Dédicace
A MM. de l’Académie royale de musique ;
MM. les Comédiens ordinaires du
Roi ;
Et MM. de l’Opéra-Comique, etc., etc.
Un préjugé détestable, et réprouvé par tous les hommes de bien, jette de la défaveur sur une profession que notre législation et l’autorité de nos rois n’ont cessé de protéger et d’honorer ; je crois satisfaire au vœu du public en fournissant, sur cette matière, tout ce que les lois civiles et ecclésiastiques ont de plus prépondérant pour fixer le jugement des hommes.
Je désire de tout mon cœur avoir atteint le but que je me suis proposé, et vous prie de croire aux sentiments d’estime et d’affection que vos talents inspirent à tout ami des sciences et des arts, et avec lesquels
Messieurs,
Votre très humble et très obéissant serviteur.