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2. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 95 » pp. 62-62

Mais un des dauphins prenant la parole lui dit : « Il est moins humiliant pour nous de combattre et de périr les uns par les autres que de t’avoir pour médiateur. » De même certains hommes qui n’ont aucune valeur, s’ils tombent sur un temps de troubles publics, s’imaginent qu’ils sont des personnages.

3. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 

Il devoit au bout de dix ans Mettre son Asne sur les bancs : Sinon, il consentoit d’estre en place publique Guindé, la hard au col, étranglé court et net, Ayant au dos sa Rhetorique, Et les oreilles d’un Baudet.

4. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »

Cependant les Samiens voulant honorer son arrivée, s’en allerent au devant de lui avec des rameaux et des chapeaux de fleurs, qu’ils luy offrirent, faisant en outre à cause de luy des jeux solemnels, et des danses publiques, pour une marque de leur commune allegresse.

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