches mal fond
92 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
u théatre Italien, on donne la supériorité au théatre François. On ne cite que des pieces françoises, des acteurs françois ;
des bonnes comédies Italiennes ; mais non la meilleure. Roccoboni en cite bien d’autres qui la valent, dit-il, & la sur
rt, & il est vrai qu’il n’en reste aucune édition antérieure ; il cite quelque Lettre du Comte Baldessari, qui mande que
pris sans rien changer du Journal de Trevoux, Avril 1758. L’Avocat le cite de bonne foi : les autres gardent le silence. Cet
93 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
ans être autorisés par les Loix, (pag. 20) & il ajoute (sans rien citer ) que les Loix sont contraires à cette maniere de
Turon. Can. 12. de Fest. cult Ibid. Labb. tom. 15. pag. 1019. 1. Il cite une Lettre de Gregoire XIII, datée de l’an 1082.
94 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
se trouve le Poète de terminer la Pièce. Le Maréchal, que je viens de citer , est la preuve de ce que je dis. On ne s’avise ja
ut les dernières, sont & doivent être filées éxtremement vite. Je citerai pour éxemple les dernières Scènes de Tom Jones, o
95 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
. Qui ne connaît la comédie des Plaideurs du doucereux Racine ? On la cite à tous propos, on la sait par cœur, elle a formé
a que le Parlement de Rouen dont le Dictionnaire des arrêts. V. nuit, cite un règlement du 15 mai 1684, qui l’interdit. Ces
96 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
us dans leur source, et qu’il a été de bonne foi lorsque voulant nous citer quelques mots de S. Benoît, il nous renvoie à Car
ivre du Code Théodosien titre 5. Le Grand S. Charles ne manqua pas de citer toutes ces Lois dans le Traité qu’il fit composer
97 (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610
i respirent leur zele pour les mœurs. Et dans ce nombre, nous pouvons citer feu M. de la Mothe, Evêque d’Amiens ; M. de Macha
tite Piece de Vers, insérée dans ce même Journ. Helv. que je viens de citer . En voici quelques Vers : Il est chez les Morte
, qui expriment l’intérêt qu’ils prennent à cet Ouvrage. Nous pouvons citer dans ce nombre M. le Clerc de Juigné de Neuchelle
dre moral un phénomene fort singulier ? Je voudrois au moins qu’on me citât quelqu’un qui se fût purgé par cette voie-là, c’e
tes deux y sont forcées par leur passion ». L’exemple que je viens de citer est une Piece d’Opéra. Mais on sçait qu’une Tragé
cieux. Cependant leur présence est censée en faire l’apologie : on la cite comme une autorité décisive ; & parmi ceux qu
nc nous donner une bonne caution de la pureté de nos Théatres, que de citer les personnes graves qu’on y rencontre ? Cette au
ue presque toujours ? Vous entendez mal ce vers de Corneille que vous citez  : A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire
s grand défaut est de contredire son goût & ses idées propres. Il cite avec exactitude ; il ne déguise & n’altere ri
Ecrivains Ecclésiastiques des douze premiers siecles, l’on n’en peut citer aucun qui se soit exprimé d’une maniere équivoque
tiam. Eccles. c. 22, ℣. 9. Je crois encore que vous rêvez, quand vous citez S. Charles Borromée, comme une autorité favorable
. Ils ne s’autorisent que trop souvent d’Auteurs graves ; mais ils ne citent jamais, ou s’ils citent quelquefois, ils sont tou
e trop souvent d’Auteurs graves ; mais ils ne citent jamais, ou s’ils citent quelquefois, ils sont toujours infideles, soit pa
es bonnes pensées morales, c’est d’elles que l’Auteur que je viens de citer , devoit dire, que leurs impressions ne laissent p
it un devoir, qu’on peut admettre la pensée de M. Crébillon, que vous citez  : Pour être vertueux, on n’a qu’à le vouloit.
partisans, soit par affection, soit par intérêt. Je voudrois qu’on me citât de bons Philosophes (reconnus pour tels), qui, ap
n personnage. Avec tout cela, jamais la Grece, excepté Sparte, ne fut citée en exemple de bonnes mœurs ; & Sparte, qui ne
es de l’Art dramatique. Cette assertion de ces Lettres-Patentes a été citée avec un ton avantageux, dans une Consultation que
e Politique & de Littérature de l’année 1775, pages 73 & 127, cite comme une action repréhensible quelques représent
peines qui leur seroient inévitables. Mais cette Déclaration que vous citez en leur faveur, & qui se trouve dans le Code
is la voie la plus sûre, selon vous, pour en bien juger, puisque vous citez l’aveu qu’il a fait de n’avoir jamais manqué volo
en vous la présentant sous les graces de la Poésie. Je vais donc vous citer un Poëte lyrique, qui pourra vous rendre ce bon o
nos Lettres plusieurs Ecrits importans que nous avons eu occasion de citer , & qui doivent fixer invariablement les juste
ne tolérance qui ne peut jamais en être l’approbation. Nous pourrions citer plusieurs actes du zele avec lequel le Ministere
té page 183. L’Auteur de la Consultation Italienne que nous venons de citer , soutient donc que hors le cas d’une nécessité ab
és que ceux qui ont la foiblesse de céder au respect humain. L’Auteur cite à ce sujet un passage de S. Augustin 298, qui doi
e, il y a des propos indécens, ou des erreurs, ou des impiétés : j’en citerai seulement quelques traits. On annonce que l’Ouvra
&, à cet égard Rollin & Coffin seront toujours des modeles à citer  : combien aussi n’ont-ils pas formé de Sujets qui
abreuvées de quelques mots libres qui sentissent la volupté338. Nous citons [page 430 de notre second Tome], quelques bonnes
bligés de convenir de bonne foi que cette décision que nous venons de citer , est fondée sur des principes incontestables, &am
piscopat : & combien d’autorités de ce genre n’aurions-nous pas à citer  ! Mais faut il faire tant de frais d’armes contre
es ont également raison de réprouver. Cette bonne assertion se trouve citée dans le cinquieme Cahier du Journal de Théatre, d
a Cavalerie légere, & il fut exilé de la Cour. C’est un exemple à citer en preuve de cette maxime : Les talens mal cond
t dans le monde ; édition de 1743. 154. Dans sa Lettre, qu’on a déjà citée pag. 67, & qui est imprimée à la suite de l’H
tres, prouvent qu’il connoît les défauts de notre Littérature. Je les cite comme relatifs aux Spectacles.  De longs habits
Denisart ; édition de 1768, au mot Comédien. Cette Déclaration y est citée sous la date de 1741 : c’est une faute d’impressi
qu’il a fait en 1775 du Maréchal de Catinat, & qu’on a « omis de citer avec ceux qui ont été faits par M. de la Harpe, g
on. 230. On en connoît les preuves pour tous les noms qu’on vient de citer . Celui, par exemple, de Phelypeaux, ne rappellera
98 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VII. Du Père Porée. » pp. 149-177
ui, & l’inspirent à un grand nombre ? L’Auteur sur cette question cite des Casuistes qui traitent cette folle dépense de
nt pas toutes sur les terres de la Société. Il eût pu entr’autres lui citer Diana, Clerc régulier, l’un des moins sévères. P.
évités. Sect. 3. C. 7. Tous les Théologiens François depuis un siecle citent avec de justes éloges l’autorité respectable du P
99 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
feu Pape ? Ce n’est pas m’exposer à l’épithète de Papiste que de vous citer pour garant du mérite de quelqu’un un Pontife aus
naître avant que M. Tagliazucchi la connût et la recherchât. Je ne me citerai point moi-même, quoique je voie travailler tous l
pourquoi la femme que vous ne nommez point, pourquoi celles que j’ai citées et dans les ouvrages de qui l’on trouvera sûremen
100 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
des passages des Poètes sont tels sur ce sujet, qu’on n’ose même les citer en Latin. Galien ayant été appelé pour voir une f
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