/ 361
1 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
s généralement au commun des hommes ? C’est que rien ne leur est plus agréable que ce qui satisfait leur curiosité & qui fix
notre Esprit comme de notre corps ; Dieu a attaché un sentiment plus agréable au mouvement de l’un & de l’autre qu’à leur r
s généralement au commun des hommes ? C’est que rien ne leur est plus agréable que ce qui satisfait leur curiosité & qui fix
notre Esprit comme de notre corps ; Dieu a attaché un sentiment plus agréable au mouvement de l’un & de l’autre qu’à leur r
eau dont le spectacle, flatteur pour notre curiosité, n’est pas moins agréable à notre paresse, parce qu’elle ne fait aucun effo
rler avec plus de précision, celui d’éprouver une émotion douce & agréable . L’homme se plaît, il est vrai, à être occupé d’u
té jusque dans la douleur. Saint Augustin se reproche les larmes trop agréables qu’il avoit versées au Théatre, ou en lisant dans
ntage sur un sujet si connu, il est certain qu’une passion vive & agréable qui ne coûteroit rien à satisfaire, & qui ne
ie les met pour quelques heures dans une situation qui leur paroît si agréable  ; son sujet en lui-même, les mœurs ou le caracter
montrant combien il est dangereux, ils ont fait voir pourquoi il est agréable , parce qu’en effet ce qui en fait le plaisir est
pas de peine à comprendre qu’il fasse par cet endroit une impression agréable sur des ames vertueuses ; mais pourquoi la peintu
révolution surprenante le frappe, il se livre entierement à l’émotion agréable qu’elle excite en lui ; & il en sent tout le
ons du commun des hommes, fait sur nous une impression aussi forte qu’ agréable . Soit que nous nous flattions de croître en quelq
& il réunit tout ce qui peut faire sur nous une impression aussi agréable qu’intéressante, & aussi intéressante que sol
ation trouve à être remuée & à éprouver une agitation douce & agréable . L’application s’en fait d’elle-même au style Poë
ns nos oreilles, elle cause dans notre ame une émotion aussi douce qu’ agréable  ; elle frappe, pour ainsi dire, les ressorts de t
la peine à croire que ce qui lui paroît si innocent & qui est si agréable , puisse jamais lui être funeste, ni qu’un plaisir
comparons le rapport avec son original ; autre chose est l’impression agréable que fait sur nous l’action ou l’événement que le
er ; il ne sçauroit au moins traiter cette matiere d’une maniere plus agréable ni plus intéressante pour ceux qui se plaisent à
rfaite ; que celles mêmes dont la vûe fait horreur, nous sont rendues agréables par la Peinture, parce que ce n’est pas la perfec
avement que c’est le plaisir d’apprendre qui nous rend l’Imitation si agréable , sans remonter plus haut, & nous expliquer en
igibles, leurs rapports le sont aussi ; ils sont par conséquent moins agréables au commun des hommes que ceux qui sont sensibles,
2 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
ttent les passions, ils abattent la plus forte vertu: Ces corrupteurs agréables ne manquent pas d'approbateurs, qui leur servent
fait profession ? Y a-t-il, mes frères, de Spectacles plus beau, plus agréable , et plus nécessaire, que de contempler sans cesse
enter sur le Théâtre avec le peuple ? Les vers polis, et les discours agréables , gagnent les esprits, et les portent où ils veule
s qui sont fausses, les éternelles, aux passagères, et les utiles aux agréables . Ne prenez point de plaisir à regarder d'autres a
eur corps, ainsi que les animaux ; mais il est continuel, et toujours agréable . Celui qui en passe les bornes et ne recherche da
3 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident. Vous dites que
que par accident. Vous dites que ces représentations des passions agréables , « et les paroles de passions dont on se sert dan
tions pour en inspirer de l’horreur, et celui de peindre les passions agréables d’une manière qui en fasse goûter le plaisir ? Qu
e vie plus sérieuse : si ce n’est qu’on se transporte par un souvenir agréable dans ses jeunes ans, les plus beaux de la vie hum
4 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
commun. Ceux qui le veulent excuser disent que c’est une Instruction agréable , une Morale divertissante, une Peinture de la vie
uvais qui ne soit fort bien reçu quand il est accompagné de ce poison agréable . C’est l’appât qui couvre l’hameçon auquel il est
ds Saints auraient peine à conserver leur liberté au milieu de tant d’ agréables tentations. Mais on me dira que ce plaisir est in
; Je leur conseillerai d’éviter un écueil qui étant plus dangereux qu’ agréable , fait faire souvent un triste naufrage à la Chast
5 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
où elles furent transportées à Rome ; Elles étaient comme des Satires agréables , sans aigreur et sans turpitude, et que la vertu
es endroits où le chant de quelques vers pouvait faire quelque partie agréable et comme nécessaire de la représentation. Nous av
gédie, pour adoucir la douleur ou l'horreur des Spectateurs par leurs agréables railleries. Et quelques-uns ont écrit que la Fabl
6 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
ement qu'une chose est pernicieuse lors que ceux qui la font, quelque agréables qu'ils soient, sont notés d'infamie ? Chap. 23
bles ? Encore qu'il n'y eut rien dans les Spectacles qui ne fut doux, agréable , simple, et qu'il y eût même quelque chose d'honn
'Ellébore, mais on le met dans les viandes bien apprêtées, douces, et agréables au goûts; de même le Diable répand son venin sur
s; de même le Diable répand son venin sur les choses de Dieu les plus agréables ; Que tout ce quic se passe à la Comédie soit géné
Les vers y sont plus beaux, les sentences plus solides, les airs plus agréables , les voix plus charmantes : au lieu des fables, v
inutile occupation : car un homme sage ne préférera jamais ce qui est agréable , à ce qui est plus honnête et plus avantageux.
naissance et l'origine, et nous les condamnons comme des corrupteurs agréables  : Car qui n'a horreur dans la course des Chariots
7 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
l’excellente dignité d’un noble gouvernement ; Si la postérité par l’ agréable mémoire d’un Nine, d’un Arbaze, d’un Cyrec, d’un
spectateurs, par la naïve représentation de leurs comédies, trop plus agréables que les grands jeux Olympiques et Romains, où les
tir du sacré concert des plus excellents Poètes, et vos yeux des plus agréables feintes que l’invention Comique ou Tragique puiss
8 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
occasion la plume sans nécessité. Il ne peut m’être ni avantageux ni agréable de m’attaquer à M. d’Alembert. Je considère sa pe
cultiver non seulement sans honte, mais même avec estime un talent si agréable et si peu commun. Le séjour de cette ville, que b
peut-être, qu’on ne pense.a  » Voilà certainement le tableau le plus agréable et le plus séduisant qu’on pût nous offrir ; mais
 ? triste recommandation pour un livre ! Pour être utile il faut être agréable , et ma plume a perdu cet art-là. Tel me disputera
9 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
d’une noble émulation. Ils s’appliquent à joindre toujours ensemble l’ agréable & l’utile ; ils les unissent même jusques dan
lus petits ouvrages de la Nature. Les Spectacles doivent réunir l’ agréable à l’utile. Les Spectacles sur-tout renferment
e à l’utile. Les Spectacles sur-tout renferment le solide & l’ agréable . On y trouve autre chose que des plaisirs passage
10 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
a gloire de la Comédie chez les Grecs et les Romains ? c’est dans ces agréables divertissements que ces hommes trouvaient le char
-GORJU au contraire soutient que c’est le plaisir qui rend la Comédie agréable et louable, sans lequel elle n’aurait rien pour l
s beau pour être commun à tout le monde, et les Eaux sont-elles moins agréables pour être divisées en plusieurs endroits de la te
des plus experts médecins : pouvez-vous trop payer cette médecine si agréable que vous prenez sans dégoût et sans peine ? Mais
us de très grands présents estimant ne pouvoir trop récompenser un si agréable travail. Après avoir porté cette botte franche qu
ion des Comédiens vous attirant en ce lieu, est pour vous y donner un agréable divertissement, car ils sont les plus fâchés quan
11 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXI. Réflexion sur le Cantique des cantiques et sur le chant de l’Eglise. » pp. 76-78
eurs écrits : « Et, leur disait-il, je vous prie qu’on ne rende point agréable ce qui est inutile : Ne faciant delectabilia quae
a quae sunt inutilia » v : maintenant on voudrait permettre de rendre agréable , ce qui est nuisible ; et un si mauvais dessein d
12 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
des sentiments, des discours, et dans la peinture des événements, ou agréables , ou fâcheux de la vie humaine ; c’est au ministèr
tre ceux qui auront fait plus de pièces qui soient en même temps plus agréables aux spectateurs et plus utiles aux bonnes mœurs.
tion des talents et de la pratique des vertus qui rendent le commerce agréable . La raison nous dicte donc de travailler à fortif
au plaisir du spectateur. Les spectacles peuvent donc être utiles et agréables , mais il faut qu’ils soient dirigés par une compa
tilité publique, tandis que son intérêt le dirige suffisamment vers l’ agréable , c’est-à-dire, vers son utilité particulière. Il
13 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VIII. Les intrigues sont la vraie fin de la comédie. » pp. 15-17
ion de beauté sensible qui force à aimer & qui tâche de la rendre agréable , veut rendre agréable la concupiscence & la r
qui force à aimer & qui tâche de la rendre agréable, veut rendre agréable la concupiscence & la révolte des sens. Car c
14 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VI. Ce que c’est que les mariages du théâtre.  » pp. 25-27
ession de beauté sensible qui force à aimer, et qui tâche à la rendre agréable , veut rendre agréable la concupiscence et la révo
ble qui force à aimer, et qui tâche à la rendre agréable, veut rendre agréable la concupiscence et la révolte des sens. Car c’en
15 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
nous proposent plus dangereuse, c'est que les Poètes pour les rendre agréables sont obligés, non seulement de les représenter d'
sions vicieuses embellies et colorées d'un certain fard, qui les rend agréables aux gens du monde. Que s'il n'est pas permis d'ai
16 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
que les Comédies nous proposent, c'est que les Poètes pour les rendre agréables sont obligés, non seulement de les représenter d'
ssions vicieuses embellies et colorées d'un certain fard qui les rend agréables aux gens du monde. Que s'il n'est pas permis d'ai
17 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
ession de beauté sensible qui force à aimer, et qui tâche à la rendre agréable , veut rendre agréables la concupiscence et la rév
ble qui force à aimer, et qui tâche à la rendre agréable, veut rendre agréables la concupiscence et la révolte des sens. Car c’en
t que les auteurs ont soin d’embellir encore pour rendre leurs pièces agréables  ? Ne sait-on pas que toutes les passions sont sœu
ouvé bien loin de son compte ; l’esprit n’étant plein que d’aventures agréables et surprenantes, et de vers tendres, délicats et
de tout sans scrupule, et qui, entraînés par tout ce qui leur paraît agréable , se livrent à toutes les impressions qu’ils en re
ement le démon, mais Dieu même est contre nousy ? » Quand l’intrigue agréable et le style léger et délicat des drames n’inviter
18 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
Ils veulent tout réformer, et sont si difformes, que les objets plus agréables sont des chimères à leurs yeux blessés. Tout gouv
pables de ces effets qu’aux lieux publics où l’on voit l’honnête et l’ agréable ensemble, et l’art et la science qui répondent ég
uer la vertu, reprendre le vicef. Ces passe-temps ont toujours été si agréables aux peuples, que Juvenal les recommande, disant «
eine et non tyranne, elle les veut imprimer avec une persuasion aussi agréable que docte et diserte : Elle sait que le sens de l
ces effets, sinon dans les lieux publics où l’on voit l’honnête et l’ agréable ensemble, et l’art et la science qui se répondent
19 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
’à insinuer les passions les plus décevantes, en les rendant les plus agréables et les plus vives qu’on peut par le charme d’une
les-mêmes ; et si vous dites que la seule représentation des passions agréables dans les tragédies d’un Corneille et d’un Racine,
20 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
lez-vous encore peu davantage, et reconnaissez qu'on ne se rend point agréable à la Majesté de Dieu par les exercices qui déshon
ainte et vénérable Mère vous en fournit de plus excellents et de plus agréables  ; ce sont des Spectacles salutaires qui remplisse
r nous à dessein de nous racheter, et de laver par son Sang un peuple agréable à sa divinité, et sectateur des bonnes œuvres. Où
cevoir. Dieu (dit l'Apôtre) est venu pour laver de son Sang un peuple agréable à sa Majesté, et amateur des bonnes actions. Où e
ur des bonnes actions. Où est ce peuple pur et net ? Où est ce peuple agréable à Dieu ? Où est ce peuple qui fait gloire des bon
étrange folie que s'imaginer que nos divertissements ne seraient pas agréables s'ils n'étaient injurieux à Dieu. Dans ces Specta
21 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. C e Chapitre est pr
ieux ; ils leurs ménagent des repos ; l’âme enchantée par une mélodie agréable a le tems de respirer. La prose qui divise chaque
22 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
ns Livres. Il est vrai qu’il leur eût été difficile d’ignorer cet Art agréable , puisque la musique était une partie de l’Educati
Ce grand homme ne dédaigna pas d’associer à la Philosophie les talens agréables . Sa Pièce du Devin de Village doit nous faire tou
23 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
, pour conserver aux hommes une voix aiguë, toujours infiniment moins agréable que celle des femmes. Lucien observe, que rien n’
masques des Comédiens ordinaires, & qu’ils étaient beaucoup plus agréables . Macrobe raconte, que Pylade se fâcha un jour qu’
yant longtemps méconnu ce qu’il y avait de plus naturel & de plus agréable dans les occupations de l’âme, n’en acquirent que
24 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
de vue à sa volonté, il rend, selon qu’il lui convient, le même objet agréable ou difforme aux yeux des spectateurs. Ainsi jamai
leve un plan & prend des dimensions exactes, ne fait rien de fort agréable à la vue ; aussi son ouvrage n’est-il recherché q
, soit en donnant le change à leur ignorance, soit par les sensations agréables dont cette erreur est accompagnée. En effet, ôte
p;, quand il le seroit, l’imitation, moins variée, n’en seroit pas si agréable au Vulgaire ; il s’intéresseroit difficilement à
vent, que l’art condamné par nous comme nuisible, n’est pas seulement agréable , mais utile à la République & aux Citoyens. É
reille non prévenue, qu’il n’y a que la seule habitude qui nous rende agréables les consonances, & nous les fasse distinguer
t ; ce qui n’empêche pas ces quintes ainsi tempérées de nous paroître agréables . Or où est, en pareil cas, la simplicité du rappo
25 (1680) Entretien X. Sur la Comédie « Entretien X. sur la Comedie » pp. 363-380
X. sur la Comedie LE grand usage de ce divertissement, qui est si agréable à la veuë, & à l’esprit, fera peût-être, qu’i
ent contre ce divertissement, autant préjudiciable à l’ame, qu’il est agréable aux sens. L’Eglise, la conscience, & les fréq
a nature de plusieurs piéces de théatre, qui font aujourd’huy le plus agréable divertissement des auditeurs ; car souvent, ou el
au reste veulent le bien, mais qui veulent aussi avoir part aux plus agréables divertissemens du siecle ; Et c’est ainsi, que ce
26 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
& des diverses infléxions de la voix, il résulte quelque chose d’ agréable , qui charme l’oreille, & que nous appellons M
ui les agitent. Voilà ce que c’est que la musique en général, ce rien agréable , dont les Anciens furent si charmés, & que le
gypte, qui les instruit de tant de choses, leur fit connaître cet art agréable  ? Cependant Enoch qui passe pour être le prémier
auraient atteint chez eux l’énergie & la force, le tendre & l’ agréable , auxquels ils sont arrivés de nos jours. Les Grec
s savoir la musique. Timagène & Quintilien prétendent qu’elle est agréable aux essences immortelles. Les Argiens l’estimaien
stoire de France, qui commence à la troisième race. La musique est si agréable , que plusieurs personnes ont voulu mourir aux son
second plusieurs habiles Musiciens, croyant lui faire un présent fort agréable . Cet Empereur les ayant entendus, craignit qu’ils
une naïve beauté se laisse peut-être surprendre aux accens d’une voix agréable , & aux èxpressions voluptueuses de quelque ar
estime. Je la regarde comme un simple amusement, qui cesserait d’être agréable , s’il était trop réitéré. Tout le monde s’imagine
es soldats, aux triomphes de leurs Généraux, eussent une mélodie fort agréable . » J. J. Rousseau. Dict. de Musique. 30. Bardus
27 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
& sans harmonie. Qu’ils nous prouvent que non seulement elle est agréable , mais qu’elle est même très-utile dans les Républ
doit produire, c’est-à-dire, qu’il n’y a rien en cela de naturel ou d’ agréable à l’homme, rien qui excite la Terreur ou qui émeu
ans le malheur : il y a bien en cela quelque chose [de juste &] d’ agréable aux hommes, mais cela ne peut exciter ni Pitié ni
contraire aux bonnes mœurs. Il se contente de dire qu’il n’est point agréable , & n’excite ni Crainte, ni Pitié ; & j’ob
r ce fait certain, que plus un Spectacle cause d’émotion, plus il est agréable  ; & Aristote recommande toujours les Sujets q
pour avoir dit en parlant de la Tragédie, Si d’un beau mouvement l’ agréable fureur Souvent ne nous remplit d’une doute Terr
a plus pathétique, celle qui jette le plus grand trouble, est la plus agréable , suivant Aristote, puisque plus elle excite la Pi
pas déchirer : ainsi Aristote qui veut montrer celle qui est la plus agréable , considére les hommes qu’elle présente, de trois
ant qu’il n’ait été persuadé que l’utile doit toujours être joint à l’ agréable . Horace le dit, & tous les Principes d’Horace
i elle vouloit nous attendrir pour des Scélérats, elle ne seroit plus agréable  ; elle nous rempliroit au contraire d’indignation
our objet que l’amusement. Il ne leur suffit pas de mêler l’utile à l’ agréable  ; ils doivent faire en sorte que dans leurs Piéce
t faire en sorte que dans leurs Piéces l’utile soit le fondement de l’ agréable . Qu’ils soient toujours attentifs à ne nous faire
28 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
ces productions frivoles qu’on appelle Romans ? ces petites Brochures agréables qui ne contiennent rien dont il soit nécessaire d
blier ce qui a rapport à la Musique. Il doit être question de cet art agréable dans un ouvrage où l’on voudra renfermer tout ce
29 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
apitre XXIII, §1].« La comédie est un mélange de paroles et d’actions agréables pour son divertissement ou pour celui d’autrui, e
portent nullement l’idée de la comédie, mais seulement celle ou d’une agréable conversation, ou en tout cas des jeux innocents :
30 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
u voir comme ton mari se comporterait avec elles : poliment, en homme agréable , léger, prévenant, mais insensible : il n’a goûté
ou des sensations flateuses par rapport au corps, ou des perceptions agréables par rapport à l’esprit, ou de doux sentimens capa
ve, il favorise leur existence, il aime à les voir se multiplier. Les agréables accords de la Musique transportent son âme ; ils
mp; le remettent à l’unisson avec tout lui-même : la Danse ajoute à l’ agréable sensation que produit la Musique ; ce dernier art
ux Arts excitent aujourd’hui les passions, n’est qu’un chatouillement agréable . Il est vrai qu’en les joignant au Drame, c’est a
& des actions des hommes, peuvent donner des leçons utiles & agréables pour toutes les conditions ». 2. La réponse à la
31 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin Que c’est à Dieu un agréable spectacle de voir un Chrétien combattre contre la
cles, vos voluptés et vos pompes, et les fuient comme des corrupteurs agréables . C’est avec raison qu’ils s’abstiennent de ces cé
32 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200
particuliers, sont pleines d'idoles ; mais nous n'en sommes pas moins agréables à Dieu, si nous ne participons point au crime. Ce
crime ! il faut que le métier soit bien mauvais, les hommes les plus agréables ne sont pas épargnés. « 23.° Si les Juges même qu
and d'esclaves, semble emporté dans son char par le démon ? Sera-t-il agréable à Dieu, cet Acteur efféminé, sans cesse occupé à
tendre la joue à celui qui nous frappe ? Les masques seront-ils plus agréables à Dieu ? lui qui défendait dans l'ancienne loi de
 » Ne m'opposez pas qu'on y dit quelquefois des choses indifférentes, agréables et même honnêtes. Qui le conteste ? personne ne c
ne couvre le poison de fiel, mais il l'assaisonne de quelque chose d' agréable pour engager à le boire. Ainsi le démon cache son
33 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
de louables affections ? Ne peut-on pas trouver quelques délassements agréables dans une lecture, dans quelques jeux d’usage, dan
x pour n’être pas souvent criminels, et trop vifs pour être longtemps agréables . « Ces plaisirs peuvent bien charmer un moment no
à elle qu’il appartient de faire goûter des plaisirs infiniment plus agréables et plus flatteurs que tous ceux que peuvent donne
34 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
uvement pénible & laborieux, il est difficile qu’il nous devienne agréable & familier. L’art n’est pas à beaucoup-près à
lon sa fantaisie, (& cela se termine à une variété gracieuse, une agréable distraction,) il se soucie peu que les régles soi
ur, qu’au profit de la vertu. On prend cela dans le point riant d’une agréable spéculation : l’esprit est amuré, l’imagination f
. Quand il s’est acquitté envers elle de l’utile ; il doit penser à l’ agréable . S’il a le talent d’amuser, c’est une raison de p
siter ; parce qu’eux seuls ont le privilége de réunir l’utile & l’ agréable . Quand nous parlons d’utile & d’agréable, no
réunir l’utile & l’agréable. Quand nous parlons d’utile & d’ agréable , nous n’entendons pas, des leçons particulieres &
nsipides, de sterils délassemens ; c’est au contraire un jeu piquant, agréable & varié. Tout s’y empresse à nous divertir, t
d’utilité, substituer ainsi par un intérêt mal entendu, à un plaisir agréable & touchant, une étude pénible & laborieus
ce mal soit coloré & qu’on ait fait pour lui les frais d’une gaze agréable & piquante : ce seront des traits gais, des p
nt en elle-même qu’un air modifié, qui flate nos oreilles, une nuance agréable qui amuse nos yeux ; mais ni l’un ni l’autre ne v
onvénient. C’est peu : ils sont remplis davantages. L’amusement y est agréable & varié, l’utilité solide & différente. L
35 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
que les principes de leur Religion, tant elles ont soin de les rendre agréables au monde, sans se soucier de plaire au Seigneur.
d’attirer auprès de soi les garçons les plus divertissants, les plus agréables , les mieux faits, les plus enjoués, et les plus g
C’est là où l’on déchire son prochain par des malices, qu’on appelle agréables et spirituelles. C’est là où la calomnie la plus
C’est là où la calomnie la plus fine et la mieux inventée est la plus agréable , quoiqu’elle soit la plus piquante, la raillerie
es personnes du monde voient dans un bal ? Une assemblée de personnes agréables , bien mises, bien parées, qui ne songent qu’a se
tent les oreilles, et qui charment et enlèvent l’âme par une douce et agréable violence. Ainsi l’amour du monde et des créatures
36 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
tête levée. Un homme vertueux content de l’être, néglige de se rendre agréable , il ne faut donc pas qu’il se montre. Un homme vi
ontre. Un homme vicieux a besoin pour déguiser ses vices de se rendre agréable à l’extérieur, il peut aller par-tout, il sera bi
plus admirable dans le Tartuffe, qu’il a su y joindre l’utile & l’ agréable , & tirer l’un & l’autre du fond de son su
37 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
nnir des Eglises les peintures les plus innocentes, comme les Vierges agréables de visage, les Suzanne et les Madelaine. Première
lent dans ses inventions fabuleuses, et qu’il charme l’esprit par ses agréables rêveries : mais il se déchaîne aussi contre le to
dre plus vertueux ; qu’on y va seulement dans la vue d’un délassement agréable  ; qu’au contraire notre orgueil se rend quelquefo
38 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
ntrigues d’amour ; parce que quoiqu’on les dise réformées on les rend agréables , et ainsi opposées à la pureté du cœur, commandée
lle de del Monaco, auxquelles il a donné un tour très délicat et très agréable . Das le 2. il propose les preuves du Comédien, po
sent les Saints et les Saintes sur le Théâtre, et qui pour les rendre agréables , ont représenté la dévotion de ces Saints de Théâ
vicieuses ainsi embellies et colorées d’un certain fard, qui les rend agréables  : d’où il conclut que s’il n’est pas permis d’aim
39 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
as même d’habits ; mais la beauté du lieu devoit rendre la salle fort agréable . Après qu’ils en furent chassés, le repentir de l
es d’Amathonte, de Gnide, de Paphos, &c. C’étoit le culte le plus agréable de la Déesse. Les Lupercales, en l’honneur de Pan
ue les cérémonies qui les honorent. offrent ce qui leur étoit le plus agréable . Point d’erreurs qui plaisent plus au démon, père
elque chose de comique. Qu’à la bonne heure il l’appelle un amusement agréable , un exercice du corps, utile à la santé, qui donn
raits de la volupté faisoient la plus grande perfection & la plus agréable aux spectateurs. Après avoir promené la danse d’u
connoisseurs. Il lui prodigue les plus grands éloges, comme à un art agréable , l’un des plus beaux ornemens de la scène. Il a r
es immenses : c’étoient de magnifiques chaos plutôt que des amusemens agréables . Mais par-tout Vénus, l’amour, des danses galante
40 (1715) La critique du théâtre anglais « APPROBATION. » p. 
glais, et j’ai cru que la lecture n’en serait ni moins utile ni moins agréable en France qu’elle l’a été en Angleterre. Fait à P
41 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « [FRONTISPICE] »
Fables, de Remar-ques, de bons Mots et d’autres Particularitez aussi agréables qu’utiles. Avec sept Lettres Amoureuses d’une Dam
42 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « [FRONTISPICE] »
Fables, de Remar-ques, de bons Mots et d’autres Particularitez aussi agréables qu’utiles. Avec sept Lettres Amoureuses d’une Dam
43 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE PREMIER. De la Passion de presque tous les Peuples pour la Poësie Dramatique. » pp. 8-16
rent bientôt penser que puisque le récit d’une Action éclatante étoit agréable , la Représentation de cette Action, mise en Dialo
se en Dialogues, & exécutée par des Personnages, seroit bien plus agréable qu’un récit, & qu’en y ajoutant des chants pl
44 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
t qu’à insinuer les passions les plus décevantes, en les rendant plus agréables et plus vives par les charmes d’une musique, qui
ndant pas attribuer à la musique les abus qu’on en fait. C’est un art agréable , et même ses triomphes sur nos organes sont quelq
45 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
ses personnages. Gassendi l’a reçu comme un homme célèbre, accrédité, agréable , qui venoit passer un moment chez lui, & lui
le, qui venoit passer un moment chez lui, & lui en faire passer d’ agréables , comme on recevoit Dominique, & la compagnie
les outils d’un Cordonnier, la forme d’une pantoufle, & sont plus agréables que la paralaxe de la lune, & les équations d
, les familles se ruinent, la jeunesse se remplit de vanité, les arts agréables se multiplient, les arts utiles se négligent, &am
n de celui-là. Ici on prêchoit la vertu, là on enseignoit, on rendoit agréable le vice. Corneille montroit des Héros, Moliere do
& leur langage. De là est venu, dit-on, le nom de Vauxhall, lieu agréable , palais de délices, un paradis. Versailles, Fonta
Danois à un lieu de divertissement public, où dans un batiment vaste, agréable , fort décoré, on rassemble tous les plaisirs, pou
le soleil, & les ombres qui favorissent la licence sont bien plus agréables que la lumiere qui la décele. Les Etudians en méd
46 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XI.  » p. 466
t-à-dire l'art de les exprimer et de les faire paraître d'une manière agréable et ingénieuse, ce qui n'est pas un petit mal. Plu
47 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
e. Je ne sais pourquoi l’on a prétendu que leur Langue était plus agréable que la nôtre. Elle est loin, selon moi, d’approch
e nos Compositeurs, s’il résulte d’un langage aussi rimé une harmonie agréable  ? On se rebute enfin de n’entendre sonner à ses o
uvent peindre les choses qu’elle èxprime. Nous avons donc une mélodie agréable , que nous pouvons porter pour le moins aussi loin
ré la difficulté de démêler actuellement les deux genres, il est fort agréable de pouvoir se dire dans un concert, ou bien au no
sidérer sans partialité ces mêmes morceaux, dont la mélodie paraît si agréable  : on verra bientôt qu’elle n’est point continuë,
48 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
s les manières de traiter la galanterie n’étant plein que d’aventures agréables et surprenantes, de vers tendres,délicats et pass
qui après avoir répandu son venin dans tout un Ouvrage d’une manière agréable , délicate et conforme à la nature et au tempérame
ucoup d’autres. Mais en vérité, y a-t-il rien de plus sec et de moins agréable que ce qui est de saint dans cet Ouvrage ? Y a-t-
où il leur plaît, ils lui persuadent tout ce qu’ils lui font trouver agréable  ; et peu s’en faut qu’ils ne surprennent et qu’il
glise. Il y en a beaucoup qui ont fait des Chansons spirituelles fort agréables  : et l’on a mis ces Psaumes, ces Hymnes et ces Ch
49 (1675) Traité de la comédie « XI.  » p. 290
-à-dire l'art de s'en exprimer et de les faire paraître d'une manière agréable et ingénieuse, ce qui n'est pas un petit mal. Il
50 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
poussiere aux pieds du Sauveur. Que ce spectacle est beau, qu’il est agréable , qu’il est utile ! voir l’objet de ses espérances
es, occupez-vous de ceux que vous fournit l’Église, aussi innocens qu’ agréables , qui nourriront votre foi & votre piété. Que
se dire que la vie des Saints, même humainement, est le livre le plus agréable , aussi-bien que le plus utile à lire, & les é
e la peinture, & jusques sur le théatre, dont elle forme les plus agréables fêtes, n’a pas besoin, pour nous charmer, du tumu
51 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
ir cette image qui doit être si naïve, afin de la faire paraître plus agréable  : mais alors nous nous écrions, que ce n’est poin
r une seule représentation. N’oublions pas que le Berger fidèle, tout agréable , tout célèbre qu’il est, glace souvent ses Specta
bres Musiciens ne condanneront pas tout-à-fait mon sentitiment. L’art agréable qu’ils pratiquent ferait un nouveau progrès, auqu
52 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
nt des tons de voix si charmants, des yeux si parlants des actions si agréables qu’ils ravissent par la vue et l'ouïe tous ceux q
incroyables pour la foi et pour l’honnêteté. Mais la couronne de cet agréable divertissement a été un coup du ciel un trait du
out ainsi que vous voudrez. Je crois que le Roi Monseigneur aura pour agréable la promesse que je vous fais et je la vous mainti
53 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
ts effets pour le courage. Notre crainte n’est le plus souvent qu’une agréable inquiétude qui subsiste dans la suspension des es
es bons exemples que nous donnons au public sur le Théâtre ; avec ces agréables sentiments d’amour et d’admiration, discrètement
v. 343 : « Il emporte tous les suffrages, celui qui mêle l’utile à l’ agréable  ».
54 (1675) Traité de la comédie « IV.  » p. 278
ne soient contraires aux bonnes mœurs, puisqu'ils impriment une idée agréable d'une passion vicieuse, et qu'ils en font même un
55 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
e-ci est purement accidentelle. Mais si vous avez un son de voix plus agréable , un langage plus poli, des sentimens plus délicat
tence. Car tout ce que Dieu défend ne peut, dit Saint Augustin1, être agréable aux yeux de Sa Majesté, ni devenir la matiere d’u
56 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7
tribue à la vivacité de l’imagination qui enfante ces féeries, tantôt agréables & galantes, comme dans les contes des fées, t
succès. L’un étoit une leçon hideuse, mais utile ; l’autre une école agréable , mais funeste. Il y avoit des grandes & des p
57 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
lades, aidez les vieillards ; voilà des largesses bien placées, aussi agréables à Dieu qu’honorables devant les hommes ; mais c’e
grat unguento humus ». Vous y trouverez les plus belles voix, la plus agréable symphonie, « concentu canentium », la variété, la
imus » ; le plus fou sera le plus sage, le plus libertin sera le plus agréable , on ne sera bien à moi qu’autant qu’on ne sera pl
58 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [D] »
tation d’une Action passionnée, pour exciter, à l’aide des sensations agréables , l’intérêt & l’illusion. [Nous avons reçu l’O
59 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
mot de Comédie n'est autre chose que la représentation d'une aventure agréable et gaie, entre des personnes communes. Ce qu'on e
s les manières de traiter la galanterie n'étant plein que d'aventures agréables et surprenantes, de vers tendres, délicats et pas
qui après avoir répandu son venin dans tout un ouvrage d'une manière agréable , délicate et conforme à la nature, et au tempéram
ucoup d'autres. Mais en vérité, y a-t-il rien de plus sec et de moins agréable que ce qui est de saint dans cet ouvrage ? Y a-t-
60 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
cet Ecrivain est doux & coulant, simple & naturel, ses images agréables , ses sentimens tendres. Dans sa préface, ou peut-
plutôt la musette ressemble au gosier du serin, son gasouillement est agréable , mais répéte toujours le même air ; son pinceau e
chimeres ! La Comédie peut aussi fournir des narrations utiles & agréables . L’Avare, le Fat, le Prodigue peuvent être la mat
on gâte même ce qu’on emprunte. Qui pourroit méconnoître la tournure agréable , plaisante & vraiment comique du Comte Hamilt
rimaces souvent causent quelques surprises ; Toutes ses pieces sont d’ agréables sottises. Il est mauvais Poëte, & bon Comédie
61 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 11
meilleure grâce, qui vous semblent mieux faites, mieux parées et plus agréables que la vôtre, vous la méprisez, vous ne la regard
62 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madame de Nemours  » pp. -
que le désir qu’elles soient perpétuelles : j’ai pensé que vous aurez agréable , Madame, que je vous en remercie très humblement,
63 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XII.  » p. 467
tes de ce temps remarque qu'une de ses plus belles pièces n'a pas été agréable sur le théâtre, parce qu'elle frappait l'esprit d
64 (1675) Traité de la comédie « XII.  » pp. 291-292
tes de ce temps remarque qu'une de ses plus belles pièces n'a pas été agréable sur le Théâtre, parce qu'elle frappait l'esprit d
65 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232
Jardins, des Campagnes délicieuses, de sombres Forêts : il faut que l’ agréable y soit plus riant qu’aux autres Spectacles, le sé
à faire un beau tableau, à l’animer, à le bien colorier, à le rendre agréable , frappant, achevé. Il faut que cet Art sublime at
e les Modelemens * suggèrent à l’Acteur, doivent être aussi naturels, agréables , expressifs, que décens & honnêtes. Ce sera p
l’admiration, la joie, l’attendrissement, la terreur, par des choses agréables , touchantes, surprenantes, capables d’épouvanter 
produit plusieurs chefs-d’œuvres. La cinquième est peut-être la plus agréable espèce de Comédie. La sixième, des Pièces du jour
française, nous a fournis des Drames excellens. La neuvième offre une agréable variété ; on peut mettre les Pièces de ce genre d
zième, composée des Comédies-Farces, offre quelquefois un délassement agréable  ; on peut la tolérer, en châtiant les indécences
ppléer ce qui manque à nos Pièces, d’une manière aussi avantageuse qu’ agréable & variée : par exemple, que chaque Pièces eût
succéderait, acheverait l’enchantement : tout irait par une gradation agréable , délicieuse, inconnue même à l’Opéra. On porterai
e flateur, la figure gracieuse & noble, le port & la démarche agréables , qu’il soit éloigné du Théâtre national : le priv
diens de s’y exercer ; l’on choisira, parmi les Jeunes-gens, des voix agréables pour ce genre en particulier, & ces Acteurs-c
rien, pour rendre cette Institution aussi noble & majestueuse, qu’ agréable & utile. ‌ Art. III. Temps de l’admission
étrissant ne deshonorera plus le premier & le plus beaux des Arts agréables  ; il semble que pour faire tendre plus rapidement
que l’attention à former la jeunesse, à l’assouplir par les Exercices agréables , n’est pas assez générale. La crainte de révolter
e tous les ordres de l’État profitassent de la Réforme, les uns par l’ agréable , les autres par l’utile. ‌ Art. XVIII. Parts d
onsistent guères qu’à montrer la légèreté, ou présenter des attitudes agréables .] Quelle préparation ne serait-ce pas pour la Piè
66 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
me de l’ambassade, singulariter et solus. C’était un homme élégant et agréable , vir elegans et jocundus (un petit maître), un ho
age de Suger qu’il cite. Il dit que cet Evêque était un homme « poli, agréable , qui avait l’air tout à fait Français, et parla d
l’air tout à fait Français, et parla d’une manière également forte et agréable  », ce qui ne rend point du tout le cothurno Galli
e pense que l’air Français est un air de théâtre, qu’un homme poli et agréable est un Comédien, et que les facéties sont des tra
67 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
lement mérité de leur patrie, que lorsqu’ils auront joint l’utile à l’ agréable . Je n’oublierai pas que j’écris à un philosophe1 
audrait avoir le talent de les rendre intéressantes, instructives, ou agréables . Vous citez les Atrée, les Catilina, les Œdipe, l
les passions, que nous avons, par des moyens plus sûrs, quoique plus agréables , qu’aucun de ceux qu’ont employés tous les Philos
ds ramener la question. Il suffit de montrer des pièces qui soient et agréables et utiles, de trouver des Auteurs qui aient su pl
68 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
cœur humain, c’est une suite de ce principe, que plus la Comédie est agréable et parfaite, plus son effet est funeste aux mœurs
trop multiplier les plaisirs permis, ni trop s’appliquer à les rendre agréables , pour ôter aux particuliers la tentation d’en che
les défauts, ce qui est l’effet du Comique, c’est fortifier et rendre agréables les vices du cœur humain. Quel faux jour est ceci
69 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
u quelques principes savants et singuliers pour le fondement des plus agréables choses qu'il contient. Enfin si on les sépare, il
70 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVIII. Sentiment d’Aristote.  » pp. 66-68
axime importante dans la vie, et qui donne l’exclusion aux sentiments agréables qui font maintenant le fond et le sujet favori de
71 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
médies, Sans parler de l’utile, qui doit toujours marcher à côté de l’ agréable , (et qui se trouve rarement dans une action, où i
action, où il ne s’agit que d’amour et de mariage) nous voyons que l’ agréable même y manque. Comment peut-on aujourd’hui se réj
72 (1667) Traité de la comédie « Préface » pp. 452-454
sujet de la Comédie. Car comme il n'y a guère de divertissement plus agréable aux gens du monde que celui-là, il leur était for
73 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153
éputation ; il fut annoncé à Stocholm comme un hypocrate habile & agréable  ; ce qui pour lors n’étoit pas commun dans la fac
des comédies, ce que ne faisoit pas le Bois-Robert de Suede. Les fous agréables ont toujours eu de la vogue ; ce sont des Comédie
en Hollande, en Flandres, en France, en Italie, en Allemagne, le plus agréable régal qu’on pouvoit lui donner, étoit de la mener
se jusque dans la compagnie du Roi, de la Reine, au milieu de la plus agréable comédie après avoir ri aux éclats, elle tomboit d
elle ; ce sujet eut bien valu le Médecin malgré lui. La suite fut peu agréable , quand on peut traiter avec elle comme de couronn
rprise que causoit une bisarrerie si révoltante ; elle devenoit assez agréable , on pouvoit dire d’elle comme de Madame de Bavièr
, le vice fait tourner la tête. La société des libertins lui étoit si agréable , que de toutes les femmes les plus distinguées, e
74 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
es spectacles d’aujourd’hui que des choses innocentes, honnêtes & agréables , il est aisé de leur répondre avec Tertullien qui
en répandant son venin sur les choses de ce monde, qui sont les plus agréables . Je veux, dit ce Pere, que tout ce que nous repré
ce qui peut allumer le feu de la passion : objets séducteurs, scènes agréables , décorations pompeuses, habits magnifiques, mystè
st votre dessein ? c’est pour vous faire voir, c’est pour vous rendre agréable  ; & qu’est-ce qu’il en arrive ? une fille chr
êtes, qu’y faites-vous ? Tout ce qui vous est possible pour paroître agréable , charmante, & pour être du nombre de celles à
r au mariage.On est assez persuadé que la représentation des passions agréables porte naturellement au péché, quand ce ne seroit
ujet de la comédie ; car, comme il n’y a guére de divertissement plus agréable aux gens du monde que celui-là, il leur étoit for
les manieres de traiter la galanterie, n’étant plein que d’aventures agréables & surprenantes, de vers tendres, délicats &am
s yeux par-tout ce que le luxe & la vanité peuvent étaler de plus agréable . Le plaisir qui se rencontre dans les odeurs, y e
isse plaire. Celles qui sont invitées, ne s’appliquent qu’à se rendre agréables  ; elles passent les journées entieres à se parer,
est lui que j’interroge. Aller aux spectacles ne peut être une œuvre agréable au Seigneur.Quoi ! cette œuvre profane, inventée
ventée par satan, pour perdre les ames, seroit une œuvre sainte & agréable au Seigneur ? Jesus-Christ peut-il avoir part à d
lupté ? Il est donc manifeste que les représentations de ces passions agréables les excitent naturellement, ne fût-ce qu’en nourr
r des indécences, &c. Aller aux spectacles ne peut être une œuvre agréable au Seigneur. Tout délassement n’est pas défendu.
75 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « X. Différence des périls qu’on cherche et de ceux qu’on ne peut éviter. » pp. 44-45
s exquis et recherchés avec soin, pour les exciter et les rendre plus agréables en les déguisant : on peut conseiller de tels pér
76 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
de fausses opinions qui naissent de ces trois sources, et qui ne sont agréables qu'en ce qu'elles flattent les inclinations corro
77 (1675) Traité de la comédie « I. » pp. 272-274
sujet de la Comédie. Car comme il n'y a guère de divertissement plus agréable aux gens du monde que celui-là, il leur était for
78 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
es fausses opinions qui naissent de ces trois sources, et qui ne sont agréables qu'en ce qu'elles flattent les inclinations corro
79 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
. istorum pectus justitiæ divitiis expoliatur  ; qu’il est un encens agréable aux démons, & que c’est le brûler en quelque
80 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien quatrieme. Sur la vanité & le danger des Bals, & des Danses en particulier, Tiré de la Bibliotheque des Predicateurs, composé par le Reverend Pere Vincent Houdry de la Compagnie de Jesus. » pp. 57-66
que les principes de leur religion, tant elles ont soin de les rendre agréables au monde. Qu’est-ce que les personnes du monde vo
es personnes du monde voyent dans le bal ? une assemblée de personnes agréables , bien parées, qui ne songent qu’à se divertir a p
81 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IV. Des Personnages. » pp. 239-251
es dissonnances que l’on fait entrer dans la Musique rendent les sons agréables plus délicieux. Malgré toutes ces raisons qui peu
ssurer par ces Vers de sa Poétique : D’un Pinceau délicat l’artifice agréable , Du plus affreux objet fait un objet aimable. Il
82 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VII. Les spectacles favorisent les suicides. » pp. 90-92
jouissant après la mort, dans des jardins délicieux, d’une tendresse agréable  : une éternelle nuit n’ose chasser le jour qui le
83 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVII.  » pp. 486-488
e l'amour pour sa sainte parole. Tous ces divertissements qui sont si agréables aux gens du monde leur sont une viande fade, dont
84 (1675) Traité de la comédie « XXVII.  » pp. 318-320
l'amour pour sa sainte parole. Tous ces divertissements, qui sont si agréables à ceux qui aiment le monde leur sont une viande f
85 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
plaisirs honnêtes ; elle a l’art de nous faire préférer un amusement agréable & utile, aux désordres inséparables du jeu, &
iger les Précieuses de leur langage affecté ; il couvrit de honte les agréables de la cour, en exposant sur la Scène la peinture
86 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
st votre dessein ? C’est pour vous faire voir, c’est pour vous rendre agréable . Et qu’est-ce qu’il en arrive ? une fille Chrétie
’y faites-vous ? Tout ce qu’il vous est possible pour paraître belle, agréable , charmante, et pour être du nombre de celles à qu
87 (1590) De l’institution de la république « QUATORZIEME TITRE. Du Théâtre et Scène. » pp. 507-508
r autant qu’ils ne pouvaient donner au peuple chose, qui lui fût plus agréable , que de leur représenter et exhiber des comédies,
88 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
e dans les Eglises des Vierge Marie, ni des Suzanne, ni des Madeleine agréables de visage ; puisqu’il peut fort bien arriver que
89 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXIII. Impossibilité de réformer entièrement les spectacles. » pp. 191-194
e se dispenser de remuer les plus dangereuses qui sont aussi les plus agréables . Lorsqu’elle veut faire rire, elle ne peut guère
90 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
énération, prirent pour sujet de leurs Discours les matières les plus agréables , qui sont ordinairement celles qui traitent de l’
m j. Encore qu’il n’y ait rien dans ces Spectacles que de doux, que d’ agréable , que de simple ; et qu’il y en ait même quelques-
’helebore ; mais on le met dans les viandes bien apprêtées, douces et agréables au goût : De même, le diable répand son venin sur
: De même, le diable répand son venin sur les choses de Dieu les plus agréables . Que tout ce qui se passe à la Comédie soit génér
une vie si pénible, si je ne suis soulagé par la vue de quelque chose agréable . Que ferons-nous donc, mes frères, laisserons-nou
ies, lui permet tellement de se répandre en des paroles et des gestes agréables , qu’elle lui défend de perdre la gravité de son â
apprendre qu’on peut sans péché se trouver à la compagnie des femmes agréables , les considerer amoureusement, penser aux manière
oit paraître une fille parée de tous les atours qui la peuvent rendre agréable , au milieu d’une Salle magnifique, ou d’un Jardin
hant du précipice ! et l’on a trouvé moyen de s’en faire un Spectacle agréable , et d’y penser en riant ! Allez, allez Prédicateu
91 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
ces jeux profanes, où le vice est dépeint avec tant de vives & d’ agréables couleurs ? Vous contribuez par tous les moyens po
t d’une façon à ne les rendre que plus aimables, par les descriptions agréables qu’on en fait : il n’y est parlé que d’intrigues
ais donné des baladins & des bouffons, pour leur faire des récits agréables & enjoués des désordres les plus honteux, sou
se porte avec ardeur à des désordres quelle n’entend qualifier que d’ agréable servitude, que d’aimables chaînes, que de doux ma
92 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32
 ; c’est ce que peignoit Catulle par ces paroles : cette odeur est si agréable que pour la mieux sentir, vous prierez les Dieux
itude y accoutume si bien qu’on ne les sent plus ; un plaisir d’abord agréable n’est plus un plaisir, dit Madame de Scuderi, con
de la poésie galante, des aventures romanesques aussi dangereuses qu’ agréables , qui louent autant le vice que la vertu, ou plutô
andre le Grand, qui selon Plutarque répandoit naturellement une odeur agréable . Les parfums sont un remède nécessaire aux infirm
93 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27
e fondement, le mobile, l’ame de tout, toujours présenté dans un jour agréable , excusé, loué, embelli par les graces, les passio
s des parens, luxe, infidélité conjugale, en un mot tous les vices. L’ agréable même y manque. Peut-on se réjouir d’une chose si
 ; du moins ces ébranlemens violens sont trop fatigans & trop peu agréables pour beaucoup plaire & beaucoup durer. C’est
me. Par malheur il n’en est pas ainsi de l’amour ; cette passion trop agréable , si séduisante, si naturelle, si homogene, si int
94 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre III. Autre continuation des Mêlanges. » pp. 45-87
lui un accord parfait de vice. La conspiration est mutuelle, elle est agréable à tous les musiciens ; l’acteur doit être le prem
peu la justesse, Mais respiroient la passion. Sa conversation étoit agréable , libre, aisée : il parloit par-tout de volupté en
imens. Cette sensibilité impérieuse l’entraînoit vers tous les objets agréables , qu’il savouroit avec réflexion, & qu’il rend
rtrait. Il est vrai qu’il y seme de l’érudition & bien des choses agréables , quoique souvent fausses. Il parle de la religion
u passer pour meilleur chrétien ; aussi il n’eût peut-être pas été si agréable . Le titre d’Essais qu’il donne à son livre, prom
n peu exagéré dans son panégyrique : ce zele est pardonnable. Quelque agréable , quelque fertile que soit la Sicile, l’enthousias
95 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
e la lice. Il Chap. 12. nous reste à parler du plus fameux et du plus agréable de tous les spectacles. On l’a d’abord appelé dev
ine du devoir. Ce spectacle quelque temps après, devint d’autant plus agréable , qu’il fut plus cruel. C’était peu que d’employer
Or il est hors de doute que la pureté de notre âme est beaucoup plus agréable à Dieu, que la netteté de notre corps. Quoique Ch
ents furieux, qui tourmente tant de spectateurs ? Le croyez-vous fort agréable au ciel, lorsque couronné de fleurs comme un prêt
s cris ? Je veux que dans ces spectacles il y ait des choses purement agréables , simples, modestes, quelquefois même honnêtes : f
avec le fiel, ou avec l’hellébore ; mais avec des liqueurs douces et agréables au goût. C’est ainsi qu’en use le démon : il cach
96 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
bandonnèrent les routes battues ; préférèrent le plus piquant au plus agréable  ; le mélange confus des teintes, aux charmes d’un
es, (c’étoit Momus Fabuliste.) L’un de ces Auteurs a reculé l’instant agréable d’apprendre au public, qu’il s’étoit occupé de ce
97 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
us priver, parce qu’il peut être dangereux, d’un plaisir qui réunit l’ agréable à l’utile, elle propose les moyens de l’augmenter
mots français, elles deviennent légitimes, dès qu’elles sont claires, agréables à l’oreille, & qu’elles abrégent la diction.
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
cachent modestement leur mérite, & donnent au Public des Ouvrages agréables sous une forme frivole & trompeuse. Quel Art
99 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
reuses représentations : ce peuple innocent et simple trouve un assez agréable divertissement dans sa famille parmi ses enfants 
100 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
été bien plus flateur pour moi de présenter l’antidote sous une forme agréable . J’ai sacrifié mon intérêt personnel à celui de t
/ 361