XXVII. Profanation de la sainteté des fêtes et du jeûne introduite par l’auteur : ses paroles sur le jeûne.
En voici deux principaux, où elle attaque manifestement les plus saintes pratiques de
l’Eglise. L’un est celui où l’auteur approuve que la comédie▶ partage avec Dieu et avec
l’office divin les jours de dimanche ; et l’autre où il abandonne à ce divertissement même
« le temps de carême : encore, continue-t-il, que ce soit un temps consacré à la pénitence, un temps de larmes et de douleurs pour les chrétiens ; un temps, où, pour me servir des termes de l’écriture, la musique doit être importune, et auquel le spectacle et la ◀comédie▶ paraissent peu propres, et devraient ce semble être défendus. »Malgré toutes ces raisons, qu’il semble n’avoir proposées que pour passer par-dessus, malgré le texte de l’écriture dont il les soutient, il autorise l’abus de jouer les ◀comédies durant ce saint temps.