(1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
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(1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500

TABLE DES PRINCIPALES matières
Contenues dans ce Volume.

Chapitre Premier.

L’Obscénité du Théâtre Anglais dans le langage, page 1

Suite de cette licence de nos Poètes modernes, 3

L’obscénité ; contre le savoir vivre aussi bien que contre la Religion, 7

Le Théâtre Anglais scandaleux au souverain degré sur ce point, 11

La modestie, caractère propre des femmes, 13, et suiv.

Les avantages de la modestie, 15, et suiv.

L’obscénité beaucoup plus insupportable dans un Auteur Chrétien que dans un Auteur Païen, 21, et suiv.

Le Théâtre de Rome et le Théâtre d’Athènes bien moins licencieux que le Théâtre Anglais, 22

Preuves tirées sur cela : de Plaute, 23

de Térence, 31

de Sénèque, 40

Comparaison du Théâtre Anglais avec le Théâtre d’Athènes, 41, et suiv.

Caractère abrégé d’Eschyle, 41

La Chasteté de l’expression dans ce Tragique, 42

Le génie et la conduite de Sophocle dans ses poèmes où la chasteté règne toujours, 45

Caractère d’Euripide différent des deux premiers, 49

La pureté de son style, là même.

Tout ce qui est dans la nature n’est pas bon à mettre sur le Théâtre, 58

Critique des Ouvrages d’Aristophane, et son autorité nulle pour l’affaire présente, 59

Le témoignage de ce Comique contre lui-même, 79

Autorités de Ben Jonson, 83, et suiv.

Autorités de Beaumont et Fletcher, 84

Autorités Et de Pierre Corneille, contre l’état présent du Théâtre Anglais, 88

CHAPITRE SECOND.

L’impiété du Théâtre Anglais consistant ; en premier lieu, dans les imprécations et dans les jurements, 92

Pourquoi on a recours aux Jurements, 93

Le Théâtre Anglais plus coupable aujourd’hui à cet égard qu’il ne fut jamais, 95

La grandeur de cette sorte d’impiété, 96

Impiété punie par les Lois mêmes humaines, 97

Jurer sur un Théâtre public, c’est n’avoir aucun principe d’éducation, 99

Rien de plus grossier que de jurer surtout en présence du sexe, 99, et suiv.

L’impiété de nos Poètes modernes consistant en second lieu ; dans l’abus qu’ils font de la Religion et des saintes Lettres, 100

Exemples de cet abus dans l’Astrologue joué et dans l’Orphelin, 101

Dans le vieux Bachelier et dans le Fourbe, 104

Dans Don Sébastien, 108

Réflexions sur l’Epître dédicatoire d’Aurenge Zèbe et sur la Traduction de Juvenal par M. Dryden, 112, et suiv.

L’homme Chrétien seul véritable ami, 112, et suiv.

L’Athéisme détruit l’amitié, 116, et suiv.

Autres exemples d’impiété dans l’Amour Triomphant, 122

Dans la femme Provoquée, 131

Dans l’Amour sans intérêt, 141

Dans le Relaps, 133

L’horreur de cette seconde sorte d’impiété, 136

Les Poètes Anglais évidemment blasphémateurs et convaincus de l’être par la plupart des pièces rapportées ci-dessus, 138

Les Dramatiques Latins et Grecs, religieux au prix des nôtres. Ceci prouvé par l’exemple de Plaute et de Térence, 147 et s.

Par l’exemple des Tragiques d’Athènes, 150

Sénèque plus criminel sur cet article que les Poètes Grecs ; mais moins aussi que nos Auteurs, 163

Exemple des Païens ; vain prétexte pour des Chrétiens, principalement en cette matière, 164

Nulle de ces impiétés ne saurait être permise sous quelque prétexte que ce soit, 167

CHAPITRE troisième.

L’insolence des Poètes Anglais à l’égard des Prêtres dans toute sorte de créance, 168

A quel dessein les Poètes Anglais en usent ainsi, 169

Quelques exemples de leur insolence, 170

Conduite du Théâtre Anglais contraire en ce point à l’usage de toutes les nations, 191

Preuves tirées d’Homère, là même.

De Virgile, 194

D’Eschyle, 203

D’Euripide, 204

De Sénèque, 205

Des Poètes comiques Grecs et Latins, 206

Des Dramatiques modernes, 208

Preuves tirées de la raison qui apprend à respecter les Ministres de la Religion, 216

Première preuve : leur devouement spécial au Seigneur, là même.

Seconde preuve : l’importance de leur ministère, 220

Troisième preuve : la vénération non interrompue, où ils ont été en tout pays et en tout temps, 221

Conclusion de ce Chapitre, 236

On réfute ce qu’on pourrait opposer, 237

CHAPITRE quatrième.

Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais, 240

Combien l’on est coupable, lorsqu’on donne à la vertu les couleurs du vice et au vice celles de la vertu, et le mal qui arrive de là, là même.

Les Héros de nos Pièces toujours scélérats et toujours applaudis, 242

Portrait du Galant homme d’Après nos Poètes, 246 et suiv.

Les vertus morales persécutées sur notre Théâtre, 248

Les Héroïnes de nos Comédies aussi vertueuses que les Héros avec le même succès qu’eux, 250

Les jeunes personnes de condition ont des mœurs plus saines dans Plaute et dans Térence, 251

Vaine Justification de l’Astrologue Joué, dans sa Préface, 254

Sentiment d’Horace contraire à celui de l’Astrologue joué, 256

Exemple de Ben Jonson inutile pour justifier l’Astrologue Joué, 260

Autorité de Shakespeare opposé à l’Astrologue Joué, 263

Erreur de l’Auteur de l’Astrologue Joué, sur la différence qu’il met entre la Tragédie et la Comédie, 265, 266

Le divertissement n’est point la fin principale de la Comédie, 267

La Comédie et la Tragédie, quoique par une route différente, doivent tendre à une même fin ; qui est la réformation des mœurs, 268, et suiv.

Les témoignages sur cela ; du P. Rapin, 269

De Ben Jonson, 270

D’Aristote et de Quintilien, 273

Il est dangereux et déraisonnable de faire du divertissement le but principal de la Comédie, 277

Incongruités de nos Dramatiques par rapport à la poésie du Théâtre et à la politesse convenable, 283

Jusqu’où nos Poètes se guindent, 287

Jusqu’où nos Poètes rampent, 289

Leur rusticité à l’égard du Sexe, 292

La liberté qu’ils se donnent à l’égard des Seigneurs d’Angleterre, 296

Il n’y a que nos Modernes qui en aient usé de la sorte, 299

CHAPITRE cinquième.

Article Premier.

Remarques sur l’Amphitryon de M. Dryden, comparé avec celui de Plaute et avec celui de Molière, 302

Article Second.

Remarques sur le Roi Arthur de M. Dryden, 322

Article Troisième.

Examen du Don Quichotte de M. D'UrfeyJuvenalal 336

Article Quatrième.

Examen du Relaps ou de la Vertu en danger, de M.V. 357

L’OPINION DES auteurs tant profanes que sacrés, touchant les Spectacles, 399

Le sentiment des Philosophes, des Orateurs, des Historiens et des Poètes mêmes du Paganisme touchant les Spectacles, 400

Le Théâtre blâmé par les Lois d’Athènes, de Sparte et de Rome, 410, et suiv.

Par le Code Théodosien, 412

Par les Statuts d’Angleterre, 413

Par des Mandements des Prélats de France, 415

Le Théâtre proscrit par la primitive Eglise, par les Conciles d’Illiberis, d’Arles, etc. 418

Témoignages des Pères contre le Théâtre, et surtout de Théophile d’Antioche, 421

De Tertullien, 423, et suiv.

De Clément d’Alexandrie, 436

De Minutius Felix, 438

De Saint Cyprien, 439

De Lactance, 445

De Saint Chrysostome, 448 et suiv.

De Saint Jérôme, 458

De Saint Augustin, 460

Censures des Pères et des Conciles, convenables au Théâtre Anglais, 474

Conclusion, 466