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14. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 255 » pp. 65-65

Cette fable montre que les amis véritables se reconnaissent à l’épreuve du malheur.

15. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 251 » pp. 171-171

Aussi depuis ce temps, la mouette est toujours aux aguets sur les rivages, pour voir si la mer ne rejettera pas son cuivre quelque part ; la chauve-souris, craignant ses créanciers, ne se montre pas de jour et ne sort pour pâturer que la nuit ; enfin la ronce accroche les habits des passants, cherchant à reconnaître son étoffe.

16. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »

Ce que son Maistre ayant reconnu ; « D’où vient », luy dit-il, « que tu és si fort émeu, en t’approchant de moy ? 

17. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Suivant lui, la première de ces deux fables avait exaspéré Séjan, qui s’y était reconnu. […] Ce défaut complet d’originalité dans la pensée est reconnu par lui-même. […] Il faut pourtant reconnaître que la publication du manuscrit de Pithou par M.  […] Cet accident n’empêche pas de reconnaître dans ce qui reste les variantes du manuscrit de Pithou. […] Mais, en défendant Phèdre, ils furent obligés de reconnaître.

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