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2. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 90 » pp. 58-58

Cette fable montre que, lorsqu’on cherche par cupidité à avoir plus que l’on n’a, on perd même ce qu’on possède.

3. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 164 » pp. 129-129

Cette fable montre que nous devons nous contenter de nos propres biens, et nous dire que la convoitise non seulement ne sert à rien, mais encore nous fait perdre souvent ce que nous possédons.

4. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 249 » pp. 169-169

Un jeune prodigue, ayant mangé son patrimoine, ne possédait plus qu’un manteau.

5. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 326 » pp. 370-370

Un trompette qui sonnait le rassemblement ayant été pris par les ennemis, criait : « Ne me tuez pas, camarades, à la légère et sans raison ; car je n’ai tué aucun de vous, et, en dehors de ce cuivre, je ne possède rien. » Mais on lui répondit : « Raison de plus pour que tu meures, puisque, ne pouvant toi-même faire la guerre, tu excites tout le monde au combat. » Cette fable montre que les plus coupables sont ceux qui excitent au mal les princes méchants et cruels.

6. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

C’est là une explication ; mais la Bibliothèque nationale heureusement n’a pas encore été incendiée ; ce qui en restait s’y trouverait encore, et elle n’en possède rien. […] Mais la Bibliothèque Vaticane possédait-elle encore le manuscrit de Daniel ? […] Ils n’ont pas d’ailleurs songé à contester que le Collège ait possédé une copie tirée directement ou indirectement du manuscrit. […] Aujourd’hui je vais plus loin : je crois que le collège n’en a possédé aucune. […] Après l’avoir extraite une première fois du manuscrit qu’il possédait, Perotti a pu oublier sa première copie, et, sans s’en douter, en faire une autre.

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