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26. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »

Car quelle apparence y a-t’il de se rapporter à un tiers de ce que l’on est, et d’apprendre ses veritez de la personne d’autruy ?

27. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »

D’où l’on peut conclurre aisément, qu’il est moins pernicieux de manquer de parole aux Bons qu’aux Meschants, encore qu’à la verité ce soit une chose indigne d’un homme bien né de tomber en cét inconvenient envers qui que ce soit, si ce n’est d’avanture qu’il y ait un avantage si grand en cela, qu’il soit hors de toute proportion ; encore est-il necessaire, à mon opinion, qu’il se rapporte à la gloire de Dieu, ou à l’utilité publique.

28. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

En possession de tous les matériaux qui se rapportaient à Avianus et à ses imitateurs, je ne différai plus de les mettre en œuvre. […] Je crois, pour moi, qu’à défaut de documents contraires, le plus sage parti est de s’en rapporter à Phèdre lui-même. […] Le Peletier qui avait rapporté le manuscrit à Paris. […] Or, Pline rapporte que les Druides furent chassés de l’empire sous Tibère (Claude). […] Il est, à mon sens, très probable que, dans sa fausse affirmation, sa seule faute a été de s’en rapporter à des souvenirs confus qu’il n’a pas pris immédiatement la peine d’éclaircir.

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