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1 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
oit-on pas plûtôt pour des Disciples d’Epicure que pour des enfans de Jesus-Christ & de son Eglise ? Enfin vous avés renoncé à S
e voici : c’est de vous demander à vous-mêmes : sont-ce des œuvres de Jesus-Christ , ou des œuvres de Satan ? car il n’y a point de m
eposions, tout doit être d’une telle nature que nous le rapportions à Jesus-Christ nôtre chef : sans cela ce ne sont point ses œuvre
is ou défendus ? Pouvés-vous dire que vous y assistés pour l’amour de Jesus-Christ  ? Cette œuvre profane & de l’invention de Sat
an, peut-elle trouver sa place parmi les œuvres pures des Chrétiens ? Jesus-Christ peut-il entrer dans cette maniere de délassement 
sirs ? Un Dieu mort en croix se trouveroit sur ces infames theatres ? Jesus-Christ animeroit une bouche qui prononce tant de paroles
Christ animeroit une bouche qui prononce tant de paroles impudiques ! Jesus-Christ donneroit le mouvement à des levres qui ne debite
oit le mouvement à des levres qui ne debitent que des fables ? Quoi ! Jesus-Christ formeroit ces sons d’une voix ou d’un instrument
ui ravit tant d’Adorateurs, qui seduit tant d’ames innocentes. Quoi ! Jesus-Christ paroîtroit au milieu de ces suppôts de Satan, &am
roit être adoré en la personne d’un Acteur, ou d’une Actrice infame ! Jesus-Christ inspireroit une doctrine dont le poison entre par
lantes verités de l’Ecriture, ou par la meditation des souffrances de Jesus-Christ . Or si ces œuvres ne peuvent se rapporter à Jesus
uffrances de Jesus-Christ. Or si ces œuvres ne peuvent se rapporter à Jesus-Christ , ce ne sont donc point ses œuvres, & si ce ne
; que vous violés témerairement les promesses que vous aviés faites à Jesus-Christ & à son Eglise dans vôtre Baptême. Ce ne sont
sens, la vie de la Foi, que vous avés embrassées, la conformité avec Jesus-Christ , qu’il exige de vous comme son membre & son e
s viendriés souvent au pied du Tribunal vous declarer coupable devant Jesus-Christ vôtre Juge, dont le Confesseur tient la place. Qu
se sauveroit selon vous, ce qui pourtant est contraire aux paroles de Jesus-Christ , qui dit qu’il y aura peu d’élus,* pauci verò el
nos têtes, que le tems est passé, & que l’éternité commence : que Jesus-Christ va paroître pour nous juger selon nos œuvres, &am
mp; où je vous prie de vous mettre dès maintenant pour un moment : si Jesus-Christ , dis-je, paroissoit dès à present pour faire la t
’eux n’est en grace. Où êtes-vous donc maintenant, Justes aux yeux de Jesus-Christ  ? Paroissés & vous separés des Pécheurs : fro
ns de cœur & d’affection de son commerce, pour ne s’attacher qu’à Jesus-Christ , ne suivre que ses Loix, ne craindre que lui, &am
2 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 10
 Rationibus : 1. Ob sanctitatem, etc.) Vous me direz : Je ne suis pas Jésus , je ne suis pas un saint, je n’ai pas l’ambition
ez saints ; votre vocation est d’être saints ; Dieu nous a choisis en Jésus-Christ avant tous les siècles pour être saints et immacu
s d’être saint, ce sont deux choses incompatibles. Vous n’êtes pas le Christ  ; non, mais vous êtes chrétien, et en cette quali
comme j’ai fait. Son Apôtre nous dit : Celui qui n’a pas l’esprit de Jésus-Christ n’est pas à lui16 ; peut-on être sauvé sans appar
Jésus-Christ n’est pas à lui16 ; peut-on être sauvé sans appartenir à Jésus-Christ  ? Quand on vous a baptisé, vous avez renoncé à ce
nté de fausser les promesses que vous avez faites si solennellement à Jésus par la bouche de vos parrains et de vos marraines
3 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
, ne vit que selon Dieu et pour Dieu : un chrétien est un disciple de Jésus-Christ , qui, tout occupé de ce divin modèle, doit le ret
e que la lumière l’est des ténèbres ; enfin, un chrétien est un autre Jésus-Christ qui le représente, qui l’imite dans toutes ses ac
r des enchantements diaboliques. « Or, convient-il à un disciple de Jésus-Christ d’aller autoriser par sa présence des hommes scan
sse et le plaisir ? Un chrétien, qui a promis d’embrasser la croix de Jésus-Christ et de mourir au monde, de faire vivre son Sauveur
riminels ? Un chrétien, obligé par état de ne faire que des œuvres de Jésus-Christ , de rapporter tout ce qu’il fait à Dieu, peut-il
passionnées qu’elles débitent, les spectacles seraient des œuvres de Jésus-Christ  ! » « Jésus-Christ aimerait une bouche d’où sorte
es débitent, les spectacles seraient des œuvres de Jésus-Christ ! » «  Jésus-Christ aimerait une bouche d’où sortent des airs profane
hrist aimerait une bouche d’où sortent des airs profanes ou lascifs ! Jésus-Christ formerait lui-même les sons d’une voix qui corrom
hrist formerait lui-même les sons d’une voix qui corrompt les cœurs ! Jésus-Christ paraîtrait sur le théâtre en la personne d’un act
une actrice effrontée, gens infâmes, même selon les lois des hommes ! Jésus-Christ présiderait à des assemblées de péché, où tout ce
nspirer, à réveiller, à justifier les passions qu’il condamnebb ! » «  Jésus-Christ prendrait part à des divertissements si coupables
ge ? « Si la fréquentation des spectacles ne peut être une œuvre de Jésus-Christ , ou du moins qui puisse lui être rapportée, que p
aptême, et violé les promesses les plus sacrées, qu’il avait faites à Jésus-Christ et à son Eglise. « On ne prétend pas défendre to
es rendre incurables ? Cette conduite s’allie-t-elle bien avec ce que Jésus-Christ nous prescrit dans l’Evangile ? Que deviennent ce
4 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
que j’ai cherché moi-même des temperamens pour sauver ce qu’on doit à Jesus-Christ , sans exposer ces Dames à la raillerie des insens
s enfin il m’a été impossible d’accorder la Comedie avec la morale de Jesus-Christ . Il est vrai, l’Ecriture sainte ne la defend pas
t, que tout Chrêtien a la qualité sainte & venerable de Membre de Jesus-Christ , qu’il doit exprimer dans la conduite de sa vie,
age que vous en faites, vôtre Frere, qui est encore foible, pour qui Jesus-Christ est mort. Or péchant de la sorte contre vos Frere
es, & blessant leur conscience qui est foible, vous pechez contre Jesus-Christ même, qui les a rachetés par son Sang, & à q
mp; celle, que presque tout le monde suit : le royaume des cieux (dit Jesus-Christ ailleurs) se prend par force, & ceux, qui emp
amp; chrétiennes, doivent être faites par le mouvement de la grace de Jesus-Christ , & sur les maximes de l’Evangile : en sorte q
sorte que les actions d’une vie prédestinée doivent avoir la grace de Jesus-Christ  : pour principe, & la doctrine de l’Evangile
s qu’elle fasse reflexion à ce qu’elle dira, si c’est par la grace de Jesus-Christ , & pour se conformer à sa vie, qu’elle est de
es compagnies, & de tous les divertissemens du monde. La grace de Jesus-Christ produit dans les prédestinés une aversion pour to
n le regardoit délors comme un Apostat & un Infidéle. La grace de Jesus-Christ porte les ames, sur lesquelles elle agit, à s’add
mber dans la tentation. Quiconque agit par l’influence de la grace de Jesus-Christ , pratique sans cesse au moins par une intention v
ire : je vous l’offre avec les merites de la vie, & de la mort de Jesus-Christ … Que vous semble-t-il, Madame, de la belle offran
time commune des premiers chrétiens, qui jugeoient selon la morale de Jesus-Christ . On ne croioit pas pouvoir garder le serment &
eme au demon, comme vous avez fait recevant sur les Fonts la grace de Jesus-Christ , & de rechercher maintenant les fausses joies
e de sa profession, si elle assiste à la Comedie ; & une fille de Jesus-Christ se persuade, qu’il n’y a rien de messéant à un si
se rendroit infame en voulant faire la Comedienne, & une fille de Jesus-Christ se conservera l’honneur de son adoption en se div
de l’amitié de Madame son Epouse, elle est aussi le fruit du Sang de Jesus-Christ  ; que, si elle est noble par sa naissance, elle e
qui s’y feront, feront imputés à plusieurs, qui en répondront tous à Jesus-Christ , auquel ces ames pecheresses ont couté tant de Sa
uis toujours avec le même zele MADAME, Vôtre Très-humble Serviteur en Jesus-Christ . Verecundiam passa plus interdixit, qui tacuit ;
5 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
u goût de la science qu’il professe, et de l’esprit de la Religion de Jésus-Christ , pour entreprendre la défense de ces spectacles,
la sainteté des mœurs et à la pureté du cœur, que nous veut inspirer Jésus-Christ par ses paroles et par ses exemples. Comment un T
i d’un homme tant soit peu versé dans la connaissance de la Morale de Jésus-Christ , et dans celle du cœur de l’homme. Enfin c’est un
rait sans doute que nous aurions bien perdu le goût de la Religion de Jésus-Christ . Pour revenir au Docteur Fabricius et à son ouvra
tant soit peu de ce que j’ai déja dit ; de l’esprit de la Religion de Jésus-Christ , et qu’ils eussent lû en Disciples les Pères de l
ce qu’un véritable Théologien qui a une juste idée de la Religion de Jésus-Christ , trouve sans peine. Il ne sue point dans une long
6 (1675) Traité de la comédie « XXX.  » p. 324
t Paulin, que par la grâce de ce sacrement ils ont été ensevelis avec Jésus-Christ , qu'ils ont fait vœu d'embrasser sa Croix, de n'ê
, de n'être plus vivants à eux-mêmes ni au monde, mais de faire vivre Jésus-Christ en eux. On ne considère pas que la vie Chrétienne
être non seulement une imitation, mais une continuation de la vie de Jésus-Christ ; puisque c'est son esprit qui doit agir en eux, e
nt dans leur cœur les mêmes sentiments qu'il a imprimés dans celui de Jésus-Christ . Si on regardait la vie Chrétienne par cette vue,
7 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXX.  » p. 491
. Paulin, que par la grâce de ce sacrement ils ont été ensevelis avec Jésus-Christ ; qu'ils ont fait vœu d'embrasser sa croix, de n'ê
, de n'être plus vivants à eux-mêmes ni au monde, mais de faire vivre Jésus-Christ en eux. On ne considère pas que la vie chrétienne
être non seulement une imitation, mais une continuation de la vie de Jésus-Christ , puisque c'est son esprit qui doit agir en eux, e
dans leur cœur les mêmes sentiments qu'il a imprimés dans le cœur de Jésus-Christ . Si on regardait la vie chrétienne par cette vue,
8 (1675) Traité de la comédie « XXXI.  » pp. 325-326
XXXI. Toutes nos actions sont dues à Jésus-Christ , non seulement comme à notre Dieu, mais comme à c
rapportées à sa gloire et qu'elles témoignent que nous voulons imiter Jésus-Christ crucifié, que nous aimons ce qu'il a aimé, et que
u et des hommes, que de dire que l'on va à la Comédie pour l'amour de Jésus-Christ  ? Oserions-nous lui offrir cette action, et lui d
e action qu'on n'oserait offrir à Dieu, toute action dont l'esprit de Jésus-Christ n'est point le principe, toute action que l'on ne
9 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
t ; sed veni, impone manum tuam, et vivet, etc. » Matth. 9. « Comme Jésus parlait aux troupes, un Prince de la Synagogue vi
endre l’esprit ; mais venez, touchez-la de votre main, et elle vivra. Jésus se leva, et le suivit accompagné de ses Disciples
le-même, si je puis seulement toucher son vêtement, je serai guérie.) Jésus alors se retournant, et la regardant, lui dit : M
, votre foi vous a sauvée ; et à l’heure même cette femme fut guérie. Jésus étant arrivé à la maison de ce Prince de la Synag
de, selon les pécheurs. La condamnation de ces divertissements, selon Jésus-Christ . C’est le sujet de cet Entretien. I. Quand je par
les divertissements profanes ; ce serait assez pour les condamner que Jésus-Christ leur a donné tant de fois une éternelle malédicti
ernellement avec les démons. Le grand principe qui nous fait voir que Jésus-Christ condamne les divertissements mondains, est qu’il
ter sa vie souffrante. Or est-ce porter sa croix, est-ce ressembler à Jésus-Christ crucifié, que d’être ornée comme une idole pour a
es adorations d’une infinité d’impudiques ? Est-ce être crucifié avec Jésus-Christ , que d’éclater en des ris et en des immodesties i
10 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — I. Fin principale de l’Incarnation du Verbe. » pp. 5-6
nous espérons, & de l’avénement du grand Dieu & notre Sauveur Jesus-Christ . Développons ces importantes vérités. Un vrai Ch
tant que d’être chassé de cette nation sainte qui est la conquête de Jesus-Christ , & de rentrer dans les fers de l’Ange superbe
s ou moins grand, pour entrer dans le Royaume des cieux. Voilà ce que Jesus-Christ est venu faire dans le monde ; embrâser les cœurs
e monde, les passions se liguent ensemble pour s’opposer à l’œuvre de Jesus-Christ dans son cœur. C’est pour le faire triompher d’en
11 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
, qu’on ne peut se sauver si l’on ne devient disciple et imitateur de Jésus-Christ . Or l’on ne le devient qu’autant qu’on aime ses m
’on s’y attache, et qu’on en fait la règle de toute sa conduite : car Jésus-Christ étant la vérité essentielle, il doit aussi être l
ebitis et flebitis. » Lucæ 6. 25. Si donc nous prétendons régner avec Jésus-Christ , il faut marcher sur ses pas, et se résoudre à em
archer sur ses pas que d’aller à la Comédie ? Est-ce là l’exemple que Jésus-Christ vous a laissé, lui qui n’a jamais ri, et que nous
me. Aller donc après cela à la Comédie, c’est renouer les chaînes que Jésus-Christ avait brisées, et c’est rentrer, à l’égard du dia
engage les Chrétiens à la pureté interieure de l’âme. C’est pourquoi Jésus-Christ dit, que quiconque regardera une femme avec un ma
s et éclairées : mais au contraire, il est recherché avec grand soin. Jésus-Christ crie dans l’Evangile, que quiconque regardera une
éanmoins un Chrétien, soit qu’il n’ajoute point de foi aux paroles de Jésus-Christ même, soit qu’il les méprise, n’apperçoit aucun b
arriver. Cela supposé, je dis 1. Que le temps n’est pas à eux, mais a Jésus-Christ , qui le leur a mérité par l’effusion de son Sang,
les ténèbres ne vous surprennent. » Ainsi chacun se doit dire ce que Jésus-Christ disait lui-même, tandis qu’il était sur la terre 
tuer les âmes. Tous les Chrétiens ensemble ne font qu’un corps, dont Jésus-Christ est le chef, et le saint Esprit l’âme. Peut-on do
ne serait pas l’aimer. Or Dieu est le véritable père des Chrétiens ; Jésus-Christ est l’époux de leurs âmes, et on les voit cependa
12 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXI.  »
XXXI. Toutes nos actions sont dues à Jésus-Christ , non seulement comme à notre Dieu; mais comme à c
ortées à sa gloire et qu'elles témoignent que nous sommes amateurs de Jésus crucifié, que nous aimons ce qu'il a aimé, et que
u et des hommes, que de dire que l'on va à la Comédie pour l'amour de Jésus-Christ ? Que si cette disposition est essentielle au Chr
13 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
pter, je ne dirai pas le fardeau, mais la douceur et la consolation ! Jésus-Christ n’est point venu bouleverser la société, mais la
ère, de toute lumière, et ne conservant que la tradition de la vie de Jésus , ont encore exagéré les doctrines que ses discipl
la société jusque dans les déserts. Comme si, pratiquer la morale de Jésus , morale qui n’est que l’accomplissement des devoi
riomphé sous Constantin, le christianisme n’était déjà plus la loi de Jésus , mais seulement la religion de ces anachorètes et
ricide envers son filsa ?…. Est-ce par la prédication de la morale de Jésus  ? Non, certes ! mais par une condescendance coupa
e condamnant avec raison, car toutes deux ont dénaturé la religion du Christ , et déserté sa morale pour se partager les royaum
mme à la main. Ils avaient espéré qu’à cette nouvelle résurrection du Christ parmi nous, apôtres nouveaux de sa loi, ses minis
sumée, en un mot, dans les commandements de Dieu et dans la morale de Jésus-Christ . Vain espoir ! Illusion fantastique d’âmes pures
ire tomber dans le péché, et nous précipiter dans l’abîme ?… Pourquoi Jésus , s’il ne s’était chargé de nos péchés, aurait-il
mez votre prochain comme vous-mêmes, et vous aurez accompli la loi de Jésus-Christ . » Et nous ajoutons : « Vous êtes membre de la
rtie de vos devoirs, et vous aurez accompli encore une fois la loi de Jésus-Christ . » Anathème !… arme vieille, rouillée, émoussée,
n travail pour lui faire porter, comme à Simon de Cyrène, la croix de Jésus-Christ jusqu’au sommet escarpé du Calvaire. Mes frères,
oserait-on prescrire à l’homme l’emploi qu’il doit en faire, lorsque Jésus-Christ a dit : « Le sabbat a été fait pour l’homme, et n
janséniste à qui l’on rappelait cet intéressant épisode de la vie de Jésus  : « Ce n’est pas ce qu’il a fait de mieux. » Ce
de bienveillance et de sociabilité pratique, et bénissons la bonté de Jésus . Quant aux bals, je ne chercherai point à les exc
t subversifs de toute société humaine et contraires aux intentions de Jésus-Christ , source de toute vérité, puisqu’elles finissent p
s civiliserons avec les principes de notre foi, et la morale douce de Jésus-Christ . Hé bien ! mes frères, la scène comique est le po
le fardeau de leur domination sur les simples ministres des autels de Jésus-Christ . Chrétiens réunis dans ce temple, écoutez, c’est
ns réunis dans ce temple, écoutez, c’est la parole de Dieu ! « Alors Jésus parla au peuple et à ses disciples, en leur disan
14 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25
ristianisme n’est-il donc qu’un fantôme & une chimere ? Le nom de Jesus-Christ , que nous portons, & qui lui à coûté tant de
ces dissolutions, avec la qualité sainte & venerable de membre de Jesus-Christ . Des Chrêtiens, qui doivent être le sel & la
nt être le sel & la lumiére du monde, qui doivent être revêtus de Jesus-Christ , & exprimer dans toute leur vie la vie de ce
eloges, que ces grands Saints donnoient à ces premiers imitateurs de Jesus-Christ  ; y en a-t-il un seul, qui convienne aux Chrétien
ces Idolatres de leur tems. Aussi ceux-là ont attiré toute la terre à Jesus-Christ par l’odeur de leur sainteté, & ont fait avoü
-que vous oubliez méme de vivre en Chrétiens, & par consequent si Jesus-Christ ne nous a point donné un faux avis, s’il ne nous
l m’est permis de parler de la sorte, aller en dançant au Tribunal de Jesus-Christ , & paroître en masque devant un Juge si redou
15 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26
t divers personnages, entre autres un Dieu jésuitique, et en après un Jésus-Christ à sa droite. » s Qu’est ce mentir (Messieurs) si
t vu qui représentât la personne de Dieu, comme distincte de celle de Jésus-Christ , et qu’un seulement exhiba celle de Jésus-Christ
istincte de celle de Jésus-Christ, et qu’un seulement exhiba celle de Jésus-Christ comme de Dieu et homme, juge des vivants et des m
Ce menteur dévoyé est, peut-être, quelque Nestorient, distinguant en Jésus-Christ deux personnes, aussi bien qu’il y a deux natures
ugement un siège sera donné à la divinité, et l’autre à l’humanité de Jésus-Christ . Car si telle n’eût été sa pensée, commew aurait-
hauffés ? Je t’ai dit qu’aucun n’a contrefait Dieu, comme distinct de Jésus-Christ , et que celui qui représentait Jésus-Christ s’app
t Dieu, comme distinct de Jésus-Christ, et que celui qui représentait Jésus-Christ s’appelle Josué de Villeneuve. J’ajoute que celui
s que jamais ils n’ont retiré un seul liard de celui qui représentait Jésus-Christ , que néanmoins ce calomniateur dit avoir plus pay
Euripide et avec lui le démon hors de la scène a dressé une action de Jésus-Christ endurantcj. Le fameux Apollinaire d’Antiocheck ne
t invectivé contre les spectacles païens, ne cessant de souhaiter que Jésus-Christ gagnât l’orchestre aussi bien que le palais, l’hi
ffirmant que deux personnes, une divine et une humaine, coexistent en Jésus-Christ . Cette doctrine, jugée hérétique par l’Eglise chr
tend ici affirmer que, dans la pièce des jésuites, seule la figure de Jésus était représentée, alors que Dieu le père n’appar
31) condamne en effet le nestorianisme comme hérésie en affirmant que Jésus-Christ n’a pas deux personnes, mais deux natures en une
e de Nazianze (329-390), Christus Patiens, tragédie sur la passion du Christ composée à partir de vers d’Euripide. ck. [NDE]
16 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
1. 2. Jean ayant appris dans la prison les œuvres merveilleuses de Jesus-Christ , il luy fit dire par deux de ses Disciples, qu’il
vie austere de Jean-Baptiste, & de la vie simple & commune de Jesus-Christ  ; de la pénitence & de la solitude de l’un, d
a esté renouvellée de nos jours, & elle a vérifié cette parole de Jesus-Christ , Qu’il est nécessaire qu’il arrive des scandales,
1. 90. qu’il ne souffre rien d’outré ny de relâché dans la Morale de Jesus-Christ  : & que sans rien perdre de sa prudence &
dont parle S. Paul ; & quand ils seront éclairez par la parole de Jesus-Christ , peut-estre serez-vous assez sages pour changer d
oient qu’entendu la Messe, ce seroit avoir assisté aux funerailles de Jesus-Christ , puisque l’Autel représente le Calvaire, pour l’e
s ont esté changez en Eglises Chrétiennes, le Démon cédant la place à Jesus-Christ . Mais le Théatre a toujours esté & sera toujo
entrez dans une milice sacrée pour y combattre sous les enseignes de Jesus-Christ , & pour ravir le Ciel par une sainte violence
bité une morale outrée, aussi éloignée de la douceur de l’Evangile de Jesus-Christ , qu’approchante de la rigueur des superstitions d
, & qui préféroient les extravagances d’un bouffon aux oracles de Jesus-Christ . Il y détruit avec une force invincible les fauss
ier ? Il l’ose pourtant, & il l’osera toujours, car sa haine pour Jesus-Christ & pour l’Eglise ne se terminera, que quand le
pect. cap. 10. D’où ils concluent, que d’y assister, c’est renoncer à Jesus-Christ , comme nous avions auparavant renoncé au démon. P
n theatris nihil reatu vacat. C’est là, que la haine du monde contre Jesus-Christ est entiérement satisfaite, par la maligne joye q
urs, par opposition à l’Eglise sainte, où s’assemblent les membres de Jesus-Christ , Ecclesia diaboli. Il raconte même ce que vous av
y soit répanduë dans toute sa plénitude ; que la haine du monde pour Jesus-Christ y soit assouvie ; que le vin empoisonné de Babylo
parle de son Testament sacré avec une bouche profane : Psal. 49. 16. Jesus-Christ défend de donner le saint aux chiens, & de ré
s Mysteres, &, comme dit l’Apôtre, en Dieu, devant Dieu, & en Jesus-Christ  :2. Cor. 2. 17. si ces Prédicateurs enfin, qui so
e la terre, l’affadissent au lieu d’y répandre leur sagesse. Ceux que Jesus-Christ a établis Pasteurs de son peuple, le scandalisent
r à Dieu, & le soir au démon ! Nul rapport, dit saint Paul, entre Jesus-Christ , & Bélial : & les ministres mêmes de Jesu
Paul, entre Jesus-Christ, & Bélial : & les ministres mêmes de Jesus-Christ osent les confondre ! Pasteurs fideles, dignes Ch
17 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
ntre la Religion, en sont-ils pour cela moins dangereux ? L’Eglise de Jésus-Christ , interprète infaillible de la doctrine des mœurs,
ché, et coopère à la perte éternelle de ces âmes rachetées du Sang de Jésus-Christ . Comment, après cela, aller aux Spectacles, et se
moyen de concilier l’opinion qu’on leur supposerait avec la Morale de Jésus-Christ dont ils sont les interprètes, et avec leur quali
e demande à vous faire. Sont-ce des œuvres de Satan, ou des œuvres de Jésus-Christ  ? Car, dans la Religion, il n’est point de milieu
blesse de la nature rend même nécessaires, appartiennent en un sens à Jésus-Christ , par la facilité qui doit nous en revenir de nous
t être d’une telle nature, que nous puissions du moins le rapporter à Jésus-Christ , et le faire pour sa gloire » « Or, sur ce prin
ienne, vous n’avez qu’à décider. Pouvez-vous rapporter à la gloire de Jésus-Christ les plaisirs des Théâtres ? Jésus-Christ peut-il
ous rapporter à la gloire de Jésus-Christ les plaisirs des Théâtres ? Jésus-Christ peut-il être pour quelque chose dans ces délassem
passionnées qu’elles débitent, les Spectacles seraient des œuvres de Jésus-Christ  ? Jésus-Christ aimerait une bouche d’où sortent d
’elles débitent, les Spectacles seraient des œuvres de Jésus-Christ ? Jésus-Christ aimerait une bouche d’où sortent des airs profane
hrist aimerait une bouche d’où sortent des airs profanes et lascifs ? Jésus-Christ formerait lui-même les sons d’une voix qui corrom
hrist formerait lui-même les sons d’une voix qui corrompt les cœurs ? Jésus-Christ paraîtrait sur les Théâtres, en la personne d’un
même selon les lois des hommes ? Mais ces blasphèmes me font horreur. Jésus-Christ présiderait à des assemblées de péché, où tout ce
ier les passions qu’il condamne ? Or, si ce ne sont pas des œuvres de Jésus-Christ , dans le sens déjà expliqué, c’est-à-dire, des œu
é, c’est-à-dire, des œuvres qui puissent du moins d’être rapportées à Jésus-Christ  ; ce sont donc des œuvres de Satan : donc tout Ch
Baptême, et violé les promesses les plus sacrées qu’il avait faites à Jésus-Christ et à son Eglise. » « Ce ne sont pas ici des con
raits. « Rien de plus indigne d’un Enfant de Dieu et d’un membre de Jésus-Christ , que le métier de Comédien, où des hommes et des
ées à le réparer. Dans cette vue, il traduisit en vers l’Imitation de Jésus-Christ . Cette louable entreprise jointe à une vie exempl
18 (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50
pas l’adresser à une infinité de demi-Chrétiens qui veulent concilier Jésus-Christ & le monde, & jouir tout-à-la-fois des di
nd également au monde son ennemi ? Oui, mes Frères, toute alliance de Jésus-Christ & de Belial est monstrueuse aux yeux de la re
lle opposition entre la morale de l’Evangile & celle du théâtre ! Jésus-Christ vous ordonne d’oublier les injures, de pardonner
nt d’autres que celles dont l’Evangile est la règle, dont la grace de Jésus-Christ est le principe, dont la gloire de Dieu est la fi
ceux qui nous les font, & leur opposition à la sainte doctrine de Jésus-Christ  ; mais reproches que nous devons nous faire gloir
nière qui pût plaire au monde, nous ne serions plus les serviteurs de Jésus-Christ . Mais voyons qu’elle solidité peut avoir cette ap
. Et qu’importe qu’ils passent pour être membres du corps mystique de Jésus-Christ , s’ils n’en sont reconnus que pour des membres mo
privés, la religion a été jusqu’ici mieux connue, & la morale de Jésus-Christ enseignée avec plus de pureté parmi nous que par-
nécessaire qu’il y ait des Spectacles, comme il est nécessaire, selon Jésus-Christ même, qu’il y ait des scandales : necesse est ut
 ; mais laissez-les, mes Frères, à ce monde corrompu & frappé par Jésus-Christ de tant d’anathêmes. Laissez-les à ces hommes ois
e de leur propre cœur. Laissez-les enfin à ces ennemis de la croix de Jésus-Christ , qui n’ont de pensée & d’affection que pour l
nd-elle la morale du théâtre plus pure & plus conforme à celle de Jésus-Christ  ? diminue-t-elle les dangers qu’y courent la piét
amp; leurs malheurs, sont des images sensibles de celle dans laquelle Jésus-Christ a voulu naître. Ah ! plus vous comprenez l’import
, éloigner de vous tout trait de ressemblance avec ce monde ennemi de Jésus-Christ . A Dieu ne plaise que vous croyiez pouvoir allier
ut sentiment & toute pensée, garde vos esprits & vos cœurs en Jésus-Christ notre Seigneur, jusqu’à l’éternité bienheureuse q
19 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
le doit être sa vie ? R. La vie d'un Chrétien qui a été enseveli avec Jesus-Christ par le Baptême, et qui a fait vœu d'embrasser sa
on seulement une imitation, mais encore une continuation de la vie de Jésus-Christ , puisque c'est son esprit qui doit agir en lui, e
mer dans son cœur les mêmes sentiments qu'il a imprimés dans celui de Jésus-Christ . D. La vie d'un Chrétien peut-elle être une vie d
cœur au lieu où se trouvent les véritables délices ; et à se faire de Jésus-Christ l'unique objet de ses consolations, et de sa joie
u, et des hommes que de dire que l'on va à la comédie pour l'amour de Jésus-Christ , oserait-on lui offrir cette action, et lui dire 
20 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
et à leurs plaisirs. Ce sont de tels sages et de tels prudents à qui Jésus-Christ déclare que « les secrets de son royaume sont cac
otre frère infirme ? Ne perdez point par votre exemple celui pour qui Jésus-Christ est mort. » Ils ne savent même pas ce que prononc
s vertueux à sa mode, qui croient pouvoir être ensemble au monde et à Jésus-Christ . Page 38. [« Lettre d’un théologien », page 38].
21 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
er à de tels divertissements. Ils ne conviennent pas à des soldats de Jésus-Christ , qui doivent être revêtus d’armes spirituelles ;
e, comme à leur plus mortel ennemi, et en s’attachant pour toujours à Jésus-Christ leur véritable Seigneur et leur Dieu. Il ordonna
16. En effet, il y a bien de la différence entre ceux qui méprisant Jésus-Christ , qu’ils ne connaissent point, courent après les v
nt des faux plaisirs du siècle, pour se soumettre au joug agréable de Jésus-Christ . II. OBJECTION « Tousp. 38. les jours à la Cour
les plaisirs et les divertissements, après avoir ouï les menaces que Jésus-Christ leur fait en ces termes : « Malheur à vous autres
iable, et demain ils le suivront, ils prendront aujourd’hu le part de Jésus-Christ , et demain ils le quitteront, le renonceront et l
main ils seront des impies, des Apostats, et de véritables ennemis de Jésus-Christ . Mes chers frères, ne vous trompez pas, je vous l
l’image de Dieu ; tâchons de ne pas déshonnorer cette Image. Suivons Jésus-Christ , comme des soldats suivent leur capitaine, et ser
ui la lecture de la sainte Ecriture, comme un serviteur affectionné à Jésus-Christ  ; pour aller demain ouïr un concert profane, comm
main ouïr un concert profane, comme un prévaricateur, et un ennemi de Jésus-Christ . Ne vous repentez pas aujourd’hui de vos péchés,
r opérer notre salut : et souvenons nous de cette terrible menace que Jésus-Christ nous fait dans l’Evangile ; « Malheur a vous autr
de chûte et de scandale ; et qu’il soit épouvanté par ces paroles de Jésus-Christ  ? » « Malheur , dit-il, à celui par qui les scand
nheureux dans le ciel, en vivant sur la terre d’une autre manière que Jésus-Christ n’y a vécu. Le serviteur ne doit point s’attendre
udere cum sæculo, et postea regnare cum Christo », dit Tertullien. Or Jésus-Christ n’a jamais aimé ni recherché les plaisirs des sen
mandements, mais c’est généralement pour tous les Chrétiens. Et quand Jésus-Christ , dit : « Si quelqu’un voit une femme, et qu’il la
t la consolation des saints qui auront le bonheur de ressusciter avec Jésus-Christ  ; et combien éclatante sera la Jérusalem céleste.
on pas devant un Minos, ou un Rhadamante ; mais devant le Tribunal de Jésus-Christ . Voilà, ajoûte-t-il, quels doivent être les spect
nocents. Si vous avez besoin de vous divertir, dit saint Chrisostome ; Christ . Hom. 38. in Math. Allez vous en promener dans un
p. 30. Cypr. tract. de spec. Aug. in ps. 39. L. 2. de fide ad Cathec. Christ . Hom. 38. in Math. Or. du 3. Dim. d’après Pâque.
22 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVIII. Doctrine de l’écriture et de l’église sur le jeûne. » pp. 98-101
e temps qu’elle aura perdu son époux : conformément à cette parole de Jésus-Christ même : Mat. IX. 15 [Matthieu, chapitre IX, verse
ont le caractère des jours où l’église pleure la mort et l’absence de Jésus-Christ . Les saints pères expliquent aussi que c’est pour
ant ce temps consacré à la pénitence et à la mémoire de la passion de Jésus-Christ , toutes les réjouissances sont interdites : de to
23 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
et après cela, tu dis, je crois en Dieu le Père tout-puissant, et en Jésus-Christ son Fils. Pour donc croire en Dieu, on renonce au
e que retournant aux spectacles, nous faisons banqueroute à la foi de Jésus-Christ . C’est donc par ce moyen que tous les mystères du
en aux lieux destinés au culte et à l’honneur de Dieu ? Nous laissons Jésus-Christ sur l’Autel, pour repaître nos yeux adultères par
ître, qui préfèrent le démon à Dieu, qui font banqueroute à la foi de Jésus-Christ , qu’ils sont plus criminels que les païens, qu’il
24 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
lument le propre de leur Sexe : Quelles obligations n’ont-elles pas à Jésus-Christ pour les avantages qu’elles trouvent dans le mari
répudier leur femme, et à payer une amende pécuniaire à ses parents. Jésus-Christ a délivré encore leur Sexe de l’esclavage du Séra
iage, comme ils y avaient toujours tenu les femmes assujetties. Enfin Jésus-Christ les a absolument déchargées de ce sacrifice terri
ant tenues, et les tenant encore dans une sorte d’esclavage bien dur, Jésus-Christ leur donne une douce et glorieuse liberté : Qui p
la loi de grâce ? Que tout cela n’ait beaucoup servi à les attacher à Jésus-Christ par une plus sensible reconnaissance ; à les rend
rmation si nécessaire, m’a données. Premièrement, puisque la grâce de Jésus-Christ , laquelle suppléait abondamment à la rigueur des
25 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
ostendit omnia regna mundi, et gloriam eorum. » « Et Satan fit voir à Jésus-Christ tous les Royaumes du monde, et toute leur gloire.
et leur gloire. « Et ostendit omnia Regna mundi, et gloriam eorum. » Jésus-Christ qui veut bien être tenté dans sa personne, pour n
urs de Jéricho. Le Théâtre est l’Autel du Démon élevé contre celui de Jésus-Christ , l’Idole de Dagon qui insulte à l’Arche Sainte, l
se renfermant dans la sphère du Chrétien, se contente d’avoir appris Jésus-Christ crucifié. Ne parlons donc plus des Spectacles, me
oseront à jamais contre vous. Quoi, mon Frère, vous êtes un membre de Jésus-Christ crucifié, et vous croyez pouvoir, sans déshonorer
nfondu, en opposant tout simplement aux maximes du Théâtre l’image de Jésus-Christ dont toute votre vie doit être l’Expression. Vous
sommes point étonnés ; mais qu’un Chrétien, formé pour nous retracer Jésus-Christ , tienne le même langage, voilà ce qui ne se compr
il publie qu’on ne peut assister à la table des Démons, et à celle de Jésus-Christ  : « Non potestis bibere calicem Domini, et calice
t faire tous ses efforts pour arracher au Démon une âme pour laquelle Jésus-Christ est mort, on ne peut, sans la plus horrible impié
perdez un temps dont toutes les minutes sont le prix même du sang de Jésus-Christ , et des moyens de salut ; que vous entraînez par
, de vous ou des successeurs des Apôtres que vous devez écouter comme Jésus-Christ , et que vous ne pouvez mépriser sans le mépriser
u Théâtre où l’on ose venir avec les lèvres encore teintes du sang de Jésus-Christ  ; ainsi l’on s’abandonne à une vicissitude de Con
i ont cru les embellir, les ont défigurées ; lisez les souffrances de Jésus-Christ , les circonstances de sa douloureuse Passion, cel
26 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
nent ensuite les Apôtres et les Evangélistes sur deux files, et enfin Jésus-Christ qui est en robe longue, avec une ceinture de cord
s deux bras sont étendus en croix. Le bras droit porte la figure d’un Jésus , attachée par-dessus ; le tout est surmonté d’une
d’Aix, font paraître, de la manière la plus sacrilège, la personne de Jésus-Christ , ses Apôtres, plusieurs de nos saints les plus ré
aix ; Qui a l’insigne faveur de porter la croix, signe du supplice de Jésus-Christ et l’objet de notre véritable rédemption, le suje
, par la fondation de cette cérémonie, faire prévaloir la religion de Jésus-Christ , sur la puissance du diable, et imprégner cette v
représenter ; voici ce que l’on lit dans les Annales de la société de Jésus , tome IV, in-4°, p. 511. « Nous allons voir main
de cette cérémonie ils n’ont pas fait la moindre mention de Dieu, de Jésus-Christ , ni cité un seul passage de l’Ecriture, mais ils
es de notre culte, tels que le saint-sacrement de l’autel, l’image de Jésus-Christ , de la Vierge, et des autres saints. Maintenant a
On dresse des théâtres sur lesquels on joue la Passion et la mort de Jésus-Christ . Au lieu d’applaudissements, on entend à certains
on de l’âne, chez les moines de Notre-Dame-des-Orgues. On y croit que Jésus-Christ , après son entrée à Jérusalem, donna la liberté à
ain, et dans l’autre un balai ; parce que les légendes rapportent que Jésus-Christ entra un jour sous cette forme dans l’appartement
i réjouit le préchantre ; cependant, tout l’honneur doit être pour le Christ , qui nous est et nous sera toujours favorable. M
’honorer l’humble et utile animal qui avait assisté à la naissance de Jésus-Christ , et l’avait porté sur son dos lors de son entrée
e jeune et jolie fille, qui figurait la vierge Marie, tenant le petit Jésus entre ses bras. On couvrait le modeste animal d’u
te cérémonie avait rapport au rôle que l’âne joue dans la nativité du Christ  ; et qu’elle ne doit son origine ni à l’âne de Lu
ce on allait se mettre à table ; le répons contenait une invocation à Jésus-Christ et à la Sainte Vierge, pour exciter à la bonne ch
S. Jean-Baptiste, faisait contracter à ses dévotes avec notre Sauveur Jésus-Christ , une alliance spirituelle fort singulière. Voici
u’il recevait lui-même en qualité, disait-il, d’indigne secrétaire de Jésus . En l’année 1669, il y avait un de ces contrats e
uelle un de mes amis en prit une autre, dont voici la teneur : « Je, Jésus , fils du Dieu vivant, l’époux des âmes fidèles, p
l’époux de Marie.   L’Ange Gardien.   Madeleine, la chère amante de Jésus .   « Ce contrat a été ratifié de la très Sainte T
Arnoux de Saint-Jean-Baptiste, carme déchaussé, indigne secrétaire de Jésus . »   « Je, Madeleine Gasselin, indigne servante d
ecrétaire de Jésus. »   « Je, Madeleine Gasselin, indigne servante de Jésus , prends mon aimable Jésus pour mon époux, et lui
Je, Madeleine Gasselin, indigne servante de Jésus, prends mon aimable Jésus pour mon époux, et lui promets fidélité, et que j
’époux de Marie.   L’Ange Gardien.   Madeleine, la chère amante de Jésus .   Fr. Arnoux de Saint-Jean-Baptiste, carme déch
Arnoux de Saint-Jean-Baptiste, carme déchaussé, indigne secrétaire de Jésus . »   « On défie tous les notaires et tous les sec
e Gasselin porta un peu trop loin la fidélité qu’elle avait promise à Jésus-Christ , et la garda trop littéralement. Car, depuis ce c
27 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
fait si hardi que d’entrer dans cette jeune Fille, qui appartenait à Jesus-Christ par son Baptême ? Il répondit, qu’il y était entr
dans l’Ecriture, que la danse a fait perdre la vie au meilleur ami de Jésus-Christ , et que la tête de St. Jean-Baptiste, qui pouvait
une chose qui a été si nuisible à toute l’Eglise, qui a tant affligé Jésus-Christ par la mort d’un homme qu’il aimait ? Dieu même n
r S. Paul, puisque la grâce même lui est promise de la bouche même de Jésus-Christ  ? Cependant il n’en demeure pas là, il travaille,
 : le Royaume de Dieu, comme vous savez, est au-dedans de nous. C’est Jésus-Christ qui le dit dans l’Evangile, et le Prophète Roi re
mez trop de vous-même. Pensez à ce que fit S. Pierre, lorsqu’il renia Jésus-Christ . Quand vous êtes aux pieds des Confesseurs, vous
il n’y aurait rien qui ne fût très conforme au Christianisme, puisque Jésus-Christ allant mourir pour tous les hommes, fit son testa
tristesses. Voilà notre legs : voyez si vous voulez être héritière de Jésus-Christ , ou renoncer à sa succession et à son Paradis. Vo
à son Paradis. Votre sexe semble avoir eu plus de part à la Croix de Jésus-Christ , qu’a sa gloire ; car on a vu trois Marie sur le
e cette vie, qui est une vallée de misères, un paradis de délices, où Jésus-Christ n’a trouvé que des amertumes, des peines et des d
leurs larmes, et les Martyrs l’ont payé de leur vie et de leur sang. Jésus-Christ même n’est monté dans la gloire, que par l’échell
28 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
présent, et qui a toujours les yeux intérieurs de son âme arrêtés sur Jésus-Christ , n'a point égard aux vanités et aux tromperies du
Celui qui est dans la voie de Dieu ne regarde point les vanités : Jésus-Christ est la voie parfaite. Celui donc qui appartient à
ités : Jésus-Christ est la voie parfaite. Celui donc qui appartient à Jésus-Christ , comment peut-il regarder les vanités, puisque Jé
artient à Jésus-Christ, comment peut-il regarder les vanités, puisque Jésus-Christ a crucifié dans sa chair tous les vains plaisirs
: Ces Jeux que vous regardez ne sont que vanité, élevez vos yeux vers Jésus-Christ , et détournez-les des Spectacles, et de toutes le
ces divertissements et de ces Jeux pour attirer à lui les soldats de Jésus-Christ et pour relâcher toute la vigueur, et comme les n
pacte par lequel vous vous êtes engagés à nous, ou pour mieux dire, à Jésus-Christ . Lorsqu'il vous instruisait au baptême, que lui a
29 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
pe de Pèlerins, qui s’occupaient à réciter les Actes de la Passion de Jésus-Christ ou de quelque Martyr célèbre, il y avait lieu de
on ædificet charitatem Dei et proximi nondum intellexit. » ( De Doct. Christ . L. 1. c. 35.) En effet Jésus-Christ nous déclare
roximi nondum intellexit. » ( De Doct. Christ. L. 1. c. 35.) En effet Jésus-Christ nous déclare dans l’Evangile, que toute la Loi et
ne peuvent assister à la Comédie, à moins qu’ils ne puissent offrir à Jésus-Christ cette action, et se rendre témoignage qu’ils n’y
n divertir, seraient semblables au malheureux Hérode, qui voulait que Jésus-Christ contentât sa curiosité par quelques miracles. Ces
s ou les maux de ce monde et qu’on verra accomplir à la lettre ce que Jésus-Christ a dit si souvent. Que les pauvres, que ceux qui o
ouir des plaisirs du siècle, à consoler les Justes qui souffrent pour Jésus-Christ , et à exciter l’espérance dans les pécheurs, qui
qu’ils se servent des mêmes expressions, qui conviennent au Corps de Jésus-Christ  ; ils appellent indifféremment la Sainte Ecriture
e glorieux Martyr dit qu’il s’attache à l’Ecriture, comme au corps de Jésus-Christ , et tout le monde sait que saint Augustin parle s
ragment de l’Eucharistie demande nos adorations, parce qu’il contient Jésus-Christ tout entier, chaque partie de l’Ecriture exige au
pour l’Agneau Pascal, puisqu’elles sont au même rang que la chair de Jésus-Christ , dont l’Agneau n’était que la figure. Or comme l’
rompez pas, mes Frères ; nul ne peut servir à deux Maîtres, ainsi que Jésus-Christ l’a dit. N’allez donc pas chanter un jour dans l’
ticle puisque c’est ôter le pain aux Pauvres, qui sont les membres de Jésus-Christ , et que saint Augustin ne craint point de dire « 
30 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre »
e plus de deux fois14. Ils savaient qu’on lit bien en l’Écriture, que Jésus a souvent pleuré, et non pas qu’il ait ri une seu
la Bible qu’aucun Saint ni Sainte ait jamais ri depuis la passion de Jésus , depuis que les hommes ont assassiné leur Sauveur
31 (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325
ivre l’Alcoran ; fidei apostatatio, voilà une abjuration de la foy de Jesus-Christ de part & d’autre ; disons donc que la comedi
demon qui est, dit Tertullien, le rival de Dieu, & le copiste de Jesus-Christ , a imité & contrefait les mysteres de la reli
à dire, qu’il les prive de la participation du Corps & du Sang de Jesus-Christ , s’ils ne renoncent au theatre : quels Chrétiens
ames, je vous fais juges & arbitres de ce different qui est entre Jesus-Christ & les Comediens, vous avez vû & examiné l
e, ou renoncer à l’Evangile, ou renoncer aux Comediens, ou renoncer à Jesus-Christ ou renõcer au theatre, ou renõcer aux autels : ca
l’Eglise, qui est l’assemblée des Fidèles, & le Corps mystique de Jesus-Christ , & estre membre du monde, qui est l’assemblée
ole par une lâche perfidie le serment de fidelité qu’il avoit prêté à Jesus-Christ dans le Baptême. Ainsi la promesse qu’il avoit fa
sortes de mondes bien contraires & opposez ; l’un est le monde de Jesus-Christ , l’autre est le monde du diable. Le monde de Jesu
le monde de Jesus-Christ, l’autre est le monde du diable. Le monde de Jesus-Christ est l’assemblée des élûs ; le monde du diable est
uffrir, & qu’ils tâchent mutuellement de se détruire. Le monde de Jesus-Christ est continuellement dans les larmes, dans les sou
vos vero contristabiminiJoan. 16. , dit le Fils de Dieu. Le monde de Jesus-Christ est toûjours éclairé de la lumiere de verité ; d’
positus estEpist. I. Joan. c. 5. . Aprés cela se faut-il étonner si Jesus-Christ s’est declaré si hautement contre luy, qu’il a fa
j’en triompheray encore en vous. Voilà M. le portrait au naturel que Jesus-Christ a fait de ce monde auquel vous avez renoncez par
qui au prejudice de son vœu & de ses promesses, passe du monde de Jesus-Christ , qui est l’assemblée des fideles, dans le monde d
ochez point d’avoir fait usurpation d’une femme qui appartint à vôtre Jesus-Christ  ; non elle n’étoit point à luy, elle n’étoit poin
pompe funebre de la jeune defuncte, au son de leurs instrumens, mais Jesus-Christ rompit cette feste lugubre, & chassa ces musi
e temps au demon, & que contre la foy donnée, vous ne renonciés à Jesus-Christ . Mais il me semble qu’il y a long-tems que vous m
é est le propre caractere, sancta Ecclesia. En second lieu, parce que Jesus-Christ qui en est le Chef, est appellé le Saint des Sain
jamais que c’est dans ce bienheureux jour auquel étant ensevely avec Jesus-Christ dans le Baptême, vous avez juré un divorce eterne
minations du Paganisme & dans les siecles de la gentilité. Quoy ? Jesus-Christ n’a-t-il pas encore publié son Evangile dans le m
as devant le tribunal de Minos, ou de Radamante, mais devant celuy de Jesus-Christ , Juge souverain, & inflexible des vivans &
32 (1704) Des Bals et Comedies « Des Bals et Comedies. » pp. 31-33
t Comedies. TOus les Chrêtiens ensemble ne sont, qu'un corps dont Jésus-Christ est le chef, et le St. Esprit l'âme, vouloir donc
les Opéra puissent être l'occupation des Chrêtiens, c'est vouloir que Jésus-Christ s'y plaise, et que le St. Esprit les y conduise,
33 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
iens de Genève, en les accusant de ne plus croire ni à la Divinité de Jésus-Christ , ni à l’éternité des peines de l’Enfer ; mais vou
se, nos sentimens sur la Trinité en général, & sur la Divinité de Jésus-Christ en particulier, doivent être à l’abri de tout rep
ophètes, les Evangélistes & les Apôtres s’accordent pour donner à Jésus-Christ le nom, les attributs & les prérogatives de l
Dieu, & à reconnoître avec l’Apôtre9 qu’il est juste qu’au nom de Jésus-Christ tout genou se ploie dans les cieux & sur la t
34 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
r une louable coûtume participez si souvent au Corps & au Sang de Jesus-Christ le cher Epoux de cette Mere ? C’est une grace bie
uels firent par une bizarre reconnoissance representer à l’honneur de Jesus-Christ les spectacles du Cirque & du Theatre ? Salv.
 3. « C’est donc à Nôtre Seigneur, s’écrie ce digne Ecrivain, c’est à Jesus-Christ que nous offrons les jeux du cirque, & les re
l parla aux Chrêtiens, qui rapporterent ces spectacles à l’honneur de Jesus-Christ , bien loin qu’ils voulussent faire des sacrifices
35 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
. XII. 2. [Epître aux Hébreux, chapitre XII, verset 2].« à considérer Jésus l’auteur et le consommateur de notre foi : ce Jés
2].« à considérer Jésus l’auteur et le consommateur de notre foi : ce Jésus , qui ayant voulu prendre toutes nos faiblesses à
t la joie qui ont trop d’affinité avec la déception et avec l’erreur. Jésus-Christ n’est pas pour cela demeuré sans agrément : « Tou
eut-on voir de plus beau ni de plus touchant que la mort sanglante de Jésus-Christ et de ses martyrs ; que ses conquêtes par toute l
36 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
se trouve dans les spectacles qu’il a inventés ; ainsi c’est quitter Jésus-Christ pour reprendre le parti du Démon. D’où nous concl
Ep. 74. ad Pompon. Consuetudo sine veritate vetustas erroris est. Jésus-Christ n’a pas dit qu’il étoit la coûtume, mais qu’il ét
prendre à sa fille, non la danse, mais la religion & la morale de Jésus-Christ , Quæ verò pudica, quæ casta est, religionem doce
us que ce n’est pas ainsi que vous avez été instruits dans l’école de Jésus-Christ  ; si toutefois vous y avez bien appris ce qu’on v
pes, & aux maximes du siécle, pour ne plus vivre que de la vie de Jésus-Christ & imiter sa sainteté : considérez combien vou
37 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE III. Qu'une Mère est très coupable de mener sa fille aux Spectacles. Que c'est une erreur de croire que la Comédie soit destinée à corriger les mauvaises mœurs. Que rien au contraire n'est plus propre à les corrompre. » pp. 65-75
stris in Domino. » Eph. c. 6. v. 1.et que leur obéir par préférence à Jésus-Christ , ce serait n'être pas digne de lui. Les Pères de
venez-vous, lui dit-il, que par le Baptême vous êtes devenu soldat de Jésus-Christ  ; dès lors vous avez fait serment de lui être fid
médien est un des plus dangereux ennemis que le siècle ait suscités à Jésus-Christ , et qu'on le doit d'autant plus craindre qu'il fa
38 (1823) Instruction sur les spectacles « Conclusion. » pp. 195-203
se couronner de fleurs comme les autres. Comme ces vrais disciples de Jésus-Christ , vous devez éviter les spectacles de nos jours, q
it tiré de l’Ecriture sainte. Vous avez pour vous diriger l’Eglise de Jésus-Christ , qui est la colonne de la vérité : écoutez sa voi
ous mettez dans l’impossibilité de soulager les membres souffrants de Jésus-Christ , vous devenez insensibles à leurs misères. L’expé
39 (1731) Discours sur la comédie « PREFACE » pp. -
et les Pharisiens tels que la sainte Ecriture nous les représente.... Jésus-Christ même a toléré Judas, c’est-à-dire un démon, un vo
nnût pour les avoir mis à l’épreuve, il les supportait pour le nom de Jésus-Christ . » L’Eglise doit donc dans le cas présent, tourne
ocher. » Il y a aussi quelquefois des moments heureux, où la grâce de Jésus-Christ opère dans un seul sermon, ce qui pendant plusieu
, ex quo illic nihil tale tentatun est. » S. Aug[ustin] de Doct[rina] Christ [iana] L. 4. c. 24.
40 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 1 : Livre II, chap. 3] » pp. 104-105
, etc. »ceux qui se jouent avec le Diable, ne peuvent se réjouir avec Jésus-Christ , et qui s’habilleront de ces simulacres hideux pe
billeront de ces simulacres hideux perdent l’effigie et similitude de Christ , qui devait être gravé en leurs âmes. Quelle foli
41 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE V. Que la circonstance d'aller aux Spectacles un jour de Fête, et de jeûne est une circonstance aggravante. Que ceux qui les fréquentent ne sont pas disposés à approcher des Sacrements. » pp. 83-87
 ? ou la parole de vie, ou la parole de mort ? ou les instructions de Jésus-Christ , ou les bons mots d'un Bouffon ? on a sans doute
ant le carême qui est un temps consacré à la mémoire de la Passion de Jésus-Christ . Ceux-là ont une idée bien fausse de la Pénitence
42 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
un théologien », page 3]. : si la comédie est si dangereuse, pourquoi Jésus-Christ et les Apôtres n’ont rien dit d’un si grand péril
ntée qu’elle soit par les gens du monde. Au reste ce grand silence de Jésus-Christ sur les comédies, me fait souvenir qu’il n’avait
43 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
u'il réprime sa passion, et qu'il ne va pas au Théâtre, Il crie après Jésus-Christ , et le prie de le guérir: Cependant il y en a d'a
ur condamnation ; Mais vous qui n'y allez pas, criez sans cesse après Jésus-Christ pour implorer son assistance. SAINT ISIDORE P
succès ; si nous remportons des victoires sur nos ennemis ; enfin si Jésus-Christ nous comble de ses faveurs, nous lui offrons des
ant l'effet d'une bienheureuse espérance, et la venue de la gloire de Jésus , qui s'est donné lui-même pour nous à dessein de
ajoute aussitôt après, je crois en Dieu le Père Tout-puissant, et en Jésus-Christ son fils. L'on renonce donc premièrement au Diabl
nnelles, de sorte que quand nous y retournons nous quittons la Foi de Jésus-Christ : Le mérite des Sacrements de notre Religion se pe
44 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
parti. Qu’y a-t-il de plus contraire à la Loi qui nous fait adorer un Jésus-Christ crucifié, et qui veut que nous élevions ses anéan
ts de s’y amuser. Si la Comédie détruit la Foi en ruinant la Croix de Jésus-Christ , elle renverse encore les bonnes mœurs, qui doive
28 [Tertullien, Apologétique, chap. 28] , et renversent le Royaume de Jésus-Christ autant qu’elles le peuvent faire. Des hommes et d
réglés C’est pourquoi depuis l’établissement du Christianisme, et que Jésus-Christ crucifié a été proposé aux hommes comme la voie,
renoncé entrant dans l’Église par le Baptême, et devenant membres de Jésus-Christ , qui a fait profession au nom de tous ses enfants
45 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200
e, notre combat journalier, le tout de l’homme Chrétien, la grâce que Jésus-Christ nous a apportée du Ciel est une grâce militaire q
vé contre, et employé les ornements de l’éloquence et l’autorité dont Jésus-Christ les avait revêtus dans son Eglise pour les en dét
comme une invention du diable pour amollir le courage des soldats de Jésus-Christ , ils déplorent l’aveuglement extrême de ceux qui
ait rendu assez insolent pour s’emparer du corps de cette servante de Jésus-Christ , il répondit par sa bouche qu’il l’avait trouvée
s feuilles dont on s’efforce de couvrir sa nudité, mais la charité de Jésus-Christ nous oblige à ne rien négliger, et à dissiper tou
46 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
un état tellement abhorré par l’Eglise des ames rachetées du Sang de Jesus-Christ  ? Vous dites cependant qu’on les tolere. Eh quoi 
té de la nature : Ignava non est & mollis nostra Religio. Aussi Jesus-Christ nous a-t-il expressément averti que, pour gagner
e vous êtes heureux ! Mais que vous changerez un jour, au Tribunal de Jesus-Christ , de sentiment & de langage ! Et quand il sero
objets qui frappent, des morts, du sang versé ? Ah ! voilà le Sang de Jesus-Christ qui coule ; quel spectacle plus touchant & pl
autres. Le théâtre, poursuit Tertullien, est l’Empire de l’ennemi de Jesus-Christ , mes Freres, & vous quittez, vous désertez l’
périr avec lui ? Malheureux ! Ah ! voulez-vous périr avec l’ennemi de Jesus-Christ  ? Mais je raisonne en vain, je tâche en vain à ém
cé. Rien de commun entre vous & le monde, si vous voulez vivre en Jesus-Christ , pour régner un jour avec Jesus-Christ. C’est à c
monde, si vous voulez vivre en Jesus-Christ, pour régner un jour avec Jesus-Christ . C’est à cette seule condition que nous pouvons v
47 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
s à ces divertissements, ont témoigné une peine extrême à mourir pour Jésus-Christ . Supposons que cela soit : du moins une telle pré
e les païens ne soient aujourd’hui moins pécheurs et moins ennemis de Jésus-Christ , que les Juifs ne le furent autrefois. Le reste a
ressent les Apollon, les Muses, les Minerve, les Mercure. Disciple de Jésus-Christ ne détesterez-vous pas des objets, dont les auteu
eurs de la tragédie à s’élever sur leurs cothurnes : veut-il démentir Jésus-Christ  ? Pensez-vous encore, que l’usage des masques soi
adiateur dans l'amphithéâtre ; enfin vous osez dire à tout autre qu’à Jésus-Christ notre Dieu : qu’il vive à jamais. Ne Chap. 26. so
re Dieu même. Ne fuirez-vous donc pas ces assemblées révoltées contre Jésus-Christ , ces chaires remplies de corruption, cet air qu’o
nous sommes dans la tristesse. Joan. 26. « Le monde se réjouira, dit Jésus à ses disciples ; et vous serez affligez. » Gémis
c eux, de crainte qu’un jour nous ne pleurions comme eux. Disciple de Jésus-Christ vous êtes trop délicat, si vous prétendez avoir d
eux pour nous, que d’avoir été réconciliés avec Dieu le père, et avec Jésus son fils ? Quoi de plus avantageux que d’avoir co
nt couronnés. Voulez-vous encore du sang répandu ? Vous avez celui de Jésus-Christ . Mais Chap. 30. surtout quel spectacle plus éclat
à la vue d’un Minos, ou d’un Rhadamante ; mais devant le tribunal de Jésus-Christ , auquel ils n’auront jamais voulu penser. C’est
48 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
s, comme au Seigneur ; / Car le mari est le chef de la femme comme le Christ est le chef de l’église, lui, le sauveur du corps
glise, lui, le sauveur du corps. / Mais comme l’église est soumise au Christ , qu’ainsi es femmes le soient aussi en tout à leu
oient aussi en tout à leurs maris. / Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l’église et s’est livré pour elle, / pour
49 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XX. Spectacles condamnés par les saints Pères et par les saints conciles. » pp. 168-178
regarde les princes de la nation juive qui consentirent à la mort de Jésus-Christ  : or les spectacles le font mourir une seconde fo
la lumière et les ténèbres, entre la mort et la vie. » Si vous suivez Jésus-Christ , il faut renoncer au théâtre, la doctrine de l’un
a participation des sacrements ; pouvez-vous vous flatter d’y trouver Jésus-Christ , notre sauveur et notre modèle ? Ah ! comment s’y
50 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
est leur inutilité qui les met au rang « des paroles oiseuses », dont Jésus-Christ nous enseigne, « qu’il faudra rendre compte au jo
a dans les saints docteurs, elle sera toujours au-dessous de celle de Jésus-Christ , qui soumet à un jugement si rigoureux, non pas l
51 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
x protégé, que la parole divine conduit, que la sagesse enseigne, que Jésus-Christ qui est la véritable vie régit, et que Dieu seul
. Lors que dans l'eau du Baptême nous faisons profession de la Foi de Jésus-Christ , selon la forme et la manière de sa Loi; Nous déc
hap. 27. Chrétiens, ne fuirez-vous point ces sièges des ennemis de Jésus-Christ , cette chaire de pestilence, cet air tout infecté
ALEXANDRIE Dans le 3. Livre du Pédagogue, l'an 204. Chap. II. Jésus-Christ , qui est: notre Pédagogue, ne nous conduira point
52 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
n alla dans un lieu désert. Exorde.Vous le savez, les démarches de Jesus-Christ sont toujours des instructions & des exemples
e vit que selon Dieu & pour Dieu : un Chrétien est un Disciple de Jesus-Christ , qui tout occupé de ce divin Modéle, doit le retr
res, doit craindre d’en être souillé : enfin un Chrétien est un autre Jesus-Christ , qui le représente, qui l’imite dans toutes ses a
ns leur accord ? je vous demande s’il est convenable à un disciple de Jesus-Christ d’aller autoriser par sa présence des hommes scan
mollesse, le plaisir. Enfin si, ayant promis d’embrasser la Croix de Jesus-Christ & de mourir au monde, de faire vivre son Sauv
quentant les spectacles, peut regarder cette œuvre comme une œuvre de Jesus-Christ  : car voilà sur quoi il faut vous demander à vous
ander à vous-mêmes, si obligés par état de ne faire que des œuvres de Jesus-Christ , de rapporter à Dieu tout ce que vous faites, la
perdre les ames, seroit une œuvre sainte & agréable au Seigneur ? Jesus-Christ peut-il avoir part à des délassemens si coupables
es rendre incurables ? Cette conduite s’allie-t-elle bien avec ce que Jesus-Christ nous prescrit dans l’Evangile ? Que devient cette
Seigneur, & que Bélial ne peut être adoré sur le même Autel avec Jesus-Christ  ; & quand vous entendez les principes qui nou
ttaqua nos premiers Peres dans le Paradis terrestre, comme il a tenté Jesus-Christ dans le désert, il n’y aura donc pas de péché à a
ites funestes & dangereuses ; des Chrétiens animés de l’esprit de Jesus-Christ , n’en doivent pas être moins prompts à les condam
ersuadent pas que le plaisir que j’attaque est indigne d’un membre de Jesus-Christ , rapportez-vous-en, je ne dis pas à un Théologien
étoit un Pere de l’Eglise, vous lui répondriez comme les disciples de Jesus-Christ à leur Maître : Durus est hic sermo. Ce Discour
e que vous sentez intérieurement ne pouvoir convenir à un disciple de Jesus-Christ  ? Le plus grand reproche qu’on faisoit aux premi
un état tellement abhorré par l’Eglise des ames rachetées du Sang de Jesus-Christ  ? Vous dites cependant qu’on les tolere. Eh ! quo
ns des spectacles.Mais que vous changerez bien un jour au Tribunal de Jesus-Christ de sentimens & de langage ! & quand il se
objets qui frappent, des morts, du sang versé ? Ah ! voilà le Sang de Jesus-Christ qui coule : quel spectacle plus touchant & pl
à périr avec lui ? Malheureux voulez-vous donc périr avec l’ennemi de Jesus-Christ  ? Mais je raisonne en vain, je tâche en vain d’ém
53 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
lo estis et desideria patris vestri vultis perficere. »Joan. 8. 44. Jésus-Christ a donné jusqu’à la dernière goutte de son sang, p
s pour les souiller de plus en plus, et pour procurer leur damnation. Jésus-Christ n’a travaillé durant toute sa vie qu’à établir le
mploi qui est condamné par l’Eglise, s’ils avaient une telle pensée ? Jésus-Christ ayant acquis avec justice sur tous les Chrétiens
pourrait faire dans un métier légitime, honnête, et utile au public. Jésus-Christ a-t-il donc répandu son Sang pour des hommes, qui
ur du sexe, et blesser l’honneur de la virginité, rachetée du Sang de Jésus-Christ , que de voir sur un Théâtre une Chrétienne se pro
istianisme est un esprit de calme et de paix. Et c’est cet esprit que Jésus-Christ inspira à ses Apôtres un peu avant son Ascension,
54 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
ut le droit qu’il y avait, a été retranché : à la vérité puisqu’après Jésus-Christ il va au diable au Spectacle, il renonce à Jésus-
puisqu’après Jésus-Christ il va au diable au Spectacle, il renonce à Jésus-Christ , comme il avait fait au diable. Idolatrie, ainsi
e ce lieu et Spectacle ? Et si tu l’interroges de ce qui appartient à Jésus-Christ , il n’en sait rien : ou bien s’il le sait, tant p
avait triomphé de tout le monde, gésir tout étendu, sous les pieds de Jésus-Christ . N’est-ce pas là un beau Spectacle, frères ? n’es
55 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « Sermon pour le jeudi de la première semaine de l'Advent. » p. 174
ille, nobis annuntiabit omnia. » « Je sais que le Messie, qui est le Christ doit venir, lorsqu’il sera venu il nous enseigner
56 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
per ta mauldicte rancueur. » Autre Discours de Lucifer. » Après que Christ fut au tombeau rendu » Trois jours apres de mort
en leur espece ; car les Discours que l’on fait tenir à Dieu & à Jesus-Christ parlans l’un à l’autre sont entiérement indignes
sentoit dans les ruës la Samaritaine, le mauvais Riche, la Passion de Jesus-Christ , & plusieurs autres Mysteres, pour recevoir n
57 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — III. Et c’est l’effet propre de la Comédie. »
lte ; & que parconséquent elle est directement opposée au but que Jesus-Christ s’est proposé de dompter les passions, & de s
58 (1639) Instruction chrétienne pp. -132
ité de cette instruction. Si ceux qui font profession de connaître Jésus-Christ , et de croire en lui, dépendaient, comme ils doiv
les Temples où se fait le service de Dieu, et y jouer sur le Théâtre, Christ , la sainte Vierge, les Apôtres et Évangélistes et
t de pierreries, et comme si nous nous voulions moquer de la croix de Christ , nous la changeons en une croix d’orfèvrerie, pou
, faisons la guerre au ciel, comme par un consentement public. Donc à Christ , (O rage monstrueuse !) à Christ dis-je nous offr
e par un consentement public. Donc à Christ, (O rage monstrueuse !) à Christ dis-je nous offrons les jeux du cirque et des bat
Nous frappons par nos outrages, celui qui nous traite si doucement. A Christ donc, (ô fureur monstrueuse !) A Christ, dis-je,
i nous traite si doucement. A Christ donc, (ô fureur monstrueuse !) A Christ , dis-je, nous offrons les cirques et les bateleur
t, dis-je, nous offrons les cirques et les bateleurs ; nous offrons à Christ pour ses bénéficesfr, les ordures des Théâtres ;
issant jusqu’à la mort, voire la mort de la croix. » Est-ce ainsi que Christ nous a instruits, quand il a enduré pour nous tel
 » Où sont ceux qui font ces choses, pour lesquelles l’Apôtre dit que Christ est venu ? Où sont ceux qui fuient les désirs mon
erfx ? Où ce peuple de bonnes œuvres ? Où est ce peuple de sainteté ? Christ a souffert pour nous, nous laissant un exemple af
ainsi, quand nous retournons aux spectacles, nous laissons la foi de Christ . Par quoi en cette manière tous les sacrements du
ateleurs, des paroles de vie, que des paroles de mort, des paroles de Christ , que de celles d’un farceur ? Il n’y a point de d
au Théâtre. L’Eglise est vide ; le lieu Comique rempli. Nous laissons Christ , pour adultérer par un regard impur ; et puis rep
n au livre des Ecrivains Eccles. le fait Evêque de Marseille, l’an de Christ . 1428. Et lui-même en l’inscription de la préface
 : il est obligatoire de rendre le bien pour le mal. fq. Allusion au Christ qui, par son sacrifice, a rendu Dieu propice à l’
59 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXII.  » p. 492
a Comédie: et s'il se considère comme enfant de Dieu, comme membre de Jésus-Christ , illuminé par sa vérité, enrichi de ses grâces, n
60 (1675) Traité de la comédie « XXXII.  » p. 327
e la Comédie. S'il se considère comme enfant de Dieu, comme membre de Jésus-Christ , illuminé par sa vérité, enrichi de ses grâces, n
61 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63
s servire. » Dieu, et le monde ; et ne ressemblent aux Pharisiens que Jésus-Christ compare à des sépulcres blanchis. C'est une erreu
s votre frère infirme. Ne perdez pas par votre exemple celui pour qui Jésus-Christ est mort. » « Noli.… illum perdere pro quo Chris
62 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
ait pas permis d’employer à cette sorte d’amusement. Vous assigniez à Jésus-Christ , en la personne de ses pauvres, une portion des f
 9.) la musique dans le deuil est une musique à contretempsl ; et que Jésus-Christ fit sortir d’une maison affligéeles Joueurs de fl
63 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — II. Ce qui rend à irriter la concupiscence combat directement cette fin. » p. 7
, attaque de front l’Evangile, & ne tend qu’à éteindre le feu que Jesus-Christ est venu jetter sur la terre. Contra Jul. c. 4.
64 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
r sans retour à vos véritables ennemis, ministres de sa justice. Mais Jésus-Christ a-t-il défendu la comédie dans l’Evangile ? Voit-
offensées ? Répondons par ordre, que veulent donc dire ces paroles de Jésus-Christ , malheur à vous qui riez ? Que signifie sa vie pé
e le décalogue entier. Si on pouvait ainsi se prévaloir du silence de Jésus-Christ , on justifierait les combats sanglants des gladia
65 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
et les Prêtres faisaient encore partie de la Magistrature au temps de Jésus-Christ .Matth. 27. Act. 4. Le Grand Prêtre Joïada fut jug
tout cela est bien plus relevé qu’il ne l’était dans le Judaïsme. Car Jésus-Christ n’est-il pas plus grand que Moïse ? Le Ciel que l
’honorer. Dès que les Grands de la terre furent convertis à la Foi de Jésus-Christ , ils ne donnèrent pas au Sacerdoce une médiocre p
x remplissent les postes les plus importants.Miroeus. De statu Relig. Christ . En Pologne, ils sont Sénateurs, c’est-à-dire, pa
nement l’Auteur de la Religion chrétienne. Car telle est la parole de Jésus-Christ à ses Disciples : Luc. 10. 16.« Qui vous méprise,
tu pour oublier son devoir. Hé ! quoi ? l’autorité que l’on reçoit de Jésus-Christ pour la défense de son nom, est-elle inférieure à
Lib. 6. Dion. Halic. Heb. 7. Davilla Filmer. Miroeus. De statu Relig. Christ . Puffend. Introduct. à l’histoire. Cette distinct
66 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « [FRONTISPICE] »
ibée en face de toute la ville de Lyon, au collège de la Compagnie de Jésus , le 7. d’Aoust, de la présente année 1607a a.
67 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7
es Martyrs chassoient fréquemment les démons, en vertu du pouvoir que Jesus-Christ en avoit donné en termes exprès, in nomine meo d
Ces mysteres étoient des actions saintes, la Vie & la Passion de Jesus-Christ , d’où les comédiens prirent le nom de Confreres d
68 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
ment chrétien, ou du moins de professer les maximes et la doctrine de Jésus-Christ , qui a dit formellement : Mon royaume n’est pas d
sots, ainsi que du contrat d’un mariage mystique d’une pénitente avec Jésus-Christ  ; de frère Arnoux, carme déchaussé, confesseur de
69 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
t ; saint Clement d’Alexandrieb condamne les Comédiens tant parce que Jesus-Christ ne nous y conduit pas, qu’à cause que le theâtre
en eux-mêmes l’image de Dieu ? N’ont-ils pas perdu la ressemblance de Jesus-Christ  ? Ne se sont-ils pas dépoüillez de la grace dont
ui qui se veut divertir avec le diable, ne pourra pas se réjoüir avec Jesus-Christ . Personne ne se joüe sans danger avec un serpent 
ue ce n’est ni Saint Pierre, ni Saint Jeana, ni aucun autre Apôtre de Jesus-Christ , qui a enseigné aux Chrêtiens à danser ; mais que
Can. 20. i. Can. 62. a. L. 3 ad Antolic. advers. calumn. Relig. Christ . b. In Octavio. c. Tract. advers. Gracos.
. 39. Syntag. Jur. uni. c. 11. e. L de origine &c. festorum die Christ . in januar. P. 32. f. Dames galantes. g. Biblio
Spect. c. 23. a. Homil. 38. in c. 11. Matth. b. L. I. de Instit. Christ . Fœmin. Tit. de saltationibus. a. L. 5. de inve
de Concionat. &c. a. Dialog. 24. a. L. 1. de Instit. Fœmin. Christ . Tit. de Saltationibus. a. Galat. 516. b. C.
70 (1733) Traité contre les spectacles « AVERTISSEMENT. » pp. 143-144
ur Sévère fit célébrer la douzième année de son empire, et la 205. de Jésus-Christ , selon Pamélius. Quelques Chrétiens peu instruits
71 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157
d par-là les princes de la nation juive qui consentirent à la mort de Jesus-Christ  : or, les Spectacles le font mourir une seconde f
’Evangile établit cette différence essentielle entre les Disciples de Jesus-Christ & les Partisans du monde : ceux-ci se rejouis
participation des Sacremens ; pouvez-vous vous flatter d’y rencontrer Jesus-Christ  ? Ah ! Comment s’y trouveroit-il, puisque le démo
72 (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267
s-nous les plus rigoureuses austeritez ? nous observons un régime que Jesus-Christ nous a prescrit, & que les plus grands Saints
solemnelle, de ne plus vivre à nous, ni au monde, mais de faire vivre Jesus-Christ en nous, & nous en lui ; de maniere que notre
de le perdre. Se considere-t-il comme enfant de Dieu, comme membre de Jesus-Christ , comme éclairé de ses lumiéres, enrichi de ses gr
73 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
me point les vanités du siècle : comment daignerait-il les regarder ? Jésus-Christ , auquel il est uni, les a crucifiées avec lui dan
de toutes ces folies, de peur que la vue ne nous en inspire le désir. Jésus-Christ est notre objet et notre terme, le seul digne de
de l’Egypte, des Apôtres, qui abandonnèrent leur famille pour suivre Jésus-Christ , il prouve combien nous devons soigneusement évit
74 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Approbation qui peut servir de Preface. » pp. -
s raisons portent â faux : puisque l’Auteur y demontre, que le nom de Jesus-Christ que nous portons, & qui lui a coûté tant de s
75 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 11
us belles, plus braves et plus muguetéesb que vous. Souvenez-vous que Jésus dit en l’Evangile, que celui qui regardera une fe
76 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
e. Celui-ci semble vouloir substituer la Morale des Païens à celle de Jésus-Christ , et nous faire passer la sagesse Stoïque pour la
ue de l’Evangile ? et la Comédie suppose-t-elle notre régénération en Jésus-Christ  ? Notre Théologien qui au commencement de sa Lett
rtueux, ou n’a nul avantage en cela sur les richesses, à quoi pensait Jésus-Christ d’appeler les pauvres bienheureux, et de dire ana
lexion que tous les Chrétiens sont des Prêtres qui conjointement avec Jésus-Christ , le Prêtre éternel et le Souverain Pontife des vr
ire, cela n’est que ridicule ; mais que des âmes rachetées du Sang de Jésus-Christ , destinées à la mortification et à la pénitence e
s cœurs, et s’arment, pour ainsi dire, contre la Croix et l’Esprit de Jésus-Christ , c’est l’excès de l’abomination. On sait bien que
77 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
suitique, qui vraisemblablement paya plus que les autres, en après un Jésus-Christ à sa droite environné d’anges avec leurs trompett
ibée en face de toute la ville de Lyon, au Collège de la Compagnie de Jésus , le 7. d’août, de la présente année 1607. Il a ét
78 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
premier jour de la semaine, le jour de la Naissance de notre Sauveur Jésus-Christ , le jour de l'Epiphanie, les jours de Pasques, et
le sorte, que leur vie réponde à la dignité, et à l'honneur du nom de Jésus-Christ , et de fuir autant qu'il leur sera possible, les
79 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
il a renoncé à tout ce qui lui appartient. Mais si après s'être uni à Jésus-Christ , il va aux Spectacles du Diable, il renonce à Jés
être uni à Jésus-Christ, il va aux Spectacles du Diable, il renonce à Jésus-Christ , comme il avait auparavant renoncé au Diable. L'I
80 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
t dans quel abîme de corruption l’homme est tombé, et par quel remède Jésus-Christ veut le guérir ? Quelle confiance méritent donc c
en sont pas également blessées ; mais c’est la louange de la grâce de Jésus-Christ , et non la justification des spectacles. La misér
81 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
dans quel abime de corruption l’homme est tombé, et par quels remèdes Jésus-Christ veut le guérir ? Quelle croyance méritent donc ce
’en sont pas également blessés ; mais c’est la louange de la Grâce de Jésus-Christ , et non la justification des Spectacles. La misér
82 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
n’a jamais eu dessein de lancer le foudre sur la Tragedie intitulée, Jesus-Christ souffrant, & composée par saint Gregoire de N
p de discretion & de pieté pour frapper de ses foudres l’image de Jesus-Christ . Plusieurs autres Pieces nous representent des Hi
& opposée au respect qu’elle nous ordonne de rendre aux images de Jesus-Christ , & des Saints. Quand nous remarquerions quelq
s images parlantes, que les bourreaux qui dans un tableau font mourir Jesus-Christ , ou les Saints, ne sont pas opposez à la venerati
la veneration que nous devons à cette representation de la Passion de Jesus-Christ , & du martyre des Saints. Ces bourreaux bien
orons ces representations en partie, parceque nous y voyons crucifier Jesus-Christ , ou martyriser les Saints. Les Histoires profanes
ont devenuës la proye des Infidelles. Ces vastes Provinces acquises à Jesus-Christ , & sanctifiées par le sang des millions de Ma
ue tous les mouvemens qui venoient des lumieres & des exemples de Jesus-Christ , ne pouvoient estre que tres-bons. C’est ainsi qu
que la profession de Chrestien engage à une imitation continuelle de Jesus-Christ crucifié, à une participation constante de ses so
83 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
es pendant que nous voyons les Spectacles de l'Eglise : Nous y voyons Jésus-Christ reposant sur la Table sacrée; nous y entendons l'
84 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CONCLUSION » pp. 113-114
omédiens ? Une telle disposition peut-elle s’accorder avec l’amour de Jésus-Christ , qui a donné sa vie pour le salut de tous les hom
85 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. » pp. 136-137
e convient pas à un homme grave, tel qu’est sans doute un disciple de Jésus-Christ . Mais dès que vous aurez fait ce pas, Saint Chrys
86 (1823) Instruction sur les spectacles « Introduction. » pp. -
cela peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un disciple de Jésus-Christ et d’un véritable chrétien. Il sera alors facile
87 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
en art les ris et les Jeux, pour attirer à son service les Soldats de Jésus-Christ . Et c'est pour cela qu'il a fait dresser des Théâ
t se jettent volontairement dans les rets de Satan. Quelle société de Jésus avec Bélial ? Comment donc souffrez-vous d'être p
tiens de profaner en faveur des Idoles la main qui reçoit le Corps de Jésus-Christ pour y communier ; car en ce temps-là ils prenaie
88 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
rs pieds, avec autant d’audace que d’impiété, les divins préceptes de Jésus-Christ , qui a dit, et j’aime à le répéter : « Mon royaum
ir le vrai culte ! C’est dans la violation de ces divins préceptes de Jésus-Christ , que nous venons de citer plus haut, que réside l
de leur dignité et par l’éclat de leurs fonctions, comme vicaires de Jésus-Christ , ont abusé de la majesté de la religion pour prét
89 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
paient comme nous à la raison : mais ils n’ont pu avoir l’esprit dont Jésus-Christ est le dispensateur, puisqu’ils ne connaissaient
ont Jésus-Christ est le dispensateur, puisqu’ils ne connaissaient pas Jésus-Christ . Il ne vous reste plus qu’à garantir votre fils d
en Tableaux que de donner un écu à un pauvre, qui est notre frère en Jésus-Christ , et de même nature que nous. Mais je sais bien qu
90 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — I.  » pp. 455-456
u'il n'y a rien de plus indigne d'un enfant de Dieu et d'un membre de Jésus-Christ que cet emploi. On ne parle pas seulement des dér
91 (1675) Traité de la comédie « II.  » pp. 275-276
u'il n'y a rien de plus indigne d'un enfant de Dieu et d'un membre de Jésus-Christ que cet emploi. On ne parle pas seulement des dér
92 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
re la Comédie en vain l’on écrira De ces moralités le public se rira. Jésus-Christ dira-t-il, aux riches de la terre Pendant toute s
93 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484
 : « Sine intermissione orate.  » Priez Dieu sans discontinuation. Et Jésus-Christ par celles-ci ; « Vigilate et orate ne intretis i
94 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
l’affliction, et le monde se réjouira. En saint Jean, ch. 16. C’est Jésus-Christ qui parle, et qui dans l’Evangile de ce jour pron
la terre ! Mais du reste sans altérer en aucune sorte les paroles de Jésus-Christ , et sans vouloir en adoucir la sévérité, je puis
, comme vous l’avez fait en recevant sur les sacrés fonts la grace de Jesus-Christ , et de rechercher maintenant les fausses joies qu
e-t-il avec ces grandes idées que nous avons du Christianisme, et que Jesus-Christ lui-même a pris soin de nous tracer : car ce n’es
prenante, remarque S. Chrysostome, que la maniere dont s’est expliqué Jesus-Christ sur tout ce qui nous scandalise et qui nous devie
es grands hommes avoient l’esprit de Dieu, pour former les vierges de Jesus-Christ à la sainteté de leur état ; mais ils leur donnoi
95 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177
ois confondre et accabler vos esprits par une multitude de préceptes, Jésus-Christ et saint Paul après lui, réduisent tout à la char
96 (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316
s : « Sine intermissione orate. » «  Priez sans discontinuation. » Et Jésus-Christ par celles-ci: « Vigilate et orate ne intretis in
97 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87
plaire aux autres  » : et contre lesquelles il allègue ces paroles de Jésus-Christ en Saint Matthieu : Math. XII. 36 [Matthieu, cha
98 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
ersonne ne s'aviserait de chercher des Comédiens dans la Compagnie de Jésus . Cela paraît même impossible. Les Compagnons de J
la Compagnie de Jésus. Cela paraît même impossible. Les Compagnons de Jésus se sont toujours dits et ont toujours paru les ge
ans rien perdre de sa gloire ni de celle de son chef, la Compagnie de Jésus aurait pu ignorer et paraître ignorer un art si é
trouve dans les poésies de S. Grégoire de Nazianze, sous le titre de Jésus-Christ souffrant. Rien de tout cela n'a été représenté n
99 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
s propose ses Héros livrés à leurs passions, la Religion nous propose Jésus-Christ souffrant pour nous délivrer de nos passions. Ceu
ivrer de nos passions. Ceux qui courent après les premiers, regardent Jésus-Christ crucifié comme une folie, et comme une occasion d
oivent être un jour sanctifiées par la nourriture céleste du Corps de Jésus-Christ , soient profanées par des Chansons infâmes, et qu
paroles déshonnêtes soient bannies de votre bouche. Que la parole de Jésus-Christ habite en vous avec plénitude, et vous comble de
100 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
demander qu’on fermât les Théâtres, sachant que celui-là pèche contre Jésus-Christ , qui blesse la conscience faible de son frère ;b
pourrait pas tenir les Livres qui décriraient le détail de la vie de Jésus-Christ  ; on peut dire que toute la vie d’un homme ne suf
onter. Les Lacédemoniens, qui n’étaient pas éclairés de la lumière de Jésus-Christ , ne voulurent jamais néanmoins laisser introduire
tacles. Chap. 27. Ne fuirez-vous donc point les sièges des ennemis de Jésus-Christ , cette Chaire de pestilence, cet air tout infecté
ces Divertissements et de ces Jeux, pour attirer à lui les Soldats de Jésus-Christ , et pour relâcher toute la vigueur et comme les n
présent, et qui a toujours les yeux intérieurs de son âme arrêtés sur Jésus-Christ , n’a point d’égard aux vanités et aux tromperies
e Confrérie de gens qui s’étaient dévoués à représenter la Passion de Jésus-Christ . Or dans toutes ces Pièces il n’y avait d’abord p
aux Comédiens, et je m’écrierai de joie, en prononçant ces paroles de Jésus-Christ , Les publicains et les pécheurs vous précèderont
avait acquises ? unir ensemble Dieu et le diable ? ou plutôt chasser Jésus-Christ pour faire régner le demon à la place ? Saint Aug
eureuse Ville un signe de miséricorde et de salut. C’est aussi ce que Jésus-Christ , qui a refusé tous les plaisirs qui lui étaient p
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