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1 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
, ni rien qui leur ressemble. Notre Saint Père S. François de Sales n’ approuvait pas ces actions-là. Il a permis les histoires, et
rmélites le leur ont défendu, peu d’Evêques et de grands Vicaires les approuvent . Bien des Provinciaux, des Chapitres, des Discrét
. 1.) des Lazaristes, les calomnie grossièrement, quand il dit qu’ils approuvent toutes les folies qui se font sur le théâtre de l
primer ; elle ne peut que gémir et prier. Peut-on donc dire qu’elle l’ approuve  ? Sait-on dans le monde, et y croira-t-on, que da
S. Lazare ne prit aucune part au procès : il n’avait rien garanti ni approuvé . Les spectacles religieux ne sont pas du goût de
ésentait au moulin d’Issy aucune pièce qui n’eût été vue, corrigée et approuvée par le Supérieur, on n’y souffrait pas même le mo
e contente de dire que ces spectacles pieux, que plusieurs Saints ont approuvés , n’ont aucun rapport avec nos comédies, et ne for
die : rien ne serait plus propre à décréditer le christianisme. Ils n’ approuvent pas les gestes un peu vifs des Prédicateurs, goût
riait de bon cœur. Il est vrai que M. Lacroix de S. Valier, Evêque, n’ approuvait pas ce spectacle, et que son prédécesseur M. de L
2 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
pte d’une parole inutile et des moindres dépenses superflues, peut-il approuver des spectacles qui remplissent l’esprit et l’imag
imagination de tant d’objets vains, ridicules et séduisants ? Peut-il approuver qu’on y emploie un argent dont on devrait soulage
s ne condamne pas les danses et les spectacles. Cela est faux. Loin d’ approuver ces sortes de divertissements, il a écrit tout ce
3 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
s’attache à ceux qui abusaient des témoignages de la S. écriture pour approuver telles folies : puis discourant par toutes les es
s en la foi : Contre aucuns qui détournaient la sainte écriture, pour approuver les jeux publics.toutesfois pource qu’ilb n’y a p
pis, qu’il n’est plus jàe question d’excuser les péchés, ainsf de les approuver et avouer.) J’ai été d’avis en peu de paroles, no
ue les Gentils font en l’honneur de quelqu'unj de leurs idoles, c’est approuver l’idolatrie Gentile, et fouler au pied la vraie e
est déjà saint ? Il prend récréation ès choses détestables. Pourquoi approuve-t -il les superstitions contre Dieu, lesquelles il a
s cruelle. Parquoy15 afin que ie me taise, de tout ce que l’idolatrie approuve plus largement, combien sont vains ces jeux de pr
nsi soit-il. Contre aucuns qui détournaient la sainte écriture, pour approuver les jeux publics. Les témoignages de la sainte éc
4 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128
it, on les exhorte. Au reste l’Etat n’a jamais fait que tolérer, sans approuver la comédie ; jamais il n’a ordonné d’y aller. Il
la conduite de plusieurs grands hommes qui ont lu des comédies ? les approuvent -ils pour cela ? S. Augustin s’accuse d’avoir pleu
imus, où il explique l’adresse des Pantomimes à contrefaire : donc il approuve la comédie ? il permet la peinture, la sculpture,
sur leurs ouvrages ? Leurs ouvrages étoient pourtant décens. Ose-t-on approuver ce que ces oracles ont condamné ? Qu’on pense dif
est de révoquer l’excommunication portée contre les Comédiens, & approuver leur profession. Ce sera le moyen de les rendre s
ais si tous les livres sont mauvais, on doit la brûler. Faut-il aussi approuver le désordre des mauvais lieux, & en lever l’i
roit levée, seroit-ce moins un péché devant Dieu ? L’Eglise peut-elle approuver une profession essentiellement mauvaise, lever la
aux Censeurs d’examiner soigneusement les pieces, & de n’en point approuver d’indécente ou qui soit prise de l’Ecriture. Tout
5 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « [Introduction] » pp. 1-9
rmise, aussi bien que la lecture. Mauvaise conséquence : qui jamais a approuvé tous les livres qu’il lit ou qu’il cite, encore m
eprésentation de tout ce qu’il a lu ? Je serais bien à plaindre, si j’ approuvais tous les livres qu’il m’a fallu lire pour en extr
dans son Histoire immortelle des variations des Protestants. On n’en approuve pas plus le libertinage, que S. Paul n’approuvait
Protestants. On n’en approuve pas plus le libertinage, que S. Paul n’ approuvait l’idolâtrie, et l’Evêque de Meaux l’hérésie. Empl
6 (1844) Théologie morale « CHAPITRE I. Des Péchés de luxure non consommée, sections 644-651. » pp. 291-296
s circonstances, et l’objet des pièces qu’on y joue ; on ne peut donc approuver ceux qui ont l’habitude de le fréquenter : on doi
ui la fréquentent ; il serait donc imprudent de la conseiller ou de l’ approuver . Mais autre chose est d’approuver la danse ; autr
imprudent de la conseiller ou de l’approuver. Mais autre chose est d’ approuver la danse ; autre chose, de la tolérer. Un pasteur
7 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
née, pour faire une Minerve, ou un Hercule ? Dites-moi, si quand vous approuvez ces sacrilèges par les louanges, et les applaudis
nt meilleure que ce qu'elle représente: Comme il n'est point permis d' approuver un crime dans l'action qui le commet, il n'est pa
un crime dans l'action qui le commet, il n'est pas aussi permis de l' approuver dans les paroles qui nous le font connaître.
sordre ? ils aiment ceux qu'ils condamnent, ils méprisent ceux qu'ils approuvent , ils estiment l'Art, et ils notent d'infamie ceux
parés; l'expression de leurs sentiments conformes ou différents pour approuver ou pour désapprouver les choses dont ils s'entret
8 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXV. Quatrième, cinquième et sixième réflexion : passage exprès de Saint Thomas, et conciliation de ses sentiments. » pp. 88-92
té en vogue de son temps, il est constant que le divertissement qu’il approuve doit être revêtu de trois qualités Ibid. art. 2.
ce n’est en disant, que lorsqu’il l’excuse, ou si l’on veut, qu’il l’ approuve , il le regarde selon une idée générale abstraite
9 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
non seulement ceux qui font le mal sont dignes de mort, mais ceux qui approuvent ceux qui le font. » Or c’est approuver la Comédie
dignes de mort, mais ceux qui approuvent ceux qui le font. » Or c’est approuver la Comédie que d’y assister, et d’en faire son pl
pation aux paroles des Comédiens qu’ils écoutent avec plaisir, qu’ils approuvent , qu’ils admirent, qu’ils soutiennent par leur aut
livre 3 De Rege et Regis institutione, Cap. de Spectaculis, dit qu’on approuve les choses qui nous réjouissent, et que nous nous
les expressions même de leurs sentiments conformes ou différents pour approuver ou désapprouver les choses dont ils s’entretienne
10 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
la doctrine de saint Thomas en général, il n’y en a pas un qui l’ait approuvé , ni même examiné en particulier et dans tous ses
ce qu’il veut que les Pères aient été de son opinion, et qu’ils aient approuvé la Comédie dans l’état où elle lui paraît indiffé
fables grecques. Mais il ne s’ensuit pas pour cela que saint Cyprien approuve « les Opéras et les Comédies d’aujourd’hui, et qu
non plus ; à moins que quelqu’un ne voulût dire que saint Cyprien ait approuvé dans les Spectacles tout ce qui n’est point de la
be de la vie». Ce que saint Bonaventure par conséquent n’aurait point approuvé , non plus que saint Antonin et Albert le Grand :
int François de Sales, et saint Charles Borromée, ne les auraient pas approuvées non plus, quoiqu’en dise notre Docteur ; car il v
Ordonnance de 1583. à condition néanmoins qu’elles seraient revues et approuvées par son grand Vicaire, avant que d’être représent
e s’y glissa quelque chose de déshonnête. Ce pieux et savant Cardinal approuva donc les Comédies modestes, et ne condamna que le
conséquences, il ne s’ensuivrait pas que saint François de Sales ait approuvé les Comédies d’aujourd’hui, dont il s’agit entre
e qu’elle est aujourd’hui. Mais bien loin que saint François de Sales approuve les Comédies telles qu’elles sont aujourd’hui, el
néanmoins qu’avant que d’être représentées, elles seraient revues et approuvées par son grand Vicaire... Ce pieux Cardinal approu
aient revues et approuvées par son grand Vicaire... Ce pieux Cardinal approuva donc les Comédies modestes, et ne condamna que le
ne laisse pas d’y jouer la Comédie, qui y est soufferte, et peut-être approuvée . » Il faut être bien hardi pour faire jurer des
r une telle matière ; et il ne le faut pas être moins pour leur faire approuver par leur conduite ce qu’ils condamnent dans leurs
agiciens et les blasphémateurs». Et pour marque que ce grand Prélat n’ approuve point par sa conduite ce qu’il condamne si formel
tiré ? Il ne nous paraît pas qu’il y ait appris autre chose qu’à les approuver . Or son approbation et rien, c’est la même chose,
Docteur prétend se tirer de tous ces inconvénients, en disant qu’il n’ approuve les Dimanches que les Comédies qui se jouent hors
e la même année. Et il est à remarquer que ce dernier Concile qui fut approuvé par le saint Siège, défend de représenter des Com
ain sordide et honteux que saint Augustin condamne, et que l’Eglise n’ approuvera jamais. Il paraît par tout cela que les Comédies
n Italie qui voulussent se servir de la dispense de notre Docteur, ni approuver sa douce Morale. Tout ce qu’il pourrait prétendre
11 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
vocat a affecté de ne rapporter qu’une partie. « Ce n’est pas que j’ approuve , en un sujet Chrétien, Un Auteur follement idolât
. Despreaux pour garant de vos folies. Il est trop judicieux pour les approuver . Et vous le pouvez encore apprendre de ces six Ve
12 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89
ne tant d’autres excès, mériteroit-il plus de grace ? Il ne peut être approuvé que dans un Serrail, où l’unique loi est d’allume
r s’égayer par un paradoxe, l’apologie du fard, comme si Job en avoit approuvé l’usage, en se servant de cette comparaison. Il f
parant un Poëte à Appollon, un Guerrier à Mars, une Femme à Venus, on approuve l’idolatrie. Il faut qu’en comparant la poësie d’
e Sapho, ses graces à celles d’Aspasie, sa beauté à celle de Laïs, on approuve aussi leur débauche. Il faut qu’en comparant Bour
orneille, Patru à Baron, un Danseur à Pecour, un Musicien à Lulli, on approuve la comédie & l’opéra. Il faut qu’en comparant
aut qu’en comparant un Ecrivain à Bocace, à Machiavel, à l’Arêtin, on approuve la licence, la malignité, l’impiété, la tyrannie,
grand tort de donner le panégyrique de Moliere à faire ; elle auroit approuvé sa morale, son irréligion, ses mauvaises mœurs, s
13 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
t, s’il demande la comédie, s’il appelle des Comédiens, les paie, les approuve , les autorise, les soutient, en un mot, s’il fait
ajoute-t-il, ne pas chasser ou punir tous les criminels, ce n’est pas approuver le crime. » Ainsi en bien des villes d’Italie on
insi en bien des villes d’Italie on souffre des femmes publiques sans approuver leur désordre. S. Louis en souffrait dans Paris,
S. Louis en souffrait dans Paris, et on ne soupçonnera pas qu’il les approuvât . Il s’appuie de l’autorité de Navarre (L. 4. Cons
montrons dans ce livre. Combien ce sage Jurisconsulte était éloigné d’ approuver ce que dans tous les temps a si hautement proscri
14 (1698) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras au sujet des Tragédies qui se représentent dans les Collèges de son Diocèse [25 septembre 1698] « Mandement  » pp. 37-43
ation de la Jeunesse qui est un bien solide, nous ne pouvons ne pas l’ approuver . Nous n’empêchons pas non plus que l’on ne puisse
uissent autoriser un langage séculier, voluptueux et mondain. C’est l’ approuver que de s’en servir. VIII. Et que l’on ne nous all
15 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81
lange de vrai & de faux est un paralogisme. S. Charles n’a jamais approuvé , il a toujours condamné le théatre ; il a écrit,
rrigeât les pieces, & qu’on n’en représentât aucune qui n’eût été approuvée du Censeur (comme on fait à Paris). Pour rendre l
les lieux publics, où l’on tolère les femmes de mauvaise vie. Est-ce approuver la prostitution ? Qui a jamais douté que le théat
pas moins parmi nous. M. Besplas en finissant, dit un mot, sans les approuver , de trois fameux Auteurs qui ont fortement combat
us faisons dans tout le cours de cet ouvrage, sans avoir jamais voulu approuver le théatre, ni cru possible de le réformer. On co
ion à l’Académie : Je puis donner, non aux spectacles, que je ne puis approuver , mais à des pieces aussi sages que les vôtres, un
16 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Des Duo, Trio & Quatuor. » pp. 329-339
& particulièrement dans son Iphigénie. Corneille a eu tort d’ approuver le retranchement des Chœurs. Le grand Corneil
ort d’approuver le retranchement des Chœurs. Le grand Corneille n’ approuve point les chœurs. Il pense que nos violons qui ma
17 (1675) Traité de la comédie « XXX.  » p. 324
XXX. Personne n' approuverait sans doute qu'un Chartreux allât à la Comédie, pa
18 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXX.  » p. 491
XXX. Personne n' approuverait sans doute qu'un Chartreux allât à la Comédie; pa
19 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
dire qu’on ne trouvera pas un seul Prédicateur dans l’Eglise qui ait approuvé , qui ait toléré la comédie, qui ne l’ait expressé
er au bal, au jeu, aux festins. En condamnant l’un, on ne prétend pas approuver l’autre. Ce n’est pas à nous, c’est à l’Evangile
non, encore une fois, rien de tout cela n’est le théatre, rien qui l’ approuve , qui ne l’anathématise. Vous êtes Chrétiens, dite
20 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVI. Les pièces comiques et risibles rejetées par les principes du même Platon. » p. 64
rit de lamentation et de plainte que la tragédie vient émouvoir, il n’ approuve pas davantage « cette pente aveugle et impétueuse
21 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES DISCOURS. » pp. -1
difficultés qu’on lui avait proposées. 275 III. DISC. S’il y a lieu d’ approuver que les Pièces de Théâtre soient tirées de l’Ecri
22 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209
’on l’aime, & que l’on n’appréhende nullement d’y succomber. Je n’ approuve pas ceux qui vont à l’Eglise à l’heure où ils sça
vous répondra : c’est1 le consistoire de l’impureté, un lieu où l’on approuve des libertés qu’on n’oseroit se promettre ailleur
e ou d’un tempéramment qui nous met à l’abri de la séduction : nous n’ approuvons ni les maximes corrompues qui se débitent sur le
out point : il faut louer leur probité, leurs aumônes, sans toutefois approuver en elles la fréquentation des Spectacles, Tertuli
23 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
bon sens n’est pas toujours le même ? et si des personnes de bon sens approuvaient du temps de Sophocle et d’Euripide, des Pièces de
, des Pièces de Théâtre sans amour, pourquoi ne veut-on pas qu’on les approuve aussi de notre Temps ? CLEARQUE. Le bon sens ne
les plus beaux endroits de la Pièce ; et j’ai vu bien des gens qui n’ approuvaient pas qu’une fille de l’âge d’Iphigénie courût aprè
e des Saints sur un Théâtre profane ; et il me semble encore que vous approuviez l’Edit que l’on fit le siècle passé, pour défendr
TIMANTE. Ce n’est donc plus que le nom qui vous fait de la peine, j’ approuve votre délicatesse, et je veux bien avouer qu’il y
à une fort belle Tragédie, pourvu qu’elle soit traitée avec art. Et j’ approuve fort le sentiment d’un de nos plus excellents Poè
’ose parler ainsi. Il ne sera reçu dans le monde qu’autant qu’il sera approuvé de ceux dont la réputation est établie. CLEARQUE
24 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « A MONSEIGNEUR DE HARLAY, ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE  » pp. 394-406
ertilité de la Terre ; et que les raisons contre un Divertissement si approuvé ont paru si faibles qu’elles ont augmenté l’envie
qui lui est redevable de tant de bienfaits, peut-elle condamner ce qu’ approuvait ce grand Homme, sans donner une atteinte à sa mém
25 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
rendre plaisir à des choses criminelles, lui qui est déjà sanctifié ? Approuvera-t -il contre le commandement de Dieu, les superstiti
son sexe se représente à son imagination dans ces Spectacles ; on les approuve lors qu'on en rit, et non seulement les enfants-l
26 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — AVERTISSEMENT DE L’AUTEUR. » pp. 3-6
ues du public ; on rendit justice à la sagesse de l’Auteur, mais on n’ approuva pas généralement ses moyens de réformation, qui,
27 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XII.  » p. 467
condamne manifestement. Car on peut apprendre de cet exemple que l'on approuve en quelque sorte tout ce que l'on souffre et ce q
28 (1675) Traité de la comédie « XII.  » pp. 291-292
condamne manifestement. Car on peut apprendre de cet exemple que l'on approuve en quelque sorte tout ce que l'on souffre et que
29 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « [Introduction] » pp. 4-5
réputation et l’honneur de la Compagnie. Car on sait qu’ils n’ont pas approuvé qu’on eût employé toutes sortes de Divinités Païe
30 (1638) L’Image du Vray Chrestien. Chapitre IV « Chapitre 4. » pp. 106-108
llien au livre qu’il a écrit des spectacles : « Où (dit-il) rien ne s’ approuve , sinon ce qui est réprouvé ailleurs, et auquelb l
31 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
a, et il prouve par un autre endroit de saint Thomas, que bien loin d’ approuver la Comédie, il a dit dans la 2. 2. q. 167. art.2.
représentations des Comédies, qu’on doit avoir en horreur. Est-ce là approuver la Comédie ? Est-il de la bonne foi de faire pass
morale outrée. L’Auteur fait voir dans les Pièces du Théâtre les plus approuvées dans ce siècle, le vice loué et estimé. Dans le C
stifier son sacrilège, fait connaître leur corruption, puisqu’ils ont approuvé dans cette Pièce ce qui y était faux, et ce qui é
32 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
l’Eglise : il y a peu d’apparence que les Prélats & les Docteurs approuvent qu’on consulte les Laïques, au mépris de leurs Re
ation des trois Chapitres, il n’a fait aucun Canon : cependant il fut approuvé par le Pape Vigile. Ainsi l’on ne peut douter de
33 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-9
laré du theatre, pouvoit-il ne pas en connoître les dangers, & en approuver l’indécence ? Il y a quelque chose d’énigmatique
acles, les comédiens eux-mêmes, les condamnent au fond du cœur, & approuvent ceux qui n’y vont pas. C’est la marche de toutes
34 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre X. Que c’est une chose vicieuse et un dérèglement manifeste de danser fréquemment. » pp. 37-40
nt à cet exercice, pèchent mortellement. Il est vrai, que Sylvestre n’ approuve point ce sentiment, touchant la grièveté de ce pé
35 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
vines N’offre pour le salut qu’un chemin plein d’épines Et que loin d’ approuver les jeux et les plaisirs Il nous en interdit jusq
36 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
-elles dans la Comédie d’aujourd’hui ? Nullement. Saint Thomas ne les approuve donc pas aujourd’hui ? En effet, pour ne pas parl
ération ? Cela ne se peut dire. Il faut donc conclure que S. Thomas n’ approuve pas la Comédie d’à présent à l’endroit même qu’on
e émeut et entretient les passions criminelles ; elle ne peut être ni approuvée , ni excusée, selon la maxime constante de Tertull
I. « Lesp. 39. Magistrats ne défendent point la Comédie ; donc ils l’ approuvent . » Il est indubitable que les Magistrats qui son
gent souvent les Magistrats à tolérer malgré eux des choses, qu’ils n’ approuvent pas, pour empêcher de plus grands maux et de plus
mme j’ai déja dit ; il ne faut pas en tirer cette conclusion qu’ils l’ approuvent et qu’elle soit permise ; puisqu’étant, comme ell
qu’il devrait dire. 1. Monseigneur l’Archevêque de Paris, bien loin d’ approuver la Comédie, la condamne hautement dans son Rituel
37 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
t à proprement parler, le consistoire privé de l’impudence, où l’on n’ approuve que ce qui est désapprouvé partout ailleurs. Auss
’homme qui est l’image de Dieu. Vous ne sauriez avec quelque religion approuver ces courses insensées, ces furieux élancements, q
Celui qui se fait un devoir de réprimer l’insolence d’un querelleur, approuve les meurtrissures sanglantes que se font les athl
rrerie ! Ils aiment ceux qu’ils punissent ; ils méprisent ceux qu’ils approuvent  ; ils louent l’ouvrage, et notent d’infamie l’ouv
reuse sera contre eux la justice divine ? Pensez-vous que Dieu puisse approuver ce cocher du cirque, qui trouble tant d’âmes, qui
entir Jésus-Christ ? Pensez-vous encore, que l’usage des masques soit approuvé de Dieu ? Je vous le demande. S’il défend toute s
u’on défigure son image ? Non, non : l’auteur de la vérité ne saurait approuver rien de faux. Il regarde comme une espèce d’adult
38 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221
mpression des livres. Ce concile défend d’en imprimer qui n’aient été approuvés par les Evêques, ou ceux qu’ils en ont chargé ; i
omme les comédiens sont payer à la porte. Nous sommes bien éloignés d’ approuver les réprésentations des piéces de théatre, que le
s ; nous nous sommes assez expliqués la dessus, mais nous ne saurions approuver les calomnies & la malignité que l’on ajoute
l’a immortalisé. Les Mémoires de Trévoux, Septembre 1772, art. 19, n’ approuve point, à la vérité, ce genre de comédie, par une
uer chez eux bien de piéces, en quoi ils avoient tort, mais n’ont pas approuvé le théatre public ; ils se sont défendus sur les
39 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87
isième lieu, il ne faut pas croire que Saint Thomas ait été capable d’ approuver les bouffonneries dans la bouche des chrétiens, p
40 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
ces discussions intéressantes ; il éclaircit, approfondit, apprécie, approuve , juge communément bien et trop bien ces matières
ence, ce que la religion a de plus respectable ?  » Qui donc a jamais approuvé cette indécence ? n'a-t-on pas aboli ces pièces ?
en aucune manière des spectacles, et ne les introduise dans sa maison( approuverait -il qu'un Corps Religieux eût des théâtres dressés
postasia... et de potestate romani Pontificis, publié à Rome en 1625, approuvé par le Supérieur général de la Compagnie de Jésus
41 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quinzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 275-277
sujet, n’en soyez pas étonné : apprenez que je le sais & que je l’ approuve . Soutenez-la ; consolez-la ; ne la questionnez pa
42 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
vertu et d’une conscience fort délicate pour ne pas dire scrupuleuse, approuvent la comédie et la fréquentent sans peine. ». Ce so
43 (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276
nveloppes les plus minces. » (Traité sur la comédie.) Comment pouvoir approuver la corruption réduite en maximes dans une foule d
les trompeuses et perfides invitations à tous les plaisirs ? Comment approuver ces sentiments dont la nature corrompue est si dé
es circonstances et l’objet des pièces qu’on y joue ; on ne peut donc approuver ceux qui ont l’habitude de le fréquenter : on doi
es et des Pères de tous les siècles ? Est-il croyable qu’il ait voulu approuver une profession qui rend infâmes et excommuniés ce
44 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
promesses, il ne laisse représenter aucune pièce qui n’ait été vue et approuvée par le Magistrat : « Nous serions des insensés, d
(pag. 20 et 21), parlant à un grand politique, qui revit, corrigea et approuva son ouvrage, dit ces belles paroles, bien dignes
use qu’ils représentent des mouvements et contenances sensuelles. Ils approuvent le tumulte qui se fait toujours sur la scène, san
la mode (poudré) ! La loi permet de tuer un Magistrat ivre, Vespasien approuvait qu’on répondît injurieusement à un Sénateur agres
45 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
au Théâtre qui est une assemblée particulière d’impudicité où l’on n’ approuve rien que l’on n’improuve ailleurs, de sorte que c
aurait tort, il serait bien stupide si l’on ne parvenait à lui faire approuver les motifs qui ont établi le spectacle Français d
46 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183
C. a laissé répandre du parfum sur ses pieds & sur sa tête, il a approuvé cette action, il est vrai, mais tout cela n’est p
engeance des Charlatans ; qu’à la bonne heure il annonce les secrets approuvés pour les Arts, pour l’Agriculture, pour la Médeci
entretenir les mains dans la plus grande blancheur. Cette essence est approuvée par MM. les Prévôts & Syndics des Communautés
, même à la beauté, au lieu d’embellir il défigure. 4.° Cette annonce approuvée par les Docteurs de la Faculté des Perruquiers, c
Perruquiers, contredit les autres annonces du fard par eux également approuvées , par lesquelles on assure que le fard ne gâte pas
47 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
TROISIEME DISCOURS S’il y a lieu de approuver que les Pièces de Théâtre soient tirées de l’Ecri
ture Sainte dans une Tragédie, ait donné lieu de demander, si on peut approuver qu’on prenne des Histoires de l’Ecriture Sainte p
nt être reçus partout. Il n’y a pas jusqu’aux Protestants qui n’aient approuvé cette défense ; et dans leur discipline qu’ils ap
sainte Héroïne est dépeinte comme une belle femme, elle se pare. Dieu approuve ses ajustements et ajoute même de nouveaux agréme
e se voit obligée de tolérer bien des choses, sans néanmoins faire ni approuver , ni dissimuler ce qu’elle trouve de contraire à l
48 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Des Spectacles des Grecs. » pp. 3-6
oye estoit pretieuse, & passoit pour le seul bien universel & approuvé de la raison & des sens. Il seroit également
49 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
pourrait y trouver des mouvements qu’un homme qui lit de sang froid n’ approuverait peut-être pas. Si j’avais fait ces Discours pour
50 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
titude la police séviroit ! Mais ici les gens en place se taisent, ou approuvent & autorisent, par leur exemple, la comédie ;
amp; d’auteur de comédie lui paroît celui d’un homme abominable. Il n’ approuve que les drames de collège. « Ce ne sont pas, dit-
stiques. Peu de ceux même qui vont à la comédie, signeroient qu’ils l’ approuvent . Enfin, au lieu d’éteindre, elle fomente d’ordina
51 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
t les graces dans les yeux d’un homme qui n’en désire pas, & n’en approuve pas l’étalage suspect. Il ne souffre point l’oisi
mpli & ratifier ce qui est impossible ou ce qu’elle defend ? Elle approuve donc le crime ? Est ce bien s’entendre soi-même ?
ui a fait des promesses dans le vin, nous en parlons ci-dessus. C’est approuver la violence, c’est y inviter que de donner si peu
52 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 16-18
n ; car quoique je sois convaincu, que cet Ange de l’Ecole n’a jamais approuvé les Comedies, telles qu’on les représente aujourd
53 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « V. » pp. 23-26
travail de tout Evêque, quelque Saint qu’il eût été, qui n’aurait pas approuvé vos mauvaises maximes et votre conduite relâchée.
54 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXIII. Impossibilité de réformer entièrement les spectacles. » pp. 191-194
op près au licencieux pour en être entièrement séparé. Si on avait pu approuver quelques représentations, c’étaient surtout celle
55 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
e mérite de cet art, tout informe qu’il était : il le permit, et il l’ approuva . Saint Charles Borromée examinait lui-même les Pi
56 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à rejeter. » pp. 313-318
à l’art qu’il y a mis ; mais pour ce qui regarde les mœurs, loin de l’ approuver je suis au contraire persuadé que ses plus grands
57 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
sibles. L’Apôtre défend de prononcer le nom du crime ; pourrait-il en approuver l’intrigue, les sentiments, l’occasion, la représ
en fait un fort long traité. Vincent, Ministre de la Rochelle, a fait approuver son livre contre la comédie par douze Ministres d
. Eustache, et Corneille celui de Polyeucte et de Théodore. Je ne les approuve point ; mais du moins ils doivent éviter deux cho
a fit un si mauvais effet, que le Cardinal Richelieu ne le put jamais approuver . 2.° Qu’il prenne garde de n’y pas mêler des gala
58 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
que c’est à l’Eglise seule à juger de la morale et de la doctrine, à approuver les pièces ou les rejeter. Ces questions n’ont pa
our transcrire leurs écritures, et faire leurs commissions. La Cour l’ approuva , et voulut que ce fût pour eux une espèce d’appre
second leur défendit de jouer aucune pièce qui n’eût été examinée et approuvée par des Commissaires du Parlement. Ce second n’ay
tes, et se borne à en réprimer les abus, sans pourtant l’avoir jamais approuvée . Les Basoches de province n’ont jamais fait grand
59 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
ison : où la Comédie les produit et les étale de toute leur force, en approuve tous les succès, et y donnent des récompenses. I
si peu de honte, qu’il faudrait leur être semblable pour les pouvoir approuver . Quand il y aurait quelque chose à reprendre à l
60 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
corruption. Il tâche d’en montrer les avantages ; la cour, la ville l’ approuvent , les gens de Lettres le désirent : je le crois lu
t qui, moins délicat que les comédiens ( credat judeus appella ), l’a approuvée . Les comédiens [tant est grande la modestie des L
. Le magistrat au contraire a trouvé la piece très-décente, & l’a approuvée . Je doute pourtant que l’auteur gagne son procès,
s eussent assez de crédit pour empêcher la représentation d’une piece approuvée , parce qu’elles y croiroient leur dignité comprom
on ne connut jamais l’alliance de la Scène avec la piété, le bon goût approuve aussi peu ses productions théatrales : tant il es
des Arsacides. Il y a trente ans qu’elle fut présentée aux comédiens, approuvée & reçue : mais, je ne sai par quel caprice (p
èglement de MM. les Gentilshommes fut annexé à cet acte : le tout fut approuvé , autorisé & confirmé par un dernier arrêt du
ient aujourd’hui d’autant plus décisive, que je vous apporte ma piece approuvée . Toutes vos délicatesses doivent disparoître, dès
61 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
is est aussi honnête que le prétend la dissertation, il faudra encore approuver que ces sentiments dont la nature corrompue est s
62 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
ro sedens turpissimè biberit. » Le monde quelque déréglé qu’il fut, n’ approuvait point ces actions ; on rougissait au contraire ;
i ont toléré les spectacles, ont été bien éloignés d’y assister, ni d’ approuver que les personnes de piété y assistassent. On les
qui fait que l’on aime ceux que les lois publiques condamnent, qu’on approuve ceux qu’elles méprisent, qu’on relève un art, et
uffons sur le Théâtre, comme le dit Valère-Maxime L. 2. c. 6., elle l’ approuvait alors, et Salvien Prêtre de cette Ville parla ave
tions des Patriarches : Photius fut assez lâche pour souffrir et pour approuver même qu’on jouât ainsi l’Eglise et la personne du
ppositions abstraites et métaphysiques, il est visible qu’ils doivent approuver en certaines suppositions, ce qu’ils condamnent d
xceptions ; et je ne sais comment on s’avise de dire que saint Thomas approuve absolument les Histrions. Il est clair au contrai
réjouir les hommes, n’est pas de soi une chose mauvaise ; et qu’il n’ approuve les Histrions, qu’en cas qu’ils gardent des condi
que saint Thomas qui était en réputation de grande piété à Paris, eût approuvé avec certaines conditions ces mêmes Comédiens que
mptu étaient examinés par une personne nommée par S. Charles, qui les approuvait et signait ensuite de sa mainP. 58., « lorsqu’il
ic ou en particulier aucune pièce, sans avoir été auparavant revue et approuvée par lui ou par son Vicaire Général... mais il déf
que de Chartres dans son Livre intitulé Norma pie vivendi, et qui fut approuvé dans un Synode tenu à Chartres en 1575. ne veut p
voir qu’Escobar porte l’horreur qu’il a des Comédies jusqu’à ne point approuver qu’on en souffre dans un Etat. IX. Sentiments de
ibertés que les jeunes gens s’y donnent. Que la Religion Chrétienne n’ approuve point que des femmes osent monter sur le Théâtre 
maux. Ainsi les Magistrats souffrent quelquefois des choses qu’ils n’ approuvent nullement. L’Eglise en agit de même et personne n
titutione], qu’il faut faire comprendre au peuple que la République n’ approuve point les Comédies, mais que si elle accorde aux
utes les règles du Théâtre. Pourquoi donc condamner ailleurs ce qu’on approuve dans ces Collèges ? Réponse. Quelle comparaison e
i n’étudient que les maximes du monde : Entre des pièces examinées et approuvées par des Supérieurs de Communauté, et des pièces o
à la Comédie. Septième difficulté. Plusieurs personnes considérables approuvent la Comédie : Ne peut-on pas s’en tenir à leurs se
mmuniquer aux œuvres des pécheurs et de ne donner aucune marque qu’on approuve le crime, tel que celui des Comédiens. Il n’y a d
prenant de l’argent de ces sortes de personnes, on peut croire qu’on approuve leurs œuvres et leur état : car si cela était, il
des pécheurs, comme on en reçoit des Juifs, sans qu’il paraisse qu’on approuve leurs actions ni leur état ; alors il ne serait p
ruisant, il faut se contenter de gémir, et parce qu’on ne peut jamais approuver ce qui est un désordre, on ne peut se dispenser d
63 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
produisent et favorisent l’incrédulité. « Et qui peut parmi nous approuver une scène Où règne avec éclat l’impiété païenne ;
64 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
Nous n’avons pas cru pouvoir nous taire, sans nous rendre coupables d’ approuver le crime par notre silence, et responsables devan
65 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
er s’il y a du mal, il ose déclarer qu’il n’y a « rien qu’on ne doive approuver , rien d’indécent ni de déshonnête qui puisse bles
r de plus grands maux, tolérant quelquefois diverses choses qu’elle n’ approuve pas, c’est lui insulter, que de conclure qu’elle
s qu’elle n’approuve pas, c’est lui insulter, que de conclure qu’elle approuve la Comédie à cause qu’elle ne fait pas arracher l
66 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
convenables à leur mérite. Je désire beaucoup, Mademoiselle, que vous approuviez mes idées ; j’ose me flatter que vous ne les déda
es parties. Qu’ils ont aujourd’hui quelques défauts, qu’on ne saurait approuver , et qu’on ne devrait pas souffrir. Je vous propos
67 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57
in prémédité l’on reprend dans Le Festin de Pierre ce que l’on y doit approuver . Cet observateur ne se contente pas d’attaquer le
is dévots et qu’il n’en fasse voir la différence. C'est ce qui a fait approuver le Tartuffe par tant de gens de mérite, depuis qu
68 (1643) La discipline des Eglises prétenduement réformées « Chapitre XIV. Des règlements ou avertissements particuliers » pp. 381-625
ensurées selon les circonstances. Les Blanquese aussi ne peuvent être approuvées , soit qu’elles se fassent par la permission du Ma
69 (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50
vilir jusqu’à cette honteuse profession ; il leur est aussi défendu d’ approuver ceux qui l’exercent : nobis satis non est, si ips
mmunion. Mais que voulez-vous en conclure ? que leur profession y est approuvée  ; qu’on ne la regarde pas dans ces contrées comme
onteuse & criminelle : & y a-t-il donc tant de distance entre approuver une passion, l’aimer & la ressentir ? En quo
e qu’on ne peut sans péché, violer une loi de l’Eglise & paroître approuver ce qu’elle condamne ; parce qu’on ne peut s’expos
70 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
it que le théâtre est le consistoire privé de l’impudicité, où l’on n’ approuve que les libertés qu’on n’oserait prendre ailleurs
uption, qui ne tendent qu’à la ruine des âmes, et qui sont applaudis, approuvés et autorisés par tous ceux qui y sont présents. C
t des Pères de tous les siècles ? Et est-il croyable, qu’il ait voulu approuver une Profession, qui rend infâmes et excommuniés c
71 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
pectacles. R. Oui. Il y a péché. 1. D'applaudir aux Comédiens, de les approuver , et de contribuer à les entretenir dans leur prof
72 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
ar exemple à plusieurs métiers, et enfin à celui des histrions, qu’il approuve Ibid., § 14. au même sens et aux mêmes conditions
73 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. —  CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. » pp. 128-140
Sentence du parterre, condamne ce qu’il avoit vu avec entousiasme, ou approuve ce que les sifflets avoient méprisé. Les comédien
ne sera jouée qu’elle n’ait été présentée à la troupe, examinée & approuvée par l’Aréopage. Il n’est pas douteux que l’expéri
74 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
protégés par les gouvernements, et que la profession de comédien est approuvée par les souverains et par le pape, des prêtres ri
75 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
mpêcher les Ecclésiastiques d’y assister : Charlemagne, non seulement approuva le décret des Conciles ; mais, par une Ordonnance
76 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
faire respecter : qu’il mérite d’être regardé comme un séducteur qui approuve le vice, en confirmant le vicieux dans le mal par
77 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
de jeux et de divertissements il entend aussi la Comédie, et qu’il l’ approuve en même temps, qu’il trouve de la vertu dans les
u Théâtre, qui est une assemblée particulière d’impudicité, où l’on n’ approuve rien que ce que l’on improuve ailleurs ; de sorte
auraient été du sentiment de saint Thomas, et s’ils ne l’avaient pas approuvée , du moins l’auraient-ils jugée indifférente. J’ai
ition néanmoins qu’avant d’être représentées elles seraient revues et approuvées par son Grand Vicaire, de peur qu’il ne s’y gliss
e s’y glissa quelque chose de déshonnête. Ce pieux et savant Cardinal approuva donc les Comédies modestes, et ne condamna que le
ne laisse pas d’y jouer la Comédie, qui y est soufferte et peut-être approuvée . Si elle était mauvaise, pourrait-on la tolérer ?
78 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
tenait une thèse pour démontrer que cette cérémonie n’était pas moins approuvée du ciel que l’office de la conception de N.D., un
79 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
ité de la Tradition ? Combien ceux qui traitent des Cas de Conscience approuvent -ils, ou condamnent-ils tous les jours d’actions,
onfondre tous les partisants de la Comédie : « Nous souffrons et nous approuvons la fausseté dans les divertissements, nous la ver
’un Chrétien autorise par un Écrit public, ce que les Païens n’ont pû approuver  ? Mais faisons parler l’Église, on aura peut-être
tous ceux qui comprendront bien son sentiment, reconnaîtront qu’il n’ approuva jamais la Comédie telle qu’elle se joue à present
urs publique, il y entre du scandale ; et c’est ce que saint Thomas n’ approuva jamais, puisqu’il condamne dans les divertissemen
ui allume le feu de la concupiscence. Ibid. 11. Comment donc peut-on approuver ces Spectacles, où l’on voit paraître une fille p
mposant de la main silence à toute la symphonie, fait connaître qu’il approuve le Héros de la Pièce, et qu’il se rend favorable
80 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13
araisse que le Comique se trouva de tout tems joint au Tragique, je n’ approuve point une pareille association ; je la crois révo
81 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
ert qu’à réveiller le courroux du Censeur. Et qui peut, parmi nous, approuver une Scène Où règne avec éclat l’impiété païenne ?
82 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XI. Qu’on ne peut danser sans péché les jours qui sont particulièrement destinés à l’exercice de la piété Chrétienne. » pp. 41-53
s ; et ce sont les seuls témoignages de joie que l’Eglise a reçus, et approuvés  ; Au lieu qu’elle a traité les danses, lorsqu’ell
83 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — Avertissement » pp. 72-80
rtantes règles le consentement unanime des Pères, et qu'il continue à approuver un divertissement qu'ils condamnent, il ne faut p
84 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
ns de dire sera mon guide, et me confirmera dans mes idées, si on les approuve  ; ou me les fera rejetter, si on juge que je me s
85 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
és du mariage ; et tout cela se faisant de manière à divertir, à être approuvé des spectateurs, à faire applaudir l’infidélité,
teur, en respectant et nous laissant intactes ces comédies, a paru en approuver ou légitimer le style, ce qui, eu égard à sa célé
sordres, que masques jetés, freins rompus, jougs secoués ; lorsqu’ils approuvent tous les jours les censures les plus fortes, les
moins de raison, et qui frappe moins juste, reçoit des louanges : on approuve son franc-parler, son indépendance, sa rigueur et
86 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67
ie ont des mœurs déréglées, elle doit donc être soufferte, les bons l’ approuvent , c’est le goût du peuple, il en est infatué, (c’e
aises mœurs, condamnent la comédie ; & ceux qui ont de la vertu l’ approuvent . Ce seroit évidemment tout le contraire ; quelle
i n’ont aucun intérêt de la protéger, enseignent une morale relâchée, approuvent la comédie ! Et ceux qui vivent mal, qui aiment l
nt mal ; vivez donc bien, & n’allez pas à la comédie ; les bons l’ approuvent , & vivent, bien, allez-y & vivez mal. Cet
87 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
vous oublié les Pantins ! Septimanie. Je sens bien pourquoi l’on approuve les Machines, les Optiques, & l’on permet de
essus de la portée des Spectateurs ordinaires. Adelaïde. Vous n’ approuvez donc pas ce que j’ai proposé, de donner aux Balad
e au visage ; & sans doute il excitait votre indignation. Je vous approuve , je pense comme vous. Eh ! quel Français aurait l
88 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
ales sunt publici usurarii, concubinarii, Comœdi. » Le Rituel d’Alet approuvé par 24. des plus savants et des plus pieux Evêque
ennent plaisir à regarder ce qui se passe sur le théâtre lorsqu’ils l’ approuvent et y applaudissent ; c’est comme s’ils la représe
ui sont ces choses sont dignes de mort ; mais aussi tous ceux qui les approuvent , et qui y prennent part de quelque manière que ce
89 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
s entendre parler si négligemment d’un Ouvrage qui a été généralement approuvé , et qui ne pouvait pas manquer de l’être, sous le
t de parler mal de la Comédie ? entreprendrez-vous tous ceux qui ne l’ approuveront pas ? Vous aurez donc bien des Apologies à faire,
st pourquoi vous ne devez pas trouver fort étrange si le Jansénisme n’ approuve pas la Comédie. Ce n’est pas après tout que l’Aut
90 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
e encore un silence mystérieux au canon de la messe ; elle n’a jamais approuvé qu’on mît l’Ecriture sainte entre les mains de to
chassa ; il était même affligé de ses éloges, dolens. Jugez s’il eût approuvé qu’on étalât, ou plutôt qu’on avilît la religion,
ncer la parole de Dieu, Isaïe demande qu’on purifie ses lèvres ; Dieu approuva sa délicatesse, et ordonna à un Ange de prendre u
91 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
ère Huerne de la Mothe, il convient de bonne foi, « que la religion n’ approuve point et même condamne les spectacles, qu’on ne p
iscipline et de la police, les souffre et les fait protéger, sans les approuver , puisque dans le même temps qu’il les laisse repr
mystères des Confrères furent d’abord de vrais exercices de religion approuvés par le Clergé, comme le sont encore certaines rep
92 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IV. Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être défendue par la raison des anciens Pères de l'Eglise. » pp. 90-103
ondamner un divertissement que les Papes et les Princes Chrétiens ont approuvé depuis qu'il a perdu les caractères de l'impiété
93 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre X. Que l'extrême impudence des Jeux Scéniques et des Histrions fut condamnée. » pp. 217-229
votre Théâtre, parce que c'est un mystère d'impudicité, où rien n'est approuvé que ce que l'on condamne ailleurs ; et tout ce qu
94 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
pas dire que cet écrit ne contienne quelques réflexions utiles que j’ approuve , mais qui ne peuvent justifier les doctrines anti
quisition, vante avec impudeur la clémence de ce tribunal de sang, et approuve toutes les cruautés religieuses. Tel est le langa
95 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
cerne la Comédie-mêlée-d’Ariettes ou l’Opéra-Bouffon. Bien des gens n’ approuveront pas les critiques ouvertes ou cachées sous le voi
96 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
ont quitté leurs parures. Le seul Spectacle où les décorations soient approuvées , & même où il en faut absolument, c’est l’Opé
97 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
sion s’en fut présentée. Aussi sait-on que Sa Sainteté n’a eu garde d’ approuver cette conduite, et que M. Cerci nouveau Vice-Léga
98 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 2-36
nfesseur, lui permettoit d’assister à cette piéce, & même l’avoit approuvée  : une Duchesse de la Cour, instruite de cette cir
tions erronnées, dans une histoire du Royaume de Stam, par M. Turpin, approuvée par M. Ribalier ; il est singulier que ces deux c
eux censeurs se fassent ainsi mutuellement le procès, que M. Ribalier approuve une histoire pleine d’erreurs, & que M. Bergi
leine d’erreurs, & que M. Bergier condamne ; & que M. Bergier approuve une tragédie où M. Ribalier en a tant trouvée, il
99 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
, il lui fait dire qu’il est permis de tuer le Roi quand il n’est pas approuvé du Pape, & que cette doctrine est commune. L’
plus grand nombre & plus nombreuses, & pourvu qu’elles soient approuvées , on a droit de s’y enrôler. Qui l’ignore ? L’Aute
& réjouir Philippe le Bel. A quoi pense l’Auteur, de rapporter, d’ approuver , de faire valoir des excès qu’on ne sauroit trop
t soufferts, & l’honneur de l’Ecrivain qui les rapporte & les approuve  ? Innocent III, P. 37. n’est pas plus ménagé. Ce
100 (1647) Traité des théâtres pp. -
étaient perverties, « Il n’y aurait (dit il) aucune Comédie si nous n’ approuvions les crimes qui y sont représentés  Tusculanarum,
les Doctes ne les doivent pas négliger, à cause de l’érudition. Je n’ approuve non plus que la Comédie soit jouée publiquement ;
, pour dire des vanités, ou des saletés. Comme J. C. étant en terre n’ approuvait pas que cet Ennemi s’ingérât de lui rendre témoig
Mais je leur demanderais volontiers, s’ils croient que saint Paul ait approuvé tous les Ecrits qu’il a lus, et dont il a tiré de
lus de poids que tout ce qu’il eût produit des Prophètes : Donc, il a approuvé tout le contenu de son ouvrage, où il y a diverse
ssent, au grand détriment de la piété, et des bonnes mœurs, il aurait approuvé que les particuliers fidèles s’y allassent rendre
ments là-dessus, lesquels le corps de l’Eglise a ensuite généralement approuvés , les choses ainsi arrêtées, ne demeurent plus com
u, et contrôler malicieusement les règlements établis et généralement approuvés en l’Eglise ; ne voulant pas l’Ecouter, ils nous
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