spectacles avec une histoire des ouvrages pour et contre le théâtre,
Paris
, Butard, Boudet, Saillant et Nyon, Dessaint, 1771
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Paris
, Champion, 1998. Urbain et Levesque = Ch. Urbain
bain et Levesque = Ch. Urbain et E. Levesque, L’Église et le théâtre,
Paris
, Grasset, 1930. Molière, éd. Couton : Molière, Œ
ris, Grasset, 1930. Molière, éd. Couton : Molière, Œuvres complètes,
Paris
, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1971,
, 2 vol. Molière, éd. Forestier-Bourqui : Molière, Œuvres complètes,
Paris
, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2010,
tères tirés de l’Ecriture Sainte et appliqués aux mœurs de ce siècle,
Paris
, Louis Guérin, 1698, in-12, (4 ff.) 463 p. + tabl
ray chrétien dans la santification [sic] des dimanches et des festes,
Paris
, Edme Couterot, 1694, (19 ff.) 565 p. + tables. V
, 1694 • Anonyme : Décision faite en Sorbonne touchant la comédie,
Paris
, Jean-Baptiste Coignard, 1694, in-12, (4 f) 132 p
Discours en vers sur les spectacles à M. de la Ch. de l’Acad. Franç.,
Paris
, Knapen, 1738, in-8º. Anonyme, Dissertation e
• Anonyme : Entretien sur le théâtre au sujet de Judith, Tragédie,
Paris
, Michel Brunet, 1695, (4 f.) 82 p. PDF : Gallica.
e Philostrat [sic]. Ensemble six Prologues Comiques du mesme Autheur,
Paris
, Fleury Bourniquant, 1620, in-8º, 54 p. Ex. BnF T
. Tirée des Maximes de l’Evangile, des SS. Peres, & des Conciles,
Paris
, Urbain Coustelier, 1687, (12 ff.) 429 p. (1 f.).
ie Françoise, au sujet d’un ouvrage écrit pour la défense du Théâtre,
Paris
, Christophe-Jean-François Ballard, 1761, in-12, 3
de M. Desp. de B* avocat en Parlement, sur les spectacles, Berlin et
Paris
, Veuve Lottin et Butard, 1759, in-8º, (2 ff.) 109
on d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres,
Paris
, Louis Billaine, 1671. PDF : Google. Corpus OBVIL
rite par un Séculier à son amy, sur les desordres qui se commettent à
Paris
touchant la Comedie et sur les representations qu
epresentations qui s’en font dans les maisons particulieres, par M….,
Paris
, Jacq. Josse, 1710, in-12. Ex. BnF Tolbiac : D-41
vations d’une comédie du Sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre,
Paris
, Gabriel Quinet, 1665. Ex. BnF Tolbiac : YF-7284
, et sur ces paroles Proverbiales. Il ne faut pas disputer des gouts,
Paris
, Daniel Hortemels, 1691, in-12, 513 p. (37 ff.).
u. Recueilly par un Prestre du Seminaire de S. Nicolas du Chardonnet,
Paris
, Pierre de Bresche, 1662, (8 ff.) 544 p. Voir Ce
onse à la lettre adressée à l’auteur des Hérésies imaginaires, s. l. [
Paris
], s. l., 1666, in-4º, 12 p. Voir Barbier d’Aucou
h, 1695 • Anonyme : Réponse à la préface de la tragédie de Judith,
Paris
, 1695, repris in Lalouette , Histoire de la comé
édie et de l’opéra, où l’on prouve qu’on ne peut y aller sans pêcher,
Paris
, L. Josse, 1697, p. 109-111. PDF : Google. N.-B
ponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière,
Paris
, Gabriel Quinet, 1665. Corpus OBVIL. Éditions m
onies que celebre l’Eglise. Par le R. P. ** de la Compagnie de Jesus,
Paris
, Jean Boudot, 1700, (3 ff.) 489 p. + tables. Voir
la tragédie », p. 350-387, in Œuvres de M. le Chancelier d’Aguesseau,
Paris
, les Libraires associés, 1759, tome premier, CXLV
et œuvres meslées de M. le Chancelier d’Aguesseau, nouvelle édition,
Paris
, les Libraires associés, 1773, tome II, 456 p. PD
rpus OBVIL. [Fausse adresse ; imprimé en France, vraisemblablement à
Paris
, d’après le matériel typographique. Réunit l’arti
ctères, Critique des mœurs, Maximes de conduite propres à la Société,
Paris
, Nyon fils,1751, 2 vol. in-12, tome I, viii-328 p
) : Sermons de Mr l’Abbé Anselme. Sermons pour l’Avent, tome premier,
Paris
, Julien-Michel Gandoüin et Pierre-François Giffar
upart des orateurs du troisième ordre… ; publiée par M. l’abbé Migne,
Paris
, chez l’éditeur, 1845, t. XX. PDF : Internet Arch
par M. E. Arnal, acteur du théâtre du Vaudeville, (Constant-Champie),
Paris
, chez tous les marchands de nouveautés, 1830, in-
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Paris
, Antoine de Sommaville, 1657, p. 499-514. PDF : G
ter en public, ou qui prennent plaisir d’en voir les représentations,
Paris
, Antoine de Sommaville, 1657, in-4º, (2 ff.) 514
ons • La Pratique du théâtre… par Monsieur Hedelin, abbé d’Aubignac,
Paris
, Denys Thierry, 1669, in-4º, 514 p. (2 ff.). PDF
gle. • La Pratique du théâtre… par Monsieur Hedelin, abbé d’Aubignac,
Paris
, Denys Thierry, 1683, in-4º, 514 p. (1 f.). PDF :
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Paris
, Honoré Champion, coll. « Sources classiques », 2
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Paris
, Nicolas Pépingué, 1666, (6 ff.) 250 p. PDF : Goo
OBVIL. Réédition • Dissertation sur la condemnation des théâtres,
Paris
, Jacques Le Febvre, 1694, (7 ff.) 250 p. PDF : Go
ononcé dans l’église française (première succursale de Clichy) sise à
Paris
, boulevard Saint-Denis, nº 10, par l’abbé Auzou,
Clichy) sise à Paris, boulevard Saint-Denis, nº 10, par l’abbé Auzou,
Paris
, secrétariat de l’Église française, 1834, in-8º,
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Paris
, P. Rocolet, 1646, in-4º, viii-543 p. PDF : Galli
Comedie », p. 509-519, in Les Œuvres de Monsieur de Balzac, tome II,
Paris
, Louis Billaine, 1665, 717 p. [n. p.] 218 p. PDF
édie », in Œuvres diverses, éd. établie et commentée par Roger Zuber,
Paris
, Honoré Champion, coll. « Sources classiques », 1
onse à la lettre adressée à l’auteur des Hérésies imaginaires, s. l. [
Paris
], s. n., 1666, in-4º, 12 p. PDF : Google. Corpus
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Paris
, Dabo et Tremblay, 1819, t. IV. PDF : Gallica. •
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Paris
, Hachette, 1929, coll. « Les Grands Écrivains de
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Paris
, ce 10 mai 1666 ». Bardou, Epistre sur la co
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Paris
, Veuve de Jean-Baptiste Coignard, 1694, in-4º, 8
PDF : Google. Réédition • in Dictionnaire historique et critique,
Paris
, Desoer, 1820-1824, 16 vol : t. V (1820), p. 147-
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Paris
, Jean Richer, 1603, in-12, (8) 24 (4) ff.PDF : Ga
603, in-12, (8) 24 (4) ff.PDF : Gallica. Corpus OBVIL. Réédition •
Paris
, Jean Richer, 1609, in-12, (8 ff.) 1 f. (4 ff.).
icolas (1733-1804 ; père, SJ) : Analyse des sermons du P. Beauregard,
Paris
, Beaucé-Rusand, 1820, in-12, II-268 p. Ex. BnF To
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Paris
, Rusand, 1825, in-12, VIII-243 p. Ex. BnF Tolbiac
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Paris
, J.-P. Migne, 1856, col. 1086-1172. PDF : Google.
1648-1734 ; abbé de) : Lettres curieuses de littérature et de morale,
Paris
, Jean et Michel Guignard, 1702, in-12, (10 ff.) 4
ené Benoist Angevin, Docteur en Theologie & Curé de S. Eustache à
Paris
, Paris, Jean Poupy, 1579, in-12, 36 p. Ex. BnF To
oist Angevin, Docteur en Theologie & Curé de S. Eustache à Paris,
Paris
, Jean Poupy, 1579, in-12, 36 p. Ex. BnF Tolbiac :
ublique de I. Bodin Angevin a Monseigneur du Faur seigneur de Pibrac,
Paris
, Jacques Du Puy, 1576, in-fol, (6 p.) 759 p. (72
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Paris
, Demonville, an XII-1804, in-8º, v, viii-167 p. P
uations des Mémoires de Litérature et d’Histoire, t. VII, 1re partie,
Paris
, Nyon fils, 1749, 478 p. (1 f.). PDF : Google. Co
r. Ouvrage illustré de vingt belles gravures Par A. B. et J.les Boll,
Paris
, chez les principaux libraires, 1846, (ff.) 247 p
Edition Augmentée du Catechisme des Peres & Docteurs de l’Eglise,
Paris
, Pierre de Breche père et fils et Mathurin et Jea
40, 43 p. PDF : Google. Réédition • Instruction contre le théâtre,
Paris
, A. Davesne, 1845 [1846], in-18, 45 p. Ex. Bibl.
9 • Bordelon, (Laurent, 1653-1730 ; abbé) : Lettre de M. Bordelon,
Paris
, 1699 (citée par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1
ire critique des personnes les plus remarquables de tous les siècles,
Paris
, Urbain Coustelier, 1699, t. II, dernière lettre.
contre les danses et les comédies composé par saint Charles Borromée,
Paris
, Georges Soly, 1664, (7 ff.) 198 p. PDF : Google.
, Jacques-Bénigne (1627-1704) : Maximes et réflexions sur la Comédie,
Paris
, Jean Anisson, 1694, (4 ff.) 152 p. PDF : Google.
II, 15. 16. 17., in Traitez du libre arbitre et de la concupiscence,
Paris
, Barthélemy Alix, 1731, 155 p. ff. 218 p. ff. (2e
. Éditions modernes • in Œuvres complètes, publiées… par F. Lachat,
Paris
, Louis Vivès, 1862, vol. vii, p. 412-484. PDF : G
cupiscence, texte présenté et établi par Ch. Urbain et Eug. Levesque,
Paris
, Éditions Fernand Roches, coll. « Les Textes fran
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Paris
, J.-P. Migne, 1854, t. XXXIX. PDF : Google.
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Paris
, Théodore Girard, 1690, s. p. (7 p.). PDF : Galli
augmentée de quantité de vers qui n’ont pas été dits sur le théâtre,
Paris
, Jean Guignard, 1694, s. p. (3 p.). PDF : Gallica
du théâtre. Boursault, « A Monseigneur de Harlay, archevesque de
Paris
», 1694 • Boursault, Edme (1638-1701) : « A Mo
ursault, Edme (1638-1701) : « A Monseigneur de Harlay, archevesque de
Paris
, duc et pair de France. Touchant une Lettre ou Di
les qu’utiles, avec sept lettres amoureuses d’une dame à un cavalier,
Paris
, Veuve de Théodore Girard, 1697, in-12, (17 ff.)
les qu’utiles, avec sept lettres amoureuses d’une dame à un cavalier,
Paris
, Veuve de Théodore Girard, 1697, in-12, (17 ff.)
) : « Préface » (8 p. non ch.), in Judith, tragédie, par Mr Boyer, …,
Paris
, Michel Brunet, 1695, in-8º, 95 p. PDF : Google.
Michel Brunet, 1695, in-8º, 95 p. PDF : Google. Autres éditions •
Paris
, Jean-Baptiste Coignard, in-8º, 95 p. ; Paris, Ch
e. Autres éditions • Paris, Jean-Baptiste Coignard, in-8º, 95 p. ;
Paris
, Christophe David, 1718, in-12, 95 p. ; Toulouse,
areilles Sentences. Par feu M. l’abbé de Bretteville. Tome quatrième,
Paris
, Denis Thierry, 1697, (24 ff.) 664 p. + tables. P
é par le Catalogue de la Bibliothèque théâtrale de Joseph de Filippi,
Paris
, Aubry et Tresse, 1861, p. 30, no 215. Brisso
e feriis indeque sumpra occasione, de priscis dierum appellationibus,
Paris
, Philippe Gaultier dit Rouillé, 1564, in-8º, [16]
lbiac : F-24356 ; F-40692 (cf. Notice). PDF : Google. Rééditions •
Paris
, Jean Parent, 1582, in-8º, [16] 229 p. • Hanau, W
res complètes, édition critique par Hugh Roberts et Annette Tomarken,
Paris
, Honoré Champion, 2012, 820 p. (pour chaque prolo
te de ses Fantaisies. A Monseigneur le Prince. Par le N. D. L. Champ,
Paris
, François Huby, 1613, in-12, (4 ff.) 234 ff. (1 f
uietude. Augmenté de plusieurs Prologues Drolatiques non encore veuz,
Paris
, Jean Millot, 1609, in-12, (4 ff.) 108 p. : • « P
le Sieur des Lauriers reveuës et augmentées de nouveau par l’autheur,
Paris
, Jean Milot, 1612, in-8º, (4 ff.) 326 p. : • « Pr
i sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs par M. de B***,
Paris
, De Bure et Lebreton, 1767, (C2 ff.) 75 p. PDF :
tre absolument défendu », p. 1-75, in Pièces de théâtre de Boursault,
Paris
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Paris
and sent in a Letter to the Author By a Divine of
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Paris
, Jean Cusson, 1694, p. 235-237. PDF : Gallica. A
u Reverend Père François Caffaro à Monseigneur l’Archevêque de Paris,
Paris
, François Muguet, 1694, in-4º, 10 p. Ex. Tolbiac
ie, p. 583-591. Édition moderne • « Le P. Caffaro à l’archevêque de
Paris
, le 11 mai 1694 », in Urbain et Levesque , p. 14
oir). • Cf. le compte rendu de la lettre dans le Journal des sçavans,
Paris
, Jean Cusson, 1694, p. 262-263. PDF : Gallica.
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Paris
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Paris
, chez tous les marchands de nouveautés, 1822 [Wor
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, Droz, 1936), introduction, révision des textes e
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, J. Bonnassies, 1876, in-8º, XVIII-183 p. PDF : G
. Bonnassies, 1876, in-8º, XVIII-183 p. PDF : Gallica. Réimpression :
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, Éd d’Aujourd’hui, coll. « Les Introuvables », 19
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Paris
, Dufour, 1768, 2 parties, (1 f.) XIV-233 p. + (2
g Saint-Martin, en présence des artistes des théâtres de la capitale,
Paris
, sacristie de l’église, 59 Fg Saint-Martin, et Pr
ouis Mayeul (1737-1817 ; OSB) : L’Homme du monde éclairé. Entretiens,
Paris
, Moutard, 1774, xii-303 p. + tables. PDF : Google
ca. Corpus OBVIL. Réédition • Id., p. V-XLIV, in Théâtre posthume,
Paris
, Foulon et Cie, Baudouin frères, 1818, XLIV-406 p
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Paris
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Paris
, Hippolyte-Louis Guérin, 1749, in-12, IV-330 p. C
t augmentée de l’Éloge historique de feue Madame Henriette de France,
Paris
, Hippolyte-Louis Guérin et Louis François Delatou
es, Aumônier ordinaire du feu Roi de Pologne, Duc de Lorraine, t. II,
Paris
, Desaint, 1772, in-12, viii-520 p. PDF : Google.
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Paris
, Les Libraires associés, 1764, 2 vol. t. I, xii p
n la tradition de l’Eglise. Tiré des Conciles & des Saints Pères,
Paris
, Louys Billaine, 1666, 3 parties en 1 vol. in-8º
vol. in-8º et table. PDF : Google. Corpus OBVIL. Rééditions • Id.,
Paris
, Louys Billaine, 1667, (4 ff.) 140 p. + 108 p. +
ff.) 140 p. + 108 p. + 51 p. non ch de tables. PDF : Gallica. • Id.,
Paris
, P. Romé, 1667, 3 parties en 1 vol. in-8º et tabl
Id., Paris, P. Romé, 1667, 3 parties en 1 vol. in-8º et table. • Id.,
Paris
, Louis Billaine, 1669, in-12, X-178 p. PDF : Gall
., Paris, Louis Billaine, 1669, in-12, X-178 p. PDF : Gallica. • Id.,
Paris
, Robert Pépie, 1684, in-12, [6]-50-140-108-[52] p
e Famille. Par le R. P. Jean Cordier de la Compagnie de Jesus, t. II,
Paris
, Denys Bechet, 1666, (4 ff.) 512 p. PDF : Google.
de 1660 :] Le Théâtre de P. Corneille revu et corrigé par l’autheur,
Paris
, Augustin Courbé et Guillaume de Luyne, 1660, 3 v
ditions • Le Théâtre de P. Corneille, revu et corrigé par l’autheur,
Paris
, Guillaume de Luyne, 1664, 2 vol. in-fol. PDF : G
complètes ; textes établis, présentés et annotés par Georges Couton,
Paris
, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1971,
rneille, Pierre (1606-1684) : « Au Lecteur », in Attila roy des Huns,
Paris
, Guillaume de Luyne, 1668, n. p. (3 p.) PDF : Gal
anes que sacrez, touchant les spectacles, de l’anglois de M. Collier,
Paris
, Nicolas Simart, 1715, in-12, XXII-504 p. PDF : G
posez à ceux de la Lettre qui a parû à ce sujet depuis quelques mois,
Paris
, Veuve de Charles Coignard et Edme Couterot, 1694
nard et Edme Couterot, 1694, 140 p. Corpus OBVIL. Réédition • Id.,
Paris
, s. n., 1695, in-12. N.-B. Publié en réponse à
elle un jour chaque mois, par le P. Jean Croiset,… Nouvelle édition…,
Paris
, Michel Sorin, 1777, 2 vol in-12 ; t. I, (1 f.) X
elle un jour chaque mois, par le P. Jean Croiset,… Nouvelle édition…,
Paris
, Edme Couterot, 1707, in-12, 584 p. + table. Ex.
abriel-François (1707-1782 ; abbé) : Voyages d’Italie et de Hollande,
Paris
, Veuve Duchesne, 1775, 2 t. en 1 vol., 329 + 320
iles, faictes françoises par M. Jacques Tigeou, … avec trois tables…,
Paris
, Nicolas Chesneau, 1574, in-fol., LIX-468 p. et t
iles, faictes françoises par M. Jacques Tigeou, … avec trois tables…,
Paris
, Nicolas Chesneau, 1574, in-fol., LIX-468 p. et t
cles ; et de la vanité des idoles, de la version du R. P. Caliste, …,
Paris
, Antoine de Sommaville, 1640, in-12, (32 ff.), 24
oderne • À Donat, introduction, traduction et notes de Jean Molager,
Paris
, Éd. du Cerf, coll. « Sources chrétiennes », nº 2
iles, faictes françoises par M. Jacques Tigeou, … avec trois tables…,
Paris
, Nicolas Chesneau, 1574, in-fol., LIX-468 p. et t
detz et de cartes, faictz françois du latin… par M. Jacques Tigeou…,
Paris
, Nicolas Chesneau, 1578. PDF : Google. → Texte :
cles ; et de la vanité des idoles, de la version du R. P. Caliste, …,
Paris
, Antoine de Sommaville, 1640, in-12, (32 ff.), 24
s », in Tertullien, De spectaculis, texte établi par André Boulanger,
Paris
, Les Belles Lettres, « Publications de la Faculté
Capucin, ancien Lecteur en Théologie et Missionnaire. Tome quatrième,
Paris
, Cl. J. B. Hérissant, 1741, XXVIII-456 p. + table
« X. Conférence sur les sacremens », p. 222-245. Rééditions • Id.,
Paris
, Cl. J. B. Hérissant, 1742, t. IV, (2 ff.), 491 p
la Comédie, contraire aux promesses du Baptême », p. 210-234. • Id.,
Paris
, Cl. Hérissant, 1753, t. IV. Debreyne, « Des
u clergé. Par P.-J.-C. Debreyne, docteur en médecine de la faculté de
Paris
, professeur particulier de médecine pratique, prê
de médecine pratique, prêtre et religieux de la Grande-Trappe (Orne),
Paris
, Poussielgue-Rusand, 1845, viii-532 p. PDF : Goog
uvrage couronné par la Société des Sciences de Bordeaux 27 août 1812,
Paris
, J. G. Dentu, 1814, in-8º, 40 p. Ex. : BnF (Riche
âtres ; quatrieme édition, revue, corrigée et augmentée par l’auteur,
Paris
, Butard, Boudet, Saillant et Nyon, Dessaint, 1771
B., avocat en Parlement, à M. le chevalier de *** sur les spectacles,
Paris
, Veuve Lottin et J. H. Butard, 1756, in-8º, (2 ff
d, 1756, in-8º, (2 ff.) 160 p. (2 ff.). PDF : Google. • 2e éd. : Id.,
Paris
, Veuve Lottin et J. H. Butard, 1758, in-8º, 170 p
re de M. Desp. de B* avocat en Parlement, sur les spectacles, Berlin,
Paris
, Veuve Lottin et Butard, 1759, in-8º, (2 ff.) 109
les spectacles ; troisieme édition, revue et augmentée par l’auteur,
Paris
, Butard, 1769, in-12, XVI-483 p. PDF : Google. •
oissy ; cinquieme édition, revue, corrigée et augmentée par l’auteur,
Paris
, Butard, Boudet, Saillant et Nyon, Veuve Desaint,
Boissy ; sixieme édition, revue, corrigée et augmentée par l’auteur,
Paris
, Boudet, Veuve Desaint, Nyon l’aîné, B. Morin, 2
res, par M. Desprez de Boissy ; septieme édition, 2 vol in-12 ; t. I,
Paris
, Boudet, Veuve Desaint, Nyon l’aîné, Morin, 1779
t. I, Paris, Boudet, Veuve Desaint, Nyon l’aîné, Morin, 1779 ; t. II,
Paris
, Veuve Desaint, Nyon l’aîné, B. Morin, Sorin, 178
pédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers,
Paris
, Briasson, David, Le Breton, Durand, 1751-1771.
ur (1626?-1664) : La Comédie de la comédie et les amours de Trapolin,
Paris
, Jean Ribou, 1662, in-12, 40 p. PDF : Gallica.
r Fournel, éd., Petites comédies rares et curieuses du xviie siècle,
Paris
, A. Quantin, 1884, t. I, p. 13-39. PDF : Gallica.
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Paris
, Durand et Ruault, 1777, 36 p. PDF : Google. N.
mbroise Lalouette , Histoire de la comédie et de l’opéra, Orléans et
Paris
, Louis Josse, 1697. • Anonyme [Pierre Nicole], «
rale contenant divers traités sur differens sujets, cinquième volume,
Paris
, Guillaume Desprez et Jean Desessartz, 1714, in-1
-15, Lettres sur divers sujets de morale et de piété, tome quatrième,
Paris
, Veuve d'Houry, 1733, in-12, table + 494 p. + pri
ent de la discipline ecclésiastique. Suivie de pièces justificatives,
Paris
, Baudoin frères, 1825, in-8°, 37 p. PDF : Google.
iques de secours et pensions de retraite fondées par le baron Taylor,
Paris
, impr. de Jules-Juteau, 1859, in-8º. Ex. : BnF (T
ervations au sujet des condamnations prononcées contre les comédiens,
Paris
, Chaubert, 1751, in-8º, 59 p. et privil. PDF : Go
8º, 59 p. et privil. PDF : Google. Corpus OBVIL. Rééditions • Id.,
Paris
, Vente, 1766, 59 p. et privil. • « Nouvelles obse
in Théâtre de M. Fagan et autres œuvres du mesme auteur, p. 393-429,
Paris
, 1760, 4 vol. in-12, t. II, (2 ff.) 432 p. PDF :
aire du Roi, de l’académie des sciences et belles lettres de Dijon. A
Paris
chez l’auteur, à Liège, chez Lemarié, 1781, 4 vol
, ou les mémoires de Mr. le Duc de Champigny. Par l’abbé F. X. D. F.,
Paris
, Luxembourg, de l’imprimerie des Héritiers d’Andr
641-1724) : Conversations morales sur les jeux et les divertissemens,
Paris
, André Pralard, 1685, in-12, 432 p. PDF : Gallica
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Paris
, Vente, 1765, in-12, (3 ff.) 220 p. PDF : Google.
7?-1813 ; abbé) : Le Comte de Valmont, ou les Égaremens de la raison,
Paris
, Pierre-François Gueffier et Nicolas-Léger Moutar
e éd. augmentée : Le Comte de Valmont, ou les Égaremens de la raison,
Paris
, Moutard, 1775, 3 vol. (XX-[4]-578-[2] p., [4] ff
eur de Sorbonne à une personne de qualité sur le sujet de la comédie,
Paris
, Claude Mazuel, 1694, 127 p. PDF : Google. Corpus
de Sainte Geneviève, & Supérieur Général de son Ordre en France,
Paris
, Méquignon l’aîné, 1788, 6 vol. ; Prones, tome pr
de Sainte Geneviève, & Supérieur Général de son Ordre en France,
Paris
, Méquignon l’aîné, 1788, 6 vol. ; Carême, tome pr
upart des orateurs du troisième ordre… ; publiée par M. l’abbé Migne,
Paris
, J.-P. Migne, 1854, t. LXIII. PDF : Google.
’Ant. Godeau, Evesque de Grasse. Nouvelle Edition revue et augmentee,
Paris
, Pierre Le Petit, 1654, in-12, (51 p.) ff. 508 p.
Pierre Le Petit, 1654, in-12, (51 p.) ff. 508 p. Réédition • Id.,
Paris
, Pierre Le Petit, 1660, in-12, (51 p.) ff. 508 p.
récédente par M. Dubois », p. 26-49, in Œuvres de Jean Racine, t. IV,
Paris
, Dabo et Tremblay, 1819. PDF : Gallica. • Goibaud
Racine ; nouvelle édition revue… par M. Paul Mesnard, 2e éd., t. IV,
Paris
, Hachette, « coll. « Les Grands Écrivains de la F
aux deux apologistes des Heresies imaginaires », avec la date : « De
Paris
, ce 10 mai 1666 ». Gousset, Théologie morale
2 vol. in-8°. Exemplaire BnF Tolbiac : D-36464. Rééditions • 2e éd.,
Paris
, J. Lecoffre, 2 vol. in-8°, t. I, xii-580 p. PDF
onsommée » (§ 632-651, p. 285-296), = § 644-651, p. 291-296. 13e éd.,
Paris
, 1865, t. I, xii-580 p. PDF : Google. Corpus OBVI
ce qui en est faite dans le Journal de Trevoux, Juillet 1759, 1 vol.,
Paris
, Chaubert et Hérissant, 1759, 20 p. PDF : Gallica
tome premier, Londres, Edouard Kelmarneck, 1765. PDF : Google. • Id.,
Paris
, chez les libraires associés, an XIII, 1805. PDF
in Œuvres de Gresset, nouvelle édition, augmentée de pièces inédites,
Paris
, Bleuet jeune, 1805, 3e partie. PDF : Google. • «
», p. 295-302, in Œuvres de Gresset, édition stéréotype, tome second,
Paris
, Pierre Didot l’aîné et Firmin Didot, 1806. PDF :
Joseph Marie Anne (1734-1783 ; abbé) : Des causes du bonheur public,
Paris
, Sébastien Jorry, 1768, in-8º, xxxvi-588 p. PDF :
on • seconde édition, revue, corrigée et considérablement augmentée,
Paris
, Veuve Laurent Prault, 1774, 2 vol., tome premier
e pour les dames, par le R. P. F. Guilloré, de la Compagnie de Jesus,
Paris
, Estienne Michallet, 1684, (6 ff.) 380 p. (1 f.).
s Causes de l’Indigence et de l’Immoralité,et moyens de les détruire,
Paris
, Delaunay et Pelicier, 1819, 2 vol. in-12, XXXIV-
nce et de l’Immoralité ; Moyens de les détruire, sont parues en 1807,
Paris
, Mme Lepetit. Harduin de Saint-Jacques, Apol
1648) : Apologie de Guillot-Gorju, adressée à tous les beaux esprits,
Paris
, Blageart, 1634, in-12, 27 p. Corpus OBVIL. Édi
p; Gardien actuel du Couvent de Notre-Dame de Nazareth, Strasbourg et
Paris
, Guillot ; Rouen, Yeury, 1783, (1 f.) VIII-274 p.
amp; la raison. Par le R. P. Heliodore de Paris, Predicateur Capucin,
Paris
, Edme Couterot, 1684-1686, 4 vol. in-8º. Premiere
s vertus et innocentant tous les vices ; publiée par M. l’abbé Migne,
Paris
, J.-P. Migne, 1866, 1432 col. PDF : Google. → Tex
é, suivi de réflexions sur le mandement de Mgr l’Archevêque de Rouen,
Paris
, P. Dupont, Delaunay et les marchands de nouveaut
naïves coutumes », Le Mercure du dix-neuvième siècle, t. IX, n° 110,
Paris
, Au bureau du Mercure, 1825, p. 262-266 [périodiq
s sociétés savantes, etc. », Le Mercure du dix-neuvième siècle, t. X,
Paris
, Au bureau du Mercure, 1825, p. 60-68. PDF : Gall
uses au sujet des journaux « le Constitutionnel » et « le Courrier »,
Paris
, J. Andriveau, Fonthieu, Delaunay, 1825, in-8º, 2
cipaux désordres du siècle. Par le R. P. ** de la Compagnie de Jesus,
Paris
, Jean Boudot, 1700, in-8º, (3 ff.) 489 p. + table
nçois-Charles (17..-17..) : Épître sur les spectacles ou Mon retour à
Paris
, Genève, s. n., 1761, in-16, 14 p. PDF : Gallica.
prétend encourue par le seul fait d’acteurs de la Comédie françoise,
Paris
, s. n., 1761, in-12. Sans l’Avis de l’éditeur, p.
ie françoise. Au sujet d’un ouvrage écrit pour la défense du théâtre,
Paris
, Christophe-Jean-François I Ballard, 1761, in-12,
nversation de M. l’intendant des Menus avec Mr. l’abbé *** [Grizel], [
Paris
], s. n., s. d. [1761]. 4) Traduction anglaise : [
], The Dispute between Mademoiselle Clairon, a celebrated actress at
Paris
, and the Fathers of the Church occasioned by the
ruction sur les spectacles, par l’abbé Hulot, vicaire de Charleville,
Paris
, Adrien Le Clère, 1823, VIII-188 p. PDF : Google.
Réédition augmentée • seconde édition, revue, corrigée et augmentée,
Paris
, Adrien Le Clère, 1826, x-206 p. [augmenté d’un c
utions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours,
Paris
, Durand, 1761, in-12, 4 vol., XVI-361-[7] ; [4]-4
ile aux prédicateurs, et curieux pour les gens de lettres, Amsterdam,
Paris
, Lacombe, 1767, LII-540 p. (1 f.). PDF : Google.
aste traduits du grec. Avec les Caractères ou les Mœurs de ce Siècle,
Paris
, Estienne Michallet, 1688, in-12, (29 ff.) 308 p.
actères ou les Mœurs de ce Siècle, 4e édition, corrigée et augmentée,
Paris
, Estienne Michallet, 1689, in-12, (20 ff.) 425 p.
s demoiselles pensionnaires du monastère royal de S.-Louis de Poissy (
Paris
, F. Pralard fils, 1698, in-12, pièces limin., 199
Instructions familières, ou Théologie des dames chrétiennes, 2e éd.,
Paris
, Pralard, 1700, 2 vol. (rééd. : Paris, s. d. ; La
des dames chrétiennes, 2e éd., Paris, Pralard, 1700, 2 vol. (rééd. :
Paris
, s. d. ; Langres, 1706) ; le titre devient Théolo
cadémie françoise, au sujet de celle qu’il a publiée sur la comédie, [
Paris
, Denis Humblot, 1759], in-8º, 16 p. PDF : Gallica
ne, œuvre critique, édition établie et présentée par Étienne Jolliet,
Paris
, École nationale supérieure des beaux-arts, 2001,
noine de Saint-Victor) : Réfutation d’un écrit favorisant la comédie,
Paris
, Edme Couterot, 1694, in-12, 87 p. (1 f.) 4 p. PD
es latins, italiens et françois pour et contre la comédie et l’opéra,
Paris
, C. Robustel, 1697, in-12, VIII-114 p. (3 ff.de t
édie et de l’opéra, où l’on prouve qu’on ne peut y aller sans pêcher,
Paris
, Louis Josse, 1697, in-12, (1 f) 114 p. (3 ff.de
es les loix et tous les reglemens qui la concernent…, tome I (sur 4),
Paris
, Jean et Pierre Cot, 1705, 648-13-41 p. in-fol. P
e codicum manuscriptorum emendati […] et […] commentariis illustrati,
Paris
et Lyon, G. Rouille et P. G. Rouille, 1563, in-4°
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Paris
, Jean-Baptiste Coignard Fils et Hippolyte-Louis G
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Paris
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Paris
, André Pralard, 1668 [= 1678], (8 ff.) 245 p. PDF
elles réflexions sur l’art poétique, éd. critique par Tony Gheeraert,
Paris
, Honoré Champion, coll. « Sources classiques », 1
égral présenté et annoté par Louis-Raymond Lefèvre puis André Martin,
Paris
, Gallimard, 1948, t. II (1601-1609), p. 275-276 e
La Tour, doyen du chapitre de Montauban… ; publiées par l’abbé Migne,
Paris
, J.-P. Migne, 1855, t. IV, col. 9-1346 [livres I
La Tour, doyen du chapitre de Montauban… ; publiées par l’abbé Migne,
Paris
, J.-P. Migne, 1855, 1632 col. PDF : Google.
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Paris
, Michel Lambert], 1760, in-12, [4]-494 [i. e 500]
ts des Docteurs de l’Église depuis le premier siecle jusqu’à present,
Paris
, Loüis Guérin et Jean Boudot, 1694, 163 p. PDF :
ec un Discours sur les pièces de théâtre tirées de l’Ecriture sainte,
Paris
, Veuve Delaune, 1731, in-12, xlviii-360 p. (10 ff
dramatique ancienne et moderne, t. II, Amsterdam, Marc-Michel Rey et
Paris
, Desaint et Saillant, 1752, 2 (2 ff.) 450 p.,. PD
et de trois lettres de Jean Racine qui n’avoient point été imprimées,
Paris
, de Hansy le jeune, 1773, in-8º, XII-84 p. PDF :
que, avec des notes historiques, biographiques et autre, par M. Roux,
Paris
, Charpentier, 1863, 420 p. PDF : Google, Gallica.
upart des orateurs du troisième ordre… ; publiée par M. l’abbé Migne,
Paris
, chez l’éditeur, 1844, t. III. PDF : Internet Arc
5) : Entretiens sur ce qui forme l’honneste homme et le vray sçavant,
Paris
, Edme Couterot, 1690, (6 ff.) 273 p. (1 f.). PDF
?-1705) : Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie,
Paris
, Théodore Girard, 1694, (2 ff.) 44 p. [dernière p
au siege Presidial d’Angers (…) Seconde Edition, reveue et augmentee,
Paris
, Nicolas Buon, 1608, in-4º, (ff.) 979 p. + tables
2. Autres éditions • 1re éd. : Discours et histoires des spectres…,
Paris
, Nicolas Buon, 1605, in-4º, [26] -976-[39] p. PDF
ray chrétien dans la santification [sic] des dimanches et des festes,
Paris
, Edme Couterot, 1694, (19 ff) 565 p. + tables. PD
on aisée, 1652 • Le Moyne, Pierre (1602-1671) : La Dévotion aisée,
Paris
, Antoine de Sommaville, 1652, (27 ff.) 294 p. PDF
prétend encourue par le seul fait d’acteurs de la Comédie française,
Paris
, 1761, in-12. Mémoire inclus p. XVII-XXVII in Hu
es moraux, suivis d’une Apologie du Théâtre, à partir de l’édition de
Paris
, Lesclapart, 1761, 2 vol. in-12, XIV-360, 389 p.
tion Diabolique, arts Magiques & Superstitions abusent le peuple,
Paris
, Jean Poupy, 1579, 8º, (28 ff.), 36 p. + 250 ff.[
sillon), notamment : • Sermons de M. Massillon…, Carême, tome second,
Paris
, Veuve Estienne et fils, Jean Hérissant, 1746, 57
acrements et de sépulture, par M. Mauroy, avocat aux Conseils du Roi,
Paris
, impr. de Lachevardière fils, 1825, in-8°, 50 p.
ouvrages qui ont paru pour et contre la comédie, par M. L. J. D. B.,
Paris
, Veuve Pissol & M. Duchesne, 1752, in-8º, (5
& les Mœurs, par M. l’Abbé Meusy, Prêtre du Diocèse de Besançon,
Paris
, Humblot, 1770, 2 vol. in-12, tome second, viii-5
titulé J. J. Rousseau citoyen de Genève à M. D’Alembert, Amsterdam et
Paris
, Lambert et Duchesne, 1760, in-8º, XX-[1] p., p.
de Grandmaison, Aubin-Louis (1759-1818) : Sur la Liberté du Théâtre,
Paris
, Lagrange, 1790, in-8º, 60 p. PDF : Gallica.
de Minucius Félix, de la traduction de N. Perrot, sieur d’Ablancourt,
Paris
, par la Compagnie des libraires associés, 1677, i
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Paris
, PUF, 1965, p. 176-177. N.-B. • 1re éd. : Borde
éd. : Bordeaux, Simon Millanges, 1580 [livres I et II ] ; • 4e éd. :
Paris
, Abel L’Angelier, 1588 [3 livres] ; • exemplaire
er, 1588 [3 livres] ; • exemplaire de Bordeaux : éd. Villey-Saulnier,
Paris
, PUF, 1965. Montargon, Dictionnaire apostoli
les et de la campagne, et de tous ceux qui se destinent à la chaire,
Paris
, Veuve de Ph. N. Lottin et J. H. Buttard, 1752-17
, Veuve de Ph. N. Lottin et J. H. Buttard, 1752-1758, 13 vol. Rééd. :
Paris
, Auguste-Martin Lottin, 1755-1759, 13 vol. → Tex
13 vol. → Texte : « Spectacles » [= 91e et dernier traité], t. XII (
Paris
, Auguste-Martin Lottin, 1757), p. 584-662. PDF :
., p. 480-583) portant sur les plaisirs et sur le jeu. Rééditions •
Paris
, Méquignon fils aîné, 1822-1824, 15 vol. • Paris,
jeu. Rééditions • Paris, Méquignon fils aîné, 1822-1824, 15 vol. •
Paris
, Parent-Desbarres, 10 vol., 1839. Traduction esp
es Dangers des spectacles, ou les Mémoires de M. le duc de Champigny,
Paris
, l’Auteur, L. Jorry, J.-G. Mérigot, 1780, 4 vol.
accompagnées de réflexions, par Lindley Murray, traduit de l’anglais,
Paris
, Lachevardière fils, 1824, in-12, 28 p. PDF : Goo
e fils, 1824, in-12, 28 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. Réédition •
Paris
, impr. de E. Duverger, 1838, in-12, 23 p. Ex. BnF
divers traitez sur plusieurs devoirs importans. Troisième volume •
Paris
, Guillaume Desprez, 1675, in-12, (2 ff.) 461 p. (
. • Éd. moderne : Traité de la comédie ; présenté par Georges Couton,
Paris
, Les Belles Lettres, « Bibliothèque de la Faculté
in Essais de Morale, ou Lettres écrites par feu M. Nicole, Tome VIII,
Paris
, Guillaume Desprez, 1733, xii-384 p. [1re éd. 171
tacles, par l’auteur de « Podalire » et de « l’Aristénète français »,
Paris
, Le Petit jeune, an X-1802, in-8º, 16 p. PDF : Ga
ue, & des observations sur ses différens genres reçus au théâtre,
Paris
, Cailleau, 1769, 2 vol in-12, XVII-382 et VIII-37
s sociétés savantes, etc. », Le Mercure du dix-neuvième siècle, t. X,
Paris
, Au bureau du Mercure, 1825, p. 60-68. PDF : Gall
a comédie], nº 630 in Pensées, opuscules et lettres, éd. Ph. Sellier,
Paris
, Garnier, 2010. Autre édition • in L. Thirouin
administration de la chose publique translaté de latin en françoys],
Paris
, Galliot du Pré, 1520, in-fol., 5 ff.limin. et CC
d’Érasme, touchant la doctrine et enseignement du prince chrestien…,
Paris
, C. Micard, 1584, 2 parties en 1 vol. in-16, pièc
en ont traicté… le tout traduict en françois par M. Jaques Tigeou, …,
Paris
, G. Chaudière, 1589, in-8º, pièces limin., 585 ff
és d’un nouveau théologien sur le même sujet, par M. l’abbé L** P***,
Paris
, Jean-Baptiste Coignard, 1694, in-12, (4 ff.) 132
sieurs les comédiens français ordinaires du Roi, par M. Petit, s. l. [
Paris
], impr. de Valleyre père, s. d. [texte daté de 17
ip, B. (18..-18.. ; abbé) : Nouveau dictionnaire de théologie morale,
Paris
, J. Lecoffre, 1857, in-8°, xii-544 p. Réédition
Réédition •2e édition augmentée d'un table analytique des matières,
Paris
, Tolba et Haton, 1861, (ff.) xii-544 p. PDF : Goo
un, ancien professeur de théologie au grand séminaire de cette ville,
Paris
, Aux Ateliers du Petit Montrouge, 1849, 2 vol. gr
rs citez, et des trois cens neuf Titres qui composent tout l’Ouvrage,
Paris
, aux dépens de la compagnie, 1736, 2 vol. in-fol.
des plus célèbres théologiens et canonistes, par messire Jean Pontas,
Paris
, P.-A. Le Mercier, 1715, 2 vol. in-fol. • Rééd. :
Jean Pontas, Paris, P.-A. Le Mercier, 1715, 2 vol. in-fol. • Rééd. :
Paris
, Le Mercier, Langlois, Josse et alii, 1724, 2 vol
ea, oratio habita die 13 martii anno 1733 in Ludovici Magni collegio,
Paris
, Jean-Baptiste Coignard fils, 1733, in-4º, 52 p.
Porée de la Compagnie de Jésus par le P. Brumoy de la même compagnie,
Paris
, Jean-Baptiste Coignard fils, 1733, in-4º, 48 p.
emporibus seorsum evulgatae fuerant, nunc primum collectae et editae,
Paris
, M. Bordelet, 1735, 3 vol. in-8º ; t. II, (2 ff.)
chel de (1620-1680 ; abbé) : Idée des spectacles anciens et nouveaux,
Paris
, Michel Brunet, 1668, (3 ff.) 318 p. (5 ff.) in-1
es, et des Visionnaires », p. 11-25, in Œuvres de Jean Racine, t. IV,
Paris
, Dabo et Tremblay, 1819. PDF : Gallica. • « Lettr
. Racine, nouvelle édition revue… par M. Paul Mesnard, t. IV, 2e éd.,
Paris
, Hachette, coll. « Les Grands Écrivains de la Fra
ica. • in L. Thirouin, éd. p. 225-232. N.-B. Probablement imprimé à
Paris
, après le 8 janvier 1666, date de la 2e « Visionn
ne aux deux apologistes des Heresies imaginaires », avec la date « De
Paris
, ce 10 mai 1666 ». PDF : Google. Corpus OBVIL.
des deux réponses précédentes », p. 74-86, in Œuvres de Jean Racine,
Paris
, Dabo et Tremblay, 1819, t. IV. PDF : Gallica. •
. Racine, nouvelle édition revue… par M. Paul Mesnard, t. IV, 2e éd.,
Paris
, Hachette, « coll. « Les Grands Écrivains de la F
an Racine, avec le commentaire de M. de Laharpe, éd. Germain Garnier,
Paris
: H. Agasse, 1807, t. VI. PDF : Google. Corpus OB
. Racine, nouvelle édition revue… par M. Paul Mesnard, t. IV, 2e éd.,
Paris
, Hachette, « coll. « Les Grands Écrivains de la F
poésie dramatique ancienne et moderne, Amsterdam, Marc-Michel Rey et
Paris
, Desaint et Saillant, 1752, 3 vol. ; t. III, (1 f
e la scène sur les mœurs en France, mémoire de Madame Caroline Ratyé,
Paris
, Madame Cardinal, 1836, in-8º, 21 p. PDF : Gallic
des spectacles, par l’abbé Rémard, curé de Saint-Jacques-du-Haut-pas,
Paris
, De Lossy, 1836, in-12. Ex. BNF Tolbiac : D-50193
esse depuis le 3. jour de Novembre 1634, jusques à l’ii Février 1636,
Paris
, Au Bureau d’adresse, 1636, (ff.) 420 p. PDF : Go
ns de rendre la comédie utile aux moeurs par M. de B*** [Buzonnière],
Paris
, Debure père et Le Breton, 1767, in-12, XXIII-[1
anonique, géographique et chronologique des sciences ecclésiastiques,
Paris
, Jacques Rollin, Charles-Antoine Jombert, Jean-Ba
géographique et chronologique des sciences ecclésiastiques, t. XXIV,
Paris
, Méquignon-Havard, 1825. PDF : Internet Archive.
de Molière intitulée Le Festin de Pierre. Par le Sieur de Rochemont,
Paris
, Nicolas Pépingué, 1665, in-12, (1 f.) 48 p. PDF
on article « Genève », chronologie et introduction par Michel Launay,
Paris
: Garnier-Flammarion, 1967, 253 p. ; rééd. coll.
nglaise • A letter from M. Rousseau, of Geneva, to M. D’Alembert, of
Paris
, concerning the effects of theatrical entertainme
spectacles de boulevard, par M. Rousseau (de Toulouse), Bruxelles et
Paris
, chez les marchands de nouveautés, 1781, in-8º, 8
rquise de) : « Maxime 81 », p. 39-41, in Maximes et Pensées diverses,
Paris
, Sébastien Mabre-Cramoisy, 1678, in-12, (16) 90 p
des Maizeaux, Membre de la Société Royale. Nouvelle édition…, t. III,
Paris
, s. n., 1740. PDF : Internet Archive. Corpus OBVI
des Maizeaux, Membre de la Société Royale. Nouvelle édition…, t. III,
Paris
, s. n., 1753. PDF : Gallica. Éditions modernes
ne histoire de la vie et des ouvrages de l’auteur par Charles Giraud,
Paris
, J. Léon-Techener fils, 1865, t. II, p. 320-334.
textes publiés avec introduction, notices et notes par René Ternois,
Paris
, M. Didier, « Société des textes français moderne
es spectacles plus utiles à l’Etat », p. 176-194, in Œuvres diverses,
Paris
, Briasson, 1730, t. II. PDF : Gallica. Franç
9 (en 3 parties). Rééditions • Réédition augmentée (en 5 parties),
Paris
, Imprimerie Royale, 1641, (ff.) 467 p. + tables.
IV livres contre l’avarice. Avec plusieurs Epistres du mesme Autheur,
Paris
, Gaspar Meturas, 1655, (11 ff.) 406 p. (9 ff). PD
es, 1608 • Savaron, Jean (1566-1622) : Traitté contre les masques,
Paris
, Pierre Chevalier, 1608, in-8º, 36 p. PDF : Googl
e Chevalier, 1608, in-8º, 36 p. PDF : Google. Réédition • 3e éd. :
Paris
, A. Perier, 1611, in-8º, 53 p. PDF : Google. N.-
tre, 1639 • Scudéry, Georges de (1601-1667) : Apologie du théâtre,
Paris
, Augustin Courbé, 1639, in-4º, (4 ff.) 99 p. PDF
[Marmontel], 1760 • Secousse (....-1771 ; curé de Saint-Eustache à
Paris
, frère du juriste Denis-François Secousse [1691-1
la Lettre de M. Jean-Jacques Rousseau à M. d’Alembert, « En France » [
Paris
], 1760, in-8º, 38 p. PDF : Google. Corpus OBVIL.
1737-1802) : Lettre à un père de famille sur les petits spectacles de
Paris
, par un honnête homme, Paris, Garnéry, 1789, in-8
de famille sur les petits spectacles de Paris, par un honnête homme,
Paris
, Garnéry, 1789, in-8º, 46 p. PDF : Gallica. S
quelques naïves coutumes », Le Mercure du dix-neuvième siècle, t. IX,
Paris
, Au bureau du Mercure, 1825, p. 262-266 [périodiq
ult, Jean-François (1599-1672 ; oratorien) : De l’Usage des Passions,
Paris
, Veuve Jean Camusat, 1641, (87 p.) 564 p. Réédi
is (1599-1672 ; oratorien) : Le Monarque ou les Devoirs du Souverain,
Paris
, Pierre Le Petit, 1661, in-4º, [34]-514-[2] p. PD
: De la connoissance des bons livres ou Examen de plusieurs autheurs,
Paris
, André Pralard, 1671, in-12, [XII]-429 p. PDF : G
l’ordre de l’année, inspiré par le S. Esprit à l’Eglise Chrestienne,
Paris
, Claude Sonnius, 1640, (34 ff.) 1070 p. + tables.
les exemples des anciens et des modernes, par M. l’abbé Terrasson, …,
Paris
, François Fournier et Antoine-Urbain Coustelier,
une Lettre aux martirs ; traduits en françois [par Mathieu Caubère],
Paris
, Rolin fils, 1733, in-12, (3 f.) XVIII p. (2 f.)
aux chrétiens selon les règles de l’Eglise et le sentiment des Pères,
Paris
, Antoine Dezallier, 1686, in-12, (38) 481 p. PDF
, & passe temps sont permis aux Chrestiens. Par D. T. […], s. l. [
Paris
], Jacob Salesse, 1600, in-8, 63-1 p. [Caen MBA :
n ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles,
Paris
, s. n., 1759, 84 p. PDF : Gallica. Valbelle d
e l’Écriture sainte et les instructions des Saints Pères de l’Église,
Paris
, Pierre Promé, 1666, in-12, (ff.) 400 p. Corpus O
et augmentée : Id., 1667. PDF : Google. • 3e éd. revue et augmentée :
Paris
, Jean-Baptiste Coignard, 1672, (10 f.) 377 p. PDF
saincte et ès conciles des six premiers siècles, par François Véron,
Paris
, Louys Boulanger, 1643, in-12, (21 ff.) 654 p. +
la plupart des articles de la discipline. Revu, corrigé et augmenté,
Paris
, Louis Vendosme, 1663, (2 ff.) 388 p. PDF : Googl
réponse à sa lettre à M. d’Alembert sur les Spectacles, Genève [i. e.
Paris
, Antoine-Urbain II Coustelier], avec permission,
rre de (1648-1728 ; abbé) : Entretiens sur les tragédies de ce temps,
Paris
, Estienne Michallet, 1675, in-12, (1 f.) 152 p. P
l de dissertations sur plusieurs tragédies de Corneille et de Racine,
Paris
, Gisssey et Bordelet, 1740, 2 vol, t. I, p. 1-46.
res complètes, t. I : Théâtre — Poésie, édition de Georges Forestier,
Paris
, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1999,
on d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres,
Paris
, Coignard, 1671, in-8º, xl-491 p. PDF : Google. C
1671, in-8º, xl-491 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. Autre édition •
Paris
, Louis Billaine, 1671, in-8º, xl-491 p. PDF : Goo
tion de M. l’intendant des Menus avec Mr. l’abbé *** [Grizel], s. l. [
Paris
], s. n., s. d. [1761], in-12, 24 p. PDF : Gallica
1761], in-12, 24 p. PDF : Gallica. N.-B. Signé à la fin : « Fait à
Paris
, par moi George Avenger, 20 mai 1761 ». Le nom de
• The Dispute between Mademoiselle Clairon, a celebrated actress at
Paris
, and the Fathers of the Church, occasioned by the
dians, said to be written by M. de Voltaire, printed and published at
Paris
, and condemned to be burnt, in the place de Grève
ant ses Mélanges de philosophie, de littérature et d’histoire, s. l. [
Paris
], s. n. [Michel Lambert], 1757, in-12, 537 p. + t
losophique, vol. 4 (Œuvres complètes de Voltaire, t. XX), éd. Moland,
Paris
, Garnier frères, 1879, p. 233-236 Wikisource. Ver
à l’affaire Huerne de La Mothe : Correspondance, éd. T. Besterman,
Paris
, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1977-
iennes. L’Homme particulier. Par le P. Ives de Paris, Capucin, t. II,
Paris
, Denis Thierry, 1639, in-4º, (ff.) 591 p. + table
L’Homme particulier. Par le P. Ives de Paris, Capucin, t. II, 3e éd.,
Paris
, Denis Thierry, 1643, in-4º, (6 ff.) 591 p. + tab
, p. 429-591, « Des Theatres. Chapitre VIII », p. 511-519. • 4e éd. :
Paris
, Denis Thierry, 1655. Yves de Paris, L’Agent
: L’Agent de Dieu dans le monde. Par le R. P. Yves de Paris Capucin,
Paris
, Denis Thierry, 1656, in-4º, (8 ff.) 496 p. + tab
apitre XVIIII », p. 465-472. Réédition • 2e éd. revue et corrigée :
Paris
, Veuve Thierry et Denis Thierry, 1658, in-4º, (7
’Evesque de Nismes contre les spectacles. Aux Fideles de son Diocese,
Paris
, Jacques Estienne, 1709, in-8º, 8 p. PDF : Google
les de M. Fléchier Evêque de Nismes. Avec son oraison funèbre, in-8º,
Paris
, Jacques Estienne, 1712, (3 ff.) 388 p. (5 ff.).
vec les instructions et les rubriques en François, troisième édition,
Paris
, Guillaume Desprez, 1667, (6 ff.) 479 p. PDF : Go
1 [sur la fréquentation de la comédie, p. 114-115]. Autre édition •
Paris
, Charles Savreux, 1677. PDF : Google. [Nicola
ste) : Les Instructions du Rituel du diocèse d’Alet, seconde édition,
Paris
, chez la veuve Charles Savreux, 1670, (6 ff.) 723
148 [sur la fréquentation de la comédie, p. 132]. Autres éditions •
Paris
, Guillaume Desprez, 1678. PDF : Google. • Paris,
. Autres éditions • Paris, Guillaume Desprez, 1678. PDF : Google. •
Paris
, Antonin Des Hayes, 1719. PDF : Google. N.-B. L
à 1557]. Procès-verbal de l’action intentée devant le parlement de
Paris
, 8-12 décembre 1541 • [Procès-verbal de l’acti
1541 • [Procès-verbal de l’action intentée devant le parlement de
Paris
par le procureur général du Roi aux « maîtres ent
. Arrêt du Parlement, 25 janvier 1542 • [Arrêt du parlement de
Paris
autorisant, après avis du Roi, les représentation
Arrêt du Parlement, 17 novembre 1548 • [Arrêt du parlement de
Paris
interdisant les représentations de « Mystères sac
de 1789, par MM. Isambert et Taillandier, t. XVI (années 1610-1643),
Paris
, Belin-Leprieur, 1829, (2 ff.) 556 p. → Texte : N
nt-Germain-en-Laye, 7 novembre 1629 (Reg. du conseil privé — Hist. de
Paris
, par Lobineau, Paris, 1725, t. V, p. 819 », p. 34
novembre 1629 (Reg. du conseil privé — Hist. de Paris, par Lobineau,
Paris
, 1725, t. V, p. 819 », p. 345-346. PDF : Gallica.
de 1789, par MM. Isambert et Taillandier, t. XVI (années 1610-1643),
Paris
, Belin-Leprieur, 1829, (2 ff.) 556 p. → Texte : N
cle – droits d’auteur – correspondance – congés – débuts – acteurs de
Paris
et des départements. Par un amateur, Paris, Alexi
ngés – débuts – acteurs de Paris et des départements. Par un amateur,
Paris
, Alexis Eymery et Delaunay, 284 p. PDF : Gallica.
. Arrêt du Parlement, 29 janvier 1765 • « Arrêt du Parlement de
Paris
du 29 Janvier 1765, portant règlement pour les Co
bert : Traité de la police administrative des théâtres de la ville de
Paris
, Paris, G. Thorel, 1850, in-8º, VII-248 p. PDF :
Traité de la police administrative des théâtres de la ville de Paris,
Paris
, G. Thorel, 1850, in-8º, VII-248 p. PDF : Google,
22 et le 29 juin 1862 aux Conférences de l’Association Polytechnique,
Paris
, Typographie E. Panckoucke, 1862, 90 p. PDF : Goo
tres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand-Conseil, Prévôt de
Paris
, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieutenans Civils &am
il appartiendra, Salut : Notre amé André-Charles Cailleau, Libraire a
Paris
, Nous a fait exposer qu’il désireroit faire impri
un des contrevenans, dont un tiers à Nous, un tiers à l’Hôtel-Dieu de
Paris
, & l’autre tiers audit Exposant, ou à celui q
ng sur le Registre de la Communauté des Imprimeurs & Libraires de
Paris
, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’imp
de, & Lettres à ce contraires. Car tel est notre plaisir. Donné à
Paris
le vingt-septiéme jour du mois de Mai, l’an de gr
e la Chambre Royale & Syndicale des Libraires & Imprimeurs de
Paris
, N°. 1200. fol. 223 conformément au Réglement de
urs de Paris, N°. 1200. fol. 223 conformément au Réglement de 1725. A
Paris
, ce 13 Juin 1767. GANEAU, Syndic.
ncipales Villes du Royaume, ils crurent être assez forts pour venir à
Paris
partager la gloire du Théâtre avec l’Hôtel de Bou
ur ce fondement quelques Comédiens de Province élevèrent un théâtre à
Paris
dans les lieux et dans les temps de la Foire sain
que les Statuts des six Corps des Marchands et des Arts et Métiers de
Paris
, dont l’effet est suspendu en faveur des Forains
besoin serait ; ce qui fut exécuté. Les accroissements de la Ville de
Paris
obligèrent les Comédiens, pour la commodité publi
du Roi, fut le premier qui forma le dessein d’en introduire l’usage à
Paris
; il en obtint le privilège du Roi en l’année 166
fameux Musiciens et les meilleures voix qu’ils purent trouver, tant à
Paris
, que dans les Provinces les plus éloignées. Leur
s années, qu’une Troupe de Comédiens Italiens était venue s’établir à
Paris
, et qu’elle y représentait ses Pièces avec assez
et leur théâtre détruit ; en sorte qu’il ne reste plus présentement à
Paris
que l’Opéra et la seule Troupe des Comédiens Fran
tranquillité dont ils jouissent ; il lui a plu d’établir depuis peu à
Paris
une Académie et des Ecoles de Musique, et de pour
son Hôtel, et Lieutenant de Police de la Ville, Prévôté et Vicomté de
Paris
, l’onzième Décembre mil six cent soixante-douze,
soins et par la bonté de Sa Majesté dans tous les autres endroits de
Paris
: Le Procureur du Roi Nous a requis qu’il fût sur
son Hôtel, et Lieutenant de Police de la Ville, Prévôté et Vicomté de
Paris
, le neuvième jour de Janvier mil six cent soixant
Etrangers établis ou qui s’établiront ci-après dans sa bonne Ville de
Paris
, de se servir d’aucuns Musiciens externes et de p
l, et Lieutenant Général de Police de la Ville, Prévôté et Vicomté de
Paris
, le 22. jour de Janvier 1674. Signé, DE LA REYNIE
médiens établis à l’Hôtel de Bourgogne et dans la rue de Guenegault à
Paris
, pour n’en faire à l’avenir qu’une seule, afin de
sté veut que ladite seule Troupe puisse représenter les Comédies dans
Paris
; faisant défenses à tous autres Comédiens França
aque contravention, au profit de l’Hôpital Général de sadite Ville de
Paris
; Enjoignant Sa Majesté au sieur De la Reynie, Li
ce soit. Enjoint au Lieutenant Général de Police de sa bonne Ville de
Paris
, de tenir la main à l’exécution de la présente Or
njoint au sieur De la Reynie, Lieutenant Général de sa bonne Ville de
Paris
, de tenir la main. Fait au Conseil d’Etat du Roi,
ur De la Reynie, Lieutenant Général de Police de notre bonne Ville de
Paris
, Salut. Suivant l’Arrêt dont l’Extrait est ci-att
e soit : Enjoint au Lieutenant Général de Police de sa bonne Ville de
Paris
, de tenir la main à l’exécution de la présente Or
naire de son Hôtel, Lieutenant Général de Police de sa bonne Ville de
Paris
, de tenir la main à l’exécution de la présente Or
quier Juré-Crieur ordinaire du Roi en la Ville, Prévôté et Vicomté de
Paris
, de publier et afficher dans tous les Carrefours,
ues, et lieux ordinaires et accoûtumés de cette Ville et Faubourgs de
Paris
, l’Ordonnance de Sa Majesté ci-dessus, à ce que p
l, et Lieutenant Général de Police de la Ville, Prévôté et Vicomté de
Paris
, le onzième jour d’Avril 1703. Signé, de Voyer d’
joint Sa Majesté au Lieutenant Général de Police de sa bonne Ville de
Paris
, de tenir la main à l’exécution de la présente Or
ns les autres places et lieux publics et accoûtumés de cette Ville de
Paris
, l’Ordonnance ci-dessus, à ce que nul n’en préten
ôtel, Lieutenant Général de Police de la Ville, Prévôté et Vicomté de
Paris
, le premier jour de Septembre mil sept cent un. S
tres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Conseil, Prévôt de
Paris
, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieutenants Civils, e
il appartiendra, Salut. Notre bien aimée la Veuve Delaulne Libraire à
Paris
, Nous ayant fait remontrer qu’elle souhaiterait f
n des contrevenants, dont un tiers à Nous, un tiers à l’Hôtel-Dieu de
Paris
, l’autre tiers à ladite Exposante, et de tous dép
long sur le Registre de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de
Paris
, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’imp
ande, et Lettres à ce contraires : Car tel est notre plaisir. Donné à
Paris
le treizième jour du mois de May, l’an de grâce m
le Registre VII. de la Chambre Royale des Libraires et Imprimeurs de
Paris
, N° 357 fol. 301. conformément aux anciens Règlem
nt aux anciens Règlements, confirmés par celui du 28. Février 1723. A
Paris
, le dix-sept Mai 1729. Coignard, Syndic
ur, Olympe des Mortels, Où l’Amour a son Temple, et Vénus ses Autels,
Paris
, je vous revois ; déjà mon œil découvre La Forêt
els nouveaux objets s’offrent de toutes parts ? Qui fait ainsi courir
Paris
aux Boulevards ? De femmes et d'enfants quelle af
oneaux paraît. Un Manant ridicule est le plaisant objet Qui rassemble
Paris
: honteux je me retire, Et laisse mes Badauds qui
e ! ô mœurs ! Quoi ! tu parais encore après tant de noirceurs ? Quand
Paris
qui te hait, sans rappeler tes crimes, En nommant
s Victoire, Elève d’un Couvent d’une illustre mémoire, Des bras de la
Paris
un Abbé l’enleva ; Au faîte des grandeurs un Comt
l’Acteur. J’y verrai Dumesnili , ou plutôt Melpomènej, Attirant tout
Paris
sur la tragique Scène, D’une Amante offensée imit
le légéreté ! quelle précision ! Oui, dans ces temps féconds que tout
Paris
nous vante, Camargoz fut moins vive, et Salé mo
, Dans le sein de la Paix leur déclarer la guerre : C’est ainsi qu’à
Paris
au milieu des Plaisirs, Vivant sans embarras, san
Opéra. a. [NDE] Jean Ramponeaux (1724 - 1802), cabaretier célèbre de
Paris
. b. [NDE] Pasquin, personnage type de valet au
lissot de Montenoy en 1754. w. [NDE] Actrice, chantant à l'Opéra de
Paris
au milieu du XVIIIe siècle. x. [NDE] Il est ici
- 1802), chanteur d'opéra français. y. [NDE] Danseuse de l'Opéra de
Paris
au milieu du XVIIIe siècle. z. [NDE] Marie-Anne
cteur de théâtre français. ac. [NDE] Couppée, actrice de l'Opéra de
Paris
au milieu du XVIIIe siècle. ad. [NDE] Deschamps
ilieu du XVIIIe siècle. ad. [NDE] Deschamps, danseuse de l'Opéra de
Paris
au milieu du XVIIIe siècle ae. [NDE] Vestris, d
eu du XVIIIe siècle ae. [NDE] Vestris, danseuse seule de l'Opéra de
Paris
au milieu du XVIIIe siècle. af. [NDE] François
Lettre d’un Théologien illustre par sa qualité et par son mérite. A
Paris
, Chez Jean Guignard. 1694. Cette Lettre a été
ECONDE. Réponse à la Lettre du théologien défenseur de la Comédie. A
Paris
, Chez Girard, au Palais. 1694. Cette Réponse e
évérend Père François Caffaro, A Monseigneur l’Archevêque de Paris. A
Paris
, Chez F. Muguet. Le Révérend Père Caffaro ass
evêque lui ordonnera pour édifier l’Eglise. Cette Lettre est datée de
Paris
le 11. May 1694. SECTION QUATRIEME. Lettre d’
iens, et dit qu’il n’y a qu’à consulter les Registres du Parlement de
Paris
, où l’on verra comme les Comédiens y sont traités
médiens, c’est un vice énorme. S. August. Traité. 100. sur S. Jean. A
Paris
, Chez Jean Couterot, rue S. Jacques 1694. Le R
SECTION SIXIEME. Décision faite en Sorbonne, touchant la Comédie. A
Paris
, Chez Jean-Baptiste Coignard, rue S. Jacques. 169
te Coignard, rue S. Jacques. 1694. Un Confesseur d’une Paroisse de
Paris
, ayant trouvé un Pénitent qui coopérait directeme
on des Sentiments relâchés d’un mauvais Théologien, sur la Comédie. A
Paris
, Chez Coignard, rue S. Jacques, à la Bible d’or.
des Docteurs de l’Eglise, depuis le premier siècle jusqu’à présent. A
Paris
, Chez Guérin et Boudot, rue S. Jacques. 1694.
isir ignoré : Des Pèlerins, dit-on, une troupe grossière, En public à
Paris
y monta la première, Et sottement zélée en sa sim
Dieu par pitié. » Le Cardinal Le Moine acheta l’Hôtel de Bourgogne à
Paris
pour ses dévots Comédiens, à condition qu’ils ne
Pièces pieuses ; ce qui y fit ajouter des Farces que le Parlement de
Paris
défendit en 1541. sous François I. comme contrair
ons sur la Comédie, par M. Jacques Bénigne Bossuet Evêque de Meaux. A
Paris
, Chez Anisson. 1694. Monsieur de Meaux commenc
ibus infructuosis tenebrarum, magis autem redarguite. » Eph. 5. 11. A
Paris
, Chez Couterot, rue S. Jacques. L’Auteur de c
autres raisons, et principalement sur la discipline des Paroisses de
Paris
, qui observent exactement leurs Rituels qui ordon
ces Théâtres. Cet Auteur fait encore le récit du bruit, qu’il y eut à
Paris
, dans la Paroisse de S. Germain de l’Auxerrois en
ici la décision : « Les Docteurs de la sacrée Faculté de Théologie de
Paris
, soussignés, qui ont été consultés pour savoir si
pour savoir si les Comédies que représentent les Comédiens Italiens à
Paris
, peuvent être permises, ayant vu une partie des A
n ceux qui les représentent, et en ceux qui y contribuent. Délibéré à
Paris
ce 25. Novembre 1657. et signe, Pereyret, N. Corn
SECTION ONZIEME. Réponse à la Préface de la Tragédie de Judith. A
Paris
, Chez Jean-Baptiste Coignard, à la Bible d’or. 16
cent XII. et sa Réponse. On a écrit de Rome, que les Comédiens de
Paris
qui se présentèrent à la Confession au Jubilé de
equête au Pape, dans laquelle ils remontrent qu’ils ne représentent à
Paris
que des Pièces honnêtes, purgées de toutes saleté
ujet la Passion de Notre-Seigneur ; cela parut nouveau : le Prévôt de
Paris
en fut averti, et il y pourvut par une Ordonnance
e du troisième Juin 1398. Elle fait défense à tous les « Habitants de
Paris
, à ceux de saint Maur et des autres Villes de sa
ura des Lettres du quatrième Décembre 1402. pour leur établissement à
Paris
. Comme ces Lettres ne se trouvent imprimées en au
e 1402. Lettres Patentes portant permission à une Compagnie établie à
Paris
, sous le titre de Confrères de la Passion de N.S.
et Résurrection de Notre-Seigneur, fondée en l’Eglise de la Trinité à
Paris
: contenant que comme pour le fait d’aucuns Mystè
et place licite à ce faire, qu’ils pourront trouver en notre Ville de
Paris
, comme en la Prévôté et Vicomté ou Banlieue d’ice
à cette occasion, ne autrement. Si donnons en mandement au Prévôt de
Paris
, et à tous nos autres Justiciers et Officiers pré
tres choses notre droit et l’autrui en toutes. Ce fut fait et donné à
Paris
en notre Hôtel lés saint Pol, ou mois de Décembre
n de la Passée, avaient acheté deux arpents de terre hors la Porte de
Paris
, du côté de S. Denis, et y avaient fait bâtir une
présenter aucuns jeux, tant dans la Ville, Faubourgs, que Banlieue de
Paris
, sinon sous le nom et au profit de la Confrérie.
e 1402. Lettres Patentes portant permission à une Compagnie établie à
Paris
, sous le titre de Confrères de la Passion de N.S.
Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de
Paris
par le procureur général du Roi aux “maîtres entr
procureur général du Roi, prenant le fait en main pour les pauvres de
Paris
, demandeur et requérant l’entérinement d’une requ
eu et mystère des Actes des Apôtres naguère exécuté en cette ville de
Paris
, défendeurs à l’entérinement de ladite requête, d
i avait fait expédier ses lettres patentes adressantesbh au Prévôt de
Paris
, juge ordinaire. Le Royer ayant lesdites lettres,
ion, appelés les gens du Roibi. De leur consentement, ledit Prévôt de
Paris
ou son lieutenant, en faisant lesdites lettres, p
pauvres. Le Maistre dit qu’il n’y a point de permission du Prévôt de
Paris
, ains au contraire ledit Prévôt a ordonné qu’aucu
pour employer à l’aliment et nourriture des pauvres de cette ville de
Paris
. Et semblablement mettront par devers ladite cour
on d'un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres,
Paris
, Coignard, 1671, p. 308-316. Il a été ensuite tra
NDE] Blondus Flavius (ca 1388-1463), De Roma triumphante libri decem,
Paris
, Simon de Colines, 1533 (1e éd. ca 1472), tome 1,
incunables, et plusieurs éditions du début du XVIe s., dont celle de
Paris
, N. Savetier, 1529, Sexti Pompei Festi Librorum X
voir G. D. Mansi, Sacrorum Conciliorum nova et amplissima collectio,
Paris
, Arnehm, 1901, tome 3, c. 958. z. [NDE] N’a pas
ntendu les arguments ci-dessus énumérés. bb. [NDE] Monnaie frappée à
Paris
. bc. [NDE] Les maîtres du Mystère de la Passion,
eine d’emprisonnement. be. [NDE] Un Riant est attesté comme avocat à
Paris
(voir Runnalls, éd. cit., n. 62). Curieusement, i
iel Testament. bh. [NDE] Les lettres patentes adressées au Prévôt de
Paris
. bi. [NDE] Il fait vérifier les lettres au Châte
Mesmes (1490-1559) est, de 1532 à 1544, lieutenant civil du Prévôt de
Paris
(voir la Table chronologique des Préfets, Comtes,
ir la Table chronologique des Préfets, Comtes, Vicomtes et Prévôts de
Paris
, in Almanach royal, Année 1759, Paris, Lebreton,
Comtes, Vicomtes et Prévôts de Paris, in Almanach royal, Année 1759,
Paris
, Lebreton, 1759, il est mentionné p. 275). Il fau
grand mal qui se commet et tolèrea, principalement en votre ville de
Paris
, aux jours des Dimanches et fêtes, lequel est d’a
spécialement sur ladite ville de ParisJeux et spectacles tolérés dans
Paris
aux jours de fêtes., où telle méchanceté est plus
e Bourgogne. : vous avez mandé à votre Cour de Parlement et Prévôt de
Paris
de les faire jouir du contenu en vos lettres. Ce
es., et nonobstant la clameur universelle de tous les prédicateurs de
Paris
, lesquels continuent encore journellement de s’en
erlans et de joueurs de cartes et de dés, et outre cela les fossés de
Paris
ne laissent pas d’être remplis de tireurs de arqu
échant. qu’est le menu peuple des villes de France, principalement de
Paris
, lequel mâtinek tout le monde, s’échappant des ch
tirer le peuple des vices, voilà la profession de piété qui se fait à
Paris
sous votre autorité, et de vos Magistrats : voilà
e Dieu, son honneur, et son service. Jeux et spectacles tolérés dans
Paris
aux jours de fêtes. Jeux abominables de l’hôtel d
63 du supplément de la grande Biographie dramatique, 1 volume in-16 ;
Paris
, 1825, à la librairie française et étrangère, Pal
putation furent enterrés sans opposition en l’église Saint-Sauveur, à
Paris
. Trois autres comédiens non moins fameux furent i
prince de l’église, légat du pape, qui acheta l’hôtel de Bourgogne, à
Paris
, pour le donner aux premiers comédiens qui parure
aine, qui, en accueillant la troupe de bouffons qui venait se fixer à
Paris
, fit, aux comédiens qui voulaient s’y opposer, ce
gne. Nous voyons encore l’abbé Perrin devenir directeur de l’Opéra, à
Paris
, en 1669 jusqu’en 1672. Voilà donc un ecclésiasti
té et un deuil pour la nature. 8. [NDA] Bouhours (Dominique), né à
Paris
, en 1628. Jésuite à seize ans, mort en 1702. C’es
cepteur. Il mourut en 1721, chez les Jésuites de la maison professe à
Paris
. Les travaux de l’épiscopat n’avaient pu ralentir
da Siena (1413-1494), achevé entre 1465 et 1470, est publié en 1518 (
Paris
, Gorbin) et plusieurs fois réédité. Il a été trad
ois réédité. Il a été traduit trois fois en français : trad. anonyme (
Paris
, Galliot du Pré, 1520), trad. de Jean Le Blond (P
trad. anonyme (Paris, Galliot du Pré, 1520), trad. de Jean Le Blond (
Paris
, Micard, 1584) et de Jacques Tigeou (Paris, Chaud
), trad. de Jean Le Blond (Paris, Micard, 1584) et de Jacques Tigeou (
Paris
, Chaudière, 1589, réédité en 1590).
tres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Conseil, Prévôt de
Paris
, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieutenants Civils et
n des contrevenants, dont un tiers à nous, un tiers à l’Hôtel-Dieu de
Paris
, l’autre tiers audit Exposant, et de tous dépens,
long sur le Registre de la Communauté des Imprimeurs et Libraires de
Paris
, et ce dans trois mois de la date d’icelles ; que
ur le Registre N°. 3. de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de
Paris
, page 823. n°. 1011. conformément aux Règlements,
aux Règlements, et notamment à l’Arrêt du Conseil du 13. Août 1703. A
Paris
ce 12. Juin 1714. Signé, ROBUSTEL, Syndic.
oncile de Tours (813), Canon 8, in Sirmond, Antiqua Concilia Galliae,
Paris
, 1629, p. 297 ; Etienne Baluze, Capitularia Regum
7 ; Etienne Baluze, Capitularia Regum Francorum, rééd. P. de Chiniac,
Paris
, 1780, tome 2, additio tertia, chap. 71, col. 117
liorum et Epistolae decretales ac Constitutiones summorum Pontificum,
Paris
, 1715, tome I, col. 1751 sq.]., dans les autres d
oncile de Tours (813), Canon 8, in Sirmond, Antiqua Concilia Galliae,
Paris
, 1629, p. 297 ; Etienne Baluze, Capitularia Regum
7 ; Etienne Baluze, Capitularia Regum Francorum, rééd. P. de Chiniac,
Paris
, 1780, tome 2, additio tertia, chap. 71, col. 117
liorum et Epistolae decretales ac Constitutiones summorum Pontificum,
Paris
, 1715, tome I, col. 1751 sq.]. q. [NDE] malin, n
tres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Conseil, Prévôt de
Paris
, Baillis, Sénéchaux, leurs Lieutenants Civils, et
long sur le Registre de la Communauté des Imprimeurs et Libraires de
Paris
, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’imp
ande, et Lettres à ce contraires ; car tel est notre plaisir. Donné à
Paris
le vingt-neuvième jour du mois de Juin, l’an de g
le Registre XIII. de la Chambre royale des Libraires et Imprimeurs de
Paris
, n°. 6. fol. 4. conformément au Règlement de 1723
re neuf Exemplaires prescrits par l’article 108. du même Règlement. A
Paris
, le vingt-et-un Juillet mil sept cent cinquante-d
ntre les Spectacles. En 1657, le Curé de Saint Germain l’Auxerrois, à
Paris
, consulta les Docteurs en Théologie de la Faculté
xerrois, à Paris, consulta les Docteurs en Théologie de la Faculté de
Paris
sur la matière de la Comédie ; il fut décidé qu’i
sin de faire imprimer ce Traité, ce que ce Docteur exécuta en 1666, à
Paris
, chez Promé. Le Public fut surpris de voir paraît
sertation sur la condamnation des Théâtres. Il fut imprimé en 1679, à
Paris
, chez Coignard. M. l’Abbé Fleury, dans les Mœurs
la seule idolâtrie. La Lettre de ce prétendu Théologien ayant paru à
Paris
en 1694 durant le Carême, plusieurs Prédicateurs
Réponse à la Lettre du Théologien défenseur de la Comédie, imprimée à
Paris
, chez Girard, en 1694. Le second, est une Lettre
présent. La dernière édition de ce livre est de 1731, et se trouve à
Paris
chez la veuve Delaulne. Il est divisé en différen
mort ceux qui jouent la comédie s’ils ne renoncent à leur artRit. de
Paris
, p.108.114. [Rituel de Paris, p. 108 et 114]. ; o
die s’ils ne renoncent à leur artRit. de Paris, p.108.114. [Rituel de
Paris
, p. 108 et 114]. ; on les passe à la sainte table
ion de S. Maur (22) et celle des théologiens de Louvain (64). Rit. de
Paris
, p.108.114. [Rituel de Paris, p. 108 et 114]. Hom
des théologiens de Louvain (64). Rit. de Paris, p.108.114. [Rituel de
Paris
, p. 108 et 114]. Hom. 38. in Matt. [saint Jean Ch
Epître à Macédonius » etc.].p m. [NDUL] Il semble bien que, même à
Paris
, le clergé fût moins sévère dans la pratique, pui
es. La Tradition n’a jamais varié sur cet article. III. Le Rituel de
Paris
défend de donner les Sacrements aux Comédiens, à
us alléguées, peuvent-ils les absoudre, sous prétexte qu’on la joue à
Paris
, à Rome, et ailleurs ? 4°. Un Evêque, un Vicaire
rement et en cachette ? Réponse. Les Docteurs en Théologie de
Paris
qui ont vu l’exposé ci-dessus, sont d’avis qu’on
Comédiens ne sont pas justifiés en disant que cette Comédie se joue à
Paris
et à Rome ; comme si on ne savait pas que l’Eglis
tuaire. Mais pour examiner le cas dont il s’agit par ce qui se fait à
Paris
, il est étonnant que ces Comédiens veuillent s’au
ces Comédiens veuillent s’autoriser par ce qui s’y fait, puisque dans
Paris
on ne reçoit aucun Comédien aux Sacrements qu’apr
nné. Ceux donc qui consultent, trouvent dans cette règle du Rituel de
Paris
la conduite qu’ils doivent garder, et de quoi rem
t à cette règle qui est celle de toute l’Eglise, puisque le Rituel de
Paris
ne fait qu’exécuter ce qui est dit dans les chapi
rs à Nous, & l’autre tiers à l’Hôpital General de nostre Ville de
Paris
, de confiscation des Exemplaires contrefaits, &am
e, & Lettres à ce contraires Car tel est nostre plaisir : Donné à
Paris
, le jõur de l’an de grace, mil six cent soixante-
istré sur le Livre de la Communauté des Imprimeurs & Libraires de
Paris
, le premier Mars, 1668. Suivant l’Arrest du Parle
é son droit du present Privilege à Michel Brunet, Marchand Libraire à
Paris
, suivant l’accord fait entre-eux. Achevé d’impr
The Dispute between Mademoiselle Clairon, a celebrated Actress at
Paris
, and the Fathers of the Church; occasioned by the
ench theatre, occasioned much altercation, both serious and comic, at
Paris
; just as every theatrical occurrence does here. T
ersailles, and perform before the king (for his majesty never goes to
Paris
to see a play) and Mademoiselle Clairon was sent
as, between the church and the stage, made a great noise, not only at
Paris
, but all over France; but, as the church was conc
on earth. 1. [NDA] It appears that this pamphlet was published at
Paris
in 1761.
ibliotheque Pag. 796. comme l’Auteur d’un in folio qui fut imprimé à
Paris
l’an 1541. Il s’est contenté de marquer que c’est
en & deuement selon la vraye verite, & joue par personnages à
Paris
en l’hostel de Flandres l’an mil cinq cens XLI. A
ement selon la vraye verite, & ainsi que le mystere est la joue à
Paris
ceste presente année mil cinq cens quarante &
airesArnoul & Charles Langelier. eurent un Procès au Parlement de
Paris
l’an 1540. contre Maistre François Hamelin, Franç
let, Maistres & Entrepreneurs du mystere des Actes des Apostres à
Paris
cette année là. La Cour ordonna que ces quatre En
Représentations Dramatiques des Histoires de la Sainte Ecriture dans
Paris
. Mais, pour faire mieux conoitre ce que c’étoit e
plaisir ignoré. De Pelerins, dit-on, une troupe grossiere En public à
Paris
y monta la prémiere, Et sotement zélée en sa simp
pectacle qui plut, & qui excita la pieté de quelques Bourgeois de
Paris
à faire un fond pour acheter un lieu propre à éle
amp; Pentametres. Arnoul & Charles Langelier. Dans l’Edition de
Paris
, 1699., au Mot Comédie. Remarquez en passant qu’o
56. d’Arles, 158. de Nicée, ibid. In Trullo, 175. De Chalons, 181. De
Paris
, ibid. De Macon, 199. De Bourges, ibid. de Bézier
5. de Tolède, 226. De Bordeaux, ibid. De Sens, 227. De Tours, 228. De
Paris
, ibid. De Cologne, 229. Constantin Empereur, sa m
éfenseurs du Théâtre pour y aller, 290 H Harlay (M. de) Archevêque de
Paris
, son éloge, 15 Héliogabale Empereur, est lui-même
ce que c’étaient, 40. pourquoi appelés Thyméliques, 109 Parlement de
Paris
, Arrêt singulier contre quelques Comédiens, 216.
Jeux Comiques. De Chartres, 230. De Rennes, 231. De Beauvais, 232. De
Paris
, ibid. De Soissons, ibid. De Camerino, 137. De Su
ens, 59 Vierges Chrétiennes, quel était leur habit, 109 Université de
Paris
, ses Règlements sur les Pièces de Théâtre, 250. 2
t Dogmatique des Jeux de Théâtre etc. Il m’a paru très solide. Fait à
Paris
le 28. Juillet 1730. CERTAIN. Autre approbation.
ission expresse, sous les peines portées par ledit Privilège. Donné à
Paris
ce dix-neuvième Février mil sept cent trente-et-u
Extrait du Privilège du Roi. Par Privilège du Roi, donné à
Paris
au mois de Mars 1694. Signé Dugono : Il est permi
Registré sur le Livre de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de
Paris
, le Avril 1694.Signé AUBOIN, Syndic. Et ledit Sie
* a cédé son droit au présent Privilège à Théodore Girard, Libraire à
Paris
, suivant l’accord fait entre eux. Achevé d’imprim
, qui a quelque célébrité, jetons un coup d’œil sur la description de
Paris
, sur laquelle il paroît former des prétentions li
nel. Un Moine Espagnol, Aumônier dans l’armée de Charles V, passant à
Paris
, se trouva avec ce Lunel, & le vit si irritté
sent la raillerie, & donnent dans l’inhumanité. J’établirois dans
Paris
, dit-il, quatre endroits (il en faudroit bien de
nelle (l’édifiante procession !) ; qu’on leur abandonna treize rues à
Paris
, dans chacune desquelles elles avoient un clapier
ts & des sujettes). Le nombre de ces femmes étoit si grand (&
Paris
n’étoit pas alors le dixieme de ce qu’il est) qu’
les statuts ridicules de ces filles, dressés, dit-il, par l’Evêque de
Paris
, où l’on trouve le nom de Dieu mêlé indécemment,
qu’il faisoit le portrait des trois théatres ? Voilà les clapiers de
Paris
, qu’on tâche à l’envi de rendre délicieux & m
l n’y a pas un demi-siecle qu’on auroit eu de la peine à compter dans
Paris
cinquante ou soixante filles entretenues, & m
t-on imaginé que la France deviendroit si humble ? Il y a à présent à
Paris
trois mille filles entretenues (sans compter les
i sont le modèle des autres). Dans la ville de…… on va plus loin qu’à
Paris
, on en prend juridiquement le titre, on écrit eff
c les épousées de leurs serfs, &c. &c. &c. Les Essais sur
Paris
ne sont qu’un Recueil de traits ridicules destiné
e sec, il compile des traits d’avarice de l’Evêque & des Curés de
Paris
du seizieme siecle. Quel fruit en tire-t-il ? vou
1600 les Comédiens de province obtinrent la permission de s’établir à
Paris
. Ils ouvrirent leur théatre à l’Hôtel d’Argent. E
épandre, on les brûle. Les Médecins furent aggrégés à l’Université de
Paris
: les Chirurgiens en furent exclus, parce que l’E
annexer le comté à la Couronne ? & ne fut-ce pas sous ses yeux à
Paris
& par son ordre que le fils de Raimond parut
iant coûte trente-quatre millions d’or ; que les Carmes déchaussés de
Paris
ont cent mille livres de rente, & n’en mendie
ent. Tom. 4. pag. 74. Il fait l’éloge de l’Evêque & des Curés de
Paris
. Tout le monde y souscrira avec plaisir. Mais il
qui sont de son invention, feroient peu d’honneur aux Curés. Ceux de
Paris
sont trop sages. Un Curé n’a pas droit d’excommun
théatre en a la réalité, il ne lui manque que le nom. Je cherche dans
Paris
les statues de Corneille & de Moliere ; où so
ions de ses prédécesseurs. Ce fougueux Pontife fut joué aux halles de
Paris
sous le nom de Prince des sots, accompagné de la
usement, & grossit en moins d’un siecle le nombre des habitans de
Paris
(ce seroit un service rendu à la capitale). Mais
es Acteurs, danseurs, chanteurs Italiens se sont donnés au théatre de
Paris
; que des étrangers qui viennent à Paris, vont au
se sont donnés au théatre de Paris ; que des étrangers qui viennent à
Paris
, vont au spectacle, car assurément pas un seul n’
Extrait du privilège du Roi. Par Grâce et Privilège du Roi, donné à
Paris
le 8 Mai 1694. Signé, par le Roi en son Conseil,
Registré sur le Livre de la Communauté des Imprimeurs et Libraires de
Paris
le 5 Juillet 1694. Signé, P. Aubouyn Syndic. Et l
ge à Jean Baptiste Coignard, Imprimeur et Libraire ordinaire du Roi à
Paris
, suivant l’accord fait entre eux. Achevé d’imprim
s ailleurs ce trait célebre de l’Histoire de Bentivoglio. De retour à
Paris
, elle fut des conférences de l’Hôtel de Rambouill
Celle qui à Munster balançoit les intérêts de l’Europe pouvoit bien à
Paris
balancer ceux du Parnasse. C’étoit jouer la coméd
-elle sensible si elle n’y étoit pas invitée. Le Roi qui avoit quitté
Paris
pendant les premiers troubles, y revint quand ils
int assez de parure. La Duchesse de Longueville, qui avoit régné dans
Paris
, voyoit avec dépit sa souveraineté éclipsée par l
des plus grandes calamités. Un jour que, dans un combat aux portes de
Paris
, les troupes bourgeoises avoient eu quelque avant
pris à Saint-Germain, où elle étoit avec la Cour, ce qui se passoit à
Paris
, elle court dès le grand matin chez la Reine ; l’
e les objets, on eut fait une jolie scène. La fille sur le trône dans
Paris
, la mere à genoux demandant pardon à Saint-Germai
de grace, & se retire. La voilà sur le trône, faisant la loi dans
Paris
, dictant les arrêts du Parlement, donnant l’ordre
les troubles. Tandis que cette belle souveraine regne sur la ville de
Paris
, ce tendre amant regne sur la souveraine, dirige,
révolte, se trahissant, se déchirant mutuellement ; un Archevêque de
Paris
, l’ame de toutes les intrigues, toujours avec des
re le Roi. Il s’ouvre deux autres scènes, l’une en Flandre, l’autre à
Paris
. En Flandre le Grand Turenne ne peut se défendre
us hardie & la plus intriguante, de concert avec le Coadjuteur de
Paris
, dévoué aux femmes, travailloient pour la beauté
ne qu’elle alla embrasser, & des comédies bordeloises à celles de
Paris
. Le Theatre de Gherardi, Italien, n’a rien de plu
itte le royaume : les deux carrosses partent en même-temps, l’un pour
Paris
, l’autre pour l’Allemagne. Le Ministre du fond de
les tréteaux n’étoient pas sur le Pont-neuf. Il y en avoit dans tous
Paris
. Le Parlement casse ses propres arrêts & les
nt ceux qu’il avoit déclarés coupables du crime de leze-majesté. Tout
Paris
avoit fait des feux de joie à la prison des Princ
ui a fait fuir les armées espagnoles & Mazarin, quitte nuitamment
Paris
& le Royaume, & s’échappe en fugitif, com
me, par un grand tour de plus de quatre cens lieues, pour se rendre à
Paris
, où il fit une guerre ouverte, & enfin se ref
i, & le ramena dans son carrosse : il entra avec lui triomphant à
Paris
. Paris, comme l’Océan dans ses marées, a son flux
; le ramena dans son carrosse : il entra avec lui triomphant à Paris.
Paris
, comme l’Océan dans ses marées, a son flux &
e son entrée le Duc d’Orléans & sa fille avoit ordre de sortir de
Paris
; le Cardinal de Retz fut arrêté & conduit à
lles l’avoient adorée. La célébre Abbaye de Maubuisson, aux portes de
Paris
, offrit une autre scène. Le Duc de Longueville av
ai, Gouvernante en Normandie, premiere Présidente à Bordeaux, Reine à
Paris
, rampoit aux genoux d’Anne d’Autriche & de Ma
Ainsi la Guienne, la Bourgogne, le Berri, la Flandre, les environs de
Paris
, la Normandie, &c. furent parfaitement rétabl
nvirons de Paris, la Normandie, &c. furent parfaitement rétablis.
Paris
lui-même, sans doute : car la guerre y avoit fait
goût ? On voit en effet, dans l’une des cures les plus importantes de
Paris
, et qui a l’honneur d’être la paroisse de notre a
n crédit usurpé, il aurait enfin obtenu l’une des meilleures cures de
Paris
, qui n’aurait dû être confiée qu’aux talents et à
re. 6. [NDA] Des Comédiens et du Clergé, etc., in-12 de 427 pages.
Paris
, 1825, chez Dupont, libraire, rue du Bouloy, n° 2
on de la Reine, soutenue au moyen d’un faux, etc., in-8° de 24 pages.
Paris
, 1824, chez Pichard, libraire, quai Conti, n° 5,
ture et le faux matériel de la conciergerie, etc., in-8° de 30 pages.
Paris
, 1825, chez Pichard et Pélicier. 3°. Mémoires sec
madame de Maintenon, et de la cour de Louis XIV, in-8° de 432 pages.
Paris
, 1825, chez Petit, libraire, au Palais-Royal, gal
onclusions, contre les jeux des sots qui se font ès jours des fêtes à
Paris
, où entre autres choses il dit, « que ceux qui fa
craindrai toutefois de dire et affirmer que de mon temps et demeure à
Paris
, ville beaucoup libertine et toutefois couverte d
e Carthage, De spectaculis, texte établi et traduit par A. Boulanger,
Paris
, 1933. Ce traité, d’attribution douteuse, a été é
g. [NDE] Tertullien, De spectaculis, éd., trad. et comm. M. Turcan,
Paris
, Ed. du Cerf, « Sources chrétiennes », 1986. h.
86. h. [NDE] Jean de Gerson, théologien et chancelier de l’Eglise de
Paris
, publia en 1402 un Traité contre le Roman de la R
ean Gerson, Jean de Montreuil, Gontier et Pierre Col, éd. Eric Hicks,
Paris
, Honoré Champion, 1977. i. [NDE] Il s’agit d’une
éatin ; à Monseigneur L’Archevêque de Paris M. de Harlay.. Imprimée à
Paris
en 1694. in-quarto. A MONSEIGNEUR, Monseigne
justifier, de la manière que je me figurais qu’elle se représentait à
Paris
, n’en ayant jamais vu aucune, et m’en faisant, su
que c’était que la Comédie Française de la manière qu’elle se joue à
Paris
, n’ayant jamais lu de Comédies de Molière, et n’e
ndu parler des Rituels sur les Comédiens, sans avoir même lu celui de
Paris
. C’est ce manque d’attention et de réflexion qui
e sont deux articles entre autres, qui sont marqués dans le Rituel de
Paris
, et en très grand nombre d’autres qui y sont conf
ation. Si donnons en mandement aux Gens de notre Cour de Parlement de
Paris
, etc. Donné à saint Germain le 6 Avril, l’an de G
Procureur General, pour être exécutées selon leur forme, et teneur. A
Paris
en Parlement le 14. Avril 1641. a. [NDE] Rep
on d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres,
Paris
, Louis Billaine, 1671, p. 317-318.
assemblaient sur la même place les enfants, les oisifs et tout ce que
Paris
renferme de badauds de tous pays. Ce fut donc par
pêcher de retourner dans un coupe-gorge. L’opéra intitulé : Un jour à
Paris
8 sera toujours un vilain tableau à mettre sous l
’œuvres de l’immortel Grétry. Le fameux Siège 23, qui fit courir tout
Paris
chez Nicolet, avait un côté comique auquel il dut
l’imagination, le théâtre Allemand et le théâtre Anglais étalèrent à
Paris
toutes les beautés des deux langues, arrangées po
ise, un assassinat, un rapt, un suicide, quinze jours occupaient tout
Paris
…. Que l’un de ces crimes se commettent aujourd’hu
ant votre promenade le long de ces boulevards qui bordent les murs de
Paris
; chaque groupe d’hommes que vous verrez sortir d
ment, s’il est possible. Mes deux champions étaient déjà rentrés dans
Paris
, je n’avais pas même jeté les yeux sur la carte q
compenser l’oubli que je remarque souvent dans plusieurs quartiers de
Paris
, l’afficheur avait favorisé le Gymnase, en placar
ge et les Gobelins viennent ici, jouir à peu d’ frais, d’ tout c’ que
Paris
a d’ mieux. » En effet, je lus trois titres favor
ré la résolution où j’étais, en partant le matin, de faire le tour de
Paris
, je bornai là ma promenade extra-muros ; et dans
! La prétention a chassé le naturel, pris dans toutes ses acceptions.
Paris
sauvé 67, le Manteau 68 et l’Artisan philosophe 6
Pour arriver à la butte des Moulins, que j’habite depuis mon retour à
Paris
, je trouvai encore sur ma route les Variétés et l
ulgairement appelée barrière du père de Lachaise, fameux cimetière de
Paris
. 52. [NDA] Innovation d’un rideau de glace. 53
ès. Cette dernière était composée de tout ce qu’il y avait de mieux à
Paris
, où les petits soupers étaient alors en vogue ; o
-1807, par des décrets qui limitent le nombre des salles de théâtre à
Paris
et en province. c. [NDE] Nous ajoutons les guil
Tome IX, n° 110, page 262, du Mercure du dix-neuvième siècle, in-8°.
Paris
, 1825. b. [NDE] Des Comédiens et du Clergé : sui
ndement de M. l’Archevêque de Rouen, par le Baron Hénin de Cuvillers,
Paris
, 1825. c. [NDE] L’auteur emploie systématiqueme
e, Biographie des hommes du jour, industriels, conseillers d’Etat...,
Paris
, Henri Krabe, 1835, p. 310-311.
la mode de fronder tous ses ouvrages, établie dans tous les cafés de
Paris
, la commodité d’y recueillir des épigrammes pour
mine l’empêchassent de m’honorer de sa protection pour le Théâtre de
Paris
et de faire pour moi ce qu’il faisait avec tant d
’à vous de votre ingratitude. bg. [NDE] Voltaire, L’Enfant prodigue,
Paris
, Prault fils, 1738 [repr. 1736], Acte V, sc. 6, p
utres […] » bi. [NDE] Ibid., p. 27. bj. [NDE] J. Racine, Phèdre,
Paris
, C. Barbin, 1677, Acte II, scène 5, p. 34. bk.
s pires, l’autre meilleurs que les contemporains. » [trad.M. Magnien,
Paris
, Le Livre de Poche, 1990, p. 87.] Cf. J.-J. Rouss
Ibid., p. 39. bt. [NDE] M.-A. Legrand, Cartouche, ou les Voleurs,
Paris
, J. Musier, 1721. Les deux vers que citent Dancou
brigand (N.-R. de Grandval, Le Vice puni, ou Cartouche. Poème [1725],
Paris
, P. Prault, 1726, Chant premier, p. 2.) bu. [NDE
omplices […] » bv. [NDE] P. J. de Crébillon, Catilina [repr. 1748],
Paris
, Prault fils, 1749, Acte V, scène dernière, p. 96
, Aux Délices, près de Genève, le 30 août 1755. », Mercure de France,
Paris
, Chaubert et al., octobre 1755, p. 124-128. cb.
épens du bien public et de la vérité. » cd. [NDE] Voltaire, Nanine,
Paris
, P. G. Le Mercier, 1749. ce. [NDE] J. de La Font
. G. Le Mercier, 1749. ce. [NDE] J. de La Fontaine, Fables choisies,
Paris
, D. Thierry, 1668, Livre II, Fable 12, p. 72-73.
conseiller de crimes ! » [trad. A. Lefèvre, De la nature des choses,
Paris
, Sté d’éd. litt., 1899.] cg. [NDE] Voltaire, Le
né par les jésuites à l’archevêque d’Aix, pag. 243 ; un autre donné à
Paris
par les mêmes, dans lequel figuraient Vénus, Cupi
édiens, pag. 164 ; l’abbé Perrin est lui-même directeur de l’Opéra de
Paris
, pag. 167 ; les papes, chefs de l’Eglise, institu
rançois 1er en 1518, pag. 94 ; sont obligés par arrêt du parlement de
Paris
, de 1548, de ne plus établir leurs comédies que s
ballet à l’archevêque d’Aix, pag. 243 ; ils donnent un autre ballet à
Paris
, pag. 244 ; leurs maximes horribles et subversive
vet singulier délivré à l’évêque de Langres, pag. 323. Mere sotte, à
Paris
, association de comédiens et personnages de théât
rent à l’hôtel de Bourgogne et sont obligés par arrêt du parlement de
Paris
de 1548 de cesser la représentation des mystères,
ssement ; la première, quoique défendue, n’a pas encore été débitée à
Paris
. Mais l’auteur s’est imaginé peut-être qu’on lira
du Conseil du 19 novembre 1666, rendu sur une ordonnance du prévôt de
Paris
, avait fixé la hauteur et la saillie des auvents
s dans l’usage de construire au-devant des boutiques dans les rues de
Paris
. Ce fut dans ce même temps que parut l’ordonnance
. Ce fut dans ce même temps que parut l’ordonnance de l’Archevêque de
Paris
, qui supprimait un certain nombre de fêtes. L’aut
des Sieurs Mauduison et Aleaume Docteurs de Sorbonne en la Faculté de
Paris
, et Chanoines de l’Eglise d’Orléans, ouï le Procu
ï le Procureur du Roi, et ce consentant, Nous avons permis à la veuve
Paris
et à Jacob son gendre, d’imprimer, vendre et débi
d’un Ouvrage écrit pour la défense du Théâtre. MADEMOISELLE, Tout
Paris
accoutumé à vous applaudir sur la Scène, a été ch
ces. Les Ecrits de part et d’autre subsistent encore. L’Archevêque de
Paris
porté par des raisons que personne n’ignore, pour
ne, c’est que les Comédiens qui vivaient dans le temps où l’Eglise de
Paris
se déclara ouvertement contre eux, n’aient réclam
e Actrice. Voici comme j’imagine que devraient être les Spectacles de
Paris
, pour que leurs adversaires n’eussent plus rien à
et à l’espèce de Spectacles qui devraient être établis à demeure dans
Paris
. Une aussi grande Ville doit avoir des Spectacles
ne. Pour remédier à tous les inconvénients, je voudrais qu’il y eût à
Paris
quatre Spectacles ; c’est-à-dire, deux Théâtres d
laisir ignoré, De pèlerins, dit-on, une troupe grossière, En public à
Paris
, y monta la première, Et sottement zélée en sa si
rent plus que des courtisans, que le plaisir et l’ambition fixèrent à
Paris
, on vit cette capitale surchargée d’une multitude
s comédies. On rapporte communément l’établissement des spectacles de
Paris
à l’année 1398 ; que des bourgeois de cette ville
quivoques et en bouffonneries, devinrent des satires. Le parlement de
Paris
réforma cette licence. Il n’y eut que les enfants
dents résument Charles Desprez de Boissy, Lettres sur les spectacles,
Paris
, 1777, vol. 2, pp. 2-12. Ce texte figure dans le
eph Romain Joly, Conférences pour servir à l’instruction du peuple »,
Paris
, 1768, p. 148-150. Ce texte figure dans le corpus
n’en ay guere manqué toutes les fois que mes affaires m’ont rápellé à
Paris
des Prouinces Estrangeres où iay presque toûjours
XII. Leurs belles coûtumes. XIII. Difference entre les Troupes de
Paris
& celles de la Campagne. XIV. Forme du Gouu
andes ambitions entre les Comediens. XLIV. Nombre de Spectacles que
Paris
fournit dans vne année. XLV. Troupes de Campagn
es liqueurs. LVI. Declarations du Roy en faueur des deux Troupes de
Paris
. [Épigraphe] Nihil Feliciùs discitur, Quàm
e Roy suiui de toute la Cour vint voir cette merueilleuse Piece. Tout
Paris
luy a donné ses admirations, & ce grand Opera
musique, où il s’est rendu incomparable, a charmé toute la Cour, tout
Paris
, & toute les Nations Etrangeres qui y aborden
preseance aux Comediens François, sur tout à voir les deux Troupes de
Paris
, que l’on ne peut souhaitter plus ácomplies, &
sont plus sújetes à ces petites emulations, & pour les preuenir à
Paris
, quand l’Autheur connoist la force & le talen
r, ils en sont blamez ; ce qui arriue quelquefois dans les Troupes de
Paris
, & tres souuent dans celles de la Campagne. I
ance, & particulierement à ceux qui composent les deux Troupes de
Paris
. Leurs Predecesseurs sont sortis de la Grece, &am
des aumônes & particulieres & generales, & les Troupes de
Paris
prennent de leur moument des boistes de plusieurs
pas estre oubliée, & les familles de Comediens que i’ay connües à
Paris
ont esté eleuées auec grand soin ; l’ordre en tou
, de sorte que dés qu’vn homme de merite met le pied sur le Theâtre à
Paris
, il peut faire fond sur vne bonne rente de trois
pour vne forte base de son affermissement. Ainsi dans les Troupes de
Paris
les places sont comme erigées en charges, qui ne
jusqu’à la fin de leurs iours. 13. Difference entre les Troupes de
Paris
& celles de la Campagne. C’est à ce grand
auantage qu’aspirent les Comediens de Prouince, & les Troupes de
Paris
sont leurs Colonnes d’Hercule, où ils bornent leu
t aisé de voir la difference qui se trouue entre les Troupes fixes de
Paris
, & les Troupes ambulantes des Prouinces. Voil
s les Troupes de Comediens, tant les Sedentaires qui ne quitent point
Paris
, que les Ambulantes qui visitent les Prouinces, &
eurs tres necessaire & vtile au bien commun, ne va presentement à
Paris
que d’vn bord de la Seine à l’autre : mais entre
e, sur tout quand elles s’opiniâtrent à representer comme l’on fait à
Paris
, les mémes jours & aux mémes heures ; c’est à
est ordonné de chez le Roy à chacun des Acteurs & des Actrices à
Paris
ou ailleurs, Esté & Hyuer, trois pieces de bo
des honnestes gens. Ils tems de venir à l’établissement des Troupe de
Paris
, & aux reuolutions de ces deux petits Estats,
ge, qui estoit celuy du poste qu’elle auoit choisi à vne extremité de
Paris
, & dans vn endroit de rüe fort incommode. Mai
cette satisfaction à vne des premieres Villes du Royaume. De retour à
Paris
de cette petite course dans le voisinage, à la pr
t estimez, sans nulle necessité, & de gayeté de cœur, le poste de
Paris
leur plaisant moins alors que la liberté de la ca
soient eurent fait connêtre leur merite quelques années auparauant, à
Paris
sur les fossez de Nesle & au quartier de S. P
. Le merite extraordinaire de Iean Baptiste Moliere qui la soûtenue à
Paris
quatorze ans de suite auec tant de gloire, luy do
urage de Moliere acompagné de danses & de musique, & que tout
Paris
souhaittoit de voir. Mais quatre personnes de cet
s Royal, & qu’il n’y auroit plus que deux Troupes Françoises dans
Paris
. Les premiers Gentils-hommes de la Chambre eurent
les Comediens. Cet deux belles Troupes de Comediens qui resident à
Paris
, & dont le Gouuernement, comme ie l’ay dit d’
de nos deux petits Estats est, comme ie l’ay remarqué, áuantageuse à
Paris
; c’est à qui donnera plus de plaisir au Public,
ux la reputation qu’il s’est aquise. 44. Nombre des Spectacles que
Paris
fournit dans vne année. Si ie ne m’estois pres
sique, dite autrement l’Opera, qui auec nos Theâtres François rendent
Paris
le premier lieu de la Terre pour les honnestes &a
Comediens Italiens pour l’Angleterre, d’où ils reuiendront dans peu,
Paris
donnoit regulierement toutes les semaines seize S
étonnement ce qu’il peut faire au dehors. Nous vismes aussi arriuer à
Paris
vne Troupe de Comediens Espagnols la premiere ann
nt pas limité. Ils suiuent à peu pres les mémes reglemens que ceux de
Paris
, & autant que leur condition d’ambulans le pe
t present du Theâtre François, & des Troupes de Comediens, tant à
Paris
, que dans les Prouinces, & hors du Royaume. I
ce monde de bien en mieux, & de quelque costé que lon se tourne,
Paris
ne fut iamais si beau, ny si pompeux qu’il l’est
utre Troupe. 56. Declarations du Roy en faueur des deux Troupes de
Paris
. Declaration du Roy En faueur de la Troupe Roy
ins & par la bonté de sa Majesté dans tous les autres endroits de
Paris
; Le Procureur du Roy nous a requis qu’il fust su
el, & Lieutenant de Police de la Ville, Preuosté & Vicomté de
Paris
, le 9. iour de Ianuier 1673. DE LA REYNIE. DE RYA
ré Crieur ordinaire du Roy en ladite Ville, Preuosté & Vicomté de
Paris
, soussigné, accompagné de Hierosine Tronsson, Iur
el, & Lieutenant de Police de la Ville, Preuosté & Vicomté de
Paris
, le Vendredy vingt-troisiéme Iuin mil six cens so
ccès bien complet, si l’on en juge par la négligence des Comédiens de
Paris
à la représenter, mais elle n’en est pas moins pr
quin. Et moi le vôtre. » [NDE] P. de Marivaux, La Double Inconstance,
Paris
, F. Flahault, 1724 [repr. 1723], Acte III, sc. 4,
en est pas moins vrai que s’il y eût eu à Athènes la même police qu’à
Paris
, Socrate n’eût pas été la victime de cette pièce.
ocrate n’eût pas été la victime de cette pièce. On ne souffre point à
Paris
qu’à l’exemple des Grecs on prenne le masque et l
ers de Ménandre. » bc C'est la même chose que la Police a produit à
Paris
, elle a proscrit les satires atroces d’Aristophan
du spectacle ni le reproche que vous faites aux Acteurs de l’Opéra de
Paris
, de vous avoir voulu quelque mal. N’est-il pas bi
ole des maris (1661) de Molière. m. [NDE] J.-F. Regnard, Le Joueur,
Paris
, T. Guillain, 1697 [repr. 1696]. n. [NDE] Ibid.
e / Ipse sibi tradit spectator. » [trad. F. Richard, Horace. Œuvres.
Paris
, Garnier-Flammarion, 1967, p. 264 : « L'esprit es
p. 20. t. [NDE] L.-F. Delisle de la Drevetière, Arlequin Sauvage,
Paris
, C.-E. Hochereau, 1722 [repr. 1721]. u. [NDE] J.
v. 129 : « hoc opus, hic labor est. […] » [ trad. J. Perret, Enéide,
Paris
, Gallimard, « Folio classique », 1991, p. 190 : «
re et qui demande effort. »] ah. [NDE] Molière, Les Femmes savantes,
Paris
, P. Prome, 1672, Acte II, sc. 7, p. 29-31. ai.
. 7, p. 29-31. ai. [NDE] Molière, Sganarelle ou Le Cocu imaginaire,
Paris
, J. Ribou, 1660, sc. 17, p. 41. aj. [NDE] Danco
15, « Vie de Thémistocle », XV [trad. D. Ricard, Œuvres de Plutarque,
Paris
, J. L. J. Brière, 1827, p. 85]. ak. [NDE] L.-F.
k. [NDE] L.-F. Delisle de La Drevetière, Timon le misanthrope [1722],
Paris
, Briasson, 1732, Acte II, scène 6, p. 83. La cita
Le Point d’honneur [repr. 1702], comédie en trois actes et en prose,
Paris
, Barois fils, 1739. ar. [NDE] Il s’agit de Franc
as Zorrilla (1607-1648). [NDE] P. de Marivaux, La Double Inconstance,
Paris
, F. Flahault, 1724 [repr. 1723], Acte III, sc. 4,
sc. 4, p. 111-113. at. [NDE] B-C. de Fagan de Lugny, Les Originaux,
Paris
, Prault Fils, 1738, p. 73-101. au. [NDE] J.-B.-L
ault Fils, 1738, p. 73-101. au. [NDE] J.-B.-L. Gresset, Edouard III,
Paris
, Prault père, 1740, Acte IV, scène 7, p. 51-52.
N. Boileau-Despréaux, « L’Art poétique en vers », in Œuvres diverses,
Paris
, D. Thierry, 1674, Chant III, p. 130. bd. [NDE]
es réflexions sur les principales vérités de la religion, imprimées à
Paris
chez Charles-Maurice d’Houry, en 1726, in-12. « J
at au Parlement, à M. le Chevalier DE… sur les spectacles, imprimée à
Paris
chez la veuve Lottin, & J. H. Butard, rue S.
e à Paris chez la veuve Lottin, & J. H. Butard, rue S. Jacques, à
Paris
1756 ; la lettre de M. Bordelon, où il fait voir
ustifie point ; réfutation d’un écrit favorisant la comédie, in-12. à
Paris
, chez Edme Couterot 1694 ; lettre d’un Docteur de
Sorbonne à une personne de qualité, au sujet de la comédie, in-12. à
Paris
, chez Claude Mazuel, 1694 ; sentimens de l’Eglise
tous les Fideles soumis à sa conduite, d’aller à la comédie, in-12. à
Paris
, chez Pierre Ballard, 1696 ; histoire & abrég
teur du Roi, & Doyen de l’église collégiale de Ligny, imprimées à
Paris
en 1753, chez Hyppolite-Louis Guerin & Louis-
la lettre contre Hérésies imaginaires et les Visionnaires, s.n.s.l. (
Paris
), 1666, 4°, 12 p.), ainsi que l’édition Thirouin
irouin pour les notes (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin,
Paris
, Champion, 1998, p. 249-263)
se à la lettre adressée à l’auteur de Hérésies imaginaires, s.n.s.l. (
Paris
), 1666, 4°, 12 p.), ainsi que l’édition Thirouin
irouin pour les notes (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin,
Paris
, Champion, 1998, p. 249-263). Comme Thirouin, nou
ordonne d’en inspirer de l’horreur aux fidéles. Can. 9. Le Concile de
Paris
, en 829, contient la même doctrine. Le douzieme C
tes de 1696 & 1701. M. Huerne de la Motte, Avocat au Parlement de
Paris
, & fameux partisan des Comédiens, en fit de m
Doctrine contenue dans les mandemens des Archèvêques & Evêques de
Paris
, de Lyon, d’Alby en 1719. De Lodéve en 1732. &
Ad hoc munus non admittat Comœdos. A l’article de Patrinis, Celui de
Paris
places les Comédiens au nombre des Excommuniés d
enoncé à cette profession, comme Comédiens . Celui d’Auch, imprimé à
Paris
en 1701, ordonne de refuser la sépulture ecclésia
e dans les Rituels. La pratique en est constante. Les ordonnances de
Paris
en 1674. Regardent les Comédiens comme des gens m
des Docteurs de Sorbonne, mais encore celle de Messieurs les Curés de
Paris
. La réponse fut aussi claire que précise. Tous le
iens, dans le quatorzieme Siécle, selon les mémoires de Mr. le Maire.
Paris
anc. & nouv. C. 2 pag. 503. C’est d’eux que p
isir ignoré ; De pélérins, dit on, une troupe grossiere, En Public, à
Paris
, y monta la premiere ; Et, sottement zélée en sa
Jongleurs succéderent les Confréres de la Passion ; le Parlement de
Paris
les proscrivit sous François I par deux arrêts :
e 1541, & l’autre du 19 Novembre 1548. Il n’y avoit point alors à
Paris
d’autre jeux de Théatre. Ces Histrions, ces Jongl
erent leurs farces à l’Hotel de Cluny. l’Eglise & le Parlement de
Paris
ne leur furent pas plus favorables. Celui-ci, fit
s ; il y avoit tel concours, que les quatre meilleurs Prédicateurs de
Paris
n’en avoient pas tous autant, quand ils prêchoien
. & Louis XIII, que Hardi & Rotrou tirerent des carrefours de
Paris
, la Tragédie & la Comédie ; mais, dit Mr. le
nigme. Voici le fait : Mr. Huerne de la Mothe, Avocat au Parlement de
Paris
, osa, en 1761, entreprendre, sous les yeux de la
unication de la part de l’Eglise. » Mrs. les Avocats au Parlement de
Paris
étant admis à l’audience, demanderent d’une voix
ensé, & pensent encore Messieurs les Archevêques & Evêques de
Paris
, de Lion, de Beauvais, de Carcassonne, de Senez,
r Diderot en 1753. La Doctrine en a été condamnée par le Parlement de
Paris
, en 1759, Le 23 janvier, comme contraire à celle
et la Religion. L’Andrienne de Baronf n’a pas fait moins de plaisir à
Paris
que celle de Térence à Rome. Les scènes que Moliè
les mœurs des Vivandières et sont cause du peu de cas que l’on fait à
Paris
de la vertu. En troisième lieu les Comédiens sont
et les paroles remarquables des anciens [Facta et dicta memorabilia],
Paris
, M. Brunet, 1713 [24-31], Tome premier, Livre II,
ur toi en pleine mer. » d. [NDE] Tertullien, Operum, tomus secundus,
Paris
, A. Wechel, 1566 [ca. 198], « De spectaculis libe
E] J.-J. Rousseau, op. cit., p. 16. f. [NDE] M. Baron, L’Andrienne,
Paris
, P. Ribou, 1694.
Extrait du Privilège du Roi. Par Grâce et Privilège du Roi, donné à
Paris
le quinze Janvier 1656. Signé, Ceberet. Il est pe
mnation des Théâtres, à N. Pepingué, Imprimeur et Marchand Libraire à
Paris
, pour en jouir le temps porté par celui. Achevé d
comme il est plus amplement porté par ledit Privilège du Roi, Donné à
Paris
le 7. jour du mois de Décembre, l’an de grâce 166
droit de Privilège à George Soly, Marchand Libraire de cette ville de
Paris
, pour en jouir conjointement suivant l’accord fai
ident au Parlement de Toulouse, et ensuite Conseiller au Parlement de
Paris
, il mourut enfin Conseiller d’Etat. Il a laisse u
elle du Parlement, et chaque classe du Parlement ayant imité celle de
Paris
, elle eut aussi sa basoche, mais moins privilégié
au long dans le recueil des statuts de la basoche, dans l’histoire de
Paris
et dans celle du théâtre, tom. 2. pag. 78. Une tr
pour Clément. Les Basochiens la saisirent avidement, et la jouèrent à
Paris
sous les yeux de la Cour avec le plus grand éclat
tiré la plupart de ces faits, les statuts de la Basoche, Histoire de
Paris
, le Dictionn. des Arrêts. V. Basoche, Larocheflav
un fort mauvais ouvrage, qui fit du bruit. Un Avocat du Parlement de
Paris
, fol du spectacle et amant de la Clairon, se fit
absurdités et d’erreurs. N’eût-on égard qu’à son style, le Barreau de
Paris
, si fécond en Orateurs éloquents et en habiles Ec
rdinal de Noailles, et c’est en effet par ses ordres que les Curés de
Paris
ont refusé les sacrements et la sépulture ecclési
y a que trois grâces ». Cependant parmi ces trois Déesses, le nouveau
Paris
, comme de raison, donne la pomme à la Clairon sa
qu’on trouve dans les gazettes, notamment celle de Hollande (art. de
Paris
. 12. mai 1761.), et dans les Journaux du temps.
ion d’auteur, de date ni de lieu mais on sait qu’elle a été publiée à
Paris
en 1666. Racine ne nomme pas Nicole, puisque les
s, l’édition Thirouin (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin,
Paris
, Champion, 1998, p. 225-232). Pour une introducti
uis Riccoboni, Observation sur la Comédie et sur le génie de Molière,
Paris
, Vv Pissot, 1736. c. [NDE] Louis Riccoboni, Pens
Pissot, 1736. c. [NDE] Louis Riccoboni, Pensées sur la Déclamation,
Paris
, Briasson, 1738. d. [NDE] Louis Riccoboni, Réfle
ons historiques et critiques sur les différents Théâtres de l’Europe,
Paris
, Imprimerie de Jacques Guerin, 1738.
l se tourna contre M. de Lamoignon, premier Président au Parlement de
Paris
, qu’il dépeignit comme un hypocrite dans le Tartu
qui exigeoit d’elle les plus bas services. Un procès attira sa mère à
Paris
, qui la mena avec elle, manquant de tout. La jeun
e 30 juillet 1773, le Roi ordonne qu’il soit incessamment construit à
Paris
sur la partie du terrein de l’Hôtel de Condé &
à titre gratuit au Prévôt des Marchands & Échevins de la Ville de
Paris
, de la portion & étendue nécessaire pour cons
d’emprunter par contrat de constitution sur le domaine de la ville de
Paris
jusqu’à la concurrence de quinze cents mille livr
pothéquer les revenus, droits & biens patrimoniaux de la ville de
Paris
. Sa Majesté déclare en faveur des étrangers qui v
ement de la comédie, qui lui ont fait parcourir tous les quartiers de
Paris
pour chercher un logement ; aucun n’est suivi, el
pour la comédie, & il en fait libéralement present à la ville de
Paris
, il est vrai qu’elle en fera les frais, & que
er les beautés & les fondre toutes dans la salle de la comédie de
Paris
, comme Appelles rassembla les beautés d’Athènes,
e, chacun choisit, selon son goût, le spectacle, se promena dans tout
Paris
, chaque quartier plaida pour être enrichi de ce c
hef-d’œuvre. Pour contenter tout le monde, il eut fallu faire de tout
Paris
une salle ; le plus beau fut celui qu’on destinoi
rement. On s’est réuni & on a agi si efficacement que la ville de
Paris
est revenue au premier projet : l’Hôtel de Condé
descendans être à portée de les honorer de leurs faveurs. La ville de
Paris
s’étant chargée de toute la dépense, a cru pouvoi
r Ministre de la Princesse, le sieur Lenet avoue qu’il en avoit une à
Paris
. Toute la Fronde étoit plus galante que factieuse
des Polonois qui l’aimoient ; il quitta même sa patrie, & vint à
Paris
dans le centre du plaisir, comme Amedée, Duc de S
tre cet Article au rang des avantages qu’on peut tirer de la scène. A
Paris
comme à Genève, il convient au Théâtre de montrer
à leurs talents. Une danseuse, une chanteuse des Chœurs de l’Opéra de
Paris
ne peut assurément pas, avec quatre ou cinq cent
celui-ci, et j’en destine l’hommage à Nos Seigneurs le Gouverneur de
Paris
, et les quatre premiers Gentilshommes de la Chamb
ire en amusant. Que des Chefs aussi respectables que le Gouverneur de
Paris
et les quatre premiers Gentilshommes de la Chambr
on Collègue. D’où l’on peut conclure que le même désordre règnerait à
Paris
qu’en province, si le nombre des sujets et la sub
anit sur le champ. Pour diriger une Troupe de province comme celle de
Paris
il faudrait que celle-là fût composée du même nom
rive jamais. On ne peut donc pas s’autoriser des usages du Théâtre de
Paris
. Il est d’ailleurs aisé de pressentir sur les Arr
Echevins à qui l’entreprise serait confiée, à l’exemple de l’Opéra de
Paris
. Ces Corps ne cherchent point à s’enrichir aux dé
a pureté des mœurs. Si les spectacles ont essuyé la même révolution à
Paris
que dans l’ancienne Rome, s’ils ont été sacrés da
e de Suède » [Janvier 1747], in Œuvres complètes. Epîtres et Stances,
Paris
, A.-A. Renouard, 1819, v. 44-45, p. 318. ex. [N
819, v. 44-45, p. 318. ex. [NDE] Molière, Les Précieuses ridicules,
Paris
, C. Barbin, 1660, scène 9, p. 55-56. ey. [NDE]
ux qui l’exercent, excommuniés ou non, sont partout méprisés, et qu’à
Paris
même, où ils ont plus de considération et une mei
pédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers,
Paris
, A.-F. Le Breton et al., 1757, t. 7, p. 578-578D.
Rousseau, op. cit., p. 136. ff. [NDE] J.-B.-L. Gresset, Le Méchant,
Paris
, S. Jorry, 1748 [1745, repr. 1747], Acte II, scèn
id., p. 144. fn. [NDE] N. Boileau-Despréaux, Satires du Sieur D***,
Paris
, L. Billaine et al., 1668, Satire IX, p. 10. fo
DE] Ibid., p. 145. fq. [NDE] Voir F. de La Mothe Le Vayer, Œuvres,
Paris
, L. Billaine, 1669, tome XIV, « Dixième homélie a
ou doit être absolument défendue, in Pièces de théâtre de Boursault,
Paris
, Jean Guignard, 1694.
TISPICE] Epistresurla condamnationdu theatre a Monsieur Racine a
Paris
, Chez la veuve de Jean Baptiste Coignard Imprimeu
doit être absolument défendu » (dans Pièces de théâtre de Boursault,
Paris
: Jean Guignard, 1694, p. 1-75.) b. [NDE] : La p
l’intéressé, fait paraître ses Maximes et réflexions sur la Comédie (
Paris
, Jean Anisson, 1694). c. [NDE] On corrige un poi
concert (le premier novembre), ce qui fut annoncé et affiché partout
Paris
. M. de Vintimille, Archevêque de Paris, trouva si
fut annoncé et affiché partout Paris. M. de Vintimille, Archevêque de
Paris
, trouva si indécent qu’on chantât des choses sain
rtres, Anton. August. en ont enrichi leurs compilations. Le rituel de
Paris
de l’an 1654, dit en termes exprès (p. 108.) : «
exécution des ordres exprès du Roi. Aussi tous les autres théâtres de
Paris
et des provinces, dont de pareils ordres n’ont pa
n une, et défendit à tous autres Comédiens Français de s’établir dans
Paris
. En conséquence le Lieutenant de Police fit défen
ni Français, mais un ramassis de toutes les nations ; ni établis dans
Paris
, mais une Troupe errante, qui campait sous des te
us apprennent quelques anecdotes. Il y avait en 1709 douze théâtres à
Paris
, élevés depuis dix ans. Celui de la Comédie avait
compter les bienfaits du Roi. Il y en a aujourd’hui plus de cent dans
Paris
, et plus de mille dans le royaume qui ont coûté p
se ne suivît cette règle, si ces dîmes avaient lieu. Si l’on reçoit à
Paris
le sixième des entrées de la Comédie Française, l
chef de votre Eglise ne permet-il pas à Rome, ce que vous défendez à
Paris
? M. le vicaire de telle paroisse ne refuse-t-il
pense, parce que le spectacle est plus décent à Rome et à Turin qu’à
Paris
, qu’il est permis dans ces deux villes, et défend
er les foudres de l’Église ! M. Harlay de Champvallonq, archevêque de
Paris
, lui refuse une messe ! Louis XIV lui-même, le su
oire Générale du Théâtre françois depuis son origine jusqu’à présent (
Paris
, 1731-1749, 15 vol.) racontent qu’un curé de Metz
mples au Baron Hénin de Cuvillers, Encore des comédiens et du clergé,
Paris
, Andriveau, Ponthieu et Delaunay, 1825, p. 138. L
t du Parlement. M de Vandeuil, Conseiller de Requêtes du Parlement de
Paris
, qui vint présider à Toulouse en 1769 exigea si r
e de M. de Lomenie, Archevêque, qui demeure depuis plusieurs années à
Paris
, & qui, sans doute, se seroit fait un plaisir
le Curé de Frontignan ! Il est vrai qu’on venoit de voir tout cela à
Paris
, à Turin, à Lyon, pour le mariage du Comte de Pro
bal chez le Curé ; on ne voit pas de pareille fête chez les Curés de
Paris
. M. Toulon n’eût il pas mieux fait de suivre l’ex
onde, la société, les mœurs, les modes, les cercles, le persistage de
Paris
. Le titre des pieces est aussi François que le la
orance ? La comédie leur étoit inconnue ; on ne peut pas dire comme à
Paris
, qu’ils la désiroient. On leur apporte le poison,
r de littérature & de beaux esprits, & se mettre à la mode de
Paris
, ont bâti un théatre qu’ils décorent du grand nom
l’Archévêque de Rouan son Métropolitain (Harlai transféré peu après à
Paris
;) & par malheur pour lui l’Evéque de Séez fu
Fidèles que le Théâtre de Néron ou d’Héliogabale, et si le Rituel de
Paris
« Arcendi sunt a communione manifeste infames, ut
Cirques, des Amphithéâtres, pour le combat des bêtes. Il y en avait à
Paris
, quoique jusqu’à Charlemagne la Ville fut petite.
encore par rapport aux Comédiens d’aujourd’hui ; et que le Rituel de
Paris
en les déclarant excommuniés, suppose qu’ils sont
. » Can[on]. 9. Conc[ile]. Cabil. [Châlons-sur-Saône] . Le Concile de
Paris
, tenu en 829, en faisant la même défense aux Eccl
d’entrer dans l’examen des Comédies d’à présent, puisque l’Eglise de
Paris
les condamne, jusqu’à déclarer les Comédiens exco
nsidérable que saint Thomas qui était en réputation de grande piété à
Paris
, eût approuvé avec certaines conditions ces mêmes
izième siècle par la Bible de Guiart des Moulins271 que le langage de
Paris
s’appelait indifféremment le Français ou le Roman
laisir ignoré, De Pèlerins, dit-on, une troupe grossière. En public à
Paris
y monta la première, Et sottement zélée en sa si
ouv[eau]. t. 2. p. 503., il paraît que ces dévots Comédiens vinrent à
Paris
au commencement du quatorzième siècle, et que le
comme plusieurs semblent le croire. Car dans un Arrêt du Parlement de
Paris
donné sous François I. en 1541. il est parlé de c
ucuns Jeux ou Mystères, tant en la Ville et Faubourgs que Banlieue de
Paris
, sinon que sous le nom de ladite Confrérie et au
prison et punition corporelle, et à tous les manants et habitants de
Paris
et des Faubourgs de quelque état et qualité qu’il
sions, ordonné par la Cour ce qu’elle jugerait à propos. Le Prévôt de
Paris
, son Lieutenant Criminel, et le Substitut du Proc
ndre à eux, en cas de défaut ». Malgré cet Arrêt Ibid., le Prévôt de
Paris
donna dans sa maison et de son autorité privée la
ladite Chambre a fait et fait inhibitions et défenses audit Prévôt de
Paris
de donner plus telles permissions, ni faire ou or
48. défend ces Spectacles sous peine d’excommunication. Un Concile de
Paris
assemblé en 1515. avait servi d’exemple à celui d
usités dans ce siècle. Dans un Manuel du Diocèse de Senlis imprimé à
Paris
en 1525. on trouve une espèce d’examen de conscie
Campagne. Un autre abus aussi pernicieux, condamné dans un Synode de
Paris
tenu en 1557. par Eustache du Bellay ; c’est que
portait aux maisons des Laïques, abus déjà condamné par un Synode de
Paris
de l’an 1557. ainsi que nous l’avons déjà remarqu
munication dans ses Ordonnances et instructions synodales imprimées à
Paris
en 1644. d’élever devant la porte des Eglises des
e Châlons-sur-Marne, dans le Rituel ou Manuel de son Eglise imprimé à
Paris
en 1649. ne veut pas qu’on admette pour Parrains
nçois Malier Evêque de Troyes, dans le Rituel de son Eglise imprimé à
Paris
en 1660. dans l’article De Patrinis, défend d’adm
ue d’Alet dans le Rituel Romain à l’usage du Diocèse d’Alet imprimé à
Paris
en 1677. ordonne de différer l’Absolution « à ceu
de M. Charles Maurice le Tellier Archevêque de cette Ville, imprimé à
Paris
en 1677. ordonne aux Confesseurs « de d’accorder
commande aux Prédicateurs dans ses Ordonnances Synodales, imprimées à
Paris
en 1690. de s’élever contre les Spectacles. Voici
, nec persona ulla muliebris vel habitus inducatur. » L’Université de
Paris
est surtout très jalouse de cette discipline, si
urent pas inutiles. Les Gazettes de l’année 1697. portent que Art. de
Paris
17. Mai. « le Roi avait proscrit la Comédie Itali
urs démarches avaient été inutiles. » Dans le Rituel d’Auch imprimé à
Paris
en 1701. il est ordonné de refuser la sépulture E
tiens, comme apportant corruption des bonnes mœurs. » Le Parlement de
Paris
donna aussi divers Arrêts pour interdire tous les
du Parl[ement]. Octobre 1584.. Une Troupe de Comédiens étant venus à
Paris
en 1584. et ayant dressé un Théâtre dans l’Hôtel
hambre des Vacations en étant avertie, leur fit défense de jouer dans
Paris
sous peine de mille écus d’amende : Voici le pron
de mille écus d’amende. Et à l’instant a été enjoint à l’Huissier de
Paris
aller faire ladite signification et défense. » Qu
rien. Le Parlement donna un Arrêt contre eux en 1652. et l’Eglise de
Paris
en 1654. déclara Ritual. Paris. pag. 108. « qu’il
rêt contre eux en 1652. et l’Eglise de Paris en 1654. déclara Ritual.
Paris
. pag. 108. « qu’ils étaient manifestement infâmes
s sans Baptême. Ajoutez à cela l’exactitude de Messieurs les Curés de
Paris
, qui ne donnent les Sacrements aux Comédiens mala
ne dira-t-on pas que ces derniers Auteurs, non plus que le Rituel de
Paris
, imprimé en 1654. ne condamnent la Comédie qu’à c
mmes de mauvaise vie, souffrit néanmoins qu’avant sa mort, il y eut à
Paris
, de ces lieux qu’on n’ose nommer, dont les Maître
ir. C’est pourtant à peu près de même qu’en use à présent l’Eglise de
Paris
à l’égard des Comédiens, et je ne sais comment le
nière qu’elle tolère les pécheurs publics et scandaleux. Le Rituel de
Paris
les déclare tels, et il ordonne, que s’ils osent
tié, et mérite à peu près la même indulgence qu’eut ce Prédicateur de
Paris
, qui dit en chaire qu’on cesserait à l’avenir de
sonnage de femme ni de fille. Les anciennes règles de l’Université de
Paris
aussi bien que celles des Collèges de l’Oratoire
tion Française ; et en 1662. on l’imprima à Toulouse chez Boude, et à
Paris
chez Soly. « Arcendi sunt a communione manif
p. 380. 278. [NDA] xiii. Comte de Prov[ence]. et Roi de Sic[ile].
Paris
anc[ien]. et nouv[eau]. t. 2. p. 503. 280. [NDE
voir que ces pièces sont beaucoup plus anciennes. Dans le Journal de
Paris
, sous les Règnes de Charles VI. et de Charles. VI
e Paris, sous les Règnes de Charles VI. et de Charles. VII. imprimé à
Paris
en mil sept vingt-neuf in-4.° il est dit p. 72 qu
1420. lorsque le Roi de France et le Roi d’Angleterre entrèrent dans
Paris
, « fut faite en la rue de Kalende devant le Palai
r au vif, selon que elle est figurée autour du Chœur de Notre-Dame de
Paris
, et duraient les échafauds environ cent pas de lo
n moult bel mystère du vieil Testament et du nouvel que les enfans de
Paris
firent, et fut fait sans parler ne signer, comme
ier dans son Histoire de Charles VII. parlant de l’entrée de ce Roi à
Paris
en l’année 1437. p 109. dit : « tout au long de l
de Nevers, a traduit en Français ce Concile. Cette Traduction parut à
Paris
en 1569. Il dit assez ridiculement que ce Concile
rium 4., Nov. lib. 5. pag. 120. Le Sieur Riccoboni. P. 58. Art. de
Paris
17. Mai. Discipl[ine]. des Protest[ants]. de Fra
ch. 14. art. 28. Regist[re]. du Parl[ement]. Octobre 1584. Ritual.
Paris
. pag. 108. d’Aubignac. Pratiq[ue] du Théâtre. p
317. [NDA] Part. 2. tit. 65. 318. [NDA] Sauval. Antiquit[és] de
Paris
. Vie de Pie V. page 84. Eloge des Evêques p. 54
rité et d’éloignement du monde. Aussi n’y voit-on jamais des Curés de
Paris
, des Chanoines de Notre-Dame, des Directeurs de S
nnes et modernes de son diocèse. Dès l’an 829, le Concile huitième de
Paris
, appelé le sixième (L. 1. C. 38.), défend la comé
us magno terrori sint necesse est. » Tous les statuts synodaux, et de
Paris
et de tous les diocèses du royaume, sans exceptio
la vie, 25 février). Le Père Bernard, appelé le pauvre Prêtre, mort à
Paris
en odeur de sainteté, le 23 mars 1641, avait sing
rs Ecclésiastiques y veillent davantage, et sont plus écoutés. Mais à
Paris
le monde a formé dans le Clergé une foule d’élève
t Abbé, provincial, rougissait du moins de ses ouvrages, les Abbés de
Paris
se moquent de ses scrupules, etc. Les Ministres d
siastiques aux spectacles dans les provinces ; ceux que l’on y voit à
Paris
en ont à peine l’habit ; le public en est toujour
te cite entr’autres, le Rituel de Châlons-sur-Marne de 1649, celui de
Paris
de 1654 & 1674, ceux de Sens, d’Aleth, de Lan
639 un Ouvrage intitulé : Apologie du Théatre par George de Scudery.
Paris
1639, in-4°. George de Scudery, qui mourut à Par
eorge de Scudery. Paris 1639, in-4°. George de Scudery, qui mourut à
Paris
vers 1666, est le Versificateur infatigable dont
ir si la Comédie est permise ou doit être absolument défendue, in-12,
Paris
, 1694. Cette Lettre, avec un si beau titre, n’eut
l Monacho, Théatin d’Italie, vint en France en 1644, pour y établir à
Paris
une Maison de sa Congrégation qui est la seule qu
e cet établissement sont de 1647. Il mourut le 11 Janvier 1651, non à
Paris
, comme le dit Silos au tome 3 de ses Annales des
a Comédie. M. Nicole [né à Chartres le 13 Octobre 1625, & mort à
Paris
le 16 Novembre 1695], en est l’Auteur. Ce Traité
portion qu’on les aime & qu’on y est assidu ». Vente, Libraire à
Paris
, donne tous les ans un petit Livre intitulé : Eta
ulé : Etat actuel de la Musique du Roi, & des trois Spectacles de
Paris
. Il y avoit dans celui des premieres années une l
. Basileæ 1619 ; in-4°. Lettre sur les désordres qui se commettent à
Paris
touchant la Comédie, & sur les Représentation
ontre les Danses & les Comédies, composé par S. Charles Borromée.
Paris
, 1664. Cette traduction fut imprimée à Toulouse e
t le zele, la piété & les lumieres ont la plus grande réputation.
Paris
, Boudet 1769, & réimprimé en 1771. Traité de
Traité de la Comédie & des Spectacles, par M. le Prince de Conti.
Paris
, 1666. M. Fagan n’a pu, dans ses Nouvelles Observ
cles, par M. Voisin, Prêtre, Docteur en Théologie, Conseiller du Roi.
Paris
, 1672. Cet Ouvrage est dédié à M. le Prince de Co
Traité de la Comédie, inséré dans l’Education Chrétienne des Enfans.
Paris
, 1672. Nic. Harres Libellus de Comædiis & Tr
vrage. Réponse a la Lettre d’un Théologien, défenseur de la Comédie.
Paris
, 1694. Dans le Catalogue de la Bibliotheque du Ro
rupule de les y suivre. Réfutation d’un Écrit favorisant la Comédie.
Paris
, 1694. On y a mis cette épigraphe : Donare res s
es Arrêts du Parlement, qui défendirent à des Comédiens de jouer dans
Paris
. Le premier Arrêt est du 6 Octobre 1584, contre u
s à une autre Troupe. Décision faite en Sorbone touchant la Comédie.
Paris
, 1694. Cette décision est du 20 Mai 1694 ; elle e
ion des sentimens relâchés du nouveau Théologien touchant la Comédie.
Paris
, 1694. L’Auteur de ce solide Ouvrage déclare [pa
accident qu’elle ne le fait pas toujours ». Discours sur la Comédie.
Paris
, 1694. Le prétendu Théologien, Défenseur de la Co
jet des Discours du P. le Brun, sur la même matiere ; par M. Simonet.
Paris
, 1732. Cette Dissertation fut insérée dans le Me
nebrarum, magis autem redarguite. Ep. S. Paul aux Ephes. ch. 5, ℣ 11,
Paris
, 1694. Dans le Catalogue de la Bibliotheque du R
e personne de qualité, sur le sujet de la Comédie [par Jean Gerbois].
Paris
, 1694. Lettre Françoise et Latine du P. François
nçoise et Latine du P. François Caffaro à M. de Harlai, Archevêque de
Paris
, 1694. Ce Religieux y désavoue la Lettre du préte
ssuet, Evêque de Meaux [né à Dijon de 27 Septembre 1627, & mort à
Paris
le 12 Avril 1704]. Paris, 1694. M. l’Abbé Talbert
é à Dijon de 27 Septembre 1627, & mort à Paris le 12 Avril 1704].
Paris
, 1694. M. l’Abbé Talbert, Chanoine de Besançon, a
toire sous ce titre : Lettres historiques sur tous les Spectacles de
Paris
, 1719. Cet Auteur cite comme des anecdotes avanta
our l’Instituteur de l’Opéra, c’est-à-dire, de ce Spectacle public de
Paris
, que M. de Saint-Evremond appelle « une sottise c
t du 4 Décembre 1695. Réponse à la Préface de la Tragédie de Judith.
Paris
, 1695. Boyer, Auteur de cette Tragédie, prétendo
quelle on doit avoir le plus grand respect ». Lettre de M. Bordelon.
Paris
, 1699. L’Auteur prouve que si l’on exige de ceux
squelles on examine avec impartialité l’état actuel des Spectacles de
Paris
, par M. de Chevrier. Paris, 1755, in-12. Ce n’est
partialité l’état actuel des Spectacles de Paris, par M. de Chevrier.
Paris
, 1755, in-12. Ce n’est pas l’utilité morale de no
ertés de la France contre le pouvoir arbitraire de l’excommunication.
Paris
, 1761. Les Encyclopédistes se sont aussi ralliés
M. Fagan, au sujet des condamnations prononcées contre les Comédiens,
Paris
, 1752 ; in-12. M. Fagan est convenu dès le commen
tiennement dans le monde, par M. l’Abbé Clément, Prédicateur du Roi ;
Paris
, 1753. On y trouve, article 17, de solides réflex
de la Cour des Aydes de Montauban, à M. Louis Racine, sur le Théatre.
Paris
, IIIe édit. 1773. Ce respectable Académicien cons
de M. Desprez de Boissy, à M. le Chevalier de *** sur les Spectacles.
Paris
, 1756. On en donna en 1758 une seconde Edition. E
es Ouvrages pour & contre les Théatres, par M. Desprez de Boissy.
Paris
, 1777. Leur succès nous a mis dans le cas de donn
rouve aussi un extrait dans le second volume d’un Ouvrage qui parut à
Paris
en 1774, sous ce titre : Antilogies. On sçait qu
sacrés touchant les Spectacles ; traduit de l’Anglois de M. Collier.
Paris
, 1715 ; in-12 de 493 pages. Cette critique du Thé
; dédiées à Madame la Duchesse d’Orléans, premiere Princesse du Sang.
Paris
, 1718, vol. in-12 de 509 pages. Voici ce que le J
Lettres de la Vicomtesse de Senanges & du Chevalier de Versenai.
Paris
, 1772 ; 2 vol. in-8°. L’Héroïne de ce Roman est l
otre siecle une résistance de six mois, sans scandaliser la moitié de
Paris
». Ce fut sans doute pour éviter ce scandale, que
mp; à la lecture des Romans, ce que M. Dorat dit de l’air envenimé de
Paris
: « Le désordre y est autorisé par l’exemple ; la
l’un des quarante de l’Académie Françoise, à M. *** sur la Comédie ;
Paris
, 1759. On la trouvera imprimée en entier à la fin
ir le 11 Mai 1694, c’étoit M. de Harlai qui étoit alors Archevêque de
Paris
, & non M. de Noailles, qui ne lui succéda qu’
on Extrait critique de la Lettre de M. J.J. Rousseau à M. Dalembert ;
Paris
, 1760. L’Auteur de cette Lettre est Mr Secousse,
prouve que les Spectacles sont contraires aux bonnes mœurs. Avignon,
Paris
, 1762. Ces Lettres sont une bonne critique de la
Mlle Clairon : on y a fait imprimer à la fin l’Arrêt du Parlement de
Paris
, du 22 Avril 1761, qui condamne la Consultation.
itre : Conférences sur les principaux sujets de la Morale Chrétienne.
Paris
, 1768. Le Dictionnaire Universel des Sciences Ec
l, & de l’Académie Royale des Inscriptions & Belles-Lettres ;
Paris
, 1765. Le troisieme Chapitre de ce solide Ouvrage
ont devenus si rares] mérita la censure de la Faculté de Théologie de
Paris
& du Parlement, pour quelques propositions qu
héatre, par Louis Riccoboni, ancien Acteur Italien, nouvelle édition.
Paris
, 1767. Cette édition est pareille à celle de 1743
sai sur les moyens de rendre la Comédie utile aux mœurs, par M. B***.
Paris
, 1767. Cet Ecrit se trouve joint à la derniere éd
es qu’à des hommes ». Causes de la décadence du goût sur le Théatre.
Paris
, 1768. Il n’est question dans cet Ouvrage que d’o
fférens genres de Spectacles, & de la Musique adaptée au Théatre.
Paris
, 1769. M. Nougaret, à qui l’on attribue cet Ouvra
i les corrompent. Dissertation sur les Spectacles, par M. Rabelleau.
Paris
, 1769. Cet Auteur propose sérieusement de faire
faut en tout temps quelques Spectacles. C’est pour cette raison qu’à
Paris
on laisse dans la Semaine-Sainte quelques ressour
font à la fois Spectacle & les Spectateurs. Ainsi se renouvelle à
Paris
tous les ans ce fameux rendez-vous de chars &
e fureur déchaînée pour les Spectacles de tout genre fit construire à
Paris
un vaste édifice sous le nom de Colisée, à l’imit
es Spectacles, & en particulier sur le Colisée ; par M.L. Gachet,
Paris
1772, in-8°. Essai sur le moyen de faire du Coli
oyen de faire du Colisée un établissement national & patriotique.
Paris
1772, in-12. Les Auteurs de ces deux Ecrits trouv
. « C’est à cette durée, dit M. Gachet, que j’augure que parviendront
Paris
& le Colisée. Le Spectacle qui doit flatter l
Lettre à Madame la Comtesse de T***, sur un second Théatre François à
Paris
, & sur le retour de l’ancien Opéra Comique.
servé M. l’Abbé Gros de Besplas 218, « le Peuple François, sur-tout à
Paris
, est excessivement dissipé, rassasié des Spectacl
res de nos Parlemens, sur-tout les Arrêts imprimés de la Tournelle de
Paris
, on y verra que des forfaits inconnus aux premier
-ce à l’impunité ? Jamais la Justice ne fut si prompte ni si sévere à
Paris
. Seroit-ce à la férocité des mœurs ? Les François
vement, & vingt ont reçu des blessures légeres. Il y eut aussi à
Paris
, le 30 Novembre 1772, à la Comédie Françoise, une
econd Tome des Œuvres de M. Coffin, ancien Recteur de l’Université de
Paris
, mort en 1749, une Ode Latine, qui, à cet égard,
e son Auteur [Jacques Vallée des Barreaux, Conseiller au Parlement de
Paris
, mort le 9 Mai 1673], avoit porté l’impiété jusqu
à la Littérature & à la Société qu’à la Religion. L’Université de
Paris
, ayant pour Recteur M. Coger, proposa pour le suj
crit qu’un Sçavant Jurisconsulte, M. Pineault, Avocat au Parlement de
Paris
, donna en 1770, sous ce titre : La nouvelle Philo
atiques : « Vous connoissez, disoit cette Actrice, la vie dissipée de
Paris
, & les devoirs indispensables de mon état. C’
d’un Mémoire sur les Comtes d’Ausbourg, tige de la Maison d’Autriche.
Paris
, Desaint, 1770. 78. Toutes ces belles qualités s
nnent à pleurer. Voyez la Vie de ce Prince par M. l’Abbé de Villiers.
Paris
1769 ; & l’Ouvrage intitulé : Gallerie Franço
Villiers. Paris 1769 ; & l’Ouvrage intitulé : Gallerie Françoise.
Paris
, 1770. 82. M. l’Abbé de Voisenon [mort en 1775]
Claude Duguet, Avocat du Roi au Présidial de cette Ville. Il mourut à
Paris
, âgé de quatre-vingt-quatre ans, le 25 Octobre 17
ichard, & l’autre en 8 volumes, par M. de la Lande, se trouvent à
Paris
chez la veuve Desaint, rue du Foin. Elles doivent
al, mourut en 1750. Il étoit frere de Gaspard Terrasson, qui mourut à
Paris
en 1752, après s’être acquis une grande réputatio
oise & à celle des Inscriptions & Belles-Lettres. Il mourut à
Paris
en 1722. Il étoit admirateur de l’ancienne Philos
*** sa petite-fille, pour sa conduite, & pour celle de sa maison.
Paris
, 1698, in-12. 212. Nemo saltat ferè sobrius, ni
c M. du Coudrai parle-t-il ? C’est sans doute de ce Public frivole de
Paris
, que Voltaire a bien caractérisé dans les Vers su
tu n’instruis que les Sages. Tu n’as plus à répondre aux discours de
Paris
. Je crois voir à la fois Athenes & Sibaris, T
ut leur esprit. On sçait que cet horrible Ouvrage fut brûlé en 1764 à
Paris
, par Arrêt du Parlement, du 19 Mars de la même an
ésidens & Conseillers des Enquêtes & Requêtes du Parlement de
Paris
furent exilés le 9 Mai 1753 ; dont quatre furent
our y suppléer, il fut établi dans le Couvent des Grands Augustins de
Paris
une Chambre des Vacations composée de six Conseil
rats qui entrent au Conseil du Roi. Enfin le Parlement fut rappellé à
Paris
le 2 Sept. 1754, époque d’une Déclaration pour la
ie de Marseille en faveur de la Dumesnil, qu’il y avoit fait venir de
Paris
. Les Habitans aimerent mieux abandonner le Specta
objet direct, c’est le but formel de leurs auteurs. Œuvres tom. 7.
Paris
. 1748. Refl. sur la Comédie, pp. 611. & 612.«
es impudiques dans l’étang de feu & de souffre ? Œuvres tom. 7.
Paris
. 1748. Refl. sur la Comédie, pp. 611. & 612.
ngeances, mépriser par son luxe. Piganiol de la Force (Description de
Paris
, Tom. 6. quartier du Luxembourg, Hôtel de la Comé
, en 1745, elles montaient à cinq cent mille, que l’Hôtel de ville de
Paris
, c’est-à-dire le public, s’est chargé de payer. T
qu’enfin, le 30 août 1701, la piété de Louis XIV y pensa pour ceux de
Paris
. Il y eut un ordre de donner aux pauvres le sixiè
aussi loin. On peut donc, sans exagération, assurer que la comédie de
Paris
coûte au public au moins cinq cent mille livres,
loin : les autres théâtres ne coûtent pas moins. Les spectacles dans
Paris
vont à trois millions. Dans la multitude innombra
’on veuille faire des exceptions en faveur des autres théâtres, ou de
Paris
, ou de province ; quelque nuance de plus ou de mo
ulgarorum, chap. 44, in P. Labbé et G. Cossart, Sacrosancta Concilia,
Paris
, 1671, tome 8, col. 533 ou J. D. Mansi, Sacrorum
ulgarorum, chap. 44, in P. Labbé et G. Cossart, Sacrosancta Concilia,
Paris
, 1671, tome 8, col. 533 ou J. D. Mansi, Sacrorum
16]. af. [NDUL] Le Maître des Sentences. Pierre Lombard, évêque de
Paris
, a laissé, sous le nom de Sentences, un corps de
Louis, pour régler les droits de péage, qui se payaient à l’entrée de
Paris
sous le Petit Châtelet ; l’un des articles porte,
femmes qui s’en mêlaient celui de Jongleresses : ils se retirèrent à
Paris
dans une seule rue qui en avait pris le nom de ru
u. » ParLivre rouge ancien, f. 123. une autre Ordonnance du Prévôt de
Paris
, du quatorzième Septembre 1395. il leur fut défen
de même à son fils légitime, le Prince de Vaudemont. Ce Prince vint à
Paris
conclure quelque traité avec Louis XIII. Le Cardi
la dupe. Louis XIV suivit ses traces. Le Prince de Vaudemont etant à
Paris
, le Roi le combla de tant de caresses, que tout l
r’autres, par un grand acte de générosité, le Roi l’engagea d’aller à
Paris
voir la comédie & l’opéra, pour se remettre d
cheval de bronze qui est sur le Pont neuf, & la fit transporter à
Paris
. On lui fit les plus grands honneurs, on la reçut
Pons. On lui fit un procès sur ses mariages, ils furent poursuivis à
Paris
& à Rome. Cependant il se ligua contre la Fra
sans espérance, eut peur, & se retira promptement. Le Duc vint à
Paris
se consoler, avec des couronne de myrthe, de cell
ome où elle finit ses jours. Elle vint en France. Louis XIV lui fit à
Paris
une réception magnifique, il envoya au devant d’e
p; lui promettent de lui emmener leur fille en Lorraine. Il revient à
Paris
, de là en Flandre, ne pense plus à son Espagnole,
qu’à de vaines fables et à des contes. »Ibid. 4. 3. Il a paru dans
Paris
depuis quelques mois une Lettre ; où l’on entrepr
ic et solemnel le P. Caffaro Religieux Théatin, qui passait dans tout
Paris
pour en être l’Auteur. après une réparation si s
nce, on l’a encore dans les provinces, il y avoit plusieurs troupes à
Paris
& à la cour, & les meilleurs pieces ont é
ois & les italiens, avec un privilége exclusif pour la cour &
Paris
. Peut-être l’aboliition des autres jurandes entra
droit de faire banqueroute. Le roi de Danemark qui, dans son voyage à
Paris
, a pris le goût du théatre, enchérit sur tout ; i
la vérité, ne leur laisse pas le droit de juger les auteurs, comme à
Paris
, & de choisir les pieces ; mais ils doivent r
le regne de la vertu. Ainsi soit-il. On a vu pour la premiere fois à
Paris
, l’hiver de 1766, un spectacle fort en usage dans
nnus en Suede : on ne peut à leur frivolité méconnoître le théatre de
Paris
, & le goût de la nation qui l’a répandu. Pour
précipita la décadence du goût & des mœurs. On a toujours crié à
Paris
, à Londres, à Rome contre l’immense grandeur des
le gouvernement a plusieurs fois voulu y mettre des bornes. On voit à
Paris
& à Londres différentes enceintes fixées en d
n loin, & s’en retourner la nuit avec peine. Il devroit y avoir à
Paris
une cinquantaine de théatres publics distribués d
le ! Une misérable de la plus basse lie du peuple avoir aux portes de
Paris
une maison de campagne magnifique, où elle étale
es auteurs ! La bulle du jubilé de l’année sainte ayant été publiée à
Paris
, il y eut ordre de fermer les spectacles pendant
fideles. La feu du ciel semble poursuivre les spectacles ; l’opéra de
Paris
, les théatres d’Amsterdam, de Rome, de Marseille
p; ne pouvoit se refuser une sottise. Enfin il se donna au théatre de
Paris
, où il a joué les rôles de bouffon, & est mor
yale, où l’on jouoit du matin au soir pour le public. Le parlement de
Paris
à sa rentrée fut plus réservé ; il n’y eut point
eur à ses recueils d’anecdotes gaillardes, Mémoires turcs, Essais sur
Paris
, &c. qui ne méritent pas mieux qu’on invite l
avec la gravité & l’intégrité des Juges. L’Arrêt du Parlement de
Paris
, du 29 Janvier 1765, est un réglement de discipli
une tragédie ou comédie ; il rappelle les statuts de l’Université de
Paris
, qui les proscrit absolument comme contraires aux
ouhaiter que tous les autres Parlements suivent l’exemple de celui de
Paris
en introduisant dans leur ressort la meme réforme
es comédiens ne sont pas sur le ton des acteurs & des actrices de
Paris
, ce sont des artisans qu’on paye fort médiocremen
comme les Romains, panem & circences ; du pain & la comédie.
Paris
ne peut long-tems s’en passer, sans éprouver les
celle-ci pour modele. M. Lagourcée, Avocat célebre du Parlement de
Paris
, qui plaida devant le Roi de Dannemarc, a fait jo
mp; que des Magistrats courent aux spectacles. Les papiers publics de
Paris
sont les seuls qui parlent des affaires du théatr
; mais avant son impression, on lui marqua que Calderon étoit venu à
Paris
, y avoit fait des vers à l’honneur d’Anne d’Autri
cis & le Cardinal Mazarin ont fait venir des troupes Italiennes à
Paris
; personne n’y a fait venir des troupes Espagnole
eprésentât aucune qui n’eût été approuvée du Censeur (comme on fait à
Paris
). Pour rendre le Censeur plus attentif, il les co
pitié. Les étrangers, les hommes de toutes les nations qui abordent à
Paris
en ont besoin. Les provinces pourront donc se pas
es pourront donc se passer de théatre ? Quelle hyperbole ! Il vient à
Paris
des gens de quatre ou cinq nations voisines, &
sez petit nombre ; est-ce là l’univers ? Les étrangers qui abordent à
Paris
sont des gens de province qui viennent y chercher
ntre mille, faut-il le maintenir ? Mais non, cette piece, applaudie à
Paris
, à la Cour, à Calais, n’a fait aucune sensation d
’a trouvé. C’est certainement tout le contraire. De trois théatres de
Paris
, les Italiens ne donnent jamais de tragédie. Les
lui donna des espérances. Il alla à Toulouse, y fut applaudi, de là à
Paris
; il a fait sa fortune à l’opéra. Il vient souven
ire. Les nobles ni les bourgeois ne montent pas plus sur le théatre à
Paris
qu’à Rome, & se déshonoreroient, s’ils y jouo
; se déshonoreroient, s’ils y jouoient. Les Comédiens à Rome, comme à
Paris
, étoient fêtés dans les plus belles compagnies. R
à jouer, comme sur la scène, le rôle des Reines et des Princesses. A
Paris
, où elles sont plus riches, les équipages les plu
nir, les Turcs sont mauvais railleurs. Cependant leurs Ambassadeurs à
Paris
et à Vienne ont été aux spectacles par curiosité,
femme prostituée avec l’Actrice. Il rapporte un arrêt du Parlement de
Paris
, rendu sur le même fondement. On peut en conclure
ns les villes de province, où les Actrices ont moins d’éducation qu’à
Paris
. Cependant à Paris même, les Comédiens éprouvèren
ovince, où les Actrices ont moins d’éducation qu’à Paris. Cependant à
Paris
même, les Comédiens éprouvèrent en corps de parei
(L. id. de condic. ob turp. Cap.) Il faut, disent les Conférences de
Paris
(sur l’Usure, Tom. 4. L. 1. C. 1. § 4. pag. 27.),
éâtre, chacun en fait aisément l’application. Mais les Conférences de
Paris
(Ibid. §. 3. p. 14.) ne nous laissent pas la pein
-unième. Régistrées pour être exécutées selon leur forme et teneur, à
Paris
en Parlement le 24 avril 1641. » Cette déclarati
es rues, et il suffisait au Cardinal de faire justifier sa conduite à
Paris
et à la Cour, théâtre de sa faiblesse. Sa passion
débauche n’est-elle pas portée dans les villes capitales d’un Empire (
Paris
, Londres, Naples, &c.) ? Ces endroits peuplés
n Abbaye & les fonctions de son bénéfice, fait exprès un voyage à
Paris
du fond du Périgord pour la faire imprimer. Cette
ré dans ses murs, ou que son Ecrivain, dans un séjour de quatre ans à
Paris
, a si peu résisté à la contagion qu’il ressent un
; l’Evêque au cuir de bœuf. De Hollande. Il n’y a point de lieu après
Paris
où le libertinage soit plus grand qu’à Amsterdam
p; tout l’argent qu’on reçoit à la porte est distribué aux pauvres. A
Paris
les Comediens ont l’un & l’autre, la pension
divertissantes. C’est le Théatre de la Foire & des Boulevards de
Paris
. Le Voyage d’Italie de l’Abbé Coyer est plein de
Sicile les brigandages. Il n’y a pour cela, ni un libertin de moins à
Paris
, ni un brigand de moins en Sicile. Cette protecti
t aujourd’hui innombrables, les Académies se sont montées sur ce ton.
Paris
, Marseille, Toulouse, Bordeaux ne couronnent que
rigé. Voilà l’heureux effet que devroit produire la critique ; mais à
Paris
il y a actuellement quatre procès entre les Coméd
la laisser régner & de chercher à leur plaire. 3.° Il est aussi à
Paris
des loges réservées aux acteurs & aux actrice
atuites, & les actrices qui ne jouent pas les occupent. Celles de
Paris
sont très-lucratives & louées par abonnement
uchée des plaintes des comédiennes. Ce sont encore les actrices qui à
Paris
ont fait tant de bruit contre les sieurs Palissot
ou doit être absolument défendu », in Pièces de théâtre de Boursault,
Paris
: Jean Guignard, 1694, pages 38, 40 etc. Il faud
ou doit être absolument défendu », in Pièces de théâtre de Boursault,
Paris
: Jean Guignard, 1694, pages 38, 40 etc. b. [NDU
coutume d’entendre la messe, chaque jour, en l’église de Notre-Dame à
Paris
; il y rencontra auprès d’un pilier une femme qui
u assister tous les jours à la messe, dans l’église métropolitaine de
Paris
? Son fils, qui eût été alors le fils d’un excomm
me des mœurs de nos Théatres, a, 84. Beaumont (M. de), Archevêque de
Paris
. Citation de son Mandement contre Emile, a, 192.
ractations adressées à M. Bossuet & à M. de Harlai, Archevêque de
Paris
, a, 380-385 Calprenede (la), b, 59 Campigneulle
éponse à une Requête qui lui avoit été présentée par les Comédiens de
Paris
, a, 121 Clément XIII. Acte de son zele contre le
lisée un établissement national, b, 459 Etat actuel de la Musique de
Paris
& des trois Spectacles, b, 131 Etienne (Fran
sur les Spectacles, a, 180 & 484 H Harlai (de), Archevêque de
Paris
. Sa défense aux Comédiens de faire chanter un Te
s à des requêtes qui leur avoient été présentées par les Comédiens de
Paris
, a, 121. Acte de zele contre les Spectacles, a, 4
s littéraires, b, 346 Lettres historiques sur tous les Spectacles de
Paris
, b, 166. On a omis d’indiquer l’Ecrit suivant, at
hacun d’eux, particuliérement sur la Comédie Françoise & l’Opéra.
Paris
, 1765. in-12. L’une de ces vues nouvelles est de
ve aux Spectacles, a, 458 ; b, 353 Mézerai. Portrait du Parlement de
Paris
sous Charles VIII, a, 112. Opposition du Parlemen
lement de Paris sous Charles VIII, a, 112. Opposition du Parlement de
Paris
à admettre des Comédiens venus d’Italie, surnommé
actere de ce Philosophe, 128 Noailles (le Cardinal de) Archevêque de
Paris
, b, 354 Noblesse. D’où elle dérive, & ce qu’
ons de Montesquieu, d’Otman, & d’Oldemburge, a, 109 Parlement de
Paris
. Son portrait sous Charles VIII par Mezerai, a, 1
n comparés à la description que M. Dorat a faite de l’air envenimé de
Paris
, 338. Défauts de nos Pieces de Théatre, tant pour
position pour les vrais besoins politiques, a, 608 U Université de
Paris
. Extraits de ses Statuts sur la distribution des
d’un autre grand théâtre. Certes sous le déspotisme des ministres de
Paris
, et des gentilshommes de la chambre, l’établissem
de souffrir un plus grand nombre de théâtres. Quel seroit ce danger ?
Paris
seroit bientôt rempli de théâtres. Qu’importe ? C
ance et la paresse à devenir actives et laborieuses ; et il y a, dans
Paris
, une multitude d’hommes qui ne sont jamais occupé
du théâtre, et dans quelques lettres au Journal et à la Chronique de
Paris
. L’article XI de la Déclaration des droits ne pro
ce sujet. Voyez aussi quelques lettres imprimées dans la Chronique de
Paris
. 12. MM. Les comédiens François n’ont-ils pas f
uérir, et l’on ne sauroit trop admirer le génie fécond du ministre de
Paris
, pour trouver le moyen d’accorder de nouveaux pri
de jouer des pieces en musique. Ils viennent d’obtenir du ministre de
Paris
la levée de cette défense. Et certes, ils doivent
M. Champein. Les comédiens de la cour ne pouvoient pas s’approcher de
Paris
de plus de deux lieues, ils jouoient à Saint-Clou
en obtenu. 23. Adresse de MM. les comédiens François à la commune de
Paris
, page 10, l. 19. 24. On lit dans un article du
de Paris, page 10, l. 19. 24. On lit dans un article du Journal de
Paris
, du 18 octobre, relatif à la censure du théâtre,
e. Comme il est parlé dans le Cas qui suit d’un Arrêt du Parlement de
Paris
du 9. Décembre 1541. qui défendit aux Maîtres de
assion qui fut fondée avant l’année 1402. en l’Eglise de la Trinité à
Paris
, rue Saint Denis. Les Confrères représentaient en
année 1693. quelques difficultés s’étant formées dans une Paroisse de
Paris
touchant la Comédie, on jugea à propos de consult
une autre lettre qu’il écrivit à M. de Harlay pour lors Archevêque de
Paris
: et c’est ce qui produisit tous ces Ouvrages qui
Comédie. CAS I. I. La ComédieCe cas a été imprimé séparément à
Paris
chez J.B. Coignard en 1694. comme une chose de so
Conciles Concil. Burdigal. ann. 1584. du dernier siècle. Le Rituel de
Paris
ne demande rien davantage que cela dans l’endroit
u les Comédiens aient été traités plus favorablement. L’Université de
Paris
dans son Statut 19. rapporté par Fontanon, veut q
hors de l’Université, et qu’on les renvoie au-delà des Ponts Univers.
Paris
. Stat. 19. Apud Font. tom. 4. pag. 436. « Ut omni
III. dans l’année 1577. au rapport de Mezeray, jamais le Parlement de
Paris
ne le voulut faire : « Au contraire, dit cet Aute
néral, et ayant égard aux conclusions par lui prises, le Parlement de
Paris
fit défenses à tous Comédiens, tant Italiens que
rop libres qu’on y mêle. Ce fut pour cette raison que le Parlement de
Paris
, par son Arrêt du 9. Décembre 1541. défendit aux
ons, les Bateleurs, les Comédiens, et les Farceurs. Dans le Rituel de
Paris
imprimé en 1645. pag. 108. il est ordonné qu’on r
s Bouffons, les Bateleurs, les Comédiens et les Farceurs. L’Eglise de
Paris
avant ce dernier Rituel, avait commencé à faire d
les Comédiens. Messire Jean de Gondi qui fut le Premier Archevêque de
Paris
en 1623. avait signalé son zèle contre les Comédi
omine Christiano indignam non ejuraverit. » le Synode de l’Eglise de
Paris
, fit des Statuts très saints, et particulièrement
réformer entièrement. Saint Isidore de Damiette Isidor. Pelus. edit.
Paris
. an. 1585. pag. 638. Epist. 338. « Scenicis summu
l ne reste presque plus de divertissement dans une grande Ville comme
Paris
, où il y a beaucoup de gens qui sont occupés à de
e la Coste. de Blanger. Boilnet. Ce cas a été imprimé séparément à
Paris
chez J.B. Coignard en 1694. Lactantius lib. 6. I
d. « Demonstrabit publica incommoda in populum dimanate. » Univers.
Paris
. Stat. 19. Apud Font. tom. 4. pag. 436. « Ut omni
at. « Ex defectu Sacramenti vel lenitatis. » Isidor. Pelus. edit.
Paris
. an. 1585. pag. 638. Epist. 338. « Scenicis summu
eix Historien. Nous lisons dans l’Office de S. Louis, du Bréviaire de
Paris
; que ce Saint Prince chassa de son Royaume les B
de Harlay Archevêque de Paris l’a fait imprimer en 1674. Le Rituel de
Paris
, imprime en 1654. porte la même défense. Je ne ra
n publie au Prône de tous les Dimanches, dans toutes les Paroisses de
Paris
, pour faire souvenir les peuples, que c’est encor
e Fêtes, pendant le Service divin. Aussi pour empêcher les fidèles de
Paris
, de se laisser entraîner par les compagnies aux S
issement dont la forme étoit indifférente. A peine a-t-on trouvé dans
Paris
une seule maison pour l’y donner. Les Magistrats
n ont de construites à leurs dépens ? Un Théâtre bâti par la Ville de
Paris
, illustreroit autant la Préture, que mille autres
. En la même année 1657. M. le Curé de saint Germain de l’Auxerrois à
Paris
, consulta les Docteurs de Sorbonne sur les Comédi
re dans cet Ouvrage. La Lettre de ce prétendu Théologien ayant paru à
Paris
durant le Carême, plusieurs Prédicateurs zélés po
e me pouvoir mieux adresser qu’à celui qui avait été mon Confesseur à
Paris
, qui passait pour un célèbre Professeur en Théolo
a. [NDUL = note de Ch. Urbain et E. Levesque, L’Eglise et le théâtre,
Paris
, Grasset, 1930] Duc : doge. b. [NDUL] Boursault
de l’abbé d’Aubignac : Dissertation sur la condamnation des théâtres,
Paris
, 1666, in-12, p. 100. Le fait a été révoqué en do
p; plus de vingt dans tous les coins & recoins, & environs de
Paris
. C’est la fievre des Abdérites qui les faisoit co
ar deux filles, dont l’une est Sultane favorite, & des Acteurs de
Paris
. La salle est grande & bien ornée. Il n’y avo
chassés pour avoit joué la fausse Prude, où elle s’est reconnue. Tout
Paris
regrette cette perte, qui a pensé être suivie de
rs d’une fille étrangère extrêmement belle qui parut quelques jours à
Paris
& fut courue avec fureur, mais qui, toujours
ir de pendant aux grotesques de Calot. On donnoit depuis long-temps à
Paris
sur le Pont-neuf les estampes de ces graves perso
t. 44. On attendoit des miracles du Zoroastre de Cahusac. La ville de
Paris
a depuis quelque mois la direction de l’opéra. M.
la mémoire de M. Crebillon seroit placé dans la Bibliotheque du Roi à
Paris
. A Versailles, 1 juin 1765. Je ne sais si les réf
Arrêt du Parlement de
Paris
autorisant, après avis du Roi, les représentation
cv, et mettre ès mains du trésorier desdits pauvres de cette ville de
Paris
, la somme de mille livres tournoiscw c’est assavo
abord du prodigieux succès qu’il a parmi nous. Serait-il possible que
Paris
, le séjour des Arts & des Lettres, où règnent
on amusement qu’elle chérit le genre que vous préconisez. Quoi ! tout
Paris
ne voit dans l’Opéra-Bouffon que des bagatelles f
J’entens un des énnemis de ce précieux Théâtre s’écrier ici, que
Paris
ne chérit ses Poèmes que par caprice & par lé
es sujettes aux défauts, à la légèreté qui régnent ordinairement dans
Paris
? Non assurement ; le Négociant s’occuppe de son
e, est donc une preuve de son mérite ?… La Province se plaît à copier
Paris
; elle est toujours le singe de ses actions ; ain
s, qu’on trouve dans le calendrier des spectacles, il paroît que dans
Paris
seul il y a deux cents cinquante femme employées,
la de la tolérance des Courtisannes de Rome & de toute l’Italie ;
Paris
& la France ont des milliers d’Actrices, en f
et à quelque Inspecteur général de la police du théatre qui demeure à
Paris
, & qui exerce par ses Lieutenans, amateurs in
rovince n’avoit point alors de théatre, il ne faisoit que de naître à
Paris
, sous les auspices éminens de Richelieu. Depuis q
iacres aura bien-tôt les mêmes prérogatives ; il est vrai que comme à
Paris
le sexe a plus de liberté, on y a moins besoin de
es de province ne leur sont pas permis ; ils sont bien subalternes. A
Paris
même le théatre Italien, celui de la Foire, des B
s ; ce qui n’est pas sans vrai-semblance. Ce Prince, autrefois venu à
Paris
, pouvoit avoir pris du goût pour les spectacles,
de la scène & du monde, vivoit obscurement à la Villette près de
Paris
. Sa mort arrivée le 16 juin 1767 n’a point fait d
, & un poëme de sa façon ; ce théatre n’est pas ce qu’on entend à
Paris
par le théatre Italien, dont on vient de donner l
envois & de retours, aujourd’hui francisée, s’est enfin établie à
Paris
, apparemment pour toujours, & n’a point pénet
nt balancé par l’aréopage dramatique, il vaut bien mieux que celui de
Paris
: il est composé des personnes d’un mérite disti
qui jugeront avec connoissance, & sans partialité ; au lieu qu’à
Paris
c’est une troupe de comédiens & de comédienne
s coëffures, des pompons, &c. ainsi se formeront, à Parme comme à
Paris
, d’excellents citoyens, & acteurs de théatre,
c’est un édifice singulier, il est d’une grandeur extraordinaire ; ni
Paris
, ni Venise-n’en ont d’aussi vaste ; mais il est s
eurs de rafraichissement en Été ; on n’a rien fait encore de pareil à
Paris
, on s’est borné à éléver le parterre à niveau du
Après avoir brillé au-delà des Monts, elle vint faire les délices de
Paris
& de la Cour, & s’en retourna dans sa Pat
st parvenue aux honneurs que reçut Andreini. L’academie des Intenti à
Paris
crut s’illustrer en s’agrégeant, cette Muse, &
ienne : on verra le théatre Italien très-Francisé, en s’établissant à
Paris
, il ne différe guere du théatre François. Les nom
t ouvertement tolérée par les loix & les magistrats ; car quoique
Paris
& Londres ne soient pas moins corrompus que N
culières aux Païens, que le Christianisme n'en aitQuis quæso. Facult.
Paris
. scripta Prælatoris Regni Franciæ ad condamnandum
pta Prælatoris Regni Franciæ ad condamnandum festum fatuorum, impres.
Paris
. 1611. Ex Epist. souffert de semblables durant pl
trionibus inditum. » Tit. Liv. 7. Plut. in Roman. Quis quæso. Facult.
Paris
. scripta Prælatoris Regni Franciæ ad condamnandum
pta Prælatoris Regni Franciæ ad condamnandum festum fatuorum, impres.
Paris
. 1611. Ex Epist. a. [NDE] Mot qui n'existe plus
ernois, daterait de 1692 (Œuvres en prose. Tome IV, éd. René Ternois,
Paris
: Société Française des Textes modernes, 1969, p.
uel mystére fut joué à Angiers moult triumphamment. Et dernièrement à
Paris
. Avec le nombre des Personnages qui sont à la fin
igé bien et deuement selon la vraye vérité. Et joué par personnages à
Paris
en l’Hostel de Flandres, l’an Mil cinq cens XLI.
res causés par ces sortes de Jeux, furent représentés au Parlement de
Paris
d’une manière très vive et très forte en 1541 par
nt Charles, et par d’autres Conciles5 du dernier siècle. Le Rituel de
Paris
ne demande rien davantage que cela dans l’endroit
es Comédiens aient été traités plus favorablement. 75L’Université de
Paris
dans son Statut 19 rapporté par Fontanon, veut qu
Henry III, l’an 1577. « Au rapport de Mezeray, jamais le Parlement de
Paris
ne le voulut faire ; au contraire il rebuta lesdi
énéral et ayant égard aux Conclusions par lui prises, le Parlement de
Paris
fit défenses à tous Comédiens tant Italiens que F
rop libres qu’on y mêle. Ce fut pour cette raison que le Parlement de
Paris
, par son Arrêt du 9 Décembre 1541, défendit aux M
uffons, les Bateleurs, les Comédiens, les Farceurs. Dans le Rituel de
Paris
, imprimé en l’an 1654, page 108, il est ordonné q
s Bouffons, les Bateleurs, les Comédiens et les Farceurs. L’Eglise de
Paris
, avant ce dernier Rituel, avait commencé à faire
les Comédiens. Messire Jean de Gondy qui fut le premier Archevêque de
Paris
en l’année 1623, avait signalé son zèle contre le
l ne reste presque plus de divertissement dans une grande Ville comme
Paris
, où il y a beaucoup de gens qui sont occupés à de
strabit publica incommoda in populum dimanare. 75. [NDA] Universit.
Paris
. Statut. 19 apud Font. Tom. 4, p. 436 [Statut 19
s. Statut. 19 apud Font. Tom. 4, p. 436 [Statut 19 de l’Université de
Paris
, dans Antoine Fontanon, Edicts et ordonnances des
et ordonnances des Rois de France, depuis S. Loys jusques à present ,
Paris
, 1611 (1e éd. 1580), tome 4 page 436]. « Ut omnis
defectu Sacramenti vel lenitatis. 100. [NDA] Isidorus Pelus. edit.
Paris
, anni 1585, p.638. Ep.336. [Isidore de Péluse, Ep
i 1585, p.638. Ep.336. [Isidore de Péluse, Epistolarum libri III, éd.
Paris
, 1585, p.638, Epître 336] « Scenicis summum hoc s
(dans éd. De interpretatione divinae Scripturae epistolarum libri V,
Paris
1638), livre 5, épître 185, selon la version grec
mystère en décembre 1541. Voir le document « Affaire du Parlement de
Paris
, 1541 », dans le corpus Haine du théâtre. d. [N
’Académie de Peinture, dont nous avons parlé, a cru se faire un nom à
Paris
, en faisant paroître Henri IV sur le Théatre d’Ar
Arlequin, par un drame lyrique, la Bataille d’Ivri ou la Réduction de
Paris
, en prose, mêlé de vers & d’ariettes, espece
ogis, qu’il ne connoît pas, le détail de ses projets, de la guerre de
Paris
, des mesures qu’il prend. Femme dont le mari est
t produit le Courier de Henri IV, la Bataille d’Ivri, la Réduction de
Paris
, &c ? L’imagination la plus bornée n’est-elle
traits. La Bataille d’Ivri, la Conjuration de Biron, la Reddition de
Paris
le font admirer ; sa bonté, sa franchise, sa cord
ron pourroit figurer avec celle d’Auguste dans Cinna, la reddition de
Paris
feroit une Venise sauvée : mais il faudroit beauc
oment de tout perdre ; obligé de fuir, de lever le siége de Rouen, de
Paris
, devant Farnese qui se jouoit de lui, manquant de
nsi qu’au Cardinal Tolet, pour qui il fit faire un Service solemnel à
Paris
& à Rouen : Prélats dont tout le monde connoî
tit fait on n’a-pas le temps de les violet. Il transporte la scène de
Paris
à Madrid, de Madrid à Paris : point d’unité de li
de les violet. Il transporte la scène de Paris à Madrid, de Madrid à
Paris
: point d’unité de lieu. Il fait faire ce double
bras de sa maîtresse, & vient cruellement tourmenter le peuple à
Paris
, par les horreurs de la guerre & la famine ;
son grand-père. Ce titre lui fut donné solemnellement par la ville de
Paris
, & adopté par tout le royaume. L’Académie, pe
ngueville ; l’autre du Spectateur Anglois, tom. III. On vit briller à
Paris
, dit le Cardinal, un prodige de beauté sur qui se
pide, Iphigénie à Aulis, v. 830 (Euripide, VII.2, éd. François Jouan,
Paris
, Les Belles Lettres, 2002). d. [NDE] Plutarque,
Vies des hommes illustres, I, éd. Gérard Walter, trad. Jacques Amyot,
Paris
, Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 195
s. g. [NDE] Prince de Conti, Traité de la Comédie et des Spectacles,
Paris
, L. Billaine, 1666. h. [NDE] Au sujet de la polé
l, De la connaissance des bons livres ou examen de plusieurs auteurs,
Paris
, A. Pralard, 1671, et la réponse que lui apporte
s sur les lettres et sur l’histoire, avec des scrupules sur le style,
Paris
, C. Blageart, 1683. i. [NDE] Voir, sur ce parado
alutaire, Le réquisitoire contre le théâtre dans la France classique,
Paris
, Honoré Champion, 1997, p.142. j. [NDE] Plutarqu
Vies des hommes illustres, I, éd. Gérard Walter, trad. Jacques Amyot,
Paris
, Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 195
e, voir Anne Teulade, Le Saint mis en scène. Un personnage paradoxal,
Paris
, Cerf, coll. Littérature, 2012. aa. [NDE] Cornei
ns le Discours de la tragédie (Oeuvres complètes, éd. Georges Couton,
Paris
, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1987, p. 159).
uripide, II, éd. Louis Méridier revue et corrigée par François Jouan,
Paris
, Belles Lettres, 1997). as. [NDE] Voir, par exem
lettre. « Dep. 41. la manière qu’on joue à présent les Comédies dans
Paris
, elles sont sages, modestes et bonnes. » M. Corn
ienséance. Pour une Comédie sainte, ou deux qu’on a representées dans
Paris
en quarante ans, l’on en a joué des centaines, qu
ela ne sera pas difficile à prouver. L’on sait le bruit qu’il y eut à
Paris
dans la Paroisse de saint Germain l’Auxerrois en
faire en Sorbonne. Les Docteurs de la sacrée Faculté de Théologie de
Paris
soussignés qui ont été consultés pour savoir si l
pour savoir si les Comédies que représentent les Comédiens Italiens à
Paris
, peuvent être permises. Ayant vu une partie des a
n ceux qui les représentent, et en ceux qui y contribuent. Déliberé à
Paris
ce 25. jour de Novembre 1657. et signé. PEREYRET
ent très dangereuses. Les Comédiens ne représentaient autrefois dans
Paris
que des Histoires Saintes, telles que sont, par e
absolus du Roi. Voici un fait rapporté dans l’histoire de la ville de
Paris
(Tom. 2. pag. 727.), et dans l’histoire du Théâtr
dans son établissement ; elle fut chassée de cinq ou six quartiers de
Paris
, où elle avait successivement acheté des maisons,
ans les Actrices ? Nous n’en avons vu citer aucun. En 1759 il y eut à
Paris
un procès singulier. Ramponeau, Cabaretier de la
des théâtres, et en constatent le désordre. Règlement du Parlement de
Paris
du 12 novembre 1543, rapporté par Fontanon (Tom.
que ce soit, sous peine du fouet et du bannissement, et au Prévôt de
Paris
et tous Seigneurs justiciers de le permettre. » I
du monde était si grande, « que les quatre meilleurs Prédicateurs de
Paris
ensemble n’en avaient pas autant ». Il ajoute : L
rançaise, n’a été légalement autorisée dans aucun Parlement. Celui de
Paris
rejeta constamment les lettres patentes qu’on lui
qu’il fit pour la Clairon, et qui fut brûlé par arrêt du Parlement de
Paris
, se plaint beaucoup des Prêtres de S. Sulpice, pa
en ont-ils l’idée ? 4.° On leur refuse le mariage. Les Conférences de
Paris
sur le Mariage (Tom. 1. L. 2. T. 4. N. 3.) y sont
ne renoncent publiquement à leur profession criminelle. Les Curés de
Paris
observent religieusement cette conduite, qui est
re Pensionnaire du Roi. Il y eut quelque mouvement à l’Officialité de
Paris
sur la validité de ce mariage ; mais il fut confi
C. 7. de reform. Matrim.), ont paru si nécessaire aux Conférences de
Paris
(Tom. 3. L. 4. C. 6. §. 10.), qu’elles décident l
Daguesseau, alors Avocat général. Ce fameux Acteur vint de Florence à
Paris
avec Laurenza Izabella, qu’il disait sa femme. «
plus criantes profanations, tous les rituels sont uniformes, Romain,
Paris
, Rouen, Chalons, etc. Cette règle est si bien rec
de Lille, elle est interdite par le Premier Président du Parlement de
Paris
, Guillaume de Lamoignon. Puis, l’archevêque de Pa
du Parlement de Paris, Guillaume de Lamoignon. Puis, l’archevêque de
Paris
, Hardouin de Péréfixe, promulgue une ordonnance f
illent pas tous les jours à la comédie. Les étrangers, qui viennent à
Paris
, sont fort étonnés de voir des écclésiastiques à
oit, le P. Le Brun resta maître du champ de bataille. L’archevêque de
Paris
, Noailles, exigea du P. Caffaro une rétraction au
ur. Ce plan, dit M. Le Franc, proposé à Londres, devroit s’exécuter à
Paris
. C’est ainsi que cet auteur, qui posséde si bien
. Excommuniés ou non, il dit qu’ils sont partout méprisés, & qu’à
Paris
même, où ils ont plus de décence & de considé
ent éprouvé le même traitement que les comediens Italiens, chassés de
Paris
en 1694, pour avoir joué des pièces licentieuses.
Lettre à un père de famille, sur les petits spectacles de
Paris
. Q uels éloges n’avez-vous pas mérités, Monsi
re fils a atteint quinze ans, et votre fille quatorze, vous revenez à
Paris
pour leur faire acquérir à l’un et à l’autre ces
gouvernement vous jettent dans des doutes que votre longue absence de
Paris
vous rend pour le moment difficiles à éclaircir p
x, et la mort. Eh bien ! tous les jours sept à huit mille habitans de
Paris
répandus dans les salles de Janot, d’Audinot, de
tions aux petits Spectacles, dans ces trous infects où la canaille de
Paris
, trop imitée par les autres classes de citoyens,
nfans. Les premiers sont l’espèce d’hommes la plus vile qu’il y ait à
Paris
. Comme le mépris qu’on a en France pour la profes
avoir tant d’infamies. Dans vos provinces vous ne méprisez pas assez
Paris
. L’histoire nous apprend, en rougissant, que l’af
, de Parme, de Milan, pour en fondre toutes les beautés dans celui de
Paris
, à qui l’on doit solemnellement donner le glorieu
comédie Françoise ; il l’obtint aux mêmes conditions, que la Ville de
Paris
en fera tous les frais ; que le théâtre fera corp
faitement ; c’est aujourd’hui un très-beau théatre. Garrik est venu à
Paris
, & y a vu certains usages qu’il a voulu intro
oduire en Angleterre, entr’autres on n’est point reçu à la comédie de
Paris
, en quelque tems de la réprésentation que l’on vi
cteur de changer cet usage, & de faire payer tout le prix comme à
Paris
. Il fit promulguer cette loi sur son théâtre au c
aissons ce problême à résoudre aux algébristes des deux accadémies de
Paris
& de Londres. Dans toutes les Réligions vrai
uelque puissante considération pour le faire venir en poste de Lyon à
Paris
, dans la plus fâcheuse saison de l’Hiver, et cont
douin Saint-Jacques, était doyen de la célèbre Faculté de médecine de
Paris
et il était lui-même médecin. Il choisit le théât
farceurs le 7 avril 1625 ; voir Alan Howe, Le Théâtre professionnel à
Paris
, 1600-1649, Paris, 2000, p. 79-80 et 270-271. Gui
l 1625 ; voir Alan Howe, Le Théâtre professionnel à Paris, 1600-1649,
Paris
, 2000, p. 79-80 et 270-271. Guillot-Gorju épousa
aux vertus de l’Auteur & à l’Ouvrage. Dans une nouvelle édition,
Paris
1767, on a mis à la suite, un petit Traité sur le
, Italiens & François pour & contre la Comédie & l’Opéra.
Paris
, 1687. *. Voy. maximes & réflex. sur la Co
le 4e. Traité, pag. 217-265. *. Traité de la Com. & des Spect.
Paris
, 1667. **. Discours sur la Comédie, 2 e ed. 17
e de la Villenie, artiste du théâtre de la Porte Saint-Martin, mort à
Paris
, le 15 octobre 1824, d’une attaque d’apoplexie fo
foudroyante. On connaît les scènes tumultueuses qui eurent lieu dans
Paris
, par le refus que fit le curé de Saint-Laurent, d
le qu’avec l’agrément de la Police, on joue publiquement au milieu de
Paris
une Comédie, où, dans l’appartement d’un oncle qu
onnage principal du Bourgeois Gentilhomme, comédie-ballet de Molière,
Paris
, R. Ballard, 1670. co. [NDE] J.-J. Rousseau, op.
cit., p. 51. cp. [NDE] Molière, George Dandin, ou Le mari confondu,
Paris
, J. Ribou, 1669 [repr. 1668], Acte I, scène 1, p.
seau, op. cit., p. 38. cw. [NDE] L. de Boissy, La Vie est un songe,
Paris
, P. Prault, 1732, Acte II, scène 4, p. 31-32. c
J.-J. Rousseau, op. cit., p. 57. dd. NDE Molière, Le Misanthrope,
Paris
, J. Ribou, 1667 [repr. 1666], Acte I, scène 1, p.
uvoir supporter. » ds. [NDE] J.-F. Regnard, Le Légataire universel,
Paris
, P. Ribou, 1708. dt. [NDE] J.-J. Rousseau, op. c
pe du Roi sont les plus débauchées, et imitent parfaitement celles de
Paris
. Elles ont dix-huit cents livres par an, et des é
vres par an, et des étoffes pour s’habiller ; mais à Ispahan, comme à
Paris
, ce sont leurs moindres profits, les présents de
faveur de la comédie, de ce que M. de Beaumont, devenu Archevêque de
Paris
, confirma par son silence la décision qu’il avait
monde. On ne dira pas qu’un autre Beaumont, aujourd’hui Archevêque de
Paris
, lui soit plus favorable. Rendons justice au Cler
de Médicis, épouse d’Henri IV. Ce Poète la suivit, quand elle vint à
Paris
, il en était amoureux, et croyait sans doute que
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