Tu ne dez pas aver creance en tes oilz, que mentent si sovent. » Dist li vileins : « Jeo me repent !
Così spesso interviene al vecchio insano Di mente, che dal tempo misurando Il senno, sprezza del giovine saggio Il buon consiglio di ragion matura : E seguitando il suo pazzo discorso Si mette a far con cor superbo e vano Quel, ch’a ragion tentar non può, né deve.
» « Du pays de Lycerus », respondit Esope, « qui en a quantité à son commandement : et toutesfois toy qui n’és qu’un homme, te veux comparer à un Roy semblable aux Dieux ». « Tu as raison », reprit Nectenabo, « et pour ne t’en point mentir, je me confesse vaincu. […] Nectenabo croyant avoir surpris Esope par ses propres paroles ; « Je te tiens », luy dit-il, « n’as-tu point de honte de mentir ? […] Le lendemain apres que Nectenabo eust fait appeller ceux de son conseil ; « Sans mentir », leur dit-il, « j’ay belle peur que l’esprit d’Esope ne nous fasse tributaires du Roy Lycerus ». « Avant que cela soit », respondit un de l’assemblée, « je suis d’advis que nous luy proposions des questions, que nous-mesmes n’avons jamais sçeuës, ny ouyes »
Xanthus approuvant cela, « Sans mentir », dit il, « rien ne peut empescher Esope, d’estre toûjours prompt en ses reparties ».