L’on nous permet quelquesfois de jurer le nom de Dieu avec des begayements enfantins, et d’offrir à un Ennemy les premices de nos pensées. […] Comment pouvez vous pretendre à sanctifier vostre fils, si vous permettez qu’il se soüille de si bonne heure de vos ordures ? […] les petits oyseaux chanteront selon leur possible les loüanges de l’Eternel : les Cieux annonceront sa gloire, les Quadrupedes et les Reptiles l’adoreront, et vous serez les seuls, ô dénaturez, qui permettrez à vos Enfans de prononcer des termes dissolus, et de se rendre méchants plustost qu’ils ne seront hommes ?
Or lorsque l’oie dut subir le destin pour lequel on l’élevait, il faisait nuit, et le temps ne permettait pas de distinguer les deux volatiles.
Così quel servo fa, che del conservo Non ha pietade : et non consente in parte Talhor levargli del suo ufficio il peso Per picciol tempo : onde ne nasce poi Che la soma di quel sopra lui cade Tutta, né trova chi gli porga aiuto Per giusta ira del ciel, che lo permette.
Le Ciel permit qu’un saule se trouva Dont le branchage, aprés Dieu, le sauva.
Comme on ne prêtait pas beaucoup d’attention à son discours, il demanda qu’on lui permît de conter une fable d’Ésope.