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39. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »

Combien d’inventions pour gaigner de faux témoins ?

40. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »

De là viennent ordinairement leurs contentions, leurs concurrences, et leurs faux partages : De là viennent, dis-je, les meurtres qu’ils font presque tous-jours de leurs compagnons, et les tragiques évenements qui suivent leurs entreprises.

41. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Or estre raisonnable n’est autre chose que cognoistre le vray d’avecque le faux, et le bien d’avecque le mal.

42. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Il faut avouer que l’idée fausse qui s’était propagée n’avait rien qui dût surprendre. […] C’était une fausse supposition. […] C’est qu’il n’était pas inutile, au milieu de tant d’assertions aussi fausses que contradictoires, que je fisse connaître exactement les fables du manuscrit de Daniel. […] Sur la fausse indication donnée par Apostolo Zeno, il avait écrit au comte Mazzuchelli, pour le prier de faire de minutieuses recherches dans la Bibliothèque Ambrosienne. […] Il est, à mon sens, très probable que, dans sa fausse affirmation, sa seule faute a été de s’en rapporter à des souvenirs confus qu’il n’a pas pris immédiatement la peine d’éclaircir.

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