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1 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295
voir qu’au Théâtre : on renonce au projet de venir pour moi chez mon amie … Mais, cette amie, chère Adelaïde, elle mérite do
e : on renonce au projet de venir pour moi chez mon amie… Mais, cette amie , chère Adelaïde, elle mérite donc enfin ce nom ?
ge à ne faire aucune démarche, sans l’aveu de mon bienfaiteur, de mon ami . A l’instant même où je vous écris, on me fait ré
vous avez fait pour toujours celle de votre sincère & respectueux ami , D’Alzan. P. S. Rendez-vous à mon invitation ;
simplicité de ma parure ne me fesait apparemment rien perdre, car mon amie répétait sans cesse, qu’elle ne m’avait encore ri
ntendu une voiture : c’était monsieur D’Alzan : lorsqu’il a paru, mon amie m’a présentée : il nous a fait l’accueil que j’en
eur D’Alzan, avant de les mettre au lit. Un signe que j’ai fait à mon amie , & qu’elle a bien compris, a fait renvoyer Ag
vous vue ? — Oui ; j’étais avec elle chez votre oncle, & chez mon amie . — Ah ! ciel !… & que vous a-t-elle dit ? — Q
mps mon personnage ; je me suis précipitée dans ses bras : — Oui, mon ami , me suis-je écriée, je suis Florise… & votre
uis Florise… & votre épouse… Votre amante, votre maitresse, votre amie  ; celle qui veut tout tenir de vous, ne dépendre
ma divinité… vous… vous… Non, je ne mérite pas… Mes transports… ô mon amie … qui l’eût pensé… ah ! voyez mes transports —… Je
s hier, ce moment est le premier dont je dispose. Adieu. Ma charmante amie , un bonheur constant, tel que le vôtre, peut-il s
2 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
vement dans mon cœur, que je ne veuille desormais te communiquer, mon ami . Je me suis trop bien trouvé de ma confiance.… Di
ianges, où le prends-tu ? O digne époux !… j’oserais dire, plus digne ami .… ta sublime vertu se rend petite avec moi ; elle
re lumière, dont mes faibles yeux ne pourraient soutenir l’éclat. Mon ami , sans ma première faute, mon cœur, à l’heure que
en elle seule, qui vient de rétablir le calme dans mon cœur. Oh ! mon ami , tu seras enchanté lorsque tu la verras : dans so
e bouche ; à tout elle donne un prix inconnu. Mais sa modestie, ô mon ami , sa modestie.… Du Théâtre, elle s’est fait un Tem
s deux Jeunes-personnes sont faites l’une pour l’autre.… Tu vois, mon ami , que je puis, sans manquer à mes devoirs, suivre
arque sans doute les nouvelles : c’est m’en dispenser. Adieu mon sage ami , le seul homme au monde digne de ce nom envers mo
sans l’avoir consultée. Ursule, qu’en dites-vous ?… O ma charmante amie , que cette fille me surprend ! En vérité, c’est b
3 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
es Tianges. Jeudi soir 19. T es projets m’inquiètent, ma vertueuse amie  : mais, quels qu’ils soient, le mal qu’ils doiven
andé. Lettre de mons.r D’Alzan, à son Beaufrère. Des Tianges ! mon ami , j’ai trop long-temps dissimulé. Ouvre-moi ton âm
… Ces larmes que tu surpris un jour lorsque j’étais à Poitiers… ô mon ami  ! je n’avais pas autant de sujet de les répandre…
moi dans mon cœur à côté d’elle. Que va penser de moi le respectable ami que je ne méritais pas ? Des Tianges ! si tu conn
mon ép… de la vertueuse, de la tendre Ursule… Ce n’est pas tout, mon ami , de l’avoir admirée, d’avoir applaudi à ses talen
r qui me ressemblât un jour, je meurs de confusion. Insensé, vil… Mon ami , il faut m’aider à me fuir moi-même, à éviter le
 ! jamais, je le jure, jamais je ne m’exposerai… Viens me sauver, mon ami  : mon sort est de te devoir tout. Les voila donc
4 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
s je la crois une Actrice. De quel théâtre ?… Marque-le moi, ma bonne amie . Ursule, voila les peines du mariage, dans les co
dise ? Ursule, d’elle-même, a fait ce que sa tendre sœur, sa parfaite amie lui aurait conseillé de faire. Oui, ma chère, dis
uvel obstacle est venu le retarder. Tu sais que monsieur Des Arcis, l’ ami & le parent de mon mari, lui fit promettre, e
nges veut satisfaire, en unissant le jeune Des Arcis, à la fille d’un ami commun. Dans les circonstances où tu te trouves,
5 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
Onzième Lettre. De madame Des Tianges. Jeudi soir 12. M on amie , mon aimable sœur… Je n’ose te le demander… mais
de mes rêveries… Je m’en rapporte néanmoins à ta prudence : non, mon amie  ; je ne te presserai pas de m’instruire. Eh bien 
Liane n’égale pas ma sœur : il n’est qu’un cœur comme le tien… O mon amie  ! & nous sommes séparées !.. Encore, si je te
ndre Ursule heureuse. ] Je suis &c. J’exagère nos craintes, mon amie , pour le mieux persuader, & te procurer toute
6 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
emières Provinciales, tout le monde lisait les unes, et vos meilleurs amis peuvent à peine lire les autres. Pensez-vous vous
tre fois, il a bonne intention, il s’est fait cent querelles pour vos amis , voulez-vous qu’il soit mal avec tout le monde, e
même. C’était chez une personne, qui en ce temps-là était fort de vos amies , elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre lire l
nd ce ne serait que d’un Jésuite, il vous prouvera comme ont fait vos amis que la raillerie est permise, que les Pères ont r
our les Pères, c’est à vous de nous les citer, c’est à vous, ou à vos amis de nous convaincre par une foule de passages que
à la conduite de la Mère Angélique ? Cela ne doit point empêcher vos amis d’achever sa Vie, qu’ils ont commencée, ils pourr
qu’en me voulant dire des injures, vous en diriez au meilleur de vos amis , croyez-moi, retournez aux Jésuites, ce sont vos
7 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quinzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 275-277
ée, & pourtant, sans le savoir, je déterminais tes démarches… Mon amie , ma chère Ursule ! toi ! au milieu de ces femmes…
’aurais pas pris cette route. Achève, puisqu’il le faut… Ursule ! mon amie , ma divinité, on n’a jamais aimé comme je t’aime.
tait durable !… Honorine est plus tempérée : elle remarque encore ses amies  ; elle ne leur dit que quelques mots mais ils son
8 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 16-18
Lettre à eu bon effét : j’ai pris la liberté, de la faire voir à mes amies Mesdames *** elles se croient toutes obligées ave
moderément ce divertissement. Je me trouvai l’autre jour chez vôtre ami Monsieur *** Nous parlâmes sur le fatal present d
que ce soit d’une maniere moderée : j’aurois souhaité, que nôtre cher ami nous eût donné la solution à cette objection ; ca
9 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
considéré que ni M. d’Urfé, ni Corneille, ni Gomberville votre ancien ami n’étaient point responsables de la conduite de De
rai souvenir d’une petite histoire que m’a contée autrefois un de vos Amis . Elle marque assez bien votre caractère. Il disai
a que ce Père était un fort bon Religieux, et même dans le cœur assez ami de la vérité. Que fit la mère Angélique ? Elle do
désordre, qu’un homme fût dans la débauche, s’ils se disaient de vos Amis , vous espériez toujours de leur salut, s’ils vous
Rufin comme le plus savant homme de son Siècle, tant qu’il a été son ami , et qu’il traita le même Rufin comme le plus igno
lusion à la « Réponse du Provincial aux deux premières lettres de son ami  ». e. [NDE] Note de Thirouin : Les Enluminures d
10 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « Dédicace » p. 
Grand que je dédie mon Livre. Mon hommage est plus pur ; c’est à mon ami . Ce titre annonce tous les avantages que j’y trou
s les avantages que j’y trouve. Vous les sentez comme moi, mon cher Ami  ; votre cœur vous les dit assez, sans que je vous
11 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Troisième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 25-27
atin 11. P lus d’espoir, plus de raison, plus de bonheur !… Ah ! mon amie  ! monsieur d’Alzan est tendre, sensible ; & c
d’écouter la raison, je ne vois plus que votre magnanimité. Oui, mon amie , sauvez-moi de moi-même : il n’est que trop vrai
12 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
On avoit dit avant vous : Nul n’aura de l’esprit que nous & nos amis . Il vous étoit réservé sans doute, d’affirmer :
onde pervers les Auteurs sont sans foi, fourbes, intéressés, hors mes amis & moi. Vous n’en aimeriez pas moins la sincé
13 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
ièces à corriger, ou à rejetter, j’aurais infailliblement déplu à mes amis (et sous ce nom je comprends les Poètes que je fa
imer tous sans exception) et je me serais attiré la haine de tous les amis des Auteurs. Je laisse donc aux Poètes même le so
laisse donc aux Poètes même le soin de se rendre justice, et à leurs amis celui de les critiquer et de leur donner des cons
14 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
ibles sentiments d'une personne qui veut se battre en duel contre son ami , parce qu'on le croyait auteur d'une chose dont i
'on en croit... Telle est de mon honneur l'impitoyable loi, Lorsqu'un ami l'arrête, il n'a d'yeux que pour soi, Et dans ses
15 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
ibles sentiments d'une personne qui veut se battre en duel contre son ami , parce qu'on le croyait auteur d'une chose, dont
l'on en croit. Telle est de mon honneur l'impitoyable loi, Lorsqu'un ami l'arrête, il n'a d'yeux que pour soi; Et dans ses
16 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
rire. Son état m’afflige et me presse. Il nous apprend qu’il avait un ami  ; il fut donc sensible ? Mais il nous apprend qu’
losophe, un homme libre, voit nécessairement plus de défauts dans son ami , que nous n’en voyons dans celui que le plaisir o
désabuser de cette chimère de perfection, qui l’avait séduit dans son ami , c’est j’étais libre, et je ne le suis plus ; vos
aque jour. Cette réflexion est amère ; quand on l’a faite une fois, l’ ami , dont on se plaint, ne peut plus échapper à l’éxa
u sang dans les écrits qui échappent ensuite. On ne veut plus avoir d’ ami , on est à plaindre ; mais on annonce qu’on n’en v
cle, ou du moins je ne crois pas ce miracle impossible. Vous eûtes un ami  ? Que ne doit-on pas attendre d’un homme qui aima
ez parfaitement guéri. Mais les femmes, Monsieur ? Croyez-vous qu’une amie douce, complaisante, spirituelle et raisonnable,
qu’il était beaucoup de femmes estimables. Puissiez-vous trouver une amie qui soit assez jalouse de votre estime, pour voul
17 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Première Lettre. De madame d’Alzan, À madame Des Tianges, sa sœur. » pp. 18-20
ce vide que laissent l’indifférence de l’époux, & l’absence d’une amie … Ah ! pour le sentir… Cela n’est pas possible : m
as possible : moi seule je puis connaître ce qu’on souffre loin d’une amie telle que vous. O ma sœur ! je ne suis pas tranqu
18 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seconde Lettre. De madame Des Tianges, À sa Sœur. » pp. 21-24
s qu’elle ne m’aime que pour moi : je n’en doutai jamais. Écoute, mon amie , il faut quelquefois m’épargner… Non, ce n’est pa
oi ? Il ne paraît ni triste, ni dévoré par l’ennui : n’est-ce pas mon amie  ?… Va, il t’aime, il est heureux ; sois-le comme
19 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
ité, que par votre mérite, que la Lettre que vous avez écrite à votre ami , pour lui marquer vos sentiments touchant la Comé
e qu’il avait fait sur le même sujet, par le conseil d’un seul de ses amis qu’il consulta, et qui lui fit voir le danger qu’
le danger qu’il y avait à le publier. Ou vous n’avez point eu de tels amis à consulter, ou si vous en aviez vous ne les avez
en quelque manière dans mon esprit, que vous avez été trahi par votre ami , que c’est sans votre consentement qu’il a publié
pense en votre faveur ; mais je vous avertis en même temps que votre ami dit tout le contraire, et qu’il ne fait pas un my
sentiments aussi favorables que moi : cela me fait de la peine. Votre ami devait se contenter de vous faire passer pour un
Théologien de mérite. Le Public n’a pu là-dessus se conformer à votre ami . Jugez de l’opposition que les Théologiens d’un v
us la refuser, quoique je n’y prétende rien. Je ne sais en quoi votre ami fait consister votre mérite, on ne l’en croira pa
ue vous aviez affaiblies en vous les proposant à vous-même ou à votre ami , je puisse réparer le tort que la lecture de votr
ssé de représenter les Pièces de Corneille et de Molière, ou de votre ami M. Boursault, ceux qui ne les auront pas vu repré
t Comédiens. Je ne sais pas même si dans une autre occasion, vos bons amis les Comédiens vous pardonneraient de les avoir ai
avec tous les Calepins appeler proprement Farceurs ou Bateleurs. Vos amis prétendent sans doute faire corps à part, et quic
qu’avec chagrin dans tout autre. Ainsi faisant plus de justice à vos amis que vous, je pourrais nier la première conséquenc
jours dans la suite une grande différence du consentement même de vos amis , dans toute autre occasion que celle-ci. Cependan
ns les occasions les plus importantes. Vous avez cru surprendre votre ami en lui prouvant votre conséquence par Tertullien
ez qui a eu plus de sujet et plus d’occasion d’être surpris, ou votre ami de voir prouver l’indifférence de la Comédie en e
ernière pureté et purgées de tout sentiment dangereux. Et si vos bons amis voulaient à présent se soumettre à la même condit
tendent pas déroger à leur noblesse par leur profession. Ainsi si vos amis n’y sont engagés que par l’intérêt ou par le libe
pour les Auteurs de travailler pour le Théâtre, ce n’est pas à votre ami M. Boursault qu’il fallait vous adresser, puisqu’
s, ne le seraient pas présentement, et quand vous faites dire à votre ami que les Comédiens prient les Auteurs d’éviter ces
par les gestes et les postures. On doit rendre cette justice à votre ami Boursault, que son Esope est peut-être une Comédi
injurieuses à Dieu, et ce sont celles qui sortent de la bouche de vos amis . C’est à vous à voir si cela suffit pour les fair
ie que l’on ne puisse appliquer à l’Opéra. Après avoir donc dit à son ami que la femme qu’il doit prendre, dont il lui vant
s Messieurs de Saint Sulpice n’ont pas plus de commerce avec vos bons amis , que les Juifs en avaient, avec les Samaritains)
vous a dit que les Anciens n’eussent pas le même dessein que vos bons amis  ? Lactance ne l’ignorait pas sans doute, et cepen
y avait de la difficulté dans ce point : car vous faites dire à votre ami , page 35, que « des Docteurs, ou du moins qui se
d’abord que cette difficulté que vous vous faites proposer par votre ami , vous dût embarrasser : point du tout, on se trom
plus loin, je pourrais tirer cette conséquence, que c’est donc à vos amis qu’ils en veulent. Pour vous faire voir sur quel
usage, sont sans doute ceux dont on a pu tirer la condamnation de vos amis , sans que votre distinction puisse vous être d’au
rédit pour les faire réformer. « Que ces Docteurs, dites-vous à votre ami , vous montrent donc la différence qu’ils mettent
mériteriez bien qu’à la place de l’éloge que vous avez fait de votre ami , que vous pouviez embellir, en faisant remarquer
s ont pu engager à prendre un si méchant parti. Ni l’importunité d’un ami , ni l’amour de la vérité, ni l’intérêt, ni le dés
penchant par un Théologien. Gémissez d’avoir peut-être empêché votre ami de réparer par la pénitence le mauvais usage qu’i
20 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
hoses dont le Vulgaire trouve qu’ils parlent si bien. Dites-moi, mes amis , si quelqu’un pouvoit avoir à son choix le portra
s que vous avez acquises. Que ne vous êtes-vous concilié des foules d’ amis , que ne vous êtes-vous fait aimer & honorer d
i leur convient. Qu’un homme sage & courageux perde son fils, son ami , sa maitresse, enfin l’objet le plus cher à son c
penser que c’est une triste chose que la vertu, puisqu’elle rend ses amis si misérables. C’est par ce moyen, qu’avec des im
cher ; ceux qu’une amitié désordonnée rend injustes pour servir leurs amis  ; ceux qui ne connoissent d’autre regle que l’ave
soin qu’on y prend de nous plaire & de nous flatter. Quand donc, ami Glaucus, vous rencontrerez des enthousiastes d’Ho
se renomme d’elle. En imposant silence aux Poëtes, accordons à leurs amis la liberté de les défendre & de nous montrer,
oit peser avec trop de soin la délibération qui nous y conduit. O mes amis  ! c’est, je l’avoue, une douce chose de se livrer
21 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
sans l’ivresse, le germe ne se fût pas développé. Des Arcis. Mon amie , vous pourriez vous tromper ici a daignez m’écout
tendais : elle, mon frère… même langage. Honorine. Attendez, mon amie  : si Riccoboni ne m’a pas convaincue, si les Desp
, comme ceux qui l’ont précédé. Des Arcis. Je voudrais bien, mon amie , que vous nous fissiez sentir ce que vous avez tr
tions, des travaux qui pourraient nous associer à leurs peines ». Mon ami , vous l’avez lue comme moi ; rappelez-vous le res
un mot qui ne soit d’accord avec la raison dans un cœur droit. O mon amie  ! que je le respecte ! Trouvez-vous, Monsieur, qu
ous offenser en soutenant librement mon opinion. Septimanie. Mon amie , comme une autre Cérès, vous attelez les lions à
que nous regardons tous comme imparfait, & que notre respectable amie cherche à réformer ? Je me sens aujourd’hui, une
ce petit surcroît de dépense*. Des Tianges. Votre attention, mon amie , pour le moral, vous fait quelquefois oublier le
esoin d’indulgence ? Des Tianges. Vous, à mes yeux ? jamais, mon amie . Adelaïde. Article premier. Des Tiange
tique, tout cela me paraît fort sage : vous êtes bonne citoyenne, mon amie . Adelaïde. Nous en sommes aux Drames comique
ianges. Mais la dernière disposition de cet Article est cruelle, mon amie  : comment l’avez-vous imaginée ?… vous voulez qu’
Honorine. Vous conserverez l’Ariette, à ce qu’il m’a semblé, mon amie  ? Adelaïde. Comme un mal nécessaire. Sep
les émotions plus durables & plus vives : auriez-vous oublié, mon amie , que c’est-là précisément le moyen d’exciter dans
excitées, ce plaisir donné qui vous effraient ? Vous conviendrez, mon ami , que si la source en est pure, l’écoulement le se
tiennent de la nature & de l’art ; ils plairont tous : mais, mon ami , quelle différence de ce qu’inspirera cette Jeune
ces que j’admets, & les Acteurs que je propose, j’ose penser, mon ami , que l’humanité n’est pas assez dépravée pour en
es arrangemens nécessaires ; mais le VIII, révoltera la Noblesse. Mon amie , la Noblesse, sur le Théâtre ! Adelaïde. Je
nnêtes, nos Acteurs & nos Actrices. Je ne crois pas, ma charmante amie , que la force du préjugé vous empêche de comprend
s Arcis. Je ne sais si vous serez convaincue ; mais quant à moi, mon amie , je suis très-satisfait de ces raisons-là*. H
ix, des joyaux, ou d’autres présens considérables. Adelaïde. Mon ami , les lumières de la raison éclairent en Amérique
, dont il se couvrit) & voici votre Egal, votre Concitoyen, votre Ami . La surprise qu’il venait de causer, lui donna li
Honorine. Je vois bien qu’il faudra vous sacrifier mes préjugés, mon amie . Septimanie. Pour moi, je tiens davantage à
du Règlement. Article IX. Des Tianges. Belle Dissertation ! mon amie . J’en approuve tout néanmoins ; la Scène majestue
qui ne firent jamais de fanatiques ni d’insensés. Honorine. Mon amie , je suis intéressée à vous voir aussi bien avec l
omise hier. Des Arcis. L’Histoire du Théâtre. Honorine. Mon amie , voudrez-vous faire part de ce que vous fesiez ta
entr’eux. Nicole, qui avait de la raison, aurait bien dû éclairer son ami ]. Tel fut donc vraisemblablement le nom des Odes
on comme une marque extraordinaire de l’attachement du Héros pour son ami  ; d’ailleurs cet Achille est représenté comme le
it pas fait pour exciter le rire parmi ses convives, ses proches, ses amis  ? Voila comme j’ai cherché l’origine des idées si
ésar ; l’Ajax d’Auguste, dont il fut si peu content lui-même, que ses amis lui ayant demandé un jour, ce que fesait Ajax, il
rticuliers ! O Ministres de charité, soyez nos Pères, nos Guides, nos amis , & ne formez qu’un même Corps avec nous ; la
vous pas comme innocent ? Adelaïde. Nous n’en sommes pas-là, mon amie . Septimanie. Mais, si tout était comme vous
22 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
l soit sur sa parole. Tu vas donc le revoir ! O ma tendre, mon unique amie , je me figure avec quel plaisir tu le reverras !
éclairé, vigilant ; un protecteur sage, tendre ; d’y voir un père, un ami , & sur-tout un amant ! voila ce que j’ai dans
e je desirais… Comment ! le joli poulet… Il était pour ma sœur !… Mon amie , tu le vois bien, mes pressentimens… chère Ursule
23 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
s’habituerait alors à y faire attention ; il la regarderait comme son amie , et se perfectionnerait volontiers avec elle. Mai
Voltaire : je vous obéirai, dans l’espérance que vous engagerez votre amie à lui communiquer ce que je vais vous en dire ; p
le trône, pour avoir le prétexte d’assassiner son bienfaiteur et son ami , et parvenir par l’atrocité de ce crime à plaire
24 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Siécle de Louis XV. Chap. 2. » pp. 161-170
oi de Prusse, ce Roi philosophe, qui malgré sa philosophie, deux fois ami & ennemi des deux parties, allié & combat
mparé de la Saxe, & l’avoit ravagée, avoit chassé l’Electeur, son ami , Roi de Pologne, pris à Pyrna son armée prisonnie
rien moins que Jesuitesse, sa famille, sa communauté, ses éleves, ses amis ne le furent point ; elle pria Racine son ami, de
nauté, ses éleves, ses amis ne le furent point ; elle pria Racine son ami , devenu dévot, qui avoit quitté le théatre pour l
25 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
me Lettre. De madame D’Alzan. Lundi 30. P artagez ma joie ! mon amie , j’ai fait un infidèle : Mademoiselle *** est aba
rez seulement qu’après demain (samedi) je vous dise un mot chez votre amie . Belle Florise ! il n’est rien au monde, non, rie
26 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
ieu pour modeles, & en lui parlant à lui-même. Sur la mort de son ami  : Si l’Arbitre de l’avenir Me prépare à son gré
e des clefs du Paradis. Qu’entend-je ! la cloche qui sonne, Me force, ami , de te quitter, Il faut que j’aille mediter, Mon
eux de sa Maîtresse, dans le desordre de la table, l’entretien de ses amis  ; c’est-à-dire, que c’étoit un libertin & un
dangereuses folies. Sa vie ressembloit à ses écrits. Il a eu quelques amis distingués qui se moquoient de lui ; mais il vivo
lus grands ennemis de Voltaire ne l’ont jamais plus maltraité que son ami Dorat ; il suffit de rapporter cette piece imprim
mon cœur ne peut suffir, Je fis soudain élargir mon Palais ; Je sais, amis , le pouvoir de ta Lyre, Un de tes vers me fait mi
e complice. Vous, Martial, Ovide, Anacréon, Chaulieu, Grecour, toi, l’ ami de Mecene, Toi, tendre muse, amante de Phaon, Toi
lui-même, le courage, la légéreté sont des termes bien radoucis. Ses amis ne sont pas mieux traités dans les ouvrages qu’il
son talent, honore depuis tant d’années notre Parnasse ; bon citoyen, ami de ses rivaux, du caractere le plus doux, ennemi
27 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
ctacle, et c’est là que chacun s’isole, c’est là qu’on va oublier ses amis , ses voisins, ses proches, pour s’intéresser à de
e ceux qui les fréquentent : N’ont-ils donc ni femmes, ni enfants, ni amis , comme répondit un barbare, à qui l’on vantait le
penser que c’est une triste chose que la vertu, puisqu’elle rend ses amis si misérables. « Cette habitude de soumettre à
cher ; ceux qu’une amitié désordonnée rend injustes pour servir leurs amis  ; ceux qui ne connaissent d’autre règle que l’inv
insi : car au fond il n’y a pas de plus grand ennemi des hommes que l’ ami de tout le monde, qui, toujours charmé de tout, e
que l’intention du poète est bien de le rendre tel, c’est celui de l’ ami Philinte, qu’il met en opposition avec le sien. C
28 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
du théatre.     J’aime tous les plaisirs qu’un faux mystique blâme. Ami des sentimens des Epicuriens, Je laisse la triste
on qu’en fait ce Roi & de ses pieux effets. Epitre à Césarion son ami , page 119.             Vous nous conduisez vers
as plus content, & il écrivit en ces termes à Voltaire, alors son ami . Votre Académie devient plaisante dans ses choi
du Chatelet, qui avoit pour Voltaire, son Philosophe, son Poëte, son ami , un amour Platonique, n’est pas du nombre des Cag
théatre de Sceaux. Elle paroit de toutes ses graces les pieces de son ami Voltaire. Voilà bien des titres à la Divinité. L
qui doit mieux connoître un grand Poëte, qu’un Roi Poëte, son intime ami  ? qui doit mieux connoître un Philosophe, qu’un R
une preuve de la verité de sa doctrine ? Les Princes d’Allemagne ses amis , ses confreres, plusieurs ses égaux, quelques-uns
29 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
ité politique, seule baze solide d’une constitution. Un Gouvernement, ami des hommes, voudroit le bonheur de chaque Citoyen
hui se voyoit le lendemain remplacée par une autre. Ainsi, le moindre ami du Prince, un Valet-de-chambre, une Courtisane en
Henri IV, & le grand sens du Chancelier de l’Hôpital, ce Ministre ami des loix & de la tolérance. Que le Public me
? Un bon Citoyen ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un véritable ami traite son ami ? N’est-ce pas servir son ami que
n ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un véritable ami traite son ami  ? N’est-ce pas servir son ami que de le désabuser
tion, comme un véritable ami traite son ami ? N’est-ce pas servir son ami que de le désabuser d’une erreur funeste ? Et ne
e désabuser d’une erreur funeste ? Et ne vaut-il pas mieux servir son ami que de le flatter ? XVIII. Vous voyez donc bien q
erminer ici des réflexions, présentées avec la franchise altière d’un ami de la vérité, & d’un Citoyen digne de respire
30 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
ter mon denier au tribut de talents ou d’efforts attendus de tous les amis de l’ordre et de la patrie, pour concourir au rét
nt, et sans être forcés de plaider même avec ceux qui se disaient vos amis , que vous avez obligés ? et fréquemment vos affai
tter qu’ils ne puissent pas lire dans mon cœur. 1. Associés probes, amis sincères, honnêtes pères de famille, veuves et or
31 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
és, ordonnés, achetés par le maître, les courtisans, les parents, les amis  ; & communément ils sont très-flattés. Tels s
fourni le dessein, une bonne partie de l’argent, & fait agir ses amis , & les actrices pour faire élever ce monument
de l’irréligion ; voilà le trône de Voltaire, & la demeure de ses amis . La statue ayant été placée, il en falut faire, c
divertissements, d’ariettes elles pourroient avoir ! Arouet & ses amis pourroient y jouer les plus jolis rôles ; on y en
s sœurs ; pere des poëtes, aussi chastes qu’elles ; la voilà l’intime amie de Voltaire, l’héroïne de toutes les pieces, qui
retresse. Du même, à l’Auteur de l’Ode. On m’a instruit, mon cher ami , du beau tour que vous m’avez joué, il m’est impo
32 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
] CINQUIÈME ENTRETIEN. Des Tianges. Achevons aujourd’hui, mon amie , de donner a ces aimables Enfans, une idée de tou
au Théâtre. [Adelaïde. Deux choses peu compatibles à réunir, mon ami , l’innocence de mœurs, & le commerce du monde
isme : il faut, ou qu’ils soient honnêtes, nos frères, nos égaux, nos amis  ; bien plus, des Citoyens, élevés au-dessus du vu
Septimanie. Je pancherais pour ce second Projet. Honorine. Mon amie , le Français veut qu’autour de lui tout respire l
s Cabaleurs scéniques, dont on m’a parlé ? Des Tianges. Oui, mon ami  : les préventions Théâtrales sont aujourd’hui moi
Il n’y a donc point de Tailles à l’Opéra ? Des Tianges. Non, mon ami  : comme on n’y représente que des Dieux, des Héro
33 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91
de Vaisseau qui n’avait jamais vu de spectacle, fut entraîné par ses amis à la Comédie, on y jouait Atrée ; notre homme, éb
aisé de justifier M. de Voltaire : vous paraissez un peu plus de ses amis , ou plutôt vous feignez de l’être. Quatre gouttes
us effrontément sur son compte. Je le connais par quelques-uns de ses amis  ; je ne l’ai vu qu’une seule fois pour en recevoi
rôle de Séide, et les suffrages de notre Auditoire présagèrent à mon ami M. Lekain les applaudissements que le Public lui
is et de faire pour moi ce qu’il faisait avec tant de raison pour mon ami Lekain. « La faute en est aux Dieux, qui m’ont f
s qu’on a la bonté de reconnaître en moi ; que je le regarde comme un ami dont le cœur est fermé à tout ce qui pourrait alt
34 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
Province prendre les premiers errements de la Finance, chez un ancien ami de mon Pere. Je reconnus bientôt que toute la sci
squ’elle consiste à abuser cruellement de l’Ordonnance. L’auteur de l’ ami des hommes a vu couper le poignet à une femme qui
les fortifier de ses conseils : Revenons. Je n’eus pas vu plûtôt mon ami sur la scene applaudi, chéri, caressé, estimé, co
m’engager dans une troupe de Province à la sollicitation d’un de mes amis qui était actuellement à Rennes. J’arrivai donc,
. Ces distinctions excitaient la jalousie de mes Camarades envers mon ami et moi, de force que nous étions exposés tous les
m’en dégoutassent pas pour jamais. J’étais allé me promener avec mon ami au bord de la rivière ; quelques danseurs s’y bai
on ami au bord de la rivière ; quelques danseurs s’y baignaient ; mon ami se laissa entraîner par leur exemple et le malheu
ler sans éprouver la douleur la plus vive, je dirai seulement que mon ami eut le sort de Mademoiselle Lecouvreur quand on l
. Voltaire s’en indigne dans un poème, La Mort de Mlle Le Couvreur. L’ ami dont Dancourt parle a donc subi une excommunicati
35 (1725) Mr. de Moliere [article des Jugemens des savans] « Mr. de Moliere, » pp. 339-352
édien, dit-il5, Peut-être de son Art eût remporté le prix, Si, moins ami du Peuple en ses doctes Peintures, Il n’eût point
t le don de l’invention, ni le génie de la belle Poësie2, quoique ses amis même convinssent que dans toutes ses Piéces le Co
à la premiére représentation, & qui en rend un compte exact à un ami , ne donne par tout à l’Hypocrite que ce nom de Pa
36 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LE LIBRAIRE AU LECTEUR. » p. 
e de l’imprimer en ta faveur : c’est l’avis que je t’ai voulu donner, ami Lecteur, afin que tu n’ignores pas à qui tu en es
37 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « Lettre d’un ecclesiastique a un de ses Amis; où il lui explique les sentiments qu’il a de la Comédie, et de ceux qui y vont. » p. 471
Lettre d’un ecclesiastique a un de ses Amis ; où il lui explique les sentiments qu’il a de la
38 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
ivain a poussé l’insolence jusqu’à prétendre que ce grand Roi était l’ ami des jésuites, et comme un lâche hypocrite, il ose
térés du sang des Bourbons. Trois fois ils firent couler le sang de l’ ami du peuple, du grand Henri IV ; et enfin un scélér
Et l’écrivain éhonté que je viens de citer, ose le présenter comme l’ ami des jésuites ! Il faut avouer que de pareils mots
s de lord Maitlande, qui appartenaient à l’ancien ministère. Canning, ami des progrès de la civilisation du monde, et en co
tre de leurs journaux et de leurs gazettes ; combien ne voit-on pas d’ Amis de la religion et du roi, qui ne professent que d
39 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
urs et si simples que devraient nous offrir les devoirs de Citoyen, d’ ami , d’époux, de fils, et de père : mais rendez-nous
peuples plus heureux, et par conséquent les Citoyens moins rares, les amis plus sensibles et plus constants, les pères plus
ler au spectacle, on y va oublier ses proches, ses concitoyens et ses amis . Le spectacle est au contraire celui de tous nos
ans la vie où l’homme le plus vertueux oublie ses compatriotes et ses amis sans les aimer moins ; et vous-même, Monsieur, n’
avoir une femme de la Cour pour maîtresse, et un grand Seigneur pour ami , n’aura pour maîtresse qu’une femme perdue, et po
Seigneur pour ami, n’aura pour maîtresse qu’une femme perdue, et pour ami qu’un honnête voleur ; dans les scènes d’Harpagon
ope, c’est qu’Alceste n’a pas toujours tort d’être en colère contre l’ ami raisonnable et Philosophe, que Molière a voulu lu
et que dans des bagatelles de ce genre on ne doit la vérité qu’à ses amis , encore faut-il qu’ils aient grande envie ou gran
t la peinture odieuse de l’ingratitude et de la dureté de ses anciens amis  ; « Et les femmes ? » lui répond le valet, qui ne
40 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
E] La version de 1712 corrige en « donniez ». c. [NDE] 1712 : à vos amis , et plus encore à vos amies ; d. 1712 : pendant
ge en « donniez ». c. [NDE] 1712 : à vos amis, et plus encore à vos amies  ; d. 1712 : pendant que e. [NDE] La version de
41 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
infar, qui aime la sienne, & qu’on veut rendre ridicule. Quelques amis se proposent de la jouer dans la maison du mari,
voit envie de se convertir, & rend inutiles tous les efforts d’un ami sage qui avoit agi avec succès. Ce portrait est t
l’on voit avec surprise, non seulement dans des domestiques & des amis petit-maîtres, on s’y attend, mais dans la bouche
des amis petit-maîtres, on s’y attend, mais dans la bouche de Sophie, amie raisonnable, &, ce qui est tout-à-fait indéce
n des noces, chacun a son appartement, ses domestiques, sa table, ses amis . On ne se voit que par hasard quand on se rencont
sont moins gênées : le beaupère est méprisé, la bellesœur chassée, l’ ami de la maison congédié, l’enfant livré à une nourr
42 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
de la troupe. Elles en inspirent le goût à leur famille & à leurs amis , elles y attirent leurs amans, pour qui c’est le
omédiens jouissent des mêmes prérogatives, & en font part à leurs amies . Cette seconde troupe son élève, infiniment plus
t encore ces créatures merveilleuses ? ce sont vos concitoyennes, vos amies , vos parentes, votre fille, votre sœur, ce sont d
esclavage du serrail est moins honteux que la liberté des Actrices. L’ Ami des femmes, ouvrage ingénieux & sage, en parl
la permission d’aller au spectacle. Les femmes n’aimeront guère leur Ami , quoiqu’encore trop indulgent. Mais la comédie Fr
s & canoniques portées contre les Comédiens, & en faisons nos amis , nos modelles, nos oracles. Peut-on comprendre qu
43 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « Au Roi » pp. -
mence, je serais un flatteur. C'est au Protecteur des Arts, c’est à l’ Ami des talents que j’offre l’Apologie de celui que j
44 (1825) Des comédiens et du clergé « Dédicace » pp. -
x sentiments d’estime et d’affection que vos talents inspirent à tout ami des sciences et des arts, et avec lesquels J’ai l
45 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
plus empressés sectateurs. Témoin Alype, disciple d'abord, et ensuite ami de saint Augustin. Etudiant le Droit à Rome, quel
te aux invitations, aux prières, aux pressantes sollicitations de ses amis  ; mais ils l’entraînent de force. C’est en vain,
46 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
entrée en Médecin charitable ; « entreprenant , dit-il, de guérir son Ami d’une crainte scrupuleuse qu’il a que sa conscien
our débiter ses drogues. Il tâche cependant de les faire valoir à son Ami , en lui exagérant la difficulté qu’il y a de comp
de saint Thomas : « Lisez, je vous prie, avec attention, dit-il à son Ami , ce que ce grand Docteur enseigne de la Comédie d
u’il vient de rapporter des Jeux à la Comédie, et en apostrophant son Ami  : « De ces paroles de saint Thomas, lui dit-il, i
contre celle d’aujourd’hui. « Vous voyez bien, Monsieur, dit-il à son Ami , que tous ces passages des Pères, et mille autres
aît indifférente. « Vous ne vous attendez peut-être pas, dit-il à son Ami , en lisant du premier abord ma proposition, que j
pour un peu de temps, et lui donner lieu de se consoler avec ses bons Amis les modernes, qu’il croit plus humains et moins f
e Corneille ou de Racine, mais de la Comédie d’Esope composée par son Ami , à qui il fait des compliments sur le présent qu’
l nous en découvre la source ; c’est dans l’incomparable Esope de son Ami qu’il s’est instruit du mérite de la Comédie ; c’
r c’est où notre Docteur nous conduit par une autre objection que son Ami apparemment lui avait faite, et à qui il adresse
l la brode : « Vous me ferez plaisir, continue-t-il, en parlant à son Ami , de prier ceux qui vous apportent de ces sortes d
e contre les femmes qu’il s’en explique, et qu’il fait entendre à son Ami , un peu trop crédule, qu’une jeunesse innocente p
ptes de toute action et de toute parole déshonnête ». Il en prend son Ami à témoin, il insulte à ceux qui ne sont pas de so
nte. « A l’égard des Dimanches, remarquez je vous prie, dit-il à son Ami , que bien que les saints jours nous aient été don
rouvera pas beaucoup d’approbateurs. Je ne conseillerais pas même cet Ami à qui il écrit, de trop déférer à ses maximes ; m
47 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
emblent assurément au portrait qu’on nous fait des Stoïciens toujours amis de l’humanité et préférant l’intérêt de la vérité
ira la fureur du jeu, mais qui n’en fera pas moins sa partie avec des amis de sa trempe, sans désirer le gain et regretter l
’on leur offrirait ne leur sont pas familiers, que l’esprit, toujours ami de la vérité et de la vraisemblance, rejette des
et leurs intérêts les aveuglent souvent, ils n’en sont pas moins les amis de la Vertu, ils n’en désirent pas moins de resse
pour titre en Espagnol, Non hay amigo para l’amigo, Il n’y a point d’ ami pour l’ami. M. Lesage en a changé le titre parce
en Espagnol, Non hay amigo para l’amigo, Il n’y a point d’ami pour l’ ami . M. Lesage en a changé le titre parce que le poin
s du vin, vient de jeter une assiette au visage d’un de ses meilleurs amis , contient des réflexions et en fait faire de si s
age, la scène du Capitaine qui est prêt à se couper la gorge avec son ami devenu par hasard son rivalaw, n’est-elle pas une
la bravoure mal employée ? Le Public trouve-t-il mauvais que ces deux amis , ou plutôt ces deux Rivaux se rendent aux bonnes
48 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
ait été préparé, on a fait dire à ce pere infortuné. Notre courage, amis , doit ici s’animer. On le représente comme un vi
n vient de voir un Prince rassuré sur la foi de sa fille, exciter ses amis à partager sa fermété, remettre son sort & ce
ens aient été ignorés d’un Prince Grec, & qui, comme parent & ami de la famille de Laïus, y avoit un double intérêt
49 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172
des diversites curieuses. C iceron, Liv. 7, Ep. 4, félicite son ami de n’être pas allé au théatre, & aux jeux de
s doux que celui dont on se prive. Pope rapporte qu’un Milord de ses amis aimoit si fort la danse, que ni la vieillesse ni
V. d’avoir fait plusieurs pieces de théatre, attribuées à Favard son ami , comme on a soupçonné un Chartreux d’avoir compos
lité ; car les femmes exigent des égards, des présens, brouillent les amis , mais chacun doit avoir sa maîtresse, à laquelle,
umesnil qui étoit de la fête, & la Dangeville s’appellent Marie. Amis , sous le nom de Marie, A Melpomene offrons nos vœ
Melpomene ? Si Arlequin portoit le nom du Roi, diroit-on décemment ? Amis , sous le nom de Louis à Arlequin offrons nos vœux
toutes les fois qu’on leur parle & à chaque mot qu’on leur dit : amis , parens, étrangers, domestiques, comme un écho qu
50 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
mme chrétien ; mais j’aurais de la peine à le mettre au nombre de mes amis . » Quoi ? l’homme chrétien n’est-il donc point un
 ? l’homme chrétien n’est-il donc point un sujet propre à en faire un ami solide ? les principes du christianisme sont-ils
sa créance. Car entre tous les hommes, le plus capable d’être un vrai ami , c’est le vrai Chrétien. Celui qui aime ses frère
s ; l’homme, dis-je, qui possède ces qualités doit être sans doute un ami parfait. Or c’est dans le Chrétien parfait, et ce
qu’aux dépens de la Religion et de la conscience ? En est-on meilleur ami lorsqu’on a moins de raisons qui engagent à l’êtr
constance dans l’instabilité ? Il faudra donc que tout homme soit ou ami ou ennemi malgré lui et aussi longtemps à point n
it un Officier relégué dans une Ile déserte, maltraité de ses propres amis , tout couvert de plaies, accablé des misères de l
51 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
ens, se dédommage en les désignant. Prélats, prêtres, moines, parens, amis , tout fut blessé par les traits d’Arétin. Son irr
ieurs choses contribuerent à découvrir son secret : il le confia à un ami . Quel amoureux fait se taire sur des faveurs si g
ami. Quel amoureux fait se taire sur des faveurs si glorieuses ? Cet ami le trahit. Le Tasse eut la nouvelle indiscrétion
t la vie la plus dissipée & la plus frivole. Ses parens & ses amis , qui ont grand soin de sa santé, n’en ont pas eu
osé. Il avoit eu du moins la sagesse de ne pas le mettre au jour. Ses amis ou plutôt les amis du vice ont rendu au public &a
moins la sagesse de ne pas le mettre au jour. Ses amis ou plutôt les amis du vice ont rendu au public & à lui-même le m
oderoit pas de la naïveté & de l’énergie de la langue latine. Ses amis ont ajouté des estampes où toutes la manœuvre de
s ; sa fortune auroit couru quelque risque. Après sa mort civile, ses amis ou plutôt ses vrais ennemis, plus hardis que lui,
52 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140
amp; l’Auteur de la vie d’Alexis Piron, célebre Poëte Dramatique, son ami particulier, avance trois choses singulieres. 1°.
& de Paris ; il revint à Dijon passer ses derniers jours avec ses amis , & composa un grand nombre de Noëls, de Canti
il exécuta jusqu’à soixante Epigrammes. Il s’assembloit avec quelques amis dans un cabaret qu’ils appelloient le Caveau, où,
on, l’édition eût été bien moins volumineuse : mais tout est cher aux amis , il faut leur pardonner. Le systême de l’amour ph
53 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
lus grands Capitaines de Rome, Metellus, l'un des plus efféminés. Les amis de celui-ci, invités à un souper, furent surpris
L'Empereur Auguste, grand amateur, étant au lit de la mort, dit à ses amis  : N'ai-je pas bien joué mon personnage ? fort bie
belles jouent les premiers rôles, ni toujours dans la comédie, où les amis et les parents donnent de mauvais conseils. La fa
54 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-9
est-là qu’on apprendra ce qu’on doit à la patrie, à sa famille, à ses amis , comment on doit remplir les devoirs de sa charge
evoir regle tous ses désirs. Hé pouvoit-il penser autrement ? Eleve, ami , enthousiasmé d’Arnaud, de Pascal, de Nicole, liv
55 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
Cour de donner la préférence à Corneille sur Racine, et qu’étant son Amie comme vous l’êtes, il vous est aisé de croire ce
on, Madame, si je vous mène si loin pour vous y laisser : deux de mes Amis , que vous n’aurez pas de peine à reconnaître quan
56 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
et de le punir par la perte de son bien, et par les moqueries de ses amis  : il a voulu que les caractères épisodiques de sa
jours : elle est maîtresse à la vérité de s’éloigner des parents, des amis et des domestiques, qui lui ayant donné de bon co
57 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
teur le feroit paroître. Un Stoïcien, par exemple, qui, trahi par ses amis et; maltraité injustement, soutiendra sa disgrace
action le fasse naître. Or le cœur de l’homme est naturellement trop ami de la droiture pour être délicieusement affecté p
, il veut rompre avec tous les hommes et; notamment avec Philinte son ami . Et pourquoi, s’il vous plait ? Parcequ’il l’a vu
furieux sur la Scene, et; qui, sans avoir raison de se plaindre d’un ami qui veut prendre part au chagrin que lui donne l’
: Dans vos brusques chagrins je ne puis vous comprendre, Et quoi qu’ amis enfin, je suis tout des premiers. Le Misantrope
tout des premiers. Le Misantrope lui répond durement : Moi votre ami  ! Rayez cela de vos papiers, J’ai fait jusques ic
e ou fait quelque lâcheté pour être tout à coup rayé du Catalogue des amis d’Alceste ? Tout le mal consiste pourtant à avoir
e haine effroyable contre le genre humain, quand outré d’avoir vu son ami trahir lâchement son sentiment, et; tromper l’hom
re les particuliers. L’homme au sonnet n’a pas encore paru, ainsi son ami ne s’est pas encore moqué de lui. En un mot, il n
e personne, qu’il marque un véritable intérêt pour ce qui regarde son ami . Il veut l’accompagner, malgré toutes ses brutali
mauvaise opinion qu’il a des hommes ; Philinte a donc pu donner à son ami le conseil qu’il lui a cru salutaire à cet égard.
t point manqué à la droiture quand il se seroit rendu aux avis de son ami . Il auroit au contraire été plus raisonnable, il
cela d’autres motifs que ceux qu’il adopte, il est trop sage et; trop ami de la raison pour n’en pas plaisanter. Si vos cot
e ; car, demandez-vous, lequel vaut mieux, qu’une femme dise avec ses amies du mal de son mari, ou que, tête-à-tête avec un h
de tel Cavalier, que toutes ces ouvertures de cœur mettent une bonne amie dans la nécessité de plaindre ou de complimenter,
ourt à une passion qu’elle connoît dangereuse. Elle va chez sa tendre amie qui s’appercevant d’une espéce d’inquiétude toujo
atre François le 18 Décembre 1752. les Comédiens ont cessé d’être vos amis . Quelqu’injuste que soit votre courroux, voilà sa
es importantes occupations lui laissoient, avec Esope et; Roscius ses amis  ; il publie que c’est d’eux qu’il a appris l’art
58 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
es. Le dernier rayon de la gloire de Mignard, c’est d’avoir été grand ami de Scarron, ce bouffon célebre, auteur de plusieu
& dans le moment de la plus grande colere du maître, Chapelle son ami arrive qui l’appaise. La moitié de la piece roule
t dans la maison de Moliere, je ne sai à quel titre, de domestique, d’ ami , de pensionnaire, qui tous sont faux, lequel subo
pectées, & dans sa conduite, & dans ses ouvrages. Le Mercure, ami de l’auteur, adoucit quelques traits de la piece 
t. Il semble qu’on l’ait connu, & qu’on veuille le justifier. Son ami surpris qu’un si grand homme, dans un moment où i
s’occuper que de sa gloire, s’abandonne à une si folle passion. Mon ami , lui répond ce grand homme, la gloire est belle,
59 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 3 : Livre VI, chap. 15] » pp. 663-664
e son Esprit est troublé des vaines fantaisies, ou qu’il songe en son ami décédé. « Nam neque remeare viventes à corpore se
60 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
 objection ou 5e excuse. On va au théatre par complaisance pour des amis . Je vais excessivement peu au spectacle, vous
e fermerait bientôt ; mais lorsque la bienséance l’exige, lorsque des amis réclament ma complaisance pour les y conduire, je
c qu’il n’est jamais permis de faire le mal par complaisance pour des amis , que le devoir de la charité exige de ne pas faci
ire, nous dira ce qu’il faut penser du théâtre. « Quoi ! dit-il à ses amis , des maximes qui feraient horreur dans le langage
a musique, et encore bien rarement, ou même par complaisance pour des amis . Le lecteur a dû se convaincre de la futilité de
61 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
en n’est en sûreté ! Ils n’ont aucun respect pour les femmes de leurs amis , ni pour leurs filles, ni pour un jeune époux, ni
er au spectacle, & chacun s’isole ; chacun oublie ses parens, ses amis , ses voisins, pour s’intéresser à des fables, ple
; rire aux dépens des vivans. N’ont-ils donc ni femmes, ni enfans, ni amis , ni pauvres, répondit un barbare, à qui l’on vant
nt, ébloui par les sollicitations les plus puissantes, séduit par mes amis , dupe d’autrui & de moi-même, rappellé en mêm
62 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
e par des bienfaits, ou qui paieroit d’un affront les caresses de son ami  ? » Auriez-vous jamais crû, Madame, qu’on ne pou
ette horreur pour les spectacles, qu’il avoit autrefois inspiré à son ami , en fût un témoignage, Les jeux donc du Cirque, q
63 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVI. Des périls auxquels on s’expose en allant au bal. » pp. 97-118
quelque bal où l’on n’appellerait que les seuls parents, ou les seuls amis  ; néanmoins il est vrai de dire absolument qu’il
anse où on veuille faire ce choix des personnes honnêtes, parentes ou amies , et fermer la porte aux étrangères, on heurte ins
64 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
r. » En vain lui diroit on que la réprésentation de ces passions trop amies de la corruption du cœur ne les excite qu’indirec
65 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
igneur la conduit chez ses parens où elle invite sa famille & ses amies . Le Seigneur fournit aux frais de la fête & s
portée chez la Rosiere qui la distribua à ses compagnes, parens & amis . Le pain béni qui est une image & une espece
l’exemple à la France, Des mœurs fait une loi. Au Fondateur.      Ami de la Patrie, Bienfaiteur trop discret, Notre Tro
66 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
la rage est, comme on sait, l’envie de mordre indistinctement et ses amis et ses ennemis. Nous en voyons des exemples dans
trême !!! on voit figurer dans cette liste fatale, l’un des meilleurs amis de cet auteur forcené, et cet ami, c’est M. l’abb
e liste fatale, l’un des meilleurs amis de cet auteur forcené, et cet ami , c’est M. l’abbé de La Mennais u. Il l’attaque pa
67 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
est tendre pour ses maîtresses. Qui peut l’empêcher d’aimer la bonne amie qu’il a épousée sans flambeau, qui est bien la me
ous terre, Meurtre, trahison, Inceste, poison ; Que dites-vous, amis , De ce salmigondis De la Semiramis ? Cette
on sans quelque fondement, de devoir ses pieces à un Chartreux de ses amis , plus bel esprit que lui, & qui dans le sombr
re dans la somme totale de son mérite, est fort médiocre ? Il étoit l’ ami , le protégé, je ne sais trop pourquoi de Me. de …
68 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI , Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J
aradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. Je viens de lire, mon cher ami , une Brochure intitulée « Jean-Jacques Rousseau,
la pureté de mon ame, & la droiture de mes sentimens … mais cher ami , que dis-je ? il est un garant plus flatteur, &am
otège toujours les gens de bien ; qu’il soûtienne les intérêts de ses amis  ; qu’il tâche d’appaiser ceux qui sont irrités ;
t la conduite de celui qui le pratique. Je disais un jour à un de mes amis à la *** qui me rapportait les propos d’un certai
re. Oui, la nature les avait grossièrement placés dans mon sein… cher ami , quel triomphe pour toi ! il approche du miracle.
sse profonde que je dois tout le brillant de leur éclat ? Je suis ton Ami , J.J.L.B. 2. Voltaire. 3. La Tragédie & la
rans sous lesquels ils avaient servi, ce fut par maxime d’Etat, comme amis des mauvais Princes, & non par règle de Polic
ssi célèbre Poète & Acteur tragique, il était sobre, modeste, bon ami , & d’une société agréable : il mourut dans un
saire. Lui-même s’est bien emporté sur le mot Secte, en parlant à son Ami  ? les mouvemens de la nature me seraient-ils inte
e disait-il, aime ton pays. Vois-tu ces bons Génevois ? ils sont tous amis , ils sont tous frères ; la joie & la concorde
eul moyen de te satisfaire. Mets vîte à profit ma pensée, Une note, Ami , transposée, Va faire d’un chant hyémal, D’un nou
69 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
ations qui abordent dans vos murs ? Renfermés dans un cercle étroit d’ amis généreux, ils n’ont que la distraction du Théâtre
ns Théâtres de la Capitale dans ces dernieres années, que des Auteurs amis de la vertu veuillent annoblir la Scene, faire to
70 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71
mens de théologie, ni des sermons en chaire, il pousse des bottes aux amis & aux domestiques du Prélat, qui s’en amuse.
otre élection pour les communes auroit fait un schisme en France, vos amis sont fâchés que vous n’ayez pas réussi, ils saven
contrefit si bien la voix & le style d’une douzaine de personnes, amis ou parens de l’aveugle, qu’il lui fit accroire qu
à leurs richesses, nous la devons à nos appas ; ils sacrifient leurs amis à l’intérêt, nous lui sacrifions nos amans ; un t
l’apparence qu’il a mis une bonne somme dans la souscription que ses amis ont ouverte pour fournir aux frais. Voici des lot
71 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVIII. Doctrine de l’écriture et de l’église sur le jeûne. » pp. 98-101
s-Christ même : Mat. IX. 15 [Matthieu, chapitre IX, verset 15].« Les amis de l’époux ne peuvent pas s’affliger pendant que
72 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
le manuscrit n’était plus à lui, puisqu’il l’avait donné à un de ses amis , qu’il s’en était fait plusieurs copies ; et qu’a
73 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « La criticomanie — Autres raisons à l’appui de ce sentiment, et les réponses aux objections. » pp. 154-206
s bonnes œuvres, à prouver que vous êtes bon citoyen, bon père et bon ami , et surtout à soulager ceux qui manquent du néces
e qui a l’intention d’outrager et déshonorer l’épouse de son meilleur ami , qui est amoureux fou, et cependant s’aliène par
leurs personne n’ignore qu’habituellement d’autres hommes déguisés en amis simplement ont les mêmes vues ; et il n’y a que d
74 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
composer par les cinq auteurs. Louis XII, le Pere du Peuple, étoit l’ ami déclaré, le protecteur, l’allié de Borgia, son zé
ts s’accusent les uns les autres, se troublent eux-mêmes, & que l’ ami persécute l’ami ; qu’il y ait de la discussion en
s uns les autres, se troublent eux-mêmes, & que l’ami persécute l’ ami  ; qu’il y ait de la discussion entre les riches,
75 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
sérieusement : Ces hommes n’ont-ils point des femmes, des enfans, des amis , des maisons de campagne, des exercices du corps,
; ils n’ont point d’enfans, ils sont célibataires ; ils n’ont point d’ amis , ils se lient avec des compagnons de débauche ; i
iété, les charmes de la tendresse & du respect ; il peut avec des amis vertueux, par un commerce de sentimens, de servic
76 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « LIVRE QUATRIEME. » pp. 1-3
e vertueux voudrait les prendre pour règle, et avoir des enfants, des amis , des domestiques formés à cette école ?
77 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
voyons dans l’Ecriture, que la danse a fait perdre la vie au meilleur ami de Jésus-Christ, et que la tête de St. Jean-Bapti
faire le moindre usage d’un couteau, qui aurait servi à égorger votre ami . Mais ce qui vous oblige, malgré vous, d’abandonn
r, se consultant sans cesse environnée de servantes, ou de ses bonnes amies , qui s’étudient à orner sa tête de frisures, de r
le rang d’un prince dans son pays, comblé de richesses, d’honneurs, d’ amis , et d’autorité, au au milieu d’une famille la plu
78 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
un Cynique sauvage s’est attaché à mériter par ses écrits le titre d’ ami des hommes, qui ne veut que les rassembler en Soc
utres. Il sait que la contradiction aigrit et préfère de se faire des amis par sa complaisance, à l’honneur de se faire haïr
reconnaître dans Philinte un homme vertueux, un amant raisonnable, un ami tendre, sincère, et confiant : sachez qu’un sage
des Gladiateurs était réduit toujours à la parade. 3. [NDA] Voyez L’ ami des hommes. cv ck. [NDE] Ibid., p. 49 : « Tou
79 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
r en fait-on représenter avec si grande affluence de leurs parents et amis . La différence de celle-ci aux autres est si vis
, qui ne divertit pas beaucoup le Peuple, quoiqu’ils contentent leurs amis qui les voient réciter leur rôlete de bonne grâce
80 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71
 : des juges de choix sont plus indulgens que le Théatre. Ce sont des amis c’est une coterie toute décidée. Dans ces reduits
es reduits prompts à crier merveille Pradon est préferé à Racine. Ces amis savent qu’on leur demande des applaudissemens, le
beaucoup de monde y est invité. Il le dit lui-même : Nos parens, nos amis sont mandés en ces lieux : Pour la cérémonie ici
certer avec elle. Dans une Communauté où l’on a passé sa vie on a des amis , & souvent des ennemis. Avec des passions aus
l’est pas moins. Pourquoi le faire son parent ? il pouvoit n’être qu’ ami . Trouve-t-on quelque goût à augmenter le désordre
frivolité du Théatre, en parle avec indulgence, avec éloge. C’est un ami de l’Auteur, peut-être l’Auteur lui-même, qui sou
ous le nom d’extrait a fait son apologie. L’Abbé Aubert, gai, galant, ami des Poëtes, Poëte lui-même très-agréable, a pris
81 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
Vous allez tout effacer ; mais croyez que nous n’en serons pas moins amies . Le cœur me battait furieusement en route. Mais
une Actrice qui n’avait paru sur aucun Théâtre. Je soupirai :  – Mon ami  ! pensai-je en moi-même, où réduisez-vous une épo
82 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [C] » pp. 391-398
nte pour le divertir en le fesant rire. Nous ne reconnaissons pas nos amis dans les Personnages du Poète Tragique : mais leu
la compassion. Septimanie. Mais, nous ignorions tout cela, mon amie , lorsque nous ne prononcions le mot de Théâtre, q
83 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
la Comédie ? On l’a déjà dit : Ce font les plus dangéreuses, les plus amies de la corruption du cœur de l’homme. Ce sont ces
84 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
bandonneraient toute idée de supériorité ; ils s’éfforceraient d’être amis . Il est certain que si le Compositeur était véri
85 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
tout. L’entrée du Louvre en carrosse pour le Prince de Marcillac son ami , & le tabouret pour sa femme, furent encore d
s le besoin. Elle y eut recours dans la suite ; elle n’y trouva qu’un ami de cour, qui refusa de la recevoir. D’un autre cô
ugiant dans quelques cabanes, sans trouver d’asyle chez ses meilleurs amis , ne marchant que la nuit, tantôt à pied, tantôt à
oup de foudre pour la fiere Duchesse ! Elle s’y soumit, & fit son amie d’une belle-sœur qu’elle ne daignoit pas regarder
r mere alla porter au Roi leur démission, sans rien demander pour ses amis & pour ses créatures. Le Roi même lui offrit,
lui en demanda pour son parent. On ne peut , dit-elle, se faire des amis aux dépens de sa conscience. J’estime tout-à-fait
86 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44
quelqu’amour pour leur salut ? Conf. L. 6. c. 3.« Entrainé par ses amis à l’amphitéatre Vous pouvez, leur dit Alipe, fair
87 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
quand on commencera la farce. Le Réponse. 2. Neoph. Je vous dis, mon ami , que le meilleur de ces comédies ne vaut rien, et
88 (1764) Comédie pp. 252-254
é, vont à la Comédie. Le mari, parce qu’il se rendrait ridicule à ses amis , s’il refusait d’y aller avec eux : la femme, par
89 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XII. Des Machines & du merveilleux. » pp. 179-203
sentiment qu’excite l’imitation ! Il n’y a guére d’homme qui n’ait un ami , & vingt ans fourniront à peine un spectateur
n.       …… C’est trop : monstre inflexible. Délivrons Hypermnestre, amis Secondez-moi. Tremble…… DANAUS. Tremble……Tremble
90 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406
& tantôt vers le mal ; c’est le grand nombre : des hommes droits, amis de l’ordre, & de toute chose honnête ; ils so
lier l’Année 1754. Honorine. Votre Paysan écrit avec humeur, mon amie  ? Septimanie. Sa rustique franchise ne me dé
91 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
avez d’être fort habile homme et plein d’esprit, je vous conseille en ami de changer de sentiment. Puisque Dieu lit dans le
uis pour vous ; je ne me mets jamais si fort dans les intérêts de mes amis que je ne me laisse plutôt guider par la justice
92 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
t sans cesser de l’être.  « Nous en avons un bel exemple dans Alipe, ami de saint Augustin : il avait autrefois passionném
les spectacles, et saint Augustin l’avait guéri de cette passion. Ses amis lui proposèrent un jour d’aller avec eux à l’amph
93 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
pour tel, et qu’il a eu soin d’en donner d’assez belles marques. Ses amis voudraient bien se revancher ; mais il faut qu’il
désordre, qu’un homme fût dans la débauche, s’ils se disaient de vos amis , vous espériez toujours de leur salut : s’ils vou
e crois, Monsieur, qu’il est bon de vous avertir que si les meilleurs amis de ceux de Port-Royal les voulaient louer, ils ne
94 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
’en appelle sur ce point, aux témoignage de tout homme sensé, de tout ami de l’honnêteté & des mœurs, de tout homme, en
’est ce qui m’est arrivé plus d’une fois, & à quelques-uns de mes amis , qui, attirés par la curiosité, n’étaient pas moi
t avec assiduité, reçoivent de la part des Maitresses, qui sont leurs amies , des exemples de sagesse & d’honnêteté, dont
place les noms immortels au rang de ceux des bienfaiteurs, & des amis de l’humanité. En substituant aux Trétaux un Spec
e rejouissance pour le libertinage & la debauche ! 13. Un de mes amis m’a conté, qu’étant un jour chez N*** il survint
ntrant, s’humaniserent & l’admirent, enfin, à leur conversion Mon ami ne cessa d’avoir pour eux les égards & les di
t avec assiduité, reçoivent de la part des Maitresses, qui sont leurs amies , des exemples de sagesse & d’honnêteté, dont
de leurs malheureuses inconséquences, en sera la première victime. L’ ami du Prince & de la Patrie, ou le bon Citoyen,
, à M. d’Alembert. 42. Cicéron, le plus sage des Philosophes & l’ ami le plus sûr de la Jeunesse, nous dit que la natur
en de les appliquer, c’est un meurtre de ne les appliquer pas. Dans l’ ami du Prince & de la Patrie. 45. Formons des E
95 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
otion des anciens Asiatiques qui croyoient honorer les Manes de leurs amis & de leurs parens par la seule effusion du sa
ls immolerent sans reserue & sans choix sur les tombeaux de leurs amis , tous les esclaves qu’ils avoient pû prendre à la
ant de force que la Religion, plusieurs particuliers regalerent leurs amis  ; pendant ou apres les Festins, d’une ou deux pai
96 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
à servir les passions les plus honteuses ; mais ils ne voient point d’ amis qui s’intéressent à leur véritable gloire, et qui
succès, l’état rassuré ne peut donc trouver que des défenseurs ou des amis  ; et le germe des dissensions politiques, toujour
a rendu à la patrie ses défenseurs naturels ; il lui a donné de vrais amis , dont l’éloquence, tout à la fois persuasive et b
este bandeau de la stupide crédulité, et fait autant de Français et d’ amis de l’état, que dans ces climats lointains on trou
vertus à ses yeux ? et quelque sages que soient les remontrances d’un ami , d’un oncle, d’un père, de toute une famille alar
s le sang de son semblable, quelquefois dans celui même de son propre ami , l’affront souvent le plus imaginaire, et à faire
er leur vengeance, en est-il beaucoup qui, comme ce Romain, véritable ami de la patrie qu’il portait dans son cœur, soient
qu’au flambeau de la vérité, et qu’avec les sentiments d’un véritable ami de la patrie. Qu’aura-t-il donc alors à redouter 
her sa douleur et chercher un remède à ses maux : il est le véritable ami de la détresse, et si par de salutaires conseils,
pu réunir sous un même joug, ne fait plus aujourd’hui qu’un peuple d’ amis ou de frères ; ce code enfin, qui, conçu, achevé
re pour rendre justice à la vérité, est d’un présage heureux pour les amis sincères de la religion et doit les consoler. Ell
si ce rôle à l’époque où la pièce a paru, c’est-à-dire sous un Prince ami de la véritable piété, était propre à signaler ce
de magistrature qui honoraient l’Empire Français, en se montrant les amis et l’appui de leur barreau. 51. NDA Deux des p
97 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
tte idée… elle est cruelle, n’est-il pas vrai, ma sœur ?…… Adieu, mon amie . P.S. J’oubliais de vous dire, qu’il est décidé
98 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
nt d’argent qu’on lui en a pris : ou que dans la Comédie du Joueur un ami donnât à Valère deux mille pistoles, pour le mett
99 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
sincérité et d’amitié ; combien nous sommes devenus sincères et bons amis  ! combien moins il y en a de faux depuis ce temps
s, tous les rangs, tous les états, tous les âges, les deux sexes, les amis , les ennemis, les parents, les enfants, les régni
à de plus grands excès. Il n’y a que ce concert renouvelé de tous les amis de la morale qui puisse arrêter ces désordres et
fournir des preuves incontestables, pourquoi des écrivains sensibles, amis de l’ordre et protecteurs énergiques des opprimés
100 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112
pens qui des deux étoit le plus grand. Il est aisé de deviner que les amis de Voltaire diront, après lui, saisis du même éto
mp; mourut chrétiennement. J’en bénis le Seigneur. Après sa mort, ses amis rendirent & au public & à lui le mauvais
aisonne, on le déguise : il n’en est que plus dangereux Moliere étoit ami de Cyranno. Ils s’étoient trouvés ensemble aux Co
phie, comme Cyranno dans ses voyage de la Lune. Tout est commun entre amis . Ce grand génie ne dédaigne pas de s’approprier d
-tout lorsque l’on est à table, Qu’un museau pâle & sans couleur. Amis , voici notre toilette ; C’est un remede à la pâle
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