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16. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIX. L’Oracle et l’Impie. » p. 36

Il tenoit un moineau, dit-on, Prest d’étouffer la pauvre beste, Ou de la lâcher aussi-tost, Pour mettre Apollon en défaut.

17. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »

Ceste conclusion prise, elle sauta dans l’Estang, où tandis qu’elle nageoit entre deux eaux, le pauvre Rat estouffoit à force de boire. […] L’Escarbot se mit alors à prier l’Aigle, de ne point tuër le pauvre suppliant, et la conjura par le grand Dieu Jupiter de ne dédaigner sa petitesse : Mais l’Aigle irritée donna un coup d’aisle à l’Escarbot, puis il mit le Liévre en pieces, et le mangea. […] Ces gens attellerent incontinent des asnes à un chariot, sur lequel ils mirent le pauvre Vieillard, et le laisserent aller tout seul. […] Cela dit, sur le poinct qu’ils le vouloient precipiter, il leur raconta ceste autre fable. « Il advint un jour, qu’un homme envoya sa femme aux champs, pource qu’estant amoureux de sa fille, il avoit envie d’en abuser, comme en effect il n’y manqua pas ; Et ce fut alors que ceste pauvre fille toute dolente se voyant prise par force ; “Helas !”

18. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XV. Philomele et Progné. » p. 277

Autrefois Progné l’hirondelle
 De sa demeure s’écarta ;
 Et loin des Villes s’emporta Dans un Bois où chantoit la pauvre Philomele.


19. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — V. Le Renard ayant la queuë coupée. » p. 17

A ces mots il se fit une telle huée, Que le pauvre écourté ne put estre entendu.

20. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 141 » pp. 319-319

Le cheval lui dit : « Si tu veux vraiment me voir beau, ne vends plus l’orge destinée à ma nourriture. » Cette fable montre que les gens cupides amorcent les pauvres gens par leurs discours séducteurs et leurs flatteries, tandis qu’ils leur ôtent jusqu’au nécessaire.

21. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — III. Le petit Poisson et le Pescheur » p. 18

Le pauvre Carpillon luy dit en sa maniere : Que ferez-vous de moy ?

22. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »

Le Chien ayant fait adjourner la Brebis, pour se voir condamner à luy payer un pain qu’il luy avoit presté, elle ny a de luy rien devoir ; mais le Milan, le Loup, et le Vautour, en estans pris à tesmoins, ils déposerent contre la pauvre Brebis, qui fut condamnée à rendre le pain, que le Loup luy osta en mesme temps, et le devora. […] D’ailleurs, les demons par la mesme raison qu’ils se font cognoistre à nous, donnent pareillement dequoy nous mesfier d’eux ; au lieu que ceux-cy ébloüyssent les Magistrats avec une feinte probité, et se servent de la foy humaine pour couper la gorge aux pauvres affligez, jusques à s’ayder du nom d’une Vertu, pour authoriser un crime.

23. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »

Le pauvre Cheval ainsi repoussé, implora le secours de l’homme, qui luy montant dessus, partit aussi-tost, et assaillit rudement le Cerf. […] L’on peut appliquer à ceste Fable deux belles Allegories, l’une Politique, et l’autre Moralle, comme, de dire que le riche devenu pauvre se rend tellement esclave des biens du monde, qu’il est esperonné d’une perpetuelle avarice, retenu par la bride de la chicheté, interdit de la possession d’une chose qui luy appartient, et reduit enfin au mesme destin de ce Cheval, qui reçoit bien le plaisir de voir abattu son Ennemy, mais il y perd la liberté, et trouve que toute la Victoire se tourne au profit de celuy qui le monte.

24. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVII. Le Liévre et la Perdrix. » p. 473

Le pauvre malheureux vient mourir à son giste.

25. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »

Durant ces choses, voila que Mercure émeu de pitié luy apparut, et s’enquit de la cause de sa plaincte, qu’il n’eust pas plustost cognuë que luy monstrant une coignée d’or, il luy demanda si c’estoit la sienne : Le pauvre homme ayant répondu franchement que ce ne l’étoit pas, Mercure luy en apporta une d’argent, que ce bon homme confessa pareillement n’estre pas à luy. […] Si mon dessein estoit d’examiner les Fables d’Esope à la maniere des Humanistes, je m’arresterois quelque temps à m’enquerir, pourquoy nostre Autheur fait invoquer Mercure plustost qu’une autre Divinité à ce pauvre Charpentier, pour le recouvrement de sa coignée, et à quelle occasion les Anciens tenoient ce Dieu pour tutelaire des Artisants. […] A quel propos Esope auroit-il introduit un Dieu, pour la consolation de ce pauvre homme, si ce n’estoit à dessein de nous apprendre, que c’est en Dieu que les Vertueux ont à mettre leur espoir ?

26. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVI. Le Corbeau voulant imiter l’Aigle. » p. 2

Elle empestra si bien les serres du Corbeau, Que le pauvre animal ne put faire retraite ; Le Berger vient, le prend, l’encage bien et beau ; Le donne à ses enfans pour servir d’amusette.

27. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »

C’est ainsi que parmy les nouveaux Docteurs il s’en trouve plusieurs qui se targuent à tort d’un bonnet et d’une robbe dans une chaire, et renforcent inutilement le ton de leur voix, pour paroistre plus éloquens devant ceux qui les écoutent ; Mais s’il n’y a quelque chose en eux plus considerable que leur belle monstre, et si le sçavoir ne respond à l’apparence, les pauvres gens s’abusent bien fort : quelques sçavans qu’ils se fassent, il est aisé de connoistre qu’il y a du vuide dans leur teste, où des oreilles d’Asne paroissent visiblement. […] Les Pauvres qui font les Riches, les Roturiers qui se disent Nobles, et les insolents qui veulent passer pour discrets, courent la mesme fortune que ceux-cy : leur artifice peut quelquefois surprendre l’esprit, mais il est impossible qu’on ne le descouvre bien tost aprés.

28. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »

Le Renard tombé dans un puits, en danger d’estre noyé, pria le Loup, qui estoit en haut, de luy jetter une corde, pour le retirer de ce peril. « Pauvre malheureux ! 

29. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIX. De la Fourmy, et de la Colombe. »

Alors une Colombe branchée fortuitement sur un arbre, qui panchoit sur l’eau, voyant la pauvre Fourmy en danger de mort, rompit incontinent avecque son bec un rameau de l’arbre, qu’elle laissa cheoir dans la fontaine ; et ainsi la Fourmy qui l’aborda, se preserva du danger d’estre noyée, et se mit en seureté.

30. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451

Le pauvre Loup dans cet esclandre,
 Empêché par son hoqueton,
 Ne pût ny fuïr ny se défendre.



31. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VI. La Vieille et les deux Servantes. » p. 55

Aussi-tost nostre Vieille encor plus miserable S’affubloit d’un jupon crasseux et detestable ; Allumoit une lampe, et couroit droit au lit Où de tout leur pouvoir, de tout leur appetit, Dormoient les deux pauvres Servantes.

32. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 188 » pp. 132-132

Un renard le vit et lui dit : « Pauvre sire, tu poursuivais le lion, et tu n’as même pas pu supporter son rugissement. » On pourrait conter cette fable à propos des présomptueux qui se mêlent de dénigrer des gens plus puissants qu’eux, et qui se rejettent brusquement en arrière, quand ceux-ci leur font tête.

33. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 280 » pp. 358-358

Es-tu pauvre et simple particulier, ne prends pas modèle sur les riches : ce serait t’exposer au ridicule et au danger ; car nous ne pouvons nous approprier ce qui nous est étranger.

34. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVIII. Le Chartier embourbé. » p. 291

Le pauvre homme estoit loin De tout humain secours.

35. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 43 » pp. 27-27

mais elle n’a pas de cervelle. » Cette fable convient aux hommes magnifiques de corps, mais pauvres de jugement.

36. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 170 » pp. 251-251

pauvre oiseau infortuné que je suis !

37. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 267 » pp. 182-182

L’ânier, devinant sa pensée, lui dit en le frappant de son gourdin : « Pauvre cervelle !

38. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »

La premiere s’entend de la chicheté des Riches, qui font gloire de refuser aux personnes incommodées, les choses mesmes qu’ils ont avecque superfluité ; ce qui doit apprendre aux Pauvres, qu’ils n’ont guere à esperer des grands Seigneurs, mais que le meilleur pour eux, c’est de s’attendre à un honneste labeur, et tirer de là le soustien de leurs familles.

39. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — V. Le Loup et le Chien. » p. 346

Quittez les bois, vous ferez bien :
 Vos pareils y sont miserables,
 Cancres, haires, et pauvres diables,
 Dont la condition est de mourir de faim.


40. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721

Afin qu’il fût plus frais et de meilleur débit,
 On luy lia les pieds, on vous le suspendit ;
 Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre ;
 Pauvres gens, idiots, couple ignorant et rustre.
 […] Hé quoy, charger ainsi cette pauvre Bourique !


41. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 180 » pp. 329-329

— Je sais bien, répondit-il, que je vis dans l’abondance et que j’ai toutes les satisfactions de l’estomac, mais je suis toujours près de la mort, en combattant les ours et les lions. » Alors les chiens se dirent entre eux : « Nous avons une belle vie, quoique pauvre, nous qui ne combattons ni les lions, ni les ours. » Il ne faut pas, pour la bonne chère et la vaine gloire, attirer sur soi le danger, mais l’éviter au contraire.

42. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 333 » pp. 294-294

. – Mais moi, répliqua la grue, je chante tout près des astres et je m’élève dans les hauteurs du ciel ; toi, comme les coqs, tu marches sur le sol, avec les poules. » Il vaut mieux être illustre sous un vêtement pauvre que de vivre sans gloire, en se panadant dans la richesse.

43. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 354 » pp. 228-228

Il en est ainsi chez les hommes : quand une ville est en proie à la guerre, les pauvres se déplacent et se sauvent facilement d’un pays dans un autre et conservent leur liberté ; mais les riches retenus par le poids excessif de leurs richesses deviennent souvent esclaves.

44. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »

Un de ces Satyres, qu’on tenoit jadis pour estre Dieux des forests, ayant pitié d’un pauvre Passant, tout couvert de neige, et transi de froid, le mena dans sa Cabane, et le fist asseoir auprés du feu.

45. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492

Jusques-là pauvre Cerf, ne te vante de rien.

46. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130

Ce leur fut une erreur dont ils se repentirent ;
 Bien-tost les pauvres gens tomberent en langueur : 
Il ne se forma plus de nouveau sang au cœur :
 Chaque membre en souffrit, les forces se perdirent.


47. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »

L’Oyseleur accourust à l’heure mesme, et le pauvre Merle bien estonné de se voir entre ses mains ; « O homme », luy dit-il, « si tu bastis toûjours de semblables villes, tu n’auras pas beaucoup de Citoyens ».

48. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39

Les Oisillons las de l’entendre,
 Se mirent à jazer aussi confusément, Que faisoient les Troyens quand la pauvre Cassandre
 Ouvroit la bouche seulement.


49. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40

On luy dit : Pauvre beste, Tandis qu’à peine à tes pieds tu peux voir, Penses-tu lire au-dessus de ta teste ?

50. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »

Le maistre du logis s’estant à mesme temps mis à crier, voila venir les valets, qui traicterent le pauvre Asne à coups de bastons, pour recompense de ce qu’il croyoit faire le civil, et l’honneste. […] Ce pauvre Asne fait un tour de son mestier dans ceste Peinture, et entreprend de reüssir en une chose, où il ne gagnera que de la honte et de la confusion.

51. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »

Aussi fust-ce pour cela qu’au temps des anciens Roys de France, et de la grand’ Bretagne, les Ordres de Chevalerie furent inventez, à sçavoir pour secourir les affligez, empescher l’oppression des pauvres, et les violements des filles ; tirer reparation des injures, délivrer les esclaves, et faire mille autres actions memorables, qui servoient de but à la gloire de ces vaillants Paladins. […] C’est luy qui a tant de soing de la protection des Pauvres, qu’il s’est nommé luy-mesme leur Defenseur, et leur a fait tant d’honneur que de les appeller ses membres.

52. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »

Souhaite encore que tes ennemis deviennent malades, et qu’ils soient pauvres, pour empescher qu’ils ne te puissent nuire ; mais sur tout souvienne toy de prier pour tes amis.

53. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »

Les Loups sortirent incontinent, et sous pretexte qu’on leur avoit faussé la foy, et rompu la treve, ils se jetterent sur les pauvres Brebis, qu’ils mirent en pieces bien aisément, pource qu’elles n’avoient plus leur garde ordinaire.

54. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 46 » pp. 34-34

Un homme pauvre était malade et mal en point.

55. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 107 » pp. 98-98

Il se mit à l’injurier et à le railler, Le loup répliqua : « Pauvre hère, ce n’est pas toi qui m’injuries, c’est le lieu où tu es. » Cette fable montre que souvent c’est le lieu et l’occasion qui donnent l’audace de braver les puissants.

56. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »

Le pauvre Loup se voyant ainsi trompé, et s’en prenant à soy-mesme ; « Cela m’est bien deu, dit-il, car à quel propos ay-je voulu maintenant estre Chirurgien, moy qui n’ay jamais esté qu’un Boucher ? 

57. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »

De telle nature sont ceux qui plaident, ou qui persecutent les Orphelins, qui tourmentent les femmes veufves, qui dépoüillent les pauvres du peu de bien qui leur est resté, qui se joüent des maladies et des affligez ; et bref, tous ces courages dénaturez, qui se rendent malfaisants à ceux pour qui la fortune n’a point de caresses ny de bon traictement.

58. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »

En suitte de cecy, apres que pour la troisiesme fois il luy eust fait la mesme demande, et que ce pauvre homme luy eust répondu qu’il n’en pouvoit plus, si fort il estoit travaillé d’un flux de ventre ; « C’est vostre santé », continua ce Charlatan.

59. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158

On assomma la pauvre beste.

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