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9. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512

On le lit ; on tâche d’entendre La volonté du Testateur, Mais en vain : car comment comprendre Qu’aussi-tost que chacune sœur Ne possedera plus sa part hereditaire Il luy faudra payer sa Mere ?

10. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 76 » pp. 50-50

La chatte, oubliant sa condition présente, se leva du lit et poursuivit la souris pour la croquer.

11. (1180) Fables « Marie de France, n° 29. Le loup qui fut roi » p. 514

En sun lit malade se feint ; a tutes bestes si se pleint qu’il ne pot mie respasser*, qui* l’alouent revisiter.

12. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Dans les Inscriptiones antiquæ de Gruter on lit, page 352, nº 4 : ANEROS. […]  » Enfin au-dessous on lit encore : « Offert par M.  […] (H. lit. […] On lit au frontispice : Ivl. […] Sur la première on lit : Q. 

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