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42. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »

Cela nous apprend, que les meschants qui faussent une amitié, et traictent avec cruauté ceux qui se confient en eux, reçoivent enfin la punition qui leur est deuë, voire mesme qu’ils tombent à la mercy de ceux qu’ils ont outragez.

43. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »

N’est-ce pas une belle chose à voir, qu’un Vieillard assotté prés d’un enfant, ou si vous voulez, qu’un homme qui devroit donner des Loix aux Republiques, en reçoive d’une petite Niaise, qui ne sçaura pas seulement conter son âge ?

44. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Or cela se passait avant la naissance de Linus et d’Orphée, qui par conséquent n’avaient pas pu recevoir le jour dans un pays déjà séparé de la Thrace. […] Sirmond : il étoit alors à Rome, où il reçut de la part de M.  […] Envoyé tout jeune à Bologne, il y reçoit les leçons de Nicolas Volpe et de Vittorino de Feltre. […] Un seul et même cahier les recevait les unes à la suite des autres. […] Je renvoie à sa préface ceux qui voudront savoir avec quelle joie il la reçut.

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