/ 176
1 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
s vœux, sa premiere estime, ses premiers hommages au grand Moliere, l’ Académie Françoise a bien voulu accorder après lui à Fenel
é à toute la France un si scandaleux contraste ? Qu’a donc prétendu l’ Académie  ? a-t-elle voulu se moquer de Moliere, & répa
a noblesse & les halles, le vice & la vertu ? Mais, dit-on, l’ Académie n’est pas une assemblée de Prêtres chargés de prê
eur jusqu’au temps où les Prédicateurs se sont montés sur le ton de l’ Académie , a été d’avoir chassé tous les Comédiens de son r
r chassé tous les Comédiens de son royaume. Ce saint Roi, Patron de l’ Académie , n’auroit pas placé Moliere sur les Autels. Mais
on de la Fontaine, Moliere en a donné le goût. La Fontaine étoit de l’ Académie , il eut le bonheur de se convertir, il pleura amé
convertir, il pleura amérement son péché, reçut tous les sacremens, l’ Académie y envoya ses Députés, & fit pour lui un servi
i a justement refusé la sépulture ecclésiastique ; mais en revanche l’ Académie lui a érigé un brillant mausolée dans le temple d
de Fenelon a fait prononcer au Conseil un arrêt bien humiliant pour l’ Académie . L’Abbé Clément, qui vient de mourir, homme de mé
qui doit lui avoir procuré cent acheteurs. Il y étoit autorisé par l’ Académie , qui venoit de proposer ce sujet pour le prix, ou
oin de conjecture. De plusieurs éloges de M. de Fenelon présentés à l’ Académie , deux ont été accueillis avec distinction ; l’un
es de s’imaginer que l’irréligion est un titre sur les suffrages de l’ Académie , qui fera passer des ouvrages très-médiocres, tel
de la maniere la moins flateuse pour les Juges qui l’ont prononcé. L’ Académie est à plaindre ; quoique sans doute pleine de rel
Fenelon, Archevêque Duc de Cambrai, dont l’un a remporté le prix à l’ Académie Françoise, & l’autre a concouru pour le même
écarts, S.M. ordonne que l’article 6 du règlement fait en 1671 par l’ Académie Françoise, à l’occasion des discours qui doivent
mp; y résident actuellement, sera ponctuellement observé. Enjoint à l’ Académie Françoise d’y tenir la main, & lui fait défen
trait qui n’est pas moins singulier, c’est l’opposition de l’ancienne Académie avec la nouvelle, de l’éloge de Moliere proposé,
Louis XIV, & c’est alors que la vérité a arraché aux oracles de l’ Académie le portrait le plus odieux, qui bien loin d’être
ple frappant de la bizarrerie de nos usages. On le voit encore dans l’ Académie . Un citoyen vertueux réformateur de la patrie. C’
tifie l’infamie légale dont il fut couvert, l’exclusion de l’ancienne Académie , la condamnation de ses plus grands hommes. On ne
rronne un panégyrique qui en fait un Saint ! L’Auteur me fait rire, l’ Académie me fait gémir. M. de Harlai, Archevêque de Paris,
à la réception de M. de Marivaux, parlant à la tête & au nom de l’ Académie assemblée, en qualité de Directeur, fit une sorti
eurs du Théatre le droit de réclamer contre les oracles de l’ancienne Académie . Mais le Chancelier Daguesseau, qui ne fut jamai
es ouvrages ciniques d’un homme qui avoit fait plus de mal qu’eux ? L’ Académie naissante, qui dans la critique du Cid s’éleve si
otecteur, & s’abaissoit jusqu’à vouloit être auteur ; en un mot l’ Académie pendant un siecle & demi se fut-elle assez pe
i extrema meta. Le Mercure faisant l’extrait du discours présenté à l’ Académie par le sieur la Harpe (devenu fameux par l’arrêt
quelques idées (idées de cent pages) qu’il n’auroit pas envoyées à l’ Académie (il auroit bien fait pour lui & pour elle,) s
à des idées jettées sur le papier. Quelle fatuité ! quelle injure à l’ Académie  ! de quelles merveilles ne doit pas être capable
mie ! de quelles merveilles ne doit pas être capable un Auteur dont l’ Académie en corps à presque couronné une esquisse qui n’es
ient ses grandes occupations ? Si jamais il y met la derniere main, l’ Académie pour le couronner, prendra le prix de trente anné
uche a eu l’accessit ! On a donné dans le même temps en différentes Académies trois sujets pour le prix qui doivent déplaire au
conséquent Moliere un homme frivole, proposé pour sujet du prix de l’ Académie Françoise ; un homme dont la frivolité fait tout
sujets ne sont-ils pas une satyre ingénieuse de celui qu’a proposé l’ Académie , une sorte de réparation du scandale, & un pr
ar rapport à la religion & aux mœurs deux objets que sans doute l’ Académie respecte. C’est une contradiction : peut-on louer
son jugement à toute la terre par l’impression, mais il a adressé à l’ Académie elle-même la lettre celebre qu’il écrivit. Molier
ule, &c. Cette lettre figurera-t-elle bien dans les archives de l’ Académie à côté de l’éloge de Moliere ? Mais M. de la Harp
édie, drame ordinairement plus décent, Fenelon dit dans sa Lettre à l’ Académie  : Je dois commencer en déclarant que je ne souhai
Euripide, Corneille. De là il passe à la comédie, dont il propose à l’ Académie de faire un traité, examine les beautés, les défa
plus grands hommes payent toujours tribut à l’humanité. Qui sait si l’ Académie n’a pas proposé son éloge pour être l’excuse de l
bouffonneries, de sa mauvaise morale, & cependant il propose à l’ Académie le projet d’un traité de la tragédie & de la
r être pesés par de si jeunes mains. On auroit dû encore épargner à l’ Académie la nécessité critique de prononcer entre deux fam
rmine son nouvel Evangile par une priere aussi sublime que lui, que l’ Académie a sans doute récitée fort dévotement, & que r
révenir ces scandales, en renouvelant le règlement que s’étoit fait l’ Académie elle-même, & qu’elle avoit jusqu’alors observ
ouvent en faveur de Cicéron, de Virgile & d’Horace. Les prix de l’ Académie ne sont-ils pas destinés aussi à cultiver les tal
est entre les mains de tout le monde. Qu’on lise, & on jugera. L’ Académie Françoise auroit mieux servi la religion, les mœu
u prix de faire la satyre de Moliere. Son exemple a été contagieux. L’ Académie des Jeux Floraux de Toulouse, qui distribue chaqu
s, on rougira du parallelle, & on rendra justice au jugement de l’ Académie de Toulouse. Mais comme chez des Chrétiens, chez
xcuser les Jeux Floraux qu’en disant qu’on a voulu faire la leçon à l’ Académie Françoise, en proposant l’éloge d’un Savant qui v
. On en a été si vivement & si justement frappé à Toulouse, que l’ Académie a rétracté sa scandaleuse proposition, & dans
Sieur Chamfort n’étoit pas muni de l’approbation de deux Censeurs. L’ Académie a-t-elle pu couronner des hérésies ? Mais la phil
lité, d’erreurs & d’antitheses méritoit peu d’être couronné par l’ Académie , & le sujet d’être proposé pour le prix. Mais
2 (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194
er, lorsqu'ils apprirent que la lettre avait été lue tout entière à l’ Académie , et que, pour les sentiments autant que pour les
e. Le Père et le poète étaient d’ailleurs aigris ; le poète, contre l’ Académie , parce qu’il n’en était pas, quoiqu’il eût viveme
joignirent à gens qui étaient après à critiquer le Dictionnaire de l’ Académie . I1 n’y avait guère qu’un mois ou deux que l’Acad
ctionnaire de l’Académie. I1 n’y avait guère qu’un mois ou deux que l’ Académie en corps avait présenté au roi ce fameux dictionn
Dictionnaire des halles, comme si l’on eût voulu dire que celui de l’ Académie ne pouvait guère être d’usage que pour les hareng
ngères et pour les crocheteurs. C’était un reproche qu’on faisait à l’ Académie d’avoir farci son dictionnaire de proverbes popul
avec un empressement qui fit rire M. l’archevêque. Quoiqu’il fût de l’ Académie , loin d’être disposé à venger le dictionnaire, il
3 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202
Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. L’ Académie Françoise, aujourd’hui si Comédienne, que la plup
titre brillant qui les a fait inscrite dans le nombre de quarante, l’ Académie , dis-je, a été cruellement jouée sur le théatre.
aits contre elle, il parut en 1650 une comédie intitulée Comédie de l’ Académie , où le corps & les membres étoient joués, com
’esprit & l’humeur, & qu’on savoit ne faire guere d’état de l’ Académie . Il y a plusieurs erreurs de fait qu’un Académici
édie dés Académiciens. Le mot Académiste signifie un homme qui va à l’ Académie pour apprendre à monter à cheval, ou à faire des
it jusqu’à composer, & qui voulut que la premiere occupation de l’ Académie naissante fût la critique du Cyd. Cet esprit est
naissante fût la critique du Cyd. Cet esprit est préjudiciable à une Académie  ; il fait diversion aux études sérieuses, & a
x utiles. Qu’attendre que des choses frivoles d’un Comédien ? Aussi l’ Académie Françoise n’a donné que son Dictionnaire qui a du
t séparés par la brillante association de la comédie Françoise avec l’ Académie Françoise, qui porta au comble la gloire des deux
pour rien, & même faisoient acheter. L’Opéra, quoique doublement Académie de musique & de danse, a été peu flatté des o
Académie de musique & de danse, a été peu flatté des offres de l’ Académie de la langue. Les Italiens n’ont voulu rien enten
langue. Les Italiens n’ont voulu rien entendre, ils ne veulent que l’ Académie de la Crusca. Enfin touchée de l’humble supplicat
olut d’entériner la requête, & d’accorder les grandes entrées à l’ Académie . Dans un grand Conseil il fut nommé des Députés p
soit à la compagnie. On sent bien qu’il n’oublia pas les Actrices ; l’ Académie est trop galante pour ne pas mettre des guirlande
eurs succes & leurs graces. Des-lors la troupe fut incorporée à l’ Académie , & l’Académie à la troupe. C’est un corps mi-
leurs graces. Des-lors la troupe fut incorporée à l’Académie, & l’ Académie à la troupe. C’est un corps mi-parti, Académi-com
chemin. La troupe fut donc reçue Académicienne, & tout de suite l’ Académie en corps se rendit au théatre, fut introduite par
séquence pour l’Etat, & un brillant fleuron pour la couronne de l’ Académie . Une piece de théatre bien représentée doit plair
es Comédiens l’emporte sur tous les gens de lettres, & toutes les Académies . Aucun Acteur ne reçoit des présens, acune Actric
ager des Dieux, avec son caducée & ses talonnieres, fait rouler d’ Académie en Académie ? Quel est-il donc lui même, cet être
ux, avec son caducée & ses talonnieres, fait rouler d’Académie en Académie  ? Quel est-il donc lui même, cet être supérieur,
4 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] J.J. ROUSSEAU CITOYEN DE GENÈVE,A M. D’ALEMBERT, De l’ Académie Française, de l’Académie Royale des Sciences de P
SEAU CITOYEN DE GENÈVE,A M. D’ALEMBERT, De l’Académie Française, de l’ Académie Royale des Sciences de Paris, de celle de Prusse,
s de Paris, de celle de Prusse, de la Société Royale de Londres, de l’ Académie Royale des Bel- les-Lettres de Suède, et de l’Ins
5 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
ns de réserver pour ce second Volume la Lettre, dont M. Gresset, de l’ Académie Françoise, l’honora le 30 Mai 1772. Et nous y joi
ées sur l’effet moral de nos Spectacles. LETTRES De M. Gresset, de l’ Académie Françoise, à M. Desprez de Boissy. Amiens, le 30
Dissertations qu’il lut les 14 Juin 1771, & 21 Janvier 1772, à l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres dont il est
bre. Elles ont été insérées dans le 39me Volume des Mémoires de cette Académie . Cette question y est traitée & discutée d’un
6 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
e prendrons de la Vie de Corneille par Fontenelle, de l’Histoire de l’ Académie par Pélisson, de celle du Théâtre par les frères
de Chevreau, dans l’Histoire du Théâtre (Tom. 6.), et l’Histoire de l’ Académie , bien des particularités de la vie de Colletet, q
qu’en fit Richelieu pour son second, ni celui qu’il en fit faire à l’ Académie pour un de ses membres. Son Eminence « témoigna d
it mauvais railleur, et Thalie se tut. On se tourna donc du côté de l’ Académie Française, à qui la tragi-comédie du Cid fut sole
n rien influé sur les démarches du Poète Prélat. La condamnation de l’ Académie , où même il ne fut pas question de cet article, e
éature du Cardinal, publie ses observations sur le Cid, adressées à l’ Académie , et la prie de prononcer. Le Cardinal se déclare
aire, la plupart des Conseillers étaient pensionnés ; un fondateur, l’ Académie naissante lui devait l’être et la vie : jamais Ju
et toute l’intrigue du Cardinal pour la faire réussir. « Afin que l’ Académie pût juger, ses statuts voulaient que l’autre part
de grands compliments, qu’« un si petit objet n’était pas digne de l’ Académie , qu’un libelle qui ne méritait pas de réponse ne
isance autoriserait la jalousie, qu’on importunerait tous les jours l’ Académie , et que dès qu’il paraîtrait quelque chose sur le
pour sa pension, il laissa échapper ces paroles dans une lettre : L’«  Académie peut faire ce qui lui plaira ; puisque Monseigneu
ne manqua pas de la trouver décisive pour fonder la juridiction de l’ Académie . Cette Compagnie ne se rendit pas pour cela, il f
note il avance une chose qu’il n’est pas facile d’entendre, quoique l’ Académie , pour lui faire honneur, en ait fait usage : « L’
stre se ligue, Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue ; L’ Académie en corps a beau le censurer, Le public révolté
7 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE II. De la Danse. » pp. 30-51
la Danse. Il s’est formé de toutes parts en France une multitude d’ académies de toute espèce, la langue Françoise, les arts, l
a établi pour tout, jusqu’à la musique & à la danse. Du moins ces Académies ont un objet utile ; mais qui se seroit attendu q
école publique la plus pernicieuse du vice ? Il s’est aussi formé une Académie de parure. Un Coëffeur de Paris, Baigneur des Dam
ez lui, outre un riche magasin de toute sorte de coëffures, une vraie Académie de toilette, où il y a trois Professeuses de coëf
Ce n’est point une plaisanterie, c’est un fait connu de tout Paris. L’ Académie de musique n’est autre chose que l’opéra, qui s’e
qui s’est donné ce nom brillant, & par là un air scientifique. L’ académie de danse fut établie en 1661, par lettres patente
p; le corps des Maîtres à danser, ne se soient aussi décorés du nom d’ Académie dramatique, Académie de Thalie, de Terpsichore, &
es à danser, ne se soient aussi décorés du nom d’Académie dramatique, Académie de Thalie, de Terpsichore, &c. & n’aient
ent noblement sur le pied des maisons de Prince, ce que n’ont pas les Académies . Chaque théatre a son conseil bien pensionné, san
renouvellement, si elles existent ? il n’y a qu’à en user. Ce goût d’ Académie de Terpsichore a passé le Rhin. Fréron (Lett. 8.
François, a fondé à Manheim, sous les yeux de l’Electeur Palatin, une Académie de danse, comme celle de Paris, où la protection
l, n’ont aucun crédit (ce Mattre à danser est un vrai phénomène). Son Académie est composée de soixante jeunes figurans & fi
nse & les danseuses. La danse est un art véritable, il mérite des académies , aussi-bien que les autres exercices du corps, l’
8 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28
gloire à l’imiter, c’est leur Apollon, ses farces sont des oracles. L’ Académie vient de donner son éloge pour sujet du prix, &am
e de donner par ses éloges l’envie de lire un Auteur si pernicieux. L’ Académie Françoise ne voulut jamais recevoir ce réformateu
stile ; ici c’est la nation entiere, & même les étrangers, que l’ Académie invite de la maniere la plus engageante à faire d
près d’un siècle de mépris ; mais est-ce bien observer les loix de l’ Académie , & celles de l’édification publique ? Qu’on f
i bien que Corneille, en déplorant par une sincère pénitence ce que l’ Académie veut marquer au sceau de l’immortalité par les su
au de l’immortalité par les suffrages de la nation & les siens. L’ Académie de Rouen a fait naître cette idée. En 1767 elle p
eur de ma patrie au-dessus des Monarques les plus vantés, &c. Une Académie en corps a eu le courage de faire concourir pour
res avoués par les loix. M. de Chamfort est embarrassé de concilier l’ Académie avec elle-même, & avec le gouvernement éclési
ivé de la sépulture éclésiastique, & Corneille en bon Chrétien. L’ Académie n’a daigné penser à Moliere qu’un siecle après sa
ne dit que trop vrai, Loix, Canons, Église, Police, Religion, Vertu, Académie , tout est étranger à Moliere, Moliere est étrange
la plus mince, &c. Je ne puis pardonner, dit Fenelon, (Lettre à l’ Académie ) à cet Auteur (à Moliere), d’avoir donné un tour
la pudeur toujours offensée. Nous en conclurons sans balancer, que l’ Académie Françoise, dans le temps que ces deux grands homm
p;c. Voilà un témoignage qu’on ne peut récuser, mais que sans doute l’ Académie Françoise ne couronnera pas. Qu’on vienne nous di
9 (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445
furent continuées avec un fort grand succès sous le titre d’Opéra ou Académie de musique. L’union de ces Associés ne subsista q
té dont ils jouissent ; il lui a plu d’établir depuis peu à Paris une Académie et des Ecoles de Musique, et de pourvoir aussi en
dition de ses ordres exprès à la sûreté particulière du lieu où cette Académie est établie. Et d’autant qu’il importe que chacun
raordinairement contre ceux qui au dedans ou au dehors et proche de l’ Académie exciteront quelque tumulte, et qui troubleront le
culière qu’il lui plaît de donner en faveur des Arts et du Public à l’ Académie de Musique, ceux qui se trouveront à ces représen
ndition, même à tous Soldats, de se trouver aux environs du lieu où l’ Académie de Musique est établie, les jours des représentat
dition qu’elles soient, de faire effort pour entrer dans le lieu de l’ Académie  ; de porter aucunes armes à feu dans celui des re
cureur du Roi, Que Sa Majesté n’ayant pas voulu favoriser seulement l’ Académie de Musique, et lui donner les moyens d’augmenter
elque violence dans le lieu où il a plu au Roi de faire établir cette Académie . Nous, conformément aux ordres exprès de Sa Majes
ndition, même à tous Soldats, de se trouver aux environs du lieu où l’ Académie de Musique est établie, les jours des représentat
e, sous quelque prétexte que ce soit, de se présenter à la porte de l’ Académie pour y entrer, même en payant, à peine de punitio
10 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
les sottises d’autrui (sur la débauche). Cet Auteur fut de quelques Académies . Sa religion, ses mœurs, ses aventures, ses comêd
ens, & souvent même n’est-on pas fort difficile sur les talens. L’ Académie Françoise n’a-t-elle pas admis plus de trente com
use, de Lafontaine à Marseille, on auroit tout de faire un procès à l’ Académie de Florence d’avoir adopté l’Arétin. Il eut l’imp
ons sur les matieres théatrales, soit dans les discours présentés aux Académies , à l’honneur de Moliere & de Lafontaine, par
ellement condamné par le jugement & les écrits de la plus célebre Académie , (de la Crusca) qui, dans le fonds, n’avoit pas t
corriger. Il avoue, dans un grand discours sur l’amour, prononcé à l’ Académie de Padoue, que l’amour est un poison : mais, dit-
Italie : il y régnoit une épidémie académique ; on y comptoit plus d’ Académies que de villes & de bourgs. C’est comme de nos
cès, mais un excès louable qui, multipliant les Savans, multiplie les Académies . Cet auteur croit bonnement que tous les académi
les académiciens sont des savans, qu’on apporte ou qu’on acquiert aux Académies toutes les connoissances & tous les talens, &
mp; tous les talens, & que tous les titres entassés d’une foule d’ Académies , dont on charge les frontispices des livres, sont
prit le nom de Berger extravagant : car c’est la mode que toutes les Académies italiennes prennent un nom bisarre, Humoristes, E
. Ce discours fut, dit-on, fort applaudi. Qui en doute ? Quelle est l’ Académie qui ne paie par des complimens ceux qu’un nouveau
é littéraire n’en fait qu’une coterie de plaisir & d’amusement. L’ Académie de la Crusca fut moins indulgente : elle donna da
nsurer le Cid. On attaqua le Tasse par l’endroit le plus sensible : l’ Académie en corps fit la censure la plus amere de la Jérus
ès, le Tasse étant venu à Florence avec la protection du Grand-Duc, l’ Académie aussi courtisanne que vindicative, fit les plus g
ont les fleurs qu’on a jettées sur les cendres de son Traducteur, à l’ Académie Françoise, dont il étoit pourtant le Secrétaire p
te calomnieusement : mais il est triste, & pour lui, & pour l’ Académie , qu’on ait pu l’en soupçonner, & que l’éloque
11 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — [Introduction] » pp. -1
[Introduction] L’ ACADÉMIE de Peinture, de Sculpture & d’Architecture de
ne, Voltaire, Duclos, Marmontel, Historiographes de France & de l’ Académie Françoise. Un auteur dramatique, un romancier, co
re l’histoire, qui dans ses mains, sera un roman & une comédie. L’ Académie de Toulouse a donné, par l’onction de cette charg
12 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
es, il fait gémir la vertu ; les prix dramatiques sont l’ouvrage de l’ Académie françoise, qui, en couronnant l’éloge de Moliere,
gretter, de n’avoir qu’une récompense à donner, (compliment banal des Académies dans la distribution des prix,) rendent un hommag
Magistrats préparent à l’Etat cette irreligion succée avec le lait. L’ Académie des Belles-Lettres de Montauban vient d’établir d
e ouvrage sur quelques sujets d’Agriculture qui aura été présenté à l’ Académie . On a choisi pour la distribution le troisieme du
terre : ut fructus terræ dare & conservare digneris . Le matin l’ Académie s’assemble dans l’Eglise paroissiale où l’on dit
’Agriculteur à recourir à l’Auteur de tous les biens. L’après dîné, l’ Académie s’assemble dans la Salle de l’Hôtel de Ville. Les
s Curés en le recevant ont bien voulu faire un petit remerciement à l’ Académie qui a été fort applaudi ; plusieurs Académiciens
13 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74
plus constamment, plus dangereusement que sur le théatre ? C’est une Académie où on travaille sur le langage des passions mieux
une Académie où on travaille sur le langage des passions mieux que l’ Académie sur la langue françoise. Les femmes Payennes y mê
der les visages, sont l’un des plus importants objets dont s’occupe l’ Académie Royale des Sciences. Elle nomme des Commissaires
, je l’ai trouvé. Il court chez le Secretaire, pour en faire part à l’ Académie , lui fait voir plusieurs têtes coiffées de divers
menes de la toilette. Les Commissaires y ont mis tous leurs soins ; l’ Académie , assemblée extraordinairement, a ouï leur rapport
er la façon de le faire. Après avoir obtenu les Lettres patentes de l’ Académie , scéllées de son sceau, que les Lettres patentes
r Collins, sont allés offrir leurs perruques & leurs couleurs à l’ Académie de Musique, & à tous les Théatres. Il y ont é
judiciable à la santé, comme il est affirmé par les Commissaires de l’ Académie Royale des Sciences, envoyés à la toilette des Da
ne connoissoit jusqu’ici que le rouge minéral, les Commissaires de l’ Académie déclarent qu’il est mal-faisant ; mais le rouge v
limens rouges, elles deviendront toutes rouges. Les Commissaires de l’ Académie , dont l’un est le sieur Maquer, fameux Chimiste,
. Un traité si complet du rouge végétal prouve aux Dames le cas que l’ Académie fait de leur peau. Cependant ce n’est ni le sieur
cadémie fait de leur peau. Cependant ce n’est ni le sieur Collin ni l’ Académie qui ont commencé. Le fard est de la plus haute an
reste qu’à mettre dans le Recueil des Arts & Metiers que donne l’ Académie , l’Art de farder, comprénant l’art de composer &a
en réponds aura le plus grand débit, & sera le plus d’honneur à l’ Académie . Voici de nouvelles découvertes que sans doute on
vraie charlatanerie, & ces commissions de la Faculté, & de l’ Académie de véritables scenes de comédie. Mais les Dames n
14 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
Prieuré dont il recevoit les revenus en grimaçant & une place à l’ Académie Françoise qu’il amusoit ; ainsi les biens ecclési
e mit au tombeau dans la fleur de son âge. Quand Abeille fut reçu à l’ Académie , Racine homme très-caustique, mais que la dévotio
rtu. L’Abbé de Voisenon, dont nous avons parlé, vient de recevoir à l’ Académie Françoise les éloges d’Etiquettes. Deux Evêques o
c’est tout ce qu’il faut pour être des quarante. Mais voici ce que l’ Académie n’exige pas, & qu’on ne loue gueres dans les
t-il, pour en faire honneur à la Religion devant le public, devant l’ Académie , & sur-tout devant l’illustre Prélat qui lui
Cette préférence sur-tout fait honneur au successeur, en fait peu à l’ Académie , l’amour pour la Religion doit être commun à tous
amour pour la Religion doit être commun à tous les chrétiens, & l’ Académie plus éclairée qu’un autre doit être plus zélée. L
s, & l’Académie plus éclairée qu’un autre doit être plus zélée. L’ Académie a d’ailleurs des Evêques  & même des Archevêq
les remarquer à l’honneur de la Religion devant le public, devant l’ Académie , sur-tout devant l’illustre Prélat qui lui succed
é de gens de lettres sur le mot Tubies. Malgré le pompeux éloge que l’ Académie de Montauban fait de son patriote dans le Recueil
3 d’août, la Parodie des éloges que deux Eveques avoient prononcé à l’ Académie Françoise à l’honneur de l’Abbé de Voisenon, plus
Cet ouvrage saupoudré & cette epicerie ont flatté le Palais de l’ Académie & de deux grands Evêques. Que penser de leur
15 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
ofesseur de l’Académie Royale, et un certain Vardus Préfet de la même Académie , qui tous deux avaient été députés au Synode de D
sont, ou ont été en quelque autorité, premièrement à Saumur, où est l’ Académie des étrangers, avant sa réductionn, j’ai vu diver
u, le service du Roi, et la réputation du prochain (Dictionnaire de l’ Académie , 1694). Si l’on m’objecte que dans la farce il y
rrilitas. f. Fille ou femme débauchée et publique (Dictionnaire de l’ Académie ). g. [NDE] Ceux qui pensent que le retour du Chr
tes, d’une suite d’avantages remportés à la guerre (Dictionnaire de l’ Académie , 1694) m. [NDE] L’argument n’est pas clair. L’id
échelle = escalade. w. [NDE] bastant = suffisant (Dictionnaire de l’ Académie , 1694). x. [NDE] Plante, originaire de Grèce, co
16 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Mêlanges Dramatiques. » pp. 8-39
gnol, qu’on a traité de satyre du Théatre François. Il l’a dédiée à l’ Académie d’Espagne, qui ne lui a pas fait un grand accueil
de Rome à Paris, a passé par Lyon. Il a rendu en passant hommage à l’ Académie de cette ville, & en a reçu le tribut d’éloge
& en a reçu le tribut d’éloge dû à ses talens. Le Directeur de l’ Académie l’a engagé à se détourner de son voyage, pour all
le courant du Parnasse. Poncet à son retour a présenté son modele à l’ Académie , qui l’a fort applaudi, & le Directeur lui ad
u de lecteur, firent sa fortune littéraire, & le placerent dans l’ Académie . Le Théatre en fit un homme frivole : il donna de
Colleret lui-même se moqua. Scuderi, par la même faveur, fut reçu à l’ Académie Françoise, dont le Cardinal étoit fondateur, &
ent pencher la balance. Le Théatre commençoit d’être accueilli dans l’ Académie , par le goût décidé du Cardinal : il y domine auj
plus inégaux en mérite, qui composoient son Bureau poétique & son Académie naissante ; Boisrobert, Colletet, Létoile, Rotrou
étoile, Rotrou & Corneille, qu’il ne fit pas même entrer dans son Académie , quoiqu’ils le méritassent mieux que les autres.
17 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
ire, pour dire, qu'Elle est échappée de la mémoire (Dictionnaire de l' Académie ). e. [NDE] jà = déjà. f. [NDE] ains = mais,
r que le souvenir d'une chose se perde entièrement (Dictionnaire de l' Académie ). j. [NDE] Le texte a "quelcun". k. [NDE] con
les actions recevront leur loyer en l'autre monde (Dictionnaire de l' Académie ). n. [NDE] oncques = jamais. o. [NDE] On corr
es. q. [NDE] souventefois = souvent, fréquemment (Dictionnaire de l' Académie ). r. [NDE] parle = dit. Il manque le "de", mais
équivalente. ag. [NDE] pertuis = trou, ouverture (Dictionnaire de l' Académie ). ah. [NDE] espardre = disperser, dissiper (Nic
18 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
ettre sur la comédie LETTRE DE M. GRESSET, L’un des Quarante de l’ Académie Françoise, A M. *** SUR LA COMÉDIE. Avec l’Annon
Amiens sous le titre de Lettre de M. Gresset, l’un des Quarante de l’ Académie Françoise, à M. *** sur la Comédie, (pag. 16. in-
& l’agrément. *** LETTRE DE M. GRESSET, L’un des Quarante de l’ Académie Françoise. A M. *** SUR LA COMÉDIE. Les sentimen
19 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100
i occuperent les séances des 14 Juin 1771, & 21 Janvier 1772 de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres dont il est
grandes connoissances. On a dans le premier volume des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres une Dissert
vertu. On a sur cet objet, dans le quinzieme volume des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, une Disser
ns une Dissertation qui se trouve au premier volume des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, observe qu
. On a sur cet objet, dans le vingt-septieme volume des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres une Dissert
onami, insérées dans les tomes XV, XVII & XXIII des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. Ce fut don
es de la Trémoille, &c. On a dans le tome XXIII des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, une Disser
, dans une Dissertation insérée dans le second Tome des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, il est dif
Grecs, fait l’objet d’une Dissertation50 de M. le Beau le cadet, de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. Il y expos
sseau. 2. Dans sa Dissertation insérée au tome XV des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. 3. Dans l
moire sur les Jeux scéniques des Romains, tome XVII des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. 19. Nero
Dans son Mémoire sur les Jeux scéniques, tome XVII des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. 46. Nunq
France. 50. Elle a été insérée dans le XXXVe Tome des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. 51. Page
20 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
r en un corps académique, jouissant des mêmes honneurs que les autres Académies Royales. Les Rois sont très-fort les maîtres de l
ans l’état, ils remplissent les premieres places dans les différentes Académies , cependant ce sont leurs ouvrages qui sont dans l
21 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6
n burlesque : c’étoit en effet un vrai sujet de Calot. Il n’y a que l’ Académie Françoise qui l’a pris sur le ton sérieux, &
es beaux titres sont à peu près comme le titre d’Académicien de vingt Académies , que les Ecrivains se donnent. Ou s’il vaut quelq
22 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114
ter les opéras en très-grand nombre qu’il a faits depuis, & que l’ Académie de musique joue tous les jours. Il est vrai que l
une comédie publiquement représentée & imprimée plusieurs fois. L’ Académie Françoise voulut embellir sa liste du nom de Dest
lque comédie ; car le grand nombre de ses piéces a été fait depuis. L’ Académie l’a inspiré, elle a été son Appollon & sa Tha
ue sous les théatres, & à tous les discours de reception dans les Académies . Un Ministre du Roi dans les Cours étrangeres aur
pas fidelle. Destouches a un procès avec l’opéra. Il se plaint que l’ Académie Royale de Musique lui a enlevé sa Fagonde. Cette
e le dernier période de la science des sons. Il fut Surintendant de l’ Académie de Musique & de la musique du Roi, avec quatr
23 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
idicule ; chacun est unique en son genre. Aucun pourtant n’a été de l’ Académie . On a fait réparation d’honneur à Moliere en donn
ier les places, que l’architecture théatrale de celle d’un hôtel. Les Académies donnent pour sujet du prix bien plus grand que ce
orifie ? Il manque cependant un fleuron à la couronne de Moliere. Les Académies ne se sont point occupés de ses ouvrages, & l
me Philosophie, est le seul qui ait songé à l’y chercher. Cependant l’ Académie des Inscriptions a beaucoup travaillé sur le Théa
tre François, n’en sont qu’une partie, & la moins savante. Pour l’ Académie Françoise, est-il douteux que sur les scenes de M
comme on trouvoit dans Aristote un cours de science philosophique. L’ Académie les annonça par la bouche du sieur Chamfort, dont
hommes. Voilà l’homme proposé aux éloges publics de la nation par une Académie célebre. A le bien prendre, les titres de sa gloi
des assemblées de plaisir, comme les villes d’Italie ont chacune leur académie sous des dénominations burlesques, ricourati, esc
24 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
ait être fixée à un nombre invariable de personnes, comme celui d’une Académie . Aucun sujet n’y devrait être reçu que par les Ac
ue par les Acteurs mêmes, à la pluralité des voix. Voilà le droit des Académies  ; ç’a été longtemps celui des Comédiens, mais ils
oupes de Province, seraient obligées de s’y conformer sans réserve. L’ Académie Française serait chargée de cette révision ; c’es
25 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
nelle de sa nature. III. La Comédie a offert une place distinguée à l’ Académie Françoise, & l’acceptation de cet illustre co
entre les mains de l’Avocat, (p. 188,) un nouveau moyen de défense. L’ Académie ne s’est point arrogé le jugement de la morale ch
26 (1825) Des comédiens et du clergé « Dédicace » pp. -
Dédicace A MM. de l’ Académie royale de musique ; MM. les Comédiens ordinaires
27 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
t ni sacré, ni profâne, ni vice, ni vertu, ni nudité, ni décence. Les Académies dans les ouvrages qu’elles couronnent, les sujets
t les Perruquiers, Coëffeurs, Parfumeurs. Comme ils se sont formés en académies , conferent les dégrés de bachelier & de docte
hantant des ariettes & faisant des lazzis. Le Brun a su ériger en académie ces barbouilleurs, & Sahalin les tailleurs. A
, la routine une science, l’artisan un artiste, & une jurande une académie . L’un a dételé le matin, l’autre l’après-midi. L’
a gloire. Pourquoi ne suivroient-ils pas la route qu’on a ouverte ? L’ Académie , qui traite de tous les arts, ne leur refuse pas
ouvriers seront des Bernoulli, des Clairault, & nos Jurandes des Académies . Quel plaisir de voir dans les comptes, tant pour
répondant à M. le Maréchal de Duras, lorsque ce Seigneur fut reçu à l’ Académie Françoise, fait une réflexion contre les sujets d
28 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71
re ; elle fait fortune à la capitale & dans les provinces, où les Académies menacent de devenir aussi nombreuses que l’étoien
i bel exemple en France, à l’honneur de Moliere, Corneille, Racine. L’ Académie Française vient d’y préluder, en donnant l’Eloge
ndant en qualité de Directeur à M. Marivaux, lors de sa reception à l’ Académie Françoise, lui parla ainsi de ses Romans & Co
anta dans le monde. Elle n’est pas moins juste : on essaya d’aigrir l’ Académie , en disant que c’étoit blâmer son choix ; on ne r
eption, a en depuis le même zèle contre les gens sans Réligion dont l’ Académie ne croit pas que le nom dépare la liste, il a été
oges, Maffei eut la modestie de faire ôter la statue de la salle de l’ Académie où on l’avoit placée, & où on la remise après
29 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
& sa folie, fut reçu en Prusse, fait lecteur du Roi, reçu dans l’ académie de Berlin, & après sa mort, par une distincti
e Prusse prétend n’avoir loué que ses talens dans la médecine comme l’ Académie , dans les éloges de Moliere & de Lafontaine,
n lui suppose, qui mérite peu les éloges publics d’un roi & d’une académie . Le Testament des douze Parriarches est un ancien
12, 24, VIII, 12. Amos, VI, 16. Michée, II, 4 & les Pseaumes. L’ académie des Inscriptions a donné pour sujet du prix, une
mais, s’il n’eut fait que des fables, il n’eût en des panégyristes, l’ Académie n’eût pas pensé à lui : mais ils plaisent plus qu
lier de l’Hôpital, par l’abbé Remi, Avocat au Parlement, couronné à l’ Académie Françoise & justement condamné par la Sorbonn
obation la plus réfléchie, la plus éclatante, la plus authentique ; l’ Académie la plus éclairée la confirme par un prix glorieux
pas un blasphême littéraire de soupçonner que ce sont les idées de l’ Académie , & de dire d’un corps célebre, Dieu nous gard
& de dire d’un corps célebre, Dieu nous garde de la doctrine de l’ Académie  ? L’opposition de la Sorbonne aux divers membres
30 (1638) L’Image du Vray Chrestien. Chapitre IV « Chapitre 4. » pp. 106-108
es. Former les moeurs, instruire aux bonnes moeurs (Dictionnaire de l' Académie ).
31 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
méritera de ces petits ouvrages qui courent. J’ai été fort aise que l’ Académie ait enfin déterminé de faire une Epître dédicatoi
32 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153
gens de mérite, & lui-même si bon littérateur n’étoit point de l’ Académie Françoise, quoiqu’il n’y en eut point qui le méri
n eut point qui le méritassent mieux que lui. Quand la Reine vint à l’ Académie , elle fut fort, étonnée de ne pas l’y voir, &
que le mérite. Elle avoit envoyé son portrait enrichi de diamans à l’ Académie Françoise alors naissante. L’Académie fut la visi
portrait enrichi de diamans à l’Académie Françoise alors naissante. L’ Académie fut la visiter en Corps, elle demanda d’assister
rps, elle demanda d’assister à quelques-unes des assemblées, ce que l’ Académie reçut comme un grand honneur, il se tenoit encore
iers, mais la probité, & les lumières . Quand Christine vint à l’ Académie , on demanda si les Académiciens seroient devant e
oit : Jeux des Princes ne plaisent qu’à ceux qui les font. Les autres Académies des Sciences, des Inscriptions & Belles-Lettr
33 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35
t, par M. Marmontel, Historiographe de France, l’un des quarante de l’ Académie Françoise. Dans le nombre de personnes qui par g
ation. Sortir d’étonnement & d’admiration est un terme qu’aucune Académie n’a encore vu. La religion s’accommode aussi peu
nu la Bourgeoisie de Toulouse, il fit des tentatives auprès des trois Académies pour obtenir la Bourgeoisie du Parnasse. L’Académ
auprès des trois Académies pour obtenir la Bourgeoisie du Parnasse. L’ Académie des Jeux Floraux ne l’a pas écouté, elle lui a la
qu’il ne fait guere mieux. Il a été sifflé. Il a demandé audience à l’ Académie de Peinture, Sculpture, & Architecture. On la
ffier n’a donné de relation de ce qui se passe à la Comédie & à l’ Académie . Il ne dit pas de quel Corps il est Greffier, du
34 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
ent rien qui ne fût convenable. Il souhaitait aussi qu’on dressât une Académie de jeunes gens bien choisis pour les Représentati
re à personne : Mais des Censeurs inexorables diront que d’ériger une Académie pour les Comédiens, ce serait autoriser leur Prof
35 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
ques, b, 324. Beau (le), Professeur Royal, Secretaire perpétuel de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. Citation d
Aix. Sa prudence dans l’Eloge qu’il fit de M. l’Abbé de Voisenon, à l’ Académie Françoise, a, 428 Boissy (Louis de), Poëte comiq
l’Académie Françoise, a, 428 Boissy (Louis de), Poëte comique, de l’ Académie Françoise. Caractere de la plupart des Pieces de
les, a, 450-454 ; & b, 489-497 Evêque (l’) de la Ravaliere, de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. Citation d
s (le Cardinal de). Comment il a exposé dans une Séance publique de l’ Académie Françoise, ses sentimens contre les Romans &
ns contre les Romans & les Comédies dans une Séance publique de l’ Académie Françoise, b, 161. Son témoignage intéressant sur
lis. Sa prudence dans l’éloge qu’il fit de M. l’Abbé de Voisenon, à l’ Académie Françoise, a, 429 Roscius. Caractere & effet
itation, b, 163 Suart. Reproche fait à son Discours de Réception à l’ Académie Françoise, b, 476 Sulpitius Pedicus. Fit venir d
36 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 2-36
justice à tout le monde ; je ne doute pas qu’on ne soit redevable à l’ Académie Françoise de cette effervécence de zèle. Personne
ans d’infamie, & cent cinquante de sommeil, depuis sa création, l’ Académie s’éveille en sursaut, & propose à toute la Fr
iastes divinisent tout ce qui y joue un grand rôle, c’est surtout à l’ Académie Françoise que Moliere est redevable de sa tardive
blics, théatres de société, salles de spectacles, coliesées, vauxhal, académie de danse, académie de musique, salles de Bal, man
société, salles de spectacles, coliesées, vauxhal, académie de danse, académie de musique, salles de Bal, manufactures de fard,
enfin, il vient de se former, ce qu’on n’avoit jamais vu encore, une académie de Pactes-comiques, dont l’unique étude, l’unique
37 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
ONTISPICE] VOYAGES D’ITALIEET DE HOLLANDE Par M. l’Abbé COYER, des Académies de Nancy, de Rome et de Londres TOME DEUXIEME A P
38 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des Sentences mélées à l’action Théatrale, chez les Anciens & les Modernes. » pp. 153-158
rs dans d’autres parties de Littérature, lui ont mérité une place à l’ Académie , a pourtant fait des efforts pour justifier l’usa
39 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
 d’Alembert, je répons qu’il sera bien venu, & le secretaire de l’ Académie n’exigera pas plus de lettres de noblesse qu’il n
 ; il manquoit cependant à cette pompeuse solemnité, des députés de l’ Académie  : ce qui est d’autant plus singulier, que Voltair
s’embarrasser de sa réligion & de ses mœurs, qui n’illustre pas l’ Académie  ; mais ce corps illustre, qui ; quoiqu’à demi Epi
aire font craindre qu’il ne sera que trop tôt loué dans la salle de l’ Académie , & elle n’attendra pas un siécle pour donner
40 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
in, & gâté un bon fonds. L’Abbé de Voisenon, un des Quarante de l’ Académie Françoise, & Envoyé de l’Evêque de Spire, est
plus suspectes que leurs intelligences avec les Cours Germaniques. L’ Académie Françoise devroit suivre l’exemple du Monarque, n
e, ni de l’Evêque qui l’initia, ni de l’Evêque qui le députa, ni de l’ Académie qui le reçut, ni des Journalistes qui en ont fait
es petits traits assez fins & assez piquans ; aussi étoit-il de l’ Académie Françoise, & fut-il canonsé au jugement de de
41 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre III. Autre continuation des Mêlanges. » pp. 45-87
de Crébillon. Cet homme élevé jusqu’aux nues, honoré d’une place à l’ Académie Françoise, d’une apothéose & d’une statue don
miter, & meritent de l’obtenir ; mais lui fermerent la porte de l’ Académie Françoise, où il eut la présomption de solliciter
avoit pas poussé bien loin sa fortune littéraire : il ne fut que de l’ Académie de Dijon sa patrie, qui voulut se faire doublemen
trop de causticité, & respectoit trop la Religion pour être de l’ Académie Françoise. Ses compatriotes l’ont fort loué, &
ologe, &c. ces hommes célébres sont aujourd’hui innombrables, les Académies se sont montées sur ce ton. Paris, Marseille, Tou
nier de l’opera comique, prête à son Apollon un air philosophique. (L’ Académie ) plus forte par le nombre & vantée en tous li
42 (1576) De la Censure. pp. 611-613
s. f. [NDE] débiffer : Gâter, mettre en désordre (Dictionnaire de l' Académie ).
43 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
Chevalier de *** à M. de C[ampigneulles], garde du corps du Roi, de l’ Académie Royale des Sciences et des Belles-Lettres de Vill
a vénérable compagnie des pasteurs et professeurs de l’Eglise et de l’ Académie de Geneve », avec pour titre courant : « Déclarat
s. Ode de M. Arcère qui a remporté le Prix de Poésie au jugement de l’ Académie des Jeux Floraux de Toulouse, en l’année 1748 »,
daires sur les mœurs du peuple, prix proposé sur cette question par l’ Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, par
nds de nouveautés, 1822 [WorldCat]. N.-B. Répond à un concours de l’ Académie de Lyon, en 1821 et 1822, sans obtenir de prix ni
Essais sur divers sujets par M. de C***. Garde du corps du Roi, de l’ académie royale des sciences & des belles-lettres de V
Chevalier de *** à M. de C[ampigneulles], garde du corps du Roi, de l’ Académie Royale des Sciences et des Belles-Lettres de Vill
c sur la mort de Messieurs de Crébillon, Censeur Royal, Gresset, de l’ Académie Françoise, Parfaict, Auteur de l’Histoire du Théâ
ntin Esprit (1632-1710 ; Congrégation de la doctrine chrétienne 1648, Académie française 1672, évêque de Lavaur 1685, puis de Nî
iste-Louis (1709-1777) : Lettre de M. Gresset, l’un des Quarante de l’ Académie Françoise, A M. M*** sur la comédie, avec l’annon
 Font de Saint-Yenne, Étienne (1688-1771) : Lettre à M. Gresset, de l’ Académie françoise, au sujet de celle qu’il a publiée sur
Joseph (1677-1753 ; évêque de Soissons 1715, archevêque de Sens 1730, Académie française 1721) : Sentimens de Monseigneur Jean J
 : « Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’ Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du
e, 1759 • Trébuchet [attribué par Quérard à Trébuchet, membre de l’ Académie d’Auxerre] : Lettre d’un ancien officier de la re
ntin Esprit (1632-1710 ; Congrégation de la doctrine chrétienne 1648, Académie française 1672, évêque de Lavaur 1685, puis de Nî
44 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
, Crébillon, Voltaire, Marmontel, Héros de la scène tragique, à qui l’ Académie Française a donné des provisions de l’office de b
les talents supérieurs : il le fit indirectement par la censure de l’ Académie . Mais n’ayant pu réussir à décréditeru ni le Répu
gistrature le tolérer, une Nation fidèle à son Prince y applaudir ? L’ Académie Française vient d’approuver, d’applaudir, récompe
nt parlé de la lettre du Docteur, et sur la garantie théologique de l’ Académie , ont fait sans restriction et sans palinodie le p
omplisse. » Marmontel. Je ne connais point ce Poète, que l’ Académie Française a jugé digne de figurer avec Crébillon,
ui donne encore plus de droit d’avoir une chaire de Professeur dans l’ Académie de la morale relâchée et du tyrannicide. Il fait,
te en cette extrémité, etc. » Campistron. Campistron, de l’ Académie Française encore, et placé à Toulouse sa patrie d
45 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
une pension de deux cents onces d’argent à celui qui au jugement de l’ Académie des spectacles aurait le mieux perfectionné telle
t de mollesse où il est de mon temps ; mais après tout il ne faut à l’ Académie des spectacles pour en venir à bout que deux moye
46 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent prendre le titre de Compagnie. » pp. 122-128
on, On sçait ce que c’est qu’un homme de mérite chez les sçavans. Nos Académies qui en sont composées, sont des Compagnies, dont
47 (1574) Livre premier. Epître dixième. Cyprien à Eucratius son frère « Epître dixième. » pp. 30-31
venir  ; utilisé familièrement pour des personnes (Dictionnaire de l' Académie ).
48 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
pétuel de l’Académie des Sciences, fit à la rentrée publique de cette Académie , à la Saint-Martin de 1746, l’éloge du Marquis de
tirés de différentes Pieces de Poésies insérées dans le Recueil de l’ Académie Françoise, de l’année 1671. Nous nous permettons
e historique de M. Bossuet. Cet Eloge remporta, en 1772, le Prix de l’ Académie de Dijon ; mais cette Académie, en le couronnant,
Eloge remporta, en 1772, le Prix de l’Académie de Dijon ; mais cette Académie , en le couronnant, n’a pas sans doute prétendu ap
voir soutenu le caractere de son état. Et à cet égard l’Histoire de l’ Académie Françoise fournit plusieurs exemples édifians. M
strées, Commandeur de l’Ordre du Saint-Esprit, ayant été reçu à cette Académie le 25 Juin 1711, à la place de Boileau Despréaux.
ous-Précepteur des Enfans de France, ayant été nommé à une place de l’ Académie Françoise, y vint prendre séance le 26 Mars 1763.
, en répondant au Discours de M. Delille, reçu le 11 Juillet 1774 à l’ Académie Françoise ; « Messieurs, dit-il, n’attendez pas d
s de moi dans l’hommage que je rendrai au nouveau Protecteur de cette Académie , le langage étudié d’un Orateur qui emploie les c
cas de s’intéresser à l’honneur des Muses poétiques. Il remporta à l’ Académie Françoise plusieurs prix de Poésie, & entre a
Ode de M. Arcere, qui remporta le prix de Poésie en l’année 1748, à l’ Académie des Jeux Floraux de Toulouse. On la trouvera à la
ns dissidentes de la Romaine, dit M. Groslei, Académicien, libre de l’ Académie Royale des Inscriptions & Belles-Lettres, &am
s Théatres anciens & modernes, & l’autre de M. Laurisio, de l’ Académie des Arcades, sur les défauts des Théatres moderne
suite de nos Lettres sur les Spectacles. Lettre de M. le Franc, de l’ Académie Françoise, ancien Premier-Président de la Cour de
tinuer de les indiquer. Lettre de M. Gresset, l’un des quarante de l’ Académie Françoise, à M. *** sur la Comédie ; Paris, 1759.
’Education civile, par M. Garnier, Prof. au College Royal, & de l’ Académie Royale des Inscriptions & Belles-Lettres ; Pa
Fenelon, Archevêque de Cambrai, donne à entendre, dans sa Lettre à l’ Académie Françoise, que par une considération philosophiqu
, Doyen du Chapitre de la Cathédrale, & Secrétaire perpétuel de l’ Académie de Montauban. Nous en possédons un exemplaire qui
ce ». Voilà les vérités qui furent dites dans la séance publique de l’ Académie Françoise, du 4 Août 1774, par M. Gresset, dans s
ervée, pour en orner notre second Volume. LETTRE De M. Gresset, de l’ Académie Françoise, à M. ***. Les sentimens, Monsieur, do
rofesseur Royal de l’Université de Besançon, & Correspondant de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres : ses Répon
de tous les âges. Les deux Prix d’Eloquence distribués en 1772 par l’ Académie de Besançon, eurent pour sujet : Les influences f
, ad Tim. c. 2 & 3. 71. Archevêque de Sens, alors Directeur de l’ Académie  ; &, à cette occasion M. l’Abbé de Radonvilli
mpliment ingénieux, relativement à l’égalité qui s’observe dans cette Académie . « Combien de titres, dit-il, votre Directeur a d
démie. « Combien de titres, dit-il, votre Directeur a de moins dans l’ Académie qu’à la Cour ! mais ceux qui lui restent ici sont
. Dans sa Réponse au Discours de réception de M. de Saint-Lambert à l’ Académie Françoise le 23 Juin 1770. 80. Altos [dit aussi
fiction ingénieuse dans son Discours à l’occasion de sa réception à l’ Académie Françoise le 22 Janvier 1763. 83. Cette auguste
Tartufes dont il a vengé son pays. Et il faut qu’un Corps illustre [l’ Académie Françoise] attende cent années pour apprendre à l
us des barbares. [Eloge de Moliere par M. de Chamfort, couronné par l’ Académie Françoise en 1769]. M. Fréron, en relevant dans l
de Chamfort, laisse ingénieusement entrevoir sa surprise de ce que l’ Académie Françoise a proposé l’Eloge d’un Poëte Comédien a
 Moliere, dit M. Fréron, parut faire si peu de cas d’une place dans l’ Académie Françoise, qu’il ne voulut pas pour se la procure
maladie, & il renonça à sa profession. 88. Dans l’Histoire de l’ Académie Françoise, page 361. 89. Isaïe, chap. 5, ℣. 20.
nt, dans son Poëme des Progrès de l’Eloquence, couronné en 1739 par l’ Académie Françoise. 126. Dans le Tome II de ses Sermons s
Sermons. 165. André Dacier, né à Castres en 1651, reçu en 1695 à l’ Académie Françoise & à celle des Inscriptions & Be
587, édit. de Vascosan, in-8°. 208. Œuvres d’Etienne Pavillon, de l’ Académie Françoise, mort en 1705. Il étoit neveu du célebr
mier-Président ; & l’autre le 16 Février 1775, à sa réception à l’ Académie Françoise. C’est de ce Public sage qu’il y est di
actérisé page 453 de nos Lettres sur les Spectacles. 263. Cette même Académie proposa pour le sujet du Prix d’Eloquence de l’an
49 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE I. De l’Amour. » pp. 4-29
i-bien que par ses poësies & plusieurs prix remportés en diverses Académies , avoit en la foiblesse de composer quelques piece
ce, le théatre est un arsenal où l’on trouve toute sorte d’armes, une académie où on apprend tous les exercices ; qu’on en revie
, voilà les sermons du Mercure. Feront-ils bien des conversions ? Les Académies se sont mises sur le pied de faire l’éloge de cha
uoique plusieurs assez peu mérités. Le théatre s’est avisé d’imiter l’ Académie . Il n’y a point d’Acteur & d’Actrice à qui on
50 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
si, de nos jours, on tolérait de telles licences ; et nous avons des académies clandestines, dans lesquelles on s’expose journel
ouveautés », il a écrit son opuscule pour répondre à un concours de l' Académie de Lyon : De l'Influence des théâtres et particul
aires sur les moeurs du peuple, prix proposé sur cette question par l' Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, par
ets. d. [NDE] Il s'agit sans doute de la rue Meslay. e. [NDE] A l' Académie française. f. [NDE] Cette note et la suivante s
51 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140
interdites. Il manqua deux ou trois fois la place qu’il désiroit à l’ Académie Françoise. Son historien prétend qu’il étoit assu
déplaisoit au Ministre ; ses confreres redoutoiont sa causticité ; l’ académie étoit pour lors attentive au choix de ses membres
rands Artistes donnoient autrefois leurs chefs-d’œuvres aux Rois, aux Académies , aux amateurs, &c. aujourd’hui on les donne a
52 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre II. Charles XII. » pp. 32-44
; l’artiste, & se fait recevoir dans tous les Atteliers & les Académies . Revenu chez lui, il se fait tambour dans ses arm
s Princes d’Allemagne Ce qui n’est que trop vrai pour la Cour & l’ Académie de Berlin, dont il fut le Président & le Fond
53 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
en a usé un illustre Prélat7 à la réception de M. de la Chaussée, à l’ Académie  ? Après avoir parlé avec toute la délicatesse que
servés à la Chaire de Vérité, peut, comme tous les autres Membres des Académies , prétendre à inspirer la politesse & l’honneu
des Censeurs de le rendre plus digne du titre honorable qu’il porte d’ Académie Royale de Musique. On dira seulement, au sujet de
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre IV. Il faut que le nouveau Théâtre se fonde sur la Vérité & sur la Nature. » pp. 133-138
sont par le monde. 2. Épitre 9. 3. M. de Valincourt, Discours à l’ Académie Française. 4. Plutarque, Vie des Hommes Illustre
55 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
nne les plus grandes facilités. Ce n’est point la petite économie des Académies & des Journalistes, qui avertissent bien soig
ois, au sieur du Beloy ; bourgeois de Calais ; & ces innombrables académies ou écoles, pour toutes sortes d’objets, ont bien
le dramatique, pour la représentation ; on y joindra bien tôt aussi l’ académie de musique, de la danse, de poésie, on en fera un
aisse pas tomber les lauriers poétiques en quenouille. Il n’y a que l’ Académie des Jeux Floraux à Toulouse, fondée par Clemence
and elles en ont remporté trois ; sans pourtant les incorporer dans l’ Académie . Andreini son mari, Acteur avec elle dans la mêm
56 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112
e tendre Racine avoit dit avant lui d’un ton douceteux en parlant à l’ Académie Françoise : Lorsque dans les âges suivans on par
ans avant J.C. Risum teneatis amicis. Voici l’Opéra. De toutes les Académies , celle de Musique se distingue le plus celle des
a l’examen de leurs pieces à l’Academie préposée pour en juger (cette Académie n’a jamais existé). Cyrus voulut que ces Commissa
n exil. En voici des traits. Nous voulions adresser nos Mémoires à l’ Académie Françoise, persuadés qu’ayant autresfois soutenus
ce. Les grands éclats qu’on vient de faire en sa faveur, le prix de l’ Académie décerné à son éloge, l’apothéose & le buste,
57 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
ettres patentes qui lui en accordèrent le privilège, sous le titre, d’ Académie des Opéras de musique, établie par le roi. Ce ne
s ne cesseraient de louer, si sa modestie ne leur imposait silence. L’ Académie Royale de musique, toujours redevable aux Princes
ux soins qu’ils prenaient de les former. La protection qu’accorde à l’ Académie Royale de musique, le Ministre respectable46 qui
mencer plusieurs fois tel morceau de son Poème. Et puis d’ailleurs, l’ Académie de musique a établi un usage qu’elle devrait bien
d’Auteurs à travailler pour le grand-Opéra ? Non sans doute ; & l’ Académie de Musique ne laisse pas de s’en ressentir. Les c
58 (1574) Second livre. Seconde épître. Cécile Cyprien à Donat [extrait] « letter » pp. 40-41
eave). h. [NDE] Un endroit d'où on puisse observer ce qui se passe ( Académie ) i. [NDE] cas = choses, notamment avec un sens
59 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
nt plus nombreuses, mieux masquées, et plus adroitement concertées. L’ Académie Française, dans l’examen du Cid (pag. 20 et 21),
utumer ses yeux et ses oreilles à des actions qu’il doit ignorer. » L’ Académie avait alors fort peu d’Auteurs dramatiques ; aujo
et écrivait ses dépêches : ils regardaient les spectacles, comme les académies de jeux, des lieux de prostitution, qu’on est que
60 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
sophie des enfants sont les Fables d’Esope ? Que les Maîtres dans les Académies de la vertu, jettent sans y penser des semences d
fons donnés par les clercs du Palais le mardi gras. Dictionnaire de L’ Académie française (1694) : « On appelait autrefois, Cause
61 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
la veuve de Jean Baptiste Coignard Imprimeur ordinairedu Roy et de l’ Académie Française, rue S. Jacques, devant la ruedes Noyer
62 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
. St. Charles n’y seroit pas allé chercher un Ecclésiastique ; mais l’ Académie qui aime les Pantomimes, a suivi d’autes principe
tié. Racine, plus prudent, n’a rien donné au public ; il a refusé à l’ Académie son discours de réception, contre l’usage. Quinau
ourut, en effet, quelques jours après de la peste. Il ne fut pas de l’ Académie , quoique les quatre Auteurs aux gages, comme lui,
Archevêque de Sens, le lui fit vivement sentir, quand il le reçut à l’ Académie . Danchet, qui déclamoit bien, récitoit aux Coméd
63 (1855) Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du Béarn et les Dames de la ville pp. 1532-1553
Discours sur le théatre, Prononcé dans l’assemblée publique de l’ Académie de Pau, où se trouvaient les députés des Etats du
lesse me donnent dans les illustres pères de la patrie, réunis avec l’ Académie , le collége des électeurs et celui des princes, s
des peintres ; il ne peut sortir que des musiciens de la plus savante académie de musique, le théâtre ne peut faire que des comé
’ils ont raison tous deux. Que n’a-t-on pas écrit contre Le Cyd ? L’ Académie en corps y remarqua plus de deux cents fautes, et
64 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
s, son Richard III, la dédicace des trois Roses, son panégyrique de l’ Académie de Peinture, dont nous avons parlé, a cru se fair
l’avant-derniere pour vous . Dans l’Oraison funebre de Louis XV, à l’ Académie , par l’Abbé de Boismont, on trouve cette comparai
demens des Evêques, la Poësie, la Chaire, le Barreau, le Théatre, les Académies , tout a été plein de ce nom. Ce Prince étoit natu
mnellement par la ville de Paris, & adopté par tout le royaume. L’ Académie , pendant cinquante ans, n’a travaillé que pour lu
toute la nation, depuis cinq siecles, tient ce langage à ses Rois ; l’ Académie Françoise renouvelle tous les ans cette exhortati
65 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE II. Des Masques. » pp. 28-54
p; Noailles, ni le Roi, ni M. le Régent, ne l’auroient souffert, ni l’ Académie Françoise (alors) ne l’auroit reçu, ni le Séminai
nneries mêlées à dessein dans les pieces les plus sérieuses, par-tout académies de jeux de hasard, sous le nom de Ridotti, où l’o
rues, on va au spectacle, on monte à cheval, on prend des leçons à l’ Académie , on conduit un cabriolet, &c. Dans cet état o
66 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81
elon, dont il croit pouvoir tirer parti, parce que dans sa Lettre à l’ Académie il propose ses vues sur la perfection de la poësi
ësie dramatique. Mais c’est confondre le littérateur, qui parlant à l’ Académie , n’envisage que la perfection de l’art, & pro
ès-décent, dont on a trop méprisé les idées, lors de sa réception à l’ Académie  : Je puis donner, non aux spectacles, que je ne p
67 (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610
ages pour & contre les Théatres. Par M. DESPREZ DE BOISSY,des Académies de Toulouse, de la Rochelle, de Montauban, de Cha
atins, sur les Spectacles. Il remporta en 1772 le troisieme Prix de l’ Académie de Rouen. Son Auteur, nommé Louis-Nicolas Gueroul
on Auteur, nommé Louis-Nicolas Gueroult, avoit été couronné à la même Académie , les deux années précédentes. Il mourut à Rouen d
s descriptions intéressantes qui font l’ornement de ce petit Poëme. L’ Académie qui le couronna, jugea que son jeune Auteur étoit
Ouvrage a pour Auteur M. l’Abbé de la Tour, Secrétaire Perpétuel de l’ Académie des Belles-Lettres de Montauban. Il est divisé en
et, si opposé au culte de Dieu. M. le Beau, Secrétaire Perpétuel de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, n’oublia p
s, de la belle Ode françoise que M. Arcere, Secrétaire Perpétuel de l’ Académie de la Rochelle a donnée sur les dangers des Spect
on a aussi attiré à notre Auteur l’honneur d’être associé à plusieurs Académies . Cette faveur lui a été d’autant plus sensible, q
l’avantage des mœurs. M. Saignette, second Secrétaire perpétuel de l’ Académie des Belles-Lettres de la Rochelle, annonçant à M.
Voilà votre titre, & ce qui a décidé tous les suffrages de notre Académie en votre faveur ». Nous devons encore déclarer i
on paroît si peu la respecter. A Paris, le 14 Août 1768. BONAMI, de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. Dernie
rité dont le développement fut le sujet du Prix proposé en 1709 par l’ Académie des Jeux floraux. Houdart de la Motte remporta ce
les, avoit été adressée. M. de Campigneulles, Membre de plusieurs Académies des Sciences & des Belles-Lettres, que je n’a
RE DE M. LE CHEVALIER DE ***A M. de CAMPIGNEULLES,Membre de plusieurs Académies des Sciences& Belles-Lettres ; Au sujet de l
de Sens, dans son Discours pour la réception de M. de la Chaussée à l’ Académie Françoise, dit à ce Poëte dramatique : Je puis do
mp; qui a remporté en 1775 le premier accessit du prix d’Eloquence. L’ Académie Françoise a déclaré qu’elle y avoit trouvé de si
voir qu’un prix à donner. Le Public178 a partagé les regrets de cette Académie , & a pensé qu’elle pouvoit se les épargner, s
tre de vrais François, & d’être animés de l’amour des Arts 188. L’ Académie des Jeux Floraux de Toulouse, n’offensa ni la Pat
oses, en l’annonçant comme la source de toutes les vérités. C’est aux Académies littéraires à s’élever contre tout ce qui tend à
é M. Gédoin dans une Dissertation insérée au tome I des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, tant que l
de son respect pour cette maxime, dans son Discours de réception à l’ Académie Françoise, qu’il prononça le 29 Février 1776. M.
1 qu’elle ne peut manquer de parvenir à établir sa Société en titre d’ Académie , & que dès l’instant elle ensevelira pour tou
éclat dans l’Eglise, dans la Magistrature, dans le Barreau, dans les Académies , & même dans la profession des armes ! Voici
’artificiel332. M. Batteux, Professeur au College Royal, & de l’ Académie Royale des Inscriptions & Belles-Lettres, nou
ODE DE M. ARCERE, Qui a remporté le Prix de Poésie au jugement de l’ Académie des Jeux Floraux de Toulouse, en l’Année 1748.
me ordinaire de Sa Majesté, & l’un des Quarante Académiciens de l’ Académie Françoise. Ayant reçu une éducation toute sainte,
immense Bibliotheque, dont M. le Beau, Professeur. Royal, & de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, a parlé d’
n encore, voit-on de villes dans le Royaume où les Théatres & les Académies de Musique sont en usage ? Qui est-ce qui les con
693. Il mêloit les lauriers d’Apollon à ceux de Mars. Il fut reçu à l’ Académie Françoise en 1665 ; mais ses ouvrages satyriques
François de Clermont-Tonnerre, qui a fondé un prix de Poésie dans l’ Académie Françoise. Il mourut le 5 Février 1701. 54. Cur
pendant plus de quarante ans qu’il fut Secretaire perpétuel de cette Académie . La douceur de son caractere, la décence de ses m
atinat, & qui a remporté en 1775, le second accessit du prix de l’ Académie Françoise. M. l’Abbé d’Espagnac n’avoit alors que
e Catinat, & qui obtint en 1775, le premier accessit du Prix de l’ Académie Françoise. On a du même Auteur un Essai sur la Ta
es matériaux qui avoient été rassemblés par M. de Sainte-Palaie, de l’ Académie Françoise, & de celle des Inscriptions &
fin de ces Lettres. 190. Dans son Discours qui remporta le prix de l’ Académie de Dijon, en 1750, & dont le sujet étoit, si
page 25, de ce Rhéteur sur les effets de la déclamation. 193. De l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, mort le 4 
ur & de la décadence des Romains. 201. M. Grosley, Associé de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, tome III d
nse qui avoit été faite à son Discours qui avoit remporté le prix à l’ Académie de Dijon, en 1750. 219. Evangelio contrà Dei co
ent de la Maison Royale de Saint-Cyr. Cette Ode remporta le Prix de l’ Académie Françoise en 1687. Elle fut préférée à celle de M
Dissertation sur la Satyre qui se trouve au tome II des Mémoires de l’ Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. 337. P
présentations de M. l’Abbé Bignon que l’on doit le rétablissement des Académies des Sciences & des Inscriptions & Belles-
68 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
lit dans son éloge, fait par son Successeur. Le Cardinal voulut que l’ Académie Françoise fît une critique du Cid. L’Académie con
e Cardinal voulut que l’Académie Françoise fît une critique du Cid. L’ Académie contrainte d’obéir, sut habilement contenter le M
69 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
qu’elle ne peut manquer de parvenir à établir sa société en titre d’ Académie , & que dès l’instant elle ensevelira pour tou
70 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
nt déplacée au Théâtre de la Comédie, qui doit être considéré comme l’ Académie de nos mœurs. En sortant d’avec Zaïre, lorsque l’
71 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre premier. Remarques Littéraires. » pp. 11-51
M. Bitaubé & l’académicien de Berlin a enrichi le recueil de son académie d’un immense panégyrique de Moliere, qui enchérit
liant, & ne manquent pas de s’étayer du témoignage allemand que l’ académie de Berlin a fait imprimer, pour remplir le vuide
p; des mœurs. Voici un trait remarquable du discours de M. Sicard à l’ Académie Françoise. Il ne suffit pas d’accoupler des rime
de M. de Busson, lors de la réception de M. le maréchal de Duras à l’ académie françoise, à la place du sieur Belloi ; ce discou
72 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
rat. LE sieur Dorat, qui, au lieu du titre d’Académicien de vingt Académies que se donnent les Ecrivains, se pare de celui d’
nnent les Ecrivains, se pare de celui d’Ancien Mousquetaire, espece d’ Académie grise ou noir fort peu analogue à la Littérature
XIV, qui recompensoit tous les gens de lettres, ne pensa à lui, ni l’ Académie ne songea à l’adopter, ni Boileau, qui étoit lié
73 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
se et de leur travail. Depuis que la célèbre Maratti a été admise à l’ Académie des Arcadiens de Rome, cette Académie n’a plus ma
élèbre Maratti a été admise à l’Académie des Arcadiens de Rome, cette Académie n’a plus manqué de Dames qui ont illustré ce Port
ette Dame unir au talent de la Peinture, qui l’a fait recevoir dans l’ Académie de Bologne, celui de la Poésie, qui l’a fait rece
74 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97
tre d’académique, jugeant la Comédie Françoise digne d’être érigée en Académie Royale. L’opposition dont on accuse les Poëmes dr
75 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
r’eux réussirait le mieux. Il se forma sur cela certaines Sociétés ou Académies , où l’on jugeait de la réussite ; et celui auquel
76 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
inhabituelle pour philautie, amour de soi-même. Le Dictionnaire de l’ Académie française, dans sa 1e éd. (1694), adopte la graph
77 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
ice bourgeoise. C’est le Sr. Dubois, l’un des acteurs de la troupe. L’ Académie , qui ne parut pas, auroit pu composer le drame :
de beaucoup d’esprit, prêchant l’Oraison funebre de Louis XV devant l’ Académie , disoit en même-temps à la gloire de la nation :
ion de dix mille livres, & le titre éminent d’administrateur de l’ Académie de Musique. Quel officier est aussi bien récompen
78 (1768) Des Grands dans la Capitale [Des Causes du bonheur public] « Des Grands dans la Capitale. » pp. 354-367
e mesure de louange. Disc. pour la réception de M. de la Chaussée à l’ Académie Françoise. Le Prélat dit dans le même discours :
79 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
Lettre à M. Gresset LETTREA M. GRESSET,De l’ Académie Française, Au sujet de celle qu’il a publiée sur
80 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
bbé Perrin a été effectivement le premier détenteur du privilège de l’ Académie royale de musique, de 1669 à 1672. h. [NDE] Des
81 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
ent rien perdre. Strabon31 nous apprend qu’Auguste établit à Lion une Académie des Arts & des Sciences. Cette Académie fut a
uguste établit à Lion une Académie des Arts & des Sciences. Cette Académie fut augmentée par Caligula de tout ce qui avait r
is voici des choses encore plus singulières concernant cette ancienne Académie  ; elle gratifiait de divers prix ceux qui se dist
82 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
rtant ; ni pour le charger de quelque sermon, il a pourtant prêché. L’ Académie est allée l’y chercher pour en faire son Prédicat
, & donne tout le mérite. Mais ce qui m’étonne dans le Doyen de l’ Académie , c’est qu’il veuille mettre Racine entre les main
83 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
Jean-Jacques Rousseau, Citoyen de Genève, à Monsieur d’Alembert, de l’ Académie française &c. &c. sur son article Genève,
plus spirituelle, la plus vertueuse Femme de son siècle, agrégée à l’ Académie des Intentis de Padoue, dont les vers sont estimé
térité. La Thorillière le Noir, Capitaine de Cavalerie, &c.23 L’ Académie de Musique n’a-t-elle pas le Privilège de conserv
s bandis, les usuriers, &c. il eut mis la Comédie du nombre : une Académie ne l’approuverait pas, & les Comédiens de Par
 IV, & de Jacques Premier, Roi d’Angleterre. Chéséaux, membre des Académies des Sciences de Paris, de Londres, &c. 40.
aulois, République florissante par sa valeur & son antiquité. Son Académie lui acquit une si grande réputation qu’il y venai
84 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
oignage de l’illustre Fénelon. Je dois d’abord, disoit-il à MM. de l’ Académie Françoise, déclarer que je ne souhaite point qu’o
85 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144
n agrément que peu de personnes remarquent. M. de Cambrai (Lettre à l’ Académie ) n’a pas fait assez d’attention au genre dans leq
86 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
ettre dans le même rang. M. Le Franc de Pompignan, ayant été reçu à l’ Académie Françoise, fit à la reception un très-beau discou
nt, & il écrivit en ces termes à Voltaire, alors son ami. Votre Académie devient plaisante dans ses choix. Les Juges de la
87 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54
nes, revêtue de deux grands titres. Elle a concouru pour le prix de l' Académie Française en 1764, et elle est comblée d'éloges p
hiré, jouit de la douleur dont il est pénétré. » N'en déplaise et à l' Académie et au Mercure, ce n'est qu'un verbiage ou une hor
88 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
leur conduite par changer de Dictionnaire, et s’en tenir à celui de l’ Académie , qui a ménagé la pudeur de la Langue Française ;
89 (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11
jet, on peut voir le discours de réception prononcé par M. Thiers à l' Académie française en 1834, dans Etudes historiques sur la
90 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
t le droit de divertir le Public, traitèrent avec les Directeurs de l’ Académie Royale de Musique, & obtinrent la permission
91 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
linges, des fleurs, des aigrettes, des pompons ; le Sieur Duclos des Académies de Toulouse, & de Montauban, avoit fait un gr
ertes, le sieur le Gros se propose d’y aller établir incéssamment des Académies de coëffure, comme il en a établies à Paris ; où
92 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29
front & d’arroser de leurs larmes ; je n’imaginerai jamais que l’ Académie Françoise, indifférente à la religion & aux b
a Fontaine qui avoit protesté de son repentir devant des Députés de l’ Académie appelés exprès (ce qui pour le Corps étoit une be
93 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
par M. d’Orbessan (Tom. 3. Elog. de la belle Paule, pag. 250. lu à l’ Académie des sciences de Toulouse), & par la Marquise
lui plaire. Mais l’amour propre n’est jamais satisfait. Ce Doyen de l’ Académie a pourtant en le courage de dire, en parlant de l
94 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
nault, fils d’un Boulanger, selon Furetière, dans son Factum contre l’ Académie , et d’une honnête famille, selon l’Abbé d’Olivet,
d’une honnête famille, selon l’Abbé d’Olivet, dans son Histoire de l’ Académie , mais fort pauvre, puisqu’il fut valet de Tristan
95 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
essité de la Réforme du Théâtre ; la Lettre de l’immortel Fénélon à l’ Académie Françoise ; Riccoboni sur la Réformation du Théât
96 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
. 138. L’abbé Perrin obtient en 1669 le privilège d’exploitation de l’ Académie royale de Musique et de Danse, que Lully rachète
97 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
re : il y a du danger. Vous citez, M. le Laïc, un comte Rabutin, de l’ académie française, qui s’est prononcé contre les bals. J’
98 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
Fléchier, Panégyriq. de S. Augustin. Le bal, les spectacles sont une académie publique pour apprendre l’impureté & donner d
99 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
il est vrai que la Comédie Anglaise est aujourd’hui une merveilleuse Académie de la science du monde et des manières polies ! S
, contravention à ce qu'on doit à certaines choses (Dictionnaire de l' Académie ). ao. [NDE] Prison de l'époque. ap. [NDE] Le
100 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
lumière de l’Evangile nous en sommes devenus plus sages ? Je vois une Académie de Musique où l’on fait de l’orgueil et de la con
l et la sensualité. Tels sont les Comédiens, et ceux qui tiennent des Académies de brelan et de galanterie. Quant à ceux qui ne f
/ 176