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2. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »

Si c’est du temps mesme, ils sont, ou amis, ou ennemis, ou indifferents aux Roys et aux Peuples, dont ils font mention.

3. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Édouard de Blives à la Bibliothèque de Troyes. » Cette mention est signée et datée ainsi : « Édouard de Blives, petit-fils de Bréban, le 8 septembre 1871. » L’exemplaire qui porte le nº 222 est admirablement relié et conservé ; ses marges sont pures de toute annotation. […] Brotier n’en fasse pas mention. […] De plus, il est fait mention dans l’Aululaire de la manière dont les Gaulois rendaient la justice : Vade ad Ligerim, etc. […] Mais, ainsi que je l’ai dit, Phèdre n’était pas l’objet de leurs recherches et ce n’était qu’incidemment qu’ils avaient fait mention de ses fables. […] Je m’abstiens de produire en détail les arguments qui me frappent, qui me forcent à être d’un avis si particulier, et qui me poussent à déclarer sa production si étrangère à ces jeux de Phèdre dont Martial fait mention.

4. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Plusieurs autres exemples se disent des Elephants, qui les font semblables non seulement à l’esprit de l’homme, mais encore à son naturel, comme, l’amour des femmes, la jalousie des Rivaux, le courroux, les menaces, et quantité d’autres sentiments approchants de nostre nature, parmy lesquels il n’y en a point de plus memorable, que celuy dont Lipse fait mention, qui est tel.

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