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1 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
que, si les Ministres ne jugent pas à propos de les adopter ou de les avouer aujourd’hui, la Logique que vous leur connoissez
e ; & que, si vous ne jugez pas à propos de les adopter ou de les avouer aujourd’hui, la Logique que l’on vous connoît doi
ctement à l’imputation que vous avez faite aux Théologiens de Genève. Avouez donc, Monsieur, que vous avez péché vous-même con
éché vous-même contre les régles de critique que vous avez établies ; avouez , que votre jugement a été trop précipité ; avouez
ous avez établies ; avouez, que votre jugement a été trop précipité ; avouez enfin que, quand même un Théologien de Genève vou
2 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
on que vous entamez sur la Tragédie et sur la Comédie, que je vous ai avoué néanmoins que vous traitiez avec beaucoup d’espri
s choses la Comédie a guéri les hommes capables d’être guéris ; car j’ avoue qu’il y en a que tout rend malades. Enfin, Monsie
’est pas sans raison que j’ai trouvé à redire à votre raisonnement. J’ avoue cependant que votre Satire est pleine de vers bie
3 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VII. Paroles de l’auteur et l’avantage qu’il tire des confessions.  » pp. 28-29
is moyens aisés de savoir ce qui se passe dans la comédie, et je vous avoue que je me suis servi de tous les trois. Le premie
nce fort délicate, pour ne pas dire scrupuleuse, ont été obligés de m’ avouer qu’à heure qu’il est, la comédie est si épurée su
4 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
u de goût et de sensibilité qu’on a pour les choses de la Religion. J’ avoue qu’il est mal aisé d’assembler tout ce qui est né
tion de l’unité de la Scène qu’on ne trouve point dans ma Tragédie. J’ avouerai qu’à l’examiner dans toute la sévérité de la règl
aux empoisonnements, aux passions outrées, aux amours incestueuses. J’ avoue que les sujets les plus extraordinaires peuvent i
5 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
auteur de ces Observations avait parlé avec moins de passion. Je vous avoue que, si ces remarques partaient d’un esprit que l
tes, qu’il ne l’est pas. Je ne connais point cet auteur, mais il faut avouer qu’il aime bien la farce, puisqu’il en parle si p
l augmente sa gloire en même temps qu’il croit la diminuer, puisqu’il avoue qu’il est bon comédien, et que cette qualité n’es
itf qu’il n’y a que lui qui soit le « scrutateur des cœurs ». Je vous avoue que cela doit toucher sensiblement, qu’il y a des
, il doit avec justice faire douter de la véritable religion. Il faut avouer que les ignorants et les malicieux donnent bien d
6 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
me de la Comédie. Mais si nous en voulons juger sans prévention, nous avouerons que plus elle est charmante, plus elle est danger
l faut être de bronze ou de marbre pour résister à tant d’appas, et j’ avoue que les plus grands Saints auraient peine à conse
illes sont assez sincères pour nous découvrir leurs sentiments, elles avoueront que l’amour de Chimène fait bien plus d’impressio
7 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
et, qui s’employe lors qu’on est répic & capot dans un même coup. Avouons que voila un mot qui se prend dans bien des accep
e par ce badinage : Alphana vient d’equus, sans doute, Mais il faut avouer aussi Que pour venir jusques ici, Il a bien chang
le nom de Spectacle, & serait indigne de la moindre attention. J’ avoue qu’on a d’abord quelques peines à appercevoir ce
8 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
e, par prévention pour le pieux Adjudant qu’on vient de lui donner, m’ avouerai -je battu ? J’ai trop d’amour propre pour cela ; s
m’empêcher d’associer nos meilleurs Poètes à ce livre ennuieux : et j’ avoue sincèrement qu’il faisait la moindre partie de me
ctuellement à Rennes. J’arrivai donc, je débutai avec succès ; mais j’ avoue en même temps que je trouvai la troupe composée d
peuvent très bien accorder avec le talent et le métier de Comédien, j’ avoue en même temps que je n’ai pas trouvé la même pure
voir combien la probité a à souffrir dans les emplois subalternes, on avouera sans doute que je n’ai pu rien faire de mieux que
ettant en action un traité de morale et j’imiterai sa conduite. Qu’il avoue charitablement, s’il ne peut opérer les preuves q
and on n’est pas capable du mieux. Je ne puis pas être un Saint, je l’ avoue , je n’ai ni l’Enthousiasme ni le Zèle Apostolique
yens qui peuvent accélérer la fortune ? Quel est le Marchand qui ne m’ avouera pas que la crainte de l’avenir lui prescrit de me
et à des tentations auxquelles il est téméraire de s’exposer. Vous n’ avouerez donc pas, me dira-t on, qu’on peint sur le Théâtr
malgré notre persuasion intérieure du contraire, nous porte à ne pas avouer notre infériorité et à faire tous les efforts don
quet ni pour ni contre, et que quand bien même j’en aurais la force j’ avoue très humblement que je n’en aurais point le coura
que je ne crois pas Mr. Rousseau un fripon, l’engager à m’imiter et à avouer , comme il le pense sûrement, que les Comédiens qu
9 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
ux. — Croyez-moi, si vous en êtes, ne faites point de difficulté de l’ avouer  ; et si vous n’en êtes point, faites tout ce que
ut revenir à lui, et faire tout ce que je pourrai pour le divertir. J’ avoue que ce n’est pas une petite entreprise, car que d
avagant, et tout ce qu’il y a dans le monde de plus digne de risée. J’ avoue que le Provincial a mieux choisi ses personnages,
il faut que vous ne les ayez lues que dans le Français et en ce cas j’ avoue que vous les avez pu lire sans danger. Voilà, Mes
10 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
ociétés. Voilà, dit M. Rousseau, la révolution que j’ai prédite. » Il avoue que l’on boit beaucoup, et que l’on joue trop dan
r un être dont la vie est si courte, et le temps si précieux. » 1. Il avouera que ce mal existe à Genève sans le spectacle, à m
ltérées ou corrompues dans leur masse, le théâtre n’y peut rien, je l’ avoue  ; mais en attaquant les vices épars, et les passi
ns immolant tout à leur devoir, tandis qu’on n’exige rien de lui. » J’ avoue que pour ce méchant déterminé, il n’y a de bonne
difformité monstrueuse que le Public ne pardonne jamais. M. Rousseau avoue qu’il n’y a personne qui n’aimât mieux être Brita
lume : il ne serait pas généreux d’exposer la personne à la satire. J’ avoue donc, qu’il y a à Paris comme à Athènes, des étou
saient de l’homme un instrument aveugle dans la main des destinées. J’ avoue que tout le fruit de ces Tragédies se borne à ent
Mœurs. » Pour se concilier avec M. Rousseau, il ne suffit donc pas d’ avouer que le Théâtre, quoique purgé de son ancienne ind
u théâtre on peint les vicieux, et que dans un cercle on les nomme. J’ avoue que sans ce fond de malice, qui fait qu’on s’amus
les livres mêmes où l’on fait profession de les enseigner ? » Il faut avouer que M. Rousseau ne nous ménage guère, et je ne cr
ilie. Le Misanthrope exempt de ridicule, serait tombé : M. Rousseau l’ avouera lui-même. Il a donc fallu avoir égard au vice le
rendre naturel l’emportement du Misanthrope ; mais il me suffit qu’il avoue que cet emportement fait dire au Misanthrope plus
e, tel qu’il le voyait dans le monde, et qu’il voulait le corriger. J’ avouerai même que je ne conçois pas le Misanthrope de M. R
tament de Crispinh, comme des fripons dans l’âme, il serait bon, je l’ avoue , de bannir ce comique méprisable d’un théâtre qui
digne d’émouvoir un cœur sensible, et de le porter au bien, est, je l’ avoue , une femme aimable et vertueuse ; mais cet objet
s Chinois. Mais sur l’article de la galanterie et de l’amour, faut-il avouer ce que je pense des mœurs les plus licencieuses d
elliqueux de n’être pas aussi robuste que brave ; et c’est là, nous l’ avouons , le désavantage de tous les peuples qui, nourris
s de cette union si délicieuse et si pure, peuvent être pernicieux. J’ avoue d’abord que l’amour, dans la plupart des hommes,
hommes, n’est que le désir naturel, sans aucune trace de moralité. J’ avoue que cet amour est plus commun dans les Villes opu
e cet amour est plus commun dans les Villes opulentes et peuplées ; j’ avouerai même, si l’on veut, qu’il règne à Paris autant et
es vertus. L’émotion qu’on éprouve au Spectacle attendrit l’âme, je l’ avoue , et c’est par là qu’il la dispose à l’amour vertu
sensibilité vers des objets qui en soient dignes ? Un tel soin, je l’ avoue , exige une attention vigilante et assidue. Cette
mour lui-même ne les touche donc qu’au spectacle, car vous-même, vous avouez que le monde ne le connaît plus. J’ai beau vouloi
ête, selon vos principes ; mais comme je ne vous prends pas au mot, j’ avoue qu’un bon Comédien sans mœurs, est plus dangereux
ncestueux ou parricides ; qu’ils jouaient et calomniaient Socrate, il avouera que si jamais l’état de Comédien a dû être déshon
ns. M. Rousseau n’a connu particulièrement qu’un seul Comédien, et il avoue que son amitié ne peut qu’honorer un honnête homm
11 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
ue ton mari, affichant le desordre, profitait de notre absence ; pour avouer publiquement une de ces Créatures dont le crime e
’Alzan est un honnête-homme, qu’un goût passager a surpris ; qui se l’ avoue , reconnaît ses torts, & cherche à intéresser
12 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
are le plus ferme appui et le meilleur soutien de la vertu. Mais ne m’ avouera-t -on point qu’il s’y prend bien mal pour nous persu
hain, ne songe qu’à s’usurper une réputation d’homme de bien, je vous avoue que je ne saurais m’empêcher d’éclater, et, quoiq
dire de ce que vous avez soutenu, ne faites point de scrupule de nous avouer que votre livre n’est point votre ouvrage et que
’endroit de la pièce où vous pouviez vous étendre le plus. Car vous m’ avouerez , quelque scrupuleux que vous soyez, que vous ne t
13 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
ngeh, que Dieu ne le peuti souffrir un moment en sa présence. Il faut avouer que votre insensibilité est extrême, si ces péché
t, lorsqu’elle séparera l’âme de votre misérable corps de corruption. Avouez que c’est pour tous les hommes un grand sujet d’h
stie, dans l’aversion du monde corrompu, et dans l’amour de la Croix. Avouez donc que ce Royaume est détruit, et que cette glo
z bien de langage ; la vérité et votre conscience vous contraignent d’ avouer tout ce que nous venons de dire, et souvent votre
ter sur un fumier par l’abandon que tout le monde fit de sa personne. Avouez que voilà un esprit bien affligé et bien accablé
et que l’unique nécessité est d’obéir à Dieu, de sauver son âme. Je l’ avoue et le confesse avec vous, cependant je ne vois pa
ous rejoignent, et ne vous fassent revenir dans votre premier état. J’ avoue que vous sentirez des peines par les respects hum
14 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
té, l’intérêt, l’exemple, peuvent faire de l’homme un être méchant. J’ avoue que quand il voudra consulter sa raison, il trouv
n’est que par réflexion qu’on prend part au salut de Venise. Je vous avouerai à cette occasion (contre l’opinion assez générale
d’action et la monotonie de son sujet. Tout spectateur sensible, je l’ avoue , sort de cette Tragédie le cœur affligé, partagea
semble s’être épuisé dans Le Cid à peindre cette passion, et il faut avouer qu’il l’a peinte en maître ; mais il n’y a presqu
’il m’est permis de juger de l’impression des autres par la mienne, j’ avoue que je suis encore plus touché des scènes pathéti
e vous ne les ayez lues que dans quelque Poète qui les aura gâtées. J’ avoue que ce talent de peindre l’amour au naturel, tale
pourra plus leur nuire, si votre Ecrit n’y réussit pas ; car il faut avouer qu’aucun de nos Prédicateurs ne les a combattus a
Théâtre de Comédie à Genève. Cette partie de votre ouvrage, je dois l’ avouer , est celle qui a trouvé à Paris le moins de contr
; et si vos Ministres ne jugent pas à propos de les adopter ou de les avouer aujourd’hui, la logique que je leur connais doit
e Foiad, je me borne à vous y renvoyer et à vous en faire juge ; vous avouez que vous ne l’avez pas lue, c’était peut-être le
apable d’émouvoir un cœur sensible et de le porter au bien, est, je l’ avoue , une femme aimable et vertueuse ; mais cet objet
15 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
sirs seulement, mais pour ma faiblesse ?… O Ciel !… j’ai peine à me l’ avouer … j’ai porté dans une âme innocente, pure, le pois
’est plus elle que je crains. Monsieur D’Alzan est un ingrat. Je me l’ avoue , & je sens couler des larmes amères. Où sont
16 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
les cœurs généreux, la religion, le devoir & l’amour ; elle n’ose avouer Ces foiblesses des sens que sa raison surmonte.
rends trop de justice pour vous en soupçonner. Je fais plus : je vous avoue même que plusieurs des pièces de ce grand Comique
t du péché, & à nous faire rentrer dans la voie du salut, je vous avouerai franchement que je la crois peu capable d’opérer
17 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
trine de Saint Thomas des excès dot on la chargeait, à la fin il faut avouer avec le respect qui est dû à un si grand homme, q
r la vertu d’eutrapélie, que Saint Thomas a prise d’Aristote, il faut avouer qu’ils ne l’ont guère connue. Les traducteurs ont
18 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
Iphigénie même m’ont paru des personnages fort amoureux. TIMANTE. J’ avoue ce que vous dites : mais vous savez bien vous-mêm
faire croire que je fais le scrupuleux et le dévot hors de saison ; j’ avoue que cette réflexion, pourrait être mieux reçue si
le, on aurait pu lui donner un tour plus honnête et plus ingénieux. J’ avoue encore qu’il ne faut jamais introduire de personn
ire lui inspire, que quand il semble s’abandonner à l’amour ; et ne m’ avouerez -vous pas qu’il était aisé de ne se point ennuyer
enir une action depuis le commencement jusqu’à la fin ? CLEARQUE. J’ avoue qu’on le peut faire, mais je doute après tout, qu
ues : quand il vous plaira nous les lirons ensemble, et je vous ferai avouer que ma proposition est véritable, quand je dis qu
vous fait de la peine, j’approuve votre délicatesse, et je veux bien avouer qu’il y a de certains noms trop connus que je ne
? Ne nous laissons point gouverner par une imagination déréglée, mais avouons de bonne foi que pour les noms et pour les choses
e connaissait point le Cid avant la Tragédie de Monsieur Corneille. J’ avoue néanmoins que quand le titre d’une Tragédie est c
19 (1772) Spectacles [article du Dictionnaire des sciences ecclésiastiques] « Spectacles. » pp. 150-153
éâtre. Ovide, dans sa fameuse apologie adressée à l’Empereur Auguste, avoue que les jeux sont des semences de corruption, &am
s méchantes impressions du vice ; & tout Stoïcien qu’il étoit, il avoue qu’il en sortoit plus avare, plus ambitieux, plus
mauvaises mœurs & de la corruption, & ne pouvoit s’empêcher d’ avouer que rien ne seroit plus utile que la suppression
onnement, & prit la liberté de lui en demander la raison. Je vous avoue , répondit la Princesse, que quelque gaie que je s
20 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
es discours où une personne de son sexe parle de ses combats, où elle avoue sa défaite, et l’avoue à son vainqueur même, comm
onne de son sexe parle de ses combats, où elle avoue sa défaite, et l’ avoue à son vainqueur même, comme elle l’appelle. Ce qu
21 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
ns trouble. N’est-ce pas payer bien cher ses succès que de n’oser les avouer  ? N’est-ce pas affaisser l’ame que de la priver d
ature pour qu’on soit le maître de s’y refuser. Les Acteurs eux-mêmes avoueront ces effets d’une prévenance maladroite. On intrig
larmes par des nouvelles consolantes ? Nos descendans seront forcés d’ avouer que la Nation s’opposoit elle-même à ses plaisirs
22 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
e la fameuse Université d’Alcala, où toutes ces Bulles sont citées. J’ avoue que Saint Thomas dans sa 2.2. q. 168. a. 2. et 3,
onditions qui la rendent licite, et celles qui la rendent illicite. J’ avoue que ces conditions ne sont pas essentielles à la
t l’Arche au son des flûtes, des tambours, et des autres instruments, avoue que ce n’est pas un mal de danser, et de chanter.
de danser, et de chanter. » Je pourrais le nier : car Saint Cyprien n’ avoue rien précisément, mais vous lui faites avouer ce
er : car Saint Cyprien n’avoue rien précisément, mais vous lui faites avouer ce que vous avouez, et ce que j’avoue moi-même ;
ien n’avoue rien précisément, mais vous lui faites avouer ce que vous avouez , et ce que j’avoue moi-même ; ainsi passe pour ce
cisément, mais vous lui faites avouer ce que vous avouez, et ce que j’ avoue moi-même ; ainsi passe pour cela. Mais il prétend
Comédie, sans lui faire dire dans d’autres ce qu’il n’a pas pensé. J’ avoue que ce Saint dans la 2e Partie de sa Somme titre
ce, d’étude, de barreau, ou de quelque autre profession laborieuse. J' avoue que ces gens là pourraient peut-être bien assiste
e. Vous n’avez pas, dites-vous, employé ce dernier, je veux bien vous avouer à ma confusion que je ne l’ai que trop employé ;
personnes avaient envie d’y retourner, elles n’auraient garde de vous avouer qu’elles fissent mal en y allant, ou qu’elles en
’elles ne contiennent et ne renferment rien de malin ni de vicieux. J’ avoue avec vous que les Pièces de Théâtre sont présente
ssions : sans doute ce ne sera pas par hasard qu’elle les excitera. J’ avoue que le dessein et la fin de la Comédie ou plutôt
7 » Et c’est ce qu’approuvent ceux qui y vont encore, s’ils veulent l’ avouer de bonne foi, et tout cela non point par hasard,
, de « fort honnêtes gens de cette profession ». Cela peut-être, et j’ avoue que comme la corruption de l’âme ne paraît pas to
ou à la Comédie, et qui s’en sont défendues. J’en ai trouvé qui m’ont avoué franchement que si elles n’avaient appréhendé de
aite comme des Excommuniés, et le Public comme des Infâmes. Oui, je l’ avoue , l’intérêt qui les fait jouer ne serait pas seul
de la Comédie. J’en ai été peut-être aussi entêté qu’un autre, mais j’ avoue à ma confusion que je n’ai jamais été moins Chrét
teurs, et qui se piquent de l’être, s’ils ne le sont pas ? Pour moi j’ avoue que je n’en ai pas trouvé en mon chemin ; et j’ai
endre garde aux circonstances du temps, des lieux et des personnes. J’ avoue que cette condition dépend presque entièrement de
r Auteur de votre Lettre ; elles seront d’assez bonne sorte pour vous avouer que non. N’a-t-on pas raison après cela, de soute
us donner le change ? Pour ce qui est de la circonstance des lieux, j’ avoue avec vous qu’on ne joue pas votre Comédie dans de
cilement à bout. Pour ce qui regarde la circonstance des personnes, j’ avoue encore avec vous que les Acteurs qui jouent vos C
23 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
s deux Lettres qu’ils prirent la peine de publier contre la mienne. J’ avoue qu’elles m’encouragèrent à en faire une seconde ;
is en tête de nier un fait, toute la terre ne les obligerait pas de l’ avouer . Toute la grâce que je lui demande, c’est qu’il n
24 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — Méthode et règlement pour réformer le Théâtre. Avant Propos. » pp. 87-98
es et les anciens, surtout du côté de l’intention, je me sens forcé d’ avouer qu’ils ne cessent pas de se ressembler beaucoup,
er des rayons de lumière dans les ténébres les plus obscures. Il faut avouer cependant que nous aurions de grandes obligations
25 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57
oi, qui fait tant de choses avantageuses pour la religion, comme il l’ avoue lui-même, ce monarque qui occupe tous ses soins p
l’on lui veut faire estimer. Je crois qu’après cela notre Observateur avouera qu’il a eu tort d’accuser Molière et qu’il doit c
pas donner ce nom, puisque c’est là justement ce qui fait un athée. J' avoue , sans être tartufe, que ce raisonnement me fait t
26 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
s dans les premieres sociétés de Rome, perdirent les mœurs. Plutarque avoue que le théatre avoit fait tomber les Grecs dans l
qu’après une épreuve de cinquante années, il ne pouvoit s’empêcher d’ avouer que rien ne seroit plus utile que la suppression
’en sauver, est plus en état d’en faire une description exacte…. Je l’ avoue donc avec sincérité ; je sens dans toute son éten
nnement, & prit la liberté de lui en demander la raison ; je vous avoue (lui répondit cette excellente Princesse) que que
motifs qu’ont porté cet Académicien à décrier les Théatres ? Je vous avouerai , dit-il, que depuis quelques années j’avois beauc
27 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
s propres aveux que naissent les regrets que je vous montre ici. Vous avouez dans votre Préface que les hommes vous ont fait b
erons jamais un seul reproche qui ne rappelle l’idée de nos crimes. J’ avoue que toutes les femmes réduites à nous faire senti
vous dites qu’elles ne sont capables de sentir ni d’exprimer, je vous avoue que la plume me tombe des mains en cet endroit. Q
re d’excellents Livres contre elles, après avoir lu le vôtre. Je vous avoue , Monsieur, que tout cela devient bien incompréhen
 ; ne s’est-elle jamais offerte à vous, en songe !… En songe ! Oui, j’ avoue que dans l’absence de la raison, dans ces moments
28 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
agir que pour lui ou pour ce qui peut réussir à sa gloire ; et vous m’ avouerez que ce n’est pas pour Dieu que vous allez au bal,
oire, ni de près ni de loin, ni médiatement ni immédiatement : vous m’ avouerez que l’argent que vous donnez pour les violons, le
29 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
ur raisonnement, et plus encore par la force de leur autorité. Vous m’ avouerez , Monsieur, qu’on serait embarrassé à moins, et qu
nt l’Arche au son des flûtes, des tambours et des autres instruments, avoue  que ce n’est point un mal de danser et de chanter
est que trop mauvaise, puisqu’elle est défendue. Jusqu’à présent je l’ avoue , je croyais qu’on défendit les choses parce qu’el
l y a trois moyens fort aisés de savoir ce qui s’y passe ; et je vous avoue que je me suis servi de tous les trois. Le premie
nce fort délicate, pour ne pas dire scrupuleuse, ont été obligés de m’ avouer qu’à l’heure qu’il est, la Comédie est si épurée
es Pièces que l’on imprime après qu’on les a jouées, je suis obligé d’ avouer qu’il ne n’en est jamais tombé aucune sous les ma
Privilèges s’ils étaient Blasphémateurs, Libertins ou Impies ? Nous avouons , disent nos Réformateurs, qu’ils n’osent ouvertem
s d’impression sur eux, qu’en fait un Vaisseau en fendant les eaux. J’ avoue qu’il se peut trouver des personnes qui sont touc
rsonnes consacrées ni vouées au Seigneur, ce qui serait indécent je l’ avoue , et si cela était, je le condamnerais absolument
, comme sont les Religieux, et surtout les plus Reformés ; et je vous avoue que j’aurais de la peine à les sauver de péché mo
30 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
ui disait à une personne qu’elle honorait de sa confiance : « Je vous avoue que, quelque gaie que je sois en allant à la comé
ment peu au spectacle, vous dira une autre personne. Ce plaisir, je l’ avoue , répugne à ma conscience, et si tout le monde fai
de péché mortel pour un certain nombre de spectateurs ; mais il faut avouer aussi qu’il en est d’autres à qui la comédie ne f
qui ne soient fondées sur une intrigue d’amour. » D’Alembert lui-même avoue que l’amour règne dans toutes les tragédies de Co
D’Alembert voulut prendre la défense du théâtre, mais il fut forcé d’ avouer que les spectacles sont un poison dangereux. Qu
re donc qu’après une épreuve de 50 années, il ne pouvait s’empêcher d’ avouer que rien ne serait plus utile que la suppression
31 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
és : Non ut perpetuò soris maneant, sed tu correcti denuò redeant. Avouez , Messieurs, que ce zele austere vous étonne. Ah !
iens & les spectacles de nos jours. Autrefois, dites-vous… Oui, j’ avoue qu’il étoit autrefois des spectacles infames par
rouvez disposés à prier ? Hélas ! nous-mêmes, mes Freres, nous vous l’ avouons , poursuit ce sage Archevêque, au centre du recuei
Chrysostome, conviennent-elles, Messieurs, au théâtre de nos jours ? Avouez donc du moins que ce sont tous les spectacles en
is si ce que nous nommons passion est véritablement un crime, il faut avouer que, selon la belle expression de Salvien, sur le
nage ; & avec cette noble franchise, si digne d’un vrai Pénitent, avoue que c’est sur le théâtre qu’il respira par les or
32 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
t point ensanglantée. Un d’eux qui n’était rien moins que brave, nous avoua que dans l’enivrement où l’avait mis ce chef-d’œu
vage doit faire dans une tête qui n’est pas bien ordonnée, (et vous m’ avouerez qu’il n’en est pas mal de cette espèce,) un senti
et le suicide, au moins dans l’intention et souvent dans l’effet ? J’ avoue que je n’y suis plus. Mais quel est donc ce motif
hommes vraiment courageux, en vous voyant excuser un usage dont vous avouez , Monsieur, la barbarie, comme une opinion inhéren
33 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
, « plena, comme dit saint Augustin, fomitibus miseriarum mearum », j’ avoue que l’histoire intéresse de même le lecteur dans
aucune atteinte, aucune impression maligne de ces sortes d’images. J’ avoue que tous n’en sont pas également susceptibles, l’
se livrer au public, et que c’était là une espèce de prostitution, j’ avoue qu’il y avait souvent de l’idolâtrie mêlée et que
34 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XII. Du temps que l’on perd à la Comedie, et aux autres spectacles de même nature. » pp. 269-279
de la chasteté du theatre moderne n’est vrai qu’à certains égards. J’ avoue qu’on n’y voit pas les ordures qui paroissoient s
entation des Comedies, mais on peut l’étendre aussi à leur lecture. J’ avoue que cette lecture n’emporte pas autant de temps,
35 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
e, & aussi débauché, que l’étoit Néron. Cependant, ne faut-il pas avouer , qu’elles sont plus chastes, que celles qu’on rep
homme tel que moi, qu’il convenoit d’écrire sur cette matiere … Je l’ avoue donc avec sincérité, je sens le grand bien, que p
oître son goût pour les spectacles, il ne peut cependant s’empêcher d’ avouer , que les spectacles exaltent les passions, &
a Cour, la Tragédie d’Esther. Et dans sa réponse à J. J. Rousseau, il avoue , que nos spectacles sont un poison dangéreux. Dan
grand homme fussent connus, puisque le Grand Vocabulaire est forcé d’ avouer , qu’il pensoit comme les Théologiens, sur les dan
puisse refuser d’aller aux spectacles. Mr., lui répondis-je, je vous avoue ingénuement mon ignorance, je ne conçois pas comm
oilà, je crois, Monsieur, plus que vous n’en demandiez. Le Philosophe avoua sa défaite ; mais il s’en fallut de beaucoup que
n’avoit pas assisté à un sermon depuis plus de six ans, je fus, je l’ avoue , violemment tenté d’en tirer avantage : le triomp
hée de l’arrêt du Parlement, que de toutes les décisions de l’Eglise, avoua qu’elle ne croyoit pas la chose aussi sérieuse, &
nder, c’est a elle à m’obéir, c’est mon enfant, c’est tout dire. Je l’ avoue , Madame, elle est votre enfant ; mais ne l’êtes v
il va tous les jours à la Comédie ? Oui, Mr, lui répondis-je, je vous avoue que je l’ignorois ; mais ignorez-vous aussi, que
zieme objection. POur moi, dit-il, je suis plus sincere, & j’ avoue , qu’on prouve qu’on n’a rien de bon à dire, quand
r des haleines, dont beaucoup ne doivent pas être des plus saines ? J’ avoue , dit Mr. l’Archevêque de Lyon, dans son Mandement
’avoue, dit Mr. l’Archevêque de Lyon, dans son Mandement de 1770… « J’ avoue , qu’il est des plaisirs innocens & permis, de
36 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
lminent contre les Spectacles ». Mais si c’est là une maladie, vous m’ avouerez , Monsieur, qu’il y a bien des honnêtes gens malad
erminer à se tourner d’un côté plutôt que de l’autre ; car enfin on m’ avouera qu’une mesure d’avoine ressemble un peu plus à un
urait eu garde de faire passer parmi les Jeux innocents. Mais il faut avouer de bonne foi que saint Thomas en s’objectant le m
sse passer du Théâtre en Paradis, c’est ce que l’on se gardera bien d’ avouer , puisque Jésus-Christ lui-même qui en avait les c
ont blâmé dans la Comédie ; et c’est ce que nous avons à examiner. J’ avoue qu’il y a deux choses qui rendaient la Comédie an
arqué : mais il n’est rien aussi de si faux que Tertullien ait jamais avoué en aucune façon que la Comédie fût une chose indi
t l’Arche, au son des tambours, des flûtes et des autres instruments, avoue que ce n’est point un mal de danser et de chanter
Idoles » ; puisqu’il s’explique si nettement au contraire. Mais qu’il avoue en même temps que saint Cyprien en condamnant des
qui ne lui est pas ordinaire ; il y paraît modeste et scrupuleux. Il avoue que son jugement ne doit pas passer pour décisif 
ux. Il avoue que son jugement ne doit pas passer pour décisif : et il avoue de même qu’étant Prêtre et que devant l’exemple a
nce fort délicate, pour ne pas dire scrupuleuse, ont été obligés de m’ avouer qu’à l’heure qu’il est la Comédie est si épurée s
Comédies : sur quoi il nous fait cette Confession. « Je suis obligé d’ avouer , dit-il, qu’il ne m’en est jamais tombé aucune so
ans les Comédies d’aujourd’hui, elles seraient plus supportables : on avoue qu’en France on ne permet pas qu’elles se jouent
onnes consacrées ni vouées au Seigneur ; ce qui serait indécent, je l’ avoue  ; et si cela était, je le condamnerais absolument
r, comme sont les Religieux, et surtout les plus réformés. Et je vous avoue que j’aurais de la peine à les sauver de péché mo
37 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
la Comédie de l’Avare en est devenue bien plus difficile pour moi. J’ avoue donc que je ne connais aucun expédient qui soit a
ormation. LA MERE COQUETTE, Il y aurait de l’injustice à ne pas avouer que cette Comédie de Quinault est bien imaginée e
38 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE. De Racine à Despréaux, » pp. 83-84
e ma conscience ne me reprochoit rien à l’égard des Jésuites, je vous avoue que j’ai été un peu surpris d’apprendre par votre
39 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « [Introduction] » pp. 4-5
vec l’applaudissement de tout le monde ? S’ils sont raisonnables, ils avoueront que vous vous êtes justement attiré ces nouveaux
40 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « A Monsieur le Comte de P***. » pp. -
béisse, j’en ai dit assez pour vous faire connaître, & pour qu’on avoue par conséquent, que cette Epitre Dédicatoire est
41 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
s sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre Il faut avouer qu’il est bien difficile de plaire à tout le mond
’avoir le don d’Invention, ni le beau Génie de la Poésie, et ses Amis avouent librement que ces Pièces sont des « Jeux de Théât
e dans leurs esprits, par la licence de ses Ouvrages. Certes, il faut avouer que Molière est lui-même un Tartuffe achevé, et u
te Pièce, et je ne vois pas en tout cela, où est l’esprit ? puisqu’il avoue lui-même « qu’il n’est rien plus facile que de se
42 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
te doit être attribuée aux Artistes, et nullement à l’art même : et j’ avoue qu’en consultant mon cœur, à la fin de plusieurs
ssions, qu’après avoir lu tous les Moralistes anciens et modernes : j’ avoue aussi ingénument que je ne conçois pas comment « 
a trouvé grâce devant vos yeux, comme devant ceux d’Aristote, je vous avouerai encore que l’avis de ce Philosophe ni le vôtre mê
dissipés, il n’en est plus qui rougissent d’aimer leurs femmes, et d’ avouer leur amour. Passerai-je sous silence le Méchant ?
43 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — I.  » pp. 455-456
d'allier ce métier avec la pureté de notre religion: et ainsi il faut avouer que c'est un métier profane et indigne d'un Chrét
44 (1675) Traité de la comédie « II.  » pp. 275-276
d'allier ce métier avec la pureté de notre religion. Et ainsi il faut avouer que c'est un emploi profane et indigne d'un Chrét
45 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
re Renommée, A répandre ma gloire était lors animée. Maintenant, je l’ avoue , on ne voit rien de moi Qui paraisse à mes yeux d
u que le Tibre, elle n’a pas tant de grace dans la Poésie ; et vous m’ avouerez qu’Amiens, Abbeville, Rouen, Auxerre, Dijon et Gr
46 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
u premier coup d’œil l’amour le plus vif l’un pour l’autre : ils se l’ avouent réciproquement, sans que leur honneur en reçoive
ais quelles sont les Pièces où l’amour soit instructif à ce point ? J’ avoue que, dans leurs Tragédies, les Grecs ne l’ont mon
47 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — REGLEMENTS. Pour la Réformation du Théâtre. » pp. 99-116
point d’Acteur qui ne fût connu pour homme d’honneur, et, comme tel, avoué de sa famille. A cet effet il serait obligé de pr
ils n’ont pas la force de secouer le joug d’une mauvaise habitude : j’ avoue cependant qu’il pourrait bien arriver que, dans l
48 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
ns eux-mêmes en conviennent. M. Iraïl, zélé défenseur des spectacles, avoue dans le second tome de ses querelles littéraires,
es, dit Benoit XIV, est la morale de l’Eglise, & la seule qu’elle avoue . Voyez les conférences d’Angers depuis la pag. 54
usqu’après le milieu du dix-septieme siécle. Mrs. les Encyclopédistes avouent eux-mêmes, en 1753, que le comique demeura dans
est mauvaise foi . Ces Messieurs n’ont qu’à faire leur choix. Il faut avouer qu’ils ne sont pas plus heureux en prophéties, qu
s discours, où une personne de son sexe parle de ses combats, où elle avoue sa défaite, l’avoue à son vainqueur, au public. D
ersonne de son sexe parle de ses combats, où elle avoue sa défaite, l’ avoue à son vainqueur, au public. Dites encore, que les
&c. Comment Mr Dalembert lui répondra-t-il ? Le voici. Il faut l’ avouer , dit ce zélé défenseur du Théatre, personne n’a c
es Peres, nous n’en connoissons point d’autre, que la Réligion puisse avouer . Ce sont toujours les Conf. d’Angers pag. 554 556
49 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105
de bonne heure à 22 ans, comme il le rapporte dans sa préface, où il avoue qu’il a été attaqué d’une maniere capitale, même
former à la dissipation, à la frivolité, vice dominant de la nation : avouons à l’honneur de l’Université de Paris, que ce misé
ans le même goût aux Capucines. Cependant elle se décrie elle-même, s’ avoue mariée, n’aimant point son mari, regardant comme
lasphêmes, malgré les exhortations d’un Confesseur. On veut lui faire avouer un secret que Jupiter ignore, comme la Justice ve
faites & plus fortement encore ; on seroit bien injuste de ne pas avouer que la galanterie a presque tout affoibli ; que d
p; dans laquelle il y a du sang répandu pour la forme. Le P. Brumoi l’ avoue  : il dit pour la galanterie que les Grecs réjetto
50 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VII. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. » pp. 13-14
fficile de les y forcer. Rappellons ici un principe déja établi & avoué par les plus grands maîtres de l’art, que la pass
51 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
t contre la Comédie, que l’on attribue à un grand Prince. Après avoir avoué la vénération que l’on doit ressentir pour cet Ou
,4 proposa, il y a quelques années, un plan de réforme ? mais il faut avouer que ses bonnes intentions l’ont conduit à un plan
étoient attirés aux Spectacles par l’appas du plaisir ; & il faut avouer que lorsqu’un trait de morale s’y rencontre, il f
r le P. Porée, il y a quelques années, au sujet des Spectacles ? Il y avoue à la vérité, que par la faute des Acteurs, des Au
52 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
a pieté, sentit toute la peine du monde pour se recueillir ; & il avoue lui même, que l’importune imagination emporta sou
ui étoient instruits de la liberté des enfans de l’Eglise : mais on m’ avouera , comme les Corinthiens, quand ils donnerent occas
s qu’elle ne les suive point dans leurs égaremens. Aussi-je dois vous avouer , que cette Fille de condition, qui survint, quand
mmode ne veut rien moins que se faire violence. Je sçai, qu’elle ne m’ avouera pas cela : mais qu’elle fasse un peu de reflexion
53 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
également sa colère et l’envie qu’elle a de sortir d’un lieu où elle avoue franchement « qu’elle ne peut plus demeurer, voya
out ce que vous voudrez ». Le Père lui dit qu’elle ne craigne point d’ avouer ce qu’elle pense, et qu’elle dise hardiment, ce q
. Sur cette contestation le mari arrivant, il lui conte tout. La Dame avoue la vérité de ce qu’il dit, mais en le blâmant de
de soutenir à force d’impudence toutes les attaques de la fortune ; n’ avouer jamais avoir tort ; détourner les choses avec le
nécessairement et utilement qu’on le fasse ! Je ne feins pas de vous avouer , que ce sentiment me paraît un des plus considéra
vienne à soi, et fasse à la fin la différence des sujets ; du moins m’ avouerez -vous, que ce retour ne se fait pas d’abord ; qu’e
dissimulés et hypocrites comme lui ; car il n’en est point qui voulût avouer en public les sentiments qu’il déclare en particu
c’est la manière d’agir naturelle et générale de notre âme, qui ne s’ avoue jamais à soi-même la moitié de ses propres mouvem
er les remèdes d’autant plus que les maladies sont incurables, vous m’ avouerez que cette Comédie est une excellente chose à cet
54 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
il s’y crût obligé de rendre gloire à la misericorde divine, & d’ avouer , que cette horreur pour les spectacles, qu’il avo
voit persuadé d’assister aux Comedies qu’on represente chez vous, qui avouent tous d’un consentement unanime, que le nouveau Th
55 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
t inutile d’examiner les sentiments des autres docteurs. Après tout j’ avouerai sans peine, qu’après s’être longtemps élevé contr
e la dissertation, et par la censure qu’elle a attirée à ceux qui ont avoué qu’ils en avaient suivi quelques sentiments, comb
56 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
’admiration qu’une Beauté nonconnue avait d’abord causé. Faut-il vous avouer qu’hier, j’allai chez ma Rivale ? Cette visite ét
57 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
e la lie du Peuple ; voilà tout ce que je dirai actuellement. Il faut avouer que c’est un secret que personne n’enviait jadis 
ervelles. Si nous n’allons pas par les rues en chantant à haute voix, avouons qu’il ne nous manque qu’un dégré de chaleur, &
jour, & devint dans peu le Spectacle de la nation. » Voilà, je l’ avoue , une critique à laquelle il est assez difficile d
58 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
ésentez-vous d’un côté le Calvaire, et de l’autre le Théâtre, et vous avouerez qu’il n’y a personne qui puisse assembler l’amour
soit pas tombée dans la dernière extrémité du vice ; il faut pourtant avouer que faisant profession d’en avoir tout l’extérieu
on. Si vous voulez faire réflexion sur le livre de Tertullien, vous m’ avouerez qu’il suffirait de le transcrire et de le traduir
59 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
est plus jàe question d’excuser les péchés, ainsf de les approuver et avouer .) J’ai été d’avis en peu de paroles, non de vous
quel retourne aisément, quand la multitude d’un commun consentement l’ avoue , et encore se plaît à l’excuser. C’est qu’il y a
titions des Gentils, mêlées avec leurs spectacles et jeux publics, et avouent leur idolatrie. Les témoignages de la sainte écri
60 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
partis, voyez mieux les véritables causes de ce débordement, et osez avouer à vos antagonistes la perversité, toutes les perf
ureté des mœurs. Mes recherches ou remarques nouvelles, tracées, je l’ avoue d’avance, avec peu d’art et de méthode, sur les c
61 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
e, à peine de suspension, & d’être mis en pénitence. Mais il faut avouer que ces flétrissures & ces peines, effets de
62 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
en l’attaquant avec un acharnement incroyable ; et (ce que je ne puis avouer sans une extrême douleur) avec un succès aussi qu
63 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
A. — (Exordium. — Argumenta mundanorum.) Il faut que je vous avoue , Messieurs, que j’ai longtemps considéré devant D
64 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137
d’un enthousiaste, qui chaque mois en fait l’éloge. Non seulement il avoue , mais il prouve par le détail le plus circonstanc
jouit qu’à son tour au prorata de la mise. Corneille en a profité. Il avoue dans ses préfaces avoir pris la plûpart de ses pi
ne font grace à aucun vice. Tertullien, grand ennemi des spectacles, avoue (C. 10) qu’il y a bien des pieces honnêtes, dont
ianisme, ou sous le règne des Princes Chrétiens depuis Constantin ? J’ avoue que sous Caligula, Néron, Commode, Héliogabale, l
65 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27
isque ; & propose à découvert la nécessité de la réformation. rIl avoue sincèrement que la vraie réformation seroit de le
bertinage, & qu’il est aujourd’hui l’école des mauvaises mœurs. J’ avoue qu’il corrige de quelques ridicules ; mais de la
fille ; on y prend au premier coup d’œil l’amour le plus vif, on se l’ avoue réciproquement sans honte, les Héros même s’en fo
.° Aucun Acteur ne sera reçu qui ne soit homme d’honneur, connu & avoué de sa famille, dont il rapportera des certificats
66 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
et s’allier, comme j’ai fait, à la maison d’un Gentilhomme etc. »cp Avouez donc Monsieur que, si vous eussiez porté de meill
vole son père, il est odieux qu’il lui manque de respect ; mais ne m’ avouerez -vous pas que cela est mille fois plus excusable q
vers est une boutade très bien placée dans la bouche d’un bourru et j’ avoue qu’une pointe irait mal après elle : mais ce que
p de pouvoir sur leur cœur à des impressions libertines : mais vous m’ avouerez que ce qui est très dangereux à douze ou quinze a
67 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
out ce qui est dans le monde, et en a fait présent aux hommes (nous l’ avouons nous-mêmes.) Or toutes les créatures sont bonnes,
rs. Si quelqu’une de ces choses n’a point de rapport aux idoles, nous avouerons , que cela ne regarde ni l’idolâtrie, ni l’abjurat
acle est le fruit malheureux qu’une même idolâtrie a produit. Il faut avouer néanmoins, que l’appareil des jeux du Cirque a qu
i des questeurs, des magistrats, des pontifes et des prêtres, il faut avouer , que si ces dignités ont du rapport à l’idolâtrie
u’il est fait mention du Stade dans l’Ecriture sainte.1. Cor. 9. Je l’ avoue  ; mais vous devez avouer aussi, qu’il est indigne
Stade dans l’Ecriture sainte.1. Cor. 9. Je l’avoue ; mais vous devez avouer aussi, qu’il est indigne de regarder ce qui se pa
68 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
mmes ruinés qui portent le nom des terres qu’ils n’ont plus ? Je vous avoue , Agathon, que j’ai de la peine à décider : Car ou
ne honnêteté des mœurs, sans perdre la douceur de la joie. Or je vous avoue , Agathon, qu’en ce temps où l’on aime fort à être
69 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
Siècle depuis qu’il se fut jeté dans le parti d’Origènep. Mais vous m’ avouerez que ce n’est pas cette inégalité de sentiments qu
isait des Vers, tout cela est également profane selon vos maximes. Il avoue aussi dans une Lettre qu’il a été dans le dérègle
70 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
ous un homme sage qui se plaît à écouter et à voir ces niaiseries ? J' avoue qu'un homme de bien peut honnêtement se donner qu
71 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
rands succès leur seraient assurés. J’ai cru pendant long-tems, je l’ avoue à ma honte, qu’on pouvait composer un Poème pour
72 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre V. Du nombre des Acteurs. » pp. 252-256
ssez, il fait accourir dans le même lieu tout un Village. Voila, je l’ avoue , un oubli marqué des règles. Il eut été facile de
73 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXI. Les spectacles condamnés par les auteurs profanes anciens et modernes. » pp. 179-182
. Voltaire, dont le témoignage ne peut être suspect en cette matière, avoue que « d’environ quatre cents tragédies qu’on a do
74 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
nt l’indulgence de les tolérer. » I. Réflexion sur ce que l’Auteur avoue que tous les Pères et les Conciles se sont soulev
er, comme sont les Religieux et surtout les plus réformés, et je vous avoue que j’aurais de la peine à les sauver du péché mo
s Pères vient jusqu’à lui. Ce qui est admirable, c’est qu’après avoir avoué si nettement, qu’il quittait le sentiment des Pèr
75 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
a plus de pitié de la criminelle que du vertueux Hippolyte. Or l’on m’ avouera que c’est un mauvais emploi de l’art et de l’espr
ossible d’en faire peu à peu quelque chose d’utile pour les mœurs ; j’ avoue cependant que la chose me paraît très difficile e
76 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
igne peser mes raisons, j’espère qu’on me rendra justice, & qu’on avouera que j’ai réfléchi sur le Pour & le Contre, av
77 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
s anciens personnages, que l’âge et l’expérience sont inévitables ; n’ avouerons -nous pas que l’histoire nous doit servir de très
78 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
teur en parle dans le lieu, où il fait l’apologie de la Comédie. On m’ avouera qu’il n’y a pas lieu d’espérer des décisions bien
79 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XV. Les spectacles éteignent le goût de la piété. » pp. 133-137
t du théâtre ; j’en ai peut-être été aussi entêté qu’un autre, mais j’ avoue , à ma confusion, que je n’ai jamais été moins chr
80 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29
;c. ne parloient qu’à des Chrétiens, en sont des démonstrations. On l’ avoue , & ce n’est qu’en supposant une entière réfor
r leur conduite fort suspecte la cause dont ils sont les champions. J’ avoue qu’il s’est trouvé quelque Écrivain, comme le P.
s les deux multiplient à l’infini les crimes. Celui qui connoît & avoue son mal, n’est pas sans ressource ; tout est perd
par la plus amère contrition des ouvrages qu’on veut cire innocens. J’ avoue ma foiblesse à tous les beaux esprits, à tous les
81 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
jours que le monde partage avec lui ? Si l’on connaît assez Dieu pour avouer qu’il mérite qu’on le serve certains jours de l’a
on parti, en s’interdisant toutes ces fêtes peu chrétiennes. Alors on avouera que les maximes du monde étaient contraires à la
82 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
u d’une femme chrétienne, lorsqu’elle entend une personne de son sexe avouer sa faiblesse et la déclarer même au séducteur qui
la religion et désavouer les promesses de son baptême ? n’est-ce pas avouer tout haut qu’on veut rentrer sous l’empire du dém
83 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
n remontant à l’origine du mal, qui fut général, & commençons par avouer que les Anciens nous avoient donné un exemple tou
tre Tragédie devenue plus morale, & cependant, je suis forcé de l’ avouer , plus dangereuse que celles où l’Amour donnoit de
otre Théâtre, c’est celui de la Poësie. Et M. Maffei dans sa réponse, avoue qu’elle est une très-belle Tragédie, bellissima T
84 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
, comme sont les Religieux, et surtout les plus réformés ; et je vous avoue que j’aurais de la peine à les sauver du péché mo
pour son Juge né, et d’institution divine en matière de Doctrine. Il avoue ensuite qu’il avait fait une Dissertation Latine
e la Dissertation, et par la censure qu’elle a attirée à ceux qui ont avoué qu’ils en avaient suivi quelques sentiments (L’on
85 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
n de l’esprit où nous sommes, & que déclarent nos paroles. Nous n’ avouons pas toujours cette disposition d’esprit, principe
s ; mais elle se manifeste par nos discours. Mithridate à son arrivée avoue la sienne à son Confident. Il a trouvé ses deux F
is au nombre des bonnes Piéces, celles qui n’ont point de Lecteurs. J’ avoue que le Poëme Dramatique est fait pour être représ
que je puis prouver encore par l’Opera même, par Quinaut lui-même qui avoue la même chose quand il fait dire après la mort d’
les yeux sont charmés, si l’esprit n’est pas satisfait. Les Italiens avouent que leur Poësie Dramatique Musicale, après avoir
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
s on chantera avec volupté nos Ariettes divines, nos tendre Romances. Avouons que le genre que nous est si cher, rendra la Post
87 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
ppercevrait alors de quelques changemens dans le nouveau Théâtre ; il avouerait qu’il est encore possible d’augmenter son estime
88 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
ce ! ce fut ce qui me ramena près d’elle… Hier… O Dieu ! puis-je me l’ avouer … en nous jurant de ne plus nous aimer… de nous ou
89 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
omme il n’est point de genre d’écrire plus difficile que celui-là, il avoue e bonne foi qu’il aurait encore besoin de cinq ou
90 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
sa réponse, et sur cette annonce seulement, j’ai presque désiré, je l’ avoue , que mes raisonnemens fussent détruits de fond en
e le conçois, de montrer un peu d’humeur quand on doit, comme vous, s’ avouer intérieurement que l’on a trois fois tort. D’abor
91 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
IEN, Sur le Théatre. Le Chevalier et le Comte. Le Chevalier. Je vous avoue , mon cher Comte, que la vie des petites villes es
peut que rendre très-suspecte la cause dont ils sont les champions. J’ avoue qu’il s’est trouvé quelques écrivains, comme le P
92 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IV. De la Médisance. » pp. 80-99
sont répandues contre Diderot & ses consorts encyclopédiques. Il avoue , & Marmontel aussi dans son apologie, que Mol
à se déclarer défenseurs du théatre. On vit par le public un Poëte avoué S’enrichir aux dépens du mérite joué, Et Socr
nt de bonnes, & de si bonnes. Un amateur en tireroit vanité. Je l’ avoue en gémissant, aucune nation n’a fourni tant de Co
93 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
ête plus ma franchise, et il m’est permis de m’expliquer librement. J’ avoue donc avec sincérité que je sens dans toute son ét
94 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE V. Du principal motif de la Réformation du Théâtre. » pp. 49-58
été jouée, que leur reste-t-il dans la mémoire ? S’ils voulaient nous avouer la vérité, nous verrions avec douleur que ce qu’i
95 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
se qui est à prouver, et d’une comparaison tout à fait raisonnable. J' avoue qu’un Théâtre, une décoration, une musique, un ho
elle est défendue dans les saintes Ecritures. « Jusqu’à présent, je l’ avoue , je croyais qu’on défendait les choses parce qu'e
 : mais je sais bien qu’il ne les tire pas de sa conscience ; et il m’ avouera que si elles venaient à cesser, les Comédiens pou
e conscience fort délicate, pour ne pas dire scrupuleuse, qui lui ont avoué qu’à l’heure qu’il est la Comédie est si épurée s
96 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75
onsieur, que vous vous rendrez sans peine sur ce point. L’autre, je l’ avoue , se présente d’abord sous un aspect moins favorab
i que l’affirmative est soutenue de l’autorité des exemples, & il avoue que ces exemples peuvent imposer. Il avoit sans d
; quelquefois de liaisons funestes à l’innocence & à l’honneur. J’ avoue qu’une vie intérieure & mortifiée s’accordero
ndre odieuse ou redoutable, hors les cas très-rares où elle peut être avouée par l’honneur & par la vertu. Des Poëtes grav
(& pourquoi ne dirois-je pas ce qu’il est tems que tout le monde avoue  ?) que si on faisoit un examen aussi scrupuleux &
usurpée, au moins le fait-il entendre assez clairement. Et l’on doit avouer que rien ne seroit réellement plus méprisable que
97 (1691) Nouveaux essais de morale « XIV. » pp. 151-158
uffonneries, etc. Il n’y a personne qui osât le penser, ni le dire. J’ avoue que nous ne sommes pas des conseils de Dieu, pour
98 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
laisir, et encore qu’un chacun le nie, on est contraint à la fin de l’ avouer , ainsi que ce Berger dans Esope, lequel n’osant d
rce, si les choses se donnaient pour rien : au contraire, il faudrait avouer que les Comédiens seraient infâmes, s’ils prenaie
99 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
sur leur esprit, que les raisonnements les plus exacts. Theodore. J’ avoue qu’il y a peu de personnes qui se connaissent en
urs véritables idées, et non point par rapport à lui-même. Eugene. J’ avoue que voila le fond de la Philosophie : Mais cela n
100 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
me la plus basse. Il ne lui eût rien coûté de se rétracter & de s’ avouer calomniateur, quand il avoit quelque vengeance à
nt pas. C’est une manie dont il est bien difficile de se corriger. Il avoue , dans un grand discours sur l’amour, prononcé à l
& obtenir sa liberté, il falloit entrer dans les idées du Duc, s’ avouer insensé, & attribuer tout à sa folie, qui par
e d’une calomnie si mal imaginée, sans preuve, sans vraisemblance. Il avoue cependant que dans ce même temps il fut joué une
e soin qu’il dit avoir pris, d’adoucir les endroits trop libres , il avoue qu’il nous auroit déplu, puisqu’on ne peut le tr
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