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1 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
masque et des habits décents. Il leur fit porter une chaussure haute appelée cothurne. Il leur construisit un théâtre au lieu
s mimes, les histrions ou farceurs, les poètes provençaux, qui furent appelés troubadours ou trouvères, à cause de leurs invent
à cause de leurs inventions. Les poésies des poètes provençaux furent appelées romans, parce qu’elles étaient écrites dans un id
donnait dans les banquets royaux, et qui, pour cette raison, étaient appelées entremets. Parmi les mimes, dont les jeux consist
sse et de force avec des épées ou des bâtons, et qui pour cela furent appelés bateleurs. Ils allaient de ville en ville, et, lo
stères, ils cédèrent leurs privilèges à une troupe de comédiens qu’on appelait enfants sans souci. Le chef de cette troupe s’app
omédiens qu’on appelait enfants sans souci. Le chef de cette troupe s’ appelait le Prince des sots, et leurs drames étaient intit
sans souci pour donner au public de pareilles représentations : ils s’ appelaient basochiens. Les clercs de la chambre des comptes
I. « Le luxe, dit Mézerai, qui cherchait partout des divertissements, appela du fond de l’Italie une bande de comédiens dont l
2 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
s y recevoir1. pour raison qu’il affirme, que leurs fables (ainsi les appelle-t -il) desquelles Homère et Hésiode sont auteurs, so
jamais dieu,Jupiter Opt[imus] Max[ixmus] ainsi les anciens auteurs l’ appelaient . très bon, très grand, ains homme mortel, impie e
rmonies, enseigna aux Grecs les interprétations des mots, dont il est appelé Hermès, c’est-à-dire, interprète, et disent fabul
e femme à Jupiter, pour sa mollesse : et quant à l’air pur, ils l’ont appelé , Pallas, la disant être fille de Jupiter : pucell
ver :Cælius Rho[diginus, Antiquæ Lectiones] li. 8. ch. 18. outre ce l’ appellent Glaucopis, non pas qu’elle ait les yeux pers, ain
couleur azurée, quand on regarde au ciel en temps serein. Les Romains appelaient le Soleil Janus,Macro[be]. l. 1. c. 9. Satur[nale
li. 4. ch. 12. de la Cité [de Dieu] avec les annot[ations] de Vives. appelle quelquefois Dieu, Esprit, quelquefois entendement
e quelquefois Dieu, Esprit, quelquefois entendement, quelquefois il l’ appelle Dieu par son propre nom, quand il dit : « Dieu
t comme poussé et ravi de quelque divin esprit. C’est pourquoi Ennius appelle les Poètes saints, pour autant qu’il semble que l
à la vérité,Néanmoins le même Cicéron en l’Oraison pro Rosc. Comædo, appelle la Comedie, imitation de vie, miroir de coustume,
aquelle il était défendu, qu’un bateleur, farceur, et autres que nous appelons communément en France, Enfants sans souci, ne s’a
es Latins ont eu pareillement leurs Comédies :15. car les unes furent appelées Togates,Diuerses Comedies des Latins Togates. ou
it raclé quelque peu de leurs écrits, ils pourroient à bon droit être appelés les plus saints d’entre tous les Poètes. Des Ele
s fables. 2. Jupiter Opt[imus] Max[ixmus] ainsi les anciens auteurs l’ appelaient . Osiris fait dieu du soleil. Vois Macro[be] li. 1
de Ciceron. Néanmoins le même Cicéron en l’Oraison pro Rosc. Comædo, appelle la Comedie, imitation de vie, miroir de coustume,
3 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
es Lévites, qui en tuèrent jusques à vingt-trois mille : ce que Moïse appelle sanctification et sujet de bénédiction à ceux qui
, elle les défendit même aux noces. Le Concile d’Aix-la-Chapelle, les appelle des actions infâmes. Un Concile d’Afrique les nom
te, qu’elle enseigne à ses filles la piété, et non pas à danser. » Il appelle encore la danse un misérable théâtre, où les dans
l. 91. du Temps, dit, « Que danser c’est tourmenter son corps » : et appelle les danses, « des actions horribles » ! Et ailleu
merions folie ce qu’on nomme gentillesse : et c’est à bon droit qu’on appelle des joueurs à ces assemblées, afin que l’âme étan
éguliers, cela veut dire qu’une sottise en couvre une autre, ce qu’on appelle une école de gaillardise : c’est un apprentissage
ez le Prince des Orateurs Cicéron, qui soutient et avec raison, que d’ appeler un homme danseur, c’est lui faire une injure fort
4 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
XI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrys
ie, art de faire rire ; ou, si l’on veut, bouffonnerie : Saint Paul l’ appelle εὐτραπελία, eutrapelia Ep. I .V. 4. [1e épître au
nt Paul nomme un tel discours de son plus beau nom : car il pouvait l’ appeler βωμολοχία (bomolochia), qui est le mot propre que
us ces discours qui ne conviennent pas un à chrétien, même ceux qu’on appelait parmi les Grecs et les Latins, ἀστεῖα : urbana :
5 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
que les Philosophes qui puissent lire sans danger les ouvrages qu’on appelle de bel esprit, les Poètes anciens et les modernes
ener à la solide piété. Theodore. Faites-lui voir aussi que ce qu’on appelle esprit dans les Poètes ne se soutient pas toujour
races principales du cerveau de l’auditeur, que plusieurs autre qu’on appelle accessoires se réveillent en même temps ; et qu’a
t ne travaillent qu’à les imiter, sans penser seulement à ce que vous appelez des traces accessoires. Ils se remplissent la têt
ennent par cœur avec bien de la peine, et puis vont débiter ce qu’ils appellent une Harangue, ou un Sermon. Theodore. C’est aujo
i fasse entendre qu’un peu de matière poussée vers nos yeux, et qu’on appelle des rayons, peint tous ces divers objets sur notr
bijoux du monde ne suffiraient pas. Eugene. Ah ! Théodore, ce qu’on appelle raison et justice, ne sont que des mots pour ces
t de contenter les sens et l’amour propre ; et de railler ceux qui en appellent à la raison. Eugene. Ce fruit funeste des fausse
6 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
. La forme en était ronde, et plus ordinairement ovale. Le fond qu’on appelait aussi arène, était une grande place où combattaie
ce grand amas d’étages dont nous venons de parler, et que les anciens appelaient cunei spectaculorum. Ce que notre auteur nomme do
naient tout autour au pied d’un certain nombre de degrés. Vitruve les appelle aussi chemins itinera. Les Chap. 5. jeux lupercie
s. Il y en avait de deux sortes dans le cirque ; les premières, qu’on appelait aussi Murtiènes, étaient tout proche des barrière
alendrier Romain s’accorde néanmoins avec Tertullien. CeuxIbid. qu’on appelle Mégaliens, Apollinaires, etc. Les jeux Mégaliens
7 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
trent que trop l’empire du Prince des ténèbres. Plusieurs Pères l’ont appelé l’auteur, l’inventeur de la danse ; que c’est lui
ur de la danse ; que c’est lui qui la réduite en art, que S. Augustin appelle lugondas delicias : In artem ludosque digessit, u
ns. La condamnation de la danse théatrale n’étoit pas de son rôle. Il appelle sacrées les danses du peuple les jours de fête, c
e la loi nouvelle y dansent pour honorer Dieu, & que l’Evêque est appelé Prélat à presiliendo, parce qu’il commençoit &
se, de se boucher les oreilles comme ses matelots, on y court, on les appelle chez soi, on n’a ni assez d’oreilles pour les ent
; on ne fut pas long-temps sans les confondre avec la licence. On les appela lascives, nom qui désigne assez leur emploi, leur
. C. 10. tit. 2. a quelque chose de comique. Qu’à la bonne heure il l’ appelle un amusement agréable, un exercice du corps, util
animaux, qui fuient, viennent, craignent, caressent, selon qu’on les appelle ou les menace, qui ont eux-mêmes leurs gestes trè
ire un art, & même plusieurs arts de toutes ces choses, & les appeler en général l’art de la danse. On peut les porter
en que la peinture, la musique, l’écriture, & tout cela peut être appelé danse. En ce sens l’art de la danse est sans born
oi, sans doute au profit des bonnes mœurs. S. Cyrille & S. Ephrem appellent les danses les fêtes du diable : O subdola diabol
nouveau genre de spectacle qui réunit tous les divertissemens, qu’on appelle Wauxhal, ne sachant quel nom lui donner ; il a co
laisirs sont réunis dans ce lieu enchanté, ce Wauxhal François, qu’on appelle les Fêtes de Tempé par un petit trait d’érudition
8 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
etite multitude de Juifs ; à combien plus forte raison ne doit-on pas appeler de ce nom ces prodigieuses assemblées de païens ?
s il y a des voies, où l’on se tient pour assister aux spectacles. On appelle voies ces amas de degrés, qui séparent le peuple
ces amas de degrés, qui séparent le peuple des chevaliers. De même on appelle chaires ces grands sièges, où les sénateurs s’éte
comprend tout l’univers. De même quand parlant des spectacles, il les appelle du nom d’assemblée des impies : il passe du génér
uits dans le monde. Examinons ensuite leurs titres : comment ils sont appelés . En troisième lieu leur appareil, et avec combien
des spectacles sous un manteau de religion. Les Romains ensuite ayant appelé chez eux quelques-uns de ces étrangers, empruntèr
jeux tirent leur nom de quelque Dieu du paganisme. Ainsi tantôt on a appelé Liberiaux ceux qui étaient institués à l’honneur
u’il leur avait faite, en leur découvrant l’usage du vin. Tantôt on a appelé Consuales ceux qui étaient dédiés à Neptune, nomm
l’honneur de Jupiter Férétrien sur le mont Tarpeius ; d’où il furent appelés Tarpeiens et Capitolins, comme raconte Pison. Ens
erstition ces jeux de différente espèce ont été consacrés. Ceux qu’on appelle Mégaliens, Apollinaires, Céréaux Neptunaux, Floré
de grosses colombes, qui soutiennent ou les statues Sessiennes, ainsi appelées de la déesse qui préside aux semences ; ou les Me
l y a d’autres semblables courses consacrées à Neptune, que les Grecs appellent d’un nom particulier ἵππιος le cavalier. Or ces j
acchus. En effet il y avait autrefois certains jeux du théâtre, qu’on appelait proprement libériaux : non seulement à cause qu’i
lus fameux et du plus agréable de tous les spectacles. On l’a d’abord appelé devoir, comme qui dirait office ; parce que offic
t dans ces idoles ; soit qu’elles représentent les morts, ou ce qu’on appelle des Dieux. Or comme ces deux espèces d’idoles son
s que des gens de bien périssent ; si toutefois ils peuvent tous être appelés gens de bien. Certainement il y a des gladiateurs
9 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — introduction » p. 2
les bals, les danses et les autres divertissements que les réprouvés appellent innocents, et que S. Augustin nomme lugendas læti
en cette céleste prédiction de votre divine maternité, c’est de vous appeler cachée et retiré : Ecce virgo concipiet, hébraice
10 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques «  Analyse et sommaire du présent Traité  » p. 63
glise Chrétienne. II. Arguments pris de leur Forme. Ce que Dieu appelle abomination ne doit être permis aux Chrétiens : L
re permis aux Chrétiens : Le déguisement du sexe, par les habits, est appelé abomination devant Dieu : Donc il ne doit être pe
11 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
a ses tours de passe-passe et autres parties de son métier, et furent appelés Histrions, du nom de leur Maître, ces Libertins s
imes, ou Plaisanteurse, ils ont pris leur source d’un certain bouffon appelé Mimos qui signifie en langue grecque Imitateur, d
s de leurs mauvaises vies. Saint Martial évêque de Limoges, autrement appelé l’Apôtre des Gaules, l’un des septante-deux Disci
de tous les Arts, à cause de la noblesse de son origine, et fut même appelée le langage de la Divinité, car si nous considéron
re par les Clercs de la ville, qui avait été tirée du vieux Testament appelée l’Assyrien de Perse, où étaient contenus plusieur
me a subi la force de sa tyrannie ; par le blasphème des Juifs, qui l’ appelaient séducteur, corrupteur des lois, ennemi de l’Etat,
n’a-t-elle point heurté les premiers Chrétiens, quand les Païens les appelaient secte pernicieuse, ennemis des Dieux, des Empereu
. Si l’on me dit que c’est la verge de laquelle l’Eglise se sert pour appeler le pécheur à repentance, je réponds qu’il y a dif
12 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89
onciles l’anathêmatisent ; & sans invoquer d’autre tribunal, j’en appelle à la conscience des femmes que la passion n’a pas
t de la femme forte, il ne parle ni de blanc ni de rouge, ce que l’on appelle un visage de marqueterie & de piéces rapporté
leur ajustement, & tout le trésor de leur toilette, que les loix appellent un monde, Mundus muliebris. On lui demanda de voi
l donne à ces filles des noms qui nous paroissent fort singuliers. Il appela l’une le Jour, Dies ; l’autre la Casse, Cassia ou
, les voyageurs & les histoires Orientales. Ainsi la premiere sur appelée le jour, pour marquer qu’elle étoit belle comme l
ôtre : Christi bonus odor sumus. Ce n’est pas sans doute une drogue appelée de la casse qu’on emploie dans la medécine, dont
medécine, dont l’odeur n’est pas agréable. Ce seroit un vilain nom d’ appeler une fille une prise de casse, à moins que le clim
nt bizarres dans nos mœurs, & je doute qu’une actrice voulut être appelée le pôt au noir, le pôt au rouge, quand même le po
e Auteur a le sien, comme il a le sein propre de son visage. Scaliger appelle couleur de discours les figures dont on l’orne, l
irs. Il a créé tous les arts, qui le servent pour satisfaire ce qu’il appelle besoins, c’est-à-dire, les goûts & les fantai
lui faisoit son procès. Elle dit dans ses mémoires : Lorsque je fus appelée pour être interrogée par les Commissaires du Roi,
13 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
rent-ils le dessein d’une grande et superbe représentatione, que nous appelons comédie. Aucuns diront que le mot est trop bas, à
rion les diables conversent privémentl ès maisons, y servent, et sont appelés « drôles »m. A ce compte on pourrait ainsi surnom
ironné d’anges avec leurs trompettes sur le plus haut théâtre, qu’ils appelaient paradis. En un autre plus bas étaient d’un côté l
que les diables y conversent privément ès maisons, y servent, et sont appelés Drôles par ceux du pays : il pensent fort soigneu
14 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
ement sur la nécessité, en Europe, de l’entremise des ecclésiastiques appelés missionnaires dans les forêts du Nouveau Monde, l
le dans les églises ou enfin lorsque les diacres, et ceux qu’alors on appelait sous-diacres, « prenaient plaisir a manger des bo
r, de saintes historiettes, avec la farce au bout ; le peuple de Lyon appelait ce théâtre le Paradis, et François Ier y prit un
15 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
e toutes les occupations tumultuaires des hommes, et de tout ce qu’on appelle divertissement ou passe-temps, dans lesquels on n
as. Par exemple, qu’est-ce qui produit en France cette fureur brutale appelée duel ? C’est l’opinion où l’on est que la chimère
ls le méritent, de fous et de furieux ; si l’idole fantastique qu’ils appellent l’honneur n’était représentée que comme une chimè
de civilisation, ont malheureusement introduits parmi nous. Nous les appelons des plaisirs, et nous oublions qu’ils consomment
pressions conformes à son état et à ses goûts ; ces lieux qu’on a osé appeler des écoles de morale, et du voisinage desquels s’
et ne se rendent à l’évidence de leurs raisonnements. En résumé, nous appelons l’attention du lecteur sur les points suivants, q
nt à des plaisirs captieux et funestes pendant ce court passage qu’on appelle la vie, auront persévéré, avec l’aide de Dieu, da
a pureté et à la religion ; pour nous, convaincus que la corruption s’ appelle toujours la corruption, et que ce serait acheter
16 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
ous lesquels toutes les parties étaient comprises ; celui des Acteurs appelé la Scène ; celui des Spectateurs, nommé particuli
istrats étaient séparés du Peuple, & le lieu qu’ils occupaient, s’ appelait Bouleutikés : les Jeunes-gens y étaient aussi pla
derrière la Scène, qui lui servait de dégagement, & que les Grecs appelaient Parascênion (Arrière-Scène) : c’était où s’habill
rations & les Machines. Les Parties qui composaient le Théâtre, s’ appelaient le Conistra, le Bouleuticon, les Diazoma, les Gra
e qui était au-dessous du premier rang des Gradins & du Podion, s’ appelait l’Arène, parce qu’avant de commencer les Jeux de
17 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
axer d’insensée et de présomptueuse une entreprise qui a pour objet d’ appeler l’attention du public sur les écrits de certains
s sommes imposées, nous ne doutons pas que ce petit nombre de pages n’ appelle la plus sérieuse attention. Nous soumettons cet e
18 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
l y a une danse, autrefois fort en vogue, aujourd’hui negligée, qu’on appelle Pavane, la danse des Paons. Les danseurs y ont de
aux si gentils, qui suivent les troupeaux le long des rivieres, qu’on appelle Hochequeues ou Bergeronnetes. Il y a dans les Ind
udas. Il est vrai que quelques interprêtes François, comme Berruyer, appellent robe trainante , & M. de Sacy robe qui traî
expression singuliere ; (quelle est la robe qui traîne en haut ? Ils appellent ainsi la robe que portoit Thamar, fille de David,
toient les filles des Rois avant leur mariage : Vestis Talaris . Ils appellent de même la robe que Jacob donna à son fils Joseph
Joseph, qui causa tant de jalousie à ses freres, & que la Genese appelle talaris & polimita . Mais une robe traînante
stiques. Le mot Hébreu souffre différentes interprétations. Les uns l’ appellent Manicata à longues manches, comme les robes des B
omnia syrmata. Martial se moque de la longueur de ces queues, qu’il appelle insensées : Insana syrmata . Tertullien de Palli
: Insana syrmata . Tertullien de Pallio tient le même langage, & appelle effeminés les hommes qui portent ces robes longue
19 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
. En Espagne comme le naturel est plus grave les représentants qu’ils appellent y sont plus modestes et plus sérieux, et outre qu
et les plus constants, il n'y en a point qui égalent une jeune fille appelée Rosoria de l’âge de dix-sept ou dix-huit ans et u
osoria de l’âge de dix-sept ou dix-huit ans et un jeune homme Toledan appelé Fadrique âgé de vingt-quatre ou vingt-cinq. Aussi
es personnes dévotes sur la Conversion de cette Comédienne. S’il faut appeler Conversion l’entrée en Religion d’une fille qui a
pureté, et semblable à un lys qui est parmi les épines. Mais on peut appeler conversion le changement de sa condition puisque
20 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
gédies, dont les Auteurs aussi bien que les Acteurs, qui sont souvent appelés Tragœdi et Comœdi, sont aussi nommés Cantores. Ho
se prend pour Tragœdus. Quelquefois tous les Acteurs sont simplement appelés Histriones Histrions ; Tite Live Liv[e]. Dec[ades
nèqueEpist[ola] 17. donne encore aux Acteurs le nom d’Histrions50. On appelait proprement Mimes ceux qui représentaient certaine
nt, que les Pantomimes faisaient leur rôle. Horace, Perse et Manilius appellent ces Pantomimes des Satyres, sans doute à cause qu
usique qu’ils touchaient, leur donnaient des noms particuliers. Ainsi appelait -on Thyméliques52 ceux qui se tenaient dans une es
lait-on Thyméliques52 ceux qui se tenaient dans une espèce de tribune appelé Thymele ou Pulpitum. Les Musiciennes, les Chanteu
rs noms qu’on trouve dans le second livre de Macrobe, où il dit qu’on appelait souvent ces Musiciennes dans les maisons particul
ne, les Jeux Scéniques. Les Comédies avaient différents noms ; on les appelait Togatæ 56 Palliatæ, Attellanæ. Celles qu’on nomm
une ergo mihi recitaverit ille togatas Juven[al]. Sat[ire]. I.. » On appelait Palliatæ celles qu’on jouait avec un habit à la G
um ou le manteau. Les Attellanes étaient des Fables plaisantes, ainsi appelées d’Attella Ville de la Toscane où elles furent inv
ur ainsi dire trois différents départements, celui des Acteurs qu’ils appelaient en général la Scène ; celui des Spectateurs qu’il
as de degrés qui étaient entre eux, la forme de coin d’où ils étaient appelés Cunei. Les escaliers étaient au nombre de vingt-c
était le lieu où les Grecs plaçaient leur symphonie : c’est ce qu’on appelait le Proscenium, parce qu’il était au bas du Théâtr
éparé de l’Orchestre par un petit mur d’un pied et demi de haut qu’on appelait Podium, et qui était orné de petites colonnes de
de ce que nous entendons aujourd’hui par ces termes. La seconde qu’on appelait le Proscenium ou Pulpitum était un grand espace l
la 1e fois en 1690, à Oxford. L’Auteur de la Chronique que M. Ducange appelle Paschale, a tiré ces mêmes faits de Malela, et le
du troisième siècle dans la personne de l’Empereur Carin que Vopiscus appelle le corrupteur de la jeunesse le plus débordé qui
les]. L. 14., qui distingue entre les jeux consacrés aux Idoles qu’il appelle sacrés, et les autres qui n’étaient que pour le d
t, alors les jeux étaient consacrés aux Dieux. Les jeux de même qu’on appelait séculaires qui se renouvelaient après cent dix an
udi in honorem aguntur Deorum. » Pline le Jeune L. 7. Epist[ola]. 24. appelle ces sortes de réjouissances, Ludos Sacerdotales,
qu’on ferait quelques réjouissances le jour de sa mort, que le peuple appela ce jour la Fête des prostituées ; que la canaille
ute la pièce. On voulait de son temps que les Auteurs Comiques qu’ils appelaient les Satires, sussent entremêler adroitement le sé
indécences qu’on se représente. L’Empereur Commode, ce Prince qui est appelé par le Sénat un monstre d’impureté Lamprid[ius].,
mque legit, sic puto, cautus erit. » Les Auteurs de la Comédie qu’on appelait nouvelle, se distinguaient des autres, parce qu’i
ceux qui les consultaient par lettres. S. Jérôme ne souffre pas qu’on appelle dans les maisons des chœurs de Chantres et de Cha
hœurs de Chantres et de Chanteuses, ce qui était assez usité, et il n’ appelle ces Concerts de Musique, autrefois si fréquents à
gardée à Rome ; car en 444, les Fêtes de la fondation de Rome, qu’on appelait Palilia, et qui arrivaient le 20. d’avril, s’étan
de pièces qui n’étaient pas bien mauvaises ; c’est pourquoi Cécilius appelait ces plaisirs, honnêtes et légitimes. Mais les Chr
me s’il y en avait d’autre que celle d’Homère, et un des Canons qu’on appelle Apostoliques, passe chez lui pour le Concile des
tres qui s’étaient tenus auparavant dans l’Occident. Ce Concile qu’on appelle communément d’Elvire, ordonne au Canon 62212, que
r quelque amour qu’il eût pour les belles Lettres, il ne laisse pas d’ appeler les ouvrages des Poètes, « dæmonum cibus Ep[isto
ent nos passion si vivement réveillées, et toute cette illusion qu’il appelle une misérable folie L. 6. Confes[sions]. c. 7.. «
ra aussi au vingt-deuxième Canon que les Chrétiens ne devaient jamais appeler à leurs festins les danseurs de Théâtre ; il repr
davantage. On faisait beaucoup de cas de la Langue Provençale, qu’on appelait la Langue Romaine, à cause qu’elle en approchait
it ne paraissaient ordinairement qu’en cette langue, ce qui fit qu’on appela ces pièces des Romans, ou Romances, à cause qu’el
iècle par la Bible de Guiart des Moulins271 que le langage de Paris s’ appelait indifféremment le Français ou le Roman. Quoiqu’il
oit, le désir de parler purement Provençal, porta plusieurs Princes à appeler des Poètes Provençaux dans leur Cour. Il en sorti
hâteau en Château, réciter leurs ouvrages, et c’étaient là ceux qu’on appelait communément les Auteurs de la Science gaie, les T
les Trouvères, c’est-à-dire, Inventeurs. La plupart de ces bouffons s’ appelaient Ministerales, Minetrales, Ministrelli, d’où est v
sque voulant faire paraître sa belle voix, il institua les jeux qu’il appela juvénaux ou privés. « Ne tamen adhuc publico Thea
rs qui composaient des Vers amoureux et des Satires piquantes, qu’ils appelaient des Sirventès, où les Princes n’étaient pas éparg
xe, dit Mézeray An.1577. , qui cherchait partout des divertissements, appela du fond de l’Italie, une bande de Comédiens dont
les Evêques ; que d’autres s’habillaient en Rois ou en Ducs, ce qu’on appelle dans quelques endroits, la Fête des fous, des inn
rte aucun. Il assure avoir vu dans sa jeunesse une vieille Comédienne appelée sur le Théâtre Lavinia, qui dans la succession de
se de Milan, Dominique Bollanus Evêque de Brescia en Lombardie, qu’on appelait aussi le second Ambroise, défendait aux Clercs de
détourner les Fidèles de ces sortes d’assemblées, que les Saints ont appelé autrefois les conventicules des démons et la sour
» Un Chrétien ne peut donc aimer ces récréations que le saint Prélat appelle impertinentes, et qui est-ce qui voudra les reche
er jamais à aucune. En second lieu, les pièces du Théâtre public sont appelées honnêtes, lorsqu’on y déguise les passions qui fe
ue le Prophète dit avec beaucoup de ressentiment. "Malheur à vous qui appelez bon ce qui est mauvais, et mauvais ce qui est bon
de Poètes récréatifs dans la Cour de ce grand Prince. Si cela peut s’ appeler chasser les Comédiens, on peut dire qu’il les cha
p. 10. 56. [NDA] M. Dacier dit dans ses remarques sur Horace qu’on appelaient Togatæ les pièces dont le sujet était Romain, et
n anno erubescunt. » 119. [NDA] Cette Fête fut, selon quelques-uns, appelé Majume, à cause qu’on la célébrait le mois de mai
on la plus probable, est que cette Fête fut ainsi surnommée, des eaux appelées en Syriaque, Majames ; puisqu’elle ne se célébrai
21 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
sortes, les uns sont souverainement criminels, et ce sont ceux qu’on appelle les débauches des gens du monde : et de ceux-là i
s à la dévotion, pour peu qu’on y devienne sensible. Le S. Esprit est appelé le consolateur et le goût qu’un fidèle trouve dan
teur et le goût qu’un fidèle trouve dans les exercices de la piété, s’ appellent les consolations divines : Mais à qui sont destin
22 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VIII. Les intrigues sont la vraie fin de la comédie. » pp. 15-17
r à cet ascendant auquel on assujettit dans la Comédie les ames qu’on appelle grandes. Ces doux & invincibles penchans de l
leux aux vrais Chrétiens ! Ce qu’on y veut, c’en est le mal. Ce qu’on appelle les belles passions, sont la honte de la nature r
23 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VI. Ce que c’est que les mariages du théâtre.  » pp. 25-27
à cet ascendant auquel on assujettit dans les comédies les âmes qu’on appelle grandes. Ces doux et invincibles penchants de l’i
x aux vrais chrétiens ! Ce qu’on y veut, c’en est le mal : ce qu’on y appelle les belles passions, sontf la honte de la nature
24 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
et les autres philosophes du siècle : saeculares viri : sur ce qu’on appelle joca, railleries et plaisanteries, mots qui font
a, vel rustica, vel turpia, vel faceta : qui est, dit-il, ce que nous appelons plaisanterie, jocularitas : mais celle-ci, poursu
chap. VII, et Grande Morale, liv. I, chap. XXVIII, al XXXI.  et qui appelle « dureté et rusticité de ne savoir pas faire rire
25 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26
qu’il y a de plus sévère et épouvantable en notre sainte créance. Il appelle drôlerie ce qui fut représenté d’horrible selon l
rce qu’il est fils de l’hommey. L’écolier qui faisait ce personnage s’ appelle Josué de Villeneuve, et n’y en avait aucun autre
n’y en avait aucun autre qui représentât Dieu, que ce drôleur mentant appelle jésuitique. Il continue de mentir avec ces parol
endroit, que tu te montres libéral à mentir pour les blasonnerah. Tu appelles commencement plus de trois ou quatre heures après
s spectateurs, ni les acteurs fissent semblant de quitter leur place. Appelles -tu donc cela, « tout à coup » ? Mais ton foudre s
istinct de Jésus-Christ, et que celui qui représentait Jésus-Christ s’ appelle Josué de Villeneuve. J’ajoute que celui qui jouai
qui habite dedans icelle tour est homme de bien, et honnête personne, appelé Michel Gouille, qui assurera le même que je dis.
n’apercevant pas cet étourdi écrivain, n’est-il pas en danger d’être appelé au Consistoirect ? Mais il est temps que je fini
26 (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325
dans le troisiéme Concile de Carthage ; quel Chrétiens que S. Cyprien appelle , magistros & doctores non erudiendorum, sed
le mauvais goût du siecle, & que le plaisir de la comedie (que j’ appelle un plaisir enchanté, parce qu’il vous trompe &
ts, & par une fascination dangereuse, fascinatio nugacitatis , l’ appelle le Sage) que ce plaisir dis-je ne suborne point v
sur le front, qui est le signe de la Croix. D’où vient que Tertullien appelle le Baptême Sacramentum signaculi , le Sacrement
p; Sacremens de l’Eglise. Mais afin que le Cathecumene que Tertullien appelle æternitatis candidatus , pretendant à l’eternité
rouvés, & la synagogue de Satan. Synagogam satanæApocal. 2. , l’ appelle S. Jean. Enfin comme la grace du Baptême nous ren
hrétien en est un soldat, Christi suis militemI. de resur. car. , l’ appelle Tertullien, il prête serment de fidelité à Dieu d
ssions en sont plus promtement déreglées. Ça, M. c’est icy où je vous appelle au pied du theatre, pour y renouveller dans vôtre
s de voix & d’instrumens, en un mot tout ce que l’Ecriture sainte appelle , mundum muliebrem , tous les ornemens du monde f
en effet comme cette molle & delicate Reine, delicata Regina , l’ appelle S. Augustin, se servoit de son authorité & de
ue vous commettez vous-même. Et c’est pour cette raison que S. Irenée appelle ce spectacle du nom d’homicide & de meurtrier
que le poison de l’amour, aussi bien que celuy du plaisir, qu’Arnobe appelle , lenocinia voluptatum , venant à couler par les
tout ce que l’on a vû & oüy, & que ces idées que S. Augustin appelle simulachra vitiorumL. 2. de civit. cap. 26. , l
uiles, & dans les esprits moins emportez. D’où vient que lactance appelle ces divertissemens du theatre, maxima vitiorum i
s, où est donc l’honneur du Christianisme ? quoy, faut-il que je vous appelle à l’école des Payens pour vous y faire des leçons
bescant, de quiter les exercices, où l’honneur & la naissance les appellent pour venir au pied d’un theatre applaudir à un Co
la modestie de leur sexe, & de venir dans une Sale que S. Cyprien appelle , publici pudoris lupanariumL. de spect. , le li
27 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
les, que le Prophète adresse aux Juges : la première est quand il les appelle « des Dieux et les fils du Souverain » : et la se
ul et vrai Dieu, au pouvoir duquel ils participent. Or si le Prophète appelle les Juges, « des Dieux, et les enfants de Dieu »,
viens de citer, parlant de la scène et de l’échafaud des Farceurs, l’ appelle « la sacristie de Vénus, le consistoire de l’impu
icité » : Saint Augustin sur les Psaumes, parlant des spectacles, les appelle « les greniers de l’impudicité ». Après tous les
28 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
Poème dramatique, soit Comédie Pastorale ou Tragédie. De sorte qu’on appelle Comédien, celui qui monte sur un théâtre et qui p
que le Concile de Salzbourg, tenu en 1310. Conc. Salzbur. Can. 3. les appelle des bouffons, bufones et gailhardos. Il est très
r reçu les Comédiens, que le Roi Alaric avait chassés de Rome : et il appelle la Comédie, une peste encore plus pernicieuse que
sorte, avaient principalement en vue certains jeux de théâtre, qu’on appelait Majuma, dont les Empereurs firent retrancher ce q
lque réforme qu’on y ait fait, saint Chrysostome ne laisse pas de les appeler des écoles d’adultère et de libertinage : non pas
se de modéré à ceux, qui donnent ces sortes de divertissements, qu’il appelle selon le langage ordinaire du théâtre Histriones.
o ipse cessaverit, cum tamen hoc cæteros doceat. » 3°. Par le Concile appelé quini sextum ou in trullo, Conc. in trullo. can. 
29 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
asphémateur, un Athée. Ces titres remplissent bien l’idée de ce qu’on appelle honneur ! Nos Poètes n’ont-ils pas raison de les
une preuve. Je sais qu’on prétend que le Chœur fut banni de ce qu’on appelle la nouvelle Comédie ; mais je ne vois pas ce que
is après tout il daigne bien approuver le dénouement de la pièce et l’ appelle un cinquième Acte excellent. Ben Jonson parlera b
tèrement observées en ce genre de Poème ? Je dis à cela que l’on peut appeler Henry IV. et Henry V. des Tragédies, si on veut.
t impossible d’être bon Poète, sans être honnête homme : que ce qu’on appelle un bon Poète, c’est celui qui sait former les jeu
bon de dire un mot du sentiment d’Aristote à ce sujet. Ce grand génie appelle De Morib. Lib. 4 c. 14.« bouffons et impertinents
urs le fonds nécessaire pour un genre d’écrire auquel ils ne sont pas appelés . Puisque nous en sommes à des suppositions, il po
rien au nom de Héraut d’armes qu’on lui donne : il s’imagine qu’on l’ appelle Hérode ou de quelque autre nom de Juif. On sacrif
enue ? les hommes t’abandonnent pour cette mauvaise marchandise qu’on appelle femme !…. Le Ciel prit l’homme dans son sommeil l
mis de lui avouer aussi que ses plaisanteries, si l’on peut ainsi les appeler , vont trop loin, et que son enthousiasme lui fait
30 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
t à satisfaire l’égoïsme et les mauvais penchants de ceux qui étaient appelés à la sanctifier. De là la dépravation et l’incréd
, à l’exemple du grand saint, avait considéré l’art dramatique, qu’il appelle histrionatus ars, comme nécessaire et indispensab
frances qui précèdent la mort, et que, dans leurs exercices, ils sont appelés à contempler, rend leur âme inaccessible aux douc
31 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VIII. De la Folie. » pp. 163-179
n jeu, un mérite, ils s'applaudissent de leurs extravagances, ils les appellent sagesse : Être fou et se réjouir, c'est être sage
méprisable dont se piquent ordinairement les Poètes comiques, qu'ils appellent talent de peindre par les sons, par mots pittores
dit le voilà. Partout il y est question de quelque impureté. Qu'on l' appelle amour, intrigue, passion, coquetterie, galanterie
, d'Arlequin, de la Clairon ; ou tels ces habitants de l'air que nous appelons des girouettes, qui sont comme la nourriture des
écrivant contre la folie, et la folie théâtrale, que le même Boileau appelle heureuse  ? Comme un Prédicateur qui irait prêche
t sa tunique, qui était la chemise du temps, avec une ceinture de lin appelée ephed. Il est vrai que cette chemise fort ample p
32 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
re a fondé celle de la vie civile. Les génies Français formés par eux appellent du fond de l’Europe les Étrangers qui viennent s’
instruire la Terre et pour bénir le Ciel, et qui par cette raison fut appelé le langage des Dieux. Rien ne rend les hommes plu
33 (1639) Instruction chrétienne pp. -132
abolies, qu’elles étaient du tout renversées, par les façons lascives appelées d’ailleurs2 : tellement que tout ce qui était cor
sans crainte de cette sentence du Prophète,9 «  Malheur sur ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal : qui font les ténèbr
hose des jeux, qui se faisaient ès mêmes Théâtres et cirques, qu’on a appelés scéniques, ainsi nommés par les Athéniens, pource
eût préparé des édifices d’une structure magnifique. Or ce qu’ils ont appelé Scène, regardait nommément les Comédies et Tragéd
ardait nommément les Comédies et Tragédies, esquelles certains, qu’on appelait mimos imitateurs et bateleurs, ou histrions, c’es
s et aventures pour donner plaisir au peuple. Les Grecs les ont aussi appelés hypocrites, pource qu’un coquin, représente sur l
âmes contre la terre, afin qu’elles ne s’en puissent relever. Le même appelle la volupté, l’appât et l’amorce du mal, pource qu
ils nous soient en l’occasion de chute. Là certains hommes débauchés, appelés enfants sans souci u, ayant pour but de remplir l
ir attirées, pour renvoyer les spectateurs en bonne humeur, comme ils appellent , et les inviter à la continuation de leurs exerci
urs exercices : ayant toujours pour fin la volupté, et ce que S. Jean appelle ,22 «  la convoitise de la chair, la convoitise de
et les25 «  sanglantes, prodigues, et impies Tragédies  », comme les appelle Tertullien. Ils ont aussi cru par ce même moyen q
es qui ne sont pas bienséantes  ». Comment donc peuvent ceux qui sont appelés à être Saints, se trouver ès lieux, où on représe
olon défendit être enseignée aux Thespiens, comme étant inutile, et l’ appelait mensonge. Aussi les Lacédémoniens commandèrent qu
ribuscg. » Que peut-on donc juger de ceux qui entre les Chrétiens les appellent , les écoutent, leur applaudissent, et les paient
soient rejetésci. » Le Concile VI. de Constantinople célébré au lieu appelé Trullum Canon LI. interdit entièrement, ceux qu’o
bré au lieu appelé Trullum Canon LI. interdit entièrement, ceux qu’on appelle bateleurs et leurs spectacles, ajoutant, « Qui fe
i dis-je, ils le faisaient au lieu où se jouaient les Comédies, qu’on appelait Scènes, ils en étaient tenus pour tachés et désho
êter les oreilles à la mélodie qui corrompt les âmes. » S. Augustin67 appelle les Théâtres, « Caves d’ordures, et publiques pro
ir des Théâtres, pour corrompre les hommes. Ailleurs encoredi, il les appelle , « Chaire de pestilence, Ecole d’incontinence ».
nnêteté. » J’ajouterai ici le témoignage et les reproches de Salvien appelé par Gennadius Prêtre de Marseille 71. Mais pource
t dedans les plaisirs de ce siècle. « Le77 Seigneur des armées vous a appelés ce jour-là à pleurs, et à deuil, et à vous arrach
festins, en banquets, et en toutes superfluités. Lorsque nous sommes appelés au sac et à la cendre3, nous nous chargeons d’or
e, l’an de Christ. 1428. Et lui-même en l’inscription de la préface l’ appelle Salvien Evêque.dn 72. Livre 3. Epist. 336 du
34 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
en, livre De l’idolâtrie, réprouve la Fête des Calendes de Janvier, l’ appelle superstition Païenne. Prudence en son livre Contr
nt rejetté le vice. Socrate et Platon chassent les Poètes lascifs, et appellent les autres Genre divin, et les retiennent. Les Mi
ce Roi reconnu de toutes les nations pour le plus grand de la terre, appelé et conduit de Dieu par la voix de ses merveilles,
et Antiphile h, Térence s’en défend, et le prend à honneur. Cicéron l’ appelle notre familier, souvent il l’allègue, et a transc
Grégoire de Nazianzej moine et Evêque, une des lumières de l’Eglise, appelé Théologien pour son savoir, a composé la Passion
35 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
ir pour bon, utile, et louable, un Exercice que les anciens Chrétiens appelaient peste des Esprits, chaire de pestilence, subversi
té, qui montre ce qui est expédient. Ces deux flambeaux, peuvent être appelés directeurs et modérateurs des actions du Chrétien
leurs fêtes ; aussi est-ce pour cette raison, que S. Chrysostome les appelle fêtes de Satan. Si on réplique derechef ; Que cet
e si c’est à bon droit, que Clément Alexandrinca, et quelques autres, appellent la peinture Art tromperessecb ; le métier des Com
ême ; comme firent lors les Grecs pour le regard de la Comédie, qu’on appelle Ancienne : d’autant, comme dit Cicéronlib. 4. de
de Valent. cr  : Car pource que S. Pierre parlant des idolâtries, les appelle illicites (ajoutant cet épithète pour amplifier,
tinguer :) ce docteur-là conclut, que puisque il y en a, que l’Apôtre appelle illicites, il y en a donc aussi de licites, et qu
nce, à telles impuretés, et dissolutions : et tant s’en faut, qu’on l’ appelât Docteur de nouveauté, ou fantasque ; que Gennadiu
uté, ou fantasque ; que Gennadius, Suidas, Trithemiuscv, et autres, l’ appellent le Maître des EvêquesSozom. li. 5 c. 16 cw . Ci-a
quoique des leurs. Mais pource que outre les autres brocards, on nous appelle aussi Docteurs de nouveauté, adonnés à notre sens
e d’un Chrétien, que les jeux qui se jouent aux Théâtres, lesquels il appelle , comme a été dit ci-dessus, chaires de pestilence
et détourne de Dieu, et des bonnes œuvres, etc.  » S. Chrysostome les appelle fêtes de SatanHom. 45. in act. et hom. 31. in 4.
de flatterie, s’ils daignent le comparer avec le style de cet Evêque, appelé de son temps le Maître des Evêques. Nous avons dé
u’ès Ballets, on contrefait quelquefois les anciennes Comédies, qu’on appelait , Palliatas, Togatas, Prætextatas, Trabeatas, Tabe
36 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35
celui de la foire. Ils y occasionnerent une foule d’intrigues, qu’on appelle cruelles persécutions de la part de ceux qui dev
Directrice furent chassés malgrè leur rare mérite, ce que l’Almanach appelle sacrifier sa fortune pour se soustraire à la per
ce qui n’est pas un petit mérite, le Panégyrique dans l’Almanach les appelle décens & voluptueux . C’est écrire sans refl
pour faire croire qu’elle vient d’un Ecolier de droit. Ce libelle est appelé delibération, tenue par les Ecoliers, traduite en
e à montrer sa commission. Aucun Citoyen ne l’a chargé d’écrire. Il s’ appelle Pavanne, Greffier. Personne à Toulouse ne s’appel
gé d’écrire. Il s’appelle Pavanne, Greffier. Personne à Toulouse ne s’ appelle Pavanne. C’est encore une idée burlesque ou malig
héros du Greffier Pavanne. La relation répond au nom de Greffier. Il appelle Brevet la prétendue délibération de l’Hôtel-de-vi
s sciences sous le nom de Pallas ou de Minerve. Il faut aujourd’hui l’ appeler Comédienne. Les Mille & un jour & Mille &
Ils sont le pendant l’un de l’autre divisés en chapitres fort courts, appelés jour ou nuit, dans la même forme & dans le mê
bles de Comédiens à louer, qui courent les rues, & vont où on les appelle . Ils sont là ce qu’ils devroient être par-tous, &
37 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
modernes de son diocèse. Dès l’an 829, le Concile huitième de Paris, appelé le sixième (L. 1. C. 38.), défend la comédie aux
même aux laïques. (Surius, dans la vie, 25 février). Le Père Bernard, appelé le pauvre Prêtre, mort à Paris en odeur de sainte
’est lui qui le corrompt. La coquette s’étale à ses yeux, le joueur l’ appelle à sa partie, le débauché l’invite à ses repas. On
de honestate Clericorum, il faut le rapporter à la rubrique, ce qu’on appelle , selon le quolibet du Droit, expliquer le noir pa
, et partout, ne se borne pas en latin, comme en français, à ce qu’on appelle civilité, politesse, bienséance : il embrasse les
raité sur l’état Religieux, en deux très gros volumes in-folio, qu’il appelle pourtant Manuale Religiosorum, c’est-à-dire petit
38 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
Alors nous avons vu ce roi sacrifier sa popularité à leurs exigences, appeler toute la nation à l’expiation de ses fautes perso
igence humaine, de nouvelles jouissances ; mais aussi, tout ce que tu appelles progrès de la civilisation, tout oppose de nouvea
ons-le, ne songeons point à le corriger, car il est incorrigible ; et appelons sur lui la miséricorde du Tout-Puissant. Oui, me
s d’allégresse générale ? Elle célèbre pendant trois jours ce qu’elle appelle les quarante heures en expiation de ces excès aux
domination de Rome. A droite le ciel de l’Italie…. Italie ! que nous appelons par nos vœux au partage de la liberté, et que nou
s les fois que les voix de ces hommes et de ces femmes (comme ils les appellent ) viennent religieusement, spontanément s’unir à n
re, poète et comédien, descendant presque mourant de la scène, aurait appelé en vain un prêtre auprès de son fauteuil de mort.
bes et les pharisiens de la Rome nouvelle se sont assis sur ce qu’ils appellent la chaire de saint Pierre, et ont établi le farde
ment qu’on les salue dans les places publiques, et que les hommes les appellent rabbin ou docteurs. » « Mais malheur à vous, sc
39 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Que le Compositeur doit chercher à peindre. » pp. 340-344
tiennent les paroles. Observations sur le morceau de Musique qu’on appelle Ouverture. Il est si vrai que le Compositeur
d’usage de précéder les Pièces chantantes en tout genre, & qu’on appelle Ouverture, soit un tableau de ce qui doit se pass
40 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XI. Si on a raison d’alléguer les lois en faveur de la comédie. » pp. 46-48
uer les lois en faveur de la comédie. L’auteur pour ne rien omettre appelle enfin les lois à son secours ;  et, dit-il, si la
ient pas moins réprouvés par la loi de l’Evangile : que l’usure qu’on appelait légitime, parce qu’elle était autorisée par les l
41 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
[O] Pantomime. On appelait ainsi chez les Romains, des Acteurs, qui par des
utes leurs actions étaient vives & animées : aussi Cassiodore les appelle des hommes, dont les mains discrètes avaient pour
s sur ce sujet, qu’on n’ose même les citer en Latin. Galien ayant été appelé pour voir une femme de condition, attaquée d’une
42 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
e chasteté, lorsque parlant des comédies sales et déshonnêtes, il les appelle la boutique commune de l’impudicité, l’école publ
e, mais ses couleurs sont si noires qu’elles donnent de l’horreur. Il appelle ces comédies publiques, « le particulier consisto
43 (1764) Comédie pp. 252-254
ure naïve qu’elle fait de leurs différents caractères. De sorte qu’on appelle Comédien ; celui qui monte sur un théâtre, et qui
tacles, et ceux mêmes qui avaient été réformés, et que S. Chrysostome appelle des écoles d’adultère et de libertinage. 2°. Parc
44 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 7-8
je ne leur permettrais pas d’assister aux redoutables mystères, et il appelle ces divertissements des pompes du diable. Et aill
audrait mieux labourer la terre un jour de fête que d’y danser, et il appelle la salle où l’on danse, la caverne infâme du diab
45 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
emple, si on exerce une profession anathématisée par l’église. On les appelle excommunications du canon. Elles sont en si grand
ricordieuse, ait écouté les paroles de repentir du moribond et en ait appelé l’âme à lui ; ce comédien, dis-je, verra donc du
a Saint-Barthélemy, que des écrivains éhontés ont déjà la hardiesse d’ appeler aujourd’hui salutaires, bientôt à l’exemple de la
pprendre ce que tout le monde sait, ou doit savoir, qu’en logique, on appelle pétition de principe, la supposition pour vrai, d
is u. Il l’attaque par jalousie de métier, sans doute. Cependant il l’ appelle un écrivain célèbre, mais en même temps il lui re
46 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137
gens Sardianorum . Ainsi peint-il une courtisanne, une Actrice qu’il appelle ma Reine, ma Nymphe : Velut Nympha, Regina corpu
ine de Gnide, belle Venus, venez dans les maisons de Glicere qui vous appelle , vous y trouverez les mêmes odeurs que dans vos T
myrthe : Et madidos myrrhâ curvum crinale capillos. Tertullien les appelle des éventails ; ils en avoient la figure. Pour pe
de boucles & les remplissent d’odeur des fleurs, &c. ce qu’on appelle coëffer à la Grecque, à la marrone, en mouton, en
tout le Clergé une mondanité si contraire à leur saint état, qu’ils l’ appellent une folie de jeunesse : E Pontificio gradu sunt,
proche son linge fin, les habits de soie, les bonnes odeurs, ce qu’il appelle l’élégance d’une Acteur de comédie : Comptus &
risée, parfumée, livrée au monde, plongée dans le luxe, que S. Jerome appelle de nouveaux mariés plutôt que des Ecclésiastiques
volare facit . Le Jurisconsulte Ulpien en fait si peu de cas, qu’il l’ appelle une chose morte. Il est défendu, dit-il, à un mar
47 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
x du premier ordre jusqu’aux tréteaux de la foire, (C’est ainsi que s’ appelaient , il y a quarante ans, les entreprises Nicolet, Au
l’extrémité duquel fut bâti le corps de garde qui existe au carrefour appelé porte du Temple, pour rassembler son régiment, di
émon d’écrire. Je vais paraître exagéré dans mes remarques, mais j’en appelle au plus savant observateur. Avant l’introduction
je encore, un effet de la maudite influence ! cette jeune fille était appelée à d’honnêtes fonctions ; un démon, jaloux de sa p
lle décoration, qui fait souvent tout le mérite de ce qu’on veut bien appeler un ouvrage, les premiers talents de notre scène t
lle, que j’ai su depuis être un privilège pour ouvrir les voitures et appeler les cochers à la sortie. — « La reprise des Petit
attentive, et voilà, mot pour mot, ce que j’entendis : « le Gymnase, appelé dès sa naissance à de hautes destinées, restera t
Pied de Mouton, mélodrame de la Gaîté. 51. [NDA] Plus vulgairement appelée barrière du père de Lachaise, fameux cimetière de
48 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
ofession de vertuf. C’est peut-être dans cette pensée qu’un Italien l’ appelle une folie qui passe de la tête jusqu’aux pieds :
ngeance. C’est là où l’on déchire son prochain par des malices, qu’on appelle agréables et spirituelles. C’est là où la calomni
, le parti de votre ennemi. Ce sont des troupes auxiliaires, que vous appelez pour votre ruine ; ce grand Saint exprime sa pens
des termes dignes de son esprit, et que je vous prie de remarquer. Il appelle ces habits somptueux, ces nudités, ces pruderies,
 ; car si l’extravagance ne s’était naturalisée dans nos mœurs ; nous appellerions folie ce qu’on nomme gentillesse. Ne dites pas qu
les meilleurs ne valent rien, et quand il parle à sa Philotée, ne les appelle-t -il pas des récréations impertinentes, et des pass
ndus même aux noces. Le Concile d’Aix-la-ChapelleAn 856. Cap. 12. les appelle des actions infâmes. Un des Conciles d’AfriqueCap
49 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VII. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques étaient distingués des Histrions et Bateleurs des Jeux Scéniques. » pp. 145-164
artifices Scenæ. Tit. Liv. l. 29.. Et c'étaient ceux que les Auteurs appellent ordinairement artisans Scéniques, et artisans de
rties ; La première que l'on nommait proprement la scène, et que nous appelons communément le Théâtre, était fort élevée, et c'é
cinquante ans avant les Comédies et les Tragédies, et que S. Grégoire appelle jouer sur la Scène ; et le nom de Scéniques et d'
50 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XII. Du Dimanche et des jours des Fêtes. » pp. 54-66
nous occuper en Dieu, et aux choses spirituelles ; et c’est ce qu’on appelle sanctifier les Fêtes.Constit. Aposto. lib. 7. t. 
cet endroit de ceux qui étaient déjà morts comme saint Jacques qu’il appelle ailleurs, le frère du Seigneur, et qui avait été
a Loi et dans les Prophètes, a été figuré par le septième jour, qu’on appelait le Sabbat. Il est donc juste que nous célébrions
51 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
illes du Royaume d’Israël qui joignaient le culte du vrai Dieu qu’ils appelaient le Dieu de cette terre à celui des fausses divini
ée, et qu’après une décision si formelle il n’y a plus d’appel ? J’en appelle cependant et à M. Despreaux lui-même qui ne sera
52 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIII. Passages de Saint Basile sur le sérieux de la vie chrétienne. » pp. 132-135
e XII, verset 36].  : lorsque demandant ce que c’est que cette parole appelée par le Fils de Dieu à un si sévère jugement ; il
end ici Saint Basile sont des péchés véniels, et que pour cela on les appelle petits péchés ; ce père ne souffrira pas ce disco
53 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
prend le langage d’un impertinent et d’un fat. Chamont jeune soldat appelle un Aumônier d’armée, le Chevalier de Gravité,Dans
ôt. Pourquoi donc de si grandes exclamations à ce sujet ? Pourquoi en appeler à toutes les Puissances du Ciel et de la terre, a
Ibid. Celui qui suit Laocoon, c’est Penthée Prêtre d’Apollon. Il est appelé Penthée Otryade, ce qui est une preuve que son Pè
Ænée avance, et aperçoit dans les Champs Elysées Orphée que le Poète appelle le Prêtre de la Thrace. Nous ne nous étendrons po
dignité, répond d’un air grave et majestueux à l’injuste accusation, appelle le Roi, son Fils ; et lui annonce son infortune p
la qu’Agamemnon reconnaît en lui un caractère respectable, et qu’il l’ appelle , pour lui faire honneur, du nom glorieux d’Interp
omédies sont-elles les productions d’une Muse expirante que M. Dryden appelle les rêveries de Ben Jonson.Essai du Poème Dramat.
ns une indépendance absolue des Puissances séculières. Ils sont seuls appelés pour offrir les sacrifices et pour faire la cérém
sse Ecclésiastique et la Noblesse Séculière. Plusieurs de nos Statuts appellent les Evêques, Cette distinction est au-dessus du s
54 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
qu'il l'avait honoré en ce combat comme père de la Lutte ; et Platon appelle les Dieux Présidents des Jeux selon Pollux ; mais
ent. Le Sénat enjoignit au Dictateur Manlius de faire les Jeux qu'ils appelaient grands, que Marcus Emilius Préteur, avait faits s
ficences que les Magistrats y ajoutèrent avec le temps. Julius Pollux appelle sacrés tous les Jeux pour lesquels il y avait des
Jeux pour lesquels il y avait des couronnes. Saint Denis l'Aréopagite appelle ces cérémonies, sacrées et les Jeux divins ; et S
55 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
n petit Drame sans musique, rempli de couplets sur des airs connus, s’ appelle Opéra-Comique. Celui qui ne contient que des Arie
maîtres à cet égard les Poètes qui s’y sont distingués. Ces Messieurs appellent leurs Pièces comme il leur vient en fantaisie, sa
56 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
s qui n’aient approuvé cette défense ; et dans leur discipline qu’ils appellent la discipline des Protestants de France, ils la p
arqué pour détourner les Fidèles des spectacles des Comédiens, qu’ils appellent des Jeux des démons ; et les porter à contempler
age des amants sans religion, se prosterner aux pieds de Judith372, l’ appeler beauté immortelle, faire cent réflexions sur ses
els s’appliquant principalement à faire des Comédies, ne peuvent être appelés que des interprètes comiques. Comment se persuade
des mêmes expressions, qui conviennent au Corps de Jésus-Christ ; ils appellent indifféremment la Sainte Ecriture, ou l’Eucharist
nt été si usitées dans l’Eglise, que Photius Epist[ola]. 54. p. 107. appelle chaque partie de l’Ecriture ou prêchée, ou écrite
ons de dire, d’où vient que les paroles de l’Ecriture ont été souvent appelées par les Pères, des paroles saintes et adorables,
emarque que c’est pour cette raison que Dieu fit taire le démon qui l’ appelait Saint ; que saint Paul imposa silence à la Python
57 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
re Clercs, pour en débarrasser les Juges. Le Roi, par plaisanterie, l’ appela Royaume, ses Officiers Roi, Chancelier, &c. I
ne qui le déshonore. Le Chap. Cum decorem de vit. & honest. Cler. appelle les masques une chose monstrueuse, monstra larvar
s effrontés de faire peu de cas d’un habillement que les saints Pères appellent sacré, qui par la figure, la qualité, la couleur
berger distingue son mouton, dans la plus nombreuse meute le piqueur appelle son chien, dans la plus nombreuse armée le soldat
yran ayant voulu faire masquer les convives, pour danser (ce que nous appelons bal masqué) Platon le refusa absolument, au risqu
C’est delà qu’est venu le mot larva, masca, talamasca, ainsi que les appelle le Canon Nullus déjà cité, larvas damonum quas ta
, qui est la fortune que plus ils craignent ; & si d’aventure ils appellent leurs femmes, ils sont nommés jaloux. Et si les m
58 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201
Puis revenant aux folies de la comédie et de la tragédie, comme il l’ appelle , « tragicæ vocis insanias » ; tout cela, dit-il,
omni impudicitiâ refertas. » Lactance. L’éloquent Lactance, appelé le Cicéron Chrétien, connaissait le monde, il ava
-il (L. 3.), qu’il nous mène jamais aux spectacles. On peut justement appeler le théâtre une chaire de pestilence ; ces assembl
e moque de ceux qui font l’éloge des talents des Comédiens ; ce qu’il appelle absurde et ridicule, comme tant d’autres faux jug
es les passent dans les jeux et la fainéantise. Le crieur (la cloche) appelle-t -il à l’Eglise, on n’est jamais prêt, on s’y traîn
e, ses travaux, et les services qu’il a rendu à l’épiscopat, ont fait appeler le maître des Evêques, S. Salvien a fait un grand
quelquefois des Comédiens plus honnêtes que les autres, si l’on peut appeler honnête un état qui toujours couvert d’infamie, e
59 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
tés distinctives de ce maître, et de son amour pour Marie. Ces vers s’ appelaient palinods w. Ceux qui représentaient S. Pierre et
et qui ne fût institué à bon dessein, toutefois, parce que le peuple appelait cette cérémonie la danse des chanoines, l’évêque
nt assisté à ce service. Cette fondation du chanoine Bouteille a fait appeler dans la suite le bois L’évêque, où la procession
dit… en chantre et en sonneur. On ne mangeait que certaines galettes appelées casse-gueules ou casse-museaux, à cause que celui
s saintes. Chacune a le nom du personnage qu’elle représente. L’une s’ appelle Sainte Agnès, l’autre Sainte Luce. Entre toutes l
ennellement, pendant les jours consacrés à ces sortes de fêtes, qu’on appelait dans certains diocèses fête des sous-diacres, et
s monastères, dans les maisons épiscopales, et où ce divertissement s’ appelait la liberté de décembre, à l’imitation des ancienn
que composée de plusieurs voix qui chantent en harmonie ; ce que nous appelons en faux bourdon, et que le célèbre Gerbertae, dan
et, roi des rois, loi et vengeur des lois, toi lumière angélique ; Qu’ appellent , qu’adorent, que louent, que chantent, qu’aiment
ception. L’auteur s’exprime à ce sujet, d’une manière singulière ; il appelle la Vierge « Virgo et gravita, mater intacta. »
eaucoup de peine ; car on voit encore en 1511 un préchantre des fous, appelé Bissard, se permettre de faire tondre la barbe à
e l’ordinaire, un évêque ou un abbé dans les deux collégiales. On les appelait les rois des fous, parce qu’on les revêtait des h
e prévôt. Les cordeliers, désappointés, portèrent leur hostie (qu’ils appellent le corpus Domini) avec toutes les reliques des sa
ficial, ne pouvant donc se faire obéir, fut trouver le prévôt, qui en appela devant le roi. Le roi nomma quelques conseillers
60 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
tenez ce fait, et de joindre les circonstances qu’il y ajoute : vous appelez magnificences du Cirque ce que ce Père de l’Eglis
plaisirs qu’il conseille de prendre. Le relâchement de l’esprit qu’il appelle une vertu se fait, dit-il, par des paroles et des
s, que les étrangers rendent hommage. Ces pièces sont celles que nous appelons de caractère, où les hommes sont peints tels qu’i
61 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
es, 63 Aurélien Empereur, donne des Jeux Scéniques, 70 B Saint Basile appelle le Théâtre une école d’impureté, 159 Bayle dit qu
Rome, pourquoi omises, 119 Pantomimes, ce que c’étaient, 40. pourquoi appelés Thyméliques, 109 Parlement de Paris, Arrêt singul
tien, 61 Trèves puni pour la passion des Spectacles, 123 Troubadours, appelés aussi Ménétriers, leur occupation, 206. n’étaient
62 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
Si le but de la comédie n’est pas de flatter ces passions, qu’on veut appeler délicates, mais dont le fond est si grossier : d’
elle avoue sa défaite, et l’avoue à son vainqueur même, comme elle l’ appelle . Ce qu’on ne voit point dans le monde : ce que ce
63 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
la Comédie a A Madame de La F.b Je prendrai, Madame, la liberté d’ appeler de votre critique, quelque respect que j’aie d’ai
aie d’ailleurs pour vos sentiments ; mais ce sera en la manière qu’on appelle quelquefois des sentences qu’on ne trouve pas ass
64 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
st un opéra sur la toile : matiere de scandale devenue commune, qu’on appelle ornemens typographiques. Il n’est point de roman,
ser les morceaux volans , ou volés, qui restent après la coupe, qu’on appelle déchet ; il doit connoître aussi toutes sortes d’
veilleuse parure a ses inconvéniens. La couleur de la chair, ce qu’on appelle le tein est différent sur la plupart des visages.
s de Corneile & de Racine en faire des opéras. Ces marquéteries s’ appellent des fragmens. Ces opérations sont faciles, &
rruption dans l’Empire Romain, d’Attila, Roi des Huns, qui se faisoit appeler le Fléau de Dieu, & qui, avec une armée médio
sa patrie ne connoît point encore ce divertissement dangereux, qu’il appelle l’ Ecole du libertinage , le fruit de l’oisiveté
eche contre l’unité des temps par la longueur, ici par la briéveté On appelle le Tartuffe Pirlon. N’a-t-on pas voulu jouer Piro
& de la connoissance des profondeurs de Moliere, si même on peut appeler Moliere profond ? Les pieces de mythologie ne son
65 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
Oronte. »dh Rien n’est moins réfléchi que ce reproche : ce que vous appelez une pointe dans la bouche d’Alceste n’en est pas
à Boileau qu’il devait changer de nom et au lieu de Boileau se faire appeler Boivin, c’était une pointe froide et plate. Le Ca
Eminence devrait aussi changer de nom et au lieu de Janson, se faire appeler Jean Farine. »di , on rit sans doute beaucoup par
urru et j’avoue qu’une pointe irait mal après elle : mais ce que vous appelez une pointe paraît aux autres une seconde boutade
 le Cardinal de Janson demanda un jour à M. Boileau, pourquoi il ne s’ appelait pas plutôt Boivin. Et vous, Monseigneur, lui répo
Boivin. Et vous, Monseigneur, lui répondit Boileau, pourquoi ne vous appelez -vous pas plutôt Jean-Farine ? » dj. [NDE] Ce ve
66 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
on dit contre eux qui puisse vous mettre si fort en colère ? On les a appelés « empoisonneurs des âmese ». C’est ce qui vous of
ait été dans le dérèglement, et vous ne prenez pas garde que ce qu’il appelle dérèglement, c’est ce que vous appelez souverain
prenez pas garde que ce qu’il appelle dérèglement, c’est ce que vous appelez souverain bien, c’est cet honneur du siècle que v
re Sainte. « Jetez-vous sur les injures, lui dites-vous,aj vous êtes appelé à ce style, et il faut que chacun suive sa vocati
cipe de la vie spirituelle, vous riez de l’humilité que saint Bernard appelle la vertu de Jésus-Christ, et vous parlez avec une
nt sur les injures, et presque toujours sur les antithèses. Vous êtes appelé à ce style. Il faut que chacun suive sa vocation.
67 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
t l’expression. Et Boileau est très-juste dans la sienne, quand il appelle les Vers d’Eschyle, des Vers raboteux. Euripide p
nt qu’on doit trouver des graces incomparables dans leurs Vers qu’ils appellent Endecafillabo sciolto. Il est d’autant plus beau,
esse, il peint seulement les fureurs de l’Amour : c’est ce que Longin appelle traiter cette Passion d’une maniere Tragique εκτρ
demandé aux deux Freres la mort de leur Mere, & qu’un des deux l’ appelle une ame cruelle, l’autre lui répond, Plaignons
il lui donna la plus grande majesté qu’elle puisse avoir. M. Voltaire appelle Athalie, l’Ouvrage le plus approchant de la perfe
68 (1725) Mr. de Moliere [article des Jugemens des savans] « Mr. de Moliere, » pp. 339-352
é particuliérement à connoître le génie des Grands, & de ce qu’on appelle le beau monde, au lieu que les autres se sont sou
s des Chrétiens, mais les défauts de la vie civile, & de ce qu’on appelle le train de ce monde, & c’est sans doute tout
es-uns, de 51. ans & demi. 3. J’entens ce Monde que Jesus-Christ appelle son Adversaire. 1. ¶. Baillet qui a si souvent é
69 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
s, de se défaire d’une femme avec un morceau de papier : L’Évangile l’ appelle le Libelle de répudiation ; et il a entièrement a
bsolument déchargées de ce sacrifice terriblement onéreux, que la loi appelait le sacrifice de jalousie ; et par lequel les mari
ne pouvez pas vous dispenser de le condamner du moins, à n’être plus appelé que le prétendu Sexe dévot : Et certainement il d
70 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
ux, qui insinuent le vice dans le cœur des assistants. Mais pourquoi appelle-t -on ces gens -à Comédiens, et leurs Jeux Comédie ?
fendu par toutes les lois divines et humaines, et qui fait ce qu’on a appelé Spectacle. L’Ecriture Sainte est-elle contraire
étaient presque également coupables, et que les Pères de l’Eglise ont appelé ce péché très grieff, qui peut se rendre pire par
71 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre X. Que l'extrême impudence des Jeux Scéniques et des Histrions fut condamnée. » pp. 217-229
le Poème Dramatique. Aussi ne veut-il parler que des Mimes dont Pline appelle l'exercice un art efféminé. Et si Tertullien dit
s, qui faisaient horreur à la nature, des Danseurs et des Mimes qu'il appelle tous infâmesHom. 8. de pœnit. Idem de David, et S
72 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
s doctes et de savoir, que ne sont les actes ou représentations qu’on appelle jeux, que font gens ignorants et indoctes, et qu’
Royer ayant lesdites lettres, en demande en Châtelet la vérification, appelés les gens du Roibi. De leur consentement, ledit Pr
de Paris, ains au contraire ledit Prévôt a ordonné qu’aucuns seraient appelés pour ouïr après ordinaire ordonnébx ce que de rai
terdam, Sumptibus Huguetanorum, 1699, p. 471-472. k. [NDE] Et on les appelait ‘jeux séculaires’. l. [NDE] Ne se faisaient que
73 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216
nol étoit au desespoir de la perte de ses rats. Enfin, à force de les appeler avec son flageolet, il trouva le moyen de les ras
ennemi. Il y avoit entr’autres une Vivandiere Gasconne qui se faisoit appeler la belle Comtesse, & qui donnoit à jouer &
r des Memoires ; c’est je testament de Charles II, Roi d’Espagne, qui appelle à la couronne le Duc d’Anjou. Il est aujourd’hui
e de la comédie, ballets, fêtes, plaisirs du Roi. Ce grand Officier s’ appelle Podhomorge. Il se tient derriere le fauteuil du R
e qu’il prodigue à la vanité, ni cette licence d’opinions, qu’on peut appeler ce second luxe de notre siécle le luxe des esprit
oit pas le style des Apôtres, ce ne fut jamais celui des Saints qu’on appelle abus de la raison ; des opinions philosophiques o
es dont on les appuie, les graces du discours dont on les pare, qu’on appelle luxe, l’affectation du bel esprit, le néologisme,
74 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32
in ce Frère femelle tombe subitement malade, et meurt. La Communauté, appelée au son de la cloche, s'assemble autour de son lit
e son lit. Cette femme mourante voit son amant parmi ces Religieux, l' appelle , lui parle, et déclare publiquement son sexe, son
'immortalité de l'âme : « O terre dans tes flancs, à ton sein qui m' appelle . » Le sein appelle, quel jargon ! « Puis-je r
 : « O terre dans tes flancs, à ton sein qui m'appelle. » Le sein appelle , quel jargon ! « Puis-je rendre trop tôt ma sub
que le Protestant de Berlin les cérémonies et les usages de l'Eglise, appelle « jeter un sombre reflet sur la pièce qui fait be
sser la pièce jusqu'à cinq actes, fort embarrassé d'en remplir trois, appelle à son secours l'autre monde, et nous transporte d
ique, qui en étend la sphère par un nouveau genre de pathétique qu'on appelle le sombre tragique, comme on a depuis peu imaginé
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
ie-mêlée d’Ariettes est susceptible de toutes les règles, puisqu’on l’ appelle un Drame. Cette alliance, ce mêlange de ce qui r
plusieurs noms le genre de Spectacle si en vogue de nos jours ; je l’ appelle quelquefois Spectacle moderne, le nouveau Théâtre
76 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
énitence dont l’église y fait profession publique ; et voilà ce qu’il appelle répondre « avec les propres paroles de Saint Thom
tant tout ce qui relâche ou divertit l’esprit ; car c’est là ce qu’il appelle jeu, et il se fait d’abord cette objectionObject.
77 (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36
té le Cõcile de Nantes, Les faux-visages des Demons que les Italiens appellent masques  ? Doncques les masques sont dicts faux-v
ien l. 4. c. 24. Gregor. in Syntagma. Iuris Ciuil. que le Roy Rotarit appelle VValapaus : par Arrest du Parlement fut deffedu à
souuienne que SS. Maxime. Pierre Chrisologue, Gelase & Alcuin les appellent prodiges, Innocent 3. monstres, les mesmes spectr
int iouets, ce sont crimes, qui se iouë en impieté, en sacrilege, qui appelle le peché risee ? celuy se trompe bien fort qui en
anger, & meritoirement les gentils, les Iuifs & les Chrestiẽs appellent ce iour vn nouueau soleil qui a esclairé l’vniu
ique aduenu y a entour vnze cens ans à Riom (que S. Gregoire de Tours appelle village) Greg. Turo. de miracul. mart. lib. 1.
uanciers ont acquis & transmis iusques à nous : Les saincts Peres appellent les masquarades, mommeries, bastelleries, monstre
e mesme. Vous appellez à bon droict folies les masquarades, ainsi les appellent les saincts Peres qui ont condamné les masques :
78 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168
l’art de l’appliquer ; le Laboratoire est celui de le composer ; on l’ appelle aussi la Chimie de Flore. En voici l’explication
t un peintre sur cuir, au lieu que les autres peignent sur toile ; il appelle son laboratoire, la Manufacture des visages. Lou
de vermillon, les actrices trouveront-elles ce portrait infidele ? En appelleront -elles à la pureté de leurs mœurs, & à la régu
dicules, & des réflexions déshonorantes. St. Grégoire de Nazianze appelle le fard, la toile de Pénélope, qu’on travaille le
oit pas même, dans son usurpation perfide, ce degré d’élévation qu’on appelle ambition noble ; c’étoit un brigand qui n’en voul
ncore redevable à Madame Poppée du nom d’un fard célebre, que Juvenal appelle Pinguia Poppeana, malheureusement on en a perdu l
79 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
citoyens de la Jérusalem céleste ; et dans l’autre il met ceux qu’il appelle les citoyens de Babylone. Les premiers se regarde
i vous aviez dépensé mal à propos quelque petite somme d’argent, vous appelleriez cela une perte : et en employant des demies journ
Augustin fait aussi les démons inventeurs des Comédies, lesquelles il appelle pour ce sujet, « Conficta delectamenta damonum no
ns dans Pline le jeune,Plin. Jun. l. 7 Epist. 24. qu’une Dame Romaine appelée Quadratilla qui entretenait des farceurs pour se
80 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « [FRONTISPICE] »
i 1665, la pièce avait été créée le 15 février. On ignore qui se fait appeler « Sieur de Rochemont ». Ce pamphlet provoquera de
81 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
uffonnes ou déshonnêtes ; elles ne conviennent nullement à des hommes appelés à la sainteté 12, etc. Partout l’Evangile, les Ap
s obstinés. Ne serait-il point téméraire de croire que des Ministres, appelés aux fonctions redoutables de l’instruction et de
n de se rendre à de semblables Autorités, les partisans du Théâtre en appellent à leur propre jugement, et ne se font pas le moin
e n’est pas qu’il n’y ait des délassements et des plaisirs qu’on peut appeler indifférents : mais les plaisirs les plus indiffé
orités que je me donnais pour bonnes. Au défaut de solides raisons, j’ appelais à mon secours tous les grands et frêles raisonnem
cié, dans la raison, ce phosphore qu’on nomme l’esprit, ce rien qu’on appelle la renommée, ce moment qu’on nomme la vie ; qu’il
losophie, pour l’émissaire des Prêtres, ou de ceux que nos incrédules appellent , avec aussi peu d’esprit que de justesse, Enthous
82 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — [Introduction] » p. 2
utres sans être épuisé. Il est certain que dans ce siecle, qu’on peut appeler le Siecle des Théatres, ce goût est devenu si dom
83 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
la vie, aux sentiments, et aux devoirs d'un véritable Chrétien. D. Qu' appelle-t -on spectacles ? R. On appelle spectacles des dive
evoirs d'un véritable Chrétien. D. Qu'appelle-t-on spectacles ? R. On appelle spectacles des divertissements publics, tels que
84 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493
un Dieu, que comme un batelier. L’un et l’autre se rient des Dieux et appellent Mars et Vulcain, Les deux bouffons du Ciel.P. 16.
nsi Shakespeare fait-il parler Hector de la Philosophie d’Aristote et appelle Protestant, Le Chevalier Château-vieux. J’aurais
e leur châtiment et de leurs prestiges : Et c’est là ce que M. Dryden appelle avec beaucoup de religion, « La manière enchantée
bouffons, qui ne sont sur le Théâtre que pour faire rire. L’un d’eux appelle Philidel son camarade ; « un esprit malingre et p
plus qu’une méridiennebd, que je ne ferai point. » Jodelet Prêtre est appelé un saint cormoran,II. Part. et est taxé « d’expéd
Bernardo en des termes qu’on ne lira point ici. Au quatrième Acte on appelle le Clergé dans une chanson ; Le bétail noir : on
bord, il se dit lui-même scélérat ; il jure ensuite, il blasphème, il appelle en duel son frère aîné, il lui enlève sa future é
tre ont une signification particulière. Aristote et le Père Rapin les appellent les causes et les principes de l’action. Elles se
jeune La Mode frustré de son attente charge son frère d’injures et l’ appelle Le Prince des Fats. « Le Lord-F. Monsieur, je fa
faire c’est d’inspirer à cette Amanda de la haine pour son mari qu’il appelle son Dieu, et elle son Ange. « Ranimez en vous ce
fait, c’est comme si l’on soutenait qu’il n’y a point de péché qui s’ appelle blasphème ; ce qui est de tous les blasphèmes le
qui le fonda. » Mais pour l’établissement de ces Places que M. Dryden appelle des Embellissements, Valère Maxime les condamne «
es gens de Rome jouaient en leur particulier certaines pièces, qu’ils appelaient Fabulæ Attellanæ. Decad. 1. Lib. 7.« Ils ne perme
s de cette salle un petit Temple. Il ne voulait pas que l’édifice fût appelé  : La Comédie. Il assembla donc le peuple pour en
nn. 204. Cap. 11.« Que le Cirque et le Théâtre peuvent être justement appelés , Le Siège de la Contagion…. Loin de nous donc ces
ées profanes. Nos Poètes n’entrent nullement dans le goût de ce qui s’ appelle bienséances, retenue, modestie, honnêteté ; ils n
85 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
Délire affreux d’une secte ennemie et des peuples et de ceux qui sont appelés à les gouverner ! Car, qui peut méconnaître cette
lui qui prie, qui nous conjurant de prendre pitié de nous-mêmes, nous appelle à la vraie félicité ; qui nous démontrant toute l
et se tourmente une mère infortunée. Sans appui, sans ressource, elle appelle en vain la compassion des hommes. L’excès de sa m
ent d’un culte public permet aux orateurs chrétiens d’élever la voix, appelons -les tous à l’aide du gouvernement, et laissons-le
dans toute leur splendeur ces réunions si précieuses et si belles, d’ appeler encore à la défense de nos frères souffrants et m
érosité dont nous n’aurions plus à rougir, nous mériterions d’en être appelés les vrais consolateurs14. Mais ce n’est pas seul
njure à mon siècle, et pour établir combien elle serait injuste, j’en appelle au succès qu’ont encore de nos jours les chef-d’œ
llité. » Combien donc est auguste et saint le ministère de l’orateur appelé à l’honneur d’en préparer les oracles sacrés ? et
vœux et les prières du peuple aux pieds de ceux que la même écriture appelle les dieux de la terre43. » Qu’il y a donc d’aveu
échapper au zèle infatigable et à l’éloquence victorieuse du ministre appelé spécialement par la loi à l’honorable soin d’en r
’autel, avec lesquels, en récompense de leurs soins généreux, ils les appelaient au partage de la dîme des fruits de la terre46. C
fuser un appui tutélaire, parce que, d’accord avec la loi, son cœur l’ appelle spécialement à sa défense. Mais le désir si louab
’en récompense de ses services glorieux, il n’est pas personnellement appelé à l’honneur de le partager en titre avec lui. De
ue de satisfaire leur abominable cupidité. Ah ! faut-il s’étonner si, appelé au secours de l’infortune et du malheur, le juris
et sensible, pour le rendre attentif au cri lamentable de ceux qui l’ appellent à leur secours ? Enfin, devons-nous trouver étran
e la chaleur et l’énergie ; c’est là que dans un vaste champ, il peut appeler à son secours le Dieu même de l’éloquence. Rien n
travaux des orateurs, lorsque leur titre particulier ou la loi ne les appelleront point à l’honneur même d’en exercer les nobles fo
ssentiellement catholique, et dont naguères encore le souverain était appelé fils aîné de l’église romaine. 30. NDA L’abbé P
ans les commissions et les conseils de guerre où mon ministère a pu m’ appeler dans le cours de la révolution, il n’y a point d’
e la justice. De l’aveu de toute la France, que je ne crains pas d’en appeler à témoin, le sanctuaire où siègent les magistrats
86 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
vus, ibi Diabolus certè adest… his tripudiis Diabolus saltat. Il les appelle les pompes de Satan ausquelles nous avons renoncé
nt que de tels spectacles sont indignes d’un Chrétien. Tertullien les appelle le consistoire privé de l’impudicité, où l’on n’a
Ce saint suit en cela le sentiment de Saint Augustin son maître, qui appelle ceux qui se déguisent de la sorte, des infâmes &a
87 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
e jouantEs Proverbes 26w. . » Ailleurs parlant d’eux et de ceux qu’on appelle vulgairement Rogers-bontemps dit : « Mais aussi i
injures et reproches que lui avait faites une mauvaise chambrière, l’ appelait à témoin de son honnêteté, et que son cœur était
[NDE] Job 21, 11-13. e. [NDE] Se dit de ceux qui exécutent une danse appelée matachin ou matassin. f. [NDE] gentile = païenne
88 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
t si elle a pour sujet une aventure de Bergers et de Bergères, elle s' appelle Pastorale: je laisse la dérivation de leurs noms
cette matière sans sortir pour cela des bornes de la vérité, peut-on appeler tout à fait honnêtes des ouvrages dans lesquels o
e ses Martyrs. Il ne l'a pas choisi pour y faire instruire ceux qu'il appelle à la participation de son héritage. Mais comme di
comme une folie, et comme une occasion de scandale ; mais ceux qu'il appelle à la participation de sa gloire par le renoncemen
89 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
lemy religieuses et politiques. Page 68 Tous les écrivains jésuitisés appellent à grands cris les mesures inquisitoriales et tous
par le père Bouhours et par l’évêque d’Avranches. Page 137 Louis xiv appelle Molière le législateur des bienséances du monde.
émoire, époque à laquelle les jésuites proscrivaient les Bourbons, et appelaient l’étranger en France. Page 184 Avant, et depuis l
tel qui excelle dans un art aussi difficile que celui du théâtre, est appelé à jouir de la célébrité. Page 228 fin de la tabl
90 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
us le nom de son Persan, le grand mouvement est sur une estrade qu’on appelle théâtre. Aux deux côtés on voit dans de petits ré
i non ? tout y gagnerait, et eux-mêmes les premiers ; les lois ne les appellent -elles pas les Prêtres de la justice, justitiæ Ant
Magistrat, dit-il, pèche mortellement, s’il demande la comédie, s’il appelle des Comédiens, les paie, les approuve, les autori
examine les questions les plus obscures du digeste et du code, qu’il appelle de la magie. Enfin un traité fort extraordinaire
91 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
G Esner, Poëte allemand, bien différent de Médecin de ce nom, qui fut appelée le Pline d’Allemagne, comme Buffon le Pline Franç
léges. Le reste des ouvrages de Gesner sont de longues idilles, qu’il appelle drames, parce qu’elles sont coupées en actes, en
lles sont coupées en actes, en scènes, & des petits drames, qu’il appelle encore idilles, qui tous ne sont aussi que des co
son département, & un recueil de notices & d’anecdotes, qu’il appelle emphatiquement Siecle de Louis XIV & de Louis
de leur jeunesse, dont ils ont fait penitence. Dans l’Histoire, qu’il appelle le Théatre des Mœurs, on voit , dit-il, Néron à
92 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
à la Comédie. Mais passons et disons qu’une Comédie ne doit pas être appelée épurée et honnête, pour n’avoir pas de ces ordure
, les Actes des Apôtres, et autres semblables : C’est pourquoi on les appelait les Frères de la Passion ; et l’on en voit encore
t au goût de ces Dames mondaines qui s’y plaisent tant, et qu’on peut appeler Christianæ Theatrales. Il faut donc que les vertu
t à la table, de la table au jeu, aux visites, et à l’Opéra ; et l’on appelle cela vivre à la grandeur. Que si l’on vient à exa
nolpha parle. Et cependant avec toute sa diablerie, Il faut que je l’ appelle , et mon cœur et ma mie. » « Non, je ne pense pa
93 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
lait se servir de lui pour corriger le vice. Tertullien a eu raison d’ appeler le théâtre le royaume du Diable. Faut-il pour tro
ièce qui a quelque chose de religieux, est un ridicule de plus. On en appelle à cent autres pièces pleines d’infamie, et à la c
à un Acteur, entendre prostituer le langage de la religion, entendre appeler le Démon éternel, tout-puissant, digne des autels
erb. Comédie) a blâmé la sévérité des Genevois, et leur a conseillé d’ appeler des troupes de Comédiens pour être dans leur vill
u. Il y a toujours quelque Acteur qui fait la fonction de celui qu’on appelle à Rome l’Avocat du Diable, et qui fait plus de ma
94 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VII. Paroles de l’auteur et l’avantage qu’il tire des confessions.  » pp. 28-29
nts Pères y condamnent avec tant de raison ». Voici un homme qui nous appelle à l’expérience, et non seulement à la sienne, mai
95 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
bliera-t-on que les jésuites, qui proscrivaient alors les Bourbons et appelaient en France l’étranger, étaient les provocateurs et
s brochures modernes, on acquerra la triste conviction, que ce qu’ils appellent l’église, ainsi que les papes d’alors, étaient, e
96 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suites des Mélanges. » pp. 68-117
r les arts & ce commerce. Cette jurande des comédiens en France s’ appelle troupe Il sera donc libre en Autriche à tout le m
ues de velours noirs, qui s’appelloient du temps d’Henri III. & s’ appellent encore des loups, à cause de la figure hideuse qu
man, ou plutôt dans une satyre insipide, sous le nom d’un negre qu’il appelle Zima, il donne des regles pour l’éducation des pr
cadémie a cru y trouver. On voit dans les écoles de peinture ce qu’on appelle modele ; c’est-à-dire, une femme qui, pour de l’a
ont fait imiter, & dont on a fait une infinité d’infames copies, Appelles assembloit plusieurs belles filles, pour prendre
ils ne se dégraderoient point en peignant la religion & la vertu. Appelles , en peignant Campargne (tel est le poison mortel
& le met en possession de sa conquête. C’est ce que Saint-Lambert appelle pompeusement le triomphe d’Alexandre, & le ba
ine & Saint-Lambert tout se passe entre trois acteurs, Alexandre, Appelles & Campargue, & forme une scène de caracte
i méprise toutes les religions & n’en a aucune. Les Chinois nous appellent des demi-diables ; ils disent que nous n’entendon
97 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
cadémie. Le Testament des douze Parriarches est un ancien livre qu’on appelle apochryphe, quoi qu’il n’y ait rien de mauvais, p
s moins données. Tout cela n’est que farce & charlatanerie. Aussi appellent -ils cette remise, un brin de charité. Mais ce qui
te, où l’on enchaîne le raisonnement & les images de Vénus. » Ils appellent ces explications galantes, cette lecture amusante
es opinions & les fictions les plus licencieuses, qu’il veut bien appeler des ornemens, quels ornemens ! ne sont précisémen
s, des artifices pour se couvrir & en imposer. Ce que le Seigneur appelle dans les pharisiens des sépulcres blanchis  : ca
lieu change par une nouvelle décoration, on dit, la scène change. On appelle scène le théatre où les acteurs jouent ; on l’app
variis rebus refertur & quasi saturatur . Chez les italiens on l’ appelle favola. Tels sont les operas boussons, les pieces
eurs vices, ils se donnoient des leçons à eux-mêmes : ce que l’auteur appelle , repaîtrir son caractere. Par ce choix des acteur
us tranchans, & emploient tout leur art à les aiguiser. Ce qu’ils appellent un joli conte, une jolie piece, une heureuse déco
98 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
i remplissent les esprits d'ordures, et il y a même des personnes qui appellent ces peuples heureux, en ce que quittant leurs aff
99 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XV. Application de la doctrine précédente aux danses et aux bals qui se font aujourd’hui. » pp. 94-96
à la vertu Chrétienne, se trouvent dans cette sorte de danses, qu’on appelle ordinairement des ballets, et qui se font par les
100 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
e vice, l’insinuaient adroitement dans les esprits : et ce Philosophe appelle ces sortes de gens des Pestes d’Etat, et les cond
lice exemplaire. » », comme lui-même se définit. Et cet homme de bien appelle cela corriger les mœurs des hommes en les diverti
dans cette Pièce. Un Marquis après avoir embrassé Molière, et l’avoir appelé cent fois l’Inimitable, se tournant vers l’un de
tre les Auteurs de Spectacles impudiques ou sacrilèges, que les Pères appellent les Naufrages de l’Innocence, et des attentats co
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