Les Loups mangent gloutonnement.
Marie de France, n° 97 Le loup et la colombe Un lu esgarda un colum, que cuillot desuz un buissun ramels, dunt sun ni voleit fere.
Marie de France, n° 59 Le loup et le corbeau D’un lu cunte ke vit jadis u un corbel s’esteit asis sur le dos dë une berbiz.
Marie de France, n° 21 Le loup et la truie Jadis avient que un lus erra par un chemin, si encuntra une troie que preinz esteit.
Marie de France, n° 88 Le loup et le renard Un gupil e un lu s’aïrierent e ensemble se curucerent, si que nul nes pot acorder ne lur raisun a bien turner.
Or un jour on lui présenta un louveteau ; il le palpa et resta indécis. « Je ne sais pas, dit-il, si c’est le petit d’un loup, d’un renard ou d’un autre animal du même genre ; mais ce que je sais bien, c’est qu’il n’est pas fait pour aller avec un troupeau de moutons. » C’est ainsi que le naturel des méchants se reconnaît souvent à leur extérieur.