Cette fable montre que, si vous trahissez l’amitié, vous pourrez peut-être vous soustraire à la vengeance de vos dupes, si elles sont faibles ; mais qu’en tout cas vous n’échapperez pas à la punition du ciel.
Il répondit : « Si, au temps où je t’apportai pour la première fois la tablette que j’avais volée, tu m’avais battu, je n’en serais pas venu au point où j’en suis : on ne me conduirait pas à la mort. » Cette fable montre que ce qu’on ne réprime pas dès le début grandit et s’accroît.
Cette fable montre que, autant la divinité est favorable aux honnêtes gens, autant elle est hostile aux malhonnêtes.
» Cette fable montre que l’amour des honneurs trouble la raison et ferme les yeux sur l’imminence du danger.
Dans la célèbre fable du livre II, où il montre l’esclave obséquieux, qui, à force d’empressement, cherche à obtenir de Tibère les soufflets de la liberté, quel nom donne-t-il à l’empereur ? […] Tout dans son œuvre montre avec quel soin il avait étudié les hommes et les choses de ce pays. […] Berger de Xivrey montre bien en quoi le manuscrit de Reims différait de l’édition Brocas, mais ne laisse pas apparaître ce qui, dans ce que l’un et l’autre avaient de commun, pouvait s’écarter des leçons du manuscrit de Pithou. […] Elle en fait l’histoire et la description, montre le soin que Jannelli a mis à lire le texte et à en combler les lacunes ; elle explique le but que s’est proposé Perotti, et le défend contre l’épithète de plagiaire, dont il avait été, suivant lui, injustement gratifié. […] Jannelli fait encore remarquer que, dans la même lettre, il se montre absolument opposé à toute interpolation des textes anciens.