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1 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
CHAPITRE XII.Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eg
m’ont été adressés, au sujet de mes réflexions sur les prêtres et les évêques de la primitive église, et sur ceux des temps mod
ine, l’église fut dotée de seigneuries temporelles, qui donnèrent aux évêques de France beaucoup de part dans les affaires de l
tat. Ces affaires se traitaient dans les assemblées générales, où les évêques , comme plus instruits, se rendaient plus utiles q
rticiper au gouvernement de l’Etat, s’imaginèrent y avoir droit comme évêques , tandis qu’ils n’avaient obtenu quelques privilèg
stique v, servit encore de prétexte pour en imposer à la royauté. Les évêques , en plaçant la couronne sur la tête des rois, fai
résultèrent les actes les plus révoltants de la part des papes et des évêques contre la royauté. On vit des rois excommuniés, d
ir invoqué les canons de plusieurs saints conciles, pour rappeler aux évêques et aux prêtres, qu’ils devraient montrer l’exempl
ancourt en rapporte les citations suivantes. « C’est par la foi que l’ évêque soutiendra son rang…. Il doit avoir son petit log
va jusqu’à blâmer les canons de l’église qui jadis recommandaient aux évêques la simplicité évangélique et la pratique des vert
? » Puis il ajoute jésuitiquement, « on verra l’auteur insinuer qu’un évêque , dînant avec des pauvres, serait tout aussi respe
raisonner, il doit convenir qu’il avoue par sa dernière phrase, qu’un évêque est plus respectable à la table d’un ministre d’E
iens et logés dans de somptueux hôtels. Il dédaignerait sans doute un évêque modeste et simple, dont la table serait pauvre. I
vec des personnes peu fortunées. Il ne voudrait, enfin, voir dans les évêques que de grands seigneurs, entourés de tout le luxe
n défenseur et son panégyriste, on serait obligé de convenir, que les évêques auraient choisi un avocat bien mauvais et bien ma
2 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la discipline ecclesiastique, et des obligations imposees par les saints conciles dans la vie privee des pretres.  » pp. 341-360
rait délaissée et anéantie. Les législateurs ecclésiastiques sont les évêques et les prêtres qui ont composé nos premiers conci
donc ce que les lois de l’Eglise imposent le plus impérativement aux évêques . « 1° L’évêque doit avoir son petit logis près d
lois de l’Eglise imposent le plus impérativement aux évêques. « 1° L’ évêque doit avoir son petit logis près de l’église ; ses
et sa bonne vie. Canons du IVe concile de Carthage, an 398 ; « 2° L’ évêque aura sa chambre ; et pour les services les plus s
selon leur portée. Conc. de Pavie, an 850, can. 1, 3, 4 ; « 3° Les évêques sont exhortés à donner audience aux pauvres, et à
fessions. Conc. d’Oxford, an 1222, can. 2 ; « 4° Il est ordonné aux évêques de prêcher la foi catholique par eux-mêmes et non
la pratique de leurs devoirs, par la seule raison qu’ils voient leurs évêques s’en écarter eux-mêmes. Cela est si vrai, qu’il n
chez des veuves ou des vierges, qu’avec l’ordre ou la permission des évêques ou des prêtres, encore ne faudra-t-il pas qu’ils
être accompagnés de quelques-uns de leurs confrères, ou de ceux que l’ évêque , ou un prêtre en sa place, leur donnera pour adjo
que l’évêque, ou un prêtre en sa place, leur donnera pour adjoints. L’ évêque lui-même ou les prêtres n’iront pas, sans avoir e
ses de chevaux, soit du théâtre. Idem., can. 24 ; « 11° Défense aux évêques et aux clercs de loger avec des femmes, de porter
mis de votre salut ; car ce serait une chose tout à fait indigne d’un évêque ou d’un prêtre, de refuser de suivre les règles q
rain pontife s’écrie que ce serait une chose tout à fait indigne d’un évêque ou d’un prêtre de refuser de suivre les règles de
vre les règles de l’Eglise ; Or, il est manifeste, cependant, que les évêques et les prêtres ont enfreint ces lois et ces règle
ncore dans la maison du Seigneur, doivent s’empresser de réparer. Les évêques , administrateurs de diocèses, et surtout les curé
nt être les premiers à informer avec zèle, respect et discrétion, les évêques et les ecclésiastiques supérieurs, de la négligen
3 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. » pp. 146-153
Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes,
e d’expliquer deux questions importantes qui regardent l’autorité des Evêques , touchant la prohibition des danses. La première
ment employée que pour appuyer et faire observer le droit commun, les Evêques peuvent la défendre par leurs Ordonnances, aux jo
a. 1 conc. 13. Turrecremata in d. c. Irreligiosa eod. tit. D. 5. un Evêque peut bien sans doute ajouter sa Sentence particul
Archipresb. suivant la doctrine de plusieurs célèbres Canonistes, les Evêques pourraient suppléer à ce défaut, et faire les pro
orrible profanation. Pour le second, on ne peut non plus douter qu’un Evêque ne puisse défendre la danse absolument et en tout
server et augmenter la piété Chrétienne. Je dis bien davantage, si un Evêque veut remplir son ministère, répondre au rang qu’i
ême déclare,In c. fui interrogatus de emptio. Abbas eodem loco. qu’un Evêque peut prononcer Sentence d’excommunication contre
te vérité par des exemples. Comme ils assurent sur ce principe, qu’un Evêque peut excommunier les Marchands qui mêlent la fari
xcommuniés par les Ordinaires des lieux ; d’où ils concluent, que les Evêques ont pouvoir d’ordonner généralement tout ce qui e
4 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
ns nos Pieces de Théatres, a, 49, 83, 89 ; b, 271, 330 André (Jean), Evêque d’Aleria. Comment il a caractérisé Tite-Live, b,
pour arrêter les mauvais effets des Théatres, b, 385 Arnaud (Henri), Evêque d’Angers, b, 248 Arnaud (d’). Ses idées sur les
buleuses du Paganisme, b, 17. Bals. Mandement de M. de Rochechouart, Evêque d’Arras, contre les Bals, a, 408. Sentimens de M.
l’Ouvrage intitulé : Querelles Littéraires, b, 346 Barillon (Henri), Evêque de Luçon, b, 258 Barentin, a, 328 Barreaux (Val
chargé relativement aux Spectacles, a, 482 Beauteville (de Buisson), Evêque d’Alais. Pensées extraites de son Mandement du 27
is XVI, b, 175. Idée des devoirs d’un Roi, b, 342. Beauvais (M. de), Evêque de Senez. Pensées extraites de son Oraison funebr
ts de son Oraison funebre du Maréchal du Muy, b, 510 Belloi (M. de), Evêque de Marseille. Son Ordonnance à l’occasion du Cirq
ire contre les Spectacles, b, 213 Bertone (M. Marc Aurelius Balbis), Evêque de Novarre. Idée de son zele pastoral, b, 244. Ci
e, b, 370 Bourdaloue (le P.) Ce qu’il pensoit du Pere Soanen, depuis Evêque de Sénez, a, 402. Comment il a été caractérisé, b
Poëmes lyriques, 82. Comment il a caractérisé le Pere Soanen, depuis Evêque de Sénez, a, 402 Bucer (Martin), Protestant, b,
ur le danger des Bals, a, 407 ; & b, 445 C Caisotti (M. Paul). Evêque d’Asti en Italie. Son zele contre les Spectacles,
a, 524 Caraccioli. Sa Vie de Clément XIV, 48. Son témoignage sur les Evêques d’Italie, b, 237 Cassiodore. Citation relative a
1 Catulle. Licence des Poëtes, a, 100 Caulet (François-Etienne de), Evêque de Pamiers, 443 Cause, de la décadence du goût s
e), b, 58 Chaise (le P. la). Ce qu’il pensoit du Pere Soanen, depuis Evêque de Sénez, a, 402 Chalucet (Bonnin de), Evêque de
du Pere Soanen, depuis Evêque de Sénez, a, 402 Chalucet (Bonnin de), Evêque de Toulon. Son Mandement contre les Spectacles, b
vrage contre les Théatres, b, 347 Charlemagne. Ce qu’il exigeoit des Evêques , b, 126 Charles (S.) Borromée. Ses vrais sentime
ace de Souverain Pontife, 253. Beau trait de sa Lettre circulaire aux Evêques , 255. Citation d’une de ses Lettres sur les Incré
ung, 63, 506 Clémencet (Dom), Bénédictin, b, 355 Clermont-Tonnerre, Evêque de Clermont. Sa Réponse à Louis XIV, relativement
ux Fideles du Royaume, a, 472 ; b, 528, 537 Coëtlosquet (de), ancien Evêque de Limoges. Son témoignage donné en 1770 sur les
e. Anecdotes honorables à sa mémoire, a, 323 ; & b, 105 Colbert, Evêque de Montpellier. Son Ordonnance & ses avertiss
de S. Maur, Editeur de la nouvelle édition des Œuvres de M. Bossuet, Evêque de Meaux, a, 61 Della Christiana moderazione del
de Jean Racine, par M. Tronchon, a, 510 Epître en Vers à M. Bossuet, Evêque de Meaux, sur son Livre touchant la Comédie, a, 3
mens funestes relatifs aux Spectacles, a, 450-454 ; & b, 489-497 Evêque (l’) de la Ravaliere, de l’Académie des Inscripti
, a, 172 & 173. Son jugement sur les Sermons du P. Soanen, depuis Evêque de Senez, 402. Notice sur le Télémaque, b, 70. So
Financiers. Réflexions sur cet état, b, 319, 534 Fléchier (Esprit), Evêque de Nîmes. Son Mandement contre les Spectacles, a,
tion de sa Satyre intitulée : Le Dix-huitieme Siecle, a, 143 Godeau, Evêque de Grasse. Son Sonnet sur le Théatre, a, 455 Gom
éatre, 512 Harres (N.). Libellus de Comædiis, &c. b, 144 Hébert, Evêque d’Agen. Ses conseils à Madame de Maintenon pour n
diens, a, 114, 473. Critique de son Ouvrage, 196, & b, 356 Huet, Evêque d’Avranches. Sa définition des Romans, b, 53 &
6. Ses progrès en France, b, 516. Moyens proposés par M. de Beauvais, Evêque de Sénez, pour la réprimer, 518. Supérieurement c
es publics, a, 287 Journal de Théatre, a, 598 Juigné (le Clerc de), Evêque de Châlons. Citation de sa Lettre Pastorale contr
usa la sépulture chrétienne à la le Couvreur, b, 182 La Ravaliere (l’ Evêque de). Citation de son Essai de Comparaison entre l
Poésie dramatique, a, 264 Laval, Comédien, b, 195 Laval (Henri de), Evêque de Luçon, b, 258 Lauriso. Citation de son Ouvrag
ar son mérite, attribuée au P. Caffaro, b, 116 Lettre de M. Bossuet, Evêque de Meaux, au P. Caffaro, Théatin, a, 359 Lettre
41, touchant les Comédiens, 294 Louis XIV, Sa question à M. Bossuet, Evêque de Meaux, sur les Spectacles, a, 61. Défenses fai
471 Maintenon (Madame de). Les conseils qu’elle reçut de M. Hébert, Evêque d’Agen, sur les exercices dramatiques de la jeune
nion sur l’état de Comédien, a, 289 Mandement de M. de Rochechouart, Evêque d’Arras, contre la Comédie, a, 404 Mandement du
ndement du même, touchent les Bals, a, 408 Mandement de M. Fléchier, Evêque de Nîmes, contre les Spectacles, a, 414 Mandemen
ssieu (l’Abbé). Son opinion en faveur de la Poésie, b, 18 Massillon, Evêque de Clermont. Compliment qu’il reçut de Louis XIV,
289 Neufvy, b, 467 Nicole. Son jugement du Discours de M. Bossuet, Evêque de Meaux, sur l’Histoire Universelle, a, 61 Citat
Spectacle, a, 77 ; b, 57, 177, 384, 555 Ordonnance de M. de Belloi, Evêque de Marseille, touchant le Cirque ou Colisée. a, 4
ances de M. de Castries, Archevêque d’Alby ; & de M. de Pouillac, Evêque de Lodeve, touchant les Spectacles, a, 596 Ordre
cessité d’être vertueux dans la jeunesse, b, 442 Pavillon (Nicolas), Evêque d’Aleth. Idée de la vie de ce Prélat, b, 442 Pay
b, 190. Notice sur son Discours sur les Théatres, 201 Pouillac (de) Evêque de Lodeve, a, 596 Poupart, Curé de S. Eustache,
sur les devoirs des premiers Magistrats, 471. Anecdote sur M. Soanen, Evêque de Sénez, b, 274. Son jugement sur nos Pieces dra
(André), Ministre Protestant, b, 281 Rochechouart (Guy de Seve de), Evêque d’Arras. Son Mandement sur la Comédie, a, 404. Au
e des Discours du P. le Brun sur la Comédie, b, 150 Roquelaure (de), Evêque de Senlis. Sa prudence dans l’éloge qu’il fit de
b, 448 Sixte V. Jugement que les Romains en portent, a, 518 Soanen, Evêque de Sénez. Egard qu’on doit avoir pour la défense
il pensoit des représentations de Thespis, b, 3 Sonnet de M. Godeau, Evêque de Vence, sur le Théatre, a, 456. Autre Sonnet d’
premier volume, & les pages 596 & 598 de cette Table, où cet Evêque se trouve nommé par erreur, Pouillac. Cette même
é loué par M. de Boisgelin, Archevêque d’Aix, & M. de Roquelaure, Evêque de Senlis, a, 429 Voisin. Sa défense du Traité d
idées sur les Spectacles, 58. Son jugement du Discours de M. Bossuet, Evêque de Meaux, sur l’Histoire Universelle, 61. Comment
5 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VII. » pp. 36-41
manière si Païenne comme Archevêque d’Aix, n’est encore à présent qu’ Evêque de Lavaur. En effet qui a dissout ce mariage spir
ndement le Concile appuie-t-il sa conjecture ? C’est, dit-il, que les Evêques ne passent jamais d’un grand Evêché à un moindre 
t en lui remettant son autorité. Il est vrai que c’est par là que les Evêques nommés qui sont aujourd’hui en très grand nombre
s assemblés puissent donner l’autorité de gouverner leur Diocèse à un Evêque qui n’est pas encore déchargé du soin qu’il est o
ime translation, qui est qu’elle ne se fasse que par obéissance, et l’ Evêque y étant comme forcé, maxima exhortatione , dit l
Rome cassa la translation d’Irénée à Barcelone quoi que faite par les Evêques de la Province de Tarracone, fait assez voir ce q
re n’en avait de l’être de celle d’Irénée qui avait été faite par les Evêques d’une Province. Ce n’est pas que sur le pied où e
6 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IX. » pp. 44-46
ieux de ses Epîtres un excellent portrait de toutes les qualités d’un Evêque , et il semble que l’Eglise de Paris les ait voulu
e qu’on a toujours regardé comme devant être le caractère de tous les Evêques . Voyons si celui que vous faites de votre Héros l
cru que ce fussent des vertus à être oubliées dans le caractère d’un Evêque . Il en fait même le capital comme vous pouvez voi
r par toutes ses Epîtres. Et Jésus Christ le divin modèle de tous les Evêques a fait voir par cette triple interrogation qu’il
pas votre Héros, et que le caractère si défectueux et si indigne d’un Evêque que vous en faites ne soit pas moins une fable, q
7 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140
erons qu’en 1820 un jeune acteur du théâtre de la Gaîté se suicida. L’ évêque de Versailles le reçut dans le sein de l’église,
rêtres et des jésuites, et ce sont des jésuites et des prêtres et des évêques qui lui font les plus belles épitaphes pour le ve
ingratitude envers cet auteur et ce comédien célèbre. » Le vénérable évêque d’Avranches, M. Huet 9, sous-précepteur du dauphi
de grammaticale. 9. [NDA] Huet (Pierre-Daniel), né à Caen, en 1630. Evêque d’Avranches, en 1685. Ce fut en 1670 que Bossuet,
diait. « Eh ! pourquoi, disait-on, le roi ne nous a-t-il pas donné un évêque qui ait fait ses études ? »
8 (1825) Des comédiens et du clergé « Table des matières, contenues dans ce volume. » pp. 409-427
la religion que les comédies, pag. 201 ; élection des archevêques et évêques des fous, dans les orgies des diacres et sous-dia
res d’Amiens dansent et font des orgies dans l’église, pag. 321 ; les évêques , ducs de Langres, et pairs ecclésiastiques, reçoi
e, et il n’y a aucune exception en leur faveur, pag. 337 et 360 ; les évêques et les prêtres manquent eux-mêmes à la discipline
pag. 289 ; association de la Mère Folle, brevet singulier délivré à l’ évêque de Langres, pag. 323. Disciplinants à Madrid et
pag. 269. Discipline ecclesiastique, négligée par les prêtres et les évêques , on les y rappelle en leur citant les divers cano
dans la discipline imposée par les lois ecclésiastiques, pag. 332*. Evêques ou archevêques des fous, élus chaque année dans n
uiv. Jongleurs, espèce de comédiens, pag. 77, 81. L.   Langres, les évêques de Langres donnent des statuts à la société connu
Mere folle, à Dijon (association de la), brevet singulier délivré à l’ évêque de Langres, pag. 323. Mere sotte, à Paris, assoc
9 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIII. » pp. 62-65
t cela serait alors plus supportable pour représenter la charité d’un Evêque  ; mais ce que vous dites ensuite empêche qu’on n’
que votre incomparable Prélat ne sait ce que c’est que le devoir d’un Evêque et d’un Pasteur. Car est-ce pour guérir les malad
 ? Est-ce pour la santé du corps ou pour le salut de son peuple qu’un Evêque est obligé de sacrifier son bien, ses soins, ses
en, ses soins, ses affections, ses pensées, et sa propre vie ? Si les Evêques sont « les Vicaires de l’amour de Jésus Christ  »
10 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
e têtière ou masque qui représente une tête de lion, S. Siméon est en évêque , chapé et mitré, et portant au bras gauche un pan
mme leurs dieux ! Qui profane les habits pontificaux, et la dignité d’ évêque , la première de notre religion ? C’est encore un
in représenté par un jeune homme de vingt-huit ou trente ans, vêtu en évêque avec une soutane, rochet, camail et croix pectora
nd zèle pour la danse et les ballets ; car lorsque M. de la Berchère, évêque de Lavaur, fut nommé à l’archevêché d’Aix, ils cé
arce que le peuple appelait cette cérémonie la danse des chanoines, l’ évêque Cyrus de Thiard et le chapitre jugèrent de concer
jour de mai le chapitre d’Evreux avait coutume d’aller dans le bois L’ évêque , qui est fort près de la ville, couper des rameau
rompre, briser, et démolir quelque chose d’essentiel aux clochers. L’ évêque y voulut mettre ordre : il défendit cette sonneri
ondation du chanoine Bouteille a fait appeler dans la suite le bois L’ évêque , où la procession noire allait couper ses branche
de la Bouteille, et cela parce que, par une transaction faite entre l’ évêque et le chapitre, pour éviter le dégât et la destru
et le chapitre, pour éviter le dégât et la destruction de ce bois, l’ évêque s’obligea de faire couper par un de ses gardes au
tres les leur jetait au visage d’une manière grotesque. Le garde de l’ évêque , chargé de la distribution des rameaux, était obl
dans certains lieux nommée fête des Calendes), on élisait, dis-je, un évêque ou un archevêque des fous, et son élection était
clercs, et des sous-diacres. Il y avait même certaines églises où les évêques et les archevêques jouaient aux dés, à la paume,
abit de femmes, de gens insensés et d’histrions ; qu’ils élisaient un évêque ou un archevêque des fous, qu’ils le revêtaient d
e l’église ! n’est-ce pas compléter tout à fait la profanation ?), un évêque des fous, à qui l’on préparait un festin ridicule
telles en vérité qu’elles seraient incroyables, si nous n’avions les évêques et les docteurs de ce temps-là pour témoins, qui
le du jour des innocents, les enfants de chœur élisaient parmi eux un évêque , et lui rendaient, autant qu’il en pouvait être c
tre capable, les honneurs et les respects qui sont dus à un véritable évêque . La chose était assez ridicule. Ce bel évêque se
sont dus à un véritable évêque. La chose était assez ridicule. Ce bel évêque se plaçait dans le siège épiscopal durant l’offic
sse était sonné, les enfants de chœur allaient quérir en procession l’ évêque en la maison de la maîtrise, ils l’amenaient dans
qui était une des plus scandaleuses du temps. Ce jour-là on élisait l’ évêque des fous, qui était porté sur les épaules des cle
iscopal, dont toutes les portes s’ouvraient à son arrivée, soit que l’ évêque véritable fût présent ou absent. On le portait de
onnerie. Le prétendu prélat faisait toutes les fonctions du véritable évêque . Il assistait aux offices dans la chaire de marbr
ue. Il assistait aux offices dans la chaire de marbre destinée pour l’ évêque  ; et même il officiait pontificalement pendant tr
e si importante, qu’un clerc du diocèse de Viviers, qui avait été élu évêque des fous, ayant refusé de s’acquitter des fonctio
illaume Taynoard, aux frais du repas qu’il devait donner en qualité d’ évêque des fous, et qu’il avait refusé de payer sans rai
ns les deux cathédrales exemptes de la juridiction de l’ordinaire, un évêque ou un abbé dans les deux collégiales. On les appe
approbation de la même société eut lieu en 1482, par Jean d’Amboise, évêque , duc de Langres et lieutenant pour le roi en Bour
Voici un diplôme de réception délivré à Louis Barbier de la Rivière, évêque de Langres (depuis 1655 jusqu’en 1670) ; sa conte
sa contexture est digne de remarque, et il est fort singulier, qu’un évêque qui était pair ecclésiastique, et qui fut même au
ndaines, savoir faisons, que haut et puissant seigneur de la Rivière, évêque , duc et pair de Langres, ayant en désir de se tro
Dijon. » L’une des devises de cette société, dans laquelle figure un évêque , duc, et pair ecclésiastique, était : « Le mond
11 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
rt de la jeunesse, par l’excès de leurs mauvaises vies. Saint Martial évêque de Limoges, autrement appelé l’Apôtre des Gaules,
autrement qu’en vers. PolycarpeDisciple des Apôtres, et fait par eux Evêque de Smyrne, en son Epitre aux Philippiens, les rep
eurs de jeunesse, d’avoir pris des habits Sacerdotaux en dérision des Evêques . Saint Irénée Disciple de Polycarpe, étant envoy
ment les vices des Romains et des Bouffons. Saint Grégoire le grand, Evêque de Neocésarée en la Province de Pont, surnommé Th
blâme l’Empereur Decius, de s’adonner aux jeux scéniques. Eusebius, Evêque de Césarée en Palestine, en l’une de ses œuvres d
Evêque de Césarée en Palestine, en l’une de ses œuvres de la foi des Evêques , reproche qu’il y en avait parmi eux, qui ressemb
le dedans corrompu des vices de l’arianismeh ; Le grand Saint Basile, Evêque de Césarée en Cappadoce, en son traité des gestes
mes latins, parle des Mimes avec beaucoup de mépris. Saint Epiphane, Evêque de Constance, dans son Panarium se plaint de l’Em
par leurs lascivetés les bonnes mœurs d’un chacun ; Saint Ambroise, Evêque de Milan, écrivant à sa sœur sur la préparation d
les avait chassés de l’Empire, pour leurs dépravations. S. Augustin, Evêque d’Hippone en Afrique, étant envoyé à Carthage pou
agnon, selon Eugenius, de fuir les façons des Bouffons : S. Cyprien, Evêque de Carthage, un des plus excellents Philosophes d
12 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Fêtes de Théatre. » pp. 169-185
de moutons, dont la laine fait le commerce du pays. La capitale que l’ Evêque n’habite point, est une paroisse de deux mille ha
ntôt avec l’Archidacre d’Olargues, & le Curé Taxil, tantôt avec l’ Evêque de Toulon & l’Archevêque de Cambrai ; tantôt
aits de la satyre, inonderent le Royaume de brochures contre les deux Evêques , qui de leur côté très-féconds écrivains, firent
, on fit jouer une piéce où on employa le Rochet & le Camail de l’ Evêque , qu’on se fit prêter à son insçu, par son valet d
On ne doute pas que cette décision ex cathedra ne soit ratifiée par l’ Evêque , & ne devienne un dogme dramatique. Les ornem
ne devienne un dogme dramatique. Les ornemens Pontificaux du dernier Evêque (Gueret) ont eu aussi l’honneur de paroître sur l
ils alloient fort bien : non hos quæsitum munus in usus . Le dernier Evêque de Montauban fut si choqué d’un pareil usage, qu’
ns, dans une piéce jouée au Collége, qu’il interdisit les Jésuites. L’ Evêque actuel de Saint-Pons se sert des reliques de son
fait un grand éloge de leur saint habit, & l’on porte plainte à l’ Evêque de Saint-Pons, à qui elles sont adressées, de l’a
pectacles ecclésiastiques ; c’est l’usage de faire des complimens aux Evêques , par-tout où ils se trouvent, c’est le revenantbo
13 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
que presque rien pour être vieux de six siècles. « Il est ordonné aux évêques de prêcher par eux-mêmes, et non par d’autres. »
, le texte conserve une nudité qui révolte : « C’est par sa foi que l’ évêque soutiendra son rang ; dans son petit logis, sa ta
on poursuive, et, dans la même page, on verra l’auteur insinuer qu’un évêque dînant avec des pauvres serait tout aussi respect
ait les cérémonies des fous, de l’âne et des cornards, ou lorsque les évêques dansaient ou jouaient à la boule dans les églises
14 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132
uge ordinaire, mais par les trois cardinaux chefs d’ordres, M. de N., Cardinal Evêque , à la tête. Le décret par leur ordre fut exécuté
a juger des autres. J’écris tous mes ouvrages en latin, afin que les évêques ne les entendant pas, n’ayent point envie de les
médienne entretenue. Un jour pendant la tenue d’un Concile, plusieurs Evêques s’étoient assis & s’entretenoient dans la rue
en triomphe au milieu d’une foule d’amans & de domestiques : les Evêques en furent scandalisés, & détournerent les yeu
tournerent les yeux d’un objet si dangereux & si profâne. Le seul Evêque Nonnus, ancien religieux du monastere de Thabenne
e plus séduisant pour se faire aimer des hommes. Et moi, Prêtre, moi, Evêque , quel soin prens-je de mon ame pour la parer des
nvola vers le ciel, & disparut. Le lendemain jour de Dimanche les Evêques s’assemblerent dans l’Eglise, pour célébrer les s
ouvoit venir ; mais qu’il ne lui parleroit qu’en présence de tous les évêques . Elle court à l’église où ils étoient assemblés,
tême avec tant d’instances, de protestations, de gémissemens, que les évêques touchés de tant de marques de conversion, furent
Que de prodiges ! Une actrice convertie, un modele de pénitence, un évêque qui prêche, baptise, convertit ; qui ne veut voir
fforts. On compare ailleurs à un comédien Paul de Samosate, ce fameux évêque d’Antioche, s’étoit fait bâtir dans l’église une
cérémonies on met un beau fauteuil dans la chaire de la cathédrale, l’ évêque s’y place pour prêcher le peuple & montrer de
me l’action, & donne de la grace & de la facilité au geste. L’ évêque prêchoit réellement autrefois : mais comme la sol
t pas la musique, & qu’il n’a pas plus de voix pour chanter que l’ évêque pour prêcher, il fait tenir à son côté pendant to
15 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « V. » pp. 23-26
t rien dans l’une et dans l’autre qui soit davantage condamné dans un Evêque , que cet Esprit de domination et d’Empire avec le
4 « Paissez le troupeau qui vous est commis, dit S. Pierre à tous les Evêques , … …non en dominant sur l’héritage du Seigneur, m
, autant que l’on peut, le fruit d’un long et pénible travail de tout Evêque , quelque Saint qu’il eût été, qui n’aurait pas ap
16 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
’Agnani, éternelle félicite. très saint Père, C’est sans doute aux Evêques que ces paroles de Moïse sont particulièrement ad
vec respect la connaissance des volontés de Dieu de la bouche de leur Evêque , qu’ils demandent au Prêtre les avis nécessaires
est donc nécessaire pour suivre l’ordre de Dieu et de l’Eglise, qu’un Evêque fasse connaître à ses Diocésains ce qui est permi
que commititur. » Concil. Tolet. On ne peut donc point douter qu’un Evêque ne soit dans l’obligation de corriger les vices q
saint Grégoire, d’être appelé « un chien mort, que de porter le nom d’ Evêque  ».« Episcopus qui talium crimina non corrigit, ma
Mais il faut que les puissances séculières se joignent au zèle de l’ Evêque  ; car comme dit saint Isidore, celui qui est en a
17 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
ardinal Delci avec trente-six autres tant cardinaux qu’archevêques et évêques d’Italie, mes chers frères, ne vous laissez pas s
ne faudrait jamais savoir ? Vous ne vous croiriez pas innocens, dit l’ évêque d’Arras, si vous fournissiez à une créature impud
liment salutaire… ils leur donnent le goût des passions. » Le célèbre évêque d’Amiens, M. de La Motte, appelait les spectacles
une infinité de jeunes personnes renoncèrent aux spectacles. Le saint évêque eut la consolation de faire en ce genre une conqu
ité fit circuler par toute la France une fable sur le compte du saint évêque d’Amiens. On disait que dans un temps de grande m
is pas cependant jusqu’à la folie. » Vers 1760, Monseigneur Caisotti, évêque d’Ostie en Italie, engagea tous les curés et les
ssiens et leurs compatriotes contre les spectacles. « C’est là, dit l’ évêque de Namur en 1815, c’est là que règne seul l’ennem
itions des SS. canons et aux règlements de plusieurs saints et dignes évêques , nous défendons aux fidèles de notre diocèse l’as
grief. » Il serait trop long de citer tous les mandements des autres évêques de la Belgique, qui parlent dans le même sens. Un
ciles généraux et provinciaux, des synodes diocésains, grand nombre d’ évêques de tous les pays défendent aux fidèles d’assister
onc le théâtre est mauvais. Troisième fait. — Un très-grand nombre d’ évêques et de rituels défendent aux confesseurs d’absoudr
uvé le théâtre. Donc le théâtre est mauvais. Ainsi conciles, synodes, évêques , théologiens, littérateurs profanes, auteurs dram
, de Noyon, de Toulon et de Mâcon ; les mandements des archevêques et évêques de Cambrai, d’Arras, d’Alby, de Lodève, de Namur,
18 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
Mandement De Monseigneur l’illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie. G Uy de Sève de Ro
rs et aux Magiciens, et les regarde comme manifestement infâmes : les Evêques les plus saints leur font refuser publiquement le
t refuser publiquement les Sacrements ; nous avons vu un des premiers Evêques de France ne vouloir pas par cette raison recevoi
19 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
et le préparer à son dernier passage ? Les Chanoines, ce sénat né des Evêques , chargés par état de la prière publique et du cul
int que les canons de l’Eglise. L’Empereur Honorius défend à tous les Evêques , Prêtres, Diacres, Sous-diacre et Clercs, de veni
et des Prêtres, et ce que nous rougissons bien plus de dire, même des Evêques , jouent à des jeux de hasard, et s’oublient jusqu
tinien défend absolument et sans exception à tout le Clergé, même aux Evêques , d’y paraître davantage. Il ordonne aux Patriarch
raître davantage. Il ordonne aux Patriarches, aux Métropolitains, aux Evêques , d’y veiller avec soin, et de punir rigoureusemen
t le talent des Comédiens, de contrefaire tout le monde. M. le Camus, Evêque du Bellai, l’ayant vu contrefaire ses sermons, en
hasard quelqu’un avait été ordonné, il devait être déposé, et même l’ Evêque qui lui avait imposé les mains : « Aliquos qui vo
ais faire briller ses talents, au milieu des neiges, où cependant les Evêques n’aient cru devoir prendre la précaution de les i
place du Clergé ? On ne peut trop louer la sagesse de M. de Colbert, Evêque de Montpellier, qui défendit à tous les Bénéficie
20 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
rapporte les statuts ridicules de ces filles, dressés, dit-il, par l’ Evêque de Paris, où l’on trouve le nom de Dieu mêlé indé
iecle ont leurs statuts qui ne sont pas, il est vrai, dressés par les Evêques , elles ne célèbrent la fête d’aucun Saint & n
e 82. Je ne sais dans quel siecle on a commencé de dire pour louer un Evêque , il a de bonnes mœurs, &c. Cette réflexion es
c. Cette réflexion est juste, c’est assurément un mince éloge pour un Evêque qui doit être le modèle de toutes les vertus. Mai
ariage entre parens jusqu’au septieme degré, & dans la maison des Evêques & des Abbés, & dans les Cloitres des Chap
viche qui épouse six filles à la fois pour avoir des suppléantes. Les Evêques affranchissoient le champion qui avoit tué trois
lle déréglée. Un Prêtre au mariage de son frère, fut interdit par son Evêque , pour avoir porté des rubans de noces à la manche
propos de la rue de l’Arbre sec, il compile des traits d’avarice de l’ Evêque & des Curés de Paris du seizieme siecle. Quel
oncile si les femmes étoient des créatures humaines. Quel conte ! Les Evêques firent révolter les villes contre leur Roi légiti
oumettre à Clovis, quoique Payen, parce que leur Roi étoit Arien. Les Evêques , la plupart mariés, faisoient donner à leurs enfa
soit lever, les assembloit & les prêchoit malgré eux. P. 155. Les Evêques de Cahors quand ils officient ont une épée &
raits la plupart faux ou malignement défigurés, contre les Papes, les Evêques , les Prêtres, les Moines, & contre tous les P
ge pour faire ce discernement. Tom. 4. pag. 74. Il fait l’éloge de l’ Evêque & des Curés de Paris. Tout le monde y souscri
corruption & l’irréligion du siecle, une pareille mascarade ? Les Evêques attaquoient les Seigneurs François, qui les repou
Cour de Rome, il ne faut pas plus lui en faire un crime qu’aux mille Evêque qui composerent le concile de Latran qu’il assemb
sexte n’est composée que des réponses des Papes aux consultations des Evêques François, & des décisions sur les proces de F
21 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XII. » pp. 58-61
et qui la regarde avec attention, ce qui n’est pas moins indigne d’un Evêque que le défaut, que vous voulez éloigner de son ca
on Troupeau : secret ignoré jusques à cette heure par tous les Saints Evêques . Un mauvais Génie pour le même dessein tâche de
aints ont honoré les leurs. Ecoutez ce que S. Bernard dit d’un savant Evêque de son temps Gilbert Evêque de Londres. « La pure
22 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67
dre & Bérénice : Clairon est Clairon par-tout. Paul de Samosate, évêque d’Antioche dans le troisieme siecle, a été déclar
on eut recours, décida que la maison appartiendroit à celui des deux évêques qui auroit l’approbation du Pape : tant il étoit
té. Le concile écrivit une lettre circulaire au Pape & à tous les évêques , où, pour justifier sa conduite, il fait un portr
res.         A la comédie au couvent,         Même sous les yeux d’un évêque  ! SILVIE.         Vous n’y pensez pas. Doucemen
re, Ah ! si vous le saviez, vous baisseriez le ton.         Est-ce un évêque à la douzaine,         Qui, content d’en porter l
voudra, nous mettrons à la banque. LISETTE.         C’est un grand évêque , il est vrai.         Un évêque n’est-il pas homm
ue. LISETTE.         C’est un grand évêque, il est vrai.         Un évêque n’est-il pas homme ? A ne rire jamais seroit-il c
23 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « III. » pp. 12-16
us êtes les premiers qui en avez introduit l’usage à la réception des Evêques . Je n’en trouve nulle part aucuns vestiges. Dieu
méchante cause. Vous vous attireriez sur les bras tout ce qu’il y a d’ Evêques zélés et de bons Pasteurs dans l’Eglise, aussi bi
en chantant doucement et modestement des Hymnes et des Cantiques. Les Evêques pleuraient, et le Souverain Pontife répandait des
24 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221
es. Ce concile défend d’en imprimer qui n’aient été approuvés par les Evêques , ou ceux qu’ils en ont chargé ; il exigea donc qu
tres du centre de la Ville, & les théatres de société. Le dernier Evêque de Cahors (du Guesclin) homme de bien, qui s’étoi
jamais brillé dans le Querci ; il auroit par un tel éclat, reveillé l’ Evêque Chartreux, trop dévot pour aimer la comédie, qui
udier les comédies de Térence dans le Seminaire ; il fit entendre à l’ Evêque que pour faire entendre le Latin d’Akempis à ses
mérite de l’aspirant, du suffrage du Grand-Vicaire, de la faveur de l’ Evêque & de l’ordination. Ce grand zélateur alloit l
soit même quelque-fois venir sa classe aux Chartreux, pour donner à l’ Evêque & à ces bons Réligieux, le spectacle comique
mique d’un examen sur l’Eunuque & le charmion ; il mourut avant l’ Evêque , les autres Grands-Vicaires qui gémissoient de ce
s folies, firent fermer le théatre, & rétablirent le bon ordre. L’ Evêque lui survecût peu, son successeur n’est pas dans l
nna ce Prélat, ce fut l’introduction d’un nouveau Breviaire. Bien des Evêques depuis un demi siécle, ont donné cette comédie à
ncore même n’est-il pas généralement adopté, malgré l’autorité du feu Evêque , & les intrigues de sa Cour. Le nouvel Evêque
é l’autorité du feu Evêque, & les intrigues de sa Cour. Le nouvel Evêque n’y prend aucun intérêt ; on a gagné une douzaine
jamais encore un Supérieur de Seminaire n’avoit reçu d’ordre d’un tel Evêque , ni donné de certificat de séjour pour un tel suj
25 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
es une réforme qu’il ne prêche pas d’exemple, nous renverrons MM. les évêques à la lecture des pages 344 à 355 du présent ouvra
les prélats de nos jours sont si éloignés de mettre en pratique. « L’ évêque doit avoir son petit logis près de l’église ; ses
est tout à fait dans l’esprit évangélique et apostolique. Or, si les évêques prétendent faire valoir envers les fidèles les an
it indigne pour me servir des propres expressions du pape Jules, à un évêque , ou à un prêtre, de refuser de suivre les règles
alors obligatoire pour tous ; mais avant tout, il doit, ainsi que les évêques , ses vénérables collègues, donner l’exemple et ob
26 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement général du personnel et des revenus de l’ancien clergé séculier et régulier de france.  » pp. 351-362
ERGE SECULIER. individus. revenu annuel. 1°. Archevêques et évêques , au nombre de 12912, dont le revenu était au moin
tre statistique de la France porte à cent quarante les archevêques et évêques , mais en y comprenant les évêchés de Corse et les
hevêques et évêques, mais en y comprenant les évêchés de Corse et les évêques in partibus.
27 (1664) Traité contre les danses et les comédies « TABLE DES CHAPITRES du contenu en ce Livre » pp. -
eunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. p. 142 XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes,
ou même en quelque temps de l’année que ce soit. p. 146. Lettre de l’ Evêque d’Agnani, pour la défense d’une Ordonnance Synoda
28 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
Souffrirait-on aujourd’hui ce qu’il applaudissait, des scènes où les Evêques se battent à coups de poing sur le théâtre ? lais
it à Dieu. Elle consulta sur ce sujet beaucoup de Docteurs. Plusieurs Evêques lui dirent que les comédies qui ne représentaient
ence la décision qu’il avait fait rendre en Sorbonne. Le silence d’un Evêque sur un mal qu’il ne peut empêcher, n’est rien moi
e la Sorbonne. Il fait de ce Ministre un grand Théologien et un grand Evêque . Je ne lui conteste aucune de ses qualités, mais
e lui conteste aucune de ses qualités, mais je suis bien sûr qu’aucun Evêque ni aucun Théologien ne voudrait suivre en ce poin
lanche, le droit de porter des fanons à son bonnet, comme une mitre d’ Evêque , de sceller ses lettres avec du plomb, et d’avoir
e maux à la France. Finissons ce chapitre par un trait singulier d’un Evêque du douzième siècle, qui tenait un peu du Mazarin.
 2. L. 9.) traduit mal le passage de Suger qu’il cite. Il dit que cet Evêque était un homme « poli, agréable, qui avait l’air
29 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
es phénomenes dont ses confreres ne sont point responsables. Pour les Evêques , un grand nombre dans tous les temps a été amateu
mœurs, avec la nécrologie de Port Royal & la vie de Mr. Pavillon, Evêque d’Aleth ? Que l’homme est bisarre ! L’homme de th
ient de recevoir à l’Académie Françoise les éloges d’Etiquettes. Deux Evêques ont été ses panégyristes ; ainsi trois Ecclésiast
ire, a jetté, selon l’usage, une poignée de fleurs sur son tombeau. L’ Evêque de Senlis, Directeur en quartier, en a jetté une
& la qualité d’Envoyé & de Ministre d’un Prince étranger, (l’ Evêque de Liege,) à la Cour de France, que Louis XVI a c
est pas faire l’éloge du Ministre de la feuille des bénéfices, quoiqu’ Evêque . Offrir de si bonne heure des Evêchés, c’est en ê
clairée qu’un autre doit être plus zélée. L’Académie a d’ailleurs des Evêques   & même des Archevêques, comme celui de Toulo
de Bossuet & de Fenelon, sont-ils bien placés dans la bouche d’un Evêque  ? Devant un corps à qui ni Moliere, ni la plupart
Ministres. Percez la muraille, dit-elle, aux bons Prêtres, & aux Evêques pieux, vous y verrez des abominations, vous y ver
térieur à leur Ordination, ne doit retomber ni sur l’Eglise, ni sur l’ Evêque , qui les initia dans les Ordres sacrés, qui, sans
des lauriers académiques & de mysteres dramatiques de la main des Evêques & de celles des actrices, inscrit dans l’Alma
ette epicerie ont flatté le Palais de l’Académie & de deux grands Evêques . Que penser de leur Palais blasé ?
30 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
ur. Pouvoient-ils s’y refuser ? Le torrent des queues a entraîné les Evêques , après tout, Rois & Papes, dans leurs Diocese
e la Hierarchie, ni d’institution divine. Il faut donc des queues aux Evêques . Il est vrai que par modestie ils ne la portent p
ont pris du théatre, il est singulier, dis-je, que non seulement des Evêques , sérieux & graves, mais encore des personnes
iption & le détail, & montre dans des estampes les habits des Evêques Arméniens, Cophtes. Maronite, Nestoriens. On voit
s, entre dans le plus menu détail. Le Pontificat & cérémonial des Evêques offrent des estampes sans nombre, où sont représe
estampes sans nombre, où sont représentées toutes les cérémonies. Le Evêques revêtus de toutes piéces, dans toutes sortes d’at
plus amples ont été échancrées ; de l’aube on a fait le surplis. Les Evêques en ont même ôté les grandes manches pour faire un
les queues des plus grands Seigneurs sont traînantes, même celles des Evêques , Ducs & Pairs ; comment ne le seroient-elles
au au bas de sa robe qui dit, je suis un Président, un Conseiller, un Evêque . Il est vrai que quelque fois la queue fraude la
31 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141
la parva pedes. Terence ne croit pas devoir mieux expri- Thiare. Les Evêques en ont aussi à leurs pantoufles quand ils officie
r les vases sacrés, sur les ornemens, & sur-tout sur le trône des Evêques , & sur les livres d’Eglise, Broviaires, Misse
mp; chante une ariette sur ces mots : Honni soit qui mal y pense. Les Evêques Anglois ne manquent pas d’étaler dans leurs armoi
éatre. Il y a apparence que ces passages de l’Ecriture ont engagé les Evêques à élever leurs souliers jusqu’à l’honneur d’être
x depuis la tête jusqu’aux pieds. Il n’y a rien là de particulier aux Evêques  V. Bona. Rer. Litur. l. i. c. 24. Devert. tom. 2.
ond ordre a negligé cet ornement par pauvreté ; il n’est resté qu’aux Evêques , communément riches & élégans, & qui n’al
fficulté en changer à la Sacristie. M. Devert rapporte des exemples d’ Evêques qui l’ont approuvé & conseillé ; S. Charles l
émonie devant le public, les Prêtres ne le pouvoient pas, ni même les Evêques . Ils se sont mis dans cette possession par voie d
lier fermé, qu’on n’employoit pas quand le cérémonial a été fait. Les Evêques de la primitive Eglise ne souffroient pas qu’on l
32 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XI. » pp. 55-57
re les effets que vous attribuez au Luth d’Orphée, et la douceur d’un Evêque que vous vous êtes engagés de représenter. Trouve
vent, soit un Symbole bien clair et bien expressif de la douceur d’un Evêque  ? Il faudrait pour cela que votre Héros pût par s
33 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
ns le plus grand monde, qui n’était pas même baptisé quand il fut élu Evêque , ne connût parfaitement les spectacles, et n’y eû
nversion, constatées par l’information des Juges et l’approbation des Evêques . Plusieurs de ces lois regardaient nommément les
l, l’oraison. On rapporte de lui ce trait singulier : Ayant été nommé Evêque , encore catéchumène, il employa pour ne point l’ê
Nous prenons sur nous votre péché, et nous ne vous élisons pas moins Evêque , s’écria tout le peuple. Il a composé plusieurs o
copier tout entier, si on voulait rapporter tous les anathèmes de ce saint Evêque . Le théâtre est comme le carquois de Cupidon. Il
34 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
s comme votre Hercule, mais par les armes spirituelles d’un véritable Evêque , par la Foi, par la Prière, par la vigilance, la
s Pères, ce qu’on appelle des désordres dignes du zèle d’un véritable Evêque et contre lesquels le Prélat défunt n’aurait pas
une des principales causes qui a porté le Pape à le faire depuis peu Evêque de Vaison afin de lui donner moyen de pratiquer a
35 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
mais il possédait en un degré éminent les qualités que doit avoir un Evêque selon S. Paul. Il était irrépréhensible ; Il étai
en fût la fin, le principe et la règle. Or quelque Saint que soit un Evêque vous ne lui donnerez ni approbation ni louange lo
36 (1825) Des comédiens et du clergé « Sommaire des matières » pp. -
onciles constitutifs de la discipline ecclésiastique qui imposent aux évêques et aux prêtres, dans leur vie privée, des devoirs
l’utilité de son institution ; L’oubli qui a eu lieu, de la part des évêques et des prêtres, de ces lois canoniques sur la dis
37 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
édie dans un Diocèse, n’est pas une chose qu’on présume aisément d’un saint Evêque  : et on ne voit pas bien l’édification qui pourra
contre les jeux : nous voyons que ce qu’il y a d’Abbés, de Prêtres, d’ Evêques et d’Ecclésiastiques, ne font point de difficulté
ne Académie de Joueurs, « de tout ce qu’il y a d’Abbés, de Prêtres, d’ Evêques et d’Ecclésiastiques ». S’il n’avait parlé que de
e son impudence encore plus loin ; il se mêle de faire interroger les Evêques sur faits et articles, et les oblige de prononcer
toriser par leur silence : « D’ailleurs, dit-il, quand on demande aux Evêques et aux Prélats ce qu’ils pensent de la Comédie, i
peut-être approuvée. » Il faut être bien hardi pour faire jurer des Evêques sur une telle matière ; et il ne le faut pas être
Docteur même, qui faisait il n’y a qu’un moment aller impunément les Evêques et le Pape à la Comédie, et qui emploie encore ai
’oreille la plus chaste ne pût entendre. Tous les jours à la Cour les Evêques , les Cardinaux et les Nonces du Pape, ne font poi
e donner l’exemple aux Fidèles, et voici qu’il y conduit en foule les Evêques , les Cardinaux, et les Nonces du Pape, avec assur
Mais il n’y a pas moins d’impudence à assurer, comme il fait, que les Evêques , les Cardinaux, et les Nonces du Pape ne font poi
temps propre, et que, grâce à la vigilance des Pasteurs, au zèle des Evêques , à la piété du Prince et à la dévotion des Fidèle
faire injure à la puissance Ecclésiastique, de penser que les saints Evêques aient été moins exacts dans leurs Ordonnances ; e
j’aurais de la peine à les sauver de péché mortel, aussi bien que les Evêques , les Abbés et tout les gens constitués en dignité
tte bienséance en ce que les Religieux, les Prêtres, les Abbés et les Evêques , ne doivent pas y assister. Il ne dit pas que les
ister. Il ne dit pas que les Religieux, les Prêtres, les Abbés et les Evêques n’y assistent pas, ce qu’il aurait fallu dire, ma
us haut, il y a aussi beaucoup de Religieux, de Prêtres, d’Abbés et d’ Evêques qui ne font point de scrupule d’y assister : mais
d’aujourd’hui, parce que les Religieux, les Prêtres, les Abbés et les Evêques , ne font point de scrupule d’y assister : et prés
la bienséance, parce que les Religieux, les Prêtres, les Abbés et les Evêques n’y assistent pas ; et que même, selon lui, ils n
que le voilà lui-même devenu le scrupuleux, et érigé en Directeur des Evêques . Il est même plus que Directeur ; il fait aussi l
, et il dispense. Il défend aux Religieux, aux Ecclésiastiques et aux Evêques de France d’aller à la Comédie, sous peine de péc
aintes Lettres» ; et en même temps il fait grâce aux Religieux et aux Evêques d’Italie, « parce que, dit-il, cela est passé en
coutume effaçait le caractère et la consécration des Religieux et des Evêques d’Italie, et comme s’ils étaient moins obligés pa
crupule. Avec cela je douterais fort qu’il y eût des Religieux ou des Evêques en Italie qui voulussent se servir de la dispense
e sujet une belle Lettre, et que l’on ne doute point être de lui, à l’ Evêque Euchratius, qui l’avait consulté touchant la cond
38 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
r la foi du sieur d’Alembert. Mais elle compte parmi ses membres, des Evêques remplis de lumieres ; ces Prélats ont-ils accédé
iens, à la condamnation d’Arius, au I. Concile de Nicée ? Cinq ou six Evêques qui fréquenteront la Comédie, à la honte de la Pr
ès ; le repentir l’a saisi tout-à-coup dans une Lettre adressée à son Evêque , que nous lisions il y a deux ans, il a rendu sa
39 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
l’artillerie, & enfin elle arrive à l’Église de Saint Paul, où l’ Evêque revêtu des habits pontificaux, la reçoit avec son
lle ne donna aucun signe de piété, & renvoya fort brusquement son Évêque qui lui faisoit quelque exhortation. Dans la véri
tholiques ; on versa beaucoup de sang de part & d’autre, quatorze Évêques furent sacrifiés avec une multitude d’Ecclésiasti
it de l’un ni de l’autre, souscrivit à tout à peu près comme certains Évêques qui font composer des Bréviaires, des Missels, de
anation ubiquite ni transubstantation, la Hiérarchie ecclésiastique d’ Évêques , Curés, Chanoines, Prêtres, Diacres, sans Chef un
e même du cérémonial Romain, des ornemens sacerdotaux, de cortège des Évêques , des encensemens, du luminaire, de la musique, de
as avec moi est contre moi, qui ne ramasse pas avec moi, dissipe ; un Évêque peu courtisan osa lui reprocher qu’elle agissoit
issoient au risque de leur salut ; ils le sentoient bien, puisque les Évêques & le Parlement disoient publiquement quand la
observe point la loi salique pour la succession au trône, ni Pape, ni Évêque , ni Prêtre, que des hommes ; de quel droit l’Égli
, & ne lui donne aucun pouvoir spirituel ; c’est le Pape, c’est l’ Evêque qui confère ; Elisabeth ne présentoit pas, elle c
e tout le temps à genoux avec beaucoup de modestie. Quoique plusieurs Evêques Protestans demandassent à la couronner, selon le
uronner, selon le rit Anglican : d’Edouard, elle se fit sacrer par un Evêque selon le cérémonial romain, & elle s’en moque
th s’y rendit à pied en habit de deuil traînant, précédée de quatorze Evêques & de soixante Seigneurs qui conduisoient chac
mp; comparoître en justice l’Ambassadeur d’Espagne, parce qu’il étoit Evêque , & disoit la messe chez lui. Ce Prélat, homme
Anglois sont las de moi, & je suis lasse d’eux. Elle renvoya les Evêques qui venoient l’entretenir, elle couchoit toute ha
40 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
ces. Qu’on envisage dans les derniers momens, où le voile se léve, un saint Evêque qui expire dans les bras de la religion, au milie
ice. Est-elle même si fort séculiere ? n’a-t-elle pas toujours eu des Evêques , les Huet, Bossuet, Flechier, Nesmond, Massillon,
rite, plein de religion & de vertu, honoré de la confiance de son Evêque , & des Dames de France, dont il étoit Confess
emportemens de l’hérésie ; qu’il cherche à flétrir la réputation d’un Évêque admiré par ses talens, qu’il travestisse son zèle
mp; son discours, quoique couronné, ne balancera pas le suffrage de l’ Évêque de Meaux. Les Académiciens qui ont proposé le suj
ais paru sur la scène. Il n’y a pas aparence que M. de Bussi-Rabutin, Évêque de Luçon, eût assez peu profité des leçons de son
ndamne si sevérement le bal, les romans & la comédie. Ce sont des Évêques , dira-t-on, que leur état oblige à tenir ce langa
en corrigeant les défauts qui l’affoiblissent. L’Académicien oublie l’ Evêque . Plein des images riantes d’Homere, Théocrite, Vi
ce & de paix. J.C. les Apôtres étoient-ils donc galans, & les Évêques doivent-ils l’être pour être vraiment vertueux ?
e & le théatre sont la souveraine perfection des hommes, même des Evêques . Fenelon auroit eu un grand fonds d’humilité, s’i
des personnes & des ouvrages ? Trouver les pensées célestes d’un Evêque dans la description de l’Elizée, n’est-ce pas mêl
er le saint & le profane, le christianisme & la fable dans un Evêque , aux dépens de la bienséance & de la piété ?
u’à la place de l’Eloge de Baile, elle propose l’Eloge de S. Exupere, Evêque de Toulouse : nouveau choix fort singulier, un Ev
de S. Exupere, Evêque de Toulouse : nouveau choix fort singulier, un Evêque du quatrieme siecle, très-vénérable assurément pa
re aux bonnes mœurs & à la sainteté de leur état, à l’exemple des Evêques & des Prélats de son temps, qui condamnoient
41 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
u cinquieme Siécle, (Salvien de Marseilles, qu’on nommoit le pere des Evêques ) assure-t-il, que de son tems, personne n’étoit r
lle est la Doctrine contenue dans les mandemens des Archèvêques & Evêques de Paris, de Lyon, d’Alby en 1719. De Lodéve en 1
t du Cardinal Delçi, signé de 36 tant Cardinaux, qu’Archévêques & Evêques de l’Etat ecclésiastique. Telle est celle de M. l
par l’Eglise . Telle est enfin celle de l’Eglise Gallicane, dont les Evêques firent imprimer en leur nom, un traité contre les
res Prélats du Royaume. Il est aujourdhui entre les mains de tous les Evêques Catholiques, & estimé comme un des plus excel
p; la source de toutes sortes de péchés. Mr.  de Clermont Tonnerre, Evêque de Noyon, dans ses Statuts & Ordonnances Syno
lui-ci, en trois ans de tems, pour la même cause. En 1770 M. Casotti, Evêque Italien, Mr. Bertonne Evêque de Novarre, Rulfo Do
rs, les intrigues, tout porte au faux amour ? » L’Eloquent Flechier, Evêque de Nismes, parlant des spectacles de ce siécle, n
nsi qu’on pensé, & pensent encore Messieurs les Archevêques & Evêques de Paris, de Lion, de Beauvais, de Carcassonne, d
sse, si les Spectacles sont innocens pour des Chrétiens, dit ce grand Evêque , en parlant du petit nombre des Elus. Je n’ai à m
s’agit d’être Chrétien, ou de ne l’être pas. » C’est ainsi, que les Evêques de Toulon, d’Arras, de Macon, & tous les Past
dales d’Auxerre, dans les Mandemens de Messieurs les Archevêque & Evêque d’Alby en 1719, de Lodêve en 1737. Telle est cell
e du Cardinal Delci, & de 36, tant Cardinaux, qu’Archevêque & Evêque en 1770. « Mes très chers freres , dit ce Cardina
spectacles, trente six Prélats, tant Cardinaux, qu’Archevêques & Evêques , de l’état Ecclésiastique. Nous y avons nous-même
42 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
oici le conseil que S. Bernard donne au Pape Eugène pour le choix des Evêques et des Prélats. « Que celui pour lequel on vous p
faire violence pour l’accepter. C’est ainsi qu’en ont usé les Saints Evêques . Lisez, mes Pères, au lieu de vos Fables des Païe
nts du vôtre, qui se cachent, qui s’enfuient lorsqu’on les veut faire Evêques , qui résistent, et qui mettent tout en œuvre pour
43 (1844) Théologie morale « CHAPITRE I. Des Péchés de luxure non consommée, sections 644-651. » pp. 291-296
our ce qui regarde son diocese, et que la plupart de nosseigneurs les évêques ne paraissent pas y tenir, à en juger du moins pa
on que, s’il recouvre la santé, il s’en rapportera à la décision de l’ évêque . Cette déclaration étant faite, on lui accordera
après avoir recouvré la santé, l’acteur a recours à la décision de l’ évêque , celui-ci verra dans sa sagesse, eu égard aux cir
44 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XI. Si on a raison d’alléguer les lois en faveur de la comédie. » pp. 46-48
peccata paucorum  » Epist. ad Aur, 22. n. 5. Ol. 64 [Epître à Aurèle, évêque de Carthage , lettre XXII (ou LXIV) § 5].[NDE] Bo
article 2. c.].k Epist. ad Aur, 22. n. 5. Ol. 64 [Epître à Aurèle, évêque de Carthage , lettre XXII (ou LXIV) § 5].[NDE] Bo
45 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201
éâtre gagnait sa vie à exercer et former des Comédiens. On demande au saint Evêque s’il est excommunié. Il répond, sans hésiter, qu’
. Tout cela est-il donc permis au Chrétien ? « Non licet omnino. » Le saint Evêque fait ensuite le détail de l’orchestre des Grecs,
t porté aux mœurs et à la religion les mêmes atteintes. Théophile, Evêque d’Antioche. Il ne nous reste d’un grand nombr
Il ne nous reste d’un grand nombre d’ouvrages de ce savant et pieux Evêque du second siècle, qu’une apologie de la religion
oannis-Baptistæ caput amputavit. » S. Valérien. S. Valérien, Evêque de Comele, aujourd’hui Nice, suffragant d’Embrun,
. Salvien. Ce saint Prêtre de Marseille, que quelques-uns ont cru Evêque , et que sa piété, ses talents, ses écrits, son zè
services qu’il a rendu à l’épiscopat, ont fait appeler le maître des Evêques , S. Salvien a fait un grand traité de gubernat. M
Nous finirons cette suite d’autorités par celle de ce fameux Anglais, Evêque de Chartres, si distingué à la Cour du Comte de C
46 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
re a dit que « la charité s’étendait à tout et à tous », pourquoi vos évêques prétendraient-ils la restreindre à quelques-uns ?
ù l’on rencontre journellement des ecclésiastiques, des moines et des évêques . (Ibidem.) D’après cela, voici le petit dilemme q
droit à notre estime, quand ils se recommandent par leurs vertus. Nos évêques seuls, s’aveuglant sur les vrais intérêts de la r
de conciles des 4e et 5e siècles. n. [NDE] Il s’agit de S. Antonin, évêque de Florence, au XVe s. Voir sa Summa theologica,
47 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
t tombé. Quelques Visiteurs des Carmélites le leur ont défendu, peu d’ Evêques et de grands Vicaires les approuvent. Bien des Pr
aucun laïque, même les domestiques de la maison, n’y était admis. Les Evêques les honoraient de leur présence, et étaient régal
mélange de sévérité et d’indulgence, qui tempère l’un par l’autre. Ce saint Evêque a donné trois décisions, qu’il n’est pas facile d
médie, et riait de bon cœur. Il est vrai que M. Lacroix de S. Valier, Evêque , n’approuvait pas ce spectacle, et que son prédéc
 de Frontenac, Gouverneur, homme de plaisir, et alors brouillé avec l’ Evêque , qui pour le mortifier et se divertir, l’introdui
exclues de la Sainte Famille. Il en fut offensé, et en usa mal avec l’ Evêque , qui avait ordonné l’exclusion. Celui-ci donna un
48 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
Voisenon, un des Quarante de l’Académie Françoise, & Envoyé de l’ Evêque de Spire, est mort le premier décembre 1775, Le T
ffit à la vertu pour en apprécier le mérite, la qualité d’Envoyé de l’ Evêque n’ajoute rien davantage. Comme une partie du Dioc
n Grand-Vicaire résidant à Paris, comme ceux que se donnent plusieurs Evêques de France. Ministres dont toutes les fonctions se
ujets sont infiniment plus étrangers à l’Eglise que les affaires de l’ Evêque de Spire ne le sont à un François, & leurs li
, de la sagesse, ni de l’Ambassadeur, ni de l’Ecclésiastique, ni de l’ Evêque qui l’initia, ni de l’Evêque qui le députa, ni de
ssadeur, ni de l’Ecclésiastique, ni de l’Evêque qui l’initia, ni de l’ Evêque qui le députa, ni de l’Académie qui le reçut, ni
-il de l’Académie Françoise, & fut-il canonsé au jugement de deux Evêques  : mais on auroit bien dû épargner à sa mémoire le
49 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
œcuménique, qui obligent partout, et de particulières portées par les Evêques , qui n’ont lieu que dans leur diocèse. Il en est
ge, pour pouvoir les leur accorder même à la mort, l’approbation de l’ Evêque et la permission du Magistrat : « Si Antistites p
d’Occident, et nommément des Eglises des Gaules, dont la plupart des Evêques s’y trouvèrent, est très respectable ; il est reç
ements et à la communion des fidèles. « Vous me demandez, dit-il à un Evêque qui l’avait consulté, si cet homme (un Comédien)
d’Auch de 1701. Rituel de Toulouse de 1702. Mandement de M. Fléchier, Evêque de Nîmes, de 1708., etc. Et quel est le monument
ontinuer leurs spectacles. On ne s’attendrait pas de voir un Abbé, un Evêque , un Cardinal, se mettre sur les rangs pour mainte
de Police, et Son Eminence le Cardinal d’Estrées, Abbé de S. Germain, Evêque de Laon, intervint dans l’instance pour soutenir
50 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
qui jouissent d’une haute réputation, rapporte que « Saint-Augustin ( évêque d’Hippone, en Afrique, en 395), s’accusait de s’ê
5), s’accusait de s’être laissé attendrir à la comédie. Donc ce saint évêque , père de l’église, l’un des plus savants docteurs
51 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
n 371, les Empereurs Valentinien I. Valens, et Gratien permettent aux Evêques de donner le Baptême aux Comédiens, qui dans une
toute superstition apparente, ne suffisaient pas pour satisfaire les Evêques et les Chrétiens fervents, aussi ne cessèrent-ils
’exprime dans sa Lettre à une illustre Dame Romaine nommée Furia. Les Evêques des Villes d’Afrique ne manquaient pas de prêcher
. » Can. 5. Les jeux n’y finirent pas encore, et S. Césaire qui était Evêque d’Arles au commencement du 6e. siècle, ainsi que
e reprit son éclat ; un Laïque eut l’insolence d’accuser Grégoire son Evêque d’avoir commis adultère avec sa sœur. Astérius Co
cœpere, ne scenicis quidem ab ejusmodi petulantiâ abstinentibus. » L’ Evêque fut justifié, et l’année suivante, c’est-à-dire e
e habitants y périrent malheureusement par un tremblement de terre. L’ Evêque Grégoire fut sauvé184. L’Amour des jeux de Théâtr
nt à Constantinople, et il y eut même des Diacres, des Prêtres et des Evêques qui ne faisaient pas difficulté d’aller à la cour
tio apparuerit. ». Voulant de même que tous les Métropolitains et les Evêques de tout l’Orient en usassent ainsi, jusqu’à les s
donc que nul Diacre, nul Prêtre ; et bien plus expressément, que nul Evêque n’assistera jamais aux jeux publics de dés, ni au
leur devoir pour l’exécution de cette loi, il suffira de recourir aux Evêques , lesquels en cas d’opposition se trouveront soute
3. ad Autolyc. in Biblioth. Patr. T. 2. part. 2 P. 190., qui fut fait Evêque d’Antioche en 168, dit hardiment qu’on ne voit ja
stræ hauriant prophana, quæ tibi decantantur carmina. » Ce que dit ce saint Evêque , est si général et si certain, qu’on en fait un r
cérémonies de l’élection, de la consécration, et de la déposition des Evêques . Le Concile ordonne Tom. VIII. Concil[e]. col. 11
emblable impiété, il doit être repris par le Patriarche et les autres Evêques , privé des Sacrements et mis en pénitence ; que l
des Sacrements et mis en pénitence ; que le Patriarche et les autres Evêques qui ne se seraient point opposés à ces actions im
es jeux où l’irréligion se montre sensiblement. Il faut alors que les Evêques en viennent jusqu’aux menaces de la privation des
a privation des Sacrements et de la Communion Catholique. 2°. Que les Evêques qui manqueraient de zèle en ce point pour les rép
publique. Si l’Eglise ne pouvait pas tolérer de tels spectacles, les Evêques croyaient aussi alors qu’on n’en devait souffrir
es folies devinrent fort communes, et Jean de Salisbury, qui fut fait Evêque de Chartres en 1172, ne manqua pas d’en montrer l
les règles de bien rimer, s’étant retiré dans un Monastère, fut fait Evêque de Marseille, puis de Toulouse, et plusieurs autr
nassent contre tous les Spectacles. VI. Sentiment des Conciles et des Evêques , principalement des Evêques de France, sur les Sp
tacles. VI. Sentiment des Conciles et des Evêques, principalement des Evêques de France, sur les Spectacles. Pour ne pas interr
ficaux, avec une crosse et une mitre, donner la bénédiction comme les Evêques  ; que d’autres s’habillaient en Rois ou en Ducs,
exprimé l’horreur qu’il a pour toutes ces extravagances, ordonne aux Evêques , aux Doyens et aux Curés, sous peine de suspense
alement le jour de la Fête des Saints Innocents qu’on créait ces faux Evêques . Un Concile de la Province de Bordeaux tenu dans
ui se faisaient ce jour-là, aussi bien que cette burlesque création d’ Evêques . « Prædictas balleationes ulteriùs sub intimation
ce soit. Il ordonne aux Curés et à leurs Vicaires, de citer devant l’ Evêque ou devant l’Official, ceux qui les jours des Fête
tenu en 1687. défend seulement de représenter sans la permission de l’ Evêque , les actions des Saints, sur les Théâtres publics
ne consentiraient jamais à jouer les pièces de Théâtre après que les Evêques les auraient examinées. Les Evêques de France ne
s pièces de Théâtre après que les Evêques les auraient examinées. Les Evêques de France ne montraient pas moins de zèle contre
es spectacles irréligieux. Il ordonne à tous les Curés de déférer à l’ Evêque , ceux qui n’obéiront pas à ce Décret, afin que pa
7. ainsi que nous l’avons déjà remarqué. M. Siméon-Etienne de Popian, Evêque de Cahors, dans son Rituel imprimé à Cahors en 16
sse et de Vence, Prélat comparable par son zèle et par son savoir aux Evêques des premiers siècles, défend sous peine d’excommu
re sorti. Plût à Dieu que tout le monde entrât dans les maximes de ce saint Evêque  ; nous verrions bientôt cesser les Bals et la Com
être tenu excommunié, que c’est la pratique de l’Eglise. 5°. Que les Evêques sont en droit de censurer tous ceux qui écrivent
auvais, les Magistrats n’interdiraient-ils pas leurs spectacles ? Les Evêques les toléreraient-ils, et souffrirait-on qu’ils s’
ient jetées à la voirie. En user de la sorte, dit M. Godeau Eloge des Evêques p. 545., c’était plutôt les chasser que les reten
oblationes iniquorum. » Le Concile d’Elvire Can[on]. 28. décide qu’un Evêque ne doit rien recevoir d’un excommunié. « Episcopu
s en 1569. Il dit assez ridiculement que ce Concile fut célébré par l’ Evêque Tornacense. Ab Episcopo Tornacensi. Ces mots Lati
DA] Sauval. Antiquit[és] de Paris. Vie de Pie V. page 84. Eloge des Evêques p. 545. Page 108. « Cavendum in primis ne Viati
52 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
l’apologie du théatre ? ne voit-on pas que l’un condamne l’autre ? L’ Evêque du Bellay (Leçons exemp. L. 3. C. 10) rapporte un
r (Ce style galant, très-fréquent dans les livres innombrables de cet Evêque , fort pieux, mais singulier, a paru prouver qu’il
sont la suite, petit roman incomparablement mieux écrit que ceux de l’ Evêque du Bellay & du P. Minime, à peu près à même f
ece qui servoit d’Eglise ou de chapitre : on voit de toutes parts des Evêques & des Moines peints sur les murailles, qu’on
Mars & Vénus à côté d’un Moine, Jupiter & Alcmene auprès d’un Evêque , le théatre dans l’Eglise, & l’Eglise sur le
s Pénitens blancs par dévotion à l’opéra. Au reste l’exemple du digne Evêque de ceux de Beziers leur servira de règle pour pur
53 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
renvoie le lecteur qui désirerait les y vérifier. Les prêtres et les évêques voudraient-ils aujourd’hui appeler l’opprobre et
t également, sous peine de suspension et d’être mis en pénitence, aux évêques , aux prêtres et aux autres ecclésiastiques, d’ass
54 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
llé les Vestales en Religieuses Bernardines, & le Grand Prêtre en Evêque , ce qui est absolument contre le costume. Les Ves
es : & ne seroit-ce pas le comble du ridicule d’habiller César en Evêque  ? Mais les vrais habits auroient écarté l’idée de
sont pas voilées devant leur Visiteur, leur Supérieur, ni devant les Evêques . On est encore moins voilé devant son Juge : un a
on la dépouilloit successivement, à peu près comme le cérémonial des Evêques prescrit qu’on fasse la dégradation d’un Evêque o
me le cérémonial des Evêques prescrit qu’on fasse la dégradation d’un Evêque ou d’un Prêtre. Jamais il n’a été question de lui
oches parentes ? n’ont-elles pas des Confesseurs, des Supérieurs, des Evêques , des Magistrats, des amis, des parloirs ? De ne q
55 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
ui se suicida, reçut néanmoins les prières de l’église par ordre de l’ évêque de Versailles. Page 135 La sépulture est refusée
. Page 136 Epitaphe et éloge de Molière par le père Bouhours et par l’ évêque d’Avranches. Page 137 Louis xiv appelle Molière
arte et contre son auteur. Page 211 CHAPITRE XII. Réflexions sur les évêques et les prêtres de la primitive église, suivies de
d’avoir cité les conciles où il est dit que « c’est par la foi que l’ évêque soutiendra son rang. — Il doit avoir son petit lo
e Sénancourt regarde comme une bassesse d’expression d’insinuer qu’un évêque , dînant avec des pauvres, serait tout aussi respe
56 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
Spectacles, 159. 345 Espagne n’a plus de Jeux sous les Visigots, 125 Evêques , Justinien leur défend d’assister aux Spectacles,
117 S. Gélasin Comédien, sa conversion et son martyre, 74 Godeau (M.) Evêque de Grasse, défend sous peine d’excommunication qu
enfants de famille, 136 Justinien Empereur, défend les Spectacles aux Evêques et aux Prêtres, 135. Permet aux Comédiennes de qu
57 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
CONTRE LES SPECTACLES. Aux Fidèles de son Diocèse Esprit Fléchier, Evêque de Nîmes, Conseiller du Roi en tous ses Conseils 
le huitième jour de Septembre mil sept cents huit. Signé, † ESPRIT, Evêque de Nîmes. Et plus bas, Par Monseigneur, / Rieule
58 (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610
Doria, actuellement Nonce en France ; M. le Cardinal de Rochechouart, Evêque de Laon ; M. de Beaumont, Archevêque de Paris ; M
rt, Evêque de Laon ; M. de Beaumont, Archevêque de Paris ; M. de Noé, Evêque de Lescars ; M. de Bezons, Evêque de Carcassonne 
t, Archevêque de Paris ; M. de Noé, Evêque de Lescars ; M. de Bezons, Evêque de Carcassonne ; M. de Montazet, Archevêque de Ly
on ; M. Le Franc de Pompignan, Archevêque de Vienne ; M. de Beauvais, Evêque de Sénez, &c. Plusieurs autres Prélats l’ont
les mœurs. Et dans ce nombre, nous pouvons citer feu M. de la Mothe, Evêque d’Amiens ; M. de Machault, son successeur ; feu M
 ; M. de Machault, son successeur ; feu M. de Buisson de Beauteville, Evêque d’Alais ; M. de Coëtlosquet, ancien Evêque de Lim
de Buisson de Beauteville, Evêque d’Alais ; M. de Coëtlosquet, ancien Evêque de Limoges ; M. de Belloi, Evêque de Marseille ;
d’Alais ; M. de Coëtlosquet, ancien Evêque de Limoges ; M. de Belloi, Evêque de Marseille ; M. de Hercé, Evêque de Dol ; M. Ba
Evêque de Limoges ; M. de Belloi, Evêque de Marseille ; M. de Hercé, Evêque de Dol ; M. Balbis Bertone, Evêque de Novarre, en
Evêque de Marseille ; M. de Hercé, Evêque de Dol ; M. Balbis Bertone, Evêque de Novarre, en Lombardie ; M. le Cardinal de Fran
r le fonds & pour les motifs, aux Lettres que feu M. de la Mothe, Evêque d’Amiens, & M. le Cardinal de Frankemberg, Ar
ora le 25 Janvier 1775. Extrait de la Lettre de feu M. de la Motte, Evêque d’Amiens. Elle est du 8 Juin 1772. J’ai, Monsieur
roduire cet effet à l’égard de quelques-uns ; voilà pourquoi les bons Evêques profitent de toute occasion pour condamner les Th
n, en qualité de Gouverneur, ne lui recommanda que de s’y conduire en Evêque . Et lorsque ce Saint fut élu Archevêque de Milan,
, & qui fait honneur à la mémoire de l’illustre Cardinal Quirini, Evêque de Brescia (mort le 6 Janvier 1755). On sçait que
is, par votre mérite, dans le cas de vous faire Cardinal. Il fut fait Evêque de Brescia en 1728. Il instruisit souvent de sa p
de Fleury, Archevêque de Cambrai, M. de Rosset de Rocozel de Fleury, Evêque de Chartres, M. de Bourdeille, Evêque de Soissons
de Rosset de Rocozel de Fleury, Evêque de Chartres, M. de Bourdeille, Evêque de Soissons, M. de Jouffroi de Goussans, Evêque d
es, M. de Bourdeille, Evêque de Soissons, M. de Jouffroi de Goussans, Evêque du Mans, M. Duplessis d’Argentré, Evêque de Séez,
M. de Jouffroi de Goussans, Evêque du Mans, M. Duplessis d’Argentré, Evêque de Séez, M. de Laulanhier, Evêque d’Egée, &c.
e du Mans, M. Duplessis d’Argentré, Evêque de Séez, M. de Laulanhier, Evêque d’Egée, &c. Et quelques autres Prélats l’ont
ous pouvons citer dans ce nombre M. le Clerc de Juigné de Neuchelles, Evêque de Châlons-sur-Marne, M. Dutillet, Evêque d’Orang
rc de Juigné de Neuchelles, Evêque de Châlons-sur-Marne, M. Dutillet, Evêque d’Orange, M. de Partz de Pressy, Evêque de Boulog
âlons-sur-Marne, M. Dutillet, Evêque d’Orange, M. de Partz de Pressy, Evêque de Boulogne-sur-Mer, M. de Lauzieres-Themines, Ev
artz de Pressy, Evêque de Boulogne-sur-Mer, M. de Lauzieres-Themines, Evêque de Blois, M. d’Apchon, Archevêque d’Auch, M. Tins
hemines, Evêque de Blois, M. d’Apchon, Archevêque d’Auch, M. Tinseau, Evêque de Nevers, M. Fretat de Sarra, Evêque de Nantes,
Archevêque d’Auch, M. Tinseau, Evêque de Nevers, M. Fretat de Sarra, Evêque de Nantes, M. de Castellane, Evêque de Lavaur, M.
ue de Nevers, M. Fretat de Sarra, Evêque de Nantes, M. de Castellane, Evêque de Lavaur, M. de Becdelievre, Evêque de Nîmes, M.
que de Nantes, M. de Castellane, Evêque de Lavaur, M. de Becdelievre, Evêque de Nîmes, M. de Crussol d’Uzès, Evêque de la Roch
de Lavaur, M. de Becdelievre, Evêque de Nîmes, M. de Crussol d’Uzès, Evêque de la Rochelle, M. de Malide, Evêque de Montpelli
de Nîmes, M. de Crussol d’Uzès, Evêque de la Rochelle, M. de Malide, Evêque de Montpellier, &c. Nous regrettons de n’avoi
curé les Extraits qui suivent. Extrait d’une Lettre de M. Tinseau, Evêque de Nevers ; elle est du 23 Avril 1777. Votre Ouv
ommuns, &c. Extrait d’une Lettre de M. de Lauzieres-Thémines, Evêque de Blois ; elle est du 8 Décembre 1777. Il y a lo
le poison, &c. Extrait d’une Lettre de M. de Partz de Pressy, Evêque de Boulogne-sur-Mer ; elle est du 22 Juillet 1778
sons invincibles contre. Et, s’il étoit possible qu’il y eût quelques Evêques ou quelques Docteurs qui parussent penser autreme
ques ou quelques Docteurs qui parussent penser autrement que ce grand Evêque , on pourroit bien les défier de déposer leur avis
Ecclesia, non exemplo. C’est la réponse que fit à ce sujet un ancien Evêque de Noyon53 à Louis XIV. Et ce Monarque en fut d’a
e qu’ils respirent. Tout y parle d’amour. Henr. Chant. 9. Un grand Evêque de France64 voulut un jour éprouver quel pouvoit
oit l’usage. Il y a des gens qui ont de faux préjugés à l’égard de ce saint Evêque . Ils le supposent si complaisant, qu’ils le feroi
ce soit là permettre ces divertissemens ? N’est-il pas évident que ce saint Evêque cache son zele sous une indulgence apparente, qui
que les réponses Iaconiques & énergiques que M. Bossuet & un Evêque de Noyon firent à ce sujet à Louis XIV. M. de B**
ce que vous répétez d’après M. de Voltaire, au sujet du banc que les Evêques avoient à Versailles sous Louis XIV dans la salle
annoncé. Nous placerons en tête une Lettre de l’illustre M. Bossuet, Evêque de Meaux, dont nous avons fait depuis peu la déco
it, & les Ecrits que nous avons annoncés. LETTRE De M. Bossuet, Evêque de Meaux, Au R.P. Caffaro, Clerc Régulier Théatin
les voies de la charité, je le dirai à l’Eglise, & je parlerai en Evêque contre votre perverse doctrine. Je suis cependant
ndant, mon Révérend Pere, votre très-humble serviteur. J.B. Bossuet, Evêque de Meaux. A Germini, le 9 Mai, 1694. Deux jours
ont on ne fait que trop souvent usage. EPÎTRE A Mgr J. Ben. Bossuet, Evêque de Meaux, sur son Livre touchant la Comédie. D
ier, & trois du siecle actuel. MANDEMENT De M. de Rochechouart, Evêque d’Arras, contre la Comédie. Guy de Seve de Roch
de Rochechouart, par la grace de Dieu & du S. Siege Apostolique, Evêque d’Arras. A tous Fideles de la Ville d’Arras Salut
p; aux magiciens, & les regarde comme manifestement infames : les Evêques les plus saints leur font refuser publiquement le
nt refuser publiquement les Sacremens ; nous avons vu un des premiers Evêques de France ne vouloir pas par cette raison recevoi
atrieme jour de Décembre mil six cent quatre-vingt-quinze. Signé GUY, Evêque d’Arras. Et plus bas. Par Monseigneur. Caron. O
risme à l’égard du Mandement suiv. MANDEMENT De M. de Rochechouart, Evêque d’Arras, touchant les Bals. Guy de Seve de Roche
de Rochechouart, par la grace de Dieu & du S. Siege Apostolique, Evêque d’Arras. A tous Fideles de notre Diocese Salut &a
nné à Arras en notre Palais Episcopal, le 20 Janvier 1695. Signé GUY, Evêque d’Arras. Par Ordonnance de Monseigneur. Caron.
s. Par Ordonnance de Monseigneur. Caron. MANDEMENT De M. Fléchier, Evêque de Nîmes, aux Fideles de son Diocese, contre les
mesdits Sieurs, Pelart, Chan. Secret. ORDONNANCE De M. de Belloy, Evêque de Marseille, rendue sur le Requisitoire du Promo
par la permission divine & l’autorité du Saint Siege Apostolique, Evêque de Marseille, Conseiller du Roi en tous ses Conse
pal, le treize Octobre mil sept cent soixante & douze. † J. BAPT. Evêque de Marseille. Par Monseigneur, Berger, Prosecr.
arseille. Par Monseigneur, Berger, Prosecr. Feu M. de Rochechouart, Evêque d’Arras, pénétré de l’obligation de ne donner à l
l’innocence des mœurs. M. l’Archevêque d’Aix & M. de Roquelaure, Evêque de Senlis, qui répondit à son Discours, n’accorde
employer ses talens au bien de la Patrie. Mais, dit M. de Roquelaure, Evêque de Senlis, une action qui l’honore, c’est que pou
. Mariana-Sozzini 294, de la Congrégation de l’Oratoire de Rome, à un Evêque qui l’avoit consulté au sujet de quelques Comédie
t XII ayant consenti à la construction du premier Théatre stable, les Evêques & autres Ecclésiastiques respectables en fure
e divertissemens : elles ont été exposées par feu M. de Rochechouart, Evêque d’Arras, à la suite du Mandement qu’il donna le 2
43 du Recueil des Ordonnances & Mandemens de M. de Rochechouart, Evêque d’Arras, imprimé à Arras en 1710. 1. L’Eglise a m
le rue, où se joue à présent la Comédie, n’y passe plus. 17. Un grand Evêque de la Flandre Françoise refusa le Sacrement de Ma
soumettre à elle ? Ecoutons-la donc dans le Sonnet que M. Godeau 303, Evêque de Vence, a fait sur les Représentations théatral
en naissant325. Il est certains abus, disoit feu M. de Rochechouart, Evêque d’Arras326, sur lesquels une longue habitude &
vices, imprimé en 1769. M. Hébert, Curé de Versailles, & ensuite Evêque d’Agen, disoit à Madame de Maintenon que les dive
es le sont dans la vérité369. Voilà ce qui fit éprouver à M. Colbert, Evêque de Montpellier370, beaucoup de contradictions, lo
outes souillées des traits enflammés de l’amour impur. Ce respectable Evêque ne condamnoit point la Musique en elle-même. C’es
le dernier retranchement des intempérans, fut de lui demander si les Evêques , qui n’avoient pas prohibé ces festins, n’étoient
faculté de Théologie de Paris écrivit, en 1444, une Lettre à tous les Evêques , & à tous les Chapitres du Royaume, pour les
ugustin, Saint Hilaire, Saint Chrysostome, & tant d’autres saints Evêques qui se sont élevés contre les abus de leurs temps
dant des abus déplorables. Mais parce qu’ils sont devenus communs, un Evêque n’ose plus, je ne dis pas excommunier un Laïque,
touchant la Comédie. Charles-Joachim Colbert, par la grace de Dieu, Evêque de Montpellier, &c. A tous les Fideles de not
ctobre mil six cent quatre-vingt-dix-sept. Signé, † Charles-Joachim, Evêque de Montpellier. Par Monseigneur, Montreau. M. de
Montreau. M. de Castries 378, Archevêque d’Alby, M. de Pouillac 379, Evêque de Lodeve, donnerent de pareilles Ordonnances dan
ularum illecebris corrupti. Tac. lib. de Mor. Germ. 50. Cet illustre Evêque de Meaux, que la France perdit en 1704, sera touj
Préface de son Traité de la réformation du Théatre. 64. M. Bossuet, Evêque de Meaux. 65. Musica nunc in scenis effœminata,
ilosophie des Incrédules modernes. Il l’a donnée en 1763, étant alors Evêque du Puy. 115. M. le Clerc de Juigné, Evêque, Comt
nnée en 1763, étant alors Evêque du Puy. 115. M. le Clerc de Juigné, Evêque , Comte de Chaalons, dans sa Lettre pastorale cont
tie de ceux connus sous le nom du petit Carême. 241. M. de Beaunais, Evêque de Senez, dans l’Oraison funebre qu’il prononça d
i 1774, âgé de soixante-cinq ans. 242. M. de Buisson de Beauteville, Evêque d’Alais, dans son Mandement du 17 Mai 1774, pour
arlé [page 274 de notre IIe vol.] Voici au sujet du P. Soanen, depuis Evêque de Senez, une anecdote que M. de Querlon a rappel
82. Isaïe, ch. XIII. 283. Du 15. Novembre 1754. 284. MM. Bossuet, Evêque de Meaux, Nicole, &c. 285. M. le Prince de C
g. XVIII, XXI. 288. Ce Mandement & un des deux précédens du même Evêque , se trouvent indiqués dans notre Histoire des Ouv
x pages 199 & 216 nous avons indiqué le Mandement de M. Fléchier, Evêque de Nîmes, & celui du Chapitre d’Auxerre, rapp
V, page 201. 303. Il a déjà été parlé page 443, de M. Godeau, comme Evêque de Grasse. L’Evêché de Vence avoit été réuni à ce
e Recueil des Ordonnances, Mandemens & Censures de ce respectable Evêque . 327. Studia nisi iis, velut optimæ gubernatric
n qua non apparet, intueri. S. Aug. epist. XXIX, n°. 10. 376. Odon, Evêque de Paris, abolit cette fête dans sa Cathédrale, e
59 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
tent ? 3.° Les Comédiens ne se flattent pas sans doute de trouver des Evêques qui leur donnent le sacrement de confirmation ; o
ttestations des Curés des lieux ; et enfin il fera part de tout à son Evêque , et n’agira que par sa permission. Ces précaution
que nos Juges examinent avec soin si on peut se fier à lui ; et si l’ Evêque l’approuve, qu’on lui accorde cette grâce. Ainsi
beaucoup de précautions, sur leurs dispositions et l’approbation de l’ Evêque . 6.° On refuse aux Comédiens même la sépulture ec
nis ». (P. 748.) On voit une lettre de Théodoret, où il raconte qu’un Evêque qu’on avait ordonné malgré lui, ne crut pas pouvo
la Comédie, aussi bien qu’aux portes de l’Archevêché, un mandement d’ Evêque et une annonce d’une pièce de théâtre. Mais c’éta
60 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
il y a invité le Roi et toute la Cour, il y a assisté avec elle, les Evêques y étaient invités aussi, et par son ordre y avaie
fféremment, et que l’assistance à la comédie, malgré la compagnie des Evêques , n’aurait pas fait canoniser. Richelieu avait une
nt des faiblesses qui jamais ne l’autorisèrent. Mais où a-t-on vu des Evêques , des Cardinaux de l’Eglise Romaine, en être les f
prouver à Loudun Urbain Grandier, pour avoir fait une satire contre l’ Evêque de Luçonj, je ne doute pas qu’on n’eût composé qu
dans l’Empire Romain, ni dans le monde entier. Comment un Prêtre, un Evêque , un Cardinal, à qui la sainteté de son état et to
à ses gages des troupes de Comédiens et des Missionnaires, nomme des Evêques et choisit des Actrices, prend la Rochelle pour a
61 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
est après qu’il dit dans la page 38. « Tous les jours à la Cour, les Evêques , les Cardinaux, et les Nonces du Pape ne font pas
j’aurais de la peine à les sauver du péché mortel, aussi bien que les Evêques , les Abbés et tous les gens constitués en dignité
rché partout sans l’avoir pu trouver ; qu’il n’est pas probable qu’un saint Evêque , tel qu’était saint Charles, ait fait une Ordonna
is de Sales demande. Il remarque que si l’on observait tout ce que ce saint Evêque ordonne à ceux qui veulent aller à la Comédie, le
t de l’amour pour la vertu ; et ils prient le Pape de répondre si les Evêques ont droit de les excommunier. Cette Requête a été
62 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
our la Rosiere de Rouville. La cérémonie fut faite le lendemain par l’ Evêque de Senlis, premier Aumônier du Roi. En 1640 Louis
celle de 1640, ou la Reine n’envoya point de présens ; & ou aucun Evêque ne fit la cérémonie. Il est à souhaité que la pur
tation de Salenci, instituée dans le sixieme siecle par saint Medard, Evêque de Noyon. La Rosiere de saint Ferjeux fut couronn
elles plus de modestie & de vertu qu’auparavant. Mr. de Breteuil, Evêque de Montauban, a bien voulu se rendre à l’assemblé
63 (1704) Des Bals et Comedies « [frontispice] »
ez la Veuve de Pierre-Loüis Maillard, Imprimeur du Roy, de Monseig. l' Evêque et de la Ville. 1704.
64 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « [frontispice] »
tianisme Adressées par Monseigneur l'Illustrissime et Révérendissime Évêque , Comte de Toul, Prince du Saint Empire, au Clergé
65 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 9. SIECLE. » p. 185
rc. de Constantinople Dans le Nomocanon. Tit. 9. Chap. 27. Si un Evêque , ou un Ecclésiastique assistent aux Spectacles du
66 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
pour ne le pas omettre. L’Auteur de Don Sébastien porte des coups aux Evêques à l’aide du Musti, et badine sur le nom de Chréti
haranguer le Roi, le premier à l’Assemblée des Etats. En Hongrie, les Evêques sont très considérés, et quelques-uns d’eux rempl
e parle de l’Italie.Puffend. Introduct. à l’histoire. En Espagne, les Evêques sont communément plus riches que partout ailleurs
ique et la Noblesse Séculière. Plusieurs de nos Statuts appellent les Evêques , Cette distinction est au-dessus du simple Gentil
e, et n’a lieu qu’en Angleterre.Nobles, précisément parce qu’ils sont Evêques . Enfin ils portent dans leurs Armoiries, et la Ja
ng dans les Ordres sacrés. Odo frère de Guillaume le Conquérant était Evêque de Bayeux et Comte de Kent. Le frère du Roi Etien
tait Evêque de Bayeux et Comte de Kent. Le frère du Roi Etienne était Evêque de Winchester. Nevill Archevêque de York était fr
67 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
J. Ben. Bossuet, ca 1694 • Anonyme : Epitre à Mgr J. Ben. Bossuet, Evêque de Meaux, sur son Livre touchant la comédie, repr
anisme adressées par Monseigneur l’Illustrissime & Révérendissime Évêque , Comte de Toul, Prince du Saint Empire, au Clergé
e M. I. P. C. E. de Belley, 1632 • Camus, Jean-Pierre (1584-1652 ; évêque de Belley) : Les Leçons exemplaires de M. I. P. C
; abbé) : Discours sur les spectacles, prononcé par M. l’abbé Chatel, évêque primat par élection du peuple et du clergé, à l’é
anisme adressées par Monseigneur l’Illustrissime & Révérendissime Évêque , Comte de Toul, Prince du Saint Empire, au Clergé
Congrégation de la doctrine chrétienne 1648, Académie française 1672, évêque de Lavaur 1685, puis de Nîmes 1687) : « Lettre LI
oogle. Corpus OBVIL. → Texte : Satire à Mgr Jacques Bénigne Bossuet, évêque de Meaux sur son livre touchant la Comédie, p. 46
eau, « Sonnet sur la comédie » 1654 • Godeau, Antoine (1605-1672 ; évêque de Grasse 1636-1653, évêque de Vence 1639-1672) :
 » 1654 • Godeau, Antoine (1605-1672 ; évêque de Grasse 1636-1653, évêque de Vence 1639-1672) : « Sur la Comedie. Sonnet »,
Théologie morale, 1844 • Gousset, Thomas-Marie Joseph (1792-1866 ; évêque de Périgueux 1836, archevêque de Reims 1840, card
et les comédies, 1738 • Languet de Gergy, Jean-Joseph (1677-1753 ; évêque de Soissons 1715, archevêque de Sens 1730, Académ
de la vie humaine, 1482 • Sanchez de Arevalo, Rodrigo (1404-1470 ; évêque de Zamora, en latin Rodericus Zamorensis) : Le Mi
er, et où l’on répond aux objections de Mgr le prince de Conty, Mgr l’ évêque de Meaux, M. Nicole et autres, Amsterdam, P. Le C
ts ecclésiastiques Mandements [Guy de Sève de Rochechouart, évêque d’Arras] • Rochechouart, Guy de Sève de (16..-
houart, évêque d’Arras] • Rochechouart, Guy de Sève de (16..-1724, évêque d’Arras 1670), Recueil des ordonnances, mandemens
hevêque de Toulon] • Chalucet, Armand Louis Bonnin de (1641-1712 ; évêque de Toulon 1684) : Mandement de M. de Chalucet, Ar
üis Mallard, 1704, in-8º, 146 p. PDF : Gallica. [Esprit Fléchier, évêque de Nîmes] • Fléchier, Valentin Esprit (1632-17
Congrégation de la doctrine chrétienne 1648, Académie française 1672, évêque de Lavaur 1685, puis de Nîmes 1687) : Mandement d
• Paris, Charles Savreux, 1677. PDF : Google. [Nicolas Pavillon, évêque d’Alet] • Pavillon, Nicolas (1597-1677 ; prêtr
llon, évêque d’Alet] • Pavillon, Nicolas (1597-1677 ; prêtre 1626, évêque d’Alet 1637, janséniste) : Les Instructions du Ri
68 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
ise, & s’il est revêtu d’un caractere, que ce soit un Pasteur, un Evêque , il conserve toute sa Jurisdiction, l’Eglise ne j
Nysse1, que la pratique de l’Excommunication soit de l’invention des Evêques  ; c’est la Loi de nos Peres, c’est la Régle de l’
dans son Livre une lettre de Constantin, où cet Empereur mandoit aux Evêques de juger le différend survenu entr’eux, touchant
antinople, l’an 692, fut convoqué pour la discipline : Deux cens onze Evêques y assistérent. On lit au LI. Canon ces paroles re
69 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
j’aurais de la peine à les sauver du péché mortel, aussi bien que les Evêques , les Abbés et tout les gens constitués en dignité
fidélité que les Prêtres vous ont jurée ? Les Statuts Synodaux de vos Evêques et la voix de tous vos Prédicateurs nous font ent
prouver qu’il ne peut y avoir aucun mal d’aller à la Comédie. Si des Evêques sont effectivement tombés dans le péché dont il l
r les couvrir ? mais il ne faut pas écrire légèrement qu’il y ait des Evêques qui aillent à la Comédie. Les Abbés de Cour n’ose
70 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VI. Elle le donne pour une foiblesse : mais on veut qu’il y régne. » p. 12
 ! Un crime n’est qu’une foiblesse ? « Je le veux, reprend l’illustre Evêque de Meaux. Mais l’amour ne paroît sur la scène, qu
71 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CONCLUSION » pp. 113-114
du d’assister aux Spectacles. Qui oserait en douter, après ce que les Evêques ont fait et écrit sur ce sujet, et la rétraction
72 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIV. » pp. 66-67
Mais ce n’est nullement en cela que consiste la profonde science d’un Evêque .23 « C’est, dit S. Paul à être fortement attaché
73 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128
parloient-ils de celui des Empereurs ? nos Rituels, nos Conciles, nos Evêques , nos Théologiens, ne défendent-ils que les pantom
ncienne comédie, non la nouvelle. Les rituels & les mandemens des Evêques ne sont qu’une suite des décisions des Conciles.
urs & de la licence des Acteurs & des Actrices ? M. Fléchier, Evêque de Nîmes, porte plus loin la précaution ; il ne v
raisonnemens, de propositions téméraires, injurieuses aux Saints, aux Evêques , à l’Eglise, dont elle attaque audacieusement la
74 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
oc. III. in cap. Ad nostram. de consuetud. l. 1. tit. 4. écrivant à l’ Evêque de Poitiers : Quæ canonicis obviat institutis, nu
expresse, qui prouve évidemment, que ces Empereurs, non plus que les Evêques , ne voulaient pas qu’on admit aux Sacrements les
que même en ce cas, on ne leur donnât les Sacrements, que lorsque les Evêques le trouveraient à propos ; c’est-à-dire, qu’encor
ur accordait néanmoins la sainte Communion qu’avec l’approbation de l’ Evêque . Cela étant ainsi, il est constant que le Curé de
75 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES CHAPITRES ET ARTICLES CONTENUS DANS LE PRESENT VOLUME. » pp. 7-9
rs spirituels de l’Eglise. Page 186 Chapitre XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eg
76 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
e ; il faut une chaire principale pour établir l’unité de l’Eglise, l’ Evêque de Rome est notre chef, tous les Prélats du monde
ement infaillible en matiere de foi, de concert avec la pluralité des Evêques . J’aime mieux attribuer au défaut de mémoire l’om
77 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128
dans presque toutes les Eglises ; on créoit en ces jours solemnels un Evêque des foux, on faisoit entrer dans la nef un âne en
Le ridicule y étoit par tout mêlé, il s’habilloit en cavalier, quoiqu’ Evêque  ; & après avoir écrit sur la théologie, &
mes les moins faits pour jouer cette comédie, les Jurisconsultes, les Evêques & l’Archevêque de Tolede, furent à la tête de
ébonnaire avoit été ainsi traité par ses enfans, dans une assemblée d’ Evêques & des Grands du Royaume, Henri III & Henr
ns, pour employer plus souvent que les autres celle de la livrée de l’ Evêque . Condé n’ayant plus de commandement, & n’en
médie un banc distingué, pour l’Académie Françoise, un autre pour les Evêques , Mazarin y ajouta des opéras Italiens qu’il fit e
78 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
non ceux qui en représentent d’agréables & d’instructives, où des Evêques , des Cardinaux & des Nonces du S. Siege assis
ue qu’il auroit peine à exempter de péché les Religieux Réformés, les Evêques , les Abbés. Il en excepte pourtant ceux d’Italie,
s des saintes Ecritures, des saints Peres, des Conciles, de plusieurs Evêques du siecle passé & du nôtre, d’un nombre de Th
ssemens. Il rapporte ensuite les Canons des Conciles, les Statuts des Evêques , les Arrêts des Magistrats qui les ont condamnés
Maximes et Réflexions sur la Comédie, par M. Jacques Benigne Bossuet, Evêque de Meaux [né à Dijon de 27 Septembre 1627, &
isant les maximes sur la Comédie, il ne faut pas oublier que c’est un Evêque qui parle. M. l’Abbé Talbert devoit donc lui-même
ux qui citent comme favorable aux Théatres la réponse que M. Bossuet, Evêque de Meaux, fit à Louis XIV, & qui a été ci-dev
s’autoriseront plus du préjugé vulgaire sur le banc qu’on dit que les Evêques avoient autrefois aux Spectacles de la Cour, &
erent leur voix contre cette licence ; tel fut entr’autres M. Godeau, Evêque de Grasse73. Un Amateur zélé des Spectacles en a
disoit alors79, au nom de toute la France, M. de Coetlosquet, ancien Evêque de Limoges, & Précepteur des Enfans de France
xé ; nous en avons un gage dans la Lettre que Sa Majesté a écrite aux Evêques à l’occasion de son Sacre83, & que M. de Buis
à l’occasion de son Sacre83, & que M. de Buisson de Beauteville, Evêque d’Alais, a si énergiquement paraphrasée dans son
& 17. c. 3. v. 13. Mandement de M. Guy de Seve de Rochechouart, Evêque d’Arras, du 4 Décembre 1695, contre la Comédie.
ue d’Arras, du 4 Décembre 1695, contre la Comédie. Mandement du même Evêque , du 25 Septembre 1698, au sujet des Tragédies qui
s faux préjugés de la multitude. Mandement de M. Bonnin de Chalucet, Evêque de Toulon, du 5 Mars 1702, contre les Spectacles.
d’y germer, & d’y fructifier ». Mandement de M. Esprit Fléchier, Evêque de Nîmes, du 8 Septembre 1708, contre les Spectac
rès grande partie du Sacré College & de la haute Prélature. « Les Evêques en Italie, dit M. le Marquis de Caraccioli 104, s
du même Ecrit périodique qu’on vient de citer107. M. Paul Caisotti, Evêque d’Asti, dans le Piémont, entreprit dès le commenc
le, M. le Comte de Bestagno, long-temps sourd aux remontrances de son Evêque , louoit un Théatre qu’il avoit fait construire da
moyen de les réformer. Mais de plus M. Marc Aurelius Balbis Bertone, Evêque de Novarre, pénétré d’un zele pastoral contre des
ion signée de trente-six Prélats, tant Cardinaux qu’Archevêques & Evêques de l’Etat Ecclésiastique. « Ne vous laissez pas,
ion signée de trente-six Prélats, tant Cardinaux qu’Archevêques & Evêques de l’Etat Ecclésiastique ; en voici la substance 
de l’Etat Ecclésiastique ; en voici la substance : « Nous soussignés, Evêques de l’Etat Ecclésiastique, pensons unaniment que l
voit été imposé. Sa Lettre Circulaire du 12 Décembre 1769, à tous les Evêques , à l’occasion de son élévation sur le Saint Siege
Da ferentes gemere. Telle est la regle que suivent tous les bons Evêques . Nous pourrions à cet égard citer en preuves les
Mais nous nous bornerons à celui de M. Marc Aurelius Balbis Bertone, Evêque de Novarre, Suffragant de l’Archevêché de Milan.
l’honneur de m’écrire le 25 Janvier 1775. Elle respire la piété d’un Evêque nourri dès son enfance dans les Lettres saintes,
en les sçavantes Conférences qui furent données par un de nos anciens Evêques , dont la mémoire est précieuse, M. Henry de Baril
anciens Evêques, dont la mémoire est précieuse, M. Henry de Barillon, Evêque de Luçon, mort en 1699. Ce fut lui qui donna ce b
isme des trois Henri, parce qu’il lui étoit commun avec Henri Arnaud, Evêque d’Angers & Henri Laval, Evêque de la Rochelle
ui étoit commun avec Henri Arnaud, Evêque d’Angers & Henri Laval, Evêque de la Rochelle. On n’a encore imprimé que les qua
connoître l’accueil que les Etrangers font aux bonnes productions des Evêques de France ; & d’ailleurs ces Anecdotes incide
élebre P. Soanen 121, de la Congrégation de l’Oratoire, & ensuite Evêque de Senez. Ses Sermons furent imprimés en 1767. Lo
Charlemagne en avoit. « Nous souhaitons », écrivoit cet Empereur aux Evêques de ses Etats, « nous souhaitons que vous soyez co
r les premiers Magistrats chargés d’acquitter le Roi de ses devoirs d’ Evêque extérieur de ses Etats, comme S. Remy appelloit C
autre de même genre, dans une Lettre qu’il écrivit à M. de Roquette, Evêque d’Autun. Il y est question des Bals. On sçait qu’
e permettre de le fréquenter : on en fit des plaintes à M. de Belloi, Evêque de Marseille. Ce Prélat donna le 13 Octobre 1772
ernier aveu se trouve cité dans l’Oraison funebre que M. de Beauvais, Evêque de Senez, prononça au Service qui fut célébré le
faire la guerre à la Sagesse divine. Le Discours que M. de Beauvais, Evêque de Senez, prononça le 7 Juillet 1775, à l’ouvertu
pas, leurs loix & les Canons de l’Eglise. Les moyens proposés aux Evêques , furent d’honorer la Religion par leur conduite,
ires dans les grandes places. Enfin le respectable Orateur invita les Evêques à instruire les Fideles, & à défendre la Reli
ire des Prov. du 12 Novembre 1772. 155. M. du Buisson de Banteville, Evêque d’Alais, dans son Mandement du 17 Mai 1774, pour
du Monastere de Fulde, & elle devoit être communiquée à tous les Evêques & Abbés de la Province, comme l’ordonne cette
Françoise, mort en 1705. Il étoit neveu du célebre Nicolas Pavillon, Evêque d’Alet, qui mourut en 1677, & qui a été bien
funebre fut prononcée par le respectable François-Etienne de Caulet, Evêque de Pamiers, mort en 1680. Et en 1738 on a imprimé
iens. Les Echevins lui firent une Réponse dont voici la fin : « Notre Evêque (M. de Belsunce) déclame & fait déclamer sans
79 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
ux mœurs & à la vertu, que trop souvent ils allarment. S. Medard, Evêque de Noyon, natif & longtemps habitant de Salen
e son temps. S’il eut voulu favoriser quelqu’un, c’eût été plutôt les Evêques diocésains, dont il avoit fixé le siége à Noyon,
pale de Vermand, pour y être instruit aux sciences ecclésiastiques. L’ Evêque ayant connu sa vertu, l’éleva au Sacerdoce, le ch
rs enfans il est encor l’amour. L’Auteur du Mémoire invoque un autre Evêque , qui, quoiqu’il ait vécu dans la Cour la plus fas
faire cet Etablissement. Pourquoi aller chercher un village & un saint Evêque , qu’on défigure & qu’on profâne, & faire
80 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
es. Plusieurs prélats y venoient faire leur cour, sur-tout M. Godeau, évêque de Vence, avec qui elle eut de si grandes liaison
La même année elle eut la petite-vérole ; pour la consoler, le pieux Evêque de Vence lui écrivit : Pour votre visage, on m’a
e. Tous les ambassadeurs en très-grands nombre, le Nonce du Pape, les Evêques lui formoient une cour dont on n’avoit point vu d
e les Carmelites & l’Evéque de Vence, pour y jouer leurs rôles. L’ Evêque sortit le premier des coulisses, par les lettres
u tems passé. Ce galimatias comique, tragique, galant, dans un vieux Evêque dont on veut faire un Pere de l’Eglise, inspire a
légerement sur quelques éclipses qui étoient étrangeres à son cœur. L’ Evêque de Vence & les Carmélites écrivirent à cette
& de passion que je conserve pour Votre Altesse. La passion d’un Evêque pour une Princesse est-elle bien canonique ? Voic
81 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40
évotion, où on ne doit souffrir rien d’indécent, & il ordonne aux Evêques dans leur visite de faire ôter des Eglises tous l
x de volupté, plutôt que des délassemens. On en voit jusques chez les Evêques , où leurs officiers sans doute à leur insçû, font
rentia, & peccatum obsistat filius infans. Sidonius Apollinaris, Evêque de Clermont, L. 2. Ep. 2. fait la description de
 2. fait la description de sa maison de campagne, elle est digne d’un Evêque par sa modestie & par sa simplicité : le déta
ius. Plusieurs Abbés de nos jours, fort différents, il est vrai, de l’ Evêque de Clermont, mais se piquant d’être amateurs des
r la piété. Le Concile l’a si fort à cœur, qu’il charge nommément les Evêques de donner ces instructions ; ces avis, ces ordres
82 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VI. Des Comédiens français rétablis dans leurs droits civils et religieux, à raison de leur profession, et entièrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’Eglise. » pp. 130-133
lir et de maintenir la discipline civile, et c’est aux prêtres et aux évêques à s’y conformer et y obéir. En lisant l’histoire
83 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
us combattons. On cite aussi S. Antonin***. Mais ce pieux Théologien, Evêque de Florence, qui vivoit au commencement du XVe si
ue commande l’esprit de la Religion. Telle est la doctrine du célebre Evêque de Meaux*. On sent combien une telle autorité doi
84 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71
s spectacles, &c. ils ne justifient le grand principe des tems. L’ Evêque de Rome n’est entre les Evêques, que primus inter
stifient le grand principe des tems. L’Evêque de Rome n’est entre les Evêques , que primus inter pares. Les grands Vicaires, imi
es un cas réservé, avec suspense encourue par le seul fait. Le nouvel Evêque plus indulgent a supprimé toutes ces peines ; il
pour être admis dans son Sanctuaire, ou être couronné de sa main. Un Evêque qui se trouvoit alors à la tête devoit le faire s
ile, lui arracha, pour de l’argent, des lettres de communion avec les Evêques Eutichéens, par l’ascendant qu’elle sut prendre s
85 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
être ce qui se passait autrefois aux Elections et aux Ordinations des Evêques . On en peut juger par ce qui se faisait à Rome, s
86 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
& autorisent, par leur exemple, la comédie ; princes, magistrats, évêques . Si ces derniers n’y vont pas à la ville, ils s’y
toujours aux spectacles de la cour, un banc qu’on nommoit le banc des évêques . Le cardinal de Fleuri, n’étant encore qu’évêque,
nommoit le banc des évêques. Le cardinal de Fleuri, n’étant encore qu’ évêque , fut pressé de faire revivre cette coutume. Rien
87 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
Henri VIII avec ses fureurs, Elisabeth avec sa vanité, ont laissé aux Evêques & aux Curés à cet égard ce qui leur avoit tou
, & dans chaque Diocese pour les menues dépenses qu’accordent les Evêques  ; ils en ont fait le tarif à leur maniere, ils l’
es attribue toutes à lui seul : Qui dicis non furandum furaris . Les Evêques distribuent aux pauvres l’argent qu’ils font donn
88 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
e du Concile de Constance rapporte que quand l’Empereur y arriva, les Evêques Anglois firent représenter devant lui en 1417 une
que la Décollation de S. Jean-Baptiste. Les Spectacles donnés par les Evêques Anglois au Concile de Constance, parurent très-no
lemagne. Reuclin en fit une imitation Latine qu’il fit jouer devant l’ Evêque de Wormes en 1497, se glorifiant d’avoir introdui
89 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Suite d’Anecdotes illustres. » pp. 184-225
ec zèle ; c’est lui qui fit connoître deux Prélats célèbres, M. Huet, Évêque d’Avranches, & M. Bossuet, Évêque de Meaux, l
deux Prélats célèbres, M. Huet, Évêque d’Avranches, & M. Bossuet, Évêque de Meaux, les plaça avec lui auprès du Dauphin, &
ractère plus doux, les ont toujours blâmés : le Cardinal de Fleuri, l’ Évêque de Mirepoix, l’Abbé de Saint Cyr, ne furent jamai
r par plusieurs Demoiselles, y invita le Roi & toute la Cour, les Évêques , les Ecclésiastiques, les Religieux ; ce que les
r apporter les clefs de la Rochelle. Voilà un trait bien digne d’un Évêque . Des Comédiens avant que de quitter la ville de G
une souscription pour former cette somme. M. de Narbonne Lara, alors Évêque , l’ayant appris, proposa à la ville de changer ce
90 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Siécle de Louis XV. Chap. 2. » pp. 161-170
la doctrine, l’un & l’autre rend suspect ce qu’ils canonisent. Un Evêque peut-il l’embitionner ? Peut-il souffrir l’encens
ele compagne, y a fait aussi de grands progrès ; en dépit de tous les Evêques , des Moines & des Prêtres.
91 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236
, autrement il faudrait dire qu'un des plus Saints et des plus doctes Evêques de ce Royaume, qui se faisait lire ordinairement
92 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXI. Les spectacles condamnés par les auteurs profanes anciens et modernes. » pp. 179-182
du Saint-Esprit : « canone regitur Ecclesia et non exemplo », dit un évêque de Noyon à Louis XIV. Ce grand roi demandait un j
93 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67
t digne de lui, & par une autre indécence, elle est adressée à un Evêque , probablement M. Bossuet, ennemi déclaré de la co
on. Tout est faux dans le raisonnement de Gacon ; il est faux que les Evêques réglés ou déréglés, aient jamais autorisé la comé
ndent, sous des peines plus ou moins grandes ; il peut se trouver des Evêques qui y sont allés, soit pour faire leur cour, comm
surde paradoxe n’est avancé que pour lancer un trait malin contre les Evêques , en disant que leurs mœurs sont déréglées : trait
nt déréglées : trait aussi faux qu’indécent. Le très-grand nombre des Evêques vit bien, personne dans ce corps n’est responsabl
94 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158
la Réligion, les mysteres, les Saints, les cérémonies, les Papes, les Evêques , les Prêtres, les Religieux, les livres hérétique
e, destruction des Eglises, abolition des Communautés, déposition des Evêques , translation de l’Empire, Conciliabules pour l’er
eurs font peindre aux Eglises de leur terre. Telles les armoiries des Evêques . Nos yeux sont accoutumés à cette indécence ; nou
95 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
Ambroise Gouverneur à Milan, ne lui recommanda que de se conduire en Evêque , et lors de l’élection de ce Saint, l’Empereur se
iques, ne les punissent-ils pas, s’ils sont coupables, même après les Evêques , leurs Juges naturels, dont ils réforment les sen
anons des conciles, sur les bulles des Papes, sur les ordonnances des Evêques , un homme qui vient d’apprendre la discipline ecc
96 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
itude, on les déshonorait par une mixtion de farces scandaleuses. Les évêques , dans les conciles et dans leurs diocèses, firent
l’Ecriture sainte à des sujets de divertissement ; et il ordonna aux évêques de punir les téméraires violateurs de son décret
97 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
s des lauriers qu’il devait plutôt au génie qu’au travail. L’illustre évêque de Meaux fut témoin de ses regrets. Chacun sait l
98 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44
pposer une autorité universellement respectée. C’est celle du célébre Evêque de Meaux, dont nous avons déja fait tant d’usage
99 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
ayence, Tours, Rheims, Châlons-sur-Saône, tenus en 813, défendent aux Evêques , Prêtres & autres Clercs, à peine de suspense
art. 1, chap. 5 de la Poésie ; le Mandement de M. de la Rochechouart, Evêque d’Arras, de l’an 1696. On peut consulter encore l
100 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
âce d’autoriser les danses et les spectacles, par le témoignage de ce saint Evêque . N’alléguez point, qu’étant lié avec le monde, vo
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