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2. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »

Or comme elles surpassent de loing les richesses materielles, aussi ont elles des degrez de difference les unes avec les autres, n’estant pas toutes esgalement belles et necessaires, mais chacune selon sa proportion, et la dignité de son estre.

3. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »

Or de dire maintenant en quoy consiste chacune de ces Republiques, cela n’est ny de nostre loisir, ny de nostre institution.

4. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »

Ce qui fait que bien souvent quelqu’un de ces Princes entretient deux Couronnes en jalousie, sans en estre accablé neantmoins, veu l’interest que chacune d’elles prend à l’envy, pour empescher l’accroissement de son égale.

5. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »

En suitte de celuy-cy, un autre prenant la parole ; « Il y a », se mit-il à dire, « un grand Temple, dans lequel est un pilier contenant douze Villes chacune desquelles est soustenuë de trente poutres, que deux femmes environnent ».

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