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59. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »

De ceste façon il arrive, que la froideur de ses proches enflamme toutes ses esperances, et que ceux qui le haïssent, luy font du bien, lors qu’ils y pensent le moins, tellement que l’on peut dire à contre-sens, Hayr ainsi, c’est proprement aymer.

60. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »

Car je ne pense pas vous raconter une Fable, mais une verité, quand je me dis sujet à faillir.

61. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »

Mais je pense que nous avons suffisamment prouvé, que la richesse excessive est dangereuse, quant à l’ame : Voyons maintenant s’il n’est point vray qu’elle ne haste pas moins la ruyne du corps.

62. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Pourquoi seul y avait-il pensé ? […] « 2º Les auteurs de la Nouvelle Diplomatique ne pensent pas cependant de même. […] Je lui exposai l’objet de ma visite, et les raisons qui me faisaient penser que le manuscrit était au Vatican. […] L’incohérence est telle, que je ne puis me résoudre à penser que M.  […] Mais cette divergence n’ébranle pas ma conviction et ne me détermine pas à penser qu’ils ont eu à leur disposition deux copies distinctes.

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