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19. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »

Ce que témoigne fort à propos l’imitateur du grand de Montagne, qui ne forme son Sage que sur ce modelle, et ne luy fait point de present plus specieux que le miroir de soy-mesme.

20. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Quelle que soit celle des deux formes latines qu’on adopte, il y a un point qui est incontestable, c’est que l’origine de chacune est grecque et que la forme grecque est Φαίδρος. […] Il faut le reconnaître, ce qui fait la principale valeur littéraire de Phèdre, c’est la forme. […] Elle forme un petit volume in-12 de soixante-dix pages. […] « Un trait au-dessous de l’e, à peu près de cette forme v (ev) pour æ, diphthongue. […] La morale, mise en tête de chaque fable, frappe la vue, et, présentée sous une forme plus explicite, s’impose mieux à la pensée.

21. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »

Ils l’apprennent ainsi d’un habile Maistre, et c’est l’Inventeur de ces Peintures parlantes, qui des choses mesmes dépourveües de tout sentiment, en forme des Creatures sensibles à la reconnoissance.

22. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »

Que cela ne soit, je vous demande si vous considerez la forme exterieure d’une bouteille, ou d’un pot de terre, et si vous n’avez pas plustost égard au goust interieur du vin ? 

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