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7. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 

De plus il vous sied mal d’écrire en si haut stile.

8. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158

Le Seigneur du Village à sa porte les mit ; Et ce dicton Picard à l’entour fut écrit : Biaux chires leups n’écoutez mie Mere tenchent chen fieux qui crie.

9. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326

C’est par cette raison qu’égayant leur esprit, Nombre de gens fameux en ce genre ont écrit.

10. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339

Pour l’hommage et pour la maniere, Le Singe en fut chargé : l’on luy mit par écrit Ce que l’on vouloit qui fust dit.

11. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Ses écrits prouvent qu’il avait des aspirations plus nobles. […] Ces papiers mêmes forment, dans leur longueur, la page écrite. […] Ils les ont écrits comme de la prose. […] Daniel, chaque vers occupe seul la ligne où il est écrit. […] “Vossius, écrit en effet D. 

12. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »

C’est à faire à un autre genre d’écrire que celuy cy.

13. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »

Anacreon, Horace, et Martial, ne sont remplis que de ces reproches ; Et Ovide mesme en ses Amours, écrit bien souvent contre la legereté de ses Maistresses.

14. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Ils rapportent entre plusieurs Histoires celle d’un certain Elephant, qui entendoit parfaictement le langage de son Maistre, et faisoit beaucoup de choses de celles que font les hommes, voire mesme jusques là que d’avoir sçeu écrire ces propres paroles. […] Quant à l’Elephant qui écrivit de sa trompe, il est certain qu’il ne le fist que par memoire, et que son Maistre l’avoit quelques jours auparavant instruict à cela, au desçeu de tout le monde, affin qu’il praticquast sa leçon à découvert, et qu’il surprist les spectateurs avecque plus de merveille ; ce qui sembleroit nouveau, s’il ne se trouvoit encore aujourd’huy quantité de Charlatans, qui pour gaigner de l’argent, dressent les bestes à de semblables tours de souplesse.

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