rti, depuis leur renaissance en France, le plus grand nombre des bons
Auteurs
, & le plus grand nombre des mauvais. Quelques
ce, de politique, de morale & de littérature ; mais cette foule d’
Auteurs
qui se succédent sur le Théatre, ou qui nous inon
e que ces grands hommes ayent trouvé la carriere si laborieuse. Notre
Auteur
« fait entrer, ajoute le même dans cette pièce, t
ituations, ensemble, tout enfin y est merveilleux, admirable ! Déjà l’
Auteur
voit en idée le public qui justifie les éloges de
voit prodiguer. Il s’imagine entendre le parterre enchanté demander l’
Auteur
à grands cris. Enfin, après des désagrémens sans
e dans cet essai des lueurs qui promettent une plus grande lumière. L’
Auteur
s’est fait connoître, s’est placé, & ses vues
paroîtra extravagant mais vrai. Avouons néanmoins qu’il est plusieurs
Auteurs
qui ne méritent point ces reproches, & dont m
sespérées qu’on ne puisse pas entreprendre avec succès la défense des
Auteurs
du tems. L’une plus occupée à toucher le cœur qu’
ve qu’une piéce a des grandes beautés si elle a des défauts ; & l’
Auteur
doit être bien encouragé par des succès qui lui e
ais toutes ont leur prix. Que les Comédiens se comportent envers les
Auteurs
d’à présent comme ces sages vieillards en usent a
qu’il doit à vos égards & à vos complaisances, des ouvrages que l’
Auteur
découragé ou rebuté par les difficultés, pouvoit
seroit jamais devenu capable ? » « Vous vous plaignez du nombre des
Auteurs
? Vous devriez plutôt vous en féliciter. Plus une
coutume vous avez reçue sans aller au scrutin, & en présence de l’
Auteur
. Selon vous on n’en pouvoit rien retrancher sans
n celui qui lui alloit le mieux, & la pièce ne fut point jouée. L’
Auteur
le fut pendant trois ans. Dans cet intervale il r
nt de là que par leur refrain ordinaire. La Piéce fut retirée & l’
Auteur
se promit bien de n’être plus la victime d’un man
us la victime d’un manége si honteux. » N’est-il pas ridicule que des
Auteurs
se presentent vingt fois à la porte d’un Comédien
n Seigneur Allemand, homme d’un grand sens, à qui on avoit adressé un
Auteur
, pour le recommander à une Actrice ; les gens de
tion en faveur du public. Page 11 Discours préliminaire. Motifs de l’
auteur
en publiant son écrit. Il veut se rendre utile, s
éral Bellart. Page 13 La condamnation de ces deux journaux paraît à l’
auteur
comme très probable, par la nature même de la loi
ture même de la loi de tendance, du 17 mars 1822. Page 14 Le but de l’
auteur
est de déjouer, s’il est possible, toutes les esp
CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’
auteur
du livre intitulé : des Comédiens et du Clergé. P
gé. Page 49 M. de Sénancourt reproche le titre même de l’ouvrage à l’
auteur
, qu’il accuse jésuitiquement de n’avoir proclamé
hypocrites et les tartufes en religion comme en politique. Page 54 L’
auteur
justifie le titre du livre des Comédiens et du Cl
Page 69 Jugement porté contre les écrits de M. l’abbé de La Mennais,
auteur
de l’Essai sur l’indifférence en matière de relig
l’opposition, en envahissant l’imprimerie et la librairie. Page 88 L’
auteur
désapprouve l’acharnement de tous les partis cont
ez les païens et chez les chrétiens. Page 101 Des comédiens à la fois
auteurs
et acteurs. Page 101 Chez les païens, les comédie
erait une jouissance jésuitique, s’il réussissait à faire condamner l’
auteur
du livre des Comédiens et du Clergé. Page 108 Réf
Réflexions sur l’effet que produirait une loi de tendance contre les
auteurs
. Page 165 La loi de tendance ferait condamner cel
urs de préférence aux souverains pontifes. Page 171 Les vérités que l’
auteur
a proclamées, seront accusées par le jésuitisme d
tulé, des Crimes de la presse, dédié à la Sainte-Alliance. Page 195 L’
auteur
anonyme de ce livre honteux cache son nom pour se
sitoriales en persécutant les imprimeurs et les libraires. Page 197 L’
auteur
du livre des Crimes de la presse, propose, contre
uple dans l’ignorance et la barbarie. Page 199 Attaque virulente de l’
auteur
des Crimes de la presse contre M. Royer-Collard,
llard, membre de la Chambre des députés. Page 199 Comparaison entre l’
auteur
du livre des Crimes de la presse et les Pygmées,
s Pygmées, qui ne savaient faire la guerre qu’à des grues. Page 200 L’
auteur
Pygmée du livre des Crimes de la presse ose attaq
presse ose attaquer un Hercule. Page 200 Toute la dialectique de cet
auteur
Pygmée se renferme dans un cercle vicieux, en sou
condamnent à mort quiconque ose nier de pareilles vérités. Page 201 L’
auteur
du livre des Crimes de la presse professe les aff
en Espagne, n’est point complice des jésuites. Page 203 Le fanatique
auteur
du livre des Crimes de la presse affaiblit les pr
ligion, s’il était possible, par une pétition de principe. Page 204 L’
auteur
du livre des Crimes de la presse paraît ignorer c
principe. Page 204 Définition d’une pétition de principe. Page 205 L’
auteur
du livre des Crimes de la presse, à l’exemple de
force et la terreur. Page 206 Des calomnies présumées de la part de l’
auteur
du livre des Crimes de la presse. Page 206 Calomn
, membre de la Chambre des députés. Page 207 Injures lancées contre l’
auteur
du livre des Crimes de la presse, considéré comme
tères de l’hydrophobie. Page 209 M. l’abbé de La Mennais mordu par l’
auteur
hydrophobe du livre des Crimes de la presse. Page
convoi royal, sans montrer de rancune contre la charte et contre son
auteur
. Page 211 CHAPITRE XII. Réflexions sur les évêqu
e des Comédiens et du Clergé. Page 217 M. de Sénancourt reproche à l’
auteur
d’avoir cité les conciles où il est dit que « c’e
re une dévote et Jésus-Christ. Page 221 M. de Sénancourt a attaqué l’
auteur
pour plaire aux Pères de la foi. Page 222 CHAPIT
gers de la profession de comédien, sont étrangers à la question que l’
auteur
s’est proposé de traiter. Page 223 Mesures du gou
omédie. Page 226 Les mauvais prêtres sont les détracteurs de Molière,
auteur
du Tartuffe. Page 226 Eloge du talent des acteurs
stoire, sans remonter aux Siècles précédents. Hédelina est le premier
Auteur
Français de ce Siècle, qui a osé entreprendre de
cadence, et les remèdes qu’on y pourrait apporter. Dans le premier, l’
Auteur
donne des preuves de son érudition dans les Poési
t demeuré imparfait, parce qu’il n’a pas pu exécuter son dessein. Cet
Auteur
insinue deux raisons, qui font voir les difficult
rale, et on peut regarder ce Traité comme une Réponse ; car quoique l’
Auteur
n’y nomme ni Hédelin ni ses Ouvrages, il se plain
la condamnation des Théâtres, dont on a cru qu’Hédelin était encore l’
Auteur
. M. de Voisin se crut obligé de défendre le Trait
qu’on a voulu faire passer pour une Réponse faite au sieur Boursault,
Auteur
d’un Volume de Pièces de Théâtre, qui feint d’avo
l’appelle ainsi, parce que le Père Caffaro Théatin, qu’on disait être
Auteur
de cette Lettre, l’a désavouée) veut justifier la
sant voir que la Comédie avait toujours été condamnée, d’autres que l’
Auteur
de cette Lettre est un faux Théologien : il y en
y en eut même un, qui dit que cette Lettre méritait le feu, et que l’
Auteur
en devait faire une pénitence publique. On a fait
lusieurs Conférences publiques contre la Lettre de ce Théologien. Les
Auteurs
ne sont pas demeurés dans le silence ; car on a v
, la discipline des Comédiens, la gloire des Lettres, l’émulation des
Auteurs
dramatiques, Lonvai composa en 1761 Alcidonis ou
: mais, pour justifier leur refus, ils exigerent des changemens que l’
auteur
fit à leur gré malgré lui. Ils s’arrogent le droi
passa cinq ans encore avant qu’on la jouât : on la déchiroit même. L’
auteur
dit à un acteur : Bien des gens en pensent autre
alloit donc que tout respirât la simplicité & même l’austérité. L’
auteur
avoit recommandé qu’il n’y eût ni or ni argent da
aîtres furent hués de tout le monde : malgré les représentations de l’
auteur
, on ne voulut rien changer : la piece tomba. Mais
idicule ? Parce que les nouvelles décorations se font aux dépens de l’
auteur
, & qu’elles restent aux comédiens, qui en tir
utres. Autre friponnerie. Par l’art. 56 des réglemens, la part de l’
auteur
sera prise sur la recette nette, après qu’on aura
amp; quand la recette aura été deux fois au-dessous de 1200 livres, l’
auteur
n’y aura plus de part, la piece appartiendra à la
frais, on a imaginé, I° de la jouer mal, & après qu’on a exclu l’
auteur
, on la reprend, on la joue bien. 2° On a construi
édiens se réservent, dont le produit n’entre pas dans la recette. Les
auteurs
à force de crier ont obtenu qu’on leur donneroit
écorations 5223 livres : de sorte qu’en retenant même la portion de l’
auteur
, le sieur Lonvai se trouve redevable à la troupe
oit contraire, & à l’esprit de la piece, & à l’intention de l’
auteur
; & ils ont tout gardé pour eux, ils s’en son
pline intérieure entr’eux ; mais non les étrangers, les ouvriers, les
auteurs
, les débiteurs, les créanciers, &c. à l’égard
il & la mauvaise foi des comédiens, & la servile bassesse des
auteurs
, qui se mettent à leur discrétion, pour une vaine
t pour l’exclusion, ceux qui voltigent pour la concurrence, & les
auteurs
selon qu’ils sont favorisés ou rebutés des acteur
ntieres des trois empires. Le sieur Calhava, grand enthousiaste &
auteur
applaudi, s’est érigé en législateur & en cen
utent ou sont échouer à leur gré ; & par conséquent dégoûtent les
auteurs
, réfroidissent & enchaînent le génie . La mo
n camp qui disent, nous sommes l’armée entiere. Sur la fin pourtant l’
auteur
se rétracte, & combat cette idée extravagante
qui menace les Comédiens François. L’empire qu’ils ont usurpé sur les
auteurs
dramatiques, le despotisme avec lequel ils l’exer
odestie des Lucreces !] l’ont encore refusée, malgré l’approbation. L’
auteur
, qui a consulté des Avocats, a pris la voie légal
é la piece très-décente, & l’a approuvée. Je doute pourtant que l’
auteur
gagne son procès, qu’aucun Juge puisse ni veuille
cer leur propre condamnation : & quand même on les y forceroit, l’
auteur
en seroit très-mal jouée. M. Palissot, homme cour
clésiastique, & par une suite inévitable, contre l’intention de l’
auteur
, la Religion même ? Tout autre qu’un Abbé auroit
ller au Spectacle occasionne tout le dénouement. Le grand mérite d’un
auteur
nouveau, c’est qu’il sait tout gazer si délicate
clarés, & leur doctrine y est dominante. La premiere piece de cet
auteur
fit dans leur cœur une plaie profonde qui saigne
ouvrages qu’on a donné au public, forment un contraste singulier. Cet
auteur
se donna toute sa vie pour l’un des plus rigides
primées dans le Recueil de ses Œuvres dévotes. Elles prouvent que cet
auteur
non-conformiste croyoit pouvoir allier la science
tisannes n’ont jamais pardonné à M. Palissot, peintre trop sincere. L’
auteur
italien dit dans sa préface : Ma piece a été abh
médiens, inconnues jusqu’ici, deviennent à la mode. Le sieur Mercier,
auteur
médiocre de la tragédie d’Olinde & de Sophron
rité de dire, Nosseigneurs les Comédiens doivent être subordonnés à l’
Auteur
: ils tyrannisent jusqu’à nos plaisirs. La plupar
amp;c. Que deviennent les apologies du Théatre ? Voilà un amateur, un
auteur
, un législateur, qui pense, qui parle comme les C
-habiles pour leurs intérêts. Par le règlement de 1757, la part de l’
Auteur
est prise sur la recette nette, après avoir préle
qui rétrecit le parterre & le théatre, & gêne le public. Les
auteurs
ont dit, les abonnemens de ces petites loges vont
t parle le réglement. Bien plus, par un autre article du réglement, l’
auteur
n’en a aucune, quand deux fois de suite la recett
fort ordinaire par le petit nombre de places libres, & prive les
auteurs
de leurs droits : enfin le tribunal est plein d’a
d’opiner, le jugement des pieces, la liberté d’entacher, flétrir les
auteurs
, de refuser leurs ouvrages, de leur fermer la car
lerie, & Dieu sait de quel air des rimeurs en courroux, & des
auteurs
blessés s’en vont fondre sur vous, traiter en vos
ce à son gré au bas de la roue, ou au plus haut degré ! Cependant cet
auteur
si rigide veut conserver à l’Opéra deux choses tr
même aventure encore plus intéressante est arrivée au sieur Beaussol,
auteur
de la tragédie des Arsacides. Il y a trente ans q
approuvée & reçue : mais, je ne sai par quel caprice (peut-être l’
auteur
n’avoit pas payé son début) on ne voulut pas la r
reçue, & de la jouer mal, quand l’autorité la leur faire jouer. L’
auteur
étoit en droit de porter ses plaintes ; mais il s
ens. Il s’est élevé un Tribunal qui s’arroge le droit de juger les
Auteurs
& leurs Ouvrages, qui ouvre & ferme à son
’est la Troupe de Comédiens Français ; établie pour être l’organe des
Auteurs
, elle est parvenue à s’en rendre l’arbitre. Dans
ument perdu de vue, & ce qu’ils sont, & ce qu’ils doivent aux
Auteurs
; ils ont oublié que, formés par leur esprit, enr
tion, elle fut enfin lue, jugée & reçue le 8 Août 1773. Lorsqu’un
Auteur
a une piece reçue, il a le droit d’exiger la lect
sur un usage très-ancien, & sur l’intérêt respectif du public des
auteurs
& des Comédiens : le sieur Mercier s’empressa
injurieux, & que la Comédie ne peut avoir rien de commun avec un
Auteur
qui a cherché à la couvrir de ridicule & d’in
elle avoit la foiblesse de joindre jamais ses intérêts à ceux de cet
Auteur
; & qu’enfin elle ne peut se charger d’aucun
n, elle lui forme pour jamais la carriere du Théatre, elle le déclare
auteur
d’un libelle, & une pareille imputation ne pe
de cette espece ; il aimeroit mille fois mieux en être l’objet que l’
auteur
. Il se peut faire que le sieur Mercier ait jetté
x Comédiens : mais il n’a fait en cela qu’user d’un privilege que les
Auteur
partagent avec le Public ; & la seule vengean
xiger ? Existe-t-il quelques réglemens qui déterminent les droits des
Auteurs
dramatique. Le Conseil soussigné, qui a pris lect
à consulter. Voici l’exposé de ceux qui peuvent y être relatifs. L’
Auteur
distribuera les rôles de sa piece comme il le jug
mps convenus & de remplir exactement les engagemens pris avec les
Auteurs
, sous peine de 300 liv. d’amande , art. 55. La p
ec les Auteurs, sous peine de 300 liv. d’amande , art. 55. La part d’
Auteur
sera d’un neuvieme pour les pieces en cinq actes,
ces en trois actes, d’un dix-huitieme pour celles en un , art. 56. L’
Auteur
conservera ses droits sur sa piece, jusqu’à ce qu
uvent se dispenser de jouer les pieces qu’ils ont reçues : 2° Que les
Auteurs
ont sur leurs piece un droit pécuniaire & uti
arriere du Théatre. La Comédie ne peut avoir rien de commun avec cet
Auteur
… Elle ne peut se charger d’aucun de ses ouvrages,
ectables. Ajoutons que c’est attenter à ceux du Public, seul juge des
Auteurs
, comme il est le seul objet de leurs travaux. Dan
matique, est un libelle ; elle prononce que le sieur Mercier en est l’
Auteur
, quoique cet ouvrage ne porte pas son nom ; &
ter au mérite de leurs ouvrages l’illusion brillante de la Scène, les
Auteurs
dramatiques ont acheté les complaisances des Comé
er le plan qu’il devoit suivre pour traduire devant les Magistrats le
auteurs
de cet absurde anathême. La cause du sieur Paliss
pas moins digne de l’attention des Tribunaux. Le samedi 11 mars, cet
Auteur
a lu à l’assemblée des Comédiens une piece nouvel
le, par son extrême indécence, avec la dignité du Théatre Français. L’
Auteur
a cru que, pour lever les scrupules des dissidens
es d’intrigue, en un mot que des courtisannes & des fripons ? Cet
Auteur
ne paroît pas même s’être occupé de corriger ou d
xpérience comme une autorité. L’un de ces avis (& j’en remercie l’
Auteur
) me fait un reproche d’avoir mis dans ma piece tr
e second avis, des ressemblances avec Nanine & l’Ecole du Sage. L’
Auteur
de cet avis me permettra de lui dire, que je conn
sonnage à rouer, il est claïr que le Tartuffe auroit la préférence. L’
Auteur
de cet avis, dans son zele outré & peu raison
, la plus recommandable de toutes peut-être, forme du vivant de leurs
Auteurs
le patrimoine le plus naturel dont ils puissent j
s les autres le privilége singulier de devenir à la mort de ces mêmes
Auteurs
une propriété publique, & pour ainsi dire un
Palissot, prouveroit invinciblement la nécessité de les réformer. Cet
Auteur
devoit-il s’attendre en effet que dans une piece
e que la Comédie n’a pas voulu qu’on la jouât, faudra-t-il donc que l’
Auteur
soit privé du fruit de son travail ? Faudra-t-il
estement écartés. Par l’art. II. de ces Réglemens, il est dit que les
Auteur
auront l’attention de se munir de l’Approbation d
Théologien, illustre par sa qualité et par son mérite, consulté par l’
Auteur
, pour savoir si la Comédie peut être permise, ou
urs plaintes à l’Official. Quoique la Lettre fut anonyme, le nom de l’
Auteur
des Pièces de Théâtre, fit jeter les yeux sur les
le fait, et obligea ce Religieux qui n’en était pas pourtant l’unique
Auteur
, à la désavouer ; ce qu’il fit avec toute la sinc
Pièce, quoiqu’elle fournisse de grandes preuves de l’ignorance de son
Auteur
; et il parle avec mépris des réponses à cette Le
age du P. le Brun fut très court, il fut bien reçu du Public ; mais l’
Auteur
peu content de cette ébauche, pensa dès lors à le
ser pour entièrement nouveaux, par les augmentations considérables, l’
Auteur
ayant recueilli avec soin, ce qu’il a trouvé sur
Académie Française. J’ajouterai que j’ai inséré quelques faits, que l’
Auteur
aurait lui-même cité, s’ils s’étaient offerts à s
juger du mérite de cet ouvrage, il faut saisir le but principal de l’
Auteur
, qui est de justifier la pratique de l’Eglise, en
on ose espérer qu’on ne le trouvera pas indigne de la réputation de l’
Auteur
; on n’a encore donné aucun ouvrage en notre lang
s et embarrassé les Savants. Outre des augmentations considérables, l’
Auteur
a refondu entièrement son ouvrage, et l’a rendu p
ù le jeu de l’Acteur masque leurs fautes ou leur incapacité. Les bons
Auteurs
font les bons Comediens, & ceux-ci ne font qu
s bons Auteurs font les bons Comediens, & ceux-ci ne font que des
Auteurs
médiocres. Du tems des Moliere, des Corneille, de
Racine, le Théatre étoit rempli des meilleurs sujets. Aujourd’hui les
Auteurs
sont médiocres, je parle de ceux qui le sont en e
a durée de la pièce puisque c’est cette durée qui fait la fortune des
Auteurs
. Or quelle sera celle d’un Drame fait pour un Act
circonstances étrangéres doivent ou ne doivent pas avoir avec lui. L’
Auteur
du Fils Naturel, nous objectera-t-on, dit : « Qu’
pour la société dans laquelle on l’a introduit. » Sur ce principe, l’
Auteur
doit, avant d’écrire, consulter la maniere de son
mier doit correspondre aux accens que l’autre peut employer. Ainsi un
Auteur
Dramatique est dans une nécessité absolue d’avoir
unité d’accens : ou pour simplifier cette idée, que l’expression de l’
Auteur
doit s’accorder avec celle de l’Acteur, & pro
mineux & harmonique en constitue la beauté. C’est là la tâche des
Auteurs
. Telle est donc l’expression en eux. Celle du Com
tiere dépendance de celle-ci à celle-là. Il me semble que l’idée de l’
Auteur
auroit été plus juste, s’il avoit dit que l’unité
l’unité d’accens, doit correspondre à l’unité de discours. Les jeunes
Auteurs
tremblent, en face des Comédiens ; & les plus
opre aveuglé par ce choix dans celui-ci, le gonfle d’orgueil, & l’
Auteur
est le premier à en ressentir les effets. Qu’on n
peuvent être utiles, ni au Théatre, ni au public, ni à eux-mêmes. Un
Auteur
qui a mis tous ses soins à faire un bon Poëme, pe
e décadence, qui sont dans le Théatre, dans les Poëmes & dans les
Auteurs
. Nous allons dans la seconde, traiter de celles q
me la cause des usurpations qu’ils ont faites sur le Théâtre, sur les
Auteurs
& sur le public. Pour les colorer, on s’est a
il y apportoit. Ce ne fut que leur bien qui leur servit de regle. Les
Auteurs
qui étoient les arcs-boutants du Théâtre, en devi
e maison, y ordonnassent à leur gré, tout ce qui y avoit rapport. Les
auteurs
qui font valoir ce domaine, accablés sous l’idée
ale raison qui a élevé les Comédiens sur les débris de la fortune des
Auteurs
, qui, dans le droit, sont les seuls créateurs des
ne seroit qu’un être de raison sans Poëmes, & par conséquent sans
Auteurs
. On nous dira peut-être, qu’il est possible que l
l est possible que le Comédien compose les piéces qu’il joue, comme l’
Auteur
peut jouer celles qu’il a composées ; & qu’il
a composées ; & qu’il y en a aussi des exemples. Il n’y a guère d’
Auteurs
qui ne puissent représenter dans leurs ouvrages.
ont laissé imposer par la prévention. Il y a encore, à la vérité, des
Auteurs
qui lisent mal, mais il déclament bien ; & j’
rançoise, si on ne remet pas le Comédien à sa propre place, & les
Auteurs
& le public dans leurs droits.
n. Les Philosophes & les Théologiens du Paganisme, dit un célèbre
Auteur
(b), voyant la passion que les Peuples avoient pou
appas du plaisir. Voilà la premiere origine des Théâtres. Suivons cet
Auteur
: Le Spectacle, il entend sur-tout la Tragédie, e
éâtre ; ils reconnoissoient sa puissante influence sur les mœurs. Nos
Auteurs
sans doute se font gloire de suivre les regles pr
c ; or s’ils les suivent, la vertu doit reprendre tous ses droits. Un
Auteur
estimable l’a montré dans un Ouvrage composé à ce
l participe à la politique & au gouvernement de l’Etat. Aussi cet
Auteur
prédisoit-il dès-lors la chûte des mœurs, en voya
chers escarpés, déchiré par le vautour. Craignez lorsque le dangereux
Auteur
de Phedre, d’Andromaque, de Titus, vous montre l’
la Comédie, parce qu’il me semble que le goût de la Nation & des
Auteurs
est tourné presque totalement au Tragique. J’auro
rès-chastes. Nous sommes même forcés de dire contre le sentiment d’un
Auteur
très-vertueux*, que les Comédies appellées Atella
t pas du même caractere que le nôtre. Cette matiere a fort occupé les
Auteurs
de la fin du dernier siecle & ceux du commenc
ns & leurs disputes. On a fait un volume du seul Catalogue de ces
Auteurs
*****. La plupart ont considéré le Théâtre dans so
qu’on croit faussement n’être pas amolli par les Spectacles ; que les
Auteurs
tendent des piéges à la candeur ; enfin que l’esp
tion sacrée & profane, & les mêmes raisonnements que dans les
Auteurs
précédents. Je ne puis mieux terminer ces observa
Il parut dans le Mercure d’Avril 1726 un Mémoire sur le même Sujet. L’
Auteur
s’y montre très-bon patriote, & fait voir com
différens Théâtres de la Capitale dans ces dernieres années, que des
Auteurs
amis de la vertu veuillent annoblir la Scene, fai
Liv. to. 2. p. 80. note 14. a. Nous venons de rappeller le nom d’un
Auteur
respectable, M. Riccoboni ; on doit le consulter
est difficile en le lisant, de ne point s’intéresser aux vertus de l’
Auteur
& à l’Ouvrage. Dans une nouvelle édition, Par
ois pour la frivolité, vient bien moins d’eux que de l’imprudence des
Auteurs
qui se sont attachés à flatter cette inclination,
. La preuve en est que plusieurs bonnes Comédies, dans lesquelles les
Auteurs
ont mis plus de choses que de mots, c’est-à-dire,
ies bouffonnes. Ce premier obstacle cessera donc d’en être un, si les
Auteurs
ne s’obstinent plus à croire qu’on ne peut attire
ttes qu’à des hommes. Deuxieme Obstacle. Fausse idée où sont nos
Auteurs
comiques, que les caracteres propres à la Comédie
mi nous à la perfection de la Comédie, vient de l’opinion où sont nos
Auteurs
, que les caracteres propres à la Comédie sont épu
ler sur des sujets qui ont été traités. Quant à l’opinion où sont nos
Auteurs
, que la Comédie ne trouve plus de caracteres sur
rticuliers, elle n’auroit pas perdu son temps. J’ai dit aussi que nos
Auteurs
comiques regardoient comme une espece de honte de
l’invention, & on seroit fâché de penser comme tout le monde. Un
Auteur
met son esprit à la toiture, & presse son ima
a pu l’être de même par des milliers d’hommes : cette obstination des
Auteurs
à ne vouloir marcher sur les traces de personne,
rincipaux sujets propres à la Comédie ayent été traités, & si nos
Auteurs
se font un scrupule d’y travailler de nouveau, il
e dont il est surprenant qu’on ne soit pas encore revenu ! Si donc un
Auteur
comique formant le louable dessein d’abolir parmi
l personnage se retirât avec l’estime des Spectateurs. Quoi donc ! un
Auteur
s’interdira-t-il le droit de traiter une matiere
être assez général aujourd’hui, ne fût un de ceux contre lesquels un
Auteur
comique échoueroit, parce qu’il se trouve trop de
ge de ceux qui crurent se reconnoître dans le portrait que ce célebre
Auteur
avoit tracé de l’hypocrisie. Quatrieme Obstac
, je vous dirai mon sentiment en peu de paroles, pour ne pas imiter l’
auteur
de ces remarques, qui les a remplies de beaucoup
tes spécieux pour tâcher de l’affaiblir, voyons de quoi s’est servi l’
auteur
de ces Observations. Je ne doute point que vous n
e mon sentiment, ce que je ne ferais toutefois pas sans scrupule si l’
auteur
de ces Observations avait parlé avec moins de pas
Mais vous connaîtrez d’abord que la charité ne fait point parler cet
auteur
et qu’il n’a point dessein de servir Molière, enc
ent que l’on tâche à les lui faire connaître. La première chose où l’
auteur
de ces Observations fait connaître sa passion est
es raisons convaincantes, qu’il ne l’est pas. Je ne connais point cet
auteur
, mais il faut avouer qu’il aime bien la farce, pu
t pas suffisante pour prouver, comme il le prétend, qu’il est méchant
auteur
. Toutes ces choses n’ont aucun rapport avec les a
int avoir de démêlé avec la religion, et la charité qui fait parler l’
auteur
des Observations n’exigeait point de lui cette sa
en au sujet. J'en demeure d’accord avec vous, mais je n’en suis pas l’
auteur
, et si celui de ces remarques est sorti de sa mat
se serait pas encore soulevé contre cette pièce, si le mérite de son
auteur
ne lui eût suscité des envieux. Je vous laisse à
on et faire convertir les libertins. « Où en serions-nous, continue l’
auteur
de ces remarques g, si Molière voulait faire des
r tout l’esprit, que l’on ne reconnaisse en même temps la malice de l’
auteur
. Son adresse n’est pas moindre à faire le dénombr
pas deux mots de suite, il ne veut pas que l’on lui en parle, et si l’
auteur
lui a fait dire que « deux et deux sont quatre et
parler. Cependant, comme il ne pouvait rien dire qui ne fût blâmé, l’
auteur
du Festin de Pierre, par un trait de prudence adm
evait pour le moins, continue ce dévot à contretemps, en parlant de l’
auteur
du Festin de Pierre j , susciter quelque acteur p
ossible que cela ait pu entrer dans la pensée d’un homme d’esprit ! L'
auteur
de cette comédie n’eût eu pour se perdre qu’à sui
nonymement, il ne porte pas non plus d’achevé d’imprimer. b. [NDE] L’
auteur
reprend les termes de l’auteur des Observations.
plus d’achevé d’imprimer. b. [NDE] L’auteur reprend les termes de l’
auteur
des Observations. c. [NDE] Pour parler des hypoc
de l’auteur des Observations. c. [NDE] Pour parler des hypocrites, l’
auteur
utilise « tartufles », ici corrigé en « tartufe »
tre Français. Au commencement de 1775, un Homme de Lettres estimable,
Auteur
du Roi & du Ministre, ou Henri IV. & Sull
e, seul moyen de faire éclore les talens du Théâtre, d’encourager les
Auteurs
, & de rendre les Comédiens à la modestie de l
vingt-quatre ; ils doivent même cette déférence, cette soumission aux
Auteurs
qui les font vivre, & au Public qui les soudo
ns mots, les vaudevilles, & pour dernier trait enfin, la mort des
Auteurs
. Ce que j’avance là malheureusement est un fait.
ombre en descendant aux Champs Élisées pourra apprendre à l’illustre
Auteur
de Caliste & d’Astarbé, que sa Comédie se jou
ge de Rouen, Tragédie en cinq Actes, en vers. A ce sujet le judicieux
Auteur
du Journal de Politique & de Littérature, fit
omédiens de la Capitale les forceroit bientôt à solliciter auprès des
Auteurs
, la permission de jouer les Piéces jugées vraimen
je ne puis souffrir qu’ils soient les juges, ou plutôt les tyrans des
Auteurs
. Je n’ai rien eu à démêler avec eux, Dieu-merci ;
tes pour être lues ; Samedi dernier le tripot Comique en a lû une ; l’
Auteur
attendoit depuis trois mois. Ce nombre & ce t
ne pas dire indécent, de voir les Histrions juges des Piéces que les
Auteurs
leur présentent. En effet, ce sont des gens, la p
e l’amour du bien public, l’avantage des Lettres, & la gloire des
Auteurs
m’ont suggérée, & que je hasarde. Ce n’est po
ame, pour savoir s’il est digne d’être lû à l’assemblée générale, cet
Auteur
profond dit : « C’est dans ses mains, que votre s
9. « Pour corriger cet abus, ne seroit-il pas possible que, parmi les
Auteurs
les plus estimés, on en choisît quelques-uns conn
se, belle édition avec gravures, 1769. « La lice Dramatique, dit cet
Auteur
, est fermée tant par le nombre des athletes qui s
pû avoir ces viles complaisances, ces basses flatteries que certains
Auteurs
semblent avoir pour ces Messieurs & ces Dames
dégré ? Enfin le Fagotier ou le Médecin malgré lui, annonçoient-ils l’
Auteur
du Misanthrope & du Tartuffe ? Revenons à not
L es beautés d’un Poëme brillent d’un feu qui passe de l’Ouvrage à l’
Auteur
, comme il est passé de l’Auteur à l’Ouvrage. Les
t d’un feu qui passe de l’Ouvrage à l’Auteur, comme il est passé de l’
Auteur
à l’Ouvrage. Les mouvemens sont le fruit de ce be
mes qui petillent dans l’ouvrage. L’art de bien rendre les idées d’un
Auteur
, est donc l’effet de ce beau feu, ou tout au plus
lée en eux au raisonnement. Je sçais que la Comédie à produit de bons
Auteurs
. Mais s’ils étoient Comédiens avec de l’esprit, i
ette partie essentielle de l’Art oratoire, donne au discours , dit l’
Auteur
du Fils Naturel, tout ce qu’il a d’énergie . Elle
Fils Naturel, tout ce qu’il a d’énergie . Elle sert non-seulement à l’
Auteur
, mais encore au Lecteur, à l’un, à juger de l’eff
ecteur déclame en lisant, où il n’entend pas plus ce qu’il lit, que l’
Auteur
ne l’entendroit s’il ne se débitoit à soi-même so
née. Il n’est pas indifférent que l’art de déclamer soit exercé par d’
Auteur
ou par le Comédien. L’un est le pere, le maître a
le même effet que le masque au visage. Il faudroit donc que tous les
Auteurs
se fissent Comédiens ? Oui ; pour relever l’art d
qu’il ne connoissoit point ? Il en est donc & n’en est donc pas l’
Auteur
tout ensemble ? Quand Corneille a mis son qu’il
t-ils le moins, tout ce que leur sujet inspire ? Je sçai que les bons
Auteurs
travaillent par saillies, & d’aprés un sentim
ait tant d’extravagances quand il les entendoit mal chanter ? Le même
Auteur
dit encore : « La voix, le ton, le geste, l’actio
e de son original. Toute son action sort du fond de la piece, c’est l’
Auteur
qui la lui prète. C’est lui qui veut qu’il soit t
es idées. C’est sans doute par un effet du même enthousiasme, que cet
Auteur
« dit encore, que, maître de son sort, il se fero
ëme qu’une action passée, qu’il tire de l’Histoire, ou même d’anciens
auteurs
qui l’ont traitée avant lui. Donc l’Acteur ne fai
e soient l’ouvrage d’un jour. A l’égard des sujets pris dans d’autres
Auteurs
, on convient qu’il y a moins de mérite à y réussi
eut dire que c’est un ouvrage nouveau : Et il en est ainsi des autres
Auteurs
. Plus ils ont eu soin de donner un air de nouveau
es bouffones, pour attirer un plus grand nombre d’acheteurs. Quelques
Auteurs
célèbres, & plusieurs personnes pleines d’esp
fecter dans ces Parades, l’invention y décèle souvent les talens de l’
Auteur
; une fine plaisanterie se fait sentir au milieu
les Latins nous ont laissé des modèles, & dans tous les âges, les
Auteurs
ont eu la Nature sous les yeux : par quelle espèc
es peintures plus vraies, plus d’imagination & de gaîté. Quelques
Auteurs
attribuent cette Pièce à Jean de Meun, mais Jean
la Scène, avec des traits extérieurs qui pouvaient le caractériser. L’
Auteur
de la Pièce, pour achever de l’avilir, osa lui pr
demanda la grâce du coupable. La Pièce rentra dans le néant avec son
Auteur
; mais la justice du premier & la générosité
Philosophe passeront à la postérité. Rien ne corrige les méchans : l’
Auteur
de cette Parade (Paliss… de M…) en a fait une sec
t toujours de près les traits odieux lancés par l’envie. *. C’est l’
Auteur
du Roman de la Rose, continué froidement par Jean
danush, Durandusi, Silvesterj, qui ont tous censuré les Comédies. Des
Auteurs
Thomistes, il passe aux Jésuites, et il cite Sanc
ien, des Dialogues de saint Grégoire le grand, et de plusieurs autres
Auteurs
. Nous en dirons quelque chose dans le Chapitre 3.
naco, est employée à examiner trois propositions. Dans la première, l’
Auteur
examine si les Comédies de ce siècle peuvent pass
ent mortellement en jouant la Comédie. Del Monaco assure que tous les
Auteurs
qu’il a lus sur ce sujet sont du sentiment qu’il
é mortel considérable et scandaleux. La troisième proposition que cet
Auteur
s’applique à bien examiner, est conçue en ces ter
robateur, protecteur de cette action criminelle sans être complice. L’
Auteur
se sert de la raison des excommunications fulminé
t Augustin ; c’est une espèce d’idolâtrie selon saint Jérôme. Aussi l’
Auteur
rapporte un endroit de Lampridius, qui loue l’Emp
que les Prédicateurs prêchent, que les Confesseurs disent, et que les
Auteurs
écrivent contre les passions, quoiqu’ils connaiss
tiennes qu’il a découvertes dans les bonnes sources, par l’organe des
Auteurs
et des passages pleins d’érudition. Il fait parle
ie ; du troisième Volume des Essais de Morale. A Paris, en 1659. L’
Auteur
des Essais de Morale se plaint d’abord de la corr
er lâche, Je l’aime d’autant plus, que plus elle te fâche. » Enfin l’
Auteur
dit qu’on trouve dans presque toutes les Comédies
ani (1381-1456), dominicain et premier Patriarche de Venise. Il est l’
auteur
de Lo sposalizio dell’anima. f. [NDE] Thomas de
ogien allemand. o. [NDE] Alexandre de Halès (1185-1245) franciscain,
auteur
du Glossa in Quatuor Libros sententiarum Petri Lo
Carletti, connu sous le nom de Angelus de Clavasio (1411-1495) est l’
auteur
du Summa angelica de casibus conscientiae. q. [N
Chanoines Réguliers de saint-Victor de Paris de 1162 à 1173. Il est l’
auteur
de De Trinitate et des Douze Patriarches, Beniami
ano Menochio (1575-1655) est un prêtre et théologien jésuite italien,
auteur
de nombreux ouvrages. v. [NDE] Giovanni Domenico
ol., Florence, 1655. x. [NDE] Nicolo Barbieri (1576-1641), acteur et
auteur
dramatique italien, créateur de personnages de la
] Pier Maria Cecchini (1563-1645), acteur de la Commedia dell’arte et
auteur
de deux pièces de théâtre et de nombreux autres é
1576 ou 1579-1654), acteur de la Commedia dell’Arte, est également un
auteur
dramatique prolifique. Son œuvre comporte aussi d
passions, que le fond même de ces passions. Voyons maintenant si nos
Auteurs
se sont attachés plutôt à peindre la maniere d’êt
lats de rire dans l’assemblée, & fit cesser la représentation. Un
Auteur
a fait un ouvrage qui lui mérite d’abord une appr
ui a du crédit dans la République des lettres, de tourner le nom de l’
Auteur
en ridicule, & voilà l’Auteur & son ouvra
des lettres, de tourner le nom de l’Auteur en ridicule, & voilà l’
Auteur
& son ouvrage devenus l’objet du mépris unive
urs : ils se sont conformés au goût national, suivant l’usage de tout
Auteur
qui n’écrit pas pour instruire, mais pour se fair
os peres ? je ne le pense pas. Il n’est donc point surprenant que nos
Auteurs
qui ont toujours cru que le ridicule étoit le dom
borieux qu’ils soient. Il faut voir maintenant si les ouvrages de nos
Auteurs
comiques se ressentent de ce faux raisonnement, &
l’examen de cette importante question, faire passer en revue tous les
Auteurs
qui ont travaillé dans le genre comique ; mais j’
prendre que Moliere pour exemple. Car outre que l’examen de tous les
Auteurs
comiques me jetteroit dans une discussion qui n’a
apport à Moliere, le fera à plus forte raison, par rapport aux autres
Auteurs
comiques qui l’ont tous pris pour leur modele. Il
minant de la piece. J’avois dessein d’examiner encore quelques autres
Auteurs
comiques ; mais je pense que l’examen du Tartuffe
st susceptible. Je puis donc conclure d’après ces réflexions, que nos
Auteurs
comiques en général se sont plutôt attachés à pla
Comédie. S’il étoit de mon sujet, je prouverois que non-seulement nos
Auteurs
comiques n’ont point atteint le but que se propos
la nature & l’essence de la Comédie. J’ai examiné ensuite si nos
Auteurs
comiques avoient travaillé suivant le but de la C
CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. Les
Auteurs
& les Acteurs, ont à subir les Arrêts d’un Tr
e théatre. L’Acteur par son jeu bon ou mauvais contribue autant que l’
Auteur
au succès ou à la chute ; l’impression qui met la
que de risible, qu’on peut appeller la Parodie du Palais, quoique les
auteurs
qui y vont humblement plaider leur cause ne le re
’est l’empire souverain qu’on a laissé prendre aux comédiens, sur les
auteurs
& sur les piéces. C’étoient à Athènes & à
ers, de donner des leçons à l’Ingénieur & à l’Architecte. Mais un
Auteur
amoureux d’une actrice, ne trouve de beau que ce
s ou actrices qui connoissent leur ascendant & les foiblesses des
auteurs
, en ont profité pour établir leur souveraineté th
eur prix. Que sera-ce si l’actrice menace de refuser ses faveurs ? Un
auteur
à genoux, que ne fera-t-il pas ? Quelle docilité
sa servante. Il est quelquefois des gens d’esprit dans la troupe. Un
Auteur
fait fort bien de lire sa piéce à quelque Lecteur
iere d’une jolie piéce. L’Aréopage du théâtre, ou les courbettes de l’
Auteur
, la morgue des Magistrats, la bizarrerie des déci
n, celui-ci par des sarcasmes, un autre avec des injures, accablent l’
auteur
tremblant & à demi mort, attend comme un crim
eulement unie au progrès de l’art, en avilissant, en décourageant les
auteurs
, les forçant à se conformer, non aux régles du bo
u’autant qu’elle est licentieuse & pleine de galanterie, & un
auteur
ne peut leur être agréable qu’en devenant liberti
palais, & fut reçue avec transport. Ce n’est pas tout-à-fait aux
auteurs
qu’il faut s’en prendre, si l’amour doit jouer le
espérer ce prodige ! Il faut encore pour réussir que la personne de l’
auteur
soit plus libertine que sa piéce. Se familiariser
protecteur, l’arbitre de tout ce qui appartient au théâtre. Ainsi un
auteur
, s’il veut faire jouer ses piéces, doit commencer
le glaive qui perceroit le sein. Mais, dit-on, c’est l’avantage des
auteurs
. Les comédiens sont des gens à talens, gens d’esp
y représente me fait verser des larmes. Je soupire après le fort des
Auteurs
qui s’y font connaître, mon cœur palpite, & j
a écrit de mieux sur les règles Dramatiques. Lisez attentivement les
Auteurs
qui ont parlé avec succès de ce qu’il faut observ
t votre étude unique. Les Poètes de l’Opéra-Bouffon comparés aux
Auteurs
naturalistes. L’estimable Auteur du Spectacle
de l’Opéra-Bouffon comparés aux Auteurs naturalistes. L’estimable
Auteur
du Spectacle de la Nature nous en a découvert les
uvrages, ce qui le fit, dit-on, mourir de chagrin. Diodore de Sicile,
Auteur
d’une sçavante Histoire du monde, qui malheureuse
ovince en Province, ou de s’éloigner des environs de la Capitale. Les
Auteurs
de notre Spectacle, Copistes fidèles des Écrivain
autres personnages qu’ils introduisent sur la Scène ? En quoi les
Auteurs
de l’Opéra-Bouffon diffèrent des Poètes ordinaire
e faire connaissance avec les Héros qu’il prétend faire revivre : Les
Auteurs
de notre Opéra doivent à son imitation, chercher
faut épier, pour ainsi dire leurs passions & leurs mœurs. Si nos
Auteurs
refusent de me croire, ils se rendront indignes d
ne Bouquetière, un Batélier, & d’autres gens de cette espèce. Les
Auteurs
de l’Encyclopédie, de cet énorme colosse que le t
ropose sont trop illustres pour n’être pas suivis par la pluspart des
Auteurs
de l’Opéra-Bouffon. Ils ne peuvent absolument se
soutient qu’ils ont raison tous les trois. Il s’en suit delà que les
Auteurs
des nouveaux Poèmes ne se contenteront pas, s’ils
précieuse Liqueur de la vigne, sans l’altérer par aucun mêlange. Les
Auteurs
de notre Spectacle imiteraient alors bien plus au
pour les buveurs d’eau, & la Poèsie pour les Ivrognes12. » Si les
Auteurs
de Poètique n’ont pas insérés dans leurs Ouvrages
es qu’on joue aujourd’hui sont mal écrites, mais ceux qui en sont les
Auteurs
prennent des licences singulieres dans leur versi
sion lui découvre son erreur, il n’a plus qu’un profond mépris pour l’
Auteur
, qui ne doit sa gloire momentanée qu’à l’illusion
er37. » En faut-il davantage ? N’est-il pas prouvé maintenant que les
Auteurs
de notre Opéra, font bien de ne point se donner l
ont le sentiment, tel qu’il soit, sera toujours d’un grand poids. Cet
Auteur
montre bien le ridicule du stile recherché, &
Acteurs fort embarrassés sur le choix d’un pronom dans cet endroit. L’
Auteur
fait un tel mêlange de la comparaison & du Su
suadé que l’Ariette ne contient qu’une comparaison ; c’est comme si l’
Auteur
avait dit, une Fille ressemble à un oiseau qui pa
& ne le peut pas ! quel grimoire est cela ! se douterait-on que l’
Auteur
veuille éxprimer tout simplement ; je suis incert
amais je n’aurai d’autre envie Que de veiller sur la belle Sophie. L’
Auteur
veut peut-être marquer par-là, que ce personnage
ise : « Doute cruel… quoi, douter ?… Je n’ai plus de doute40. » Que l’
Auteur
n’ajoutait-il ; Oui, sans doute, & je me dout
ne Partie du Public tombent presque toutes sur les ouvrages d’un seul
Auteur
. C’est que le genre que cet Auteur embrasse lui f
toutes sur les ouvrages d’un seul Auteur. C’est que le genre que cet
Auteur
embrasse lui fait faire souvent des faux pas. A f
ns, la langue au lieu de se soutenir dans la perfection où nos grands
Auteurs
l’ont portée, retombera dans la Barbarie où elle
ée, retombera dans la Barbarie où elle était sous François I. Que les
Auteurs
du nouveau Théâtre sentent combien on leur sera r
Concerts, & de nos Spectacles. Que l’éxemple des plus grands
Auteurs
éxcuse un peu les Poètes du nouveau Théâtre.
ressions populaires, & quelquefois obscures. Mais les plus grands
Auteurs
ne se sont-ils pas permis des négligences pareill
pectacle ; je vais prendre aussi mes remarques dans les plus célèbres
Auteurs
. On verra si les Poètes du Théâtre Moderne sont l
Négligences de stile dans Racine. On convient que Racine est l’
auteur
le plus élégant que nous ayons en France. Il règn
a-Bouffon d’avoir un stile unique, à force d’être mauvais. Estimables
Auteurs
de ses Drames charmans, consollez vous. Mais rele
i lance, à cause des fautes dont ses Poèmes sont semés. Cet éxcellent
Auteur
ne nous fait pas aller bien loin pour nous montre
eau Spectacle d’employer des expressions faibles & basses, qu’aux
Auteurs
célèbres que je leur compare. Les prémïers travai
. Fermez les yeux sur les libertés qu’ont prises, ou que prennent des
Auteurs
célèbres. 35. Je demande, par éxemple, si lui
uelques jeunes Ecoliers ? 36. Voyez encore les sentimens de quelques
Auteurs
, sur le même sujet, au Chap. I. du Liv. 2. de cet
au commencement du Volume de Pièces de Théâtre du Sieur Boursault. L’
Auteur
y feint avoir été consulté, si la Comédie pouvait
l’a pu voir par les passages des Saints Pères que j’ai rapportés. Cet
Auteur
a presque copié la Dissertation de la condamnatio
laient à la Comédie, sans faire attention à toutes les choses que ces
Auteurs
ont remarquées. SECTION SECONDE. Réponse à la
ette Réponse est le premier Ouvrage qui a paru contre cette Lettre. L’
Auteur
y parle en Philosophe moral, qui s’applique parti
nt Charles Borromée avait fait composer un Livre contre la Comédie. L’
Auteur
répond aussi à la tolérance des Magistrats, qui s
Grange Docteur en Théologie, Chanoine Régulier de saint Victor, est l’
Auteur
de cette Réfutation. Il congratule le Révérend Pè
e, c’est la réponse à la preuve tirée de S. François de Sales ; car l’
Auteur
rapporte le chapitre 33. entier de la troisième P
nt voir par l’Antiquité qu’elle est mauvaise. La deuxième regarde les
Auteurs
, et généralement tous ceux qui y coopèrent ; ils
tendu dans cet Ecrit, est la Réponse aux passages de saint Thomas : l’
Auteur
dit que saint Thomas n’entend par Histriones, que
de ce siècle sur le Théâtre Français. Voici ses preuves en abrégé. L’
Auteur
remarque d’abord que saint Thomas parle seulement
fin qu’on représente malgré la défense et les censures de l’Eglise. L’
Auteur
s’étend fort au long sur tout cela, et il prouve
nseur de la Comédie, quoiqu’il l’ait condamnée si fortement ? Enfin l’
Auteur
de la Réfutation s’applique à prouver que les Com
, rue S. Jacques. 1694. Il y a une Lettre en tête, dans laquelle l’
Auteur
de ces Discours se défend de la faire imprimer, e
it de la Lettre du Théologien partisan de la Comédie, ont déterminé l’
Auteur
à combattre la Comédie. Il remarque l’époque du N
mœurs par les Pièces de Molière, en citant le jugement qu’en a fait l’
Auteur
de la République des Lettres dans son Recueil d’A
darguite. » Eph. 5. 11. A Paris, Chez Couterot, rue S. Jacques. L’
Auteur
de cet Ecrit avertit d’abord qu’il le donne au pu
tez-nous toujours, O jours heureux que l’on vous trouve courts ! » L’
Auteur
passe au renoncement aux plaisirs du siècle fait
apprendre aux Fidèles combien l’Eglise a en horreur ces Théâtres. Cet
Auteur
fait encore le récit du bruit, qu’il y eut à Pari
plupart Professeurs en Théologie, et non suspects de morale outrée. L’
Auteur
fait voir dans les Pièces du Théâtre les plus app
e voir combien les leçons du Théâtre sont funestes aux jeunes gens. L’
Auteur
répond aux autorités et aux raisons du prétendu T
qui s’obstinent sans cesse à décrier leur profession. Il faut que cet
Auteur
ait une mémoire bien ingrate, puisqu’il ne se sou
plus coupables, parce qu’ils ont osé profaner une Histoire sacrée. L’
Auteur
de cette Pièce ne pourra effacer que par les larm
DES DEUXVISIONNAIRESa. a. [NDE] Cette lettre paraît sans mention d’
auteur
, de date ni de lieu mais on sait qu’elle a été pu
à Jean Barbier d’Aucour, intitulée « Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
de Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Res
à l’auteur de Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Response à l’
auteur
de la Lettre contre les Hérésies imaginaires et l
nédite (« Seconde lettre de Monsieur Racine aux deux apologistes de l’
auteur
des Hérésies imaginaires »). Deux éditions ont ét
issement de ce texte : pour le texte, l’édition originale (Lettre à l’
auteur
des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires
ce (in-8° ; Paris, 1825, chez Potey, libraire, rue du Bac, n° 46)r. L’
auteur
de ce livre anonyme, par un reste de pudeur sans
pandre la terreur, et faire trembler l’opposition. Si on en croit à l’
auteur
de cette déclaration de guerre, la liberté de la
es plus efficaces et plus directes. C’est dans cette intention, que l’
auteur
du livre des crimes de la presse, qui ne rêve qu’
tribe amère et virulente contre l’un de nos plus savants députés11. L’
auteur
, vrai Pygmée en logique, ne cesse de déraisonner
s déposer aux pieds d’Euristhée, roi de Mycènest. De même aussi notre
auteur
du livre des crimes de la presse, en vrai Pygmée
d’éloquence et si fort de raisonnement. Toute la dialectique de notre
auteur
Pygmée, est renfermée dans un cercle vicieux, qui
s jésuites professèrent de tout temps et professent encore, et dont l’
auteur
du livre des crimes de la presse s’est rendu l’ap
se déclarent les ennemis si implacables de la liberté de la presse. L’
auteur
fanatique du livre des crimes attribués à la pres
ier et soumettre sa raison aux vérités de la divine révélation. Notre
auteur
, très probablement, ignore ce que c’est qu’une pé
certaine, par une autre chose qui est autant ou plus incertaine. Si l’
auteur
que je réfute, n’était que mauvais logicien, on s
trice des jésuites. Je dois bien m’attendre à essuyer de la part de l’
auteur
du livre des crimes de la presse, un déluge de ca
des preuves les plus évidentes, des crimes de la presse. Suivant cet
auteur
si judicieux, je ne serai à ses yeux, qu’un hypoc
nt, elles sont tirées du livre des crimes de la presse, dans lequel l’
auteur
, en parlant du savant député, s’exprime ainsi qu’
mputations, les aimables épithètes, et les douces calomnies que notre
auteur
atrabilaire, prodigue à un célèbre orateur, à un
ser l’orthodoxie la plus méticuleuse. Mais pourquoi faudrait-il que l’
auteur
du livre des crimes de la presse, que cet écrivai
voit figurer dans cette liste fatale, l’un des meilleurs amis de cet
auteur
forcené, et cet ami, c’est M. l’abbé de La Mennai
ique, et se montrant en même temps12, sans rancune, contre l’immortel
auteur
de la Charte. 11. [NDA] M. Royer-Collard. 12
our tendre et passionné des Amants. CLEARQUE. Je ne crois pas que l’
Auteur
ait jamais eu le dessein de vous faire venir cett
a pensée, je ne blâme point du tout l’amour d’Achille. Je loue même l’
Auteur
d’avoir introduit ce personnage qui est si beau :
qu’on peut faire une belle Tragédie sans amour ; je ne dis pas que l’
Auteur
d’Iphigénie a dû n’en point mettre dans sa Pièce,
sur le nôtre. TIMANTE. Nous allons trop vite, vous parlez déjà des
Auteurs
Grecs, et je n’ai pas commencé à vous proposer me
s louanges et de plaire, s’il n’eût pas fait plus de scrupule que nos
Auteurs
, de faire paraître l’amour sur le Théâtre. CLEAR
des pensées si nobles, j’ai de la peine à comprendre comment un même
Auteur
aurait pu produire des choses d’un caractère si d
’en voir davantage, et tout le monde a droit de se plaindre, quand un
Auteur
ne répond pas à ce qu’on s’était promis de son tr
i Solon fut sur le point de faire défendre à Thespis, un des premiers
Auteurs
de la Tragédie Suidas., de paraître en public, pa
t d’aider à l’embellissement de la pièce. Pour moi, je crois que si l’
Auteur
d’Iphigénie avait voulu nous donner une pièce san
. Vous en avez déjà assez vu pour juger de ce qu’on peut faire. Si l’
Auteur
d’Iphigénie vous avait consulté avant que de trav
de d’Euripide était du même caractère que les autres Tragédies de cet
Auteur
, et c’est sur ces Tragédies que je me fonde pour
Cour, c’est le bon sens. Pour les Dames auxquelles vous pensez qu’un
Auteur
doit plaire pour réussir, comme il y en a de deux
sans blesser la délicatesse de leur vertu. Elles sauront bon gré aux
Auteurs
de leur avoir épargné les scrupules qui naissent
nant de choisir auxquelles vous aimeriez mieux plaire. CLEARQUE. Un
Auteur
qui ne voudrait plaire qu’à ces Dames d’une vertu
urd’hui que des amourettes sur le Théâtre, il ne sera pas permis à un
Auteur
de faire autre chose ? L’usage a-t-il la même for
aux gens du monde, pourvu qu’elles soient conduites par d’excellents
Auteurs
, qui aient assez de génie pour en soutenir toute
re n’aurait jamais parlé, ou qui aurait été Païen du consentement des
Auteurs
. Mais on peut feindre un Héros Chrétien, et le me
eu connu. C’est un défaut dont il est aisé de se corriger, et comme l’
Auteur
de cette Pièce a du génie, on n’aura peut-être ri
st connu, cela prépare mieux les esprits, et je ne voudrais pas qu’un
Auteur
qui n’a point encore travaillé pour le Théâtre co
à imiter sur ces sujets, à moins que de vouloir faire comme quelques
Auteurs
Latins de ces derniers temps, qui croient qu’il l
des mœurs. Vous savez que c’est ainsi qu’en ont usé presque tous les
Auteurs
qui ont fait profession de n’introduire que des S
eul qui peut tracer aux autres le chemin inconnu dont vous parlez ; l’
Auteur
d’Iphigénie pourrait l’entreprendre avec d’autant
avant qu’il prenne une résolution si extraordinaire. CLEARQUE. Ces
Auteurs
qui ont entrepris, à ce qu’on dit, de faire paraî
nie, incomparablement plus belle que celle que nous avons vueao ; ces
Auteurs
, dis-je, seraient gens à profiter de vos avis, ca
avis, car on dit qu’ils ne négligent rien pour effacer la gloire de l’
Auteur
de cette Pièce. Peut-être que si vous les avertis
ils espèrent. TIMANTE. Le meilleur avis qu’on pourrait donner à ces
Auteurs
, serait de travailler sur un autre sujet. J’ai de
ne Pièce, il a de la peine à changer. Au reste, ne croyez pas que des
Auteurs
médiocres soient capables de mettre en crédit mon
ceux dont la réputation est établie. CLEARQUE. Que diriez-vous d’un
Auteur
qui composerait une Tragédie sans y mêler aucun r
aussi recevable que d’en faire sans y mêler d’amour ? TIMANTE. Les
Auteurs
vous diront aussitôt, qu’il est impossible de fai
re. CLEARQUE. Je m’étonne de ce que vous ne citez pas l’exemple des
Auteurs
Grecs : car il me semble que Sophocle a fait une
ne Tragédie sans femmeap ; et comme vous êtes fort passionné pour les
Auteurs
Grecs, il ne vous en faut pas davantage pour conc
n’ai garde de tirer cette conclusion. Je conseillerais seulement aux
Auteurs
qui introduisent des femmes sur le Théâtre de les
ste en tout ce discours, je n’ai point prétendu donner des règles aux
Auteurs
. Je n’ai fait que proposer mes pensées ; et je me
lier Sorel, De la connaissance des bons livres ou examen de plusieurs
auteurs
, Paris, A. Pralard, 1671, et la réponse que lui a
t que de bouche, ou par des gestes bouffons. Hégémont de Thasos est l’
Auteur
de la Parodie dramatique ; c’est encore les Grecs
amp; sublime. Aura-t-on de la peine à croire, que long-tems avant cet
Auteur
, on ne se soit joué dans des couplets malins de c
est pleine de railleries spirituelles sur Homère, & contre divers
Auteurs
tragiques. Nous ne pouvons plus sentir une grande
grand soin les écrits dans lesquels vous vous moquez des fautes d’un
Auteur
: montrez que vous en savez plus que celui que vo
e je pense de la Parodie en général. Malgré les éloges dont plusieurs
Auteurs
l’ont comblés, je la regarde comme un genre ridic
s un genre destiné à tourner en ridicule les Ouvrages des plus fameux
Auteurs
! Que les Poètes qui s’y consacrent font peu d’at
tels qu’ils ne voient qu’avec chagrin, parce qu’ils n’en sont pas les
Auteurs
? Un Zoïle seul était fait pour parodier les Vers
eur opposant une action & des pensées tout-à-fait burlesques. Les
Auteurs
se contentent bien souvent d’imiter le sujet &
èce de Parodie est aussi très-peu estimable. Elle n’éxige pas que ses
Auteurs
soient doués d’un grand génie, puisqu’ils ne comp
Ornement du Théâtre, incomparable Acteur, Charmant Poëte, illustre
Auteur
, Il ajoute pour nous précautionner contre ses Pa
eurs ensemble. Il faut avoir une envie étrange de se munir du nom des
Auteurs
graves, & de se donner des garants d’importan
rimes semblables ; il ne faut pas croire, selon l’observation du même
Auteur
, qu’elles leur ayent fait beaucoup de mal. Au con
ses Piéces de Théâtre. Mr. Rosteau prétend qu’il étoit également bon
Auteur
& bon Acteur, que rien n’est plus plaisamment
ou l’embarrasse A peine a-t-il parlé qu’elle-même s’y place. Le même
Auteur
voyant Moliere au tombeau, dépouillé de tous les
in. Dans ce sac ridicule où Scapin s’envelope, Je ne reconnois plus l’
Auteur
du Misanthrope. Mr. Pradon qui s’est imaginé que
il traduisoit passablement l’Italien : qu’il ne copioit point mal ses
Auteurs
, mais on dit peut-être trop legerement, qu’il n’a
oins sur cette Comédie en 1667. une Lettre apologétique in-12, dont l’
Auteur
qui dit avoir assisté à la premiére représentatio
bl. des Lettres d’Avril pag. 203, 204. 1. ¶. Peut-être est-ce notre
Auteur
, qui pour se mieux déguiser s’est désigné par B.
nt reconnu Adrien Baillet. 2. Rosteau, Sentim. sur quelques livres d’
Auteurs
qu’il a lûs pag. 69. 3. Anne le Fevre, Dissertat
4. N. B. Despréaux, Satir. seconde, Vers 1. & suiv. 5. Le même
Auteur
dans l’Art Poëtiq. chant 3, Vers 394. & suiv.
les Facheux, qu’il ne désespéroit pas de faire voir un jour en grand
Auteur
, qu’il pouvoit citer Aristote, & Horace. 2.
P. Ottonelli, Jésuite : et un autre en 1652. Hédelin, est le premier
auteur
Français de ce siècle (1600) qui ait osé entrepre
cadence, et les remèdes qu’on y pourrait apporter. Dans le premier, l’
auteur
donne des preuves de son érudition dans les poési
parfait, sans doute, parce qu’il n’a pas pu exécuter son dessein. Cet
auteur
propose deux raisons qui font voir les difficulté
ale ; et on peut regarder ce Traité comme une réponse ; car quoique l’
Auteur
n’y nomme ni Hédelin ni ses ouvrages, il se plain
ation sur la condamnation des Théâtres, dont on crut Hédelin encore l’
auteur
. M. de Voisin voulut défendre le Traité de M. le
Lettre qu’on a voulu faire passer pour une réponse faite à Boursault,
auteur
d’un volume de Pièces de Théâtre. Dans cette Lett
st une réfutation d’un Ecrit favorisant la Comédie, chez Couterot ; l’
Auteur
est M. de la Grange, Docteur et Chanoine régulier
e ces Ouvrages particuliers, on trouve dans ceux de différents autres
Auteurs
plusieurs passages contre la Comédie assez circon
Notre Chap. 2. âme n’a point été unie à notre corps pour être, etc. L’
Auteur
s’exprime ainsi en latin ; « aut spiritus ideo in
rler, et que les anciens appelaient cunei spectaculorum. Ce que notre
auteur
nomme donc voies, étaient les escaliers différent
ncipalement consacré au soleil. Il y avait plus d’un cirque à Rome. L’
auteur
parle ici du plus grand de tous ; lequel avait ét
ant l’analyse du traité des spectacles de Tertullien, suppose que cet
auteur
parle de ce qu’il n’avait peut-être jamais vu. «
souvent fait mention de ces quatre couleurs du cirque dans plusieurs
auteurs
. Le Chap. 10. désignateur, et l’auspice. Le désig
Par Chap. 17. l’aide des habits des femmes : per mulieres. Quoique l’
auteur
s’exprime d’une manière un peu obscure, je crois
er la fête. Des Chap. 18. hommes qu’on engraisse pour la boucherie. L’
auteur
dit en latin, altiles homines. C’est une figure p
ce terme est fort connu, et qu’il exprime bien la chose dont parle l’
auteur
, j’ai cru qu’il me serait permis de rendre ainsi
ent pas honte d’assister aux spectacles. Les paroles latines de notre
auteur
semblent favoriser ce sentiment : « Ex ore quo Am
rontés pour causer un si énorme scandale. Qu’ilIbid. vive à jamais. L’
auteur
s’est exprimé ainsi en grec « εις αιῶνας » ; à qu
nseigner les grandes vérités politiques, et les vertus publiques. Les
auteurs
tragiques sont donc obligés, s’ils veulent exprim
eurs efforts à ceux des comédiens pour s’y opposer. Un grand nombre d’
auteurs
dramatiques s’est assemblé, et ils ont présenté a
e qui n’est rempli que de vues personnelles et pécuniaires ; d’autres
auteurs
, dans la vûe d’intéresser les comédiens et d’être
ées doivent-elles être communes à tous les théâtres après la mort des
auteurs
? 6°. La censure doit-elle être exercée sur le th
de la déclamation, c’est comme si l’on disoit que le grand nombre des
auteurs
dramatiques est la cause de la décadence du théât
jouât sur ces théâtres, pour un prix modique, les pieces de nos bons
auteurs
, que de débiter au peuple ces pieces infâmes qui
posée. Ainsi la suppression des priviléges dramatiques sera utile aux
auteurs
qui ne peuvent être joués que sur un seul théâtre
rands operas, ou des comédies, en vaudevilles, que de contraindre les
auteurs
et les musiciens à ne s’essayer que dans l’un de
rtiendra donc au public un certain nombre d’années après la mort de l’
auteur
. Cependant chaque théâtre regarde ses pieces comm
yée ; c’est le public qui, en donnant son argent à la porte, paie les
auteurs
et les acteurs. Les acteurs n’abandonnent qu’une
portion de la recette ; c’est donc le public qui, après la mort de l’
auteur
, devient le véritable propriétaire des pièces qu’
une propriété nationale, elles devroient appartenir aux héritiers des
auteurs
, et non pas aux comédiens20 Eh bien, si la natio
Le théâtre est sûrement une maniere de publier sa pensée ; ainsi un
auteur
dramatique ne doit rendre compte de sa pensée qu’
bligé de le punir25. Si la censure existoit pour la représentation, l’
auteur
auroit toujours le droit de faire imprimer sa pie
re, et la faire exécuter. 1. Tout le monde sait que M. Billard,
auteur
du Suborneur, fut arrêté et enfermé un an à Chare
a jouât dans toutes les provinces, parce que, sous cette allégorie, l’
auteur
s’étoit permis de peindre les dangers des vœux mo
ne pourront être jouées sur aucun théâtre public pendant la vie de l’
auteur
, ou moins de cinq ans après sa mort, sans son con
ecette totale de la réprésentation ; mais cinq ans après la mort de l’
auteur
, toutes ses pieces seront sensées un bien commun
er des ouvrages de musique et des pieces de théâtre, composés par des
auteurs
vivans, et sans leur consentement, seront obligés
igés d’obtenir leur consentement, sinon ils seront tenus de payer à l’
auteur
une rétribution qui sera réglée par la municipali
r cas, le caissier du théâtre, ou toute autre personne indiquée par l’
auteur
, sera dépositaire de cette rétribution, pour en r
eur, sera dépositaire de cette rétribution, pour en rendre compte à l’
auteur
. 14. La connoissance de la hiérarchie dramatiq
erti, le Héros Américain, les Enfans du Soleil, piece dans laquelle l’
auteur
a enchâssé plusieurs morceaux du poëme des Incas,
uerelles entre les différens spectacles, entre les acteurs, entre les
auteurs
et les comédiens, cesseront, les comédiens seront
e, sous prétexte qu’elle ne leur produit rien, cet abandon rendra à l’
auteur
la permission de la porter sur un autre théâtre,
s qu’ils emploient pour faire tomber, dans les regles, les pieces des
auteurs
vivans, afin d’en devenir propriétaires, et qu’on
nir propriétaires, et qu’on les voit prétendre être les héritiers des
auteurs
, on a envie de s’écrier comme Rhadamiste : Qui,
ux qu’on assassine ? 21. Ce sont les chefs-d’œuvres de nos grands
auteurs
dramatiques qui composent le Théatre de la Nation
savoir : c’étoit le but du ministere, en privilégiant les journaux. L’
auteur
du même article ajoute, que « c’étoit parce que l
oit désigner, mais la moderne, qui étoit la plus épurée. Térence, cet
auteur
élégant, pur et correct, y a puisé toutes ses pie
s peuples des opinions respectables et utiles au Gouvernement que les
Auteurs
Dramatiques se gardent bien d’attaquer ; il faut
ement dissimule certains abus parce qu’il en résulte un avantage, les
Auteurs
doivent imiter sa discrétion et ne pas trop appuy
onnaître que le Gouvernement a quelque influence sur le spectacle. Un
Auteur
Dramatique dans une Monarchie doit un respect ave
et en tous lieux attaquer l’inconduite des Chefs du Gouvernement. Un
Auteur
zélé Patriote peut employer son art à instruire s
t qui parle à son Juge, là c’est un Rapporteur qui l’instruit. Si les
Auteurs
Dramatiques dans une Monarchie ou dans une Républ
t d’attaquer certains effets mais ils en respecteront le principe. Un
Auteur
Français respectera le point d’honneur et se cont
enter tout le monde, Tot capita tot sensus 1, dit le Proverbe. Si un
Auteur
Dramatique choqué de la tiédeur des Français sur
, leur impolitesse est assurément très répréhensible, cependant leurs
Auteurs
Dramatiques semblent autoriser ce mépris et le no
gueil est utile aux Anglais pour le maintien de leur Constitution, un
Auteur
Anglais aurait donc tort de le leur reprocher et
e de la raison subjuguerait le mauvais goût, et c’est ce que les bons
Auteurs
qui lui ont succédé ont osé prévoir comme lui, en
ans la pièce et que ce n’est pas pour gâter le cœur de personne que l’
Auteur
s’est avisé de l’y mettre ? Vous aimeriez mieux u
s immondices, détournez les égouts, ses eaux resteront pures. « Tout
Auteur
qui veut nous peindre des mœurs étrangères a pour
ts moins violents pour l’émouvoir et le toucher. La complaisance d’un
Auteur
à peindre dans ses personnages les mœurs et les c
agement. Il ne se serait pas fait parmi les dévots, les Médecins, les
Auteurs
et les gens de Cour des ennemis de la méchanceté
re forme et se cacher sous un autre déguisement : c’est l’affaire des
Auteurs
du siècle, d’imiter Molière et de leur arracher l
en poursuivant ainsi les vices de retranchement en retranchement, les
Auteurs
Dramatiques parviendront enfin à leur défaite. «
le de se persuader que l’affreux Damien, ni les abominables Jésuites,
auteurs
de l’attentat contre Sa Majesté Portugaise, ni la
qu’être utile ou préjudiciable : or vous ne pouvez démontrer que les
Auteurs
Dramatiques, en respectant par exemple le penchan
i cette passion est telle dans les mœurs des Français, assurément les
Auteurs
auraient grand tort de la peindre comme criminell
si cette passion n’est pas encore telle et n’est qu’un tribut que les
Auteurs
imposent aux cœurs bien faits en faveur de la Ver
pièces régulières, la charge est la multiplication des traits dont l’
Auteur
compose le portrait du sujet qu’il veut peindre :
posé le rôle d’Harpagon ; mais tous ces traits sont vrais. L’art de l’
Auteur
fut d’imaginer des situations, de les coudre si a
pour l’amour n’était pas condamnable en lui-même, qu’au contraire les
Auteurs
Dramatiques auraient tort de ne pas respecter et
c Pour détruire cette objection, il m’est facile de prouver que nos
Auteurs
n’ont pas eu la lâche complaisance que vous dites
crainte ; nous pouvons ce me semble conclure de ces exemples que nos
Auteurs
ne sont pas aussi lâches que vous le dites et ne
. Pourquoi son rôle fait-il tant de plaisir ? C’est précisément que l’
Auteur
a employé tout son esprit à n’en point donner à s
à son personnage : hic labor hoc opus ag. Molière aurait pu comme nos
Auteurs
d’à présent lui donner beaucoup de finesse, lui f
présent sont bien loin de ces mœurs, Elles veulent écrire et devenir
Auteurs
: Nulle science n’est pour elles trop profonde Et
comme on présume que vous le croyez. Remarquez aussi, Monsieur, que l’
Auteur
n’a pas oublié de mettre dans la bouche du Roi de
re un bien moral et politique. C’est aux lois, à la raison, c’est aux
Auteurs
Dramatiques à lui faire sentir que la fausse appl
. Ne fermez point les yeux, Monsieur, sur les premiers efforts de nos
Auteurs
contre ce préjugé. On a déjà fait une pièce intit
la représenter, mais elle n’en est pas moins propre à prouver que les
Auteurs
Dramatiques d’aucune nation ne ménagent pas tant
pensez, un sentiment involontaire excité dans nous par l’adresse de l’
Auteur
qui nous ôte le pouvoir d’y résister. Un habile D
des lois que le vice a été contraint d’abandonner la scène et que les
Auteurs
Dramatiques n’ont plus eu de ressource que d’y fa
des mœurs, elles mettent les particuliers à couvert de la satire des
Auteurs
et de la malice des Comédiens. Rappelez-vous ces
c est sage, il est beau sans doute d’être de l’avis du Public. Or nos
Auteurs
veulent plaire, ils doivent s’assujettir à son go
ublic applaudit ces pièces, donc il a du goût pour la Vertu, donc les
Auteurs
font bien et très bien de se soumettre à ce goût
rion, 1967, p. 264 : « L'esprit est moins vivement frappé de ce que l’
auteur
confie à l’oreille, que de ce qu’il met sous les
t de Rousseau : « Aussi, le goût général ayant changé depuis ces deux
Auteurs
[Corneille et Molière], si leurs chefs-d’œuvre ét
Chapitre XXII. Le repentir de quelques
auteurs
dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres d
s. On doit convenir, d’après tout ce qui vient d’être dit, que les
auteurs
dramatiques sont des empoisonneurs publics qui se
entir d’y avoir acquis de la célébritébr. » Plût au ciel que tous les
auteurs
dramatiques le comprissent également, si pourtant
est bien plus opposée au salut, toutes choses égales, que celle d’un
auteur
dramatique : ses jours se passent dans la dissipa
a bien de la distance de cette qualité à celle d’un bon chrétien. Cet
auteur
célèbre, pour entrer dans les voies de la péniten
condamnés d’après les canons, les lois, les saints Pères, et même les
auteurs
profanes, ne sont-ils pas en effet très condamnab
Monsieur, J’ai lu ce que vous répondez à l’
Auteur
des Hérésies Imaginaires et des Visionnaires. Vou
je ne susse pas faire un jugement si aisé, et que voyant d’un côté l’
Auteur
des lettres, qui ne cite que les Saints Pères, co
ne me trompe, il vous déplaît encore plus que tout ce qu’a pu dire l’
Auteur
des lettres, et peut-être voudriez-vous à présent
rouvent point désagréable ? Et pourquoi n’avez-vous pu souffrir que l’
Auteur
des lettres ait dit, en passant, que les pièces d
tement ce qu’on avait seulement proposé. Est-ce que vous croyez que l’
Auteur
des lettres ne puisse prouver ce qu’il avance ? p
pour vous faire connaître à quoi vous vous exposez d’écrire contre l’
Auteur
des lettres, qui peut bien en dire davantage, lui
ète à Poète, mais il n’est rien de moins judicieux que de le dire à l’
Auteur
des lettres, et à ceux que vous joignez avec lui.
e Jansénisme n’approuve pas la Comédie. Ce n’est pas après tout que l’
Auteur
des lettres ait rien dit que vous ne disiez encor
stoires et vos railleries, sont des preuves particulières de ce que l’
Auteur
des lettres n’a dit qu’en général, et il n’y a pe
us ne pouvez concevoir qu’il y en ait. Vous la demandez hardiment à l’
Auteur
des lettres, comme s’il ne pouvait la donner, et
t, mais il vous importe peu de ce qu’ils disent, ce ne sont point vos
Auteurs
, et vous ne les citez que pour les accuser. Vous
l le publie, et on le peut voir dans les endroits de ses livres que l’
Auteur
des lettres a cités. Si vous aviez fait réflexion
’il a formé toutes ces conceptions chimériques et monstrueuses, que l’
Auteur
des lettres a rapportées, et que vous témoignez a
s hommes, et de donner aux enfants une traduction pure et chaste d’un
Auteur
qui excelle dans la pureté de cette langue. Mais
re un Poète de Théâtre, et le Traducteur de Térence ? L’un traduit un
Auteur
pour l’instruction des enfants qui est un bien né
Port-Royal de ce côté-là. Vous tournez d’un autre, et vous dites à l’
Auteur
des Imaginaires, qu’il a affecté le style des Pro
e lettre. « Vous prétendiez, lui dites-vous,ai prendre la place de l’
Auteur
des petites lettres. Je vois bien que vous voulez
es. Je vous demande seulement pourquoi vous jugez des intentions d’un
Auteur
, qui vous sont cachées ? et pourquoi n’avez-vous
obligez personne à la découvrir, et ne dites point de vous-même que l’
Auteur
des lettres a voulu écrire comme Monsieur Pascal.
u monde quel est le visionnaire des deux », « Lettre de M. Racine à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, et des Visionnaires » (
mps : laissez-le juger des choses qui lui appartiennent » (Lettre à l’
auteur
des Hérésies imaginaires…, Op. cit., p. 15). k.
ibaud-Dubois cite exactement Racine (Op. cit., p. 21-22). p. [NDE] L’
auteur
cite une nouvelle fois un passage de la lettre de
la profonde connoissance qu’ils en ont. « Plus nous avançons, dit l’
Auteur
du Comédien, dans l’examen de l’art de représente
n’y a point d’idées, point de finesse, point d’expression même que l’
Auteur
, (nous ne parlons que de ceux qui méritent ce tit
e que le public ne veut pas voir toute l’étendue du discernement de l’
Auteur
; parce qu’un Comédien développera ses pensées, s
eautés qui peuvent sortir de l’ensemble d’un poëme, appartiennent à l’
Auteur
, comme celles d’un grand édifice sont à l’Archite
si délicieuses ? Je le répéte, tout dans une Tragédie appartient à l’
Auteur
. Les grandes situations, les beaux mouvemens, les
ment de ce Chapitre ; mais qu’il soit en état de suivre de plan que l’
Auteur
a tracé ; qu’il mesure son jeu au dégré de chaleu
. Or, quoique cette imitation ne soit qu’internemédiaire à celle de l’
Auteur
, c’est toujours une imitation. Je demande, si pou
lle amertume à son ressouvenir. Tels sont les Comédiens à l’égard des
Auteurs
: copistes serviles ; il ne leur faut que de l’at
jamais mieux remarquer, qu’en paroissant avoir emprunté le génie de l’
Auteur
, auquel elle prête sa voix, & l’ame de l’héro
& l’ame de l’héroine (ou du héros) qu’elle représente. Si ce même
Auteur
ajoute : « Que les larmes, que les fléxions touch
Monsieur, Je ne sais si l’
auteur
des Hérésies imaginaires jugera à propos de vous
u’on laisse à juger au monde lequel est le visionnaire de lui ou de l’
auteur
des Hérésies imaginaires ? En vérité, tout homme
répondre comme un écho qui répète les mots qu’on lui dit, que c’est l’
auteur
des Hérésies imaginaires qui en est un, cela pour
convient jusqu’aux ennemis de Port-Royal et aux Jésuites mêmes, que l’
auteur
des Hérésies imaginaires n’a rien qui ressente la
ur, réduit à la nécessité de prouver ce que vous avez avancé contre l’
auteur
des Hérésies imaginaires ; autrement vous voyez b
si vous serez plus heureux dans le reste, et si ce que vous dites à l’
auteur
des Hérésies imaginaires sur le sujet de ses lett
hamillardes ? Et comment avez-vous pu croire qu’elles fussent du même
auteur
, et même que ces dernières vinssent de Port-Royal
ême caractère et le même air : et c’est avec beaucoup de raison que l’
auteur
des Hérésies imaginaires, bien loin de « vouloir
’on aurait de la peine à vous faire entendre raison sur le sujet de l’
auteur
des Hérésies imaginaires. Il vous a touché par où
contraire à l’esprit de la foi, selon les paroles de Jésus-Christ, l’
auteur
des Hérésies imaginaires ne veut point la ravir à
i ne contribuent qu’à leur divertissement. C'est ce qu’a voulu dire l’
auteur
des Hérésies imaginaires, quand il a dit que cett
excuse de civilité que lui fait M. Pascal, d’avoir cru qu’il était l’
auteur
des Apologies des Jésuites, vous n’êtes pas diffi
ez pour être savant, d’avoir étudié toute sa vie, d’avoir lu tous les
auteurs
, il fallait avoir lu Jansénius, et n’y point avoi
t pas là ce qui vous intéresse. Vous trouverez bon tout ce que fera l’
auteur
des Hérésies imaginaires ; vous lui donnez tout p
hercher, qui est d’y prendre une teinture de l’air et du style de cet
auteur
, et d’y apprendre la pureté de sa langue, se tien
dire de celui qui pour avoir un prétexte de traiter d’empoisonneur l’
auteur
de cette traduction, et d’envelopper dans ce repr
es. Vous ne concevez rien de grand que ces sortes d’ouvrages et leurs
auteurs
, et vous ne connaissez point d’autres louanges qu
vaut la peine que vous y songiez. Cependant, Monsieur, je crois que l’
Auteur
des Imaginaires peut se tenir en repos, et qu’à m
[EN-TETE] RÉPONSE à la lettre adressée à l'
auteur
des Hérésies Imaginaires a a. [NDE] Cette lett
duc de Luynes. Elle est l’une des deux réponses faite à la Lettre à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, et des deux Visionnaire
n 1666 qui était une réplique aux attaques de Desmarets par Nicole. L’
auteur
répond ici à Racine en reprenant une bonne partie
t de ce texte : l’édition originale (Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
de Hérésies imaginaires, s.n.s.l. (Paris), 1666,
is, et je ne cesse pas d’être étonné que nous ayons encore de si bons
Auteurs
. Une de nos espèces d’Automates, sans aucun fonds
préceptes sur un Art qui n’a de loi que la nature : ils ont jeté les
Auteurs
dans un labyrinthe de règles embarrassantes et ri
a Pièce. Ce n’est pas tout : loin d’encourager la timidité d’un jeune
Auteur
, qui se distingue, par des honneurs publics, par
son Ouvrage, et attaquent sa personne ; le Public s’en divertit, et l’
Auteur
sensé se retire. C’est ainsi que, sans y faire at
la noirceur n’en composassent pas autant de satires empoisonnées. Un
Auteur
judicieux s’habituerait alors à y faire attention
’excuse du crime, et la source des plus noirs excès. Quel avantage un
Auteur
peut-il espérer d’un portrait si odieux ? Le sent
, et de nous faire courir à des monstres qui effrayent la nature ! Un
Auteur
ne se rendrait-il pas plus estimable, s’il nous f
on Brutus est une Pièce qui marquera à jamais le génie admirable de l’
Auteur
. Il aurait été à désirer qu’au milieu de tant de
Turcs. Ils ont été sans doute composés à Constantinople, sur ce que l’
Auteur
pendant son séjour entendoit dire des serrails de
joue si mal-adroitement son rôle : Tout a l’humeur Gasconne en un
Auteur
Gascon. Calprenede & Iuba parlent du même t
imperceptiblement, mais trop efficacement dans le cœur ? Le goût de l’
Auteur
s’annonce par le choix même des sujets. Ses piece
ngloutit les alimens & les boissons. Cette idée favorite de notre
Auteur
, qui peint lui-même sous ces traits le caractère
trepoison, & de sombres nuages sur le tableau ; au lieu que notre
Auteur
écarte avec soin toute idée de péché, pour tendre
vertu. Même idée de statue qui s’anime dans Pandore. On diroit que l’
Auteur
est un Pigmalion, qui aime les statues : J’étois
p; l’ayant trouvée assez décente, dit-il, on leva la défense ; mais l’
Auteur
piqué la retira & l’a depuis fait imprimer. I
bien avoir hérité de ses belles qualités. Mais si c’est l’excuse de l’
Auteur
, ce n’est pas l’apologie du théatre. Est-il bien
toujours des gens zélés qui se plaignent à la police ? le cahier de l’
Auteur
qu’on va consulter contient-il ce que l’Acteur y
Le décorateur dans l’un, le graveur dans l’autre, sont donc les vrais
Auteurs
, ils ont fourni le dessein ; ces célèbres écrivai
lgré des parens qu’on trompe. C’est le goût du temps & celui de l’
Auteur
(comme il paroît dans ses Essais sur Paris). Jama
y remédier, ou le prévenir ? Est-ce dans le fatalisme des Turcs que l’
Auteur
a puisé cette morale dans son séjour à Constantin
là l’air de famille de toutes ses pieces ; car parmi les éloges que l’
Auteur
se donne par-tout d’un air nonchalant, il fait be
unes au théatre, & assez ordinairement l’unique fonds de bien des
Auteurs
; mais il faut convenir que dans des pieces aussi
alanteries agréablement tournées, qui ne peuvent que les corrompre. L’
Auteur
se caractérise parfaitement dans sa Préface de Zé
s, les femmes, &c. tout est M. de S. Foix. C’est comme si le même
Auteur
changeoit d’habit, jouoit tous les rôles ; il por
le merveille à chaque monosyllabe. Un autre trait qui caractérise cet
Auteur
, & qu’il nous fournit lui-même, c’est ce qu’i
. Cette morale est assurément très-bonne, & l’Abbé prétendu que l’
Auteur
dans sa préface accuse d’avoir dit qu’on ne pouvo
i l’opéra, ni l’Abbé qui le fréquente ; mais cette bonne morale que l’
Auteur
avoue ne s’être glissée que par hasard dans ses p
eu d’une troupe de filles, comme dans un serrail ? idée familiere à l’
Auteur
, répétée cent fois dans ses ouvrages. Cette manie
t de l’introduire, tout le reste va de lui-même. Reste à décider si l’
Auteur
n’est qu’un enfant timide qui veut se faire illus
onsiste à faire des vers dans le goût & dans le style de certains
Auteurs
ridicules ; tels sont, dans notre langue, ceux où
Despréaux a imité la dureté des vers de la Pucelle : Maudit soit l’
Auteur
dur, dont l’âpre & rude verve Son cerveau ten
hasos qui parut vers la 88.e Olympiade lui paraît incontestablement l’
Auteur
de la Parodie Dramatique, qui était à-peu-près da
de les faire remarquer, & que la crainte du ridicule empêche les
Auteurs
de nous donner du clinquant pour de véritables be
un mot, il faut être homme-de-bien, pour faire une bonne Parodie. Un
Auteur
qui n’excite que le rire de la méchanceté, a manq
arder de présenter sous une face ridicule, en fût-elle susceptible. L’
Auteur
honnête-homme doit toujours éviter de sacrifier l
éâtre. Rien ne plaît, s’il n’à l’air, le nom, le goût dramatique. Cet
Auteur
respectable n’a pu résister au torrent. Il étoit
respectable n’a pu résister au torrent. Il étoit Amateur, & même
Auteur
de plusieurs pieces, qu’on a données au Public. I
s tout Mezerai en pieces de Théâtre. Voltaire s’est mis à la tête des
Auteurs
Dramatiques d’Histoire. Il a composé à peu de fra
Parmi les honneurs très-flateurs & très-lucratifs, prodigués à l’
Auteur
du Siege de Calais, voici des traits singuliers.
& du peuple il obtint le suffrage, Et la postérité verra dans cet
Auteur
L’excellent citoyen, le poëte & le sage (le s
e au sujet de ses droits sur la recette. Tandis qu’on joue la piece l’
Auteur
a un neuvieme de la recette ; si elle est interro
it donné la premiere médaille d’or ; le père en procura plusieurs à l’
Auteur
portant aussi l’image du Roi. Il jugea en sa fave
a Cour a fait sa fortune ; elle est en possession de donner le ton. L’
Auteur
a fait depuis d’autres pieces aussi bonnes, aussi
éatre. Un événement singulier, dont il ne faut pas faire un crime à l’
Auteur
, puisqu’il a suivi les historiens François, a jet
gédie rend assez fidélement à quelqu’épisode près de l’invention de l’
Auteur
, comme le Duel proposé par Philippe à Edouard, do
gir d’obtenir les suffrages. Les sujets vertueux sont très-rares, les
Auteurs
& les Acteurs qui sacrifient le plaisir à la
uelque nuance près de modestie superficielle, selon le carractère des
Auteurs
plus ou moins retenus, ou des spectateurs plus ou
t pas. Si Metastasio fabulise l’histoire pour y mettre de la vertu, l’
Auteur
de Thamar au contraire y ajoute des fables pour r
e les Juifs ne laissent pas lire aux jeunes gens, & que l’obscene
Auteur
, Officier Irlandois, dit-on, expose sur le Théatr
ture par les couleurs les plus noires. C’est une vraie profanation. L’
Auteur
n’est pas de l’avis des saints Peres, des Synodes
ur en inspirer de l’horreur, & en faire craindre le châtiment ! L’
Auteur
ose encore censurer Athalie, parce que les passio
aroisse jamais sur la scene : il n’y a de titre que sa corruption. Un
Auteur
vertueux pourroit faire de l’Ecriture un usage pl
intenues dans leur religion. Personne n’a songé à les y poursuivre. L’
Auteur
est aussi mal orienté dans la géographie que dans
amp; qui fit la guerre à Aurelien, un de ses successeurs. Le but de l’
Auteur
est d’établir la loi naturelle & l’indifféren
; l’indifférence de religion. Il fait de cette loi & de son Divin
Auteur
un très-juste & très-bel éloge, mais très-inu
à personne la porte du Paradis. On fait un éloge outré de Zoroastre,
auteur
de la religion des Guebres ; on n’en diroit pas d
, balance font une comparaison odieuse & fausse dans l’objet de l’
Auteur
. Sans doute il faut distinguer ces deux choses. Q
e sang des mortels, je n’ai point par le meurtre offensé la nature. L’
Auteur
sans doute en veut aux Suisses, qui vendent leur
défauts essentiels, & l’excès de ses louanges, fait soupçonner l’
Auteur
d’avoir fourni l’extrait au Journaliste. Voici un
estime de ceux qui la professent. Je ne sais de quelle religion est l’
Auteur
, mais sûrement il n’est pas Catholique. 2°. D’éca
mphe dans toute l’Europe. Le Poëte le celèbre sur le Théatre, & l’
Auteur
le dit dans la préface. C’est un tour d’adresse.
r d’adresse. La piece est trop médiocre pour avoir eu aucun succès. L’
Auteur
de son propre aveu n’y comptoit pas ; il lui a do
eine de traits bien peu réfléchis, pour ne rien dire davantage. 1.° L’
Auteur
veut justifier le Huguénotisme, parce que ce fut
dont lui seul est agité. Tout prend la teinte de notre imagination. L’
Auteur
a le goût tragique, il lui faut partout des Eumén
it d’amitié est aussi généreux que celui d’André pour son pere, que l’
Auteur
dit unique, & par lui seul célébré. A-t-il lu
totalité c’est une mince production, qui, selon les prédictions de l’
Auteur
, ne fera pas & ne doit pas faire fortune. La
ge, ni à un manant le langage de la Cour. En confondant ces choses, l’
Auteur
paroît connoître aussi peu les bienséances de la
onné le Philosophe sans le savoir, comédie en prose du sieur Sedaine,
Auteur
d’autres pieces aux Italiens. Elle avoit été agré
pour la juger. La singularité du spectacle, le genre tout neuf que l’
Auteur
a eu le courage de tenter, a d’abord blessé : on
mme la fureur du duel. Il assure que c’est un trait de courage dans l’
Auteur
d’avoir osé tenter ce genre tout neuf, quoique pr
pas sans doute pris sa source dans la religion & la justice de l’
Auteur
. Nos pieux Confreres de la Passion faisoient de m
eurent peu à se louer des Portugais, mais beaucoup de leurs femmes. L’
Auteur
pendant son séjour à la Chine n’a vu, dit-il, d’a
tie & la gravité de la Chine, ne peut se passer de libertinage. L’
Auteur
auroit dû dire on m’apprit, non il me parut, car
a donc moins de mérite à être versificateur, que Poëte. Cependant des
Auteurs
connus prétendent que la Poésie de style, est-ce
commendable dans un Poéme, & qu’elle seule fait la réputation des
Auteurs
. Il y en a même, dont les Pièces en tirent leur p
ittéraires, qui ne remplissent pas cet objet, on doit l’attribuer aux
Auteurs
& non au genre de ces Piéces. Quant aux autre
s ouvrages bien écrits, qui n’ont pas réussi ; si quelques-uns de nos
Auteurs
se sont acquis une haute réputation, sans s’attac
e en soit très-deffectueuse ; mais il y a même des Théâtres entiers d’
Auteurs
, qui l’ont fort négligée, & que les connoisse
ifiées. On ne la joue cependant plus guère : toute la réputation de l’
Auteur
n’a pu engager le public à voir ce drame en faveu
l’expression aux pensées ne peut, à leur origine, se sentir que par l’
Auteur
même de ces pensées. L’Auteur médiocre est celui
ut, à leur origine, se sentir que par l’Auteur même de ces pensées. L’
Auteur
médiocre est celui qui n’a pas des idées nettes,
en, ou qui n’exprime pas avec justesse & précision les idées de l’
Auteur
. Toutes ces espèces, d’Auteurs & de styles, n
justesse & précision les idées de l’Auteur. Toutes ces espèces, d’
Auteurs
& de styles, ne s’apprecient que par les idée
t que par les idées. Ce sont donc elles qui font la fortune & des
Auteurs
& du style. Si l’expression est l’image de no
dans les couleurs locales. « On ne regarde pas aussi longtems, dit l’
Auteur
que nous combattons dans ce chapitre, un panier d
même éxige qu’on pratique cette règle à la rigueur ; les plus fameux
Auteurs
Dramatiques nous en ont donnés des éxemples qu’on
ans le Château. Peut-être serait-il aisé d’y trouver à redire. Mais l’
Auteur
est-il obligé d’observer des loix dont on s’écart
j’ai resserrées, dans la crainte de répéter, mal-à-propos, ce que les
Auteurs
de Poètique ont écrits avant moi. Ai-je besoin d’
tins s’en servaient volontiers, mais sans le désigner. la Ménardiere,
Auteur
d’une Poètique fort estimée de son tems, est l’In
mme l’éclair : L’à-parté doit donc être d’une précision singulière. L’
Auteur
du Tuteur dupé, ou la Maison à deux Portes 31, es
e l’était guères auparavant ; on devrait s’éfforcer d’imiter ce jeune
Auteur
, qui dans son coup d’éssai, possède mieux l’art d
d’avoir pris une femme, & est entendu par Damis. J’avoue que les
Auteurs
Dramatiques tombent tous à ce sujet dans une faut
néralement reçue, afin de se distinguer de la foule : les plus grands
Auteurs
qui travaillent dans son genre, oublient bien-tôt
ent au gré de leurs caprices ; nous avons vû même quelques-uns de ses
Auteurs
démentir les belles choses qu’ils avançaient dans
elle contredit tout ce que j’ai écrit dans ce Chapitre ; tandis que l’
Auteur
de ce Drame nous a donné des leçons sur la Comédi
t en droit de faire leurs procès, il faut condamner les plus célèbres
Auteurs
, qui n’ont pas craint de commettre les mêmes faut
it vaincu leurs énnemis : il est aisé de sentir que ces deux célèbres
Auteurs
se sont furieusement éloignés du sujet principal.
aurait enfin être trop difficile sur le choix d’un sujet. Si quelques
Auteurs
du Théâtre Français voyent mourir leurs pièces à
it bien son genre & sa nature ; il semble dire ce Vers à tous les
Auteurs
dont il enflamme le génie : N’offrez point un su
qu’il faut que leur intrigue soit éxtrêmement simple : Fuyez de ces
Auteurs
l’abondance stérile, Et ne vous chargez pas d’un
sque la même chose que l’Ecole des Mères, Comèdie de la Chaussée. Cet
Auteur
éprouve le sont de ceux qui entreprenent actuelle
ue je puisse donner de la stérilité du Théâtre Comique, c’est que les
Auteurs
de nos jours, osent à peine entreprendre de trava
peine. Il est vrai que son stile arrête, embarrasse quelques fois ses
Auteurs
, car il n’est pas aisé d’écrire en même tems avec
nt si grands amateurs de la nouveauté qu’ils la veulent par-tout. Les
Auteurs
Dramatiques sont contraints de se fatiguer, de se
Théâtre, de même vous jouirez du plaisir de voir de quelle façon cet
Auteur
traitera tel sujet bien ou mal rendu par ses préd
sujets de ses Drames retravaillés de nouveau. Que dirions nous si les
Auteurs
de la Comédie osaient s’emparer des mêmes avantag
oint aller trop vite, & de vouloir bien réfléchir un instant. Les
Auteurs
de Poétiques soutiennent tous, qu’il faut que l’a
eurs, Plutarque même recommande en général ce que je n’adresse qu’aux
Auteurs
de l’Opéra-Bouffon. « Lorsque l’on fait des jeux,
nt aux personnages dont ils goutent les mœurs. Les sujets que les
Auteurs
de notre Spectacle ont choisis jusqu’à présent on
les Pièces des différens Peuples. Il est pourtant probable qu’un
Auteur
Dramatique doit saisir dans ses Pièces le goût de
ules pensées ne soutiendront pas le nouveau Théâtre. La plus-part des
Auteurs
Anciens & Modernes semblent avoir écrits en s
lis petits riens ! Réponses appuyées du sentiment des plus grands
Auteurs
. Ces vaines repliques ne sauraient ébranler l
de plaisir. L’énnemi juré des mauvais ouvrages, le fléau des sots
Auteurs
, le dur & l’élégant Boileau, nous apprend dan
pouvait pas même soupçonner qu’on désirat un jour de le trouver. Les
Auteurs
de l’Opéra-Bouffon savent représenter les actions
bisare. Que son stile est peut-être excusable. Passages tirés des
Auteurs
Anciens & Modernes. La perfection de notr
t de la petitesse énergique des paroles3. » Si l’on voulait récuser l’
Auteur
Grec que je viens de citer, sous prétexte de son
qu’ils étaient autrefois, le témoignage de Boileau montrerait que les
Auteurs
Modernes sont du même avis. Cet illustre Critique
onne fois pour toutes, ce n’est pas sans dessein que plusieurs de ses
Auteurs
employent des façons de parler communes & tri
et article par une remarque du Père Brumoy ; il semble conseiller aux
Auteurs
Dramatiques de ne se point donner la peine de bie
aussi peu que celle de la parure, & que la réputation de bien des
Auteurs
? Succès des Ariettes même hors de la Scène.
sages, une fois que nous avons perdu la raison. Nos plus célèbres
Auteurs
sont partisans de l’Opéra-Bouffon. Les hommes
ise s’abaisser à composer pour lui des ouvrages ? Aurions-nous vu des
Auteurs
distingués dans la République des Lettres, ne pou
ousiasme, n’a rien fait de mieux qu’un Opéra8. » Il est clair que cet
Auteur
immortel avait sur-tout une forte estime pour le
ance la destruction totale des Belles-Lettres. Si la plus-part de nos
Auteurs
n’ont plus ni force ni génie, à quoi faut-il en a
its, celui de M. Collier subsiste contre eux dans toute sa force. Cet
Auteur
a eu le plaisir de voir combien nos Poètes sont d
s amis, ni une personne de qualité, ni une espèce de défi (discours d’
Auteurs
si rebattus dans les Préfaces) qui m’ont engagé à
r forme de digression, que ces qualités mêmes qui font la gloire de l’
Auteur
, font justement la peine du Traducteur ; l’idiome
e de plus coupables qu’eux dans le monde. Non, il ne suffit pas à des
Auteurs
Catholiques de n’être ni tout à fait obscènes dan
forme qu’ils la représentent. C’est ce que leur reproche l’ingénieux
Auteur
qui vient de donner au public un Recueil de ses P
aque jour dans le Royaume, ils seront bien aises d’avoir un excellent
Auteur
de leur nation traduit dans une langue qu’il leur
ce que j’ose assurer, c’est que j’ai toujours rendu la pensée de mon
Auteur
, et littéralement même dans tous les endroits où
fin de ne pas surcharger les marges déjà pleines des citations de mon
Auteur
. A propos de citations, j’en ai supprimé quelque
itulant sa Pièce les Adelphes, c’est-à-dire les Frères. Les meilleurs
Auteurs
modernes s’attâchent à mettre dans leurs ouvrages
ien ne blesse tant la vraisemblance que cet abus qu’adoptent quelques
Auteurs
de nos jours, de rendre leur Hèros meilleur au dé
es qu’on voit par-tout. Mais ce qu’il y a de singulier, c’est que cet
Auteur
estimable, qui défend aux autres le contraste, n’
e ? Si M. Diderot tombe dans le défaut qu’il a sujet de reprocher aux
Auteurs
dramatiques, on doit en conclure que ce défaut es
ntièrement opposées au Poème dont l’on copie le Héros. Que chaque
Auteur
diffère dans la peinture de ses Personnages.
er que le même caractère mis plusieurs fois au Théâtre par différents
Auteurs
, changerait toujours de forme, & paraîtrait p
; on en découvre de plus frappantes dans les ouvrages dramatiques des
Auteurs
de chaque Nation. Le goût du pays qu’ils habitent
e un personnage, regarde autant les Poètes de l’Opéra-Bouffon que les
Auteurs
des divers Théâtres. Les règles que contient ce C
richissent de leurs productions, lui appliquassent ce Vers du cèlèbre
Auteur
que je viens de citer plus haut : Il faut que se
doit pas être l’ouvrage d’un jour à composer ; il éxige même dans ses
Auteurs
des qualités qui ne se rencontrent pas communémen
ulièrement les Poètes du Spectacle moderne, il se rapporte à tous les
Auteurs
en général. On ne se pique pas actuellement de l’
unes, ils concluent qu’elles doivent venir aisément dans la tête d’un
Auteur
. Je ne crois pas que les Poètes qui se consacrent
sède un génie souple, adroit, qui sçait se prêter à tout. Deux fameux
Auteurs
entreprirent, dit-on, de faire une Chanson de Pon
’éxpérience donne toujours les meilleures leçons. O vous donc, jeunes
Auteurs
, qui destinés vos talens à un Spectacle qui charm
n pour dépayser les lecteurs, afin qu’ils ne pussent en connoître les
Auteurs
. Pelisson avoue ingénument que, quoique sans art
dans son Esope. Moliere le méprisa, Boileau se réconcilia avec lui, l’
Auteur
du Mercure ne lui pardonna pas, & la Cour qu’
ion des quarante, reconnoissante de la réception d’un nombre infini d’
Auteurs
Dramatiques, la noble & savante troupe des Fr
er y répondit, & fit le plus grand éloge de l’art Dramatique, des
Auteurs
, des Acteurs, & fit beaucoup valoir la grace
rd de ces deux choses qui sont faites l’une pour l’autre. M. le Sage,
Auteur
de bien des ouvrages où il y a du bon & du ma
agédie de Terée du Sieur Renou a occasionné un procès comique entre l’
Auteur
& les Comédiens. Il y a quelque temps que le
i lui avoient donné la préférence. Nos Princes ne sont pas patiens. L’
Auteur
, dans une autre lettre, leur fit de très humbles
ibuer aux acteurs ces légers changemens, sans convoquer l’Aréopage. L’
Auteur
, pour faire sa Cour, alla plus loin. Il est dange
présentation. C’est la jurisprudence du théatre ; la délicatesse de l’
Auteur
gâta tout. Le vénérable Sénat se souvint de l’anc
le Gouvernement ordonne par une loi que le produit soit conservé à l’
Auteur
ou à ses héritiers, tant que la piece est jouée,
ui six mille livres sont au-dessous d’eux. Il s’en faut bien que les
Auteurs
soient si bien recompensés. Qu’est-ce que leur po
bâton des Actrices, qui n’entre point en ligne de compte, & où l’
Auteur
n’entre en part qu’incognito, sans en donner de r
e, M. Dorat prétend qu’avant de confier leur piece aux Comédiens, les
Auteurs
devroient les livrer au public par l’impression,
dans les Etats de Thalie n’étoient exaltés jusqu’à l’enthousiasme. L’
Auteur
des trois siecles, l’un de ses admirateurs, dit p
is siecles, l’un de ses admirateurs, dit pourtant : Comment Moliere,
Auteur
seulement de trois ou quatre pieces achevées, &am
que les nouveaux Philosophes, cet Ecrivain est un amateur du theatre,
Auteur
lui-même, qui s’entortille dans les éloges pour n
oujours ouverte ; les fabricans & les courretiers fournissent les
Auteurs
& les Acteurs. Les Actrices ont une banque à
ligible, & le peuple entendroit sans peine ce Gascon Albigeois. L’
Auteur
les a traduits dans le mauvais François de son te
se en rond & un ballet général. Ce divertissement a dû coûter à l’
Auteur
& à ceux qui l’ont exécuté : Turpe est diffi
r. Tout le public le juge de même, à l’exception de Voltaire, à qui l’
Auteur
a envoyé sa piece, & qui lui a répondu en ver
amant chez les bergeres d’apresent est la vertu la plus parfaite. L’
Auteur
étoit bien sûr de l’approbation de ce Casuiste, q
sa maiso. Le Marquis de Roselle, le Comte de Valmon, & plusieurs
auteurs
Romans ou livres frivoles, ont condamné le théatr
é les ténebres, & bravé le goût & les préjugés du climat. Les
Auteurs
étoient des honnêtes gens, qui, malgré les écarts
honnêtes gens. Les vices du siècle ne doivent point rassurer les
Auteurs
de l’Opéra-Bouffon. Il est vrai que nous vivo
prie les Poètes licencieux de vouloir faire. Peut-être que si les
Auteurs
de nos jours fesaient encore la réfléxion que je
esse. Voici ce qu’en dit Plutarque. Je me sers toujours en citant cet
Auteur
Grec de la traduction naïve d’Amiot. « La Volupté
ra croit peut-être nous amuser innocemment. Mais comme a dit encore l’
Auteur
que je viens de citer à l’instant ; « les impress
Drames ou respirent la tendresse & le plaisir ; ou plutôt que les
Auteurs
ayent quelques égards pour la faiblesse humaine,
ilée est plus dangereuse que celle qui se montre à découvert. Les
Auteurs
de notre Opéra se croyent peut-être moins coupabl
seil que donne ailleurs Boileau dans sa poètique, a séduit encore les
Auteurs
du nouveau Spectacle : l’amour, dit-il, fait un b
. Qu’on peut appliquer à notre Spectacle le sentiment de certain
Auteur
. Certain Auteur prétend qu’on ne fait réussir
pliquer à notre Spectacle le sentiment de certain Auteur. Certain
Auteur
prétend qu’on ne fait réussir un Drame qu’en flat
rs qui, en parlant des Drames, ait averti d’en bannir la licence. Les
Auteurs
de Poètique n’en ont presque rien dit, parce qu’i
mots n’en adoucit l’image (5). …… …… Je ne puis estimer ces dangereux
Auteurs
, Qui de l’honneur en vers infâmes déserteurs, Tra
paroles & non pas sur mes actions. Voici les propres termes de l’
Auteur
immortel de tant de Tragédies célèbres : « Ce n’e
il me sera possible. Je donne des éxemples des désordres où plusieurs
Auteurs
du nouveau Théâtre se sont livrés, des images lic
n ! — sa main ! » Sa main revient si souvent, qu’on s’apperçoit que l’
Auteur
craint de trouver des Spectateurs trop crédules.
je ne sçais quel hameau ne dansent qu’au son des trompettes ». Mais l’
Auteur
a fait en sorte que les gens un peu fins se passa
e rendre plus digne d’occuper la Scène. Mazet. Examinons si l’
Auteur
de Mazet a tellement caché son sujet, qu’on ne pu
oh ! Voilà ce qu’il nous faut, Mazet, oui, Mazet, Est notre fait. L’
Auteur
a-t-il mis sans dèssein ? Son seul défaut, hèlas
tre chose. On s’apperçoit que la bienséance Théâtrale a un peu gêné l’
Auteur
. Formera-t-on de nouveau la question, sçavoir s’i
die de Mariamne. (5). J’ai dit plus haut, qu’il fallait même que les
Auteurs
, sur-tout ceux qui travaillent pour le Théâtre, n
rte par un Ouvrage exprès, et qu’il détermine à faire des Comédies un
Auteur
qui craint de blesser sa conscience dans un sembl
s qui ont l’indulgence de les tolérer. » I. Réflexion sur ce que l’
Auteur
avoue que tous les Pères et les Conciles se sont
si les notions communes s’accordent avec les saints Canons. 3°, Que l’
Auteur
s’est écarté du sens commun lorsqu’il a écrit à l
personnes qui passent pour pieuses. 5°, Enfin il faut conclure que l’
Auteur
de la Lettre a mérité les censures de l’Eglise, e
ore par la force du leur autorité. » V. Les pères maltraités par l’
Auteur
, parce qu’il ne les pas lus dans leur source.
ur, qui se gendarment24, qui se déchaînent25 », car c’est ainsi que l’
Auteur
parle toujours des Pères) ne semble-t-il pas qu’i
le toujours des Pères) ne semble-t-il pas qu’il les regarde comme des
Auteurs
peu judicieux, qui n’écoutant point la raison, dé
et l’autorité doivent nous régler. Franchement cette idée basse que l’
Auteur
a des Pères montre bien qu’il ne les a point lus
pas méchante. » pag. 25. VI. On marque ce qui est précisément de l’
Auteur
et non des Pères. Voila déjà plusieurs endroit
et la proposition et la preuve tout est de lui. Car y a-t-il un seul
Auteur
qui n’ait excepté jusqu’à présent les jours solen
elle ne laisse pas d’être dangereuse à plusieurs personnes. Aussi les
Auteurs
ne peuvent-ils de sang froid considérer leurs Com
On sait que M. Corneille et M. Racine ont été loués, comme, les deux
Auteurs
qui ont donné les pièces de Théâtre les plus chas
hastes ; Qui est-ce néanmoins qui n’a pas loué davantage ces célébrés
Auteurs
, d’avoir enfin regardé ce travail comme des péché
us les Prédicateurs ensemble : mais comme a dit fort judicieusement l’
Auteur
de la République des Lettres Avril. 1684. p. 201.
eurs enfants. » VIII. Précis des principaux chefs qui condamnent l’
Auteur
. Que l’Apologiste des Comédiens apprenne donc
IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. 32 Chap. V. Le but des
auteurs
et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes l
bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les
auteurs
dramatiques à composer licencieusement, et les ac
les saints conciles. 168 Chap. XXI. Les spectacles condamnés par les
auteurs
profanes anciens et modernes. 179 Chap. XXII. Le
rofanes anciens et modernes. 179 Chap. XXII. Le repentir de quelques
auteurs
dramatiques d’avoir travaillé pour le théâtre doi
ait, négliger quelque chose. » 1 Que produisent les régles dans un
Auteur
? Rien, ou du médiocre. Rien : si elles ne l’empê
s compilations de régles est plus fort. Il aveugle jusqu’à nos jeunes
Auteurs
. A peine ont-ils, par quelques essais, attiré les
mérite bien un long traité, & on nous en fera un présent. Le même
Auteur
nous assure, qu’aucun Poéte avant lui n’a pris so
amp; des sentimens que Crébillon épouvante & déchire nos cœurs. L’
Auteur
de Mérope, qui semble avoir hérité de Racine le g
nds Poétes sont parvenus à nous inspirer la pitié & la terreur. L’
Auteur
peut donc se dispenser de travailler au traité qu
e que nous n’en avons jamais fait. Ce que nous disons du Théatre, des
Auteurs
& des Comédiens, ne peut être attribué qu’à l
elques dégrès qu’ils soient. Nous n’avons eu intention d’offenser, ni
Auteurs
ni Comédiens. Ceux-ci nous reprocheront peut-être
à apprécier les ouvrages d’esprit, leur juste valeur ; tandis que les
Auteurs
eux-mêmes n’en ont fait avant lui, que des éloges
oup plus difficile à séduire que le goût. S’il étoit possible que les
Auteurs
fissent une entiére abstraction des connoissances
partial, considéré dans chaque individu, qu’il est indefinissable. Un
Auteur
, attaché à son systême, ou entraîné par ses préju
c’est lui plus que la piéce. Cette injurieuse distinction offense les
Auteurs
& les spectateurs éclairés. Les uns en sont t
mber sur eux. N’est-ce pas une véritable profanation, qui humilie les
Auteurs
& désespére les Amateurs ? Oseroit-on dire qu
& d’émouvoir, qu’à des puériles discussions sur les fautes que l’
Auteur
pourra avoir commises. Les facultés de l’ame, ass
ui encore une fois de la lumière. Nous ne dissimulerons point que les
Auteurs
n’ayent une part, même considérable, à ces guerre
sentation d’une de ses piéces, (c’étoit Momus Fabuliste.) L’un de ces
Auteurs
a reculé l’instant agréable d’apprendre au public
riomphe en l’accordant à un Eunuque. Ces acclamations, ces demandes d’
Auteurs
, honneurs qu’on n’a pas faits aux Corneille, aux
oire. Cependant peut-on regarder nos bons comiques et tous les riants
auteurs
de nos délassements, du même œil qu’un amant rega
fauts… mauvaise conclusion. Je crois que, depuis quelques années, les
auteurs
dramatiques travaillent trop rapidement. Quelle f
que la musique empêchera de siffler les paroles. « Adieu, charmant
auteur
de Castor et Pollux, Chantre de l’Amitié, sage e
Racine, vous voyez reculer épouvanté le flot qui apporte le monstre,
auteur
de la mort d’Hippolyte. Le peuple ne s’épouvante
âcher du piment. Le bon goût ne renaîtra que lorsque tant de méchants
auteurs
prosateurs n’auront pas la dangereuse liberté de
Là on voit des pièces moins soignées, rapidement écrites, et dont les
auteurs
ont obtenu la représentation lucrative, sans avoi
dont il remplit un rôle si varié, que c’est une espèce de Protée. Les
auteurs
de ces inventions ont fait preuve d’un meilleur g
agédie de Népomucène Lemercier, représentée en 1797. g. [NDE] Trois
auteurs
de comédies de la fin du 18e siècle. A leur sujet
s, vol. 2, section Documents. h. [NDE] Taconet, ou Taconnet, est un
auteur
dramatique, un comédien et enfin un personnage vu
CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. Avant de quitter cet
Auteur
, qui a quelque célébrité, jetons un coup d’œil su
ser son esprit, & la licence sur la religion, & les mœurs des
Auteurs
& amateurs du théatre. J’y trouve trois cas d
obtenir le pardon de ses crimes ! C’est le jeter dans le désespoir. L’
Auteur
est-il Protestant ? du moins en cet endroit &
uatre-vingt, & trois Financiers seulement, à un de ses sermons. L’
Auteur
rapporte les statuts ridicules de ces filles, dre
t le procès aux villes d’Italie qui tolèrent les Courtisannes. Mais l’
Auteur
a-t-il pensé qu’il faisoit le portrait des trois
honte à se rendre dans leurs coulisses & à les fêter chez soi. L’
Auteur
a du moins la bonne foi de faire sentir l’affinit
rreurs, adoptée du plus petit nombre : c’est la seule qu’il a plu à l’
Auteur
des Essais de recueillir par préférence, pour s’a
ans le mariage que la satisfaction de leurs passions brutales. Mais l’
Auteur
, qui ne s’embarrasse guère du conseil de l’Ange,
, qui savoit mieux l’histoire & pensoit plus religieusement que l’
Auteur
des Essais. Le Comte de Toulouse étoit bon Cathol
campagne. Mais la passion est aveugle, l’irréligion est injuste. Cet
Auteur
ne respecte pas plus le diadème que la thiare. L’
ermeil, le fruit de vos amours & le succès de l’anathème. Quand l’
Auteur
écrivoit ces folies, il venoit sans doute de comp
uple, infiniment plus dangereux & plus remuant que les Papes. Cet
Auteur
très-républicain est-il conséquent ? le peuple a-
l n’est pas approuvé du Pape, & que cette doctrine est commune. L’
Auteur
ajoute de son chef : Il ne disoit que trop vrai,
e n’ont jamais permis de tuer les Rois, même déposés par le Pape. Les
Auteurs
ont dit qu’on pouvoit tuer un tyran qui usurpoit
usement une doctrine monstrueuse pour rendre le Clergé odieux. Mais l’
Auteur
ne paroît pas assez délié philosophe, ni assez éq
’elles soient approuvées, on a droit de s’y enrôler. Qui l’ignore ? L’
Auteur
a cru divertir en faisant faire aux Curés des laz
mp; à ridiculiser l’Eglise d’une maniere aussi insensée que le fait l’
Auteur
? Jules II avoit, dit-il, indignement trompe le R
du Pape Boniface VIII, & réjouir Philippe le Bel. A quoi pense l’
Auteur
, de rapporter, d’approuver, de faire valoir des e
ertin, d’amoureux de la Comtesse de Périgord (car il faut bien chez l’
Auteur
que la galanterie règne par-tout), un monstre enf
ues François, & des décisions sur les proces de France. Mais où l’
Auteur
a-t-il pu apprendre le Droit ? Est-ce dans son Ré
son Curé, où il lui confie toutes les perplexités de sa conscience. L’
Auteur
, charmé de son chef-d’œuvre de morale, de religio
un Négociant Chrétien, ils ne soient tous les deux très-coupables ? L’
Auteur
est mauvais logicien. Son apologie prétendue est
eur signifie qu’on a acheté plusieurs exemplaires des ouvrages de ces
Auteurs
, qui ont été imprimés en Hollande & en Anglet
, qui ont été imprimés en Hollande & en Angleterre ; que quelques
Auteurs
dramatiques étrangers les ont traduits & pill
amatique grossit terriblement les objets. Et ne diroit-on pas que ces
Auteurs
sont les seuls qui font honneur à la nation ? Bos
treignait point à des règles aussi gènantes. Euripide est de tous les
Auteurs
Grecs celui qui la négligea d’avantage. Ce seul d
hez les Grecs ; mais une réponse à quelques critiques faites contre l’
Auteur
, & une prière aux Spectateurs de vouloir bien
ux Personnages, & de quelle manière le nœud se débrouillera ; cet
Auteur
cèlébre se flatte d’attacher autant que s’il piqu
emens accumulés souvent sans choix, dans les Pièces de Lopès de Véga,
Auteur
Espagnol, & sur-tout dans celles de Shakespéa
la forêt de Chéroud. Je voudrais bien sçavoir ce qu’on penserait d’un
Auteur
, qui représenterait le Capitaine, ou l’Inspecteur
hans Poètes mettent souvent des Chevilles dans leurs Vers, de même un
Auteur
médiocre termine ses Drames par des choses forcée
énouement des Pièces du nouveau genre doit venir promptement. Que les
Auteurs
qui se destinent à travailler pour le Spectacle m
n du Village. Le fameux citoyen de Genève est le seul de tous les
Auteurs
d’Opéras & de Comédies qui ait amené avec Art
génie & de gout, distinguent les ouvrages des grands hommes. Les
Auteurs
d’Opéra-Bouffons, ou de la Comédie-mêlée d’Ariett
riettes, devraient bien s’éfforcer d’imiter dans leurs Vaudevilles, l’
Auteur
immortel dont je parle ici. Voilà toutes les règl
ens de notre Opéra, & s’ils ne s’écartent point des préceptes des
Auteurs
qui ont écrit sur le Théâtre. Les Dénouemens
nte se dissipe. Que voulait on que le dénouement lui fit éprouver ? L’
Auteur
pouvait le reculer autant qu’il lui aurait plû. I
is dénouement possible. Aristote le condamne sans réserve ; & les
Auteurs
de Poétique, ou plutôt ses Commentateurs, n’ont p
nt dans plusieurs de leurs dénouemens, il faut avouer aussi que leurs
Auteurs
se rendent presqu’éxcusables d’un si grand défaut
dont elle releva la fortune. Sur le portrait de Mad. de Montespan, l’
auteur
ajoute cette réflexion galante : Il n’est pas be
u de mots qui marque autant le caractere de l’ouvrage que le nom de l’
auteur
. Le nombre en est très-grand, & ce ne sont pa
ître, l’estime la fortifioit sans cesse. Ce portrait étoit digne de l’
auteur
du Misantrope, & de celui qui peignit le Val-
nitence de ses scandales, mais ils ne sont pas faciles à réparer. Cet
auteur
ajoute une réflexion très-vraie & très-sages.
t la preuve : hors le comique, c’est l’écrivain le plus médiocre. Les
auteurs
comme les arbres ne donnent qu’une espece de frui
Mignard, c’est d’avoir été grand ami de Scarron, ce bouffon célebre,
auteur
de plusieurs mauvaises comédies, qui amusa le mon
du comique, Mignard n’avoit pas besoin de ces illustrations, & l’
auteur
de sa Vie en les méprisant auroit dû les aprécier
er, chanter, danser, comme feroit la personne qu’il représente. Peu d’
auteurs
, même les plus célebres, qui n’y manquent : chacu
rler ses personnages selon son génie. Tout a l’humeur gasconne en un
auteur
gascon. Tout cela suppose dans l’auteur, dans l
t a l’humeur gasconne en un auteur gascon. Tout cela suppose dans l’
auteur
, dans l’acteur, dans les décorations, le décorate
ssemens du public. Le sieur Sahalin, plein de reconnoissance pour les
auteurs
, appuie tous ses titres sur le Théatre. Un habit
s, prenoient les armes, en venoient aux mains, & s’égorgeoient. L’
Auteur
regrette donc ces admirables effets de fureur &am
e danger & la licence du Théatre qui les y excitoient. Mais que l’
Auteur
se console. Aux fureurs près, que, grace à la gar
garde sagement établie par la police, on voit rarement parmi nous, l’
Auteur
n’a rien à regretter du côté du libertinage. Notr
e du cœu qui ordonne les mouvemens du corps. On Voit dans les anciens
Auteurs
une foule de noms divers de chants & de danse
anteries ; de-là l’esprit général des acteurs, spectateurs, amateurs,
auteurs
, qui n’est pêtri que de débauches, l’empire des a
trancher d’un ton de prince, sans air protecteur, recevra le modeste
auteur
; Chloé, qu’on vit si mince, dans son éclat, se s
sur une Scène qu’on dit être l’Ecole des mœurs ? Que doivent être les
auteurs
qui les font agir & parler, & les acteurs
& la mythologie à l’Opéra. Quels héros que les acteurs & les
auteurs
! quelles héroïnes ! quelles déesses que les actr
ur le public, sur-tout venant de voir jouer le Tartuffe de Moliere. L’
auteur
qui a imaginé ces absurdités, le Journaliste qui
& dans sa conduite, & dans ses ouvrages. Le Mercure, ami de l’
auteur
, adoucit quelques traits de la piece : il change
aractere si frappant & si distinctif, qu’il fait tout à coup d’un
Auteur
un homme à part. C’est un talent suprême ; il ces
ulement parce que ses Fables & ses Contes sont pris dans quelques
auteurs
, mais parce qu’ils ont tous le même habit, le mêm
argé du choix des acteurs et de la distribution des rôles, tant que l’
auteur
n’avait pas été couronné dans l’une des solennité
spions domestiques et de délateurs au théâtre. Quoique en arrière des
auteurs
dramatiques de nos jours dans la carrière licenci
à nu le libertinage. Un déplorable échange se faisait alors entre les
auteurs
et le parterre ; ils lui rendaient les caricature
e plus grand scélérat sortant du spectacle serait content de lui. Les
auteurs
semblent s’être mis au défi, et lutter entre eux
ulement souillée de ses crimes ; mais usant des libertés poétiques, l’
auteur
la charge d’atrocités dont aucun monument histori
sser l’éclat des vertus. Pénétrer l’ame d’horreur est le seul but des
auteurs
d’aujourd’hui, mais est-ce bien là remplir la mis
urait eu le défaut d’attacher l’admiration publique au coupable, si l’
auteur
n’avait eu soin de porter sur un second personnag
par le simple bon sens et l’intrépide vertu de Zopire. Il fallait un
auteur
qui sentît bien sa force pour oser mettre vis-à-v
œurs et la vertu, il aurait fait plus de Mahomet que de Zopire. » Nos
auteurs
en s’écartant d’une route suivie par nos grands m
minel. Si au lieu d’ensanglanter la scène par le meurtre de Stella, l’
auteur
eût mis dans l’âme de cette femme des sentiments
vant dans la mémoire, ne finissent pas par corrompre la société ? Les
auteurs
, pour se justifier, ne peuvent pas se prévaloir d
plus soumis aux sentiments de ses contemporains pensait du devoir des
auteurs
dramatiques envers le public ; en parlant de sa t
de son Historiographe, & en a donné le brevet au sieur du Rosoi,
auteur
de plusieurs piéces de théatre, & d’un abrégé
armontel, Historiographes de France & de l’Académie Françoise. Un
auteur
dramatique, un romancier, comme les trois dernier
du théatre-Italien, du théatre de la Foire ; mais ce ne sont que des
auteurs
particuliers, qui par zèle, ont transmis à la pos
n dramatique, un Eclony, un Fontete qui feront la bibliotheque de ses
auteurs
; un Sulliger, un Petau qui en arrangeront la cro
articulier aura son Don Vaisset, son du Rosoi pour ses annales. Que d’
auteurs
vont courir dans la carriere, que les peintres &a
est de la relation, on a cru qu’il était à propos d’avertir ici que l’
auteur
n’a vu la pièce qu’il rapporte que la seule fois
fficulté qu’il y a eu à en retenir seulement ce qu’on en donne ici. L'
Auteur
s’est contenté la plupart du temps de rapporter à
dernière partie, on n’aurait point vu la plupart de la dernière, et l’
Auteur
n’aurait fait que la proposer sans la prouver, s’
général, on prie les Lecteurs de considérer la circonspection dont l’
Auteur
a usé dans cette matière, et de remarquer que dan
nage si précis de sa conduite, s’ils n’en jugent pas équitablement, l’
auteur
a sujet de s’en consoler, puisqu’il ne fait enfin
les du Théâtre moderne. C’en est assez pour le fait, contre quoi nos
Auteurs
ne s’inscriront pas en faux : au regard du droit,
te misérable qu’est cette irréligion, j’ai de la peine à croire que l’
Auteur
s’en sache mauvais gré ; vu qu’il a bien senti qu
ns et plus burlesques sur la résurrection des morts. Sans doute que l’
Auteur
de Don Sébastien ne compte pas trop de se voir un
x à un aussi grand miracle que le fut la délivrance des Israélites. L’
Auteur
de Don Sébastien n’a parlé jusqu’à présent que pa
ter les baromètres pour y apprendre à quel degré elle en est. Le même
Auteur
dit dans son Epître dédicatoire de Juvénal et de
y en apporter d’ailleurs. Mais, il est de la justice qu’on rende à un
Auteur
tout ce qui lui appartient et qu’on le fasse valo
comporte ainsi, que par un esprit d’équité ? La justice due à un tel
Auteur
, ce serait de le brûler : ou pour le moins, la pu
ttait à nos pères, il est clair que Mr Dryden entend par la Nature, l’
Auteur
même de la nature. Alphonso Ibid. continue et com
doxe joints ensemble font un effet qui répond assez au caractère de l’
Auteur
: car rien n’a plus l’air d’une imprécation contr
e dut éclater avec plus de fondement. C’est pour de tels sujets que l’
Auteur
de la nature a donné au sang qui coule dans nos v
i se dit réformée, à la face de toutes les Puissances. Certainement,L’
Auteur
regarde les Comédies Anglaises comme des ouvrages
après celle-ci, Almeida retombe dans la même fougue de démoniaque. L’
auteur
du Fourbe marche sur les traces de sonL’Auteur de
ir si l’on veut de la bouche infernale d’où elle est partie :P. 44. l’
Auteur
du Relaps la répétera encore volontiers, lui qui
. L’Amour Désintéressé nous marque encore plus quels fruits le même
Auteur
retire de la lecture des saints Livres. Jésus-Chr
érité, et je puis le remettre dans le bon chemin. » Véritablement, un
Auteur
pour qui le blasphème n’aurait pas un attrait ext
on sur le Théâtre, et y porte toujours avec soi sa justification ? L’
Auteur
du Relaps est toujours le même. Lorsque le Jeune
rononcé par Mr Le Digne n’était que trop détaillé à la confusion de l’
Auteur
. Berinthie pousse son allégorie soutenue égalemen
sera peut-être pas inutile de nous rappeler à présent la conduite des
auteurs
Païens. Cependant, on ne doit point être surpris
ndant, Plaute me fournit encore de quoi confondre l’irréligion de nos
Auteurs
. Mil. Glor.« Pleuside souhaiterait que les Dieux
ient qu’elle n’a été composée par aucun des Sénèque, mais par quelque
Auteur
plus récent, et de plus basse classe. Revenons à
s susceptible des agréments de la poésie Dramatique, il fallait que l’
auteur
en fît un petit sacrifice au bon sens, selon la r
ce n’est pas ce trait-là de Sénèque, c’est son impiété qu’imitent nos
Auteurs
modernes. Leurs furieux, le sont presque toujours
P. 34. Ibid. Ibid. Titre employé par les petites gens. Ibid. Ibid. L’
Auteur
regarde les Comédies Anglaises comme des ouvrages
ue les Oracles qu’ils rendaient autrefois. Don Sébastien. C. p. 51. L’
Auteur
de la Pièce précédente. P. 19. P. 44. P. 18. Gene
ntre la Comédie & l’Opéra, Orléans, 1697. Cet Ouvrage, qui a pour
Auteur
M. Lalouette, est dogmatique & historique. On
re sainte, des Conciles & des Peres de l’Eglise sur la Comédie. L’
Auteur
cite de l’Ecriture sainte le Livre des Proverbes,
e 59. « Mais, pour lire l’Ecriture Sainte utilement, il faut, dit un
Auteur
respectable, le faire avec soi ; & pour lors
siecle. M. Lalouette croyoit que Hedelin d’Aubignac étoit le premier
Auteur
François qui dans le dernier siecle eût osé entre
té les Comédiens ». Cet aveu accuse & condamne la témérité de cet
Auteur
: Habemus confitentem reum. D’ailleurs c’étoit un
tres. Elle fut réimprimée en 1694. Elle est d’Hedelin d’Aubignac. Cet
Auteur
croit y justifier nos Spectacles, en prétendant q
d du cœur une approbation volontaire en l’honneur des Idoles. Comme l’
Auteur
sçavoit qu’on pouvoit lui repliquer que les Peres
e des Spectacles doit être mise avec le Roman de Macarise que le même
Auteur
donna, & que Richelet se reprocha d’avoir lou
te. Ce dernier titre ne lui convient pas mieux. Tous les efforts de l’
Auteur
pour donner quelque couleur à une mauvaise cause,
e tendent qu’à essayer d’embrouiller la matiere qui en est l’objet. L’
Auteur
feint de paroître embarrassé par la contradiction
es, les emplois destinés à cette fin sont permis. De cette réponse, l’
Auteur
dit que Saint Thomas tire trois conséquences ; qu
il n’y a point de mal à les payer, mais que c’est une justice. Delà l’
Auteur
avance que les Peres n’ont condamné dans les jeux
ant aux dispositions des loix ecclésiastiques contre les Comédiens, l’
Auteur
prétend aussi s’en dégager, en disant qu’elles ne
int dans les lieux saints. Quant à ceux qui assistent à la Comédie, l’
Auteur
avoue qu’il auroit peine à exempter de péché les
arum nostri temporis Parænesis, Patavii, 1630. François del Monacho,
Auteur
de cet Ouvrage, étoit Sicilien, d’une illustre fa
d’objections qu’il n’ait prévus ; & le tout y est décidé par les
Auteurs
les plus respectables. Quant au Traité de Françoi
trois Livres, où il est traité 1°. de l’usage de la Comédie ; 2°. des
Auteurs
qui soutiennent le Théatre ; 3°. de la Comédie &a
le 13 Octobre 1625, & mort à Paris le 16 Novembre 1695], en est l’
Auteur
. Ce Traité se trouve dans le troisieme Tome de se
de conséquences en conséquences, qu’un fameux incrédule disoit de cet
Auteur
: Quand on le lit, il faut prendre garde à soi ;
s Ministres Protestans, & enfin des Payens mêmes. Ce Livre a pour
Auteur
M. l’Abbé Gauthier, qui est Curé de la Paroisse d
hefoucault, un peu trop de dégoût du monde. Mais, comme l’a observé l’
Auteur
de l’Essai sur la Comédie moderne, où l’on réfute
e est dédié à M. le Prince de Conti, fils de M. le Prince de Conti, l’
Auteur
du Traité contre la Comédie. Cet Ouvrage de M. Vo
de chaque siecle, qui ont condamné la Comédie & les Spectacles. L’
Auteur
répond aux passages de S. Thomas & de S. Fran
Roi, n°. D. 4543. On attribue cette Réponse au sieur de le Leval. Cet
Auteur
y démontre que nos Pieces de Théatre étant imitée
norme. Le Pere de la Grange, Chanoine Régulier de Saint-Victor, est l’
Auteur
de cette Réfutation, ou toutes les raisons employ
ure Sainte, des Peres de l’Eglise, des Canons des Conciles, & des
Auteurs
respectables, anciens & modernes, tant ecclés
s relâchés du nouveau Théologien touchant la Comédie. Paris, 1694. L’
Auteur
de ce solide Ouvrage déclare [page 133] avoir été
e premier siecle jusqu’à présent. Le P. le Brun, de l’Oratoire, est l’
Auteur
de ces Discours. Le premier est une réfutation de
amp; la troisieme depuis les Scholastiques jusqu’à nous. L’idée que l’
Auteur
donne de la Comédie des premiers siecles de l’Emp
’il y en eut de plus honnêtes que celles d’à présent. Après cela, cet
Auteur
rapporte ce que les plus sages des Payens, comme
s ont condamnés en France. Enfin, dans une Lettre qui est à la fin, l’
Auteur
résout quelques difficultés qui lui avoient été p
lusieurs éditions. Il en fut donné une en 1731. M. de la Roque, alors
Auteur
du Mercure de France, l’annonça avec beaucoup d’é
it assez étendu. Il le termina, en disant qu’on ne peut témoigner à l’
Auteur
, de même qu’à l’Editeur, trop de reconnoissance d
n Partisan fanatique des Théatres en fut si irrité, qu’il adressa à l’
Auteur
du Mercure la Lettre qu’on vient d’indiquer. En v
il vivoit encore, qu’on ne l’a été à en exiger une du P. Caffaro ». L’
Auteur
du Mercure n’hésita pas à insérer cette Lettre da
liotheque du Roi, n° D. 4540 : on attribue cet Ouvrage à M. Coutel. L’
Auteur
y établit l’uniformité des sentimens qui se trouv
ui s’y répand par tous les sens dans l’esprit & dans le cœur ». L’
Auteur
de ce Journal eut alors à rendre compte d’Ouvrage
re : Lettres historiques sur tous les Spectacles de Paris, 1719. Cet
Auteur
cite comme des anecdotes avantageuses aux Théatre
lure en faveur des Théatres publics. Ainsi c’est sans fondement que l’
Auteur
des Lettres historiques sur les Spectacles, donne
Réponse à la Préface de la Tragédie de Judith. Paris, 1695. Boyer,
Auteur
de cette Tragédie, prétendoit faire illusion par
e Drame, & rendre légitime la fréquentation des Théatres ; mais l’
Auteur
de la Réponse qui lui fut adressée, démontre qu’e
me dans la Tragédie de Judith, on a inventé l’intrigue de Mizaël. Les
Auteurs
de ces prétendues Pieces saintes Pensent faire
possible d’exécuter ce projet dans toute la régularité proposée par l’
Auteur
. Mais en admettant cette possibilité, seroit-il d
avoir le plus grand respect ». Lettre de M. Bordelon. Paris, 1699. L’
Auteur
prouve que si l’on exige de ceux qui vont aux Spe
e apologie outrée des Théatres. Mais quelle autorité pourroit avoir l’
Auteur
d’une multitude de libelles décriés par les satyr
ent à ne pas en perdre le goût dans leurs années les plus avancées.
Auteurs
qui voulez prendre place Près du Chantre, ami de
qu’on avoit abusé du nom de ce grand Poëte. C’étoit une fiction que l’
Auteur
même de la Réponse avoit imaginée, avec intention
s de Mars 1743 ; elles ont pour objet l’apologie des Théatres. Mais l’
Auteur
hésite à accorder à la Comédie l’honneur de la de
Théatres qui est examinée avec impartialité dans ces Observations : l’
Auteur
y traite de préjugés odieux, les jugemens de nos
r ». Au reste, cette opinion répond à cette maxime voluptueuse que l’
Auteur
a choisse pour servir d’épigraphe à ses Observati
’art du Théatre, D***. à M. J.J. Rousseau, Citoyen de Geneve. 1759. L’
Auteur
de ces Considérations est Dorval, qui étoit alors
t alors Comédien à Lyon, & dont le nom de famille est Villaret. L’
Auteur
y soutient que les Théatres sont favorables aux m
; avantageux à la Société ; que l’exercice de l’art dramatique, comme
Auteur
& comme Acteur, est honorable ; & doit êt
es coups redoutables que M. J.J. Rousseau venoit de porter contre les
Auteurs
, les Acteurs & les Spectateurs Scéniques. M.
ts de Morale, par Jean la Placette. Amsterdam, 1707. On sçait que cet
Auteur
est célebre par ses Traités de Morale ; & qu’
fait sentir que le mauvais goût des Spectateurs, la foiblesse que les
Auteurs
ont de s’y prêter, & la corruption des Acteur
isiez un si mauvais usage des talens que Dieu vous a donnés. Le jeune
Auteur
écouta cet avis, en profita sans murmurer ; &
amp; alarmés, tout ce qu’un zele éclairé & véhément dicte à notre
Auteur
Espagnol contre leur fausse sécurité. L’Ecriture
! On en trouve ici de vives peintures tracées d’après les plus graves
Auteurs
. On ne revient point du Spectacle comme on y étoi
&c. Après avoir fait éclater son zele en Orateur Chrétien, notre
Auteur
reprend le ton d’un profond Moraliste, & exam
s, leurs maximes contraires forment ici un contraste frappant, dont l’
Auteur
profite pour rappeller aux Chrétiens la sainteté
e dans son essence, que pour le réprouver dans ses productions. Ici l’
Auteur
reprend de nouvelles forces ; il se met à la tête
er les Théatres ? On peut aisément deviner la réponse qu’y fait notre
Auteur
: des principes qu’il vient de nous exposer, il c
le joint toujours à ses exhortations la même abondance de Doctrine. L’
Auteur
entre dans la troisieme question par une expositi
eatium, regium Typographum. Superiorum permissu ; in-8°. 416 pages. L’
Auteur
de cet excellent Ouvrage est M. Paul Rulfo, Docte
e These y est soutenue avec une érudition imposante & agréable. L’
Auteur
a rempli l’idée de ces trois vers de Lucrece qu’i
t ne pouvoit mieux l’exécuter. On trouve dans ce seul volume ce que l’
Auteur
s’est proposé d’y donner, c’est-à-dire un extrait
extrait est fait avec tant d’intelligence, que ce qui a échappé à un
Auteur
, se trouve suppléé ; de même que ce qui est obscu
uelques-uns : & pour lors quelle consolation n’est-ce pas pour un
Auteur
de contribuer à lever le bandeau qui étoit un voi
ée. Il est divisé en deux Livres. Le premier contient 28 Chapitres. L’
Auteur
y expose les raisons qui proscrivent les Théatres
de leur double autorité ? Mais, comme l’a dit dans un Ecrit latin un
Auteur
que nous avons eu occasion de citer plusieurs foi
sur la Comédie moderne, dont nous donnons l’extrait. Il paroît que l’
Auteur
n’a pas été ébloui par les Observations de M. Fag
nient pas leurs armes avec autant de dextérité & de succès, que l’
Auteur
de l’Essai sur la Comédie moderne. 1°. Quoi qu’en
avec peine obligés de tolérer dans leurs Etats. Mais revenons à notre
Auteur
de l’Essai sur la Comédie moderne. Il appréhendoi
là un tableau vrai des Pieces de Moliere. « Les vices, continue notre
Auteur
, n’y sont jamais peints avec des couleurs qui les
endu avantage ». Nous ajouterons ici, pour fortifier ce que dit notre
Auteur
, le sentiment de M. l’Abbé de Saint-Pierre qui, e
nt plus pernicieuses qu’utiles au perfectionnement des mœurs ». Notre
Auteur
de l’Essai sur la Comédie moderne, trouve que c’e
es hommes & de les rendre meilleurs ». Quant aux Tragédies, notre
Auteur
leur reproche que les leçons du vice, comme de l’
aux personnes du Théatre, sont indépendans de leur profession, notre
Auteur
est bien éloigné de l’adopter. Il pense qu’indépe
e du succès fournissent des armes au vice. Nous ne suivrons pas notre
Auteur
dans ce qu’il dit contre les sophismes & les
des Apologistes des Spectacles. Nous passons à la conclusion de notre
Auteur
. En voici la substance : « Il est impossible que
leur en a fait un devoir ? « N’est-il pas bien cruel, dit-il, que les
Auteurs
de Cinna, d’Heraclius, de Phedre aient été fondés
ouve sur d’autres objets une empreinte contagieuse des égaremens de l’
Auteur
, dont les jeunes gens pourroient abuser. C’est po
t eu un témoignage aussi imposant contre nos Théatres. Voici ce qu’un
Auteur
Protestant, M. Antoine-Jacques Roustant, en a dit
plus qu’elle n’instruit. Les tons, les regards, le geste, l’ame que l’
Auteur
donne à toutes les passions, sont la source de la
e représenter des Comédies dans les Eglises, & ce que dit le même
Auteur
sur la sainteté des sujets : qu’il ne convient pa
Innocent III. Dans les sixieme, septieme & huitieme chapitres, l’
Auteur
prouve les dangers des Spectacles, la prohibition
d’une lecture tranquille, à la représentation animée d’une Piece. L’
Auteur
emploie le dixieme & dernier chapitre à prouv
s d’attirer & d’amuser la multitude. Louis Fabrice, par exemple,
Auteur
Protestant, Professeur en Théologie à Heidelberg,
ait passer des vices grossiers pour des choses très-pardonnables. Cet
Auteur
vouloit qu’on se rapprochât du goût des Athéniens
é au Théatre d’Athenes, de Rome & de France ; & l’Opinion des
Auteurs
tant profanes que sacrés touchant les Spectacles
ns. Les mœurs & la Religion n’ont pas de plus grands ennemis. « L’
Auteur
de la nature a distingué la vertu d’avec le vice
nflammer le zele à plus juste titre ? C’est pour de tels sujets que l’
Auteur
de la nature a donné au sang qui coule dans les v
es hommages, Pour avoir usurpé la qualité de sages145. M. le Blanc,
Auteur
de la Tragédie des Druides, a bien protesté qu’il
étruire ; & j’en aurai la gloire146. Voilà le dessein caché des
Auteurs
de ces diatribes rimées, déguisées en drames, con
ours que le vraisemblable exige. Quand on n’auroit pas à imputer à un
Auteur
d’une Tragédie tous les mauvais sentimens qu’il é
ou plutôt on doit interdire le Théatre à certaines Pieces, soit que l’
Auteur
y débite, soit qu’il n’y débite pas ses sentimens
ciproque ne parviendroit à son apogée qu’après la mort du mari, que l’
Auteur
fait arriver à volonté pour opérer le dénouement
ette galante intrigue. Or ce Roman a été critiqué. Est-ce parce que l’
Auteur
, l’ayant donné sous la forme de Lettres, l’action
ente d’abord l’image du crime ? Non. La critique a porté sur ce que l’
Auteur
a donné trop de vertu à son Héroïne, en lui faisa
mœurs sur les Ecrits, & des Ecrits sur les mœurs. Voilà comme les
Auteurs
dramatiques, de même que les Compositeurs de Roma
reprise ne peut avoir son utilité que pour l’Histoire Littéraire. Les
Auteurs
ont bien avancé dans le Prospectus de l’Ouvrage «
ns, mais bien difficiles à remplir à l’égard de pareils Ouvrages. Les
Auteurs
de cette Bibliotheque « voyoient, disent-ils, ave
ut romaniser pour le bien des hommes & la plus grande gloire de l’
Auteur
! Concluons que les Romans, quels qu’ils soient,
équence. L’Acteur se perd par sa fatuité. Contre un juste Public, un
Auteur
révolté, Se prétend bel-esprit, malgré son ignora
des Ecrits de M. Gresset, annoncent ses justes préventions contre les
Auteurs
des Ouvrages impies & licencieux. Quel heureu
e second tome du Code de la Religion & des Mœurs, page 383, que l’
Auteur
de l’Ouvrage intitulé : Querelles Littéraires, au
ique de la Lettre de M. J.J. Rousseau à M. Dalembert ; Paris, 1760. L’
Auteur
de cette Lettre est Mr Secousse, Curé de la Paroi
Parlement de Paris, du 22 Avril 1761, qui condamne la Consultation. L’
Auteur
de ces Lettres est le P. Joseph-Romain Joly. Il e
spéculations politiques, économiques & morales : il paroît que l’
Auteur
a eu en vue d’en faire comme la Philosophie des P
rapports avec les mœurs des Grands & avec les mœurs générales. L’
Auteur
y peint les suites funestes de la corruption de n
III & Henri IV. Cet Ouvrage n’auroit mérité que des éloges, si l’
Auteur
avoit été aussi exact sur la fidélité due aux Roi
e ; on ne l’employoit pas pour exciter la terreur & la pitié. Les
Auteurs
Dramatiques mettoient en œuvre d’autres ressorts.
énerver. « Il n’y a point en cela d’exception à faire de Nation ni d’
Auteur
; François, Anglois, Espagnols, Italiens, Habitan
comme ces ouvrages, qu’il reste à indiquer, ont été composés par des
Auteurs
attachés, par état ou par goût, aux Théatres, ils
édition. Paris, 1767. Cette édition est pareille à celle de 1743. Cet
Auteur
dit dans la Préface, que son plan de réformation
rt au dessous de la pureté des meilleures Pieces de Plaute. Aussi cet
Auteur
croit-il avec raison, que son plan est encore sus
ntraire, & ne soient pas révoltés par mon systême ». Au reste cet
Auteur
indique la voie la plus sûre pour faire tomber le
Ecrit se trouve joint à la derniere édition de l’Ouvrage précédent. L’
Auteur
soutient que toutes nos Comédies n’ont pas attein
que d’observations Littéraires ; néanmoins elles font connoître que l’
Auteur
n’ignore pas qu’il y a des risques pour les mœurs
te qui trouble l’équilibre & l’harmonie du cerveau. Cependant cet
Auteur
ne se livre pas à son zele jusqu’à s’aveugler sur
t averti d’en bannir la licence. » Je ne puis estimer ces dangereux
Auteurs
, Qui de l’Honneur en vers infames déserteurs, Tra
s rendent le Vice aimable. Desp. Art poét. « Il faudroit que les
Auteurs
, surtout ceux qui travaillent pour le Théatre, n’
pleine de ces doux sons, Avec quelque Médor pratiquer ces leçons. L’
Auteur
de l’art du Théatre, en parlant de la musique vol
ue, dont l’invention doit être même considérée comme un présent que l’
Auteur
de la nature nous a sait pour l’employer à chante
Dissertation sur les Spectacles, par M. Rabelleau. Paris, 1769. Cet
Auteur
propose sérieusement de faire de la profession de
n dresse des Théatres, & on devient des Comédiens. Ainsi ce qu’un
Auteur
satyrique disoit d’un Peuple, s’est réalisé de no
donné avec raison, comme un Ouvrage fait dans le plus grand délire. L’
Auteur
prétend qu’il faut nécessairement que le François
in-12. M. l’Abbé Gerard, Chanoine de Saint-Louis du Louvre, en est l’
Auteur
; & il en a dédié à la Reine la seconde éditi
vu éclore tant d’idées bizarres, du nombre desquelles est celle de l’
Auteur
de l’Essai sur l’Art dramatique, lorsqu’il propos
cquitté ingénieusement ; mais il a omis de relever les impiétés que l’
Auteur
de cet Essai n’a pas craint d’y insérer. Telle es
leurs fréquentes exclamations & leur éloquence gesticulante. Cet
Auteur
donna en 1771 une Tragédie en prose, intitulée Ol
mp; Abbé de Saint-Leger de Soissons195. Il n’est pas surprenant que l’
Auteur
du Mimographe déclare, p. 311, avoir été révolté
eaux ravissans ! Tous les Arts à la fois séduisent tous mes sens. L’
Auteur
se ressentoit encore de ce funeste enchantement,
Ouvrages, N’offrent jamais de vous que de nobles images. … … … … … Un
Auteur
vertueux, dans ses vers innocens, Ne corrompt poi
l auroit été le sort de toutes les apologies des Spectacles, si leurs
Auteurs
avoient sincérement consulté des gens de Lettres
lies que sur la coutume & l’amour du plaisir. Tout l’art de leurs
Auteurs
ne consiste qu’à éblouir par des subtilités &
, & que nous avons indiqué [page 227 de ce vol.] on vit plusieurs
Auteurs
estimables de l’Italie s’en alarmer196, & réc
ssent encore aux Acteurs de donner de grosses touches, comme le dit l’
Auteur
des Lettres à Eugenie, qui parurent en 1774, &
qui concerne le jeu & la déclamation. On y reconnoîtra que leurs
Auteurs
, tels que les d’Aubignac, les Raimond de Sainte-A
ov. du 12 Juillet 1775, est aussi intéressante que celles que le même
Auteur
a faites des Livres intitulés : de la Nature, &am
sprits François, Russiens & autres, enfin sous les sophismes de l’
Auteur
du Systême Social qui ose soutenir, dans le Chapi
mprudence de ceux qui devroient la garantir des dangers ? Si quelques
Auteurs
illustres & chers aux Nations ont connu le vr
cteurs publics étant toujours dans les liens de l’excommunication, un
Auteur
élevé dans la Morale chrétienne, ne sçauroit, sou
raires sur le Théatre, en 5 volumes in-8°. Ce dernier Ouvrage a pour
Auteur
un Sçavant respectable, M. l’Abbé de la Tour, Doy
e un établissement national & patriotique. Paris 1772, in-12. Les
Auteurs
de ces deux Ecrits trouvent dans la fureur de not
etour de l’ancien Opéra Comique. M. le Chevalier du Coudrai en est l’
Auteur
. « Selon des gens, y dit-il, Trois Spectacles suf
ieu, amor suî usque ad contemptum Dei 222, ne tenoient pas moins de l’
Auteur
de tout bien toutes leurs belles qualités. Dieu l
diteurs sensés, comme l’ouvrage d’un véritable homme de Lettres, d’un
Auteur
plein de raison, de graces & de goût, & d
dans son Epître à M. de Breteuil : L’amour du vrai me fit lui seul
Auteur
, Et la vertu fut mon premier Docteur. On sçait
e l’impertinence ; delà toutes les humiliations qu’ils font subir aux
Auteurs
qui, ayant la foiblesse de se dévouer aux amuseme
n, comme l’a observé M. de Querlon 243, n’est plus humiliant pour les
Auteurs
de Drames, que la lecture qu’ils ont à faire de l
en qu’essuient dans le Sénat comique la personne & l’ouvrage d’un
Auteur
débutant ? Qui n’est pas un peu déconcerté par de
re, se tourna du côté du parterre, & dit : « Messieurs, je suis l’
auteur
d’une Piece intitulée le Suborneur, qui a été jug
moins toujours admiré pour l’énergie des sentimens. On sçait que son
Auteur
[Jacques Vallée des Barreaux, Conseiller au Parle
Numina Mors instans majora facit. C’est donc par vanité, dit l’
Auteur
de l’Anti-Dictionnaire Philosophique 253, qu’on f
lmé, rit des foibles Humains. Boileau, Sat. I. Il n’y a, dit un
Auteur
respectable255, que le cœur pénitent qui puisse f
rs de la Religion, ils décrient leurs Ouvrages sans les lire, & l’
Auteur
encore plus volontiers que l’Ouvrage. Cette mauva
s, mœurs, &c ? Et quoiqu’assez généralement, comme l’a observé un
Auteur
, nos Epicuriens se pressent tous, plus ou moins,
iere. Enfin, c’est de cette raison corrompue & altérée que les
Auteurs
dramatiques reçoivent la loi pour le costume mora
de leurs Poëmes, selon une espece de Poétique qui parut en 1741264. L’
Auteur
de cet Ouvrage didactique lui a donné un caracter
ur la pureté de la Langue Nationale. Mais si notre Théatre, selon cet
Auteur
, n’a pas même cette espece de mérite, combien enc
s : c’est par-là que nous fixons notre réputation. Rien, dit M. Law,
Auteur
Anglois268, ne nous peut plaire que ce qui s’acco
jet avoit exigé de nombreuses Citations. « Ces armes empruntées par l’
Auteur
, ont-ils dit, servent autant à orner qu’à fortifi
ainte ; le Traité de l’éducation d’un Prince, les Conférences sur les
Auteurs
& la Discipline des premiers siecles de l’Egl
gé en 10 volumes in-12, par François-Philippe Mesenguy [mort en 1763]
Auteur
d’une Exposition de la Doctrine Chrétienne, 4 vol
ibué à feu M. l’Abbé Martin, & à M. l’Abbé Sabbatier, de Castres,
Auteur
d’un Dictionnaire de Littérature, imprimé en 1770
e est tiré du deuxieme Chant de la Jérusalem délivrée du Tasse. 195.
Auteur
de quelques Lettres sur un Ouvrage intitulé : Bib
in-12 ; & qui a été réimprimé en 1774 en 4 volumes in-12. Le même
Auteur
a aussi donné sur l’Italie un Ouvrage dont nous a
ans la huitieme Feuille des Provinces de 1773, à M. de Saint-Lambert,
Auteur
du Poëme des Saisons, dont nous avons ci devant p
ux décisions de cet Ecrivain très-judicieux & tres-integre. 262.
Auteur
du Livre de l’Esprit, caractérisé page 453 de nos
CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. Cet
Auteur
, homme d’esprit, a donné plusieurs pieces de théa
donné : qui s’embarrasse des mœurs & de la décence ? Lett. 95. L’
Auteur
, sans doute pour plaisanter, paroît faire grand c
! Pourquoi le souffre-t-elle ? Lett. 7. On soupçonne Freron d’être l’
auteur
des Amours de Vénus & d’Adonis. C’est sans do
ortune du gros Panard). Ce n’est pas du côté de la belle gloire que l’
Auteur
paroît avoir envisagé cette affaire. Cet Ecrivain
ivain, assez médiocre, suit en cela l’usage de tous les dramatiques :
Auteurs
& Acteurs, la bourse & le plaisir sont le
intrigues de la cabale dévote n’ont pas empêché le Pape d’écrire à l’
Auteur
une lettre flatteuse sur le mérite littéraire de
été retirée pour de pareilles raisons ; elle est trop républicaine. L’
Auteur
aime les révolutions, les conjurations, les élans
s, des persécutions, des dégoûts auxquels sont sans cesse exposés les
Auteurs
dramatiques. Il faut avoir de grands besoins pour
, à moins qu’on ne fasse précéder les présens. Que faire ? A Rome les
Auteurs
faisoient vivre les Comédiens, en France les Comé
faisoient vivre les Comédiens, en France les Comédiens font vivre les
Auteurs
. Lett. 30. Quand on jouoit Zaïre Voltaire y faiso
livre classique. C’est vouloir empoisonner la jeunesse. Racine est l’
Auteur
le plus passionné, le plus séduisant, le plus pro
de théatre qu’il avoit épousée, l’Impératrice Théodore, dit Procope,
auteur
suspect, qui n’a fait qu’une satyre. Il faut en r
olendum est prius ipsi tibi. Il y a pourtant quelque chose de vrai. L’
Auteur
doit se posséder jusques dans les plus vifs mouve
plaignent si souvent qu’on les déchire ! C’est que dans la vérité nos
Auteurs
lyriques & tragiques, ainsi que nos Poëtes ch
ande Reine, le Roi des Parthes un grand Roi : un grand Poëte en est l’
auteur
. Cette piece, qui a bien des défauts, est écrite
, Mahomet, Brutus), quoique écrites dans le sein d’une Monarchie. Les
Auteurs
semblent des républicains forcenés : je présume q
rs qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. L’
Auteur
y établit d’abord cette Proposition générale qui
icam stultè.Horat. de Arte Poet. J’ai donc assez bonne opinion de l’
Auteur
du Discours, pour le croire destiné à faire voir
itation ? Je ne sçaurois croire que ce soit là le vrai sentiment de l’
Auteur
; & Aristote même me fournit dans sa Poëtique
, ces graces, & cette douceur de style qui sont si naturelles à l’
Auteur
. Je m’attache d’abord à ce que le Poëte imite, ou
Mais quelle est la cause de ce plaisir ? Vient-il seulement, comme l’
Auteur
du Discours le dit par rapport à l’imitation, de
Mais quelle est la cause de ce plaisir ? Vient-il seulement, comme l’
Auteur
du Discours le dit par rapport à l’imitation, de
useroit peut-être de compiler ici les Ecrits du P. Malebranche, que l’
Auteur
du Discours appelleroit volontiers, Crispini scr
ir. Le jeune Racine n’a donc pas eu tort de dire dans son Epitre* à l’
Auteur
du Discours, Le jeu des passions saisit le Spect
on, admiratione præsunt. C’est ainsi que suivant l’institution de l’
Auteur
de la Nature, la Vertu devoit régner sur le cœur
n recueillir l’instruction morale qui, selon la remarque de plusieurs
Auteurs
, doit être comme le fruit & la conclusion de
es charmes du nombre & de la mesure donnoient au Poëte Grec sur l’
Auteur
François. 3°. Enfin les expressions qui frappent
tesse & de la fidélité de l’Imitation. Il me semble donc que si l’
Auteur
du discours qui m’a fait naître toutes ces pensée
miers traits qui se sont présentés à mon esprit : les réflexions de l’
Auteur
, la fécondité de son génie & la délicatesse d
la Tragédie, fait de plus fortes impressions que toutes les autres. L’
Auteur
paroît avoir voulu se réduire à traiter ces deux
ai commencé à ne ménager ni ma paresse naturelle, ni la patience de l’
Auteur
. I. Ne pourroit-on pas y distinguer davantag
juger, d’exercer une espece de supériorité sur l’Ouvrage & sur l’
Auteur
. II. De la différence qui est entre ces deu
à imiter, ce n’est pas précisément par le plaisir de juger, à quoi l’
Auteur
attribue dans la suite de son discours le goût qu
ents à l’Imitateur : on en voit aussi beaucoup plus que de véritables
Auteurs
; & ce n’est pas seulement dans la Peinture q
Verba prope Poetarum , comme Ciceron le dit des Orateurs. IV. L’
Auteur
observe avec beaucoup de raison, qu’il n’est pas
de cette derniere espece de plaisir dont l’Imitation nous affecte. L’
Auteur
a raison de trouver qu’Aristote ne nous donne qu’
ssonner après lui. C’est cette moisson abondante qui est réservée à l’
Auteur
du Discours sur l’Imitation. Il commence à la fai
ibuons presque le privilége de l’infaillibilité. Nous considérons les
Auteurs
qui s’exposent à sa censure, comme autant de Clie
r de leur mérite. De là vient que les jugements que lon porte sur les
Auteurs
, & en général sur le caractere, la conduite,
our parler ainsi, de la vûe de ces fautes qui échappent aux meilleurs
Auteurs
: nous nous flattons aisément que puisque nous le
urs de l’amour propre, nous éprouverions toujours en nous-mêmes que l’
Auteur
de notre être a attaché une secrette satisfaction
pour tracer une image légere de ce que je voudrois voir exécuté par l’
Auteur
, à qui il en coutera moins pour achever l’Ouvrage
êmes changements parce qu’elle juge avec plus de maturité, assure à l’
Auteur
la durée de sa gloire, & lui donne droit d’es
ral. Il me suffit d’en avoir donné des notions générales. Ce sera à l’
Auteur
de les méditer, de les digérer, de les perfection
ames de Saint-Cyr, avec défenses à touts Acteurs de la représenter, l’
Auteur
ayant supplié le Roi d’y insérer cette condition,
ent Ridicule. Ce mot vient du théatre, ou la maniere de se moquer des
auteurs
& des acteurs, c’est de les sifler. On se ser
& l’enseigne : Un persiffleur amuse & ne corrige pas , dit l’
auteur
avec raison. Il y entre toujours de la malignité
oit retombé sur eux. L’art dramatique n’est que l’art du persifflage.
Auteur
ou acteur comique, n’est qu’un persiffleur, &
aint le revers du tableau : Mutato nomine de te fabula narratur. L’
auteur
des affiches, homme d’esprit, 27 Fév. 1771, doute
rouver son aliment & se donner des complices. Mr. l’Abbé Schrone,
auteur
de l’Apothéose de Moliere, est un Ecclésiastique
verre d’eau embrasse dans son vaste sein la goutte & l’Occean ? L’
auteur
a fait son cours de métaphysique dans les couliss
ndresse & du respect. La tendresse pour Moliere est plaisante. L’
Auteur
en a t-il fait se maîtresse Moliere Auguste ! l’i
aîle du tems qui plane, la demeure du sort, & tout ce fatras où l’
auteur
ne s’entend pas lui-même, & dont Moliere sero
rendent un très mediocre service au héros, & un très-mauvais à l’
auteur
, elles ne seront pas adorer l’un, elles seront mé
; de zèle, qu’on ne peut guere douter que ce ne soit l’ouvrage de son
auteur
, cette comédie méritoit de réussir, elle est plei
frappé, & dont je veux faire usage, c’est l’idée trop juste que l’
auteur
donne des mœurs du tems, auxquelles il attribue l
assertion n’est que l’excuse & la fanfaronade de la sterilité des
auteurs
. Ce n’est donc ni le besoin de la fable, ni l’ins
t leur principe, leur fin, leur aliment, leur appui. Sans vice plus d’
auteur
, d’acteur, de spectateur, encore moins d’actrice
rs vers malheureusement trop agréables, elles se sont imaginées que l’
auteur
en leur attribuant le desir de plaire toute leur
e apologie est très juste, mais mal adroite elle fait des ennemis à l’
auteur
, en le justifiant, & arme contre lui l’actric
méritoit aussi peu qu’elle, quoiqu’à tous égards actrice complette. L’
auteur
des caractères, dit fort plaisamment de ces deux
nconnue jusqu’à ce siécle, & dans tout le reste du monde. Le même
auteur
des caractères trouve dans les comédies, le plus
de la vertu. Pour excuser l’obscénité qui regne dans les écrits, l’
auteur
avance un principe que l’Evangile n’enseigne pas.
Le ton de galanterie qui y regne , dit-il, quelque motif qu’ait eu l’
auteur
(comme s’il pouvoit en avoir eu de bon) tranche
vertu, font ouvrir & petiller l’œil du lecteur. Pour rassurer un
auteur
scrupuleux, on ajoûte, Laisse les préjugés,
les Dieux, Comme il n’a plus de mœurs, qu’il soit aussi sans goût. L’
auteur
fait pourtant le philosophe, & joue le sage s
e brochures, de comédies, d’héroïdes, &c. & ses plus sublimes
auteurs
, Panard, Vadé, Boissi, &c. tiennent un rang d
re fois en 1752, & fut reçue avec un applaudissement général. Les
Auteurs
du Journal des Savans, après avoir rendu justice
ieurs morceaux, ne la cite jamais que pour adopter les sentimens de l’
Auteur
; & lorsqu’il en vient aux différens parallèl
d’en voir paroître une nouvelle. Celle qu’on publie a été revue par l’
Auteur
. C’est sur-tout dans ce moment que ce petit Ouvra
t tous les jours. On a joint à cette Lettre une Pièce de Vers du même
Auteur
, composée lorsqu’il n’avoit que dix-neuf ans. Com
illerais aux Poètes Dramatiques, d’après les observations de quelques
Auteurs
judicieux. Moyen d’amener naturellement les Sp
me la nécessité d’en embellir tous les Poèmes, doivent encourager les
Auteurs
. Si l’on me fesait voir une troupe de muets, &
sont quelquefois réellement présens à l’action de ses Pièces. Les
Auteurs
de notre Opéra suivent souvent cette règle import
le dernier Acte ne saurait être vu. Je n’en serai point un crime à l’
Auteur
. La règle que je propose n’a pas encore fait fort
[EN-TETE] SECONDE LETTREDE MR RACINE aux deux apologistesde l'
auteur
DES HERESIESIMAGINAIRES. LETTRE XIV a a. [NDE]
à Jean Barbier d’Aucour, intitulée « Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
de Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Res
à l’auteur de Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Response à l’
auteur
de la Lettre contre les Heresies imaginaires et l
congé nous la représentions. Il y venoit beaucoup de monde. Le voilà
Auteur
& Acteur célebre, & Chef de troupe à douz
able ; il achetoit tout ce qu’il trouvoit, & outre les œuvres des
Auteurs
de quelque nom, il avoit plus de vingt volumes in
dans la Préface. Il déclare qu’il lisoit soigneusement les piéces des
Auteurs
qui l’avoient précédé, & qu’il ne se faisoit
peu de chose, & vaut beaucoup moins que plusieurs autres du même
Auteur
, qu’on ne joue pas. Mais elle blesse les mœurs, e
; leur en offre un moyen ; n’a-t-elle pas droit à la préférence ? Cet
Auteur
étoit si plein de cet objet que ses amours lui av
’il ne convenoit pas de faire agir & penser autrement. Les autres
Auteurs
comiques font parler toute sorte de gens, bourgeo
pure & basse cheville qui ne fait honneur ni au personnage ni à l’
Auteur
. Tout est émaillé de pareilles pieces de rapport
us font leur félicité de repandre la joie dans leurs Etats, & les
Auteurs
comiques, Ministres en ce point des intentions d’
er les cœurs. Faut-il croire encore que c’est l’intention de tous les
Auteurs
& Auteurs Comiques ? laissons en le jugement
Faut-il croire encore que c’est l’intention de tous les Auteurs &
Auteurs
Comiques ? laissons en le jugement à Dieu. Il ajo
point de vue la comédie est mauvaise & très-dangéreuse. Tous les
auteurs
, tous les drames ne sont pas également repréhensi
; Racine. Ceci sera plus amplement expliqué dans mes Commentaires des
Auteurs
Tragiques & Comiques, ouvrage immense, auquel
; qu’elle eût la bonté de trouver bonne pour récompenser le zele de l’
auteur
, & cent autres bagatelles, dont on a fait un
ce qui ne fait pas son éloge. Je suis émerveillé , dit avec raison l’
auteur
dans la préface, ce qui redouble ma surprise, c’e
a surprise, c’est que quelques beaux esprits se vontent d’en être les
auteurs
. Si peu de gloire , ajoute-t-il sensément, ne val
ui pique plus agréablement le palais des coulisses & des loges. L’
Auteur
se plaint encore que le goût depravé a fait assai
grèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. A ucun
Auteur
ne peut se vanter d’avoir écrit sur les règles du
qu’avec le monde entier. De quelles lumières ne fallut-il pas que son
auteur
fut doué ? Il instruisit d’un art qui n’avait guè
on qui me le fait croire ést toute simple, c’est qu’ordinairement les
Auteurs
ne traitent que des sujets analogues au goût de l
e notre Philosophe, loin de soupçonner la justesse de son goût : si l’
Auteur
Grec avait soutenu que le blanc est noir, Dacier
roire que je n’avance point sans preuve une pareille chose. Plusieurs
Auteurs
ont prétendus que quelques Payens vertueux pouvai
Corrections et additions. Plusieurs embarras survenus à l’
Auteur
pendant l’impression de cet Ouvrage, ne lui ayant
ette petitesse qui n’a de force que par le préjugé, est cause que les
Auteurs
sont souvent fort embarrassés, & prive notre
reprendre & de corriger. Je n’entreprendrai point de répondre à l’
Auteur
des moyens de rendre la Comédie utile aux mœurs.
ent ? Le ton qui règne dans la Comédie a fait naître, sans doute, à l’
Auteur
l’idée de son sistême si peu fondé. Il aurait bie
jours dans les événemens à venir. C’est ainsi qu’on peut entendre les
Auteurs
qui nous apprennent que l’èxposition ne doit poin
je me suis étonné cent fois, comment ces grands Poètes, ces illustres
Auteurs
de toutes les Comédies de ce temps, ne se sont po
, puisque c’est là tout leur but. Que font donc proprement ces grands
Auteurs
de Romans et de Comédies ? J’ai de la peine à me
ècle, mais de tous les siècles qui viendront après eux. Cependant ces
Auteurs
sont Chrétiens : ce sont même de graves Personnag
de Dieu, pour assurer qu’il ne fera point miséricorde à Messieurs les
Auteurs
des Comédies. Ses miséricordes s’étendent infinim
Non dimittitur peccatum, nisi restituatur ablatum ». Comment donc ces
Auteurs
auront-ils droit d’espérer a la miséricorde de Di
destie, 15, et suiv. L’obscénité beaucoup plus insupportable dans un
Auteur
Chrétien que dans un Auteur Païen, 21, et suiv.
énité beaucoup plus insupportable dans un Auteur Chrétien que dans un
Auteur
Païen, 21, et suiv. Le Théâtre de Rome et le Thé
minel sur cet article que les Poètes Grecs ; mais moins aussi que nos
Auteurs
, 163 Exemple des Païens ; vain prétexte pour des
0 Autorité de Shakespeare opposé à l’Astrologue Joué, 263 Erreur de l’
Auteur
de l’Astrologue Joué, sur la différence qu’il met
Examen du Relaps ou de la Vertu en danger, de M.V. 357 L’OPINION DES
auteurs
tant profanes que sacrés, touchant les Spectacles
elle n’y occupe que la seconde place. Si l’amour, comme le remarque l’
Auteur
du Théatre Grec, fait un grand rôle dans ses piéc
t tous deux à se voir, & on ne sçait lequel est le plus grand. Un
Auteur
, qui a peut-être égalé Racine dans le rôle de Zaï
terie, goût dominant de la nation. En vain on croiroit excusables les
Auteurs
qui s’y conforment ; nous avons prouvé plus haut
e toucher les cœurs, au lieu de les ébranler. « Peut-on, dit encore l’
Auteur
que nous venons de citer, avoir quelque élevation
ipale des Tragédies, est un foible moyen de soutenir sa grandeur. « L’
Auteur
des représentations en Musique leur annonce une d
morceaux étrangers pour remplir son étendue ? » Je sçais que moins d’
Auteurs
s’essayeroient sur le Théatre, mais il y auroit p
en rien improuver dans sa Consultation. Par ce détour artificieux, l’
Auteur
s’est donné la coupable licence de hazarder les p
Consultation renferme en peu de mots la certitude des principes de l’
Auteur
du Mémoire, & qu’elle couronne le zéle d’une
e vrai en matiere criminelle, non bis in idem, « Si l’Acteur & l’
Auteur
sont infâmes, dit-on , dans l’ordre des Loix, il
, & d’exciter l’indignation contre le Livre entier & contre l’
Auteur
. Le cri public qui s’est élevé contre ce Livre, à
e discipline, a d’une voix unanime retranché du nombre des Avocats, l’
Auteur
, & m’a chargé de dénoncer son Ouvrage à la Co
toient pas à requérir le vœu unanime des Avocats sur la personne de l’
Auteur
, qu’ils rejettent de leur sein, fut confirmé par
mp; la vénération pour l’autre, & n’a pas tourné à la gloire de l’
auteur
de cette singuliere symmétrie. N’a-t-on voulu que
de son admiration pour le précieux aliment de l’esprit, invitant les
Auteurs
à le prendre pour modelle, & tout le monde à
rs du Théatre, dont Paris est plein, aux dépens de la réputation de l’
Auteur
, & il a inséré ce trait, qu’il a fait compose
es d’altérer le respect dû à la religion même ; que dans le premier l’
Auteur
ne voie dans les vertus héroïques des Saints qu’u
ts se sont radoucis, ils sont presque tous amateurs, quelquefois même
Auteurs
& Acteurs. Pour achever la justification de s
onne pour sujet, on courronne un panégyrique qui en fait un Saint ! L’
Auteur
me fait rire, l’Académie me fait gémir. M. de Har
u, qui en étoit le protecteur, & s’abaissoit jusqu’à vouloit être
auteur
; en un mot l’Académie pendant un siecle & de
eil) quoique son éloge de Moliere ait plus de cent pages, & que l’
auteur
pour le rendre digne du prix y ait donné ses plus
it donné ses plus grands soins : Ce n’est, dit-il, qu’une esquisse. L’
auteur
étoit trop occupé pour traiter cet important suje
ndere gratem. Toutes ces particularités, qu’on n’a pu savoir que de l’
auteur
, décelent la main qui a fourni les mémoires &
fanfaron. Cette ébauche fut traitée beaucoup plus favorablement que l’
auteur
ne l’espéroit. Il avoit tort, la proposition du s
premiere place après le discours couronné. Ce coup d’encensoir que l’
auteur
se donne, n’en est pas un pour le Corps littérair
jure à l’Académie ! de quelles merveilles ne doit pas être capable un
Auteur
dont l’Académie en corps à presque couronné une e
Ce sont des traits qui confondent les méprises, font le triomphe de l’
Auteur
comique. Elles firent pourtant tomber le Misantro
e Moliere décide aisément quel rang on doit donner au Héros & à l’
Auteur
; on ne parle pas autrement aux petites maisons,
dans un joli discours couronné & imprimé. On s’attend bien que l’
Auteur
fidele à son sujet ne fait pas l’éloge de Moliere
r à la pastorale. Vainement en feroit-on la tantative ; la vanité des
Auteurs
, le libertinage & la frivolité des acteurs &a
a place n’auroit pas eu des sentimens plus nobles & plus purs : l’
auteur
qui certainement n’a puisé cette pensée qu’en lui
e-même, ne fait-elle pas soupçonner qu’elle est d’intelligence avec l’
Auteur
, à qui le mépris de la religion & de ses plus
éleve jusqu’aux cieux, comme un prodige fort au-dessus de l’homme. L’
Auteur
n’est ni Religieux ni Prêtre, & vrai-semblabl
destinés aussi à cultiver les talens, & à exciter l’émulation des
Auteurs
? L’éloge de Moliere par le P. Porée, Oratione de
iale antitese de vie & de mort, ne seroit-ce pas une plainte de l’
auteur
contre un siecle ingrat qui laisse mourir de faim
re. Quand on lit ses pieces avec réflexion, on n’est plus étonné de l’
auteur
, on l’est de soi-même. Qu’est ce que être étonné
our suppléer à l’expérience ; l’expérience n’a point de profondeur. L’
Auteur
dans tout cet essai ne connoit pas la valeur des
ait sur le ton de la hauteur C’est le ton du Théatre & celui de l’
Auteur
. Celles qui parurent du temps de Moliere vont jus
s même être le fondement de la morale. (c’est donc le libertinage ; l’
Auteur
connoît peu celle de l’Evangile) pouvoit être la
ous laissons pas imposer par le bruit du Théatre. A quelques Acteurs,
Auteurs
ou Amateurs près, qui en sont enthousiasmés, &
que ce qu’il vaut. Qui jamais l’a mis dans une classe de Savans ou d’
Auteurs
estimables ? On ne l’étudie point pour se former,
éatre de Moliere ne mérite pas mieux ce commentaire que la chanson. L’
Auteur
parcourt tous les comiques, anciens & moderne
le, une Eglise, des Sacremens, un Evangile. Tout cela est inconnu à l’
Auteur
: il ne connoît que la nature & les vertus mo
anquilité me conduiront par la main jusqu’au bord du précipice, que l’
Auteur
de mes jours m’a dérobé, par les fleurs dont il l
on facerem ? Illud feci & lubens. Si la superstition, continue l’
auteur
, éleve sur ses autels un être vindicatif, colere,
te idée conduit à croire l’ame matérielle ; mais je veux croire que l’
Auteur
n’a pas voulu insinuer cette absurdité. Autre réf
ou quatre pieces assez mal écrites, dont même on a douté qu’il fût l’
Auteur
, n’a laissé qu’un fils qui ne fait pas plus d’hon
cité. Ces abominations souvent répétées, dont on a fait un mérite à l’
auteur
, au décorateur, mille fois plus dangereuses que l
comme ce vieux fou de la Grece. Il est fâcheux pour sa gloire, dit l’
Auteur
des Trois Siecles, que la jeunesse ne puisse pas
qu’il dit excellentes, par ironie apparemment ; car il n’aime pas un
auteur
qui a médit de Voltaire, & très-injustement.
r son nom & ses armes ? Mais Mr. de Prunis est un homme d’esprit,
Auteur
d’une belle histoire, lié avec les Savans, nommém
promet une édition si elle & de plusieurs autres ouvrages du même
auteur
, qu’il a trouvé dans quelqu’autre vieux coffre. C
s sous le Ciel qu’on ne connoit pas, & contrediroit l’esprit de l’
auteur
. Il n’y a nulle apparence qu’au milieu de toutes
r des sophismes, des sarcasmes, des traits d’histoire, des passages d’
auteurs
, dont ils se parent dans les conversations. J’ai
; il est vrai que ce mot aujourd’hui reçu ne se trouve point dans les
Auteurs
qui ont écrit avant lui. Cette regle de modestie
spectateur de l’Opéra se croit dans un lieu enchanté. Mais, ajoute l’
auteur
, & ceci ne convient pas moins au Théatre, no
e la rendoient aussi méprisable que les talens la rendent célebre ? L’
Auteur
est persuadé que la puissance de la musique nuit
amp; du théatre à la guinguette ; il a composé plus de pieces que les
auteurs
les plus féconds. Des pieces de ce caractere ne s
Paris il y a actuellement quatre procès entre les Comédiens & les
auteurs
, parce que la troupe a cru que quelques-uns de se
mpagnes & s’instruire elles-mêmes ; on voit autour d’elles, dit l’
auteur
, une troupe de jeunes évaporés comme des papillon
int de vuide dans l’année ; ce profit est réservé aux comédiens ; les
auteurs
de la piece n’y ont point de part ; c’est un prof
t sur la recette de la porte, & diminuent d’autant la portion des
auteurs
. 4.° Pour encourager au travail & à l’étude,
leur a fait grace, & on a méprisé leurs folies. 6.° Il est, dit l’
auteur
, plus difficile de bien représenter que de bleu c
és qu’un bon écrivain, & il y a moins de bons acteurs que de bons
auteurs
. Je doute de la vérité du fait, mais la comparais
ont cabalé, & voulu intéresser le Gouvernement pour faire punit l’
auteur
& proscrire l’ouvrage, mais inutilement pouvo
égradent les hommes. 8.° Le Sr. Hermetaire directeur du théatre &
auteur
de la complainte, ne donne pas toujours de bonnes
III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’
auteur
de la Dissertation. La première chose que j’y r
’un théologien, illustre par sa qualité et son mérite, consulté par l’
auteur
pour savoir si la Comédie peut être permise, ou d
’on ne veuille pas ranger parmi les pièces d’aujourd’hui, celles d’un
auteur
qui a expiré pour ainsi dire à nos yeux, et qui r
’un théologien, illustre par sa qualité et son mérite, consulté par l’
auteur
pour savoir si la Comédie peut être permise, ou d
adaptations françaises de traités et pamphlets étrangers (au nom de l’
auteur
et éventuellement au nom du traducteur/adaptateur
x. BnF Tolbiac : D-41663 (cf. Notice). N.-B. Réplique, par le même
auteur
anonyme, à une réponse d’un laïc anonyme : Anony
s de Charles Desprez de Boissy ; réponse de Boissy (identifié comme l’
auteur
dans l’édition de 1771), sous le nom de M. de le
: D-53845 (cf. Notice). PDF : Google. N.-B. Réplique, par le même
auteur
anonyme, à une réponse d’un laïc anonyme : Lettre
tholique : de Gaule . Anonyme, Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, 1666 • Anonyme : Rép
ies imaginaires, 1666 • Anonyme : Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, s. l. [Paris], s. l., 1
Pratique du théâtre, éd. avec corrections et additions inédites de l’
auteur
; préface et notes par Pierre Martino, Alger, J.
Pratique du théâtre, éd. avec corrections et additions inédites de l’
auteur
; préface et notes par Pierre Martino, Alger, J.
», p. 339-352, in Jugemens des savans sur les principaux ouvrages des
auteurs
[1685-86, 9 volumes], revûs, corrigez, & augm
Barbier d’Aucour (attribué à), Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, 1666 Barbier d’Auco
our, Jean (1641-1694) [attribué à] : Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, s. l. [Paris], s. n., 1
lay, 1819, t. IV. PDF : Gallica. • « Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
des Hérésies imaginaires », p. 312-328, in Œuvres
. Daté à la fin : « Ce avril 1666 ». Publié en réponse à « Lettre à l’
auteur
des Heresies imaginaires, et des deux Visionnaire
, 1840 • Boone, Jean-Baptiste (1794-1871 ; SJ) : Le Théâtre. Par l’
Auteur
des Mauvais Livres, Gand, T. et I. Impens, 1840,
’un théologien, illustre par sa qualité et son mérite, consulté par l’
auteur
pour savoir si la Comédie peut être permise, ou d
l’antiquité païenne, les témoignages des philosophes, des poètes, des
auteurs
dramatiques, des comédiens eux-mêmes, et le jugem
rois livres, où il est traité : I. de l’Usage de la comédie ; II. des
Auteurs
qui soutiennent le théâtre ; III. de la Conduite
le théâtre, où l’on traite des droits, des talents et des fautes des
auteurs
, des devoirs des comédiens, de ce que la société
comparé au théâtre d’Athènes, de Rome et de France, et l’opinion des
auteurs
tant profanes que sacrez, touchant les spectacles
les théâtres ; quatrieme édition, revue, corrigée et augmentée par l’
auteur
, Paris, Butard, Boudet, Saillant et Nyon, Dessain
ent, sur les spectacles ; troisieme édition, revue et augmentée par l’
auteur
, Paris, Butard, 1769, in-12, XVI-483 p. PDF : Goo
rez de Boissy ; cinquieme édition, revue, corrigée et augmentée par l’
auteur
, Paris, Butard, Boudet, Saillant et Nyon, Veuve D
sprez de Boissy ; sixieme édition, revue, corrigée et augmentée par l’
auteur
, Paris, Boudet, Veuve Desaint, Nyon l’aîné, B. Mo
Crébillon, Censeur Royal, Gresset, de l’Académie Françoise, Parfaict,
Auteur
de l’Histoire du Théâtre François, Par l’Auteur d
Françoise, Parfaict, Auteur de l’Histoire du Théâtre François, Par l’
Auteur
des Anecdotes de l’Empereur, Paris, Durand et Rua
tre les comédiens », in Théâtre de M. Fagan et autres œuvres du mesme
auteur
, p. 393-429, Paris, 1760, 4 vol. in-12, t. II, (2
de l’académie des sciences et belles lettres de Dijon. A Paris chez l’
auteur
, à Liège, chez Lemarié, 1781, 4 vol. in-12 », t.
mémoires de Mr. le duc de Champigny, etc. Suites des réflexions de l’
auteur
du J. », t. CLIX, livraison du 1er mai 1781, p. 9
in L. Thirouin, éd., p. 124. Goibaud (attribué à), Response à l’
auteur
de la Lettre, 1666 • Goibaud, Philippe, sieur
baud, Philippe, sieur Du Bois (1626-1694) [attribué à] : Response à l’
auteur
de la Lettre contre les Heresies imaginaires et l
bo et Tremblay, 1819. PDF : Gallica. • Goibaud du Bois, « Réponse à l’
auteur
de la Lettre contre Les Hérésies imaginaires et L
. Thirouin, éd., p. 233-248. N.-B. Publié en réponse à « Lettre à l’
auteur
des Heresies imaginaires, et des deux Visionnaire
evue, corrigée, considérablement augmentée, et donnée au Public par l’
Auteur
, tome premier, Londres, Edouard Kelmarneck, 1765.
es Commandemens de Dieu. Neuvieme edition. Revüe & corrigée par l’
Auteur
, Nancy, Jean-Baptiste Cusson, 1724, 459 p. + tabl
Robustel, 1697, in-12, VIII-114 p. (3 ff.de table) [publié sans nom d’
auteur
]. PDF : Google. Autre édition • Histoire de la
. L. F. de P***. Nouvelle édition, suivie d’une pièce de vers du même
auteur
et de trois lettres de Jean Racine qui n’avoient
s des spectacles, ou les Mémoires de M. le duc de Champigny, Paris, l’
Auteur
, L. Jorry, J.-G. Mérigot, 1780, 4 vol. in-12. (t.
p. 327-359). PDF : Google. N.-B. : voir Jean Racine , Lettre à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, 1666. 2) Essais de mor
• Nogaret, François-Félix (1740-1831) : Sur les spectacles, par l’
auteur
de « Podalire » et de « l’Aristénète français »,
, de Blanger, L’Huillier, de La Coste, Bonnet ; Fromageau doit être l’
auteur
du Dictionnaire des cas de conscience de 1733, vo
Eglise de Paris. Nouvelle edition. Revüe, corrigée et augmentée par l’
auteur
, Qui outre plusieurs nouvelles Décisions, y a ajo
le Générale des Matieres ; & celle des Conciles : Des Papes : Des
Auteurs
citez, et des trois cens neuf Titres qui composen
ssy , éd. 1771, 1re partie, p. 549-554. Racine, Jean, Lettre à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, 1666 • Racine, Jean
Hérésies imaginaires, 1666 • Racine, Jean (1639-1699) : Lettre à l’
auteur
des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires
, 7 p. Corpus OBVIL. Éditions modernes • « Lettre de M. Racine à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, et des Visionnaires »,
, t. IV, Paris, Dabo et Tremblay, 1819. PDF : Gallica. • « Lettre à l’
auteur
des Hérésies imaginaires, et des Visionnaires »,
re XII… », de Pierre Nicole. En réponse furent publiés « Response à l’
auteur
de la Lettre contre les Heresies imaginaires et l
baud ou à Jean Barbier d’Aucour et « Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
des Heresies imaginaires », attribué à Jean Barbi
laquette en 1667. Racine, Jean, Lettre aux deux apologistes de l’
auteur
des Hérésies imaginaires, 1666 • Racine, Jean
1666 • Racine, Jean (1639-1699) : Lettre aux deux apologistes de l’
auteur
des Hérésies imaginaires, 1666, p. 193-204, in Oe
gle. Corpus OBVIL. Éditions modernes • « Réplique de M. Racine aux
auteurs
des deux réponses précédentes », p. 74-86, in Œuv
lay, 1819, t. IV. PDF : Gallica. • « Lettre aux deux apologistes de l’
auteur
des Hérésies imaginaires », p. 333-344, in Œuvres
Thirouin, éd., p. 265-272. N.-B. Publié en réponse à « Response à l’
auteur
de la Lettre contre les Heresies imaginaires et l
ud ou à Jean Barbier d’Aucour et à « Réponse à la lettre adressée à l’
auteur
des Heresies imaginaires », attribué à Jean Barbi
667. Racine, Jean, Préface pour une édition des deux lettres à l’
auteur
des Imaginaires, 1667 • Racine, Jean (1639-169
e, Jean (1639-1699) : « Préface pour une édition des deux lettres à l’
auteur
des Imaginaires » [1667], p. 77-82, in Œuvres com
Éditions modernes • « Préface pour une édition des deux lettres à l’
auteur
des Imaginaires » [1667], p. 277-282, in Œuvres d
p. 147-162, in Œuvres de Monsieur de Saint Evremond, avec la vie de l’
auteur
. Par Monsieur des Maizeaux, Membre de la Société
p. 297-311, in Œuvres de Monsieur de Saint Evremond, avec la vie de l’
auteur
. Par Monsieur des Maizeaux, Membre de la Société
, annotées et précédées d’une histoire de la vie et des ouvrages de l’
auteur
par Charles Giraud, Paris, J. Léon-Techener fils,
es. Lois – règlements – instructions – salles de spectacle – droits d’
auteur
– correspondance – congés – débuts – acteurs de P
uront aucune force contre l’art même. Il s’ensuivra seulement que les
Auteurs
dramatiques n’auront réellement mérité de leur pa
le Misanthrope même, ouvrages dignes d’immortaliser le génie de leurs
Auteurs
; mais perdus pour ceux qui les écoutent, puisqu’
nifestement parvenue. Je n’oublierais pas assurément Dom Sanche, si l’
Auteur
, comme vous l’avez très ingénieusement démêlé en
a pièce aurait bien pu être sifflée : mais on ne reprocherait pas à l’
Auteur
de n’avoir pas fait servir son art à déraciner l’
ue je suis un de ces partisans du théâtre, qui vous diront que si les
Auteurs
abusent du pouvoir d’émouvoir les cœurs, cette fa
iège qui leur avait été tendu, en pensèrent tous, en sortant, comme l’
Auteur
. Vous soupçonnez que les crimes de Phèdre et de M
plus avant. Si l’amour de l’honnête et du beau n’était pas en nous, l’
Auteur
ne l’y porterait pas : mais c’est parce qu’il y e
montrer des pièces qui soient et agréables et utiles, de trouver des
Auteurs
qui aient su plaire et instruire, pour que l’on t
ètes dramatiques, pour purger en nous les passions ; l’autre, que les
Auteurs
, qui se contentent de plaire, négligent l’objet l
fusion. Ce n’est point par de froids raisonnements, que l’esprit de l’
Auteur
parle à l’esprit des spectateurs ; de pareilles a
mmes, et d’avouer leur amour. Passerai-je sous silence le Méchant ? L’
Auteur
s’est servi du moyen qu’avait imaginé Molière, et
’on entend le cri de la nature : est-ce ici le vice qui domine ? Et l’
Auteur
n’a-t-il pas, sans lui, trouvé les moyens de touc
s l’oubli, pour n’en sortir jamais : j’ose faire cette prédiction à l’
Auteur
d’autant plus hardiment, que je ne le connais poi
solide, et je ne sais trop ce que l’on peut répondre aux faits que l’
auteur
a réunis pour appuyer son système dans la questio
fet, comme le fait très bien voir M. le baron d’Hénin, les véritables
auteurs
de nos jeux scéniques sont ces pèlerins qui reven
uer que des sujets profanes, licites et honnêtes. « C’est ici , dit l’
auteur
, le troisième âge de l’existence des comédiens en
t de nos jours. En effet, on refuse d’admettre le corps de l’illustre
auteur
de Tartuffe ; mais en même temps on inhume, dans
els faits. L’espace me manque pour parler de la fin de ce volume où l’
auteur
a rassemblé des détails piquants sur une foule de
ainsi qu’il a été dit plus haut, ce volume est plein de faits dont l’
auteur
indique toujours soigneusement la source. Entre l
pont, rue de Bouloy, no 24, et Delaunay, au Palais-Royal. a. [NDE] L’
auteur
fait référence à l’influence de la typographie an
des Hèros, ni des Rois, mais seulement des Seigneurs de la Cour. Cet
Auteur
a prêté à la Comédie une noblesse dont on ne la c
que nous devions nous former de ce genre. Les tentatives de quelques
Auteurs
, nous font augurer qu’on cherche à suivre son éxe
de Plaute ; son génie était à peu près le même que celui de quelques
Auteurs
de nos jours ; plusieurs de ses Comédies inspiren
ses Pièces, telles que le Tartuffe, &c. Enfin, la pluspart de nos
Auteurs
comiques ont cherchés en tout tems à réunir les d
faveur des humains, qu’ils ne sont peut-être point si méchans que les
Auteurs
du Comique-Larmoyant, ou de la Comédie-Bourgeoise
en ajoutant quelque fois aux idées qui lui sont présentées, et que l’
Auteur
, dans cette intention, n’aura pas tout à fait dév
tous les autres, en droit de me critiquer sur ce point : ce sont les
Auteurs
dramatiques. C’est à eux qu’il appartient de dire
être placée ; et si, par hasard, j’avais arrangé l’Ouvrage de quelque
Auteur
vivant sous la classe de Pièces à corriger, ou à
sans exception) et je me serais attiré la haine de tous les amis des
Auteurs
. Je laisse donc aux Poètes même le soin de se ren
de nouvelles lumières par l’étude, je trouvais dans la suite quelques
Auteurs
qui avaient pensé comme moi, et un entre autres q
lui dénonça le mariage de Messaline sa femme, avec Lilius ; il fut l’
auteur
de la mort de cette femme débauchée, il couroit l
ent un tableau où il y a d’ailleurs bien des beautés. 4 Mars 1772, l’
auteur
des affiches, qui n’est pas fort entousiasmé de V
heureusement traité par Crebillon, & mieux que par Voltaire ; cet
auteur
pour faire sentir la foiblesse de Voltaire, dans
ts, par la condition des personnages ? Malheureusement la plupart des
auteurs
& des acteurs ne sont rien moins que des gens
désespérée, qui n’est défendue que par des absurdités, & par des
auteurs
meprisables ? Gacon n’avoit pas appris cette doct
tre, dont le détail forme une espece de traité de l’art dramatique, l’
auteur
en rapporte deux qui régardent les comédiens. 1°.
u des rôles pour certains acteurs ou actrices ; une actrice a plu à l’
auteur
; pour faire une galanterie à sa maîtresse, il n’
oit pas distinguer ce qu’il doit à l’actrice, & ce qu’il doit à l’
auteur
, ce sont donc les gestes, les regards, les coups
en être entousiasmé comme elles ; on sent par tout le caractère de l’
auteur
. Racine est tendre jusques dans sa haine, Crebill
burlesque jusques dans les Princes. Tout a l’humeur gascone chez un
auteur
gascon. Calprenede & Juba parlent du même ton
décemment dans leurs temples, ou dans leur cour, donnent des loix aux
auteurs
, aux spectateurs, aux amateurs, & de proche e
asconnade ; le goût du siécle, le caractère des Nations, le style des
auteurs
donnent à Melpomene & à Thalie des airs, un a
é des larmes à des chimeres, & l’on méprise les acteurs & les
auteurs
. La vertu met une digue au torrent, & en reta
evons ces mauvaises piéces, & rejettons les bonnes, dégoûtons les
auteurs
, enchaînons le génie du sieur Caihava. Ce ton tr
moins entousiastes ; je m’en prends sur tout, disent-ils, au chef des
auteurs
& des acteurs de la scéne poëté par goût plus
acte de Racine, & de le réduire pour ainsi dire en thême, comme l’
auteur
l’avoit pu concevoir avant de se livrer à sa verv
ces, par des tables méthodiques, des traités : ainsi se formoient les
auteurs
dramatiques, par des extraits, des plans, des pié
Racine, de Moliere, en menant comme par la main, dans la route où ces
auteurs
ont marché. Il seroit à souhaiter que les bons éc
ut qu’on instruise les enfans, il ne dit pas un mot de celles-là. Les
auteurs
chéris de cet instituteur, qu’il met entre les ma
es actes étoient trop nombreux & trop courts. C’est au gènie de l’
auteur
à mènager des épisodes, à amener des circonstance
à vaincre que la République, fut admirée universellement. Quoique des
Auteurs
connus trouvent dans les Poëmes d’Homère, les pre
és, puisque Thespis en employoit un avant lui ? Horace & tous les
Auteurs
qui ont parlé du Théâtre Grec, attribuent à Thesp
éressa le chœur, &c. n’est pas encore exact, à moins que tous les
Auteurs
qui s’accordent à dire qu’Eschyle avoit employé l
ins les mauvais effets qu’elles avoient produits contre leurs propres
Auteurs
. Rome eut de grands Poétes, de grands Orateurs, m
oujours une contrainte, mais c’est l’esclavage le plus dur, pour deux
Auteurs
qui traitent le même sujet. Pour tirer avantage d
objets & éffacent ces traits d’une ressemblance trop marquée. Les
Auteurs
des plus belles idées, n’étant plus depuis longte
admiration & les autres de ce desir noble de la mériter. Quelques
Auteurs
Latins ont fait des Tragédies, mais par simple cu
stmiques, &c. C’étoit dans l’assemblée de toute la Grèce, que les
Auteurs
étoient couronnés. Les Villes, les bourgs de leur
u’un Poème plaise au Théâtre. Je fais qu’il est un grand nombre d’
Auteurs
, & sur-tout parmi ceux qui écrivent des Opéra
ncore plaire hors du Théâtre. Rien n’est plus aisé. L’éxemple des
Auteurs
célèbres qui ont écrits des Drames décide tout d’
bonheur de plaire sans quelques graces de stile. Mais l’ambition de l’
Auteur
sera-t-elle contente ? Combien durera sa gloire ?
ite aucun nom, & ne peut avoir qu’un succès passager. Je plains l’
Auteur
, & je méprise le Théâtre, qui ne sauraient ra
ont inexcusables d’avoir tant différé à payer un si juste tribut à un
auteur
du premier ordre, qui illustre le théatre & l
anté les talens des comédiens ? Les a-t-il exercé dans leur art ? Les
auteurs
ne sont-ils que les plagiaires de Moliere ? Sur q
ut trouver Voltaire. Ce valet de la comédie recommande au président l’
auteur
qui va lire sa piéce, parce qu’il l’a servi autre
perçus, & rient de leur Concierge. On annonce une piéce à lire, l’
auteur
arrive, on se leve, on le complimente, on se moqu
rs craindroit de les fletrir : Comme ce n’est que par modestie que l’
auteur
traite de canevas une piéce si bien travaillée, i
ingénieux dans le détail, c’est le revers de l’ombre de Moliere que l’
auteur
a voulu imiter ; celle ci, quoique peu de tems ap
éculaires, jetter des fleurs sur son tombeau. Le véritable éloge d’un
auteur
est dans les ouvrages, (nous laissons ici la Réli
ont ils sont le sujet ; ils ajoutent même des traits de la façon de l’
auteur
, souvent assez heureux, ce qui forme un spectacle
oir leur indigence ? Voilà une belle apothéose ! Quoiqu’il en soit, l’
auteur
aussi embarrassé que son héros, ne sachant commen
en d’intéressant, de lui apprendre le titre, l’intrigue, le succès, l’
auteur
, l’acteur, & c. de toutes ces miseres. Le Fra
u, toute accoutumée qu’elle y étoit. La piéce fut-elle bien écrite, l’
auteur
pouvoit il se flatter de plaire par des excès qui
u service qui doit se faire pour feu Richard III, Roi d’Angleterre. L’
auteur
n’a pas osé faire imprimer sa piéce ; le public c
ont il a été souvent fait mention dans la tragédie, firent naître à l’
auteur
l’idée de la petite farce des trois Roses, qu’il
; ni l’une ni l’autre n’ont encore fait gémir la presse, & si l’
auteur
est sage, elles demeureront dans son porte-feuill
-il à l’assemblée, d’être votre interprete , & se tournant vers l’
auteur
, incertain de son fort, comme un prévénu sur la s
scéne bisarre qu’a donné depuis peu, à la comédie Françoise, un jeune
auteur
, homme d’esprit, mais metromane & scenomane s
al supérieur casse leur sentence ; & il est bien de l’intérêt des
auteurs
de forcer les comédiens à jouer ? Il n’est pas di
dans le Décameron de Bocace, ou Septameron de la Reine de Navarre. L’
auteur
dont l’intention est bonne, n’a pas pensé qu’au t
étoit inconnu, où il n’est guere connu encore ; ainsi le représente l’
auteur
de l’histoire de Jeanne de Naples, qui avoit épou
oit de décrier plusieurs principes & maximes du Christianisme. L’
auteur
& son parti, ne perdit pas toute espérance, o
bé Bergier, célebre par de bons ouvrages, en faveur de la Réligion. L’
auteur
lui porta sa tragédie, & lui fit les plus gra
Chapitre VI. Machiavel. LE célebre Machiavel,
auteur
dramatique & acteur pantomime, se moquoit de
courir aux armes, au grand regret des spectateurs, des acteurs, de l’
auteur
& de ceux qui furent tués ou blessés. Après l
al, il avoit rempli l’Italie de mille crimes pour se faire un état. L’
auteur
entasse crime sur crime, pour donner un plus rude
es comédies politiques que celles qu’il faisoit composer par les cinq
auteurs
. Louis XII, le Pere du Peuple, étoit l’ami déclar
a plus loin que le Prince florentin. Le Machiavélisme littéraire des
auteurs
, le Machiavélisme galant des actrices n’est pas m
t la confiance, facilitent les manœuvres. Machiavel fut non-seulement
auteur
, mais encore acteur : il composoit des comédies &
d’ouvrages un traducteur, un commentateur explique la doctrine de son
auteur
sans l’approuver. Approuve-t-on l’idolatrie, quan
qu’il en fasse le semblant, en sorte qu’on croie qu’il la possede. L’
auteur
ajoute cette réflexion, qui n’auroit pas échappé
t que des calomnies mal-adroites : je n’en crois pas M. de Caraccioli
auteur
; son style n’est pas si nerveux, il ne regne pas
e regne pas tant d’ordre & de suite dans ses prolixes ouvrages. L’
auteur
, apparemment homme de théatre, a supprimé à desse
olde, Danies, & tous les écrivains politiques, ainsi que tous les
auteurs
dramatiques. Le vrai Machiavélisme est dans le ca
définit une composition de style bas, pourrait paraître peu adapté. L’
auteur
joue, dans tout le passage, avec les clichés poét
le jeu des acteurs (voir Furetière 1690). j. [NDE] Fatiste = poète,
auteur
de comédies. k. [NDE] Drôlerie = bande de débau
ropos plaisant (1570). l. [NDE] Privément = Secrètement. m. [NDE] L’
auteur
fait référence aux Meditationes Historicae de Phi
. « drôle », 1694). D’où le jeu équivoque « sur le mot » dont parle l’
auteur
. o. [NDE] L’auteur insinue que les parents pay
où le jeu équivoque « sur le mot » dont parle l’auteur. o. [NDE] L’
auteur
insinue que les parents payaient les jésuites en
uites et du pape manifeste les probables convictions calvinistes de l’
auteur
. r. [NDE] Salmonée = dans la mythologie grecque
AVERTISSEMENT DE L’
AUTEUR
. On a donné beaucoup de regles jusqu’ici sur l
à son but. Quoique ce but n’ait pas été ignoré de la plupart de nos
Auteurs
comiques, peu y sont parvenus, pour n’avoir pas s
nt diversement reçues du public ; on rendit justice à la sagesse de l’
Auteur
, mais on n’approuva pas généralement ses moyens d
ant l’intérêt de la comédie : mon dessein était seulement d’avertir l’
auteur
des Imaginaires d’être un peu plus réservé à pron
hire dès qu’on les nomme ; qu’il ne fallait pas trouver étrange que l’
auteur
des Imaginaires eût écrit contre la comédie, et q
remière, quoique défendue, n’a pas encore été débitée à Paris. Mais l’
auteur
s’est imaginé peut-être qu’on lirait plus volonti
Lettre. Mais aussi ne fallait-il pas qu’un homme d’autorité, comme l’
auteur
des Imaginaires, se donnât la peine de prononcer
e l’Archevêque de Paris, qui supprimait un certain nombre de fêtes. L’
auteur
d’une Lettre sur l’ordonnance de l’Archevêque ava
& qui fait aussi peu d’honneur à l’esprit qu’à la profession de l’
Auteur
. On le prend aujourd’hui sur un ton différent &am
ances par quelques lettres ou portrait qu’on gardoit dans son sein. L’
Auteur
convient de cette parfaite ressemblance entre les
conçue, contre toutes les règles & les usages monastiques, dont l’
Auteur
n’a aucune idée. 1.° Un événement si intéressant
. On n’a point fait cette faute dans Cominges ni dans Ericie ; mais l’
Auteur
épuisé n’a su que mettre dans la bouche de la Sup
eroit d’une incommodité singuliere. C’est une imagination bizare de l’
Auteur
. Il n’y en a point où l’on ait des souterrains fu
and il revient si souvent, il fatigue, & marque la stérilité de l’
Auteur
, qui ne sachant pas finir, se donne un air mystér
fatiguent quand ils sont si multipliés : on n’en voit guère dans nos
Auteurs
; il y en a ici une infinité. Si on vouloit noter
? Est-ce là l’école des mœurs pour la jeunesse ? 8.° Cette scene où l’
Auteur
a mis tout son art, est un enfantillage. Deux ama
deux amans, ce qui seroit sans doute une bonne leçon à donner. Mais l’
Auteur
se connoît peu en conversions ; il défigure si so
rs ; mais ne pouvant la faire revenir, on l’emporte mourante, & l’
Auteur
, aussi mourant qu’elle, dénoue la piece, en disan
ls sont plus éloignés de la façon philosophique de penser penser de l’
Auteur
& des Acteurs, à moins que ce ne soit un trai
s agnum. Ce Moine apostat parle fort mal de la mère de sa maîtresse :
Auteur
, dit-il, de tous nos maux, tu parle de parens à m
mariage, quel contrat subsisteroit ? sur quoi pourroit-on compter ? L’
Auteur
n’est que Poëte : un vers chez lui décide tout ;
révoltes sanguinaires ; & le plus souvent qu’y entend-on dans nos
Auteurs
les plus célebres que des impiétés & des blas
on en a toujours regardé les Acteurs. Dans le Paganisme, demandez aux
Auteurs
de Rome ce qu’on y pensoit d’eux. Vous trouverez
x mots le portrait, on pourroit dire ce que disoit un sage Payen d’un
auteur
tout semblable : qu’étant presque le seul qui pût
ique parfaite, en excluoit non-seulement tout acteur, mais aussi tout
auteur
de théâtre ; & pourquoi ? Précisément, parce
cole de dissolution. Alors, les Magistrats de la Grece punissoient un
auteur
comme un empoisonneur public pour avoir seulement
d’un héros par une intrigue de passion ; alors on vit le plus célebre
Auteur
d’Athènes condamné par un jugement solemnel pour
profonde & d’un discernement si exquis, qui citant nommément les
auteurs
les plus graves de la Grece & leurs pieces le
té, dans le Christianisme chose bien nouvelle, qu’on nous montrât les
auteurs
, les acteurs & les partisans du spectacle de
prends pour Juge ! Quoi ? dans les sentiments, dans les pensées d’un
auteur
tout profane que la passion seul inspire, on puis
qui l’enflamme, en la représentant réglée, la regle-t-il en vous ? L’
auteur
, d’un trait de plume, modere, arrête un héros à s
l’univers. C’est un fait constant dans les histoires, un fait que les
auteurs
ont pris soin de remarquer : que l’époque du libe
: Theatricas artes virtus Romana non noverat. Mais, comme parle un
Auteur
Romain même, dès que la Grece conquise lui eût fa
orruption des mœurs ? Effacez toutes les histoires, & traitez les
Auteurs
profanes, ainsi que les saints Peres, de gens aus
isirs. Des exemples généraux si je passe aux particuliers ; parmi les
Auteurs
sacrés, j’entends un Augustin qui se cite lui-mêm
es & par les yeux tout le venin qui corrompit son cœur. Entre les
Auteurs
profanes même, j’entends un Philosophe Payen qui,
âtre, & que jamais il n’en est revenu que moins homme de bien. Un
Auteur
plus moderne, Courtisan célebre, l’un des plus be
Le Testament politique de Voltaire, dont je soupçonne Freron d’être l’
auteur
, qui du moins en a l’air & les traits, est un
ue nous ayons déjà parlé de son théatre françoit, la célébrité de cet
Auteur
nous sera pardonner quelque répétition : c’est un
curieuses. Dans les nuits d’Young, ch. 6. de l’oubli de la mort. Cet
Auteur
sombre, énergique & sublime, plein d’une bonn
rsonne ne songe à la mort, quoique tout la rende présente. Ces grands
Auteurs
dont on représente les pieces, Corneille, Racine,
de 30 pieces détachées pour tous les théatres & par toute sorte d’
Auteurs
, chaque affiche en cite de nouvelles. Le Mercure
précieux carnaval, &c. ; & sur chacune de ces productions, l’
auteur
fait des réflexions qui ne sont pas énergiques, d
atin, faute d’une traduction convenable, à l’usage des colléges, d’un
auteur
de la plus grande utilité ; il va jusqu’à préfére
e aidé dans la composition de ses comédies, si même ils n’en sont les
Auteurs
, qui dédaignant la gloire du théâtre, les ont fai
es ; ce seul mot décéle l’inutilité & l’imprudence du projet de l’
Auteur
. Il ne connoît pas son Poéte, ou il méconnoît les
me la violence de la passion n’excuse pas du péché. Cet Abbé est plus
Auteur
comique que Théologien. Au reste, c’est l’excuse
lliers de vers qui naissent sans y penser sous la plume poétique de l’
Auteur
, a pris de fort mauvais principes sur la Réligion
ieurs traits de morale utiles, qui semblent en être le passeport. Cet
Auteur
a brillé sur le théâtre par plusieurs pieces dont
ots factices & ridicules qui ne signifient rien, & auxquels l’
Auteur
n’a voulu faire rien signifier. Il leur donne un
s plans, la netteté des abrégés & des idées, & des pieces des
Auteurs
Grecs, le style, les régles, le goût du Théâtre ;
les, le goût du Théâtre ; l’Accadémicien n’efface point le Jésuite. L’
Auteur
du Mercure, Voltairiste déclaré, fait l’éloge de
me. Par un décret public, ses pieces furent remises sur la scéne, les
Auteurs
alloient l’invoquer sur son tombeau, & déclam
par son fils ? De qui se joue-t-on d’avantage des dieux que l’on rend
auteurs
des forfaits ; de la réligion qu’on fait servir à
e Pindare, &c. : sans doute, il y a des beautés, & quel est l’
auteur
de réputation, qui n’en a point. Ronsard a mille
véritablement grand au théâtre. L’enthousiasme des amateurs, pour les
Auteurs
, les acteurs, les pieces, est un vrai délire. Tou
pour plaire, & non pour être utiles. On y voit en effet que leurs
Auteurs
, au lieu d’avoir songé à réformer les fausses idé
r des fables. Les Poëmes licencieux n’ont eu dans tous les temps pour
Auteurs
que ceux qui avoient méconnu les devoirs de la Po
oit point alors d’autres divertissemens publics que ces fêtes que des
Auteurs
ont appellées des Fêtes nationales, parce qu’elle
ne n’avoit pu réussir à établir dans ses Etats la langue Tudesque. Un
Auteur
Allemand a dit que le plus fort obstacle à l’exéc
sur la même matiere un écrit très-solide26, où en trois entretiens l’
Auteur
fait connoître l’origine des Romans, leur inutili
que les Espagnols avoient pour les aventures romanesques, puisque son
Auteur
Michel de Cervantes ne le composa que pour jetter
par mettre le feu à la maison, pour faire jouer les pompes ». Le même
Auteur
trouve encore plus dangereux les Romans François.
e tout au plus du voile transparent de l’équivoque. On diroit que les
Auteurs
, en bravant le sens commun, auroient formé une co
ête homme au contraire paroît insipide, misanthrope & bourru. Les
Auteurs
Romanciers, accoutumés apparemment à ne voir que
ce un seul homicide, un seul larcin ; & on laisseroit impunis des
Auteurs
qui, se faisant gloire d’être sans religion, &
t Dufresnoi 33, un mauvais écrit intitulé, De l’usage des Romans. Cet
Auteur
qu’on appelloit le Zoïle des Erudits, y soutient
la vertu qu’en maximes, & offrent toujours le vice en action. Cet
Auteur
, tout consacré qu’il fut à ce genre d’ouvrages, d
allax historias monet. Od. 7, lib. 3. C’est de ces écrits dont les
Auteurs
eux-mêmes devroient détourner les ames vertueuses
cœur d’une jeune personne d’un feu qui ne brûle jamais impunément. L’
Auteur
, qui n’étoit pas alors Evêque, s’étoit sans doute
e en est pur, délicat, sans affectation. On sent, en le lisant, que l’
Auteur
connoissoit le monde, qu’il avoit étudié le cœur
re que pour son mari. Le devoir en triomphe par un effort de vertu. L’
Auteur
, qui étoit maître des événemens, a garanti son hé
e cet événement pour rappeller l’étude de la Langue Grecque & des
Auteurs
de l’Antiquité. Et tout alors concourut au progrè
nception & de la Nativité de la Vierge. La Passion, &c. Leurs
Auteurs
les plus connus étoient Jean Petit, Dabondance, L
ns & les Enfans sans souci eurent la préférence. Ils avoient pour
Auteurs
les meilleurs Poëtes du temps, comme Clément Maro
lée l’Avocat Patelin, qui se joue encore sur le Théatre François. Les
Auteurs
& les Acteurs les plus fameux des anciennes f
plus alors rien de beau que ce qui avoit été pensé & dit par les
Auteurs
du Paganisme. On ne cessoit d’accumuler dans les
Ie & XIVe siecles nous paroissent-ils ridicules ? C’est que leurs
Auteurs
appliquoient les mœurs de leur temps à des siecle
la terre, C’est pour l’offrir à deux beaux yeux. *** Ainsi de nos
Auteurs
, gravement libertine, La Muse s’épuise en beaux
en orgueil ? *** C’est trop prêter au vice un secours mercenaire ;
Auteurs
, cessez de l’appuyer : Et par la vertu seule essa
cepteur du Dauphin. Ce fut alors qu’il forma le plan des éditions des
Auteurs
Classiques, ad usum Delphini ; & il le dirige
d usum Delphini ; & il le dirigea en partie. La collection de ces
Auteurs
forme soixante-trois volumes in-4°. 26. Intitulé
; par M. l’Abbé Jacquin, Paris, 1745, in-12. 27. Mort en 1625. 28.
Auteur
du Polexandre, mort en 1674. 29. Mort en 1663, A
en 1625. 28. Auteur du Polexandre, mort en 1674. 29. Mort en 1663,
Auteur
de Cassandre & Cléopatre, &c. 30. Sœur d
elle Héloïse. 32. Avocat au Parlement, Censeur Royal, & l’un des
Auteurs
du Journal des Sçavans. Il mourut en 1773. Il avo
mmoralité, qui trop souvent déshonorent les productions d’une foule d’
auteurs
anciens et modernes. Si dans une même discussion,
ein ni tempérament, ou dans l’usage que suivirent assez longtemps les
auteurs
dramatiques de jouer eux-mêmes les pièces qu’ils
s le théâtre des Grecs au sujet d’Aristophane. « Il florissait, dit l’
auteur
de cet ouvrage intéressant, il florissait dans le
ts du fanatisme le plus barbare. Ce n’est cependant pas la faute de l’
auteur
, puisque lui-même, dans l’une des scènes précéden
tait pas assez fort pour décréditer la religion et ses ministres : un
auteur
plus moderne et plus hardi l’a mis dans celle mêm
son premier pas dans la noble carrière des Corneille et des Racine, l’
auteur
a-t-il osé calomnier et tenter de flétrir ce qui
du Vatican. C’est en confondant la nature des choses que l’estimable
auteur
de Pamela t, sans doute entraîné par l’empire des
le source, qui peut lui en garantir l’inaltérable pureté ? Comment un
auteur
aussi raisonnable, en offrant à la vertu sa noble
uses, les nôtres seraient évidemment beaucoup moins dangereux, et nos
auteurs
auraient plus de circonspection. Ceux qui ont que
u’une pièce subitement interrompue n’y put être continuée avant que l’
auteur
en personne ne se fût justifié sur la scène. Ils
r une représentation entière de nos drames philosophiques ? Si chaque
auteur
qui met dans la bouche de ses acteurs et l’impost
Mais, c’est peu d’affaiblir l’autorité des dogmes de la religion, nos
auteurs
sont assez imprudents pour vouer ses plus saintes
le public du tableau qu’on lui présente au Vaudeville des écarts de l’
auteur
de Jepthé 30, qui, contre toutes les bienséances
31 ? Enfin, est-ce par respect pour les mœurs et la religion, que nos
auteurs
, oubliant le repentir et les mœurs spirituelles d
é. » Mais écoutons les aveux d’un poète dramatique, M. de La Mothe,
auteur
du Magnifique et d’Inès de Castro. Voici ce qu’il
at censura columbasab. » C’est une chose incroyable, ajoute le même
auteur
, en parlant du théâtre de Regnard « qu’on joue pu
est applaudi. » « Belle instruction pour la jeunesse 34 , ajoute l’
auteur
! belle instruction que celle où les hommes faits
uence. Dans le récit historique que Boileau nous fait du théâtre, cet
auteur
nous dit : « Bientôt l’amour fertile en tendres
aux sentiments naturels et simples qui ne touchent plus personne. Les
auteurs
concourent à l’envi, pour l’utilité publique, à d
ale, en remplit le rôle principal, ce n’est pas être juste envers les
auteurs
. Sans doute elle a dû contribuer à le faire goûte
ès l’expérience et le témoignage irrécusable de tant d’écrivains et d’
auteurs
qu’on ne peut suspecter d’aveuglement ou de parti
e aucune nation de l’Europe. C’est inutilement qu’après eux, quelques
auteurs
en avaient perpétué la gloire : aujourd’hui déchu
l ne saurait véritablement intéresser, qu’au succès du traitement des
auteurs
, qui, sans avoir eux-mêmes le transport au cervea
x de la scène. En Italie, de nos jours encore, si j’en crois quelques
auteurs
, on n’a point de spectacles toute l’année. Nous,
arde sur la scène, et des chutes douloureuses et fréquentes de tant d’
auteurs
indiscrets ? Le besoin d’alimenter cette foule de
, à la calomnie ; mais l’homme sensé rit de ces vaines clameurs, et l’
auteur
qui veut en mériter le nom et la gloire, écoute a
i peut arrêter aujourd’hui l’aveugle témérité de cet essaim de jeunes
auteurs
, dont beaucoup, privés même du secours d’une éduc
mais peut-être il ne fut si vrai de dire avec Boileau : « Souvent l’
auteur
altier de quelque chansonnette, Au même instant p
ir son danger ; l’histoire elle-même en fait foi. « Si Caton, dit un
auteur
moderne38, n’avait pas été enthousiaste dans la v
e toutes parts, corrompt et le goût et les mœurs. J’entends plus d’un
auteur
effrayé se plaindre avec amertume et s’écrier, qu
mportune. Non je ne l’invoque point, cette censure si redoutée de nos
auteurs
d’un jour ; mais je veux que chaque poète soit so
autorité du Monarque puissant qui gouvernait l’empire ? et l’illustre
auteur
de Phèdre, a-t-il jamais craint qu’on privât la F
aison, et ne travaillant jamais pour l’immortalité, la plupart de nos
auteurs
modernes, si féconds, ont toujours peur qu’on ne
us de mères capables de sentir et de pleurer avec Mérope ? Est-ce aux
auteurs
des Mœurs du Jour, du vieux Célibataire, du Phili
éclat dans les Deux Journées am ; lorsque dans ma Tante Aurore an, l’
auteur
persifle avec tant d’à-propos et de talent la sot
a douleur d’accorder une faible portion du fruit de leurs travaux aux
auteurs
vivants, contre le droit desquels ils ont si souv
né les pièces qu’au théâtre de son choix nous avaient composés tant d’
auteurs
charmants, pour illustrer l’époque de son dernier
jets qui intéressent la nation entière, nous ne devons plus trouver d’
auteurs
qui ne se sentent enflammés de l’amour du bien pu
’encens et les sacrifices des hommes, il porte comme eux, dit le même
auteur
, il porte les vœux et les prières du peuple aux p
ui qu’il eût obtenu par le succès des armes48. « Si, comme le dit un
auteur
moderne49, on vit des Plébéiens dans le barreau d
Racine, dans Esther, scène 3, acte 2. Avec quelle énergie le même
auteur
nous peint la bassesse des courtisans : « Bient
herche le plaisir au détriment de sa propre existence ! 22. NDA Un
auteur
plein d’espriti et dont la plupart des production
de leur faire la délivrance de ce legs. Mais, au fond, qu’a prouvé l’
auteur
en faveur de sa cause ? absolument rien. Car du m
mmer toutes ses passions, de leur donner une direction vers le mal. L’
auteur
ne prouve donc rien et est hors la question, quan
pulent jamais que pour l’intérêt privé des parties ; mais organe d’un
auteur
corrompu, le comédien en abusant de la liberté de
bonnes mœurs, sans lesquelles un état ne peut subsister longtemps. L’
auteur
est donc encore hors la question, quand terminant
out où elle se rencontre ? Non, sans doute, puisqu’encore une fois, l’
auteur
n’a voulu que démontrer l’injustice de l’ancien p
. NDA M. Dotteville, associé de l’Institut national. 24. NDA Le même
auteur
d’après les anciens, assure que Platon envoya à D
iss Olsildes l. 27. NDA Si le Tartuffe a fait un honneur infini à l’
auteur
, qui en a si bien peint le caractère odieux ; si
théâtre, mais ceux du vice en crédit. Si je me sentais le talent des
auteurs
qui nous consolent encore quelquefois de la perte
peut le devenir), la société n’a-t-elle pas une grande obligation à l’
auteur
de lu i avoir ménagé un spectacle aussi moral et
rt, un trait touchant qui n’a point été perdu pour l’amitié, et que l’
auteur
même a dignement célébré par une fort belle épîtr
u recueillir de la bienfaisance publique. Quel plaisir a pu prendre l’
auteur
, à peindre un tableau si dégoûtant, et qui réelle
e faut pourtant pas croire que ce soit au théâtre que le génie de nos
auteurs
ou de nos compositeurs se soit le mieux développé
en refusant de croire, soit à sa vérité, soit à l’existence même de l’
auteur
divin dont elle émane. N’est-il pas évident que l
De la Tragédie. Le Théâtre rend la Vertu aimable, c’est ce que les
Auteurs
Dramatiques et bien des sages pensent unanimement
occupent la scène. C’est un précepte par lequel Aristote prescrit aux
Auteurs
Dramatiques de préférer la vraisemblance à la vér
ujets de nos Tragédies sont ordinairement puisés dans l’Histoire, les
Auteurs
se font une loi de respecter les faits attestés,
icéron. Je serais entièrement de leur avis, si je ne savais gré à cet
Auteur
d’avoir fait faire de grandes choses au Consul, a
x-mêmes ses bourreaux, au moment qu’ils le voient heureux. Les grands
Auteurs
, qui savent cela, ne risquent donc rien de violer
, remarquent au premier coup d’œil ; « au lieu que nous autres petits
Auteurs
, en voulant censurer les écrits de nos maîtres, n
était-ce à vous de la faire ? « Vous n’avez jamais vu qu’une fois l’
Auteur
d’Atrée et de Catilina, et ce fut pour en recevoi
ce et de la société ? Pourquoi ne pas puiser dans les pièces de mille
Auteurs
qui sont morts les preuves de votre système ? Vou
rammes pour en enrichir le texte d’une critique, la rage enfin d’être
Auteur
et de me faire imprimer, me firent faire une lett
os et très injuste de M. de Voltaire : la police n’en passe pas. » Un
Auteur
de dix-huit ans environ ne se rend pas à de parei
ue la gloire que nous en recevions était encore plus flatteuse pour l’
Auteur
que pour nous. Comment de jeunes gens, sans habit
voir ajouté un trait noir de plus au caractère de Mahomet ; mais si l’
Auteur
et le Public m’applaudissaient, croyez-vous que j
, note (b) : « […] mais voilà ce qui nous arrive à nous autres petits
Auteurs
. En voulant censurer les écrits de nos maîtres, n
cc. [NDE] J.-J. Rousseau, op. cit., p. 252, note (b) : « Quant à l’
Auteur
d’Atrée et de Catilina, je ne l’ai jamais vu qu’u
aux régles que je propose, en parlant souvent d’après les plus fameux
Auteurs
de Poètique, ils en sentiront l’importance, &
mes modernes est d’une simplicité admirable. A l’éxemple des célèbres
Auteurs
épiques, il ne s’élève pas d’abord jusqu’aux nues
& naïve d’on ne s’avise jamais de tout ? « Je vais, je viens. » L’
Auteur
pouvait s’élever, mais n’a eu garde de le faire e
mmence le jardinier & son seigneur ; peut-on rien de plus uni ? L’
Auteur
de Sancho-Pança fait aussi des merveilles. « A la
cette gloire, ainsi que vous. Je ne pense pas, il est vrai, que peu d’
Auteurs
m’ayent donné l’exemple de ce désintéressement, &
us étoit réservé sans doute, d’affirmer : Qu’en ce monde pervers les
Auteurs
sont sans foi, fourbes, intéressés, hors mes amis
ur bien juger de la pureté d’intention & du désintéressement d’un
Auteur
, il faudroit pénétrer dans son ame, pour y reconn
, &c. mais seulement celles qui font dire ce tableau est d’un tel
Auteur
. On verra dans l’un un coloris plus frais, des ma
la foiblesse de leur jugement, & dans leur incapacité. Les jeunes
Auteurs
regardent le Théâtre comme un champ fertile en la
s de nos propres richesses. Grand raisonnement ? Que produit-il ? Des
Auteurs
sans forces, sans idées ; des Ouvrages sans goût,
escalier, que je l’ai terrassé, étoit du second. Revenons aux jeunes
Auteurs
. Il faut convenir qu’il y en a peu qui n’ayent de
crifier qu’à nos plaisirs. Il nous reste à parler de l’incapacité des
Auteurs
; nous ne perdrons point le tems à la prouver ; n
ut ce qui sort de leur plume. N’est-ce pas là la raison qui rend nos
Auteurs
si ennemis du travail & de l’étude ? Qui remp
e, & surtout de la Nature, un jugement sain indiqueront assez aux
Auteurs
la maniere la plus propre de traiter les mœurs, p
indiqua quelques moyens, qui ne furent goûtés que des Spéculateurs. L’
Auteur
de l’Ouvrage que je publie, plus sévère que Ricco
e abondance de matières aurait excédé les bornes d’un Volume : mais l’
Auteur
a mieux aimé taire quelque chose, que de rendre l
notre langue ; 3. dans les mots formés soit du Grec, soit du Latin. L’
Auteur
, qui ne fait pas assez de ces deux langues pour ê
claires, agréables à l’oreille, & qu’elles abrégent la diction. L’
Auteur
n’en a employé que de pareilles. Avant de termine
e Palais des Rois*. *. Ce mot a deux aceptions différentes dans les
Auteurs
: il signifie ordinairement un Dramatiste ; mais
: il signifie ordinairement un Dramatiste ; mais il designe encore l’
auteur
d’un Ouvrage sur les drames & sur les acteurs
M. Poi… & la méchanceté du sieur Pal… ne viennent pas à-propos. L’
Auteur
, au-lieu de feindre une Lettre de M. l’Abbé** sur
dissolution : j’en citerai encore de préférence quelques-unes du même
auteur
, par la même raison qui m’a déterminé à préférer
e du Tartufe. D’abord si l’on observe sans prévention le moyen dont l’
auteur
se sert pour réprimer l’avarice et l’usure, on vo
raient du moins empêcher des enfants d’aller jusqu’à outrager ainsi l’
auteur
de leurs jours ? Il en résulte, aux yeux de ces j
ontribuer de cette manière au plus grand bonheur des jeunes femmes, l’
auteur
les a rendues infiniment plus malheureuses qu’ell
être pour les trois quarts et demi des spectateurs le même que si cet
auteur
célèbre avait eu réellement l’intention de se moq
surplus, de tels excès étaient rares, ou plutôt n’existaient point. L’
auteur
, par une autre inconsidération, pour tirer parti
loup ou d’un singe malfaisant, etc., observez que dans le Tartufe, l’
auteur
nous montre le vice sous ses couleurs les plus od
s vices des rois ! Et après cette clémence, plus que divine, comme l’
auteur
, par une autre contradiction, le montre lui-même
échissez à l’extrême rigueur avec laquelle ont été punies par le même
auteur
dans deux autres pièces fameuses des fautes de gr
un succès complet à d’autres égards, advienne que pourra, peut dire l’
auteur
. Il me paraît sensible que c’est encore sans just
il est permis d’en douter ; mais au reste, que fait l’intention de l’
auteur
, lorsqu’il ne peut arrêter l’action de sa satire
être nuisibles à l’ordre essentiel, et qui doivent être satirisées. L’
auteur
, en respectant et nous laissant intactes ces comé
u’il y ait eu un passage de mieux entre les deux situations, et que l’
auteur
ait conduit la société, un instant, à plus de per
raînent tout le monde depuis si long-temps comme elles ont entraîné l’
auteur
de la satire de Dervière, tartufe de bienfaisance
n accréditée, et généralement autorisée, renouvelle les chagrins de l’
auteur
spirituel qui a publié cette dernière satire et à
il est arrivé autrefois et comme il arrive encore tous les jours aux
auteurs
de faire des emprunts à d’autres. Il est arrivé à
ue bien établie et admirée aujourd’hui, doit faire regarder enfin les
auteurs
qui l’emploieront avec aussi peu de raison comme
e, et qui n’en ont pas moins les résultats les plus heureux, dont les
auteurs
par conséquent n’en doivent pas être moins encour
l nous a promis d’y donner tous ses soins (charlatannerie il en est l’
auteur
). Chaque volume in-4 contiendra quatre pieces de
examen, de remarques, d’une notice de la vie & des ouvrages de l’
auteur
. A la tête une belle estampe offrira le principal
qui ne le sont jamais dans une Actrice, ses ouvrages, car on la fais
auteur
, l’avoient rendue célebre dans ces climats. On de
d’Helvetius, dont le Traité de l’Esprit ne fera jamais canoniser son
Auteur
, ni ses partisans. Il termine un si beau sermon,
it des beautés, cette piece est inférieure à plusieurs autres du même
Auteur
, & on a de la peine à comprendre cette phrase
es ne sont-elles point estimées, & ne meritent point de l’être. L’
Auteur
a fait un voyage dans cette ville pour présenter
le théatre. Quelle gloire ne peut pas se promettre un Acteur & un
Auteur
dramatique ? Le théatre est le faîte de l’élevati
plattitudes, les injustes mépris de la personne & des écrits de l’
Auteur
, qu’on y a semé sans doute à dessein pour faire c
user toute dédicace & protection, & même tout compliment de l’
Auteur
, sous peine d’être poursuivi criminellement ; déf
erre, & s’y rendent si dominans par le bruit qu’ils y font, qu’un
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a la foiblesse de croire qu’il faut pour réussir
ue que la couronne donnée par les Etudians de Droit. Jamais en effet
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ne s’étoit avili jusqu’à mandier le suffrage des
que des Ecoliers qui aient pu applaudit à Richard III, il n’y a que l’
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de Richard III qui puisse être flatté des brouhah
vivat, pour demander un congé. C’est une puérilité concertée entre l’
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& la premiere Actrice, qui a voulu faire parl
tionnaires du spectacle, qui donnerent au Sieur Durosoi une portion d’
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à l’ordinaire. Voilà comment Toulouse se maintien
incesse prévenue contre les hommes, qu’on tâche de faire revenir. Les
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de ces bagatelles, le Sieur Galland & le Sieu
end hommage. Quel Gentilhomme peut se mésurer avec Baron, le Kain ? L’
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fait les Comédiens Chinois plus habiles qu’ils ne
connu chez les Perses & dans les Indes, où l’on met la scene. Cet
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rend toute la terre Turque jusqu’à la Chine, où o
e satyrique fait chasser de la ville de Sbirias & de la Troupe, l’
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qui l’avoit composée, avec des coups de bâtons. L
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