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14. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »

Cependant les Creanciers, ou ne peuvent plus fournir à la despence de ces Prodigues, ou ils en sont dégoustez par le mespris qu’on fait de leurs impertinences.

15. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 87 » pp. 57-57

Elle déclara qu’elle avait bien promis le salaire, s’il lui guérissait la vue ; mais que son état, après la cure du médecin, était pire qu’auparavant. « Car, dit-elle, je voyais alors tous les meubles qui étaient dans ma maison ; à présent au contraire je ne puis plus rien voir. » C’est ainsi que les malhonnêtes gens ne songent pas que leur cupidité fournit contre eux la pièce à conviction.

16. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »

Car avec ce qu’il ne vous servira pas moins bien que les autres, nous sommes contents de payer ce qu’il coustera ». « Vrayment », adjousta Xanthus, « il feroit beau voir que vous fournissiez l’argent, et que j’acheptasse la marchandise.

17. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »

Mais Esope fournit bien une autre raison aux Courages Vertueux, pour leur servir de consolation, quand les Meschants les affligent ; C’est qu’il feint la Perdrix mesme mal traittée par les Coqs, en leurs contentions mutuelles, d’où il luy fait prendre sujet de s’appaiser.

18. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Le prologue en fournit partout la preuve. […] Les palimpsestes en fournissent aujourd’hui la preuve la plus irrécusable. […] S’il en avait été ainsi, il serait impossible de fournir exactement les variantes des titres. […] Les notes de Gude fournissent donc des renseignements plus précieux ; elles n’en sont pas moins de nature à causer à leur tour une grande perplexité à ceux qui s’en serviront. […] C’est surtout la dédicace à Pirrho Perotti, qui lui paraît la fournir.

19. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »

Que ne nous contentons-nous du bien qu’il faut pour arriver jusques à la frontiere, et que ne mettons-nous ordre à nous fournir d’une monnoye qui s’y debite, c’est à dire, de bonnes œuvres ?

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