Cette fable montre que les amis véritables se reconnaissent à l’épreuve du malheur.
Aussi depuis ce temps, la mouette est toujours aux aguets sur les rivages, pour voir si la mer ne rejettera pas son cuivre quelque part ; la chauve-souris, craignant ses créanciers, ne se montre pas de jour et ne sort pour pâturer que la nuit ; enfin la ronce accroche les habits des passants, cherchant à reconnaître son étoffe.
Ce que son Maistre ayant reconnu ; « D’où vient », luy dit-il, « que tu és si fort émeu, en t’approchant de moy ?
Suivant lui, la première de ces deux fables avait exaspéré Séjan, qui s’y était reconnu. […] Ce défaut complet d’originalité dans la pensée est reconnu par lui-même. […] Il faut pourtant reconnaître que la publication du manuscrit de Pithou par M. […] Cet accident n’empêche pas de reconnaître dans ce qui reste les variantes du manuscrit de Pithou. […] Mais, en défendant Phèdre, ils furent obligés de reconnaître.