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2. (1180) Fables « Marie de France, n° 27. L’homme et ses membres » p. 130

Mes, quant li ventres jeüna, hastivement afeblia [e] meins e piez qu’il ne poeient si travailler cum il suleient ; quant [la] grant febleté sentirent, manger et beivre al ventre offrirent ; mes trop l’eurent fet j[e]uner si qu’il ne poeit rien guster.

3. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339

Comme il fut question de porter ce tribut, Le Mulet et l’Asne s’offrirent, Assistez du Cheval ainsi que du Chameau. […] J’allois offrir mon fait à part ; Mais bien qu’il soit leger, tout fardeau m’embarasse.

4. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 286 » p. 265

Celui-ci, n’ayant rien à lui offrir, s’en fut vers sa perdrix privée, et il allait la tuer, quand elle lui reprocha son ingratitude : « Ne lui était-elle pas fort utile en appelant les oiseaux de sa tribu et en les lui livrant ?

5. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — II. Le Pot de terre et le Pot de fer. » p. 378

Cette offre le persuade.

6. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333

» — Si tu en doutes, répondit le renard, viens chez moi, je t’offre à dîner. » Le lièvre le suivit.

7. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32

La fable montre qu’aucun élément, ni la terre, ni l’air, ni l’eau, n’offre de sûreté aux criminels poursuivis par les dieux.

8. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 62 » p. 71

Ô fortune qui offre et qui ne permet pas de prendre !

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