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31. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »

Si son outrage a semblé laid et hydeux dans son centre mesme, à sçavoir en la personne du malfaicteur, combien sera-t’il espouvantable en la mienne, puis que je ne pense pas avoir jamais donné lieu à des actions scandaleuses, et dignes de la hayne publique ?

32. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Bref, ayant étudié tous les fabulistes latins connus et inconnus, j’ai pris le parti de faire profiter le public de mes travaux par une publication qui les comprendrait tous. […] Comme les deux premiers, ce fut encore au public qu’il le destina. […] C’est dans cette pensée qu’en 1580 il consentit à entrer plus franchement dans la vie publique. […] Pour que le public soit bien fixé sur les faits, il en entreprend le récit complet. […] À Naples, comme à Rome, le temps des vacances n’était pas encore passé, et le public n’était pas admis à travailler.

33. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Mais je m’amuserois en vain à rapporter des exemples touchant la fidelité des Chiens, puis que les Histoires publiques, et toutes les maisons des particuliers sont plaines de ces merveilles, la consideration desquelles a convié beaucoup de gents à croire qu’ils estoient capables de raisonner ; Ce qui toutesfois ne vient pas de ceste seule experience.

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