voir qu’au Théâtre : on renonce au projet de venir pour moi chez mon
amie
… Mais, cette amie, chère Adelaïde, elle mérite do
e : on renonce au projet de venir pour moi chez mon amie… Mais, cette
amie
, chère Adelaïde, elle mérite donc enfin ce nom ?
ge à ne faire aucune démarche, sans l’aveu de mon bienfaiteur, de mon
ami
. A l’instant même où je vous écris, on me fait ré
vous avez fait pour toujours celle de votre sincère & respectueux
ami
, D’Alzan. P. S. Rendez-vous à mon invitation ;
simplicité de ma parure ne me fesait apparemment rien perdre, car mon
amie
répétait sans cesse, qu’elle ne m’avait encore ri
ntendu une voiture : c’était monsieur D’Alzan : lorsqu’il a paru, mon
amie
m’a présentée : il nous a fait l’accueil que j’en
eur D’Alzan, avant de les mettre au lit. Un signe que j’ai fait à mon
amie
, & qu’elle a bien compris, a fait renvoyer Ag
vous vue ? — Oui ; j’étais avec elle chez votre oncle, & chez mon
amie
. — Ah ! ciel !… & que vous a-t-elle dit ? — Q
mps mon personnage ; je me suis précipitée dans ses bras : — Oui, mon
ami
, me suis-je écriée, je suis Florise… & votre
uis Florise… & votre épouse… Votre amante, votre maitresse, votre
amie
; celle qui veut tout tenir de vous, ne dépendre
ma divinité… vous… vous… Non, je ne mérite pas… Mes transports… ô mon
amie
… qui l’eût pensé… ah ! voyez mes transports —… Je
s hier, ce moment est le premier dont je dispose. Adieu. Ma charmante
amie
, un bonheur constant, tel que le vôtre, peut-il s
vement dans mon cœur, que je ne veuille desormais te communiquer, mon
ami
. Je me suis trop bien trouvé de ma confiance.… Di
ianges, où le prends-tu ? O digne époux !… j’oserais dire, plus digne
ami
.… ta sublime vertu se rend petite avec moi ; elle
re lumière, dont mes faibles yeux ne pourraient soutenir l’éclat. Mon
ami
, sans ma première faute, mon cœur, à l’heure que
en elle seule, qui vient de rétablir le calme dans mon cœur. Oh ! mon
ami
, tu seras enchanté lorsque tu la verras : dans so
e bouche ; à tout elle donne un prix inconnu. Mais sa modestie, ô mon
ami
, sa modestie.… Du Théâtre, elle s’est fait un Tem
s deux Jeunes-personnes sont faites l’une pour l’autre.… Tu vois, mon
ami
, que je puis, sans manquer à mes devoirs, suivre
arque sans doute les nouvelles : c’est m’en dispenser. Adieu mon sage
ami
, le seul homme au monde digne de ce nom envers mo
sans l’avoir consultée. Ursule, qu’en dites-vous ?… O ma charmante
amie
, que cette fille me surprend ! En vérité, c’est b
es Tianges. Jeudi soir 19. T es projets m’inquiètent, ma vertueuse
amie
: mais, quels qu’ils soient, le mal qu’ils doiven
andé. Lettre de mons.r D’Alzan, à son Beaufrère. Des Tianges ! mon
ami
, j’ai trop long-temps dissimulé. Ouvre-moi ton âm
… Ces larmes que tu surpris un jour lorsque j’étais à Poitiers… ô mon
ami
! je n’avais pas autant de sujet de les répandre…
moi dans mon cœur à côté d’elle. Que va penser de moi le respectable
ami
que je ne méritais pas ? Des Tianges ! si tu conn
mon ép… de la vertueuse, de la tendre Ursule… Ce n’est pas tout, mon
ami
, de l’avoir admirée, d’avoir applaudi à ses talen
r qui me ressemblât un jour, je meurs de confusion. Insensé, vil… Mon
ami
, il faut m’aider à me fuir moi-même, à éviter le
! jamais, je le jure, jamais je ne m’exposerai… Viens me sauver, mon
ami
: mon sort est de te devoir tout. Les voila donc
s je la crois une Actrice. De quel théâtre ?… Marque-le moi, ma bonne
amie
. Ursule, voila les peines du mariage, dans les co
dise ? Ursule, d’elle-même, a fait ce que sa tendre sœur, sa parfaite
amie
lui aurait conseillé de faire. Oui, ma chère, dis
uvel obstacle est venu le retarder. Tu sais que monsieur Des Arcis, l’
ami
& le parent de mon mari, lui fit promettre, e
nges veut satisfaire, en unissant le jeune Des Arcis, à la fille d’un
ami
commun. Dans les circonstances où tu te trouves,
Onzième Lettre. De madame Des Tianges. Jeudi soir 12. M on
amie
, mon aimable sœur… Je n’ose te le demander… mais
de mes rêveries… Je m’en rapporte néanmoins à ta prudence : non, mon
amie
; je ne te presserai pas de m’instruire. Eh bien
Liane n’égale pas ma sœur : il n’est qu’un cœur comme le tien… O mon
amie
! & nous sommes séparées !.. Encore, si je te
ndre Ursule heureuse. ] Je suis &c. J’exagère nos craintes, mon
amie
, pour le mieux persuader, & te procurer toute
emières Provinciales, tout le monde lisait les unes, et vos meilleurs
amis
peuvent à peine lire les autres. Pensez-vous vous
tre fois, il a bonne intention, il s’est fait cent querelles pour vos
amis
, voulez-vous qu’il soit mal avec tout le monde, e
même. C’était chez une personne, qui en ce temps-là était fort de vos
amies
, elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre lire l
nd ce ne serait que d’un Jésuite, il vous prouvera comme ont fait vos
amis
que la raillerie est permise, que les Pères ont r
our les Pères, c’est à vous de nous les citer, c’est à vous, ou à vos
amis
de nous convaincre par une foule de passages que
à la conduite de la Mère Angélique ? Cela ne doit point empêcher vos
amis
d’achever sa Vie, qu’ils ont commencée, ils pourr
qu’en me voulant dire des injures, vous en diriez au meilleur de vos
amis
, croyez-moi, retournez aux Jésuites, ce sont vos
ée, & pourtant, sans le savoir, je déterminais tes démarches… Mon
amie
, ma chère Ursule ! toi ! au milieu de ces femmes…
’aurais pas pris cette route. Achève, puisqu’il le faut… Ursule ! mon
amie
, ma divinité, on n’a jamais aimé comme je t’aime.
tait durable !… Honorine est plus tempérée : elle remarque encore ses
amies
; elle ne leur dit que quelques mots mais ils son
Lettre à eu bon effét : j’ai pris la liberté, de la faire voir à mes
amies
Mesdames *** elles se croient toutes obligées ave
moderément ce divertissement. Je me trouvai l’autre jour chez vôtre
ami
Monsieur *** Nous parlâmes sur le fatal present d
que ce soit d’une maniere moderée : j’aurois souhaité, que nôtre cher
ami
nous eût donné la solution à cette objection ; ca
considéré que ni M. d’Urfé, ni Corneille, ni Gomberville votre ancien
ami
n’étaient point responsables de la conduite de De
rai souvenir d’une petite histoire que m’a contée autrefois un de vos
Amis
. Elle marque assez bien votre caractère. Il disai
a que ce Père était un fort bon Religieux, et même dans le cœur assez
ami
de la vérité. Que fit la mère Angélique ? Elle do
désordre, qu’un homme fût dans la débauche, s’ils se disaient de vos
Amis
, vous espériez toujours de leur salut, s’ils vous
Rufin comme le plus savant homme de son Siècle, tant qu’il a été son
ami
, et qu’il traita le même Rufin comme le plus igno
lusion à la « Réponse du Provincial aux deux premières lettres de son
ami
». e. [NDE] Note de Thirouin : Les Enluminures d
Grand que je dédie mon Livre. Mon hommage est plus pur ; c’est à mon
ami
. Ce titre annonce tous les avantages que j’y trou
s les avantages que j’y trouve. Vous les sentez comme moi, mon cher
Ami
; votre cœur vous les dit assez, sans que je vous
atin 11. P lus d’espoir, plus de raison, plus de bonheur !… Ah ! mon
amie
! monsieur d’Alzan est tendre, sensible ; & c
d’écouter la raison, je ne vois plus que votre magnanimité. Oui, mon
amie
, sauvez-moi de moi-même : il n’est que trop vrai
On avoit dit avant vous : Nul n’aura de l’esprit que nous & nos
amis
. Il vous étoit réservé sans doute, d’affirmer :
onde pervers les Auteurs sont sans foi, fourbes, intéressés, hors mes
amis
& moi. Vous n’en aimeriez pas moins la sincé
ièces à corriger, ou à rejetter, j’aurais infailliblement déplu à mes
amis
(et sous ce nom je comprends les Poètes que je fa
imer tous sans exception) et je me serais attiré la haine de tous les
amis
des Auteurs. Je laisse donc aux Poètes même le so
laisse donc aux Poètes même le soin de se rendre justice, et à leurs
amis
celui de les critiquer et de leur donner des cons
ibles sentiments d'une personne qui veut se battre en duel contre son
ami
, parce qu'on le croyait auteur d'une chose dont i
'on en croit... Telle est de mon honneur l'impitoyable loi, Lorsqu'un
ami
l'arrête, il n'a d'yeux que pour soi, Et dans ses
ibles sentiments d'une personne qui veut se battre en duel contre son
ami
, parce qu'on le croyait auteur d'une chose, dont
l'on en croit. Telle est de mon honneur l'impitoyable loi, Lorsqu'un
ami
l'arrête, il n'a d'yeux que pour soi; Et dans ses
rire. Son état m’afflige et me presse. Il nous apprend qu’il avait un
ami
; il fut donc sensible ? Mais il nous apprend qu’
losophe, un homme libre, voit nécessairement plus de défauts dans son
ami
, que nous n’en voyons dans celui que le plaisir o
désabuser de cette chimère de perfection, qui l’avait séduit dans son
ami
, c’est j’étais libre, et je ne le suis plus ; vos
aque jour. Cette réflexion est amère ; quand on l’a faite une fois, l’
ami
, dont on se plaint, ne peut plus échapper à l’éxa
u sang dans les écrits qui échappent ensuite. On ne veut plus avoir d’
ami
, on est à plaindre ; mais on annonce qu’on n’en v
cle, ou du moins je ne crois pas ce miracle impossible. Vous eûtes un
ami
? Que ne doit-on pas attendre d’un homme qui aima
ez parfaitement guéri. Mais les femmes, Monsieur ? Croyez-vous qu’une
amie
douce, complaisante, spirituelle et raisonnable,
qu’il était beaucoup de femmes estimables. Puissiez-vous trouver une
amie
qui soit assez jalouse de votre estime, pour voul
ce vide que laissent l’indifférence de l’époux, & l’absence d’une
amie
… Ah ! pour le sentir… Cela n’est pas possible : m
as possible : moi seule je puis connaître ce qu’on souffre loin d’une
amie
telle que vous. O ma sœur ! je ne suis pas tranqu
s qu’elle ne m’aime que pour moi : je n’en doutai jamais. Écoute, mon
amie
, il faut quelquefois m’épargner… Non, ce n’est pa
oi ? Il ne paraît ni triste, ni dévoré par l’ennui : n’est-ce pas mon
amie
?… Va, il t’aime, il est heureux ; sois-le comme
ité, que par votre mérite, que la Lettre que vous avez écrite à votre
ami
, pour lui marquer vos sentiments touchant la Comé
e qu’il avait fait sur le même sujet, par le conseil d’un seul de ses
amis
qu’il consulta, et qui lui fit voir le danger qu’
le danger qu’il y avait à le publier. Ou vous n’avez point eu de tels
amis
à consulter, ou si vous en aviez vous ne les avez
en quelque manière dans mon esprit, que vous avez été trahi par votre
ami
, que c’est sans votre consentement qu’il a publié
pense en votre faveur ; mais je vous avertis en même temps que votre
ami
dit tout le contraire, et qu’il ne fait pas un my
sentiments aussi favorables que moi : cela me fait de la peine. Votre
ami
devait se contenter de vous faire passer pour un
Théologien de mérite. Le Public n’a pu là-dessus se conformer à votre
ami
. Jugez de l’opposition que les Théologiens d’un v
us la refuser, quoique je n’y prétende rien. Je ne sais en quoi votre
ami
fait consister votre mérite, on ne l’en croira pa
ue vous aviez affaiblies en vous les proposant à vous-même ou à votre
ami
, je puisse réparer le tort que la lecture de votr
ssé de représenter les Pièces de Corneille et de Molière, ou de votre
ami
M. Boursault, ceux qui ne les auront pas vu repré
t Comédiens. Je ne sais pas même si dans une autre occasion, vos bons
amis
les Comédiens vous pardonneraient de les avoir ai
avec tous les Calepins appeler proprement Farceurs ou Bateleurs. Vos
amis
prétendent sans doute faire corps à part, et quic
qu’avec chagrin dans tout autre. Ainsi faisant plus de justice à vos
amis
que vous, je pourrais nier la première conséquenc
jours dans la suite une grande différence du consentement même de vos
amis
, dans toute autre occasion que celle-ci. Cependan
ns les occasions les plus importantes. Vous avez cru surprendre votre
ami
en lui prouvant votre conséquence par Tertullien
ez qui a eu plus de sujet et plus d’occasion d’être surpris, ou votre
ami
de voir prouver l’indifférence de la Comédie en e
ernière pureté et purgées de tout sentiment dangereux. Et si vos bons
amis
voulaient à présent se soumettre à la même condit
tendent pas déroger à leur noblesse par leur profession. Ainsi si vos
amis
n’y sont engagés que par l’intérêt ou par le libe
pour les Auteurs de travailler pour le Théâtre, ce n’est pas à votre
ami
M. Boursault qu’il fallait vous adresser, puisqu’
s, ne le seraient pas présentement, et quand vous faites dire à votre
ami
que les Comédiens prient les Auteurs d’éviter ces
par les gestes et les postures. On doit rendre cette justice à votre
ami
Boursault, que son Esope est peut-être une Comédi
injurieuses à Dieu, et ce sont celles qui sortent de la bouche de vos
amis
. C’est à vous à voir si cela suffit pour les fair
ie que l’on ne puisse appliquer à l’Opéra. Après avoir donc dit à son
ami
que la femme qu’il doit prendre, dont il lui vant
s Messieurs de Saint Sulpice n’ont pas plus de commerce avec vos bons
amis
, que les Juifs en avaient, avec les Samaritains)
vous a dit que les Anciens n’eussent pas le même dessein que vos bons
amis
? Lactance ne l’ignorait pas sans doute, et cepen
y avait de la difficulté dans ce point : car vous faites dire à votre
ami
, page 35, que « des Docteurs, ou du moins qui se
d’abord que cette difficulté que vous vous faites proposer par votre
ami
, vous dût embarrasser : point du tout, on se trom
plus loin, je pourrais tirer cette conséquence, que c’est donc à vos
amis
qu’ils en veulent. Pour vous faire voir sur quel
usage, sont sans doute ceux dont on a pu tirer la condamnation de vos
amis
, sans que votre distinction puisse vous être d’au
rédit pour les faire réformer. « Que ces Docteurs, dites-vous à votre
ami
, vous montrent donc la différence qu’ils mettent
mériteriez bien qu’à la place de l’éloge que vous avez fait de votre
ami
, que vous pouviez embellir, en faisant remarquer
s ont pu engager à prendre un si méchant parti. Ni l’importunité d’un
ami
, ni l’amour de la vérité, ni l’intérêt, ni le dés
penchant par un Théologien. Gémissez d’avoir peut-être empêché votre
ami
de réparer par la pénitence le mauvais usage qu’i
hoses dont le Vulgaire trouve qu’ils parlent si bien. Dites-moi, mes
amis
, si quelqu’un pouvoit avoir à son choix le portra
s que vous avez acquises. Que ne vous êtes-vous concilié des foules d’
amis
, que ne vous êtes-vous fait aimer & honorer d
i leur convient. Qu’un homme sage & courageux perde son fils, son
ami
, sa maitresse, enfin l’objet le plus cher à son c
penser que c’est une triste chose que la vertu, puisqu’elle rend ses
amis
si misérables. C’est par ce moyen, qu’avec des im
cher ; ceux qu’une amitié désordonnée rend injustes pour servir leurs
amis
; ceux qui ne connoissent d’autre regle que l’ave
soin qu’on y prend de nous plaire & de nous flatter. Quand donc,
ami
Glaucus, vous rencontrerez des enthousiastes d’Ho
se renomme d’elle. En imposant silence aux Poëtes, accordons à leurs
amis
la liberté de les défendre & de nous montrer,
oit peser avec trop de soin la délibération qui nous y conduit. O mes
amis
! c’est, je l’avoue, une douce chose de se livrer
sans l’ivresse, le germe ne se fût pas développé. Des Arcis. Mon
amie
, vous pourriez vous tromper ici a daignez m’écout
tendais : elle, mon frère… même langage. Honorine. Attendez, mon
amie
: si Riccoboni ne m’a pas convaincue, si les Desp
, comme ceux qui l’ont précédé. Des Arcis. Je voudrais bien, mon
amie
, que vous nous fissiez sentir ce que vous avez tr
tions, des travaux qui pourraient nous associer à leurs peines ». Mon
ami
, vous l’avez lue comme moi ; rappelez-vous le res
un mot qui ne soit d’accord avec la raison dans un cœur droit. O mon
amie
! que je le respecte ! Trouvez-vous, Monsieur, qu
ous offenser en soutenant librement mon opinion. Septimanie. Mon
amie
, comme une autre Cérès, vous attelez les lions à
que nous regardons tous comme imparfait, & que notre respectable
amie
cherche à réformer ? Je me sens aujourd’hui, une
ce petit surcroît de dépense*. Des Tianges. Votre attention, mon
amie
, pour le moral, vous fait quelquefois oublier le
esoin d’indulgence ? Des Tianges. Vous, à mes yeux ? jamais, mon
amie
. Adelaïde. Article premier. Des Tiange
tique, tout cela me paraît fort sage : vous êtes bonne citoyenne, mon
amie
. Adelaïde. Nous en sommes aux Drames comique
ianges. Mais la dernière disposition de cet Article est cruelle, mon
amie
: comment l’avez-vous imaginée ?… vous voulez qu’
Honorine. Vous conserverez l’Ariette, à ce qu’il m’a semblé, mon
amie
? Adelaïde. Comme un mal nécessaire. Sep
les émotions plus durables & plus vives : auriez-vous oublié, mon
amie
, que c’est-là précisément le moyen d’exciter dans
excitées, ce plaisir donné qui vous effraient ? Vous conviendrez, mon
ami
, que si la source en est pure, l’écoulement le se
tiennent de la nature & de l’art ; ils plairont tous : mais, mon
ami
, quelle différence de ce qu’inspirera cette Jeune
ces que j’admets, & les Acteurs que je propose, j’ose penser, mon
ami
, que l’humanité n’est pas assez dépravée pour en
es arrangemens nécessaires ; mais le VIII, révoltera la Noblesse. Mon
amie
, la Noblesse, sur le Théâtre ! Adelaïde. Je
nnêtes, nos Acteurs & nos Actrices. Je ne crois pas, ma charmante
amie
, que la force du préjugé vous empêche de comprend
s Arcis. Je ne sais si vous serez convaincue ; mais quant à moi, mon
amie
, je suis très-satisfait de ces raisons-là*. H
ix, des joyaux, ou d’autres présens considérables. Adelaïde. Mon
ami
, les lumières de la raison éclairent en Amérique
, dont il se couvrit) & voici votre Egal, votre Concitoyen, votre
Ami
. La surprise qu’il venait de causer, lui donna li
Honorine. Je vois bien qu’il faudra vous sacrifier mes préjugés, mon
amie
. Septimanie. Pour moi, je tiens davantage à
du Règlement. Article IX. Des Tianges. Belle Dissertation ! mon
amie
. J’en approuve tout néanmoins ; la Scène majestue
qui ne firent jamais de fanatiques ni d’insensés. Honorine. Mon
amie
, je suis intéressée à vous voir aussi bien avec l
omise hier. Des Arcis. L’Histoire du Théâtre. Honorine. Mon
amie
, voudrez-vous faire part de ce que vous fesiez ta
entr’eux. Nicole, qui avait de la raison, aurait bien dû éclairer son
ami
]. Tel fut donc vraisemblablement le nom des Odes
on comme une marque extraordinaire de l’attachement du Héros pour son
ami
; d’ailleurs cet Achille est représenté comme le
it pas fait pour exciter le rire parmi ses convives, ses proches, ses
amis
? Voila comme j’ai cherché l’origine des idées si
ésar ; l’Ajax d’Auguste, dont il fut si peu content lui-même, que ses
amis
lui ayant demandé un jour, ce que fesait Ajax, il
rticuliers ! O Ministres de charité, soyez nos Pères, nos Guides, nos
amis
, & ne formez qu’un même Corps avec nous ; la
vous pas comme innocent ? Adelaïde. Nous n’en sommes pas-là, mon
amie
. Septimanie. Mais, si tout était comme vous
l soit sur sa parole. Tu vas donc le revoir ! O ma tendre, mon unique
amie
, je me figure avec quel plaisir tu le reverras !
éclairé, vigilant ; un protecteur sage, tendre ; d’y voir un père, un
ami
, & sur-tout un amant ! voila ce que j’ai dans
e je desirais… Comment ! le joli poulet… Il était pour ma sœur !… Mon
amie
, tu le vois bien, mes pressentimens… chère Ursule
s’habituerait alors à y faire attention ; il la regarderait comme son
amie
, et se perfectionnerait volontiers avec elle. Mai
Voltaire : je vous obéirai, dans l’espérance que vous engagerez votre
amie
à lui communiquer ce que je vais vous en dire ; p
le trône, pour avoir le prétexte d’assassiner son bienfaiteur et son
ami
, et parvenir par l’atrocité de ce crime à plaire
oi de Prusse, ce Roi philosophe, qui malgré sa philosophie, deux fois
ami
& ennemi des deux parties, allié & combat
mparé de la Saxe, & l’avoit ravagée, avoit chassé l’Electeur, son
ami
, Roi de Pologne, pris à Pyrna son armée prisonnie
rien moins que Jesuitesse, sa famille, sa communauté, ses éleves, ses
amis
ne le furent point ; elle pria Racine son ami, de
nauté, ses éleves, ses amis ne le furent point ; elle pria Racine son
ami
, devenu dévot, qui avoit quitté le théatre pour l
me Lettre. De madame D’Alzan. Lundi 30. P artagez ma joie ! mon
amie
, j’ai fait un infidèle : Mademoiselle *** est aba
rez seulement qu’après demain (samedi) je vous dise un mot chez votre
amie
. Belle Florise ! il n’est rien au monde, non, rie
ieu pour modeles, & en lui parlant à lui-même. Sur la mort de son
ami
: Si l’Arbitre de l’avenir Me prépare à son gré
e des clefs du Paradis. Qu’entend-je ! la cloche qui sonne, Me force,
ami
, de te quitter, Il faut que j’aille mediter, Mon
eux de sa Maîtresse, dans le desordre de la table, l’entretien de ses
amis
; c’est-à-dire, que c’étoit un libertin & un
dangereuses folies. Sa vie ressembloit à ses écrits. Il a eu quelques
amis
distingués qui se moquoient de lui ; mais il vivo
lus grands ennemis de Voltaire ne l’ont jamais plus maltraité que son
ami
Dorat ; il suffit de rapporter cette piece imprim
mon cœur ne peut suffir, Je fis soudain élargir mon Palais ; Je sais,
amis
, le pouvoir de ta Lyre, Un de tes vers me fait mi
e complice. Vous, Martial, Ovide, Anacréon, Chaulieu, Grecour, toi, l’
ami
de Mecene, Toi, tendre muse, amante de Phaon, Toi
lui-même, le courage, la légéreté sont des termes bien radoucis. Ses
amis
ne sont pas mieux traités dans les ouvrages qu’il
son talent, honore depuis tant d’années notre Parnasse ; bon citoyen,
ami
de ses rivaux, du caractere le plus doux, ennemi
ctacle, et c’est là que chacun s’isole, c’est là qu’on va oublier ses
amis
, ses voisins, ses proches, pour s’intéresser à de
e ceux qui les fréquentent : N’ont-ils donc ni femmes, ni enfants, ni
amis
, comme répondit un barbare, à qui l’on vantait le
penser que c’est une triste chose que la vertu, puisqu’elle rend ses
amis
si misérables. « Cette habitude de soumettre à
cher ; ceux qu’une amitié désordonnée rend injustes pour servir leurs
amis
; ceux qui ne connaissent d’autre règle que l’inv
insi : car au fond il n’y a pas de plus grand ennemi des hommes que l’
ami
de tout le monde, qui, toujours charmé de tout, e
que l’intention du poète est bien de le rendre tel, c’est celui de l’
ami
Philinte, qu’il met en opposition avec le sien. C
du théatre. J’aime tous les plaisirs qu’un faux mystique blâme.
Ami
des sentimens des Epicuriens, Je laisse la triste
on qu’en fait ce Roi & de ses pieux effets. Epitre à Césarion son
ami
, page 119. Vous nous conduisez vers
as plus content, & il écrivit en ces termes à Voltaire, alors son
ami
. Votre Académie devient plaisante dans ses choi
du Chatelet, qui avoit pour Voltaire, son Philosophe, son Poëte, son
ami
, un amour Platonique, n’est pas du nombre des Cag
théatre de Sceaux. Elle paroit de toutes ses graces les pieces de son
ami
Voltaire. Voilà bien des titres à la Divinité. L
qui doit mieux connoître un grand Poëte, qu’un Roi Poëte, son intime
ami
? qui doit mieux connoître un Philosophe, qu’un R
une preuve de la verité de sa doctrine ? Les Princes d’Allemagne ses
amis
, ses confreres, plusieurs ses égaux, quelques-uns
ité politique, seule baze solide d’une constitution. Un Gouvernement,
ami
des hommes, voudroit le bonheur de chaque Citoyen
hui se voyoit le lendemain remplacée par une autre. Ainsi, le moindre
ami
du Prince, un Valet-de-chambre, une Courtisane en
Henri IV, & le grand sens du Chancelier de l’Hôpital, ce Ministre
ami
des loix & de la tolérance. Que le Public me
? Un bon Citoyen ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un véritable
ami
traite son ami ? N’est-ce pas servir son ami que
n ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un véritable ami traite son
ami
? N’est-ce pas servir son ami que de le désabuser
tion, comme un véritable ami traite son ami ? N’est-ce pas servir son
ami
que de le désabuser d’une erreur funeste ? Et ne
e désabuser d’une erreur funeste ? Et ne vaut-il pas mieux servir son
ami
que de le flatter ? XVIII. Vous voyez donc bien q
erminer ici des réflexions, présentées avec la franchise altière d’un
ami
de la vérité, & d’un Citoyen digne de respire
ter mon denier au tribut de talents ou d’efforts attendus de tous les
amis
de l’ordre et de la patrie, pour concourir au rét
nt, et sans être forcés de plaider même avec ceux qui se disaient vos
amis
, que vous avez obligés ? et fréquemment vos affai
tter qu’ils ne puissent pas lire dans mon cœur. 1. Associés probes,
amis
sincères, honnêtes pères de famille, veuves et or
és, ordonnés, achetés par le maître, les courtisans, les parents, les
amis
; & communément ils sont très-flattés. Tels s
fourni le dessein, une bonne partie de l’argent, & fait agir ses
amis
, & les actrices pour faire élever ce monument
de l’irréligion ; voilà le trône de Voltaire, & la demeure de ses
amis
. La statue ayant été placée, il en falut faire, c
divertissements, d’ariettes elles pourroient avoir ! Arouet & ses
amis
pourroient y jouer les plus jolis rôles ; on y en
s sœurs ; pere des poëtes, aussi chastes qu’elles ; la voilà l’intime
amie
de Voltaire, l’héroïne de toutes les pieces, qui
retresse. Du même, à l’Auteur de l’Ode. On m’a instruit, mon cher
ami
, du beau tour que vous m’avez joué, il m’est impo
] CINQUIÈME ENTRETIEN. Des Tianges. Achevons aujourd’hui, mon
amie
, de donner a ces aimables Enfans, une idée de tou
au Théâtre. [Adelaïde. Deux choses peu compatibles à réunir, mon
ami
, l’innocence de mœurs, & le commerce du monde
isme : il faut, ou qu’ils soient honnêtes, nos frères, nos égaux, nos
amis
; bien plus, des Citoyens, élevés au-dessus du vu
Septimanie. Je pancherais pour ce second Projet. Honorine. Mon
amie
, le Français veut qu’autour de lui tout respire l
s Cabaleurs scéniques, dont on m’a parlé ? Des Tianges. Oui, mon
ami
: les préventions Théâtrales sont aujourd’hui moi
Il n’y a donc point de Tailles à l’Opéra ? Des Tianges. Non, mon
ami
: comme on n’y représente que des Dieux, des Héro
de Vaisseau qui n’avait jamais vu de spectacle, fut entraîné par ses
amis
à la Comédie, on y jouait Atrée ; notre homme, éb
aisé de justifier M. de Voltaire : vous paraissez un peu plus de ses
amis
, ou plutôt vous feignez de l’être. Quatre gouttes
us effrontément sur son compte. Je le connais par quelques-uns de ses
amis
; je ne l’ai vu qu’une seule fois pour en recevoi
rôle de Séide, et les suffrages de notre Auditoire présagèrent à mon
ami
M. Lekain les applaudissements que le Public lui
is et de faire pour moi ce qu’il faisait avec tant de raison pour mon
ami
Lekain. « La faute en est aux Dieux, qui m’ont f
s qu’on a la bonté de reconnaître en moi ; que je le regarde comme un
ami
dont le cœur est fermé à tout ce qui pourrait alt
Province prendre les premiers errements de la Finance, chez un ancien
ami
de mon Pere. Je reconnus bientôt que toute la sci
squ’elle consiste à abuser cruellement de l’Ordonnance. L’auteur de l’
ami
des hommes a vu couper le poignet à une femme qui
les fortifier de ses conseils : Revenons. Je n’eus pas vu plûtôt mon
ami
sur la scene applaudi, chéri, caressé, estimé, co
m’engager dans une troupe de Province à la sollicitation d’un de mes
amis
qui était actuellement à Rennes. J’arrivai donc,
. Ces distinctions excitaient la jalousie de mes Camarades envers mon
ami
et moi, de force que nous étions exposés tous les
m’en dégoutassent pas pour jamais. J’étais allé me promener avec mon
ami
au bord de la rivière ; quelques danseurs s’y bai
on ami au bord de la rivière ; quelques danseurs s’y baignaient ; mon
ami
se laissa entraîner par leur exemple et le malheu
ler sans éprouver la douleur la plus vive, je dirai seulement que mon
ami
eut le sort de Mademoiselle Lecouvreur quand on l
. Voltaire s’en indigne dans un poème, La Mort de Mlle Le Couvreur. L’
ami
dont Dancourt parle a donc subi une excommunicati
édien, dit-il5, Peut-être de son Art eût remporté le prix, Si, moins
ami
du Peuple en ses doctes Peintures, Il n’eût point
t le don de l’invention, ni le génie de la belle Poësie2, quoique ses
amis
même convinssent que dans toutes ses Piéces le Co
à la premiére représentation, & qui en rend un compte exact à un
ami
, ne donne par tout à l’Hypocrite que ce nom de Pa
e de l’imprimer en ta faveur : c’est l’avis que je t’ai voulu donner,
ami
Lecteur, afin que tu n’ignores pas à qui tu en es
Lettre d’un ecclesiastique a un de ses
Amis
; où il lui explique les sentiments qu’il a de la
ivain a poussé l’insolence jusqu’à prétendre que ce grand Roi était l’
ami
des jésuites, et comme un lâche hypocrite, il ose
térés du sang des Bourbons. Trois fois ils firent couler le sang de l’
ami
du peuple, du grand Henri IV ; et enfin un scélér
Et l’écrivain éhonté que je viens de citer, ose le présenter comme l’
ami
des jésuites ! Il faut avouer que de pareils mots
s de lord Maitlande, qui appartenaient à l’ancien ministère. Canning,
ami
des progrès de la civilisation du monde, et en co
tre de leurs journaux et de leurs gazettes ; combien ne voit-on pas d’
Amis
de la religion et du roi, qui ne professent que d
urs et si simples que devraient nous offrir les devoirs de Citoyen, d’
ami
, d’époux, de fils, et de père : mais rendez-nous
peuples plus heureux, et par conséquent les Citoyens moins rares, les
amis
plus sensibles et plus constants, les pères plus
ler au spectacle, on y va oublier ses proches, ses concitoyens et ses
amis
. Le spectacle est au contraire celui de tous nos
ans la vie où l’homme le plus vertueux oublie ses compatriotes et ses
amis
sans les aimer moins ; et vous-même, Monsieur, n’
avoir une femme de la Cour pour maîtresse, et un grand Seigneur pour
ami
, n’aura pour maîtresse qu’une femme perdue, et po
Seigneur pour ami, n’aura pour maîtresse qu’une femme perdue, et pour
ami
qu’un honnête voleur ; dans les scènes d’Harpagon
ope, c’est qu’Alceste n’a pas toujours tort d’être en colère contre l’
ami
raisonnable et Philosophe, que Molière a voulu lu
et que dans des bagatelles de ce genre on ne doit la vérité qu’à ses
amis
, encore faut-il qu’ils aient grande envie ou gran
t la peinture odieuse de l’ingratitude et de la dureté de ses anciens
amis
; « Et les femmes ? » lui répond le valet, qui ne
E] La version de 1712 corrige en « donniez ». c. [NDE] 1712 : à vos
amis
, et plus encore à vos amies ; d. 1712 : pendant
ge en « donniez ». c. [NDE] 1712 : à vos amis, et plus encore à vos
amies
; d. 1712 : pendant que e. [NDE] La version de
infar, qui aime la sienne, & qu’on veut rendre ridicule. Quelques
amis
se proposent de la jouer dans la maison du mari,
voit envie de se convertir, & rend inutiles tous les efforts d’un
ami
sage qui avoit agi avec succès. Ce portrait est t
l’on voit avec surprise, non seulement dans des domestiques & des
amis
petit-maîtres, on s’y attend, mais dans la bouche
des amis petit-maîtres, on s’y attend, mais dans la bouche de Sophie,
amie
raisonnable, &, ce qui est tout-à-fait indéce
n des noces, chacun a son appartement, ses domestiques, sa table, ses
amis
. On ne se voit que par hasard quand on se rencont
sont moins gênées : le beaupère est méprisé, la bellesœur chassée, l’
ami
de la maison congédié, l’enfant livré à une nourr
de la troupe. Elles en inspirent le goût à leur famille & à leurs
amis
, elles y attirent leurs amans, pour qui c’est le
omédiens jouissent des mêmes prérogatives, & en font part à leurs
amies
. Cette seconde troupe son élève, infiniment plus
t encore ces créatures merveilleuses ? ce sont vos concitoyennes, vos
amies
, vos parentes, votre fille, votre sœur, ce sont d
esclavage du serrail est moins honteux que la liberté des Actrices. L’
Ami
des femmes, ouvrage ingénieux & sage, en parl
la permission d’aller au spectacle. Les femmes n’aimeront guère leur
Ami
, quoiqu’encore trop indulgent. Mais la comédie Fr
s & canoniques portées contre les Comédiens, & en faisons nos
amis
, nos modelles, nos oracles. Peut-on comprendre qu
mence, je serais un flatteur. C'est au Protecteur des Arts, c’est à l’
Ami
des talents que j’offre l’Apologie de celui que j
x sentiments d’estime et d’affection que vos talents inspirent à tout
ami
des sciences et des arts, et avec lesquels J’ai l
plus empressés sectateurs. Témoin Alype, disciple d'abord, et ensuite
ami
de saint Augustin. Etudiant le Droit à Rome, quel
te aux invitations, aux prières, aux pressantes sollicitations de ses
amis
; mais ils l’entraînent de force. C’est en vain,
entrée en Médecin charitable ; « entreprenant , dit-il, de guérir son
Ami
d’une crainte scrupuleuse qu’il a que sa conscien
our débiter ses drogues. Il tâche cependant de les faire valoir à son
Ami
, en lui exagérant la difficulté qu’il y a de comp
de saint Thomas : « Lisez, je vous prie, avec attention, dit-il à son
Ami
, ce que ce grand Docteur enseigne de la Comédie d
u’il vient de rapporter des Jeux à la Comédie, et en apostrophant son
Ami
: « De ces paroles de saint Thomas, lui dit-il, i
contre celle d’aujourd’hui. « Vous voyez bien, Monsieur, dit-il à son
Ami
, que tous ces passages des Pères, et mille autres
aît indifférente. « Vous ne vous attendez peut-être pas, dit-il à son
Ami
, en lisant du premier abord ma proposition, que j
pour un peu de temps, et lui donner lieu de se consoler avec ses bons
Amis
les modernes, qu’il croit plus humains et moins f
e Corneille ou de Racine, mais de la Comédie d’Esope composée par son
Ami
, à qui il fait des compliments sur le présent qu’
l nous en découvre la source ; c’est dans l’incomparable Esope de son
Ami
qu’il s’est instruit du mérite de la Comédie ; c’
r c’est où notre Docteur nous conduit par une autre objection que son
Ami
apparemment lui avait faite, et à qui il adresse
l la brode : « Vous me ferez plaisir, continue-t-il, en parlant à son
Ami
, de prier ceux qui vous apportent de ces sortes d
e contre les femmes qu’il s’en explique, et qu’il fait entendre à son
Ami
, un peu trop crédule, qu’une jeunesse innocente p
ptes de toute action et de toute parole déshonnête ». Il en prend son
Ami
à témoin, il insulte à ceux qui ne sont pas de so
nte. « A l’égard des Dimanches, remarquez je vous prie, dit-il à son
Ami
, que bien que les saints jours nous aient été don
rouvera pas beaucoup d’approbateurs. Je ne conseillerais pas même cet
Ami
à qui il écrit, de trop déférer à ses maximes ; m
emblent assurément au portrait qu’on nous fait des Stoïciens toujours
amis
de l’humanité et préférant l’intérêt de la vérité
ira la fureur du jeu, mais qui n’en fera pas moins sa partie avec des
amis
de sa trempe, sans désirer le gain et regretter l
’on leur offrirait ne leur sont pas familiers, que l’esprit, toujours
ami
de la vérité et de la vraisemblance, rejette des
et leurs intérêts les aveuglent souvent, ils n’en sont pas moins les
amis
de la Vertu, ils n’en désirent pas moins de resse
pour titre en Espagnol, Non hay amigo para l’amigo, Il n’y a point d’
ami
pour l’ami. M. Lesage en a changé le titre parce
en Espagnol, Non hay amigo para l’amigo, Il n’y a point d’ami pour l’
ami
. M. Lesage en a changé le titre parce que le poin
s du vin, vient de jeter une assiette au visage d’un de ses meilleurs
amis
, contient des réflexions et en fait faire de si s
age, la scène du Capitaine qui est prêt à se couper la gorge avec son
ami
devenu par hasard son rivalaw, n’est-elle pas une
la bravoure mal employée ? Le Public trouve-t-il mauvais que ces deux
amis
, ou plutôt ces deux Rivaux se rendent aux bonnes
ait été préparé, on a fait dire à ce pere infortuné. Notre courage,
amis
, doit ici s’animer. On le représente comme un vi
n vient de voir un Prince rassuré sur la foi de sa fille, exciter ses
amis
à partager sa fermété, remettre son sort & ce
ens aient été ignorés d’un Prince Grec, & qui, comme parent &
ami
de la famille de Laïus, y avoit un double intérêt
des diversites curieuses. C iceron, Liv. 7, Ep. 4, félicite son
ami
de n’être pas allé au théatre, & aux jeux de
s doux que celui dont on se prive. Pope rapporte qu’un Milord de ses
amis
aimoit si fort la danse, que ni la vieillesse ni
V. d’avoir fait plusieurs pieces de théatre, attribuées à Favard son
ami
, comme on a soupçonné un Chartreux d’avoir compos
lité ; car les femmes exigent des égards, des présens, brouillent les
amis
, mais chacun doit avoir sa maîtresse, à laquelle,
umesnil qui étoit de la fête, & la Dangeville s’appellent Marie.
Amis
, sous le nom de Marie, A Melpomene offrons nos vœ
Melpomene ? Si Arlequin portoit le nom du Roi, diroit-on décemment ?
Amis
, sous le nom de Louis à Arlequin offrons nos vœux
toutes les fois qu’on leur parle & à chaque mot qu’on leur dit :
amis
, parens, étrangers, domestiques, comme un écho qu
mme chrétien ; mais j’aurais de la peine à le mettre au nombre de mes
amis
. » Quoi ? l’homme chrétien n’est-il donc point un
? l’homme chrétien n’est-il donc point un sujet propre à en faire un
ami
solide ? les principes du christianisme sont-ils
sa créance. Car entre tous les hommes, le plus capable d’être un vrai
ami
, c’est le vrai Chrétien. Celui qui aime ses frère
s ; l’homme, dis-je, qui possède ces qualités doit être sans doute un
ami
parfait. Or c’est dans le Chrétien parfait, et ce
qu’aux dépens de la Religion et de la conscience ? En est-on meilleur
ami
lorsqu’on a moins de raisons qui engagent à l’êtr
constance dans l’instabilité ? Il faudra donc que tout homme soit ou
ami
ou ennemi malgré lui et aussi longtemps à point n
it un Officier relégué dans une Ile déserte, maltraité de ses propres
amis
, tout couvert de plaies, accablé des misères de l
ens, se dédommage en les désignant. Prélats, prêtres, moines, parens,
amis
, tout fut blessé par les traits d’Arétin. Son irr
ieurs choses contribuerent à découvrir son secret : il le confia à un
ami
. Quel amoureux fait se taire sur des faveurs si g
ami. Quel amoureux fait se taire sur des faveurs si glorieuses ? Cet
ami
le trahit. Le Tasse eut la nouvelle indiscrétion
t la vie la plus dissipée & la plus frivole. Ses parens & ses
amis
, qui ont grand soin de sa santé, n’en ont pas eu
osé. Il avoit eu du moins la sagesse de ne pas le mettre au jour. Ses
amis
ou plutôt les amis du vice ont rendu au public &a
moins la sagesse de ne pas le mettre au jour. Ses amis ou plutôt les
amis
du vice ont rendu au public & à lui-même le m
oderoit pas de la naïveté & de l’énergie de la langue latine. Ses
amis
ont ajouté des estampes où toutes la manœuvre de
s ; sa fortune auroit couru quelque risque. Après sa mort civile, ses
amis
ou plutôt ses vrais ennemis, plus hardis que lui,
amp; l’Auteur de la vie d’Alexis Piron, célebre Poëte Dramatique, son
ami
particulier, avance trois choses singulieres. 1°.
& de Paris ; il revint à Dijon passer ses derniers jours avec ses
amis
, & composa un grand nombre de Noëls, de Canti
il exécuta jusqu’à soixante Epigrammes. Il s’assembloit avec quelques
amis
dans un cabaret qu’ils appelloient le Caveau, où,
on, l’édition eût été bien moins volumineuse : mais tout est cher aux
amis
, il faut leur pardonner. Le systême de l’amour ph
lus grands Capitaines de Rome, Metellus, l'un des plus efféminés. Les
amis
de celui-ci, invités à un souper, furent surpris
L'Empereur Auguste, grand amateur, étant au lit de la mort, dit à ses
amis
: N'ai-je pas bien joué mon personnage ? fort bie
belles jouent les premiers rôles, ni toujours dans la comédie, où les
amis
et les parents donnent de mauvais conseils. La fa
est-là qu’on apprendra ce qu’on doit à la patrie, à sa famille, à ses
amis
, comment on doit remplir les devoirs de sa charge
evoir regle tous ses désirs. Hé pouvoit-il penser autrement ? Eleve,
ami
, enthousiasmé d’Arnaud, de Pascal, de Nicole, liv
Cour de donner la préférence à Corneille sur Racine, et qu’étant son
Amie
comme vous l’êtes, il vous est aisé de croire ce
on, Madame, si je vous mène si loin pour vous y laisser : deux de mes
Amis
, que vous n’aurez pas de peine à reconnaître quan
et de le punir par la perte de son bien, et par les moqueries de ses
amis
: il a voulu que les caractères épisodiques de sa
jours : elle est maîtresse à la vérité de s’éloigner des parents, des
amis
et des domestiques, qui lui ayant donné de bon co
teur le feroit paroître. Un Stoïcien, par exemple, qui, trahi par ses
amis
et; maltraité injustement, soutiendra sa disgrace
action le fasse naître. Or le cœur de l’homme est naturellement trop
ami
de la droiture pour être délicieusement affecté p
, il veut rompre avec tous les hommes et; notamment avec Philinte son
ami
. Et pourquoi, s’il vous plait ? Parcequ’il l’a vu
furieux sur la Scene, et; qui, sans avoir raison de se plaindre d’un
ami
qui veut prendre part au chagrin que lui donne l’
: Dans vos brusques chagrins je ne puis vous comprendre, Et quoi qu’
amis
enfin, je suis tout des premiers. Le Misantrope
tout des premiers. Le Misantrope lui répond durement : Moi votre
ami
! Rayez cela de vos papiers, J’ai fait jusques ic
e ou fait quelque lâcheté pour être tout à coup rayé du Catalogue des
amis
d’Alceste ? Tout le mal consiste pourtant à avoir
e haine effroyable contre le genre humain, quand outré d’avoir vu son
ami
trahir lâchement son sentiment, et; tromper l’hom
re les particuliers. L’homme au sonnet n’a pas encore paru, ainsi son
ami
ne s’est pas encore moqué de lui. En un mot, il n
e personne, qu’il marque un véritable intérêt pour ce qui regarde son
ami
. Il veut l’accompagner, malgré toutes ses brutali
mauvaise opinion qu’il a des hommes ; Philinte a donc pu donner à son
ami
le conseil qu’il lui a cru salutaire à cet égard.
t point manqué à la droiture quand il se seroit rendu aux avis de son
ami
. Il auroit au contraire été plus raisonnable, il
cela d’autres motifs que ceux qu’il adopte, il est trop sage et; trop
ami
de la raison pour n’en pas plaisanter. Si vos cot
e ; car, demandez-vous, lequel vaut mieux, qu’une femme dise avec ses
amies
du mal de son mari, ou que, tête-à-tête avec un h
de tel Cavalier, que toutes ces ouvertures de cœur mettent une bonne
amie
dans la nécessité de plaindre ou de complimenter,
ourt à une passion qu’elle connoît dangereuse. Elle va chez sa tendre
amie
qui s’appercevant d’une espéce d’inquiétude toujo
atre François le 18 Décembre 1752. les Comédiens ont cessé d’être vos
amis
. Quelqu’injuste que soit votre courroux, voilà sa
es importantes occupations lui laissoient, avec Esope et; Roscius ses
amis
; il publie que c’est d’eux qu’il a appris l’art
es. Le dernier rayon de la gloire de Mignard, c’est d’avoir été grand
ami
de Scarron, ce bouffon célebre, auteur de plusieu
& dans le moment de la plus grande colere du maître, Chapelle son
ami
arrive qui l’appaise. La moitié de la piece roule
t dans la maison de Moliere, je ne sai à quel titre, de domestique, d’
ami
, de pensionnaire, qui tous sont faux, lequel subo
pectées, & dans sa conduite, & dans ses ouvrages. Le Mercure,
ami
de l’auteur, adoucit quelques traits de la piece
t. Il semble qu’on l’ait connu, & qu’on veuille le justifier. Son
ami
surpris qu’un si grand homme, dans un moment où i
s’occuper que de sa gloire, s’abandonne à une si folle passion. Mon
ami
, lui répond ce grand homme, la gloire est belle,
e son Esprit est troublé des vaines fantaisies, ou qu’il songe en son
ami
décédé. « Nam neque remeare viventes à corpore se
objection ou 5e excuse. On va au théatre par complaisance pour des
amis
. Je vais excessivement peu au spectacle, vous
e fermerait bientôt ; mais lorsque la bienséance l’exige, lorsque des
amis
réclament ma complaisance pour les y conduire, je
c qu’il n’est jamais permis de faire le mal par complaisance pour des
amis
, que le devoir de la charité exige de ne pas faci
ire, nous dira ce qu’il faut penser du théâtre. « Quoi ! dit-il à ses
amis
, des maximes qui feraient horreur dans le langage
a musique, et encore bien rarement, ou même par complaisance pour des
amis
. Le lecteur a dû se convaincre de la futilité de
en n’est en sûreté ! Ils n’ont aucun respect pour les femmes de leurs
amis
, ni pour leurs filles, ni pour un jeune époux, ni
er au spectacle, & chacun s’isole ; chacun oublie ses parens, ses
amis
, ses voisins, pour s’intéresser à des fables, ple
; rire aux dépens des vivans. N’ont-ils donc ni femmes, ni enfans, ni
amis
, ni pauvres, répondit un barbare, à qui l’on vant
nt, ébloui par les sollicitations les plus puissantes, séduit par mes
amis
, dupe d’autrui & de moi-même, rappellé en mêm
e par des bienfaits, ou qui paieroit d’un affront les caresses de son
ami
? » Auriez-vous jamais crû, Madame, qu’on ne pou
ette horreur pour les spectacles, qu’il avoit autrefois inspiré à son
ami
, en fût un témoignage, Les jeux donc du Cirque, q
quelque bal où l’on n’appellerait que les seuls parents, ou les seuls
amis
; néanmoins il est vrai de dire absolument qu’il
anse où on veuille faire ce choix des personnes honnêtes, parentes ou
amies
, et fermer la porte aux étrangères, on heurte ins
r. » En vain lui diroit on que la réprésentation de ces passions trop
amies
de la corruption du cœur ne les excite qu’indirec
igneur la conduit chez ses parens où elle invite sa famille & ses
amies
. Le Seigneur fournit aux frais de la fête & s
portée chez la Rosiere qui la distribua à ses compagnes, parens &
amis
. Le pain béni qui est une image & une espece
l’exemple à la France, Des mœurs fait une loi. Au Fondateur.
Ami
de la Patrie, Bienfaiteur trop discret, Notre Tro
la rage est, comme on sait, l’envie de mordre indistinctement et ses
amis
et ses ennemis. Nous en voyons des exemples dans
trême !!! on voit figurer dans cette liste fatale, l’un des meilleurs
amis
de cet auteur forcené, et cet ami, c’est M. l’abb
e liste fatale, l’un des meilleurs amis de cet auteur forcené, et cet
ami
, c’est M. l’abbé de La Mennais u. Il l’attaque pa
est tendre pour ses maîtresses. Qui peut l’empêcher d’aimer la bonne
amie
qu’il a épousée sans flambeau, qui est bien la me
ous terre, Meurtre, trahison, Inceste, poison ; Que dites-vous,
amis
, De ce salmigondis De la Semiramis ? Cette
on sans quelque fondement, de devoir ses pieces à un Chartreux de ses
amis
, plus bel esprit que lui, & qui dans le sombr
re dans la somme totale de son mérite, est fort médiocre ? Il étoit l’
ami
, le protégé, je ne sais trop pourquoi de Me. de …
J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON
AMI
, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J
aradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. Je viens de lire, mon cher
ami
, une Brochure intitulée « Jean-Jacques Rousseau,
la pureté de mon ame, & la droiture de mes sentimens … mais cher
ami
, que dis-je ? il est un garant plus flatteur, &am
otège toujours les gens de bien ; qu’il soûtienne les intérêts de ses
amis
; qu’il tâche d’appaiser ceux qui sont irrités ;
t la conduite de celui qui le pratique. Je disais un jour à un de mes
amis
à la *** qui me rapportait les propos d’un certai
re. Oui, la nature les avait grossièrement placés dans mon sein… cher
ami
, quel triomphe pour toi ! il approche du miracle.
sse profonde que je dois tout le brillant de leur éclat ? Je suis ton
Ami
, J.J.L.B. 2. Voltaire. 3. La Tragédie & la
rans sous lesquels ils avaient servi, ce fut par maxime d’Etat, comme
amis
des mauvais Princes, & non par règle de Polic
ssi célèbre Poète & Acteur tragique, il était sobre, modeste, bon
ami
, & d’une société agréable : il mourut dans un
saire. Lui-même s’est bien emporté sur le mot Secte, en parlant à son
Ami
? les mouvemens de la nature me seraient-ils inte
e disait-il, aime ton pays. Vois-tu ces bons Génevois ? ils sont tous
amis
, ils sont tous frères ; la joie & la concorde
eul moyen de te satisfaire. Mets vîte à profit ma pensée, Une note,
Ami
, transposée, Va faire d’un chant hyémal, D’un nou
ations qui abordent dans vos murs ? Renfermés dans un cercle étroit d’
amis
généreux, ils n’ont que la distraction du Théâtre
ns Théâtres de la Capitale dans ces dernieres années, que des Auteurs
amis
de la vertu veuillent annoblir la Scene, faire to
mens de théologie, ni des sermons en chaire, il pousse des bottes aux
amis
& aux domestiques du Prélat, qui s’en amuse.
otre élection pour les communes auroit fait un schisme en France, vos
amis
sont fâchés que vous n’ayez pas réussi, ils saven
contrefit si bien la voix & le style d’une douzaine de personnes,
amis
ou parens de l’aveugle, qu’il lui fit accroire qu
à leurs richesses, nous la devons à nos appas ; ils sacrifient leurs
amis
à l’intérêt, nous lui sacrifions nos amans ; un t
l’apparence qu’il a mis une bonne somme dans la souscription que ses
amis
ont ouverte pour fournir aux frais. Voici des lot
s-Christ même : Mat. IX. 15 [Matthieu, chapitre IX, verset 15].« Les
amis
de l’époux ne peuvent pas s’affliger pendant que
le manuscrit n’était plus à lui, puisqu’il l’avait donné à un de ses
amis
, qu’il s’en était fait plusieurs copies ; et qu’a
s bonnes œuvres, à prouver que vous êtes bon citoyen, bon père et bon
ami
, et surtout à soulager ceux qui manquent du néces
e qui a l’intention d’outrager et déshonorer l’épouse de son meilleur
ami
, qui est amoureux fou, et cependant s’aliène par
leurs personne n’ignore qu’habituellement d’autres hommes déguisés en
amis
simplement ont les mêmes vues ; et il n’y a que d
composer par les cinq auteurs. Louis XII, le Pere du Peuple, étoit l’
ami
déclaré, le protecteur, l’allié de Borgia, son zé
ts s’accusent les uns les autres, se troublent eux-mêmes, & que l’
ami
persécute l’ami ; qu’il y ait de la discussion en
s uns les autres, se troublent eux-mêmes, & que l’ami persécute l’
ami
; qu’il y ait de la discussion entre les riches,
sérieusement : Ces hommes n’ont-ils point des femmes, des enfans, des
amis
, des maisons de campagne, des exercices du corps,
; ils n’ont point d’enfans, ils sont célibataires ; ils n’ont point d’
amis
, ils se lient avec des compagnons de débauche ; i
iété, les charmes de la tendresse & du respect ; il peut avec des
amis
vertueux, par un commerce de sentimens, de servic
e vertueux voudrait les prendre pour règle, et avoir des enfants, des
amis
, des domestiques formés à cette école ?
voyons dans l’Ecriture, que la danse a fait perdre la vie au meilleur
ami
de Jésus-Christ, et que la tête de St. Jean-Bapti
faire le moindre usage d’un couteau, qui aurait servi à égorger votre
ami
. Mais ce qui vous oblige, malgré vous, d’abandonn
r, se consultant sans cesse environnée de servantes, ou de ses bonnes
amies
, qui s’étudient à orner sa tête de frisures, de r
le rang d’un prince dans son pays, comblé de richesses, d’honneurs, d’
amis
, et d’autorité, au au milieu d’une famille la plu
un Cynique sauvage s’est attaché à mériter par ses écrits le titre d’
ami
des hommes, qui ne veut que les rassembler en Soc
utres. Il sait que la contradiction aigrit et préfère de se faire des
amis
par sa complaisance, à l’honneur de se faire haïr
reconnaître dans Philinte un homme vertueux, un amant raisonnable, un
ami
tendre, sincère, et confiant : sachez qu’un sage
des Gladiateurs était réduit toujours à la parade. 3. [NDA] Voyez L’
ami
des hommes. cv ck. [NDE] Ibid., p. 49 : « Tou
r en fait-on représenter avec si grande affluence de leurs parents et
amis
. La différence de celle-ci aux autres est si vis
, qui ne divertit pas beaucoup le Peuple, quoiqu’ils contentent leurs
amis
qui les voient réciter leur rôlete de bonne grâce
: des juges de choix sont plus indulgens que le Théatre. Ce sont des
amis
c’est une coterie toute décidée. Dans ces reduits
es reduits prompts à crier merveille Pradon est préferé à Racine. Ces
amis
savent qu’on leur demande des applaudissemens, le
beaucoup de monde y est invité. Il le dit lui-même : Nos parens, nos
amis
sont mandés en ces lieux : Pour la cérémonie ici
certer avec elle. Dans une Communauté où l’on a passé sa vie on a des
amis
, & souvent des ennemis. Avec des passions aus
l’est pas moins. Pourquoi le faire son parent ? il pouvoit n’être qu’
ami
. Trouve-t-on quelque goût à augmenter le désordre
frivolité du Théatre, en parle avec indulgence, avec éloge. C’est un
ami
de l’Auteur, peut-être l’Auteur lui-même, qui sou
ous le nom d’extrait a fait son apologie. L’Abbé Aubert, gai, galant,
ami
des Poëtes, Poëte lui-même très-agréable, a pris
Vous allez tout effacer ; mais croyez que nous n’en serons pas moins
amies
. Le cœur me battait furieusement en route. Mais
une Actrice qui n’avait paru sur aucun Théâtre. Je soupirai : – Mon
ami
! pensai-je en moi-même, où réduisez-vous une épo
nte pour le divertir en le fesant rire. Nous ne reconnaissons pas nos
amis
dans les Personnages du Poète Tragique : mais leu
la compassion. Septimanie. Mais, nous ignorions tout cela, mon
amie
, lorsque nous ne prononcions le mot de Théâtre, q
la Comédie ? On l’a déjà dit : Ce font les plus dangéreuses, les plus
amies
de la corruption du cœur de l’homme. Ce sont ces
bandonneraient toute idée de supériorité ; ils s’éfforceraient d’être
amis
. Il est certain que si le Compositeur était véri
tout. L’entrée du Louvre en carrosse pour le Prince de Marcillac son
ami
, & le tabouret pour sa femme, furent encore d
s le besoin. Elle y eut recours dans la suite ; elle n’y trouva qu’un
ami
de cour, qui refusa de la recevoir. D’un autre cô
ugiant dans quelques cabanes, sans trouver d’asyle chez ses meilleurs
amis
, ne marchant que la nuit, tantôt à pied, tantôt à
oup de foudre pour la fiere Duchesse ! Elle s’y soumit, & fit son
amie
d’une belle-sœur qu’elle ne daignoit pas regarder
r mere alla porter au Roi leur démission, sans rien demander pour ses
amis
& pour ses créatures. Le Roi même lui offrit,
lui en demanda pour son parent. On ne peut , dit-elle, se faire des
amis
aux dépens de sa conscience. J’estime tout-à-fait
quelqu’amour pour leur salut ? Conf. L. 6. c. 3.« Entrainé par ses
amis
à l’amphitéatre Vous pouvez, leur dit Alipe, fair
quand on commencera la farce. Le Réponse. 2. Neoph. Je vous dis, mon
ami
, que le meilleur de ces comédies ne vaut rien, et
é, vont à la Comédie. Le mari, parce qu’il se rendrait ridicule à ses
amis
, s’il refusait d’y aller avec eux : la femme, par
sentiment qu’excite l’imitation ! Il n’y a guére d’homme qui n’ait un
ami
, & vingt ans fourniront à peine un spectateur
n. …… C’est trop : monstre inflexible. Délivrons Hypermnestre,
amis
Secondez-moi. Tremble…… DANAUS. Tremble……Tremble
& tantôt vers le mal ; c’est le grand nombre : des hommes droits,
amis
de l’ordre, & de toute chose honnête ; ils so
lier l’Année 1754. Honorine. Votre Paysan écrit avec humeur, mon
amie
? Septimanie. Sa rustique franchise ne me dé
avez d’être fort habile homme et plein d’esprit, je vous conseille en
ami
de changer de sentiment. Puisque Dieu lit dans le
uis pour vous ; je ne me mets jamais si fort dans les intérêts de mes
amis
que je ne me laisse plutôt guider par la justice
t sans cesser de l’être. « Nous en avons un bel exemple dans Alipe,
ami
de saint Augustin : il avait autrefois passionném
les spectacles, et saint Augustin l’avait guéri de cette passion. Ses
amis
lui proposèrent un jour d’aller avec eux à l’amph
pour tel, et qu’il a eu soin d’en donner d’assez belles marques. Ses
amis
voudraient bien se revancher ; mais il faut qu’il
désordre, qu’un homme fût dans la débauche, s’ils se disaient de vos
amis
, vous espériez toujours de leur salut : s’ils vou
e crois, Monsieur, qu’il est bon de vous avertir que si les meilleurs
amis
de ceux de Port-Royal les voulaient louer, ils ne
’en appelle sur ce point, aux témoignage de tout homme sensé, de tout
ami
de l’honnêteté & des mœurs, de tout homme, en
’est ce qui m’est arrivé plus d’une fois, & à quelques-uns de mes
amis
, qui, attirés par la curiosité, n’étaient pas moi
t avec assiduité, reçoivent de la part des Maitresses, qui sont leurs
amies
, des exemples de sagesse & d’honnêteté, dont
place les noms immortels au rang de ceux des bienfaiteurs, & des
amis
de l’humanité. En substituant aux Trétaux un Spec
e rejouissance pour le libertinage & la debauche ! 13. Un de mes
amis
m’a conté, qu’étant un jour chez N*** il survint
ntrant, s’humaniserent & l’admirent, enfin, à leur conversion Mon
ami
ne cessa d’avoir pour eux les égards & les di
t avec assiduité, reçoivent de la part des Maitresses, qui sont leurs
amies
, des exemples de sagesse & d’honnêteté, dont
de leurs malheureuses inconséquences, en sera la première victime. L’
ami
du Prince & de la Patrie, ou le bon Citoyen,
, à M. d’Alembert. 42. Cicéron, le plus sage des Philosophes & l’
ami
le plus sûr de la Jeunesse, nous dit que la natur
en de les appliquer, c’est un meurtre de ne les appliquer pas. Dans l’
ami
du Prince & de la Patrie. 45. Formons des E
otion des anciens Asiatiques qui croyoient honorer les Manes de leurs
amis
& de leurs parens par la seule effusion du sa
ls immolerent sans reserue & sans choix sur les tombeaux de leurs
amis
, tous les esclaves qu’ils avoient pû prendre à la
ant de force que la Religion, plusieurs particuliers regalerent leurs
amis
; pendant ou apres les Festins, d’une ou deux pai
à servir les passions les plus honteuses ; mais ils ne voient point d’
amis
qui s’intéressent à leur véritable gloire, et qui
succès, l’état rassuré ne peut donc trouver que des défenseurs ou des
amis
; et le germe des dissensions politiques, toujour
a rendu à la patrie ses défenseurs naturels ; il lui a donné de vrais
amis
, dont l’éloquence, tout à la fois persuasive et b
este bandeau de la stupide crédulité, et fait autant de Français et d’
amis
de l’état, que dans ces climats lointains on trou
vertus à ses yeux ? et quelque sages que soient les remontrances d’un
ami
, d’un oncle, d’un père, de toute une famille alar
s le sang de son semblable, quelquefois dans celui même de son propre
ami
, l’affront souvent le plus imaginaire, et à faire
er leur vengeance, en est-il beaucoup qui, comme ce Romain, véritable
ami
de la patrie qu’il portait dans son cœur, soient
qu’au flambeau de la vérité, et qu’avec les sentiments d’un véritable
ami
de la patrie. Qu’aura-t-il donc alors à redouter
her sa douleur et chercher un remède à ses maux : il est le véritable
ami
de la détresse, et si par de salutaires conseils,
pu réunir sous un même joug, ne fait plus aujourd’hui qu’un peuple d’
amis
ou de frères ; ce code enfin, qui, conçu, achevé
re pour rendre justice à la vérité, est d’un présage heureux pour les
amis
sincères de la religion et doit les consoler. Ell
si ce rôle à l’époque où la pièce a paru, c’est-à-dire sous un Prince
ami
de la véritable piété, était propre à signaler ce
de magistrature qui honoraient l’Empire Français, en se montrant les
amis
et l’appui de leur barreau. 51. NDA Deux des p
tte idée… elle est cruelle, n’est-il pas vrai, ma sœur ?…… Adieu, mon
amie
. P.S. J’oubliais de vous dire, qu’il est décidé
nt d’argent qu’on lui en a pris : ou que dans la Comédie du Joueur un
ami
donnât à Valère deux mille pistoles, pour le mett
sincérité et d’amitié ; combien nous sommes devenus sincères et bons
amis
! combien moins il y en a de faux depuis ce temps
s, tous les rangs, tous les états, tous les âges, les deux sexes, les
amis
, les ennemis, les parents, les enfants, les régni
à de plus grands excès. Il n’y a que ce concert renouvelé de tous les
amis
de la morale qui puisse arrêter ces désordres et
fournir des preuves incontestables, pourquoi des écrivains sensibles,
amis
de l’ordre et protecteurs énergiques des opprimés
pens qui des deux étoit le plus grand. Il est aisé de deviner que les
amis
de Voltaire diront, après lui, saisis du même éto
mp; mourut chrétiennement. J’en bénis le Seigneur. Après sa mort, ses
amis
rendirent & au public & à lui le mauvais
aisonne, on le déguise : il n’en est que plus dangereux Moliere étoit
ami
de Cyranno. Ils s’étoient trouvés ensemble aux Co
phie, comme Cyranno dans ses voyage de la Lune. Tout est commun entre
amis
. Ce grand génie ne dédaigne pas de s’approprier d
-tout lorsque l’on est à table, Qu’un museau pâle & sans couleur.
Amis
, voici notre toilette ; C’est un remede à la pâle
▲