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1 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XI. Du jeu des Acteurs. » pp. 345-354
n découvre combien son ame est peu tranquille. L’Acteur intelligent n’ écoute point de sang froid le récit qu’on lui fait d’évé
nt dans ce qu’ils doivent dire, & n’en mettent pas dans ce qu’ils écoutent  ; comme s’il était naturel qu’on ne prit nul inté
ut le tems qu’ils sont sur la Scène, soit en parlant, soit lorsqu’ils écoutent ce qu’on leur dit : qu’ils prennent garde à ne pa
oint assez de part à ce qu’on leur dit dans une Ariette. Les Amoureux écoutent presque froidement ce que leur chante leur Maître
2 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
 » Philosophes les confirmeront dans cette opinion, s’ils veulent les écouter  : Car ils leur conseilleront de fuir le luxe dans
de tous les Divertissements, Elle ne cherche qu’à plaire à ceux qui l’ écoutent , Elle se sert de la douceur des Vers, de la beaut
ui est due ; que les plus nobles sentiments y sont toujours les mieux écoutés , et que les plus justes passions y sont toujours
3 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Des Duo, Trio & Quatuor. » pp. 329-339
d’être obligé de s’éfforcer à deviner ce que peut dire l’Acteur qu’on écoute . Des Chœurs anciens. C’est peut-être la d
soit pour dire la même chose, soit pour se contredire, sans jamais s’ écouter ni se répondre ». Il est pourtant vrai que les du
ucoup de bruit ; du moins lorsqu’ils sont six ou sept ensemble, ils s’ écoutent parler ; deux ou trois tout au plus s’écrient à l
4 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
n'aimiez point à les dire, vous n'auriez point tant de plaisir à les écouter , ni tant d'ardeur à courir à ces folies. Quand vo
nous croyions que vous n'aimez pas à en dire, n'aimez pas aussi à les écouter . Comment vous pouvez-vous appliquer aux bonnes c
nous pas dans l'Enfer, puis que nous nous hâtons de nous y jeter ? N' écoutez -vous point ce que dit Saint Paul : Réjouissez-vou
ez-vous au Seigneur ? Il ne dit pas réjouissez-vous au Démon: Comment écouterez -vous ce saint Apôtre ? Comment serez-vous touché
les yeux et dans les oreilles de tous ceux qui les voient, et qui les écoutent , et qui semblent conspirer par tout cet appareil
5 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363
’elle offre plus de difficultés à surmonter. Comment parvenir à faire écouter avec plaisir les personnages d’un Poème dramatiqu
se borna à sa représentation. Aristote dit formellement le contraire. Ecoutons ce fameux Philosophe, « La Tragédie ne laisse pas
6 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
osphore qu’on nomme esprit, ce rien qu’on nomme la renommée, et avoir écouté la voix solitaire du devoir, il annonça, par une
, videte nobis errores. » (Isaïe, 30, v. 10.) La voix que nous devons écouter , c’est celle de l’Eglise ; elle seule est en état
7 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
à insinuer plus doucement leur poison dans les cœurs de ceux qui les écoutent . Dans le Traité des Spectacles Quand même
es représentations ont d'éloquence, mieux ils persuadent ceux qui les écoutent , par la politesse de leurs sentiments, et la just
ne point faire un mauvais usage de ce sens qui vous a été donné, pour écouter les enseignements de Dieu. Si vous vous plaisez d
8 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VI. Du sérieux et de la gaieté. » pp. 128-149
, qui donne du poids au discours et de la dignité à la personne, fait écouter et respecter. L'air dissipé, le style badin, le t
tera ponderabantur ; dans le maintien décent et posé d'un homme qui s' écoute et se respecte soi-même, est occupé de son objet,
cachinnos moverit fædius moves. » Toujours équitable, il examine, il écoute , agit, comme la sagesse, avec poids et mesure ; c
t échappent de tous côtés, tout en eux se ressent de cette frivolité. Ecoutez leurs conversations, si vous y pouvez rien compre
s regards ne se fixent que sur quelque objet indécent. Ces oreilles n' écoutent point, elles entendent ; c'est un instrument de m
n ; l'un détruit le sens que présentait l'autre. Ou si quelquefois on écoute ou on parle avec attention, prononcez sans craint
ion de malignité à ceux qui en disaient, et nul profit à ceux qui les écoutaient . » Traduction d'Amyot. Ici la saucex gâte le pois
9 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
eurs cheveux blancs, & se couvriront de ridicule. A l’Eglise on n’ écoute qu’avec dégoût, mollement couché, à demi endormi,
prisé les Prophètes, outragé votre Dieu, assisté aux danses du démon, écouté les plus mauvaises paroles, perdu un temps précie
int aller au spectacle ; vous n’avez pas profité de mes exhortations. Ecoutez donc, & profitez-en mieux. En regardant ces i
à moi, dites-vous, de quel front oserai je entrer dans l’Eglise & écouter la divine parole ? Consultez-vous vous-même ; sen
je n’ai jamais ni dit ni chanté ces obscénités. Qu’importe ? vous les écoutez avec plaisir. Croira-t-on même que jamais vous ne
10 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
e la Monarchie Françoise, il faut s’en rapporter aux Loix existantes. Ecoutons celle que nous avons annoncée, elle s’explique d’
it venir d’Italie une troupe de Comédiens, sous le Régne d’Henri III. Ecoutons Mezeray dans son abrégé chronologique1. « Le lux
11 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
cence ; Tout respire en Esther la paix et l’innocence. Quel plaisir d’ écouter tes aimables Acteurs, Des plus hautes vertus nouv
ranimer D’aveugles passions qu’il nous faut réprimer. Gardons-nous d’ écouter d’amoureuses chimères ; D’honorer de nos pleurs d
12 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
brûlantes chaleurs de la guerre et de la saison, il vous sied bien d’ écouter à votre aise un Chanteur ou une Chanteuse, et de
ne fournissez pas à vos convoitises de quoi se soulever contre vous. Ecoutez la voix du Pasteur qui vous exhorte et vous solli
13 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SIXIEME DISCOURS. Si le Prince peut apprendre les Arts Libéraux, comme la Peinture, la Musique, et l’Astrologie. » pp. 195-201
ont jamais d’en conseiller l’usage à un Roi. C’est bien assez qu’il l’ écoute sans qu’il l’exerce, et qu’il en juge sans qu’il
ien faire la guerre et prendre des Villes. Pour l’Astrologie, si nous écoutons ses raisons, Elle ne s’élèvera pas seulement au-d
14 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
impute à ma mémoire, D’avoir mal soutenu l’honneur de ma Maison ?  N’ écoutons plus ce penser suborneur ;  Courons à la vengeanc
ur convaincre son mari de la déloyauté de ce perfide, fait semblant d’ écouter ses vœux, et d’acquiescer à ses désirs criminels.
à beau lui faire alors quelquefois de cuisants reproches, elle ne les écoute plus. « Laissez mon cœur en paix, impuissante V
e cela se put faire sans qu’il y en eut. On m’a dit qu’il ne faut pas écouter les jeunes gens, et que ce sont des trompeurs. Ma
sages du temps passé. Cela n’est plus à la mode. Il le faut pourtant écouter , car il parle d’assez bon sens. « Moi dit-il, j
jeunes gens, sous prétexte que cela est scandaleux, elles n’ont qu’à écouter Angelique qui leur apprendra comme il les faut ré
15 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
olue de mêler jamais l’Ecriture avec ce qui peut passer pour profane. Ecoutons je vous prie la fin de la quatrième session « Pos
soi-même, mépriser les richesses, n’aimer et ne craindre que Dieu : «  Ecoutons la fin de toute parole, dit l’Ecclésiastique, Cra
s hommes qui vont avec tant d’empressement à la Comédie, pour voir et écouter des Comédiennes, et bien d’autres personnes du se
. « Donnez-vous de garde de fréquenter des femmes qui dansent, ne les écoutez point, de peur que leurs attraits ne vous perdent
es remontrances. On ne manquerait pas de dire qu’on n’est pas là pour écouter de telles leçons, et qu’il faut penser que l’on e
ure, on fait faire un vœu de chasteté à Judith, et malgré ce vœu elle écoute les discours les plus tendres. L’amant supposé lu
pécheurs publics ; et puisque par leur état ils sont pécheurs, qu’ils écoutent avec frayeur ce qui est dit au Psaume 49. « Pecca
16 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien cinquieme. Le danger de la Comedie en particulier, decouvert par le R. P. F. Guilloré de la Compagnie de Jesus. » pp. 67-79
s n’ont dit souvent, que soüs des ombres ; c’est donc eux, qu’il faut écouter , quand il est question de bien faire le discernem
nées par les yeux, & par les oreilles, au cœur des personnes, qui écoutent ce qui se declame, & qui voyent le spectacle
qui y vont en foule ? Et que la folie, & le mensonge soient plus écoutez , que la parole eternelle ? Estes-vous de ces aveu
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
 ; je servirai le Public selon son goût. — Votre raison est valable ; écoutez -moi bien pourtant. Craignez d’entreprendre un ouv
parviens, non sans peine, à modérer ses transports ; il se résout à m’ écouter  ; mais je vois aux mouvemens qui l’agitent, aux i
. Mais si l’on a dessein d’éxceller dans les Drames modernes, il faut écouter attentivement le reste de mes instructions. Afin
18 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
e de même les Chansons de l’Opéra : « Ils vont , dit-il, avec ardeur, écouter certaines chansons qui ne respirent que la molles
de l’exactitude de la discipline, et de la pénitence de son siècle : écoutons -le avec attention : « Je crois que plusieurs de c
s yeux et dans les oreilles de tous ceux qui les regardent et qui les écoutent  : enfin tout ce qui se fait dans toutes ces repré
19 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
es, au lieu de convertir son cœur. Il est philosophe ? il doit savoir écouter  ; et je sens que je l’estime assez pour trouver d
ière ; vous convenez qu’il peut y avoir quelques femmes dignes d’être écoutées d’un honnête homme. Combien cet aveu ne fait-il p
tions dont elles soient capables, ont été pour eux ; que lorsqu’elles écoutaient pour s’instruire, elles prêtaient l’oreille la pl
t des tableaux affreux, et un jeune esprit que la mélancolie consume, écoute comme des oracles les destructeurs du genre humai
uira la beauté…. Ah ! je connais bien la sagesse des maîtres que j’ai écoutés  ; je connais bien aussi le danger des conseils qu
20 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
s brûlantes ardeurs de la guerre et de la saison, il vous sied bien d’ écouter à vôtre aise, un Chanteur ou une Chanteuse, et de
Ne fournissez pas à vos convoitises de quoi se soulever contre vous. Ecoutez la voix du Pasteur, qui vous exhorte et vous soll
21 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 11. SIECLE. » p. 186
ns la maison de Dieu, prenez garde à vos pieds, e approchez-vous pour écouter sa parole, Eccles. Chap. 4. v. 17. Réglez, dit le
22 (1680) Entretien X. Sur la Comédie « Entretien X. sur la Comedie » pp. 363-380
s n’ont dit souvent, que sous des ombres ; c’est donc eux, qu’il faut écouter , quand il est question de bien faire le discernem
nées par les yeux, & par les oreilles, au cœur des personnes, qui écoutent ce qui se déclame, & qui voyent le spectacle
i y vont en foüle ? & que la folie, & le mensonge soient plus écoutez , que la parole éternelle ? Estes-vous de ces aveu
23 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — X. Ses impressions sont réelles, quoique non apperçues. » p. 22
voulez que nous croyions que vous en êtes ennemis, n’aimez pas à les écouter . Serm. 37. sur S. Matth.
24 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
la rende heureuse ? l’est-elle ? vous lisez dans son cœur ?… Ma sœur, écoutez -moi —. On pressait ma main ; on l’a baisée ; j’éc
ur ?… Ma sœur, écoutez-moi —. On pressait ma main ; on l’a baisée ; j’ écoutais , & l’on me répétait ce qu’on m’avait déja dit
25 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
tations, n’êtes-vous point cause qu’ils représentent ? Que personne n’ écoute la médisance, il n’y aura point de médisants : d’
y aura point de médisants : d’où les Casuistes concluent que ceux qui écoutent la médisance, ne font point un moindre mal que ce
26 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97
ille à sa voix, on ne veut envisager que les attraits du scandale, ni écouter que le langage de l’imposture A veritate auditum
mocquant de vous. Aut ridebo aut dormitabo. Puis donc on n’est pas écouté , si l’on n’inspire les sentimens que l’on exprime
27 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
es Comédiens, et qui ne se lassent point d'employer un si longtemps à écouter des vers lascifs et licencieux, qui remplissent l
28 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVIII.  » p. 474
impute à ma mémoire D'avoir mal soutenu l'honneur de ma maison... N' écoutons plus ce penser suborneur. » Et la raison en est
29 (1675) Traité de la comédie « XVIII.  » pp. 300-301
gne impute à ma mémoire D'avoir mal soutenu l'honneur de ma maison; N' écoutons plus ce penser suborneur. » Et la raison en est
30 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
ux & ridicule ; c’est celui-ci : Qu’un son frappe mon oreille, J’ écoute … & dans tous mes sens, Mon ame qui toujours v
ens ? Il s’en suit des quatre Vers que je rapporte, que l’ame de Lise écoute dans tous les sens, les accens d’un objet qu’elle
il est aisé de le voir, a son Enthousiasme & son stile Poétique. Ecoutez , je vous prie, combien de formes on fait prendre
des apprivoisés.         Conduis par mes vives clartés, Vous n’avez écoutez que mes loix adorables ;         Jouissez des fél
31 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
mmortaliser le génie de leurs Auteurs ; mais perdus pour ceux qui les écoutent , puisqu’ils n’en peuvent retirer aucun fruit : et
nt le nom seul serait une insulte aux tyrans les plus odieux, ne peut écouter Burrhus avec un cœur tranquille, est-il né des mo
rrhus, avec lequel l’ignorance et l’envie affectent de le confondre ; écoutez -le, ou consultez le cœur de ceux qui l’écoutent :
tent de le confondre ; écoutez-le, ou consultez le cœur de ceux qui l’ écoutent  : en est-il un qui n’éprouve du moins le désir mo
32 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
rigoureux CenseurCyppria. de Spect. des dérèglements publics, il faut écouter Saint Cyprien son Disciple, qui parle comme lui.
héâtre, et à ne point mêler les Mystères Divins à ceux des Démons. » Écoutons Saint AugustinD. August. l. 2. de Civit. Dei. c. 
sacrilèges ; Nous y regardions avec plaisir leurs Démoniaques ; nous écoutions leurs Musiques, nous assistions à leurs Jeux qu'i
33 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XVI. » pp. 69-70
à changer sa qualité de Pontife en celle de Dieu. Il ne faut que vous écouter . Le Génie de la Ville, dites-vous, viendra accom
34 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VI. » pp. 98-114
ité, plus les impressions qu’ils font dans l’esprit sont dangereuses. Ecoutez Messala parlant à Tite, dans Racine, Eh bien, l’
c’est un chrétien qui les lui suppose, ce sont des chrétiens qui les écoutent , qui les admirent, & qui dès-là sont tentés d
35 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
amortir & pour l’éteindre. Voila les oracles qui veulent se faire écouter , & que l’on n’écoute en effet que trop ; voil
dre. Voila les oracles qui veulent se faire écouter, & que l’on n’ écoute en effet que trop ; voila les Docteurs & les
36 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XII. Du Dimanche et des jours des Fêtes. » pp. 54-66
de leurs vertus, de s’encourager, et de s’animer à leur imitation, d’ écouter la parole Divine avec attention, et avec ferveur,
es honorés, et qui désirez vous en rendre dignes par votre conduite ; écoutez avec attention les avertissements que nous vous d
37 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XV. Devoir des parens & des maîtres. » pp. 34-35
les Acteurs, qui en font couler d’aussi véritables dans ceux qui les écoutent . Quel aveuglement dans de telles meres ! N’auroie
38 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Troisième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 25-27
le sont trop. Aujourd’hui, que la première émotion calmée me permet d’ écouter la raison, je ne vois plus que votre magnanimité.
39 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
il défendit aux prêtres du paganisme d’y assister. Mais hâtons-nous d’ écouter la Religion. Parcourons les Livres Saints ; tout
profession de danser et de chanter ; de ne pas même la regarder, ni l’ écouter , de peur que nous ne périssions, vaincus par la f
boni, Gresset, Bayle, Jean-Jacques Rousseau, et tant d’autres : qu’il écoute leurs témoignages ; ils ne sont pas suspects25.
en œuvre pour l’amortir et l’éteindre : voilà les oracles qui se font écouter  ; voilà les docteurs et les maîtres dont les déci
ient les leçons de ce grand Poète, quand, éclairé par la Vérité, il n’ écouta plus que la Religion, cette Philosophie sublime q
me l’on y verrait toujours le vice puni et la vertu récompensée. Mais écoutons -le parler lui-même dans quelques fragments de sa
40 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
rs inexorable, Veut le sang le plus cher au défaut du coupable. » On écoute avec plaisir ces paroles barbares d'un père à un
41 (1700) IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, etc. [Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquiéme partie] « IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, &c. » pp. 95-126
die qu’à exprimer par geste, la passion dont on est possedé, ceux qui écoutent avec un singulier plaisir ces airs languissans &a
hante n’est passionné, & n’amollit le cœur, peut-on seulement les écouter  ? ne sont-ce pas les personnes dont l’âge est le
-il pas que ceux qui la representent, s’ils veulent plaire & être écoutez avec applaudissement, expriment cette passion viv
ura-t-il moins de danger à les voir exprimer, representer, approuver, écouter les applaudissemens que l’on donne à ceux qui les
ce n’est pas une chose que les Acteurs puissent regler dans ceux qui écoutent , ni arrêter dans les limites qui sont permises, c
42 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien troisieme. Le danger des Bals & Comedies découvert par l’Auteur des Sermons sur tous les sujets de la morale Chrétienne de la Compagnie de Jesus. » pp. 26-56
die qu’à exprimer par geste, la passion dont on est possedé, ceux qui écoutent avec un singulier plaisir ces airs languissans &a
hante n’est passionné, & n’amollit le cœur, peut-on seulement les écouter  ? ne sont-ce pas les personnes dont l’âge est le
-il pas que ceux qui la representent, s’ils veulent plaire & être écoutez avec applaudissement, expriment cette passion viv
ura-t-il moins de danger à les voir exprimer, representer, approuver, écouter les applaudissemens que l’on donne à ceux qui les
ce n’est pas une chose que les Acteurs puissent regler dans ceux qui écoutent , ni arrêter dans les limites qui sont permises, c
43 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
ts du rôle qu’on lui donne, et pour les communiquer à tous ceux qui l’ écoutent . De là toutes les passions rendues avec tout le c
nt et de ceux qui regardent, de celles qui déclament et de celles qui écoutent , pour faire un assemblage monstrueux de pensées l
y a longtemps que vous auriez vu, avec toute l’Eglise dont vous devez écouter les lois, que les Spectacles sont la ruine des bo
mal ; mais qui, de vous ou des successeurs des Apôtres que vous devez écouter comme Jésus-Christ, et que vous ne pouvez méprise
nez ceux qui travaillent pour le Théâtre, ceux qui récitent, ceux qui écoutent , et vous trouverez dans le plus grand nombre des
44 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
erçu que notre Langue était susceptible de mélodie, on ne voulut plus écouter que des Opéras Français ; peut-être que si on nou
ots de suite. Je demande à ces gens délicats, qui ont tant de peine à écouter les ouvrages de nos Compositeurs, s’il résulte d’
age des mêmes sons donne au chant une espèce de dureté ; si l’on veut écouter les Arriettes Italiennes avec attention, l’on en
la Langue, & une si grande pureté de modulation, qu’il ne faut qu’ écouter la Basse & savoir parler pour déchiffrer aisé
45 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
ns le Livre de l’Ecclésiastique, cap. 9. il est défendu de hanter ni écouter la femme danseresse, de peur d’y périr. La Sage S
a Sœur du bienheureux Pierre Damien, ayant une fois regardé danser et écouté quelques chansons, en a été punie l’espace de dix
46 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VIII. Les intrigues sont la vraie fin de la comédie. » pp. 15-17
n voile plus honnête. Le reméde de l’union conjugale vient trop tard. Ecoutons M. Bossuet développer ces importantes vérités. Il
47 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seconde Lettre. De madame Des Tianges, À sa Sœur. » pp. 21-24
’a pas appris qu’elle ne m’aime que pour moi : je n’en doutai jamais. Écoute , mon amie, il faut quelquefois m’épargner… Non, c
48 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
v. 4. « Ne vous trouvez pas souvent avec une femme qui danse, et ne l’ écoutez pas, de peur que vous ne périssiez par la force d
on les dise pour rire et pour relâcher l’esprit ; et que ceux qui les écoutent pèchent mortellement, quoiqu’ils les entendent sa
éché, à cause de leurs participation aux paroles des Comédiens qu’ils écoutent avec plaisir, qu’ils approuvent, qu’ils admirent,
49 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
tendres sans en être émus : et des gens d’une « si éminente vertu » n’ écoutent pas ce que dit saint Paul : I. Cor. X. 12 [1e ép
50 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
s compagnes, les Prêtres, le peuple, aussi tranquilles, s’amusent à l’ écouter & à converser avec lui (coup de théatre encor
eligion ? Oui, dans celle du temps : Laissez ces erreurs de l’esprit, écoutez votre cœur, consultez la nature. On met Dieu en c
flammes vengeresses De l’injuste Vesta consument les Prêtresses. Je n’ écoute plus rien, & mon cœur furieux Ose dans ses tr
n fou qui parle ; mais celui qui compose, celui qui débite, celui qui écoute ces abominables folies est-il sage ? est-il de pl
51 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
uelque austerité que l’on ait dans les mœurs, on ne peut pas dire, qu’ écouter precisément des Acteurs qui récitent un poème où
ius2 . Ne vous trouvez pas souvent avec une femme qui danse, et ne l’ écoutez pas, de peur que vous ne périssiez par la force d
52 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
suit. « Il peut y avoir dans le monde quelques femmes dignes d’être écoutées d’un honnête homme ; mais est-ce d’elles, en géné
; non seulement il peut y avoir, mais il y a des femmes dignes d’être écoutées d’un honnête homme. Il y a beaucoup plus de femme
ter le goût de la Vertu dans nos cœurs se trouve anéanti maintenant ; écoutez -vous vous-même. « Qu'un jeune homme n’ait vu le
ose… Leucasius. Eh quoi ! Leucasius ose…Je parle au Roi, Il daigne m’ écouter , Barbare, écoute-moi. Oui ce Peuple lassé de sa d
h quoi ! Leucasius ose…Je parle au Roi, Il daigne m’écouter, Barbare, écoute -moi. Oui ce Peuple lassé de sa douleur amère Ne
53 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
e de ces piéces anciennes, nous en donnera-t-il une idée différente ? Ecoutons -le dans sa traduction des Tragédies d’Eschyle, en
ut en 1711, couvert de gloire, après avoir été l’athlète du bon goût. Ecoutons donc l’honneur de la France, & l’athlète du b
us dira-t-il, que la Comédie est aujourd’hui tellement épurée &c. Écoutons -le. « Je crois, dit-il, que c’étoit précisément à
que les spectacles sont contraires à la profession du Christianisme. Ecoutons encore les plus récens Apologistes des Théatres ;
nt-ils faits pour prouver la pureté & l’utilité de nos Théatres ? Ecoutons encore Mrs. les Encyclopédistes. Ils se plaignent
e, né en 1639, & mort en 1699, nous parle encore dans ses écrits. Ecoutons -le : c’est un Pere Chrétien, qui veut instruire s
is assez téméraire, pour oser douter de l’utilité de nos spectacles ? Ecoutons -le lui-même, il va nous en dire son sentiment. D
ivoque, que Voltaire lui-même les appelle des êtres indéfinissables ? Ecoutez J.C., votre Docteur & le mien, c’est lui-même
au corps visible des Pasteurs, que j’ai établis pour vous instruire ; écoutez donc, & faites ce qu’ils vous disent. Quœcumq
le ; mais qui de vous, ou des successeurs des Apôtres, que vous devez écouter comme J.C.… jugera cette question ? Voyez toute l
en être émus : & des gens d’une si éminente vertu, ajoute-t il, n’ écoutent pas ce que dit St. Paul : que celui qui croit êtr
54 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. » pp. 69-71
ouvons endurer ce que vous criez sur vos théâtres, ni dans nos villes écouter personne qui parle plus haut que nous. Que si tel
55 (1765) Apologie du théâtre français pp. 1-4
t par son jeu, Et maître de son rôle, il le rend avec feu : A l’aller écouter toujours il nous entraîne. ***  Là, de cet autr
56 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
n des Fêtes. Le Pape Célestin dit, qu’il ne doit pas prétendre d’être écouté dans l’Eglise, mais qu’il doit être docile pour y
ouche, sont plus fortes et plus expresses : « Si vous ne voulez pas m’ écouter et apprendre mes volontés afin de les suivre, et
57 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
e crime & justifier le coupable ; on les souffre pourtant, on les écoute . Le théatre est une espece de barreau, où le Poët
58 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVI. Efficace de la séduction des Spectacles. » pp. 36-39
est toujours assez habile à trouver des raisons pour s’en deffendre. Ecoutons donc leurs difficultés, il ne sera pas difficile
59 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
une si honteuse occupation. Estimez-vous un homme sage qui se plaît à écouter et à voir ces niaiseries ? J'avoue qu'un homme de
60 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  piété et bienfaisance d’un comédien.  » pp. 365-370
Beauchâteau fut moins étonné de ce récit que sa femme ; elle l’avait écouté avec une attention inquiète ; à la fin, ses doute
61 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVII. Accidents arrivés dans les spectacles. » pp. 150-153
e de ces tristes événements, ne peut-on pas conclure qu’il vaut mieux écouter , dans le calme, la vérité, que d’attendre qu’elle
62 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
pas produire ? Et peuvent-ils n’y point avoir accès, puisqu’ils sont écoutés avec plaisir ? M. Nicole, Tr. de la Com. ch. 6
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre V. Du nombre des Acteurs. » pp. 252-256
tournée à chaque instant, se lasse enfin ; & ne se fatigue plus à écouter un si grand nombre d’interlocuteurs. De pareilles
64 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209
ns pour nous autoriser plusieurs personnes qui vivent chrétiennement. Ecoutons encore Tertulien, Mademoiselle, c’est lui qui s’e
idérons le cours des années & des siécles, le tems qui s’envole ; Ecoutons le son de la Trompette qui va bientôt nous appell
e contraire, qu’il n’est pas possible de vous justifier, dès que l’on écoute la raison & la foi. Fermez l’oreille à ces im
65 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
tes contre l’Auteur, & une prière aux Spectateurs de vouloir bien écouter en silence : On aurait besoin d’employer souvent
jamais s’arrêter, elle ne peut rien saisir, ou sa voix ne serait pas écoutée  ; elle est même contrainte d’admirer ; & souv
eut un certain rapport avec l’Acteur qui le chante, & ceux qui l’ écoutent . Le dernier Vaudeville du Maréchal-Ferrant, par é
66 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XII. » pp. 58-61
est justement sur le contre-pied que les Saints ont honoré les leurs. Ecoutez ce que S. Bernard dit d’un savant Evêque de son t
67 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
de ceux qui les composent, de ceux qui les récitent, de ceux qui les écoutent . Pourquoi en est-on touché, si ce n’est qu’on y v
ables de péché mortel ceux qui assistent aux très-mauvais spectacles. Écoutons Benoît XIV, un des plus grands et des plus savant
effacer même. » Voilà comme parle un législateur, un homme du monde. Écoutons M. Charles Dupin dans un discours public. « Voyez
s bénira dans vos enfans. Si notre voix vous est suspecte, eh ! bien, écoutez le langage d’un célèbre acteur du théâtre Italien
68 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132
es prédicateurs singuliers, on les eût traités de fous. A Rome on les écouta , on les respecta, chacun s’en retourna frappant s
son cœur, à la vue des malheurs qu’annonçoient ces prophêtes. Ninive écouta la voix de Jonas, & un grand nombre de person
être bien honteux, les plus grands amateurs en rougissent, quand ils écoutent les conseils de la raison, les loix de la Religio
oit disciple de Jesus-Christ, il faisoit le prince ; il vouloit qu’on écoutât ses prédications, non avec le respect & la mo
69 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
quelque austérité que l’on ait dans les mœurs, on ne peut pas dire qu’ écouter précisément des acteurs qui récitent un poëme, où
e d’un Chrétien dont les pensées doivent être toutes saintes, d’aller écouter des maximes pernicieuses, d’autant plus propres à
Vous suivez, comme des yeux, les honteux progrès de sa passion. Vous écoutez de sa bouche ses criminels aveux, & vos sens
orise, & qu’il importe de ne rien laisser à desirer sur ce sujet, écoutons un moment le langage des mondains pour essayer de
de celui qui la compose, de ceux qui la récitent, de ceux-même qui l’ écoutent  ? Il est triste d’entrer dans ces détails peu dig
volte quiconque n’a pas perdu tout sentiment de pudeur, l’esprit ne l’ écoute que froidement, qu’avec crainte, qu’avec défiance
t plus dangereuse, qu’on est moins prêt à s’en defier, que l’esprit l’ écoute avec moins de précaution, & que le cœur s’y l
éternelle ? & pour mieux découvrir les sentimens de vôtre cœur : Ecoutez une supposition. S’il venoit en ce moment un mini
ourrit habituellement le feu des passions qui vous dévorent. De grace écoutez -moi ; & vous détachant de tout préjugé, comme
e l’accord enchanteur d’une symphonie molle & séduisante, comment écouteront -elles le chant modeste des pseaumes ? Suite du m
r semblable, qu’étant presque le seul qui pût mériter d’être vû & écouté sur le théâtre, il étoit d’autre part le seul de
70 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
crit si hautement, on s’avise de citer sa parole ? L’Evangile est peu écouté dans l’école des mondains. Ceux de ce caractère q
que le bal à l’esprit du Christianisme : avec quel mépris serez-vous écouté  ! Que de fades plaisanteries sur le prétendu réfo
71 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
d’un chrétien, dont les pensées doivent être toutes saintes, d’aller écouter des maximes pernicieuses, d’autant plus propres à
éroïne. On suit comme des yeux les honteux progrès de sa passion ; on écoute de sa bouche ses criminels aveux, et les sens ne
72 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
es à la liberté du Théâtre, faisons en sorte que les moins dévots les écoutent avec toute la docilité que peuvent avoir les pers
cessé les Prédications, car n’eussent eu les Prédicateurs qui les eût écoutés . Et retournant desdits jeux, se moquaient hauteme
73 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
personnes qui ont écrit contre les Comédiens, et contre ceux qui les écoutent  :Les comédies sont de soi indifférentes, il faut
sévère, qu’absolument je blâme ni ceux qui les font, ni ceux qui les écoutent  ; car je sais qu’on en a fait de fort belles, des
t-il arrivé, qu’étant fort attentive à penser à quelque chose, ou à l’ écouter , vous n’avez pas pris garde ni au bruit qui se fa
che, mais celle qui édifie, qui rend plus agréables à Dieu ceux qui l’ écoutent  ; et ne contristes pas le saint Esprit » :72 Et e
ieu, ou au temps qu’il faut ouïr la Messe : lorsqu’un Juge doit aller écouter les parties, et faire justice à ceux qui l’en req
74 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
. Que Molière ait d’abord respecté le goût du Public pour s’en faire écouter , il a bien fait. C’est le père qui frotte de miel
premiers sentiments que la nature a gravés dans leur cœur, qu’on les écoute avec tant de plaisir et qu’on les saisit avec tan
celui que vous croyez qu’on n’a pas encore osé mettre sur la scène ; écoutez -le pour vous en convaincre. « C’est à vous que
audira pas quand avec un mépris héroïque, il lui dira : « frappe mais écoute  »aj  ? Vous imaginez-vous, m’allez-vous dire, que
r honneur de « bêtes féroces », mais pour les instruire et s’en faire écouter , il s’y prend bien plus joliment : voyez la scène
tient des réflexions et en fait faire de si sensées à tous ceux qui l’ écoutent ou qui la lisent, qu’on peut présumer que des scè
75 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre II. De deux sortes de Danses, dont il est parlé dans l’Ecriture Sainte. » pp. 6-13
ù Dieu est ordinairement offensé. « Ne fréquentez point, dit-il, et n’ écoutez point la femme Danseuse, de peur que ses attraits
76 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
tacles. Il seroit bien plus prudent d’imposer silence aux passions, d’ écouter la raison, & de réfléchir un peu sur les chos
mmes des Carthaginois. Il parloit en homme sensé, aussi ne fut-il pas écouté . Mais les événemens ne tarderent pas à démontrer
u bruit, & un bruit bien foible pour ceux qui ne refusent point d’ écouter les réclamations de la Religion, & qui reconn
77 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
bourreau. Et bien loin encore que toutes ces éternelles leçons qu’ils écoutent de sang froid, comme ne les concernant pas, ou do
torité respectable à leurs élèves ou disciples soumis, obligés de les écouter , des préceptes ou des leçons dès long-temps prépa
hasardées pour la plupart ; non à des élèves soumis et obligés de les écouter , mais à des disciples-juges auxquels ils sont obl
s des pièces et des acteurs soit plus assuré, on y voit qu’ils seront écoutés avec des préventions plus favorables, traités plu
78 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
ttes travaillées avec soin, qui sont même les seuls morceaux que l’on écoute attentivement. pag. 266. lig. 9 & 15. Serva
79 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
commencera par lui retrancher tout ce qu’il y a de grossier : et on n’ écoutera pas ces gens, qui disent que cela donne plus d’en
u dérèglement de leur esprit. Ils sont trop contents d’eux-mêmes pour écouter les avis qu’on pourrait leur donner ; et après to
80 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
ceux qui les composent, de ceux qui les récitent, et de ceux qui les écoutent . Dites-moi, que veut un Corneille dans son Cid, s
81 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
ssent dictées par la nature et conformes à la raison ; mais je ne les écoute pas quand elles forcent la nature, et que, contra
82 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35
rs du théatre : Jugeant de tout sans rien connoître ; Je parle, on m’ écoute , il suffit. Pour n’être qu’un sot petit maître, O
entrée du monde. Il suffiroit à la sûreté de toutes les vertus. Si on écoute ce salutaire préssentiment, on s’éloignera du dan
e actrice, y faire toute sorte de mouvemens, toute sorte de gestes, y écouter , y prononcer toute sorte de discours, y jouer san
aucune provision ; prenez ce que vous trouverez, & si on ne vous écoute point, sécouez la poussiere de vos souliers ; ce
83 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
t pour ses confreres. Tout porte coup dans la bouche des Rois. On les écoute comme des oracles, & leur sagesse doit mérite
terie si fade & si outrée, que la foiblesse à les souffrir, à les écouter , à y laisser applaudir, étoient bien au-dessous d
lise ont pensé comme nous sur l’irréligion. Ils méritent sa disgrace. Ecoutons le sage Salomon. Des imposteurs mitrés, qu’on no
84 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28
n’y jure que par lui, on y prêche tous les jours ses sermons, on les écoute avec une attention toujours nouvelle, on les sçai
aussi vifs, d’aussi justes, d’aussi plaisans, que Moliere même alloit écouter , qu’il a inserés dans ses pieces, dont il faisoit
ne diroit-on pas mieux qu’il l’en feroit déchoir ? Voici du délire : Ecoute , toi qui te prépares à courrir la carriere de Cor
85 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
ivent ; ces paroles de vie sont aussi esprit et vie pour ceux qui les écoutent . Cette fontaine sacrée jaillit à la vie éternelle
ne parle pas, et qui n’était pas alors connu ; et malgré son vœu elle écoute et souffre à ses genoux son adorateur, qui l’appe
es du Prophète : « Vir pollutus labiis ego sum. » 3.° On ne doit pas écouter ce père du mensonge, lors même qu’il dit la vérit
86 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
le traitait de blasphème et d’invective, et défendait aux Chrétiens d’ écouter . Sous un Roi très chrétien, nos Déistes dramatiqu
, une chaire de pestilence, où l’on entend ce qu’on n’oserait lire ni écouter ailleurs ? On a blâmé les controversistes qui ont
ques, que l’on y va partout, que leurs Prédicateurs ne sont pas mieux écoutés que les nôtres sur cet article ; mais ils n’en so
87 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54
dies pleines d'horreur qui font agir et parler des gens qu'on ne peut écouter ni voir sans souffrir. On devrait gémir d'un trav
esse des principes pernicieux. Tels sont tous les séducteurs. Qui les écouterait , s'ils venaient à visage découvert annoncer leurs
Comédien qui ne dirait que des obscénités et des impiétés, serait-il écouté  ? Quelque trait de morale lui sert de passeport :
88 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107
oule de prosélytes, des Dévots innombrables qui viennent assidûment l' écouter et la mettent fidèlement en pratique, et dans leu
, obtiennent-elles plus d'indulgence ? du moins n'est-il pas permis d' écouter celle-ci, même par jeu. On ne peut trop prompteme
courent sur le théâtre, voltigent dans les loges et les coulisses, n' écoutent pas, s'en vont à la moitié de la pièce ; les alim
89 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
ugement de Dieu. Après tout, que sert aux comédiens et à ceux qui les écoutent , qu’on leur laisse libre le temps de l’office ? y
90 (1698) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras au sujet des Tragédies qui se représentent dans les Collèges de son Diocèse [25 septembre 1698] « Mandement  » pp. 37-43
’Evangile et les Saints Canons que l’Eglise nous a donnés, qu’il faut écouter et qu’il faut suivre. Malheur à qui s’en écarte s
91 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
l’agréable et le fin, Et sans honte à Térence allié Tabarin. » M’ écouterait -on, si je représentais que l’esprit d’irréligion,
: qu’on regarde, ou plutôt qu’on ne regarde pas nos Actrices, qu’on n’ écoute pas leurs conversations, qu’on ne suive pas leurs
92 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
oiblissent le courage de l’ame. Les Lacédémoniens ne voulurent jamais écouter ni Tragédie ni Comédie, disant qu’il n’étoit pas
rès petit nombre ? Elle le peut si elle est telle que nous le disons. Ecoutez & vous jugerez si j’ai raison. N’est-il pas v
très-utile dans les Républiques pour la conduite de la vie. Nous les écouterons très-volontiers, & nous croirons gagner beauc
ublique. Mais si elle ne peut nous persuader de cette utilité, nous l’ écouterons , mais avec toute la précaution nécessaire, &
troubler l’œconomie de son ame soit en garde contre elle, & ne l’ écoute qu’avec crainte. G. J’en tombe d’accord. S. Car c
93 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
l’Eternité, doit toujours être en garde contre la Poësie, & ne l’ écouter qu’avec crainte, s’il veut conserver l’œconomie d
94 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
d’un théologien », page 54]. . Il ne mériterait pas d’être seulement écouté , s’il ne nous donnait encore une fois Saint Thoma
95 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
lossiens, chapitre IV, verset 6]., qui fait que l’on plaît à ceux qui écoutent  : que si Saint Thomas par l’autorité d’Aristote,
96 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
e ces deux véritez importantes dans les deux Parties de mon Discours. Ecoutez -les sans prévention, & vous qui blâmez les sp
œur l’amour du monde, & qui ne goûtent que ses fragiles plaisirs. Ecoutons enfin l’Eglise de France, la plus saine & la
de luy-même comme le plus irréconciliable & le plus obstiné. Mais écoutons ce qu’il dit, & tâchons de luy répondre. Vous
; en Jesus-Christ :2. Cor. 2. 17. si ces Prédicateurs enfin, qui sont écoutez avec tant d’attention & de respect par un Aud
97 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
d’être surpassé. La Bergère s’arrêtait aussi par intervale afin de l’ écouter . Enchantée de savoir un nombre infini de petits a
point assez de superlatifs ni d’hiperboles. Leurs Sages mêmes qu’ils écoutaient comme des Oracles, l’élèvaient jusques aux nues.
r en Perse. Louanges que les Grecs prodiguaient à la Musique. Ecoutons ce singulier raisonnement du divin Platon, il pro
ibles de se livrer aux mouvemens qu’éxcitait autrefois la musique. On écoute avec plaisir telle sonnate, telle simphonie, &
98 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63
'est en quelque sorte abandonner sa Foi, et abjurer le Christianisme. Ecoutez en quels termes en a parlé ce grand homme ? quell
99 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
eurs, et je me figure que comme en la magie, la peine de ceux qui les écoutent , et qui les enseignent serait égale, si la corrup
100 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
t oisives. Son pere & son frere arrivent, se moquent de lui, il n’ écoute rien, il envoie au plus vîte une belle lettre aux
n roi ; on voit parmi les grecs celle d’un orateur qui, pour se faire écouter , commence son discours par une fable ; parmi les
Ils valent pourtant mieux que les tables ; point d’enfant qui ne les écoute plus volontiers, qui n’en profite davantage. Un g
onne. Sur la scène françoise on voit cent fois des acteurs cachés qui écoutent dans des maisons voisines, sur des balcons, à des
L’auteur lui-même cite Britannicus, où Néron derriere une tapisserie, écoute la conversation de Junie avec son amant : idée as
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