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9. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »

Alors, dis-je, s’imaginant que toutes choses leur soient permises, à cause de leur puissance, ils font gloire d’opprimer les petits, et de les aller chercher jusques dans leurs maisons, qu’ils ruynent de fonds en comble pour se vanger.

10. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

L’autre appartient à un fonds spécial qu’on appelle la Grenville Library, et dans lequel le nº 9064 lui a été attribué. […] Indépendamment du fonds général qui ne se compose que de manuscrits, la Bibliothèque Laurentienne possède un fonds spécial qui du nom du donateur est appelé fonds d’Elci et qui comprend à la fois des manuscrits et des imprimés. Parmi les imprimés de ce fonds figure l’exemplaire de l’édition originale de Phèdre qui y porte la cote 384 E. 3. […] Le manuscrit ne figurait pas sur le catalogue imprimé du fonds latin, et les bibliothécaires ne purent même me dire s’il était dans la Bibliothèque. […] Parmi les autres figure une copie du manuscrit napolitain de Perotti, qui dans le fonds d’Orville, porte la cote X. 2. infra 2.23.

11. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Ce qu’Esope invente de ceste Corneille, certains Autheurs le content d’un Chien, qui estant extrémement alteré sur un Vaisseau, et ne pouvant boire dans un Vase, qui n’estoit qu’à demy plain, décendit industrieusement au fonds du Navire, et apporta tant de pierres de celles qui se trouvent dans la Carene, qu’il fist hausser l’eau par ceste invention, et ainsi il contenta sa nature par le moyen de son artifice.

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