Mais ce Traistre ne porta guere loing la peine de son forfaict, non plus que l’infidele Renard ; Car il fût puny de la façon qu’il le meritoit, et se trouva compagnon de la disgrace qu’il avoit procurée.
Augustin a pris la peine d’en moraliser plusieurs, que S.
Or est-il que ce n’est pas une chose beaucoup difficile de se souvenir de ceste derniere fin, à raison de la peut qu’on a des peines et des recompenses qui la suyvent.
Xanthus rasseuré par ces paroles d’Esope, se resolut de le croire, et ne faillist point le lendemain de se trouver en la Maison de Ville, ou, suivant le conseil de son serviteur, il se mit à parler aux Assistants, qui le prierent incontinent de faire venir Esope A son arrivée, il se tint debout devant les Samiens, qui bien estonnez de voir un homme de ceste mine, s’en rioient ouvertement, et disoient tout haut. « Vrayment voila un bel homme, pour nous expliquer le Prodige, dont nous sommes si fort en peine.
Il imite sans peine toutes nos façons de faire ; il mange proprement comme nous, il s’habille, il se couvre, il saluë, il emmaillotte et berse les enfants ; il praticque des vengeances ; il se plainct des tromperies, et se rend mesme capable de faire certaines choses, qui ne semblent dépendre que de la cognoissance des Arts. […] Il n’est donc pas à propos de s’imaginer qu’ils le fassent par art ; mais il est bien à croire que si nostre Esope n’eust point eu de plus excellent sçavoir, que celuy qu’on luy attribuë d’avoir entendu le langage des bestes, nous ne serions pas maintenant en peine de luy servir de Mythologistes. […] Nous pouvons donc à bon droict l’appeller le phanal de nostre vie, le fil de nos labyrinthes, et la consolatrice de nos peines.
Celuy qui se trouve riche, n’a-t’il point beaucoup de peine à s’en exempter ?
Certains, tels que Nicolas Rigault, n’ont pas pris tant de peine ; tout en plaçant le prologue en tête du livre V, ils ont laissé subsister le mot quartum. […] On sera peut-être porté à croire que la solution du problème n’exigeait pas tant de peine. […] Guessard et Michelant qui ont pris la peine d’aller la copier au Vatican. […] Quant aux autres savants, qui, après lui, voulurent en parler, ils ne prirent pas même la peine d’y recourir. […] Si cependant il avait pris la peine de réfléchir, il aurait tout de suite aperçu que l’archevêque de Siponte se trompait.