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1 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CONCLUSION » pp. 113-114
en saint Mathieu Chap. 18. v. 7. cet anathème : « Malheur au monde à cause des scandales ; il est nécessaire qu’il arrive de
sur le Théâtre, et que les Chrétiens n’y pourront aller sans péché, à cause du danger qu’il y a d’exciter ou de réveiller leu
cause du danger qu’il y a d’exciter ou de réveiller leurs passions, à cause du mauvais exemple, à cause qu’ils contribuent à
exciter ou de réveiller leurs passions, à cause du mauvais exemple, à cause qu’ils contribuent à l’excommunication des Comédi
2 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
lement la Censure des Magistrats, a fait plus de mal que de bien à la cause qu’il avait embrasséea. Comme s’il eût été au Bar
a fausseté. C’est pour vous mettre en état de plaider vous-même votre cause , que je vais prendre la liberté de vous détailler
t-Royal, prit leur parti dans cette dispute. Pour leur donner gain de cause en quelque manière, il s’appesantit sur l’article
oyer, sont en faveur de Roscius, et non pas contre. Il s’agit dans la cause d’un traité de société, dans lequel Fannius accus
st pas bien présent à ce qu’il me semble. Il est fâcheux de mettre sa cause entre les mains de pareils Défenseurs ; car de fa
ons une fois décelées en décréditant l’Orateur, préviennent contre la Cause même. En voilà, je crois, assez sur une question
s, elles seront faciles à surmonter. Quand on protège une aussi bonne Cause , et que l’on a des intentions aussi louables, on
3 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
ains ne se faisaient sinon les occasions occurantesi et pour quelque cause notable et insigne, comme pour quelque victoire o
victoire ou triomphe, ou pour quelque pompe funèbre, ou autre notable cause . Vrai est que Festus Pompeiusj récite une manière
ionsan, infinies fornications, adultères, maquerellages et pour cette cause est eadem rubrica seu titulo in libro XI, capitul
ient prendre occasion de Judaïsmeay, à faute d’intelligence. Pour ces causes , et autres considérations qui seraient de long ré
ssi ledit procureur général présenté autre requête à ce que, pour les causes susdites, les anciens entrepreneurs soient tenus
ntrepreneurs du Mystère de l’Ancien Testament. Remontre à la cour les causes qui les ont mus entreprendre faire exécuterbf led
quant aux aumônes, elles se refroidissent tous les jours pour autres causes , que chacun ne sait pas. A cette cause supplie la
nt tous les jours pour autres causes, que chacun ne sait pas. A cette cause supplie la cour, vu la permission du Roi, la véri
tère de l’Ancien Testament, car ce sont eux qui sont véritablement en cause ). Le document a été d’abord transcrit par le P. V
4 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VIII. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique Moderne fit-elle les plus heureux progrès ? » pp. 203-230
tant de personnes mettent Virgile au dessus de Lucain, ce n’est qu’à cause que Lucain étoit Espagnol, & que toutes les a
raison. §. I. Le désordre regna longtems par tout. Quelle en fut la cause . Je n’ai pas besoin de prouver que le désordr
cinq jours de durée, & il n’intitula son Clitandre Tragédie, qu’à cause que dans le cours de cette Piéce, quelques Person
es Personnages se battoient & se tuoient. Voilà donc la premiere cause du désordre qui regna sur tous les Théâtres, l’ig
angage que le leur, ont prit un style outré, & voici la troisiéme cause du désordre général. Les Poëtes s’imaginerent d’a
i de l’Angleterre ; & je crois que l’exemple du nôtre en a été la cause . Je vais m’en expliquer. §. II. L’exemple du T
igues des Espagnols. D’ailleurs Moliere ayant été copié par tout, est cause qu’on nous accorde par tout la gloire de la Coméd
e, le meilleur Poëte Comique qu’ait en l’Italie, le Peuple y courut à cause du nom de l’Arioste, & ne sachant pas qu’il e
ois, ne dit-il pas dans sa Lettre à M. Maffei : Il semble que la même cause qui prive les Anglois du génie de la Peinture &am
édie, Tout pour l’Amour, ou le monde bien perdu, parce que l’Amour en cause la perte. Quel titre pour une Tragédie ! La Catas
5 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144
la nature de ce sel, je vais rechercher la nature du plaisir que nous cause la Comédie. J’ai dit que la Tragédie avoit à Ath
nt honneur, est honor & lachrymis. Outre cela cette tristesse que cause la Tragédie est un chatouillement de l’Ame : &
chatouillement, quand les nerfs ont assez de force pour le soutenir, cause un sentiment agréable qui deviendroit douloureux,
semble chatouiller notre ame en la touchant, & ce chatouillement cause un plaisir. On trouve dans S. Augustin, une réfle
à se gratter. Voilà donc encore dans cette espece de tristesse, que cause la Tragédie, la jouissance d’un Bien, que ne nous
ignage de la joie, & dans la véritable joie, comme celle que nous cause une heureuse nouvelle, nous ne rions jamais. Le r
6 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
pour les Gens de Lettres, s’il se proposoit de traiter en général Des causes du plaisir qu’une Tragédie parfaite excite dans l
arfaite excite dans l’ame des Spectateurs. Peut-on réduire toutes ces causes au seul goût que les hommes ont naturellement pou
ttention, la représentation l’attache encore plus. Mais quelle est la cause de ce plaisir ? Vient-il seulement, comme l’Auteu
ttention, la représentation l’attache encore plus. Mais quelle est la cause de ce plaisir ? Vient-il seulement, comme l’Auteu
ouvent ceux qui l’ont une fois goûté. Ainsi, soit que le Spectacle ne cause qu’un trouble & une émotion passagere qui par
lement. Ainsi par des effets contraires, mais qui naissent de la même cause , la Comédie nous inspire l’estime de nous-mêmes p
mp; qui les affecte toujours quoiqu’ils n’en sçachent peutêtre pas la cause  ; je veux parler ici de ce qu’on appelle dans la
. Il finit d’ailleurs ce trouble, cette agitation, cette anxiété, qui cause une douce torture à notre imagination par le nœud
r l’apparence même de la Vérité, avec le plaisir que la surprise leur cause , & il tempére avec tant d’art le mêlange de c
objet de son imitation, & j’ai tâché d’y découvrir les véritables causes de l’impression que fait la Tragédie ; j’y ai mêl
avec plus d’élévation, & c’est là sans doute une des plus grandes causes de cette espéce d’enchantement qui est attaché à
cordes de cet instrument naturel qui y répond dans nos oreilles, elle cause dans notre ame une émotion aussi douce qu’agréabl
qu’à l’essence de cette espéce de Poëme, fait connoître les prémieres causes de l’impression qu’elle produit sur les Spectateu
tes, quand il les fait consister dans le seul plaisir que l’imitation cause à notre esprit. Je viens d’en indiquer un grand n
iments que la Musique fait naître dans son ame, sans en rechercher la cause . Combien y en a-t’il qui passent leurs jours à en
e à laquelle ils font si peu d’attention, soit néanmoins la véritable cause du plaisir qu’ils y trouvent. Ainsi, de même que
es hommes ont pour l’Imitation, il restera d’expliquer les véritables causes de cette derniere espece de plaisir dont l’Imitat
trouver qu’Aristote ne nous donne qu’une idée très-imparfaite de ces causes , lorsqu’il semble les réduire au seul désir d’app
rouvé digne de son attention. Mais je voudrois aussi que remontant de cause en cause jusqu’à la premiere, il nous expliquât l
ne de son attention. Mais je voudrois aussi que remontant de cause en cause jusqu’à la premiere, il nous expliquât les raison
7 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
Avertissement. O n a cherché avec soin les causes de la décadence des Sciences & des Arts. Mais
on a fait beaucoup d’incursions inutiles dans des pays étrangers. Ces causes sont chez nous & sous nos yeux. Elles ne sont
ous & sous nos yeux. Elles ne sont la plûpart autre chose que les causes même des progrès des Arts. Ce qui a contribué à l
avoir dit que les régles sont pour les Arts qui exigent du génie, une cause infaillible de décadence, nous nous hazardions à
8 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
s Spectateurs d’un Poème dramatique ; je vais tâcher de découvrir les causes de l’intérêt qu’ils prennent aux aventures fabule
éprouvât un jour. La malignité humaine est encore une des principales causes de l’intérêt qu’on prend à une Comédie. Les Perso
qui est de corriger & de plaîre. Est il difficile de démêler les causes de l’intérêt qu’on prend à une Tragédie ? elle no
umanité. Il est se vrai que la tristesse & les angoisses que nous cause la Tragédie, nous paraissent délicieuses parce qu
9 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
trative. C’est un principe constant dans la Morale, que quiconque est cause d’un péché mortel, commet un péché mortel. Fussie
se d’un péché mortel, commet un péché mortel. Fussiez-vous deux mille causes d’un seul péché mortel, vous faites tous un péché
des Fidèles. En assistant à leurs représentations, n’êtes-vous point cause qu’ils représentent ? Que personne n’écoute la mé
ques ont affecté de semer dans leurs Ouvrages, n’est-elle pas une des causes de l’irréligion qui se répand et s’établit de jou
10 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
s aux exagérations passionnées des partis, voyez mieux les véritables causes de ce débordement, et osez avouer à vos antagonis
, tracées, je l’avoue d’avance, avec peu d’art et de méthode, sur les causes de cette dégénération rapide, ne sont pas conject
n, m’ont mis à portée de comparer les temps, d’apprécier moi-même les causes qui ont agi sur les mœurs aux différentes époques
ent cette production sous le rapport dramatique ou littéraire ; cette cause a été plaidée et bien jugée ; il y a long-temps q
indigence et l’immoralité, et de traiter des moyens d’en détruire les causes , je pourrais y ajouter, qu’ayant vu dès mon enfan
11 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques «  Analyse et sommaire du présent Traité  » p. 63
il ne doit être permis aux Chrétiens. III. Arguments pris de leur cause Efficiente. Le service que le Diable a ordonné
nt donc avoir lieu entre les Chrétiens. IV. Arguments pris de leur cause Finale. Ce que les Païens suivaient ancienneme
12 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
rare de nos jours, que des caractères bien soutenus. J’en trouve des causes générales & particulieres. Les premieres tien
s aux vrais principes, au bon goût & à la raison. Telles sont les causes générales qui empêchent de donner aux personnages
ours offusquée de nuages qui disparoissent en son midi. Celles de ces causes qui sont particulieres aux Poëtes de la seconde c
point le tems à la prouver ; nous nous contenterons d’en indiquer la cause générale. La considération publique qui, n’est au
f aiguillon qui ait conduit dans la carriere. Mais il en est de cette cause des progrès de l’esprit, comme de presque toutes
13 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
mais je parle au nom de la République des Lettres. Ce n’est point ma cause que je vais plaider, c’est celle des Poëtes Drama
r. Quelque tems après M. Cailhava fit paroître sa brochure, intitulée Causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de l
e n’est donc point par vengeance secrette que je les attaque, c’est à cause du tort que leur domination fait à l’Art Dramatiq
répéterai au Lecteur, que je ne suis pour rien dans tout ceci, cette cause n’est pas la mienne ; mais je souffre de voir des
n. Maintenant écoutons parler M. Cailhava, dans son Ouvrage intitulé, Cause de la décadence du Théâtre, &c. Après avoir d
14 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
nt bien avoir été hommes mortels :Diod. Sicili. li. 1c. et pour cette cause ne pouvants ouvertement ôter du cerveau des simpl
laissa en succession son arc et ses flèches à Philoctète, lequel fut cause de sa mort ? Il s’ensuit donc que les Poètes n’on
pour ce qu’il tient le plus haut lieu : ils la disent aussi Triple, à cause du Printemps, de l’Eté, et de l’hiver :Cælius Rho
Dieu en fit une Déesse, laquelle il appella Nature, la disant être la cause efficiente de toutes choses, et la source et orig
t plus prompts et habiles à désirer louange et honneur. Et pour cette cause les Grecs [Liu. 1. Geograph.ainsi qu’escrit Strab
e discipline des bonnes sciences. Et certainement ce n’est point sans cause , que la Tragédie doit être bannie de tout spectac
x sont péries, avec plusieurs autres de gens très doctes, ce qui nous cause un merveilleux regret, pour ce que nous n’avons e
et paillardises. Parquoi l’accoutumance de voir telles vilenies, est cause bien souvent de corrompre les gens de bien. Car é
ailla un archet d’or, à cause de la douceur de ses vers : ou plutôt à cause qu’il poursuivit les Tyrans non seulement par arm
15 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
l’autre naît du Sujet. La plus heureuse Reconnoissance est celle qui cause la Péripétie. C’est par les Péripéties & les
us implet Ut magus, &c. Comme dans Athalie la Reconnoissance cause la Péripétie, je vais rapporter fidélement ce qu’
mple. La ressemblance de Joas avec l’enfant qu’elle a vu en songe lui cause des soupçons. Mathan envoyé bientôt par elle, le
ée songe à s’enfuir & à le cacher. Le Grand-Prêtre au contraire à cause du péril avance l’heure de l’exécution de son pro
de Mathan, qui vouloit qu’Athalie s’assurât sur le champ de Joas, est cause que la fureur d’Athalie est suspendue pour quelqu
ainte & la Pitié. Le Dénouement arrive par une Reconnoissance qui cause une Péripétie, & la Reconnoissance comme la P
s les qualités qu’il demande. Elle se fait par un signe extérieur qui cause la surprise, la marque du couteau, deux témoins q
e mieux réussi. §. II. Des Mœurs. Les Mœurs des hommes sont la cause de leurs Actions. La Tragédie est l’imitation d’u
tte austérité de vertu ne se fait connoître que quand il s’agit de la cause de Dieu. Cet homme qui par devoir a entrepris un
’autre à la Reine ont-ils osé prétendre ? Cette inquiétude sera la cause de tout ce qu’il dira à ces deux Fils & à Mon
cause de tout ce qu’il dira à ces deux Fils & à Monime, & la cause de ses malheurs. Dans Athalie le Poëte oppose deu
is un appareil théatral, quand il est nécessaire à la Représentation, cause quelquefois un Spectacle agréable, & donne de
16 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
soit lui accorder nos Lettres de Privilège pour ce nécessaires. A ces causes , voulant favorablement traiter l’Exposant, nous l
s mandons & enjoignons de faire jouir ledit Exposant ou ses ayans causes , pleinement & paisiblement, sans souffrir qu’
17 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
deux Vers de Lucrece nous conduisent à la source du Plaisir que nous cause la Tragédie. Qu’un homme soit tué dans la rue, le
du Ciel. Agamemnon reconnoît combien son emportement contre Achille, cause de malheurs ; mais les Peuples ont tort de l’en a
e les imprécations de son Pere sont injustes, reconnoît qu’il périt à cause des anciens crimes de ses Ancêtres : παλαιῶν προγ
sa Femme qui vient aussi de se donner la mort ; c’est lui qui est la cause de ces deux cruels Evenemens, & il se trouve
18 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
tems. L’idée qu’ils ont de la majesté que doit avoir la Tragédie, est cause que ne faisant pas d’abord reflexion qu’on peut p
Rime, dont l’envie de faire plus aisément des Vers a été la véritable cause , prétendent qu’on doit trouver des graces incompa
aginent qu’en prononçant deux Vers, nous nous reposons quatre fois, à cause des quatre hémistiches : le sens & l’ordre de
end que cette Ombre lui doit pardonner une rage dont l’amour a été la cause . Ah ! pardonne, chere Ombre, à ma rage inhumai
émotion, ne devoit point prendre pour Passion ordinaire, celle qui ne cause ordinairement qu’une foible émotion : mais aucun
ées par des personnes habiles à imiter la Nature. Elles ont aussi été cause que les Poëtes qui sont venus depuis, ont voulu f
andonnée, sans les circonstances qui l’y ramenerent, & qui furent cause qu’en lui rendant toute sa pureté, il lui donna l
19 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
it lui accorder nos Lettres de permission pour ce nécessaires : A ces causes , voulant favorablement traiter l’Exposant, Nous l
vous mandons et enjoignons de faire jouir ledit Exposant et ses ayant cause pleinement et paisiblement, sans souffrir qu’il l
20 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
feuille imprimée et attachée sous le contrescel des présentes. A ces Causes , voulant traiter favorablement ladite Exposante,
es vous mandons et enjoignons de faire jouir l’Exposante ou ses ayant cause , pleinement et paisiblement, sans souffrir qu’il
21 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XI. De l’amour & de ses impressions dans le Poéme Tragique. » pp. 165-178
ène sentoit que cette passion uniforme dans ses effets comme dans ses causes , ne pouvoit produire que des impressions foibles
iel ne doit point y couler, c’est le sang. En vain on rapporteroit la cause de cette invention funeste à la galanterie, goût
t, même à nos Spectacles, les instrumens de leur confusion, & les causes du dérangement de leur fortume ? Il est donc cert
22 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
clinquant et mon oripeau je tâche à soutenir tellement quellement la cause que j’ai embrassée. Comme avec un adversaire auss
innocente, peut causer de terribles impressions sur les âmes, et les cause même nécessairement. Or, vous ne sauriez me nier
peau, pour ainsi parler ; parce que cette satisfaction passagère lui cause une enflure pleine d’inflammation, d’où il sort d
sensé qu’il n’est généreux. Vous jugiez bien, Monsieur, que dans une cause aussi importante que celle-ci, je ne négligerais
23 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
stimer les Clercs du Palais gens de peu d’honneur pour représenter la cause grasse, la veille du premier Mercredi de Carêmef 
prendre ni de quel bois faire flèche, ils estiment que la Comédie est cause de plusieurs désordres. Et qui commet ces désordr
t pas les yeux et les oreilles des spectateurs attachés, ce qui était cause qu’on se divertissait quelquefois à autre chose,
ictionnaire de L’Académie française (1694) : « On appelait autrefois, Cause grasse, Une cause que les Clercs du Palais choisi
cadémie française (1694) : « On appelait autrefois, Cause grasse, Une cause que les Clercs du Palais choisissaient ou inventa
24 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
Nous avons assez vu, ce me semble, que cela ne peut être autrement, à cause des traces qui se font là sur leur cerveau ; et q
e. Ce lui sera une leçon qu’il ne pourra jamais soutenir une mauvaise cause sans être mauvais Orateur ; puisqu’il ne peut y a
a peu de personnes qui se connaissent en raisonnements ; et que c’est cause de cela qu’il faut les surprendre charitablement,
er quelle impression les paroles des autres font sur lui, chercher la cause des divers sentiments qui suivent les divers tour
u’ils ont de faible et de solide, de la justice ou de l’injustice des causes qu’ils défendaient ; et à rechercher les fautes q
25 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur de Nemours » pp. -
t que votre nom ne tombe En silence dessous la tombe Vous cherchez la cause des Cieux. Les effets, la course admirable De ce
veut souffrir la puissance Du lance-foudre Jupiter : Ou l’Amour d’une cause feinte Qui de son trait donne une atteinte Aux im
26 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVII. Du gouvernement & de la Police intérieure du Théâtre. » pp. 12-18
ntre dans la tête des Comédiens, & y peut-être considéré comme la cause des usurpations qu’ils ont faites sur le Théâtre,
priété acquise aux Comédiens de la sale du Spectacle, est la premiere cause du dépotisme qu’ils y exercent, dans l’administra
27 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
nteuses; et où par conséquent les Chrétiens qui y sont présents, sont cause que le nom de Dieu est blasphémé par les Infidèle
l'esprit, et dissipe son attention par un divertissement inutile qui cause le ris dissolu, et des réjouissances immodestes.
n reçoit; que c'est de là que viennent tant de maux; que c'est ce qui cause les calamités et les misères publiques, et une in
28 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
ans l’Empire, la difficulté d’en trouver de passables en est la seule cause . Son triomphe est donc complet, puisqu’il est goû
le seul plaisir de s’amuser de nos frivolités, & que par la même cause qu’ils imitent nos frisures élégantes, nos charma
qui fait ses délices de l’Opéra-Bouffon, sans pouvoir en expliquer la cause , s’en verrait éclairci avec joie. Objections
rt de la Comédie dans le dix-huitième siècle n’en peindrait-il pas la cause avec les mêmes termes dont se sert d’Aubignac ? E
Auteurs n’ont plus ni force ni génie, à quoi faut-il en attribuer la cause , si ce n’est au Spectacle moderne ? N’est ce pas
29 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
Hedelin d’). Ses apologies du Théatre, b, 112, 114 Augustin (Saint). Cause de l’Empire violent de l’amour réciproque des deu
stérité pour le témoignage de sa conversion, b, 5 50 Basile (Saint). Cause de l’empire violent de l’amour réciproque des deu
ement contre Emile, a, 192. Beaumont (Elie de). Mauvais succès d’une cause dont il s’étoit chargé relativement aux Spectacle
, 311 Billard. Dépendance des Poëtes à l’égard des Comédiens, a, 18. Cause d’une émeute à la Comédie Françoise, b, 496 Blan
, 156. Son sentiment sur le zele des Poëtes dramatiques à défendre la cause des Théatres, a, 224 Bonnet, b, 146 Bordelon, b
Poëtes, a, 100 Caulet (François-Etienne de), Evêque de Pamiers, 443 Cause , de la décadence du goût sur le Théatre, b, 392
anse, 451. Leurs variations sur l’immortalité de l’ame, 526 Clairon. Cause d’une émeute à la Comédie Françoise, b, 490 Clém
, Strophes de son Ode sur la Maison de Saint-Cyr, a, 497 Démosthene. Cause du bonheur des Empires, b, 167 Desprez de Boissy
la mauvaise éducation de notre temps à celle du temps d’Horace, 498. Cause de la corruption du Théatre chez les Grecs, b, 21
nches. Sa définition des Romans, b, 53 & 63 I Incrédulité. Ses causes & ses effets, a, 130-146. Ses progrès en Fran
a, 94. Ses idées sur les Parlemens de France, 109. Sa pensée sur les causes des révolutions d’un Empire, 291. Son hommage ren
jeunesse effrénée, 490. Sur l’infirmité humaine, 503. Son idée sur la cause des égaremens, a, 264. Corruption du siecle, b, 5
de l’Ecriture Sainte, b, 188 W Wallius (Jean). Son opinion sur la cause du retard de l’emploi de la Langue Françoise dans
30 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
son père. Tous les crimes du fils sont les siens puisqu’il en est la cause  : et qu’en bonne logique on rend toujours la caus
uisqu’il en est la cause : et qu’en bonne logique on rend toujours la cause responsable de l’effet qui ne serait pas sans ell
c’est pour apprendre aux avares de combien de maux ils se rendent la cause . N’est-il pas vrai que si Harpagon ne refusait pa
-vous pas que cela est mille fois plus excusable quand le père en est cause , que quand un fils est porté à ces excès par sa p
porté à ces excès par sa propre corruption ? Ergo si Harpagon est la cause de tous les égarements de son fils, il est le pre
ar leur avarice, leur dureté, leur ignorance, ou leurs préjugés, sont cause de tous les désordres de leur famille. Ecoutez le
utorise à l’abréger. Je n’emploierai pas plus d’efforts à défendre la cause des Dames, que celle de la Comédie ; cet objet me
31 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
ne terreur. » Ne dirait-on pas en effet que M. Despreaux vous donne cause gagnée, et qu’après une décision si formelle il n
d. Cela diminue l’étonnement où l’on a été de voir que l’Avocat d’une cause si favorisée n’ose ni dire son nom, ni marquer le
32 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VII. » pp. 36-41
nationi comparanda conjungitur. » Mais ce n’est pas le seul défaut de cause légitime qui se rencontre dans la Translation qui
lon les lieux. C’était autrefois au Concile Provincial à examiner les causes des Translations de sa Province, et à relâcher le
33 (1768) Compte rendu du Monthly Review pp. 288-290
? And does it not likewise seem to indicate a consciousness of a weak cause , whenever recourse is had to the argumentum Bacul
use, whenever recourse is had to the argumentum Baculinum? –As to the cause of the Gallican church, in particular, with respe
34 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
jet des Spectacles Celui qui a regardé les Belles-Lettres comme une cause de la corruption des mœurs ; celui qui, pour notr
dent. « Là, chacun se livrant aux amusements de son goût, on joue, on cause , on lit, on boit, on fume ; les femmes et les fil
enchantent ? Quand même l’impression en serait affaiblie, combien de causes peuvent y contribuer, qui n’ont rien de commun av
uvaises. Tel est l’infaillible effet des émotions que le théâtre nous cause  : quelque passagères qu’elles soient, il en reste
et plus l’homme est exercé à discerner le juste et l’injuste dans la cause d’autrui, moins il est exposé à s’y méprendre dan
ux exemples fort différents, et qu’il est bon de ne pas confondre. La cause des événements Tragiques, peut être ou personnell
s’évanouit avec l’illusion Théâtrale. Un autre genre est celui où la cause des événements est dans l’ordre naturel, mais ind
té, la simplicité naturelle de quelques-uns de ces personnages est la cause du ridicule qu’ils se donnent, est-ce à la cause
s personnages est la cause du ridicule qu’ils se donnent, est-ce à la cause que Molière l’attache ? l’a-t-il confondue avec l
, et que le mépris attaché à l’effet rejaillit infailliblement sur la cause . C’est de quoi je ne conviens point. Que l’on met
ennuieraient encore davantage, la pureté des mœurs n’en serait pas la cause . Les mœurs du Glorieux, de la Métromanie, de l’En
nous avilissent aux yeux de M. Rousseau : et c’est là surtout ce qui cause son déchaînement contre les pièces de théâtre où
des femmes ne soient pas passionnés, la pudeur seule peut en être la cause  ; que M. Rousseau et moi en ayons peu connu qui s
Romains. Mais vous attribuez ici au commerce des femmes ce qui a des causes bien plus réelles. Vous ne prétendez pas sans dou
t on vient d’adorer l’image. Ce désir n’est rien moins que vague ; la cause en décide l’objet. « L’amour est louable en soi,
; et ce n’est pas à nous à craindre que la faible illusion qu’il nous cause ne se change en égarement. On revient ému d’Arian
s vertus de cet âge, comme il en joue les ridicules, est aussi peu la cause de l’abandon où languit la vieillesse, que des tr
tendre y est séduisant, mais l’amour passionné y est terrible. L’un y cause de douces émotions, l’autre fait frémir la nature
l’une et l’autre impression ; mais ces deux effets n’ont pas la même cause . Que Zaïre soit jouée par une actrice d’une rare
ns belle toucherait moins avec le même talent ; mais cela vient d’une cause si pure, que Zaïre moins belle toucherait moins l
que Zaïre moins belle toucherait moins les femmes elles-mêmes. Cette cause est le charme innocent de la beauté, l’intérêt na
ale. Que le Cid sacrifiât son père à Chimène, qu’Horace abandonnât la cause de Rome pour complaire à Sabine : je demande à M.
e viens d’entendre et d’admirer Lise, Constance ou Cénie, j’oublie la cause , la seule cause de l’intérêt vif et tendre, dont
re et d’admirer Lise, Constance ou Cénie, j’oublie la cause, la seule cause de l’intérêt vif et tendre, dont je suis encore t
35 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
l est certain que l’intérêt qu’il trouve à se justifier lui-même, est cause qu’il se trompe. Il ne se trompe pas toujours qua
lheur, puisque leur Passion pour les amusemens frivoles, fut enfin la cause de leur ruine, eurent la véritable idée de la Tra
est venu dans l’intention de lui apporter une heureuse nouvelle, est cause que l’affreux mystere se dévoile, & que quand
lecture de cette seule Piéce nous jette dans une émotion que ne nous cause point celle d’Athalie, où la Reconnoissance produ
36 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
Molière, a produit l’abus de la société et de la philosophie, qui est cause que la jeunesse a perdu toute morale à quinze ans
de temps l’ouvrage du génie supérieur qui a défendu si éloquemment la cause de l’enfance et mis à la mode, en les faisant ché
n des esprits et des passions le ridicule qu’on en tirerait serait la cause , et quelles en seraient les fâcheuses conséquence
emonteraient à cette source féconde de dissolution, à cette véritable cause du mépris des autorités respectables, et de la ré
e avec le temps et la persévérance à écarter graduellement toutes les causes principales de désordres, indiquées dans cet écri
que je propose, pour la même fin, dans le second volume du Traité des causes et de l’indigence et de l’immoralité, etc., que j
tecteurs énergiques des opprimés, n’en pourraient-ils prendre fait et cause  ? pourquoi n’appliqueraient-ils pas leur zèle à s
es raisons par lesquelles on veut prouver que les auteurs ne font pas cause commune ici avec les acteurs, à se rappeler les d
37 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
qui est excité par ce qu’on y voit, et ce qu’on y entend. Ce qui est cause de la déplorable corruption qu’on voit aujourd’hu
Martyre des Saints, comme l’on avait accoutumé de faire auparavant, à cause que cela donnait occasion au mépris et à la raill
il n’y aurait pas moins d’imprudence, que de folie de la condamner, à cause que les Cardinaux, les Evêques, et les Abbés y vo
ipaux et aux parents ; dérangent tout un Collège, et sont quelquefois cause de grands désordres. Mais enfin supposons ici qu’
TION Paroles de l’Auteur. « Faut-ilp. 46. condamner les Comédiens, à cause que les mauvaises paroles qu’on y entend par hasa
les sont toutes volontaires ; et par conséquent criminelles dans leur cause , qui est l’amour de la comédie, qui y fait aller.
nger. VII. OBJECTION. « S’Ilp. 46. ne faut pas aller a la Comédie, à cause que la vue des femmes peut donner de mauvaises pe
que vous n’offensiez pas Dieu en votre particulier ; n’êtes vous pas cause que d’autres l’offensent par le mauvais exemple q
lacrymæ Pœnitentium, quam gaudia theatrorum. » C’est donc ce qui est cause que les Pères de l’Eglise ne leur proposent le pl
dre ni débiter, sans le consentement dudit Exposant, ou de ses ayants cause , à peine de Trois mille livres d’amende, confisca
38 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXI. Si les Comédiens épurent les mœurs. Des bienséances qu’ils prétendent avoir introduites sur le Théatre » pp. 86-103
passions, mais jamais anéantie, peut être regardée comme la premiere cause de la pudeur. Elle est puissamment aidée à la pro
-ce pas assez pour les procrire ? Les bienséances de style, dans leur causes & dans leurs motifs, ne font donc qu’une inve
ritable réformation de mœurs. Nous disons plus, elles sont encore une cause de la décadence du beau, dans la Poësie Théatrale
39 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
s discours sales : non que ces choses soient toujours mêlées : mais à cause qu’elles se suivent si naturellement, et qu’elles
traiter les grandes passions, veulent remuer les plus dangereuses, à cause qu’elles sont aussi les plus agréables : et que c
ains lieux, comme aux églises ; à certains jours, comme aux fêtes ; à cause que communément, ainsi que nous l’avons remarqué,
40 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
de la Ville, et que Cicéron ayant pris la peine de le défendre en une Cause , avait parlé de lui fort avantageusement ; Mais q
nce de condamner toutes les Comédies, non plus que tous les Romans, à cause seulement que les passions y sont trop bien repré
ement que les passions y sont trop bien représentées ; c’est-à-dire à cause que ces Pièces-là sont trop bonnes, et qu’on y vo
41 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
-nous que les Romains ayent eû quelquefois un Spectacle ridicule ? La cause de cette erreur est l’obscurité d’un passage de T
our,) on les écoutoit tristement, on avoit apparemment pitié d’eux, a cause de leurs chaussures qu’ils traînoient comme des e
ilii comprobavit, fut, quand il la prononça, extrêmement applaudie, à cause du Dichorée qui la termine. Qu’on change l’ordre
es quatre premiers mots de ses Livres de la République : ce qui étoit cause que du tems de Quintilien ces mots ne se trouvoie
devons être certains que les graces de la prononciation en étoient la cause . Omnia vincit amor, & nos cedamus amori.
dans ses Héros. La voix des Comédiens étoit la plus forte de toutes à cause du masque : mais dans un tems où la voix des homm
t aussi nommé Soliloquium, (mot que nous rendons mal par Monologue) à cause qu’une voix seule chantoit, au lieu que dans le C
42 (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445
chée par tout où besoin sera, afin que personne n’en puisse prétendre cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messire GAB
e Ville et Faubourgs que besoin sera, afin que personne n’en prétende cause d’ignorance, et exécutée nonobstant oppositions o
chée par tout où besoin sera, afin que personne n’en puisse prétendre cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messire GAB
l’Ordonnance de Sa Majesté ci-dessus, à ce que personne n’en prétende cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messire MAR
nce des Pauvres ; et voulant Sa Majesté prévenir toutes difficultés à cause des prix différents, qui pourraient être mis doré
te Ville de Paris, l’Ordonnance ci-dessus, à ce que nul n’en prétende cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messire MAR
43 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
ec leurs mœurs éfféminées & corrompues. Aurais-je aussi trouvé la cause du grand succès de notre Opéra-Bouffon ? Diff
s servaient encore à les indiquer. La prémière s’appelait Prætexta, à cause que l’on nommait ainsi la robe de pourpre, à larg
otre Opéra-bouffon ; mais ce n’est pas ici le lieu de le prouver. Causes de la décadence du Théâtre des Romains. Je vi
l’Empire Romain fut agité, l’inondation des Barbares, sont encore des causes de la décadence du Spectacle. Les Muses restèrent
cet auguste Monarque honnora les Sciences & l’homme de génie, fut cause des progrès du Théâtre ; aussi de quel renom glor
44 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
i fait avec autant d’affection, que j’ai d’intérêt à la défense de sa cause  ; Il est vrai que j’eusse différé de rien mettre
trefois les Romains avaient ces Bateleurs en quelque considération, à cause du divertissement qu’ils donnaient à leurs Empere
plusieurs garcesf, et enfants perdus, qui furent nommés Scéniques, à cause qu’ils discernaient leurs actions par scènes, com
gnées d’une grande modestie. Quant aux crimes dont il les blâme sans cause , il devrait s’informer mieux de l’état de leur vi
c’est de vouloir choquer une profession, dont il ignore l’effet et la cause . Je veux qu’il y eûtt quelque mal à la voir, ou à
45 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
ns, ce n’est que la mauvaise intention des particuliers qui en est la cause , et nullement le spectacle qui est de soi indiffé
es familles : c’est par ce moyen que le diable établit son empire, et cause de terribles desolations dans l’Eglise. Il en es
ête de Jean Baptiste. Le Roi fut fâché de cette demande ; néanmoins à cause du serment qu’il avait fait, et de ceux qui étaie
46 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
anqué de soumission et de respect à leurs parents, non seulement pour cause d’avarice, mais encore sous prétexte d’autres déf
fides et scandaleux, les infidélités qu’une épouse fait à son mari, à cause qu’il est trop vieux, ne doivent plus avoir de pe
et celles correspondantes du siècle suivant ; on verra clairement la cause de la différence extrême de leurs mœurs. Les prem
, ou qui n’existaient point, et dont elles deviennent l’exemple et la cause . Les femmes ont encore moins su auquel entendre ;
le autorité sur laquelle les critiques modernes s’appuient dans cette cause , et qui devait m’être opposée par les actionnaire
éloigné peut-être, et que nous ne pouvons pas espérer de voir, où la cause pourra être plaidée et jugée au tribunal d’un pub
enfin à rétrograder de ce côté là, en regardant et jugeant alors les causes et les effets de la révolution morale aussi saine
si d’un autre côté à retourner sur nos pas, avons régardé et jugé les causes et les effets de la révolution politique d’où nou
47 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
me donne de la joye ; où la compassion, où la misere la plus extrême, cause du contentement, & où les malheurs & les
uer le respect que nous devons à ces tableaux, en sont en partie, les causes , & nous honorons ces representations en parti
plus dangereux ennemis de Dieu, que de nourrir & de soûtenir les causes des plus grands maux que les hommes ayent à crain
heroient moins contre la charité publique, que ceux qui fomentent ces causes de la corruption generale des vertus, & de la
doit s’attendre à estre punie eternellement avec luy, puisqu’elle est cause des crimes comme luy, & qu’en n’agissant pas
offenses publiques, & que par cette patience criminelle, ils sont cause de la perte de tous ceux qui les ont commises. Qu
ou par leur propre action, ou par leur negligence, qui est une de ces causes , sans lesquelles les choses ne se feroient pas, &
e feroient pas, & que la Philosophie considere en effet comme des causes . Mais n’est-ce pas assez que les Magistrats secul
cruels que ces desolations publiques, dont elles sont les principales causes par leurs pechez. L’Asie & l’Afrique, plusieu
en assurance, de les abandonner par une retraite dont ils seroient la cause , pour n’avoir pas eu la consideration & le re
z d’y apporter le remede qu’il vous ordonne. Vostre negligence seroit cause que l’Estat perdroit ceux qui ne laissoient pas à
48 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
qu’à ce jour. Ces Spectacles, vous n’en doutez pas. Monsieur, sont la cause premiere de la décadence du goût ; & comme le
les auteurs de leurs jours, que leurs plus cruels bourreaux. Plus les causes de l’oisiveté, plus les objets de dissipation &am
s que leur fatal engoûment pour les Spectacles Forains, était seul la cause de leur perte & de leur infamie ! Et qui peut
tion, est sans fondement, & quand bien même elle serait juste, la Cause des Trétaux n’en serait certainement pas meilleur
nere toujours en un délire d’esprit, dans un aveuglement de cœur, qui cause la perte de ceux qui en sont frappés. Ecoutons ce
 ? Il n’en résulte aucun ; j’ai suffisamment prouvé qu’ils étaient la cause des plus grands désordres. Quelle main invincible
ns, tous les abus & les vices dont j’accuse les Trétaux d’être la cause , sont également les suites nécessaires des Specta
d. C’est le rapprochement des hommes & des femmes sans mœurs, qui cause le plus grand mal des Spectacles Forains, ce rapp
niques ne corrompraient que vingt Sujets par an, ne ferait-ce pas une cause suffisante pour les faire supprimer ? Ils en corr
liers, & on ne dit rien, personne n’éleve la voix pour plaider la cause des mœurs au Tribunal de la Raison ! Qui peut don
en ridicule, la nature traitée de chimere, on n’a plus à chercher la cause de tant de forfaits multipliés, on la reconnaît d
désordonnée pour le faste & la mollesse, qui, eux-mêmes, sont les causes secondes de tout le mal dont nous nous plaignons.
Peuple, ou en le guidant vers l’honneur & la vertu, deviennent la cause premiere de la perte ou du salut des Empires41. O
e point, parce qu’on ne saurait trop y insister ; encore une fois, la cause des mœurs est celle du salut de la Patrie. Non, M
facultés, dévore l’individu dont elle s’empare ; que devient-il ? La cause premiere des forfaits du plus grand scélérat, est
étude, soit des Arts, soit des Sciences et des Lettres, c’est qu’elle cause des distractions qui affaiblissent necessairement
pendant plus de soixante ans le mauvais goût, & avoir soutenu la cause des Mœurs & de la Religion. Multis ille boni
49 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
e que les Païens mêmes jugeoient qu’un homme estoit devenu Chrêtien à cause qu’il s’en abstenoit, reconnoissant que l’instinc
les Comédiens tant parce que Jesus-Christ ne nous y conduit pas, qu’à cause que le theâtre où elles se joüent est une chaire
i peut charmer les oreilles & les yeux, & amollir l’esprit, à cause que les oreilles & les yeux sont les portes p
u apparens, seuls ni en compagnie, masquez, ne déguisez, sous quelque cause que ce soit, sur peine de confiscation de corps &
l’impureté, & que cela est défendu par la Loi en termes exprés, à cause que les Païens se servoient de ce changement d’ha
des raisons pour lesquelles Tertullien blâme les spectacles, c’est à cause des déguisemens qui s’y faisoient. « Je demande m
omment ils sont vêtus ; si leurs habits sont magnifiques Et tout cela cause en elles des jalousies, des caquets, des médisanc
s informations clauses & cachetées. Et afin que nul n’en pretende cause d’ignorance, nous enjoignons pareillement ausdits
nombre des dissolutions. Voici les propres termes de ce Synodea : « A cause des danses & dissolutions qui croissent &
50 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
ssez précise, en parlant de notre religion. La question concernant la cause des comédiens, se trouve réduite à un seul point
ir enfin donné une existence légale. Il faut donc en conclure, que la cause des acteurs est enfin gagnée, tant auprès du gouv
51 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
ond, Projet pour le rétablissement du Théâtre français, contenant les causes de sa décadence, et les remèdes qu’on y pourrait
particulier contre les Comédies, qui prouve qu’elles sont mauvaises à cause des circonstances qui les accompagnent, et de leu
52 (1588) Remontrances au roi Henri III « [FRONTISPICE] »
lle Officier et subject, sur les desor-dres et miseres de ce Royaume, cause d'icelles, et moyens d'y pourvoir à la gloire de
53 (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « [frontispice] »
s sur l’Art poëtique. Dans lesquelles en expliquant quelles sont les causes du plaisir que donne la Poësie, et quels sont les
54 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE PREMIER. De la Passion de presque tous les Peuples pour la Poësie Dramatique. » pp. 8-16
istes exemples des miseres humaines, & non point ces malheurs que cause l’Amour, qui étant imaginaires & volontaires,
naissent du hasard, & les Réflexions viennent ensuite. Elles sont cause quelquefois que les Arts se perfectionnent ; quel
55 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
franchi de cette crainte, qui tient l’auditeur en suspens, et qui lui cause une certaine inquiétude, qui l’intéresse dans tou
miers Actes le remplisse d’espérance, et d’une certaine joie, que lui cause la prospérité de ses Héros ; un revers qui le fai
sance est aussi l’un des plus grands agréments de la Tragédie, et qui cause le plus de plaisir, lorsque l’esprit, trompé par
s personnes d’un grand mérite, qui n’ont rien épargné pour faire leur cause bonne, et pour donner de la probabilité à leurs s
équences que l’on tire des raisonnements des Pères, portent à faux, à cause du peu de rapport qu’il y a entre les Comédies an
iens, dans le Digeste de Justinien, sont traités comme des infâmes, à cause qu’ils abusaient de leur profession pour corrompr
clamé contre les spectacles de leur temps, ce n’est pas précisément à cause qu’on y commettait des idolâtries ; mais c’est à
précisément à cause qu’on y commettait des idolâtries ; mais c’est à cause que l’on n’y parlait que des faux Dieux ; et que
56 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
n. « En commençant par observer les faits avant de raisonner sur les causes , dit Jean-Jacques Rousseau2, je vois en général q
onviens ; mais ces préjugés étant universels, il en faut chercher une cause universelle. Je pourrais imputer ces préjugés aux
’exercent, par tous les désordres secrets ou publics dont ils sont la cause  ? Ne se croirait-on pas coupable de contribuer, p
57 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
s des désordres si préjudiciables à leur fortune, & dont ils sont cause , & qui leur fera bien verser de trop justes l
uisqu’il n’y en avoit point, il n’en a pas même parlé. Il faut qu’une cause soit bien désespérée, quand on cite à faux pour l
eur, si on étoit assez sincere pour convenir qu’ils sont la véritable cause des désordres de notre siecle. L’esprit, le cœur,
ce que la cohorte pourra dire ou écrire. Je sais qu’il n’y a point de cause si mauvaise qu’on ne puisse défendre. Je connois
’Apollon : & par ce prélude il jugea des funestes impressions que cause le dangereux Théatre de l’Opéra. 5. Madame Anne-
58 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
c humeur ! Oui, Monsieur, avec humeur. Mais quelle en est la première cause  ? La fatale affectation de mépriser les hommes. V
n, un ton sevère, une malheureuse disposition à nous ravaler, ont été cause que vous nous avez fait éprouver des outrages, qu
int sa consolation ; l’imagination ne put s’arrêter ; de la haine des causes , il passa à la haine des effets, et il abhorra to
ls souffrent. C’est ainsi qu’un malade se plaît à aggraver encore les causes de sa mort par les fantaisies de son appétit. On
; à vous connaître, à vous entendre ; si l’on parvenait à détruire la cause de vos maux, qui sont les siens, quand vous l’aba
59 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
partient de plein droit, c’est-à-dire, celui que l’on a reçu pour une cause illicite. Voyez la Décrétale d’Alexandre III1. pu
ouragé par cet essai scandaleux, il ne prenne le goût de défendre les causes les plus décriées. Je souhaite néanmoins très-sin
60 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
s feintes, les passions particulières en déguisent la vérité, et sont cause que l’on prend les circonstances pour le principa
e secret des cœurs et des conseils ; d’entrer dans l’intelligence des causes , que la police et que les passions lui cachent ;
61 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70
sa maîtresse. Son ministère étant libre, il peut & doit rendre la cause dont il s’est chargé sans le savoir, & ne pas
vient à connoître l’intrigue. Un plaideur persuadé de la bonté de sa cause , refusoit toutes les propositions d’accomodement,
ession d’une passion cachée, il faut en représenter le motif & la cause , ce qui met dans la nécessité d’un recitatif joué
e burin. Tel est encore le jugement du sieur Richer, continuateur des Causes célebres ; de Guiot de Pytaval, tom. 2. uniquemen
le Mercure, Février 1772. M. Richer a su apprécier les faits de cette cause singuliere, & en a sagement écarté les sornet
ent d’Aix jugea que le seul dénouement que l’on devoit donner à cette cause ridicule, qui pouvoit devenir funeste, étoit de
62 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29
ils entrent en lice, & rendent par leur conduite fort suspecte la cause dont ils sont les champions. J’avoue qu’il s’est
et les armes à la main pour le soutenir. La vertu ne plaida jamais la cause du vice. La manière dont ils se défendent, la mor
u’ils sont obligés d’avancer pour s’excuser, décèlent le foible de la cause , & font également le procès à l’Avocat &
mp; alors témoin, juge & partie, peut-il ne pas se donner gain de cause  ? Je ne sens point ces funestes effets ; le spect
santé que par la maladie, & la maladie que par la douleur qu’elle cause  ? On ne sent le mal de la comédie que par les péc
s habitudes qu’elle forme, souvent même les attribue-t-on à une autre cause . Vous ne voyez le feu que quand la maison est emb
63 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIX. Prétexte frivole du délassement. »
sommes de prendre quelque délassement le rend permis ? Il faut que la cause des Spectacles soit bien désespérée, puisqu’on a
64 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « Au Roi » pp. -
er du nom de Votre Majesté ? C'est, en travaillant pour le bien de ma cause , manifester au Public la reconnaissance, le zèle
65 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
ui meurent, par métaphore, pour les beaux yeux d’une ingrate. Des causes qui empêchent la Pastorale de réussir en France.
es qui empêchent la Pastorale de réussir en France. La principale cause du peu de réussite de nos Pastorales est aisée à
champêtre, qui lui convient mieux que de pompeux ornemens. Autre cause de son peu de succès parmi nous. Il est encor
66 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — [Introduction] » p. 2
roit-elle n’être pas effrayée à la vue des innombrables désordres que cause de toutes pars le Théatre ? désordres dont ces do
67 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
itent dans le mode des impressions qui les met en mouvement ; mais la cause de ces impressions en est cachée à tous. La vérit
Rousseau, pour le Théâtre, doit, ce me semble, être écouté dans cette cause , du moins autant que lui ; et je finis par une Le
68 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
Lully, & les mœurs graves de son siècle, en furent apparemment la cause . A mesure que le goût se développait, on bannissa
de la Fâble ont quelque chose de grand, de noble ; ils partent d’une cause tout-à-fait relevée : ils sont donc plus dignes d
oit rien de tout cela, on est forcé de croire qu’un Miracle en est la cause  ; & l’on perd toute l’illusion, parce qu’un M
ntôt, si les Machinistes voulaient y faire attention ; eux seuls sont cause qu’il éxiste souvent à l’Opéra. Qu’ils disposent
méritent souvent plus d’attention que leurs Drames. Mais venons à des causes plus visibles qui tendent à occasionner un jour p
endent à occasionner un jour parmi nous la décadence du grand-Opéra ; causes que l’on peut détruire sans être obligé de dépens
te ; & l’Académie de Musique ne laisse pas de s’en ressentir. Les causes que je viens de rapporter de la sensation moins v
rien en comparaison de la dernière dont je vais parler. Dernière cause qui annonce peut-être plus particulièrement la dé
69 (1647) Traité des théâtres pp. -
ient ceux de leur temps, combien que parfois ils disent merveilles, à cause que les mêmes bouches qui en l’une de leurs actio
ls font d’une chose libre. A ce compte, voilà le criminel qui tire en cause son jugeaj ? Et faudra désormais, que ceux à qui
laient du Théâtre, et les assujettit à payer tribut, Ce qu’il fit « à cause qu’ils corrompaient les mœurs et étaient pernicie
’on juge de nous par nos mœurs, et par la pudeur. Ainsi c’est à juste cause que nous nous abstenons de vos voluptés mauvaises
. « Tu compares, ô homme, 1e Criminel et le Juge ; le Criminel, qui à cause qu’il voit ces Spectacles, se rend coupable de cr
qu’il voit ces Spectacles, se rend coupable de crime ; le Juge, qui à cause qu’il les voit en est le Juge ».dj Saint Paul a l
n eût représenté sur le Théâtre celles de ce Poète, poli et savant, à cause qu’il les avait lues. V. D’autres se présentent,
, ne pourront être condamnés, et faudra tout de même les autoriser, à cause qu’il y en aura qui diront qu’ils s’y délectent.
as que la Sainte Cène se célèbre de jour, mais que ce soit la nuit, à cause que ce fut au soir que J. C. l’institua » ; « Nou
immédiatement qui soit auteur des Lois que ce Prince établit, mais à cause qu’il lui a déposé l’autorité en vertu de laquell
est une fois posé, ceux qui plaident pour les Théâtres y perdent leur cause tout du long, combien même qu’on fût d’accord de
du Soleil peut donner sur de la fange, sans toutefois s’y infecter à cause qu’il est pur, eux de même, ayant les âmes nettes
rticuliers qui auront commis ces autres péchés. Ils en usent ainsi, à cause que ceux qui vont au Théâtre le font en foule pub
u’à prendre les Théâtres à notre égard, ils sont condamnables, tant à cause du parjure dont se rendent coupables ceux de notr
rment, de se tenir à l’ordre de la Discipline, qui les défendfo, qu’à cause du grand scandalefp qu’ils donnent. 4 Nous avons
70 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « AVERTISSEMENT »
ur même que les raisons dont il se sert pour soutenir une si méchante cause .
71 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
i aucun mérite à prouver que, loin de me réfuter, il me donne gain de cause , et, par amour propre autant que par charité chré
e d’autant plus pénible que vous défendiez, au moins en apparence, la cause la plus faible, celle de l’incrédulité ; controve
ôt invoqué par les plus dévots catholiques. Vous prouvez que dans une cause désespérée toutes armes sont bonnes. Mais de quel
72 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
oit une autre erreur. Car l’imagination est à cette Poësie, ce que la cause est à l’effet ; & ces deux choses ne doivent
ne doivent jamais être prises l’une pour l’autre ; quoique ce qui est cause dans un cas, puisse devenir effet dans un autre.
des images, & non la Poësie de style : Celle-ci n’est donc pas la cause du plaisir qu’on éprouve à la lecture d’un Poëme 
73 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
Enfin, le torrent de la corruption, dont la comédie fut la principale cause , y entraîna les sénateurs mêmes, & coula à gr
ls entrent en lice. Leur conduite ne peut que rendre très-suspecte la cause dont ils sont les champions. J’avoue qu’il s’est
t les armes à la main pour les soutenir. La vertu ne plaida jamais la cause du vice. Cinquieme préjugé. Le caractere des
74 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. —  CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. » pp. 128-140
u coupable, devant le Prince qui doit le juger, & où il plaide sa cause , au risque de voir flétrir ses lauriers par une m
die du Palais, quoique les auteurs qui y vont humblement plaider leur cause ne le redoutent pas moins, que le prévenu, sur la
destinée de cette cour altiere. On sifle, on baille, on s’ennuye, on cause , on s’endort, & on renvoye le patient avec de
75 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
bler. Mais comme il est inouï de dire que l’on attaque une personne à cause qu’elle a du mérite, et que l’on cherche toujours
ître qu’il était athée, pource qu’il était nécessaire qu’on le sût, à cause du châtiment. Mais à parler de bonne foi, est-ce
teur du Festin de Pierre j , susciter quelque acteur pour soutenir la cause de Dieu et défendre sérieusement ses intérêts. »
76 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VIII. Qu’il n’est point permis aux particuliers de faire des Assemblées pour la danse, ni pour toute sorte de sujet. » pp. 33-35
ifférente, elle est néanmoins mauvaise en tous les autres cas, où ces causes raisonnables ne se rencontrent point. Et cette do
77 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
personnages sont animés par la joye, par la douleur, ou par d’autres causes , l’intérêt en devient plus-vif, il se répand un j
maintenant de signification ; & notre nouveau Spectacle en est la cause . Quand je dis qu’il y ait beaucoup d’action dans
lange de choses qui n’ont que peu de rapport les unes aux autres, est cause qu’il ne fait où fixer son attention. Qu’on parta
te longueur, ils permettent enfin leur union, sans qu’on voie d’autre cause d’un changement si subit de volonté, que l’obliga
78 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
t de répéter fort souvent que l’Eglise ne condamnait la Comédie, qu’à cause qu’on y blasphémait le nom de Dieu, qu’on y voyai
ient-ils pas y assister sans offenser Dieu mortellement ? Serait-ce à cause du grand monde et des femmes qui s’y rencontrent
ie est un poison mortel ne se déterminent quelquefois à y aller, qu’à cause qu’on y voit aller des personnes qui passent pour
as, c’est lui insulter, que de conclure qu’elle approuve la Comédie à cause qu’elle ne fait pas arracher les affiches des Com
79 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
iens, que M. le Curé tâchait de faire sortir de dessus sa Paroisse, à cause des Pièces impies et scandaleuses qu’ils représen
e à tomber une étincelle de feu dans cette matière combustible, et ne cause un embrasement entier de toute la maison. Et il d
ns lesquels la concupiscence est plus vive et plus forte et qu’elle y cause de funestes ravages dès qu’elle en trouve la moin
mène à une bonne Prédication, et si elle entend quelque chose qui lui cause des scrupules, le diable a grand soin de les lui
eur. Que si l’on vient à examiner quelle est la source et la première cause de tous ces désordres, on trouvera que c’est sans
80 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
nné bien des affaires singulières. En voici deux, rapportées dans les Causes célèbres (Tom. 15). Dans l’une c’est le Comédien,
her de conclure en ces termes : « Tout est de droit public dans cette cause , par la qualité des parties (Comédiens). On sait
i, fameux Avocat, qui à en juger par son plaidoyer, rapporté dans les Causes célèbres, mérite bien autant que M. Cochin les ho
t le faire présumer, dit M. Daguesseau. C’est une des questions de la cause , s’ils étaient unis par un engagement légitime, o
décidé par arrêt du Parlement du 4 juin 1697. De tous les faits de la cause il n’y avait de bien certain que la débauche des
81 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VI. Elle le donne pour une foiblesse : mais on veut qu’il y régne. » p. 12
s dans quel embarras on se met, quand on veut plaider une si mauvaise cause .
82 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 11
, etc.) Car, comme dit S. Chrysostome, si vous êtes marié, elles sont cause que voyant d’autres femmes qui ont meilleure grâc
83 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
& malgré l’assurance qu’ils affectent, leur conscience plaide la cause de la vérité. Aucun amateur, aucun Comédien qui n
la chute de l’Empire Romain, dont le théatre fut une des principales causes  : il périt avec lui. Les Barbares qui innonderent
ousseau quoiqu’Enciclopédiste parle bien différemment, il a plaidé la cause de sa patrie, avec l’éloquence de Démosthene, &am
ours foibles & presque toujours réfutées par d’habiles plumes. La cause est trop mauvaise pour espérer que d’habiles Avoc
ignent s’en charger & s’exposer au ridicule du mauvais succès. La cause de la vertu se soutient d’elle-même, elle est ass
ur, homme d’esprit & de mérite, quoiqu’obligé par l’intérêt de sa cause de la justifier dans le for extérieur, où en effe
84 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
qui le servent.« Eloignez bien loin de vous toute tristesse, laquelle cause la mort à plusieurs, et n’apporte aucun profit » 
porte aucun profit » :4 Et non seulement n’apporte aucun profit, mais cause beaucoup de maux. Car 1. de là commence le dégoût
ommence le dégoût, et le dédain des choses spirituelles :Les maux que cause la tristesse. de façon que l’âme mélancolique s’a
ressaient de leur permettre de mener Benjamin en Egypte, « Vous serez cause qu’en ma vieillesse je m’en irai en Enfer »,11 di
nt pour l’ordinaire, en jouant ces sommes excessives, lesquelles sont cause qu’au lieu de payer ce que l’on doit, on fait de
u d’offenser Dieu,Fuir les bals, où Dieu peut être offensé. ou d’être cause que les autres l’offensent : l’amour que vous dev
tos enim occidit tristitia, et non est utilitas in ea. » Les maux que cause la tristesse. 6. [NDA] Psaume 118. « Dormitavit
85 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
ne pièce est faite pour quelqu’un d’entr’eux ; la jalousie en est une cause dans ceux qui n’y ont point de rôles. Le choix qu
contente l’autre. Nous avons expliqué dans cette premiere partie les causes de décadence, qui sont dans le Théatre, dans les
86 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madame de Nemours  » pp. -
A Madame de Nemours MADAME, Comme il vous a plu être la première cause de l’honneur que j’ai reçu d’un Prince accompli d
87 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
nécessité, qui espère que vous estimerez l’effet pour le mérite de la cause , et un pauvre don d’un riche désir : le mien n’a
88 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
dont la lecture est facile pour donner quelque couleur à une mauvaise cause . Il n’en faut pas davantage pour tromper les simp
89 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre V. Des Ioustes. » pp. 186-187
p; à la peine, & pour oster, ou du moins diminuer la surprise que cause le hazard & qui augmente le danger. Tout le m
90 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VI. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Romains. » pp. 145-175
oit perdre la respiration, il dansa avec plus de vigueur : ce qui fut cause qu’on partagea pour toujours la Danse & le Ch
comme je l’ai rapporté sur Phedre en parlant des Imprécations) furent cause que le Peuple oblitus Imperatoris, oubliant tout
qui ne se trouvoit point dans la Latine comme dans la Grecque, étoit cause de ce mécontentement des Romains. Horace reproche
rs un air de grandeur : mais cette antique fierté qu’il conserva, fut cause qu’il conserva aussi un secret mépris pour tout c
91 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
ses, toutes différentes qu’elles sont de celles du théâtre public, ne cause quelque sorte de scandale, et ne fasse tort à la
publiques. Elles sont souffertes par la Police, le propriétaire n’est cause de rien, il tire de son fonds le revenu naturel d
lité d’Abbé de S. Germain, intervint dans l’instance, et prit fait et cause pour les Comédiens de la foire, auxquels il avait
e sur son terrain. Mais quoique la troupe eût le même intérêt dans la cause pour la foire S. Laurent, S. Lazare ne prit aucun
92 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TABLE DES CHAPITRES. » pp. 3-4
rogrès ? §. I. Le désordre regna longtems par tout. Quelle en fut la cause . §. II. L’exemple du Théâtre François fait cesse
93 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
liquée et bien soutenue ; il n’oublie rien de ce qui peut servir à sa cause , et à quelques endroits près, cette dissertation
94 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
ui sans être Poëtes eux-mêmes, sont épris de la Poësie, de plaider sa cause par un discours simple & sans harmonie. Qu’il
endant la Terreur est un trouble de l’ame très différent de celui que cause la Crainte, & Φόβος ne signifie que Crainte.
us spectare laborem. Nous trouvons un plaisir dans l’émotion que nous cause ce spectacle ; & c’est dans cette disposition
Il n’en dit rien, parce que son seul objet, est de recommander ce qui cause le plus d’émotion : si un ennemi tue son ennemi,
t lorsqu’un homme veut faire une action horrible avec connoissance de cause , & qu’il ne l’acheve pas, car il n’y a rien e
s fait frémir, est établie sur ce fait certain, que plus un Spectacle cause d’émotion, plus il est agréable ; & Aristote
réable, suivant Aristote, puisque plus elle excite la Pitié plus elle cause de plaisir ; pourquoi ne veut-il pas qu’elle repr
rses a inspiré à ses Citoyens l’amour de la victoire, & qu’il est cause que les Athéniens ne soupirent qu’après la lance,
95 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
c’est-à-dire par une critique peu ménagée des mœurs du temps, qu’elle cause , s’il est vrai, moins de plaisir aujourd’hui qu’e
t homme d’affaire et lui sauve la vie : le passant en est-il moins la cause première du salut de cet homme ? Pour prouver que
ut sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête et pour beaucoup de causes , Qu’une femme étudie et sache tant de choses. For
ait point infectée ; Et voilà qu’on la chasse avec un grand fracas, A cause qu’elle manque à parler Vaugelas. Je vous le dis
n y peut faire admirer un vaillant homme qui refuse d’exposer pour sa cause personnelle une vie nécessaire à l’Etat : on l’ap
ais permis qu’aux lois de l’Etat de la punir de ses désordres. Si les causes qui occasionnaient des duels autrefois si fréquen
is de si bonne foi. Vous prétendez que Les Nuées d’Aristophane furent cause de la mort de Socrate : ce ne fut cependant que v
Socrate but la ciguë. Mais en supposant que cette pièce fut la seule cause qui détermina ses Concitoyens à le condamner, il
96 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
présentations. Après quelques Réflexions sur la nature du plaisir que cause la Comédie, & sur le sel Attique, je reprendr
97 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Troisième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 25-27
grat… Je l’entends ; il vient ; je vais lui cacher le desespoir qu’il cause . Adieu.
98 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VII. De ceux qui sont aux autres occasions de ruine, et de péché. » pp. 30-32
œurs, cette même action, qui de soi serait innocente, est devenue une cause , ou une occasion de mal, et de péché, il est tenu
99 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre X. Que c’est une chose vicieuse et un dérèglement manifeste de danser fréquemment. » pp. 37-40
sens que ceux-là pèchent mortellement qui vont fréquemment au bal, à cause qu’ils se disposent insensiblement à tomber dans
100 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67
esse, & ordonna qu’on fit venir cette malheureuse pour plaider sa cause . Ce sont ses termes, voyant sa perte dans cet ord
avisé d’être Avocat, il auroit eu le talent de perdre les meilleures causes  ; son éloquence auroit été plus utile à ses adver
avec lui-même, est-elle tolérable ? Peut-on raisonner si mal, quelle cause désespérée, qui n’est défendue que par des absurd
pportable, & que son caractère rendoit insupportable aux autres. Causes de la décadence du goût sur le théatre. Parmi une
s. Causes de la décadence du goût sur le théatre. Parmi une foule de causes de la décadence du goût sur le théatre, dont le d
ece de cour, (à l’Abbaye de Saint-Germain) que leur maladie, (Molé) cause la plus vive tristesse, que leurs confreres ne po
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